#jean joseph carriès
Explore tagged Tumblr posts
Text
Tumblr media
Jean-Joseph Carriès (1855-1894) "The Frog with Rabbit Ears" (1891)
97 notes · View notes
philoursmars · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Il y a une petite quinzaine, je suis allé avec Julien et Katie, au Louvre-Lens pour une expo temporaire : "Animaux Fantastiques". Une très belle expo !
Ici des êtres indéfinissables et des chimères !
Thomas Grünfeld - "Misfit (flamingo-pig)''
Antoine-Louis Barye - "Chimère"
Jean-Joseph-Marie Carriès - "Grenouille aux oreilles de lapin"
Louis-Jean Desprez - "Chimère de Monsieur Desprez"
8 notes · View notes
disciplinethepainter · 6 months ago
Text
Tumblr media
5 notes · View notes
frogshunnedshadows · 9 months ago
Text
Tumblr media
Hey, you ... thirsty? *suggestive eyebrows emoji*
2 notes · View notes
nextposition1 · 7 months ago
Text
Tumblr media
Jean Joseph Carriès (1875-1945), céramique
3 notes · View notes
flumptonbronzebottom · 1 year ago
Text
Tumblr media
Le Grenouillard (Frog-Man) by Jean-Joseph Carriès, 1892
2 notes · View notes
eatshapes · 16 days ago
Text
Tumblr media
Jean Joseph Carriès
1 note · View note
codexurbanus · 7 months ago
Text
Tumblr media
Aujourd’hui s’ouvre au Petit Palais à Paris, au sein du prestigieux Musée des Beaux-Arts de la ville (où je vais régulièrement baver devant les chimères de Jean-Joseph Carriès et la salle à manger de Guimard) une expo d’art urbain qui est absolument magistrale, par la qualité des œuvres exposées comme par leur quantité.
Organisée de main de maître par Mehdi Ben Cheikh et la Galerie Itinerrance à qui l’on doit déjà des événements qui ont marqué l’histoire de l’art urbain - dont la légendaire Tour Paris 13 et ses 8 heures de queue pour la visite il y a plus de 10 ans, où l’experience Djerbahood en Tunisie- ainsi que par un escadron d’anges qui ont œuvré dans l’ombre pour rendre ce coup d’éclat possible, cette exposition rassemble des pièces monumentales spécialement créées pour dialoguer avec les collections hallucinantes du musée, par les artistes de la galerie Itinerrance dont les prestige international accompagne la qualité technique (D.Face, Vhils, Shepard Fairey, Invader, Inti, et j’en passe…)
Alors vous me direz, qu’est-ce que je viens faire dans cette histoire ?
Et bien figurez-vous que, vous le savez, j’aime exposer dans ce genre d’endroit (et d’ailleurs je sais à quel point une telle intervention dans ces lieux préciseux est un combat de tous les instants, du Musée Gustave Moreau au Musée Clemenceau en passant par le Chateau de Malmaison ou encore le Musée des Etouts) et en 2018 j’avais contacté le conservateur de l’époque pour lui proposer de créer un « Salon des Refusés de 2018 ». En effet, les deux Palais, le Grand et le Petit, ont été construit pour l’Expo 1900 à l’emplacement d’un précédent Palais, le Palais de l’Industrie de 1855, où s’est tenu en 1863 le premier Salon des Refusés, c’est à dire un salon organisé pour les artistes refusés par le Salon Officiel, dont bien sûr les impressionnistes. Or vous me connaissez, considérant que l’on retrouve la même dynamique entre le Street Art et l’Art Contemporain officiel que celle qu’il y avait entre l’Impressionnisme et l’Art Pompier, je trouvais utile, voire crucial, de recréer ce petit salon vandale, notamment au moment de la FIAC qui se tenait en face. Ce projet n’a jamais vu le jour (et des projets comme ça, les enfants, j’en plein les tiroirs, et d’ailleurs vous le verrez je n’ai pas complètement dit mon dernier mot sur cette histoire…)
Moi, j’avais donc échoué, mais manifestement Mehdi ben Cheikh était aussi conscient de l’histoire des lieux et de ce parallèle parce que lui, les amis, IL L’A FAIT!!!!! Il a recréé un salon des refusés, à l’ancienne, avec 60 artistes, 200 peintures en cadres noir et un accrochage dit « Touche-Touche » comme sous le Second Empire. Du coup rien que pour cela je vous invite à aller vivre cette sensation unique de rentrer dans cette salle saturée de chefs-d’œuvre, sensation que des critiques d’art comme Baudelaire ont du ressentir avant vous dans les mêmes conditions.
Et bien sûr la cerise sur le gâteau : ne me demandez pas comment c’est arrivé -la rocambolesque série de coincidences qui a présidé à cela pourrait être une forme de confirmation que trois meufs avec des ciseaux jouent avec nos destins dans le multivers- mais j’ai la chance de figurer dans l’accrochage sublime de ce nouveau Salon des Refusés, entre D.Face, Invadeur et Shepard, et de façon complètement fortuite (ce n’est même plus le même conservateur qu’en 2018 !)
Donc quand vous irez voir cette expo incontournable -parce que vous irez, elle dure jusqu’en novembre, c’est ouvert tous les jours sauf le lundi et c’est complètement gratuit- vous penserez, je l’espère, à cette anecdote et surtout à cette mise en abyme: tous ces artistes d’art urbains prestigieux qui répondent à cet art contemporain pompier de notre époque, et parmi eux, le petit rêveur vandale de Montmartre qui trace ses chimères cheloues (oui, bon, petit c’est au sens figuré hein!) et qui se retrouve propulsé dans cet éphémère panthéon de l’Art Urbain, comme une créatures codexienne dans un magazin de porcelaine…
We Are Here,et bien moi aussi j’y suis ! Et j’en suis pas peu fier 😍
0 notes
sculpturegallery · 3 years ago
Photo
Tumblr media
by Jean-Joseph Carriès
11 notes · View notes
fruitmarket · 2 years ago
Photo
Tumblr media
Jean-Joseph Carriès, The Infanta, ca. 1890-94
2 notes · View notes
nevsky · 2 years ago
Text
Tumblr media
John Singer Sargent, Jean-Joseph Carriès (c. 1880.)
2 notes · View notes
Text
Tumblr media
Jean-Joseph Carriès (1855-1894) "The Frog Man" (c. 1891) Glazed stoneware Located in the Metropolitan Museum of Art, New York City, New York, United States Carriès was fascinated by frogs, the writer Octave Uzanne, recalled a walk he and the sculptor took one night in 1882 in Paris: "A toad from the banks of the Seine was hopping around our feet [...] Carriès caught it immediately [...] and stroked it lightly with his finger. You could see the admiration in his eyes," and they appear in several examples of his work. "The Frog Man" is his fantastical sculpture of a half-man, half-frog sitting among a family of smaller frogs. It recalls the gargoyles of Gothic cathedrals while also resembling a large-scale version of the whimsical Japanese carved sculpture known as netsuke. Carriès may have known the Japanese legend of Gama Sennin (frog sage), an Immortal who often took the form of his companion, a large toad.
54 notes · View notes
charlesreeza · 3 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media
Jean-Joseph-Marie Carriès, ca. 1880, John Singer Sargent
Sheldon Museum of Art, Lincoln, Nebraska
32 notes · View notes
aic-european · 3 years ago
Photo
Tumblr media
Le Grenouillard (Frog-Man), Jean-Joseph Carriès, 1892, Art Institute of Chicago: European Painting and Sculpture
During his short but brilliant career, Jean-Joseph Carriès explored alternative sculptural media such as ceramics and plaster, which were considered vastly inferior to marble and bronze. His works draw upon themes from Japanese art and Social Darwinism, none more impressively than his late masterpiece Le Grenouillard. The squat figure with bulging eyes and an elongated spine appears to be half man, half amphibian, yet he could also be likened to a netsuke, a whimsical Japanese carving, but on a grand scale. Through prior gift of Mrs. Henry Woods Size: 34 × 47 × 43 cm (13 1/2 × 18 1/2 × 17 in.) Medium: Patinated plaster
https://www.artic.edu/artworks/190409/
3 notes · View notes
detournementsmineurs · 3 years ago
Photo
Tumblr media
Oeuvres en grès émaillé ou flammé d'Emile Müller et Cie, Frédéric Deschamps, Jean-Joseph-Marie Carriès, Antonin Mercié et Georges Hoentschel (circa 1889-1902) et "Cheminée" attribuée à Emile Müller et Cie en grès cérame émaillé (circa 1904) dans les Collections Permanentes du Musée d'Arts Décoratifs, janvier 2022.
2 notes · View notes
nextposition1 · 7 months ago
Text
Tumblr media
Jean Joseph Carriès (1875-1945), masques collés, céramique.
4 notes · View notes