#je suis. j’étais. et resterai
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leadoutlap · 4 days ago
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listening to stromae and thinking about esteban ocon
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kamomille9 · 2 years ago
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Fanfic Pendranièvre : Le Coeur a ses Raisons... Chapitre 3
Hello à tous ! J’espère que vous avez passé un bon week-end !
Chapitre 3 : La Destination
Guenièvre de Carmélide ne put s’empêcher de soupirer bruyamment une fois sortie de son ancienne chambre. Tout son corps tremblait. Il lui avait fallu tout son courage pour s’opposer au Roi et à présent tous ses nerfs se relâchaient enfin. Elle fit quelques pas en se reposant contre le mur. Elle devait s’éloigner le plus possible… Mais c’était sans compter sur le chevalier Perceval :
_ Ma Reine ? Vous allez bien ?
Guenièvre essuya son visage des nombreuses larmes versées avant de finalement se tourner vers le chevalier.
_ Seigneur Perceval ! Si vous souhaitez parler au Roi il est dans sa chambre.
_ En fait, il m’a balancé la porte à la figure juste avant d’y rentrer un peu plus tôt… J’étais dans le cirage pendant un bon moment je pense… jusqu’à ce que je vous vois sortir…
_ Je dois vous laisser, je suis navrée…
Seulement, Perceval n’était pas disposé à la laisser s’échapper.
_ Où allez-vous donc ma Reine ? Je peux vous accompagner si vous le…
_ Ne m’appelez plus comme cela ! Je ne suis plus Reine…
_ Je comprends pas…
Guenièvre soupira une nouvelle fois avant de poursuivre son chemin vers les quartiers des serviteurs, où Angharad devait déjà l’attendre.
_ Ma Reine ? Vous allez où ? Je peux peut-être vous accompagner…
_ N’avez-vous point une réunion de la table ronde dans peu de temps ?
_ Bah… C’est possible, je sais plus bien après ce coup sur la tête… Mais j’pense pas que le Roi voudrait que je vous laisse seul…
_ Je vous le répète Seigneur Perceval : je ne suis plus Reine. Ce que voudrait ou ne voudrait pas le Roi à mon encontre n’a plus aucune importance…
_ Je comprends pas bien… Pourquoi vous dites que vous n’êtes plus la Reine ?
_ Mon mariage avec le Roi vient d’être annulé. Je ne suis plus ni la Reine, ni même sa femme. Il est donc inutile de me suivre…
Arrivée à destination, Guenièvre toqua à la chambre de sa bonniche. Lorsqu’Angharad ouvrit, elle écarquilla les yeux en voyant sa maîtresse vêtue modestement à côté de son soupirant.
_ Je suis navrée de vous déranger mais je préférais que vous l’appreniez par moi au lieu de devoir faire confiance aux commérages qui ne vont pas tarder à se répandre.
_ Madame ?
_ Mon mariage avec le Roi a été annulé. Je quitte le château sur l’heure. Je souhaitai juste vous dire aurevoir et merci d’avoir été mon amie…
_ Mais Madame… Que dites-vous là ? Une annulation de mariage ?
_ J’aimerai avoir le temps de vous en dire plus… Sachez juste qu’il s’agit de ma décision, j’ai fait annuler mon mariage. Je dois partir à présent…
Guenièvre prit brièvement la jeune femme dans ses bras avant de filer vers la sortie réservée aux serviteurs.
_ Seigneur Perceval ! Je vous en supplie ne la laisser pas toute seule ! Suivez-la et protégez-la ! Je ne sais pas ce qu’elle a en tête mais les routes sont trop dangereuses pour une femme seule…
Le chevalier acquiesça brièvement, prit un instant la main de la jeune servante, puis courut rejoindre la Reine… enfin l’ex-Reine. Angharad avait du mal à saisir exactement tous les tenants et aboutissants de la situation mais elle ferait peut-être mieux de prévenir le Roi et le Seigneur Karadoc que Perceval filait le train de la Reine… enfin, ex-Reine.
-o-
Guenièvre et Perceval finirent par sortir de l’enceinte du château et se retrouvèrent sur la route royale. La princesse de Carmélide essayait de faire rebrousser chemin à son accompagnateur, sans grand succès.
_ Il n’est pas nécessaire que vous m’accompagniez Seigneur Perceval, je peux voyager seule !
_ Ma Reine, les routes sont trop dangereuses ! Angharad et le Roi m’en voudraient s’il vous arrivait quelque chose ! Donc temps que l’on ne sera pas arrivé à constipation, je resterai avec vous !
_ Constipation ? demanda Guenièvre, troublée par son insistance.
_ Bah là où vous voulez vous rendre quoi.
_ Destination ?!
_ Ah oui, ça marche peut-être mieux ! Merci ma Reine.
_ Arrêtez de m’appeler comme ça ! Je ne suis plus Reine !
_ Ouais, je sais mais si je vous appelle pas comme ça, je sais pas comment vous appeler…
_ Guenièvre, tout simplement.
_ Ouais mais je trouve pas ça assez respectueux…
_ C’est juste mon prénom Seigneur Perceval… Vous voulez absolument m’accompagner ?
_ Oui, ma Reine, je serais plus rassuré.
_ Alors ce sera à la condition que vous arrêtiez de m’appeler « ma Reine » pour me nommer Guenièvre à la place !
Perceval la regardait attentivement. Il n’était pas certain de pouvoir, ni vouloir, l’appeler ainsi mais si c’était le prix à payer pour venir avec elle…
_ D’accord mais vous m’appeler Perceval tout court alors !
_ Marché conclu !
Ils se sourirent amicalement, continuant de marcher…
_ Où allons-nous du coup ?
_ Ma tante réside avec son mari dans un domaine au bord de la mer. Un peu au-dessus de la ville d’York.
_ C’est au moins à trois jours de marche ça ?!
_ En effet… Mais on peut pousser jusqu’en Carmélide si vous êtes pas content ! Il faudra juste ajouter trois jours de marche en plus…
_Trois jours, plus trois autres jours, ça fait…
_ Six jours Perceval, coupa Guenièvre en voyant le chevalier compter sur ses doigts.
_ Ah bah alors non, trois jours c’est très bien !
_ Ma tante sera contente de me voir, cela fait longtemps que je n’ai pas pris le temps de lui rendre visite.
_ Votre tante, c’est la cousine de votre mère c’est ça ?
_ Non, c’est la sœur de mon père, Fraganan, répondit-elle en fronçant les sourcils au mot « cousine ».
Perceva acquiesça gentiment sans faire de commentaire. Il restait, tout de même une question trottant dans la tête du chevalier :
_ Vous avez dit à Angharad que vous avez annulé votre mariage avec le Roi…
_Oui et ?
_ Pourquoi vous avez fait ça ?
_ Vous ne voulez pas savoir…
_ Je vous poserai pas la question si je voulais pas savoir !
_ Perceval… Ce n’est pas que je ne vous fais pas confiance mais je crains que la vérité ne vous mette en colère et ne fasse baisser votre estime pour le Roi.
_ C’est pas faux… Mais du coup, c’est quoi qu’il a fait le Roi ?
La princesse leva les yeux au ciel. Pour l’avoir suffisamment entendu de la bouche d’Arthur, elle savait que le chevalier était mou de la comprenette. Cependant, il était si gentil et agréable avec elle qu’elle ne se voyait pas le renvoyer bouler comme avait pu le faire son ex-mari.
_ Vous savez que le roi a des maîtresses ?
_ Oui, j’ai jamais trop compris d’ailleurs… Au Pays-de-Galles, les hommes ils prennent pas de maîtresse. La fidélité, c’est important chez nous que ce soit envers l’homme ou envers la femme. En plus, quand on est amoureux, je pense qu’on a pas besoin de maîtresse… C’est pour ça que j’ai jamais compris, puisque le Roi il vous aime, pourquoi il avait besoin de maîtresses.
Guenièvre resta interdite quelques minutes. Elle avait cru mal entendre les dires de Perceval. Ces paroles étaient si surprenantes qu’elle crut un instant les avoir rêvées…
_ Le Roi n’a jamais été amoureux de moi.
_ Bah moi, je pense que…
_ Non, je vous assure il ne l’est pas, ne l’a jamais été et ne le sera jamais ! Là n’est pas la question de toute façon ! J’ai surpris le Roi embrassant Dame Mévanwi, c’est pour ça que j’ai décidé d’annul…
_ QUOI ! QUOI ?! Le Roi a embrassé cette vilaine morue ?!
_ Cette quoi ?
_ Mévanwi, la femme de Karadoc ! C’est rien qu’une mocheté, qu’une grosse morue, une vilaine frisée !
_ Perceval !
_ Quoi ? Vous allez me dire le contraire peut-être ? Elle me donne envie de gerber dés que je la vois ! Et vous me dites que le Roi l’a embrassé ?! Je sens que je vais être malade…
Guenièvre n’en revenait pas. Auprès de toute la gente masculine du royaume, Mévanwi était considérée comme une très belle femme. Même elle, ne pouvait nier ce fait et pourtant… Pourtant, le Seigneur Perceval, sans doute le chevalier le plus fidèle du Roi Arthur, pensait sincèrement que la femme de son plus proche compagnon était hideuse. Il y avait de quoi se poser des questions…
Cependant, Guenièvre se mentirait à elle-même si elle disait qu’elle n’était pas ravie que le chevalier pense cela de la femme qui avait finalement réussi à briser son mariage…
Le voyage jusque chez sa tante allait être long mais avec un acolyte comme Perceval de Galles, Guenièvre de Carmélide se disait qu’elle n’aurait pas pu trouver mieux pour éviter de broyer du noir.
-o-
NDA: Voilà à vous de me dire ce que vous en pensez ;)
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myhomeoreo · 6 months ago
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Twelve
" J’ai toujours cette étrange impression de ne plus pouvoir respirer quand je pense à toi. C’est un peu comme reprendre son souffle après avoir garder la tête trop longtemps sous l’eau. J’ai toujours pensé que rien ni personne ne pourrait me changer, que je resterais le même car après tout au départ tu n’étais qu’une fille lambda a mes yeux. J’ai connu tellement de filles que j’étais persuadé qu’un nom de plus a cette foutu liste ne changerais rien. Aujourd’hui même si ça me coute de l’avouer, je me rend compte que tu as foutu le bordel dans ma vie et que tu as malmené mes pensées en t’y installant de façon permanente. Même les meilleures distractions ne marche pas bien longtemps. Tu reviens sans cesse à la charge.Toutes les choses qui comptait pour moi avant n’ont plus du tout les mêmes saveurs, cette euphorie que je ressentais pour des choses toute bêtes à disparu en même temps que toi. J’ai commencé à détester tout ce que tu aimais et tout ce que tu représentais dans l’espoir de refermer cette porte pour toujours mais au lieu de ça elle s'est rouverte de plus belle. Je dois me rendre à l’évidence, je fais un piètre psychologue quand il s’agit de ce qui se passe dans ma tête. Courir et lire ont été mes seuls échappatoire pendant un temps, ce sont littéralement les seules choses qui m’ont permis jusqu’à maintenant de garder la tête froide. L’objectif premier était simple - ne plus penser, ne plus réfléchir et ne pas essayer de me souvenir ou de me rappeler certaines choses - mais depuis quelques temps je sens que ça ne fonctionne plus aussi bien qu’avant. Bordel qu’as tu fait de moi. "
Citation de moi même
En me remémorant cette période, je me sens triste pour le "moi" d'avant qui n'avait pas encore atteint la maturité émotionnelle nécessaire pour admettre et assumer ses sentiments pour celle qu'il aimait le plus.
Je suis content d'avoir évolué sur ça grâce à toi.
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unechappatoire · 1 year ago
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15 juillet 2023 à 00:33
ma vie est chamboulée alors j’ai réinstallé Tumblr pour pouvoir écrire ma peine, ma colère bref tous mes sentiments. tout à changé désormais. j’ai l’impression d’être devenue une personne plus « sage » vous voyez le style un peu femme philosophique qui se dit que ce qui arrive est écrit et qu’il faut pas se laisser faire avec les relations toxiques etc.
tout a commencé il y a quelques années quand ma maman me disait que je m’en rendrais compte plus tard que ma meilleure amie ne l’était pas vraiment. eh bien je peux vous dire que les mamans ont toujours raison. oui je m’en suis rendu compte il y a quelque temps. ma meilleure amie n’est pas celle que j’idéalisais. pas du tout en fait. mais j’ai eu un déclic et je me suis rendu compte que c’était fatiguant, que toute mon énergie allait dans cette relation totalement nocive pour moi. ce n’était que des reproches par rapport à tels ou tels choses que j’avais fait ou dit. les reproches étaient là mais aucun remerciement pour quoi que ce soit. je l’ai emmené en vacances et je n’en ai récolté que des reproches et aucun « merci » n’ont été prononcés. pour rien. j’étais sa meilleure amie mais elle non. j’ai été la seule à la supporter toutes ces années, tout le monde s’éloignait et je ne comprenais pas mais tout ça était à cause d’elle. j’ai été la seule à l’idéaliser et à ne pas voir tous ses défauts qui prennent toute la place sur le positif car au final, y a t’il déjà eu du positif?
bref le 1er juillet 2023 on est sorti avec des copines à un bal mais, évidement, il fallait bien que ça arrive, ça a explosé. après cette soirée j’ai décidé que je ne devais plus avoir à faire avec elle. nous n’avons pas des idées semblables par rapport à des sujets pourtant primordiaux. je n’ai pas l’energie de me battre sans cesse pour être comme elle voudrait que je sois: m’écraser sans cesse et ne rien dire mais être toujours à l’écoute et pourtant ,moi, ne jamais être écouté.
je suis le type de personne qu’il lui faut: quelqu’un qui ne cherchera pas les problèmes quitte à s’écraser et ne pas exprimer son avis or elle, elle n’est pas du tout le type de personne qui me convient. je n’ai pas envie de quelqu’un qui est égoïste et ne fait que parler de soi sans arrêt, ne se remet jamais en question,…
alors j’ai décidé de passer à autre chose et de ne plus rien avoir avec elle. je me sens beaucoup plus légère et en paix avec moi même maintenant.
j’ai pris la décision de ne plus me laisser marcher dessus et de ne plus m’épuiser dans ce genre de relation où je donne tout ce que je peux mais ne reçoit même pas la moitié de ce que je donne.
j’ai trouvé une certaine sagesse en moi. maintenant, ce qui m’arrive devait arriver. je peux mourir demain alors pourquoi me stresser à propos de certaines choses qui au final ne comptent pas tant que ça? je veux profiter de la vie et de tous les instants qu’elle me réserve. je veux voyager et découvrir de nouvelles personnes, faire de nouvelles aventures et en apprendre toujours plus par rapport à la nature etc. si jamais je ne sais pas partir vivre ailleurs pendant un moment eh bien ce n’est pas grave je resterai dans ma campagne que j’aime où j’ai vécu tant de beaux moments. tout est écrit, si je réussi à faire tout ce que je veux c’est super et si non alors ce n’est pas grave je ferai autre chose. tant que je suis heureuse et que je ne regrette rien tout va bien.
mais surtout le plus important: prendre réellement soin de moi en commençant par me suffire à moi même et apprendre à m’aimer complètement: physiquement avec mes « défauts » que je n’aime pas forcément mais également mentalement avec mes qualités et mes défauts en essayant de devenir la personne que je veux être.
croyez en vous sinon qui le fera à votre place ?
L.
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mollymooon · 10 months ago
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on a parlé en français 5 minutes et le reste était en anglais parce que c’était plus naturel. apparemment il a fait une présentation à Domcon l’année dernière et j’ai vu sa présentation 😱 genre j’étais là avec mon copain???!!! quel hasard
c’est la preuve que nous sommes dans le matrix
on a parlé deux heures et c’est passé hyper bien. il est a fond dans la scène kink, genre niveau Master Yoda mdr j’aime parlé de kink, mais la manière dont il a parlé, j’ai pigé presque rien. mais c’était fascinant parce qu’il est très passionné et c’est un plaisir d’écouter quelqu’un parler des trucs comme ça. il cherche une relation d/s exclusive et intense et c’est pas pour moi. mais je le kiffe trop et une partie de moi veut tenter quelque chose. il est très drôle, intelligent, expérimenté et je suis curieuse de ouf de faire ça avec un vrai pro 😱
et le reste était comme une session de thérapie sur mon copain et ma relation polyamoureuse. il m’a posé beaucoup de questions qui m’ont aidé réfléchir sur ce que je cherche dans un partenaire et si je veux vraiment être avec mon copain ou non. c’était très cathartique et j’ai failli pleurer
et après j’ai envoyé un message de presque-rupture à mon copain. parce ce que c’est la bonne décision. si j’aurais pas parlé de tout ça, je dirai rien et je resterai avec lui encore plus longtemps comme une conne. nous sommes pas vraiment ensemble depuis octobre, mais il m’a pas dit que nous sommes plus ensemble
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christophe76460 · 1 year ago
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Soyez disposé à faire la volonté du Seigneur
Tout se passait bien en mission. Je vivais des expériences magnifiques qui resteront pour toujours dans mon cœur. Pourtant, au bout de huit mois, j’ai commencé à avoir des problèmes de santé. Après beaucoup de jeûnes et de prières, j’ai été renvoyé chez moi. J’étais effondré. Je pensais que tout était de ma faute. J’ai cessé de lire mes Écritures et de prier aussi souvent. Je me suis demandé si j’avais fait tout ce que je pouvais pour rester.
Puis je me suis rendu compte que j’étais éprouvé pour voir si je resterais loyal au Seigneur. C’était difficile mais j’ai placé ma confiance en lui et je suis retourné dans le champ de mission où j’ai de nouveau vécu des expériences extraordinaires.
Mes problèmes de santé sont revenus mais, cette fois-ci, j’étais plus disposé à faire la volonté de notre Père céleste. Je suis donc rentré à la maison une seconde fois. C’était difficile mais je sais que je peux tirer des leçons de tout ce que j’ai traversé.
Bien que je n’aie pas servi pendant vingt-quatre mois, je sais que j’ai rempli une mission honorable. Je sais que le temps que j’ai passé à servir le Seigneur en valait la peine, pour moi et pour les personnes que j’ai aidées. J’éprouve de la reconnaissance envers mon Sauveur pour son expiation infinie. Il connaît chacune de nos difficultés. Si nous nous appuyons sur lui en toute confiance, nous ne serons jamais seuls.
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maleikk · 1 year ago
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Ça fait 2mois que j’ai arrêter de prendre mes antidépresseurs parce que je me sentais mieux et j’étais en mode let’s go plus besoins de médocs (loool) hier j’ai eu une petite embrouille avec ma mère par apport à mes chiens et du coup j’t sur les nerfs mais je devais aller voir de la famille avec S qu’on voit pas souvent. J’ai dit à S que je l’emmener mais que je ne resterai pas car je me sentais pas de voir du monde etc, une fois la bas je suis garé devant la maison e j’entends ma tante dire « ha les voilà, coucouu ! » trop contente de nous voir et ça m’a fait trop mal au cœur j’ai eu les larmes au yeux, une fois S sortie de ma voiture avec sa fille je suis partie et juste le temps de ne plus voir la maison dans mes retros j’ai pleuré. Donc je me suis arrêté dans un endroit près de la forêt ou y’a personne et j’ai pleurer pendant 1h dans ma voiture et je me suis rendue compte qu’en faite ça vas pas mieux du tout. Qu’il vas falloir que je retourne à la pharmacie avec mon ordonnance et recommencer à avoir des nausées à cause de ces putains de médocs.
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lavendershadow · 1 year ago
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Mon estomac se retourne parce que mon esprit a été si cruel. Je sais ce que j'ai fait, mais je ne peux toujours pas m'empêcher de penser souvent à toi. que je me suis battu presque tous les jours pour qui j'étais. Je sais que nous emprunterons des chemins différents, dérivant toujours plus loin vers rien l’un pour l’autre. et c'est la vie. Pourtant, quelque part dans mon cœur… il y a encore un morceau de toi qui persiste. Je vous aimerai toujours. Tu avais été si loyal et gentil avec moi. J'aurais aimé pouvoir donner la même chose à l'époque. Je sais que rien n’est éternel, je le savais à l’époque. Je regarde vraiment beaucoup en arrière et je me déteste, simplement parce que je ne pouvais pas gérer ce fait à ce moment-là.
Que si nous étions simplement restés amis, peut-être que notre longue distance aurait fonctionné. J'étais trop simple d'esprit, comme un enfant, pour le voir. Même si je n'ai jamais dit de mauvaises choses à ton sujet. cela semblait toujours s'accumuler autour de moi, et plus je te défendais, plus j'étais critiqué pour ces mots en premier lieu. Je ne serais pas devenu égoïste de te garder pour moi. Si je ne t'avais pas supplié de rester à côté de moi, tu aurais probablement été mieux. Même quand j'étais horrible, terrible. Si nous étions restés amis, si je n'avais pas eu la chance d'avoir une relation… Je n'aurais pas pu t'aimer ni te parler au téléphone à toute heure de la nuit. Si nous étions restés amis, nous vous aurions probablement aidé à rejoindre les États-Unis ou nous aurions arrêté de parler. Souvent, je me demande : est-ce que nous parlerions même maintenant si nous n’étions que amis à l’époque ?
Tu aurais trouvé quelqu'un de mieux pendant tout ce temps, mais je t'ai retenu. Je sais que c'était ton choix. Mais je pense que ce fut une fin amère pour nous deux. pourquoi ne pouvais-je pas te laisser tranquille à ce moment-là ? tu aurais pu être tellement plus heureux sans moi. Tu étais mon premier amour. Je regrette de ne pas être parti faire le tri dans mes pensées et moi-même. pour m'être rendu si égoïste que je me suis tellement attaché à toi… que chaque action pour te garder est devenue une tentative pathétique. Parce que je te voulais dans ma vie. Je pleure parfois. Parce que j'étais tellement égoïste, inconsidéré, horrible. À propos de la façon dont je t'ai traité, parce que je sais combien de temps il t'a fallu pour guérir. Je sais que j'ai ruiné une si bonne âme avec mon venin, parce que maintenant tu le redoutes. L'amour n'est pas quelque chose que vous devriez craindre. Sans parler de cette estime de soi. Tu étais tellement incroyable, presque invincible. Quand j'étais plus jeune, je pensais que peu importe ce que je faisais, tu n'étais pas profondément dérangé. Je sais que c'est faux. J’ai mal au ventre et au fond de la gorge rien que de penser à qui j’étais. Juste un enfant inconsidéré.
As an adult, I hope I can always look back and never go back to who I was. I want only the best and good parts to be what I cherish. I will never be vile again. My apology or guilt can never repair this damage and I will live knowing that I was a monster. I can never ask you anything, for I will always be indebted to you for the way you have treated me, with true and pure love. I had never seen the big picture at the time. It's doubtful these days, we'll never talk. But I hope that one day, if our paths cross. I'll forget, you wouldn't run to hug a complete stranger. So I'm going to give a faint smile. I will live my life as if we were nothing to each other. Since that would probably be your last wish.
Si nous nous rencontrons dans une autre vie, je ne te poursuivrai pas avec insistance. Si je décide de le faire avec vous, j'attendrai notre première rencontre physique. Je resterai seul. Avec mon propre espoir. Pour ne pas traîner la boue que j'emporterai avec moi, tout en m'accrochant à toi. Si tu ne me rencontres pas dans la prochaine vie. Je me souviendrai de toi maintenant, je suivrai mon propre chemin, te tenant près de mon cœur.
May you always find happiness and beauty in life and in death.
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silhouettesofu · 2 years ago
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Bon, week-end un peu différent de ce que j’avais pensé. Pas de campagne du tout, juste quelques heures à Taisniere, où pendant que Nicolas et ses parents faisaient ce qu’ils devaient faire, moi je regardais le couronnement du roi Charles III. J’avoue y’avait mieux, mais bon, pas de réseau donc pas d’internet. Quoi que, quand on a mit le banc près de l’arbre au fond, quelque chose chance d’avoir du réseau. De ce fait, qu’on est pas resté là-bas, avec Nicolas on a été à la soirée d’anniversaire à une copine de son pote. En vrai ça a été, c’était cool, ils étaient sympa les autres. J’ai bu, assez mais raisonnable. C’est ce que je pense. Je me sens sentie un peu mal, puisqu’avant de partir, il m’avait dit qu’il resterait avec moi, ce qui est logique vu que je connais personne. Mais à un moment il m’a poussé un peu pour que je « socialise ». Ça m’a rendu un peu mal dans le sens où il sait que c’est compliqué et je vais pas du tout faire ça ici, à la soirée. Donc j’ai bu. Mais encore, ça va.
J’ai le nez bouché, et je tousse un peu. Ça m’aide pas du tout à dormir mais j’ai quand même réussi un peu. Ce matin on a été au salon du chiot. J’étais aux anges. Vraiment. J’ai failli pleurer plusieurs fois, rien que de voir c’est chiots, si mignons. J’ai vu des Golden. Mon rêve c’est d’en avoir. Mai je n’y crois plus. C’est impossible que plus tard j’ai un animal, je ne suis pas responsable. Je n’ai rien. Et je sais que c’est pas plus tard également que j’aurais quelque chose en plus. Je ne me sens pas faite pour la vie en générale.
Le week-end prochain je sais et c’est sûre que je ne viendrais pas chez Nicolas. Samedi il a pétanque comme tout les samedis, et dimanche il part aider pour un spectacle, je n’aime pas y aller. Parce que je me sentirais inutile ou alors comme un toutou qui suit son maître. Un pot de colle quoi. Je ne me sentirais pas bien là-bas. Donc c’est simple, je n’y vais pas. Ça fera un week-end sans le voir.
J’ai de plus en plus d’idées négatives. Pas de très belles pensées. Je suis perdue. Je n’ai plus envie. Je ne sais même pas si j’ai la force de continuer et réussir cette semaine et toutes les autres qui arrivent.
J’ai envie de partir de là où je suis. Je sais que ce n’est pas simple. Que j’ai rien pour m’en sortir. Mais je tombe, je croule. Je suis dans un trou noir, et il fait que m’avaler encore plus profond.
Je dois faire semblant, me forcer à rire, sourire, dire que ça va globalement dans ma vie. Alors que derrière je pleure, je m’effondre. Je lâche tout ce que j’entreprends. Que je suis à la limite. C’est si dur de dire ça à quelqu’un que j’aime. Je ne me vois pas le regarder, le blesser encore plus, parce que vraiment personne n’aime entendre ce genre de choses. C’est jamais plaisant. Mais j’en suis incapable. Je me laisse souffrir toute seule.
Y’a des jours où réellement j’arrive à avancer un peu, où ça va. Que ce n’est pas trop noir dans ma tête. Mais la réalité revient vite, je ne peux pas. Je peux rien faire toute seule, je me sens comme une enfant. Alors que c’est tout le contraire que je veux, être forte et montrer aux autres que j’en suis capable. Capable de réaliser des choses bien, que je sais réussir. Les problèmes me suivront toujours, et je resterais toujours à la même place. Toujours figée et plantée.
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mainet-france · 2 years ago
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Témoignage de Marie D. sur Mainet
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Présentation de Marie
Je m’appelle Marie-Laure, mais on m'appelle plus souvent Marie ! J’ai 33 ans et je suis attachée de direction depuis 2012. J’ai fait une licence en comptabilité, mais j’ai eu une autre opportunité professionnelle qui a fait que je me suis tournée vers le commerce. J’ai donc pris ce poste d’attaché de direction.
Expérience en crypto monnaie
Avant Mainet, je n'avais pas vraiment d'expérience en investissement, que ce soit en bourse ou en crypto monnaie. J’ai juste acheté quelques CRYPTO monnaie l’an dernier mais rien de plus. Grâce à mon conjoint je suis arrivée dans l’aventure MAINET et ne regrette absolument pas. A vrai dire c’est plutôt lui qui s’est lancé et moi j’essaie de suivre et de l’aider s’il en a besoin ! Du coup, je m’intéresse au fonctionnement et j’écoute avec lui les ZOOM. Il y a régulièrement des visio conférences sur Zoom, qui permettent de mieux comprendre le fonctionnement de Mainet, et d'avoir aussi les conseils des leaders.
Mes débuts sur Mainet
J’ai tout de suite adhéré au système MAINET, dès que mon conjoint m'a présenté le concept. J'avais un an auparavant déjà eu des informations sur un investissement similaire, toujours via mon conjoint, et quand il m'a présenté Mainet, je n'ai pas hésité. Tout était réuni pour que ça fonctionne ! En revanche, j’étais beaucoup plus sceptique sur la première expérience de mon conjoint. Le fameux « mais c’est trop beau pour être vrai ce truc », je l’ai tourné en long en large et en travers dans ma tête. Je trouvais ça fou. J’étais beaucoup plus dans une optique, qu’il allait se faire plumer et plus jamais revoir son investissement ! On a eu l’opportunité de rencontrer des Leaders et des personnes qui étaient déjà dans ce business. Nous avons pu poser des questions et grâce à ces échanges, j’ai compris que si tu n’oses pas au final et que tu ne provoquais pas un minimum ta chance, tu resterais dans ta zone de confort et rien ne pourra t’arriver, autant des choses positives que négatives ! Concernant Mainet, je n'ai aucun regret, je trouve même ça chouette d’être au début de cette aventure et de pouvoir poser sa pierre à l’édifice en quelque sorte ! Si je devais donner un conseil à quelqu'un qui hésite à se lancer dans Mainet, je lui dirais juste : "Lance-toi, observe et kiff !"
Mon avenir grâce à Mainet
Dans quelques mois, je me vois bien financièrement à l’aise et sans me prendre la tête parce que je n’ai plus que 150€ le 15 du mois pour pouvoir soit manger, soit me faire plaisir, soit payer la dernière facture qu’on vient de m’envoyer !! Et dans quelques années, en Méditerranée sur notre Yacht à juste kiffer notre vie avec mon chéri et mon fils ;) ! Dans la vie, il faut savoir saisir sa chance ! Je pense sincèrement que ces marchés sont notre avenir financier et si tu as l’opportunité d’être au début de quelque chose de grand, alors un conseil : SAISIS TA CHANCE ! Malheureusement le bonheur ne vient pas toquer à la porte de ta maison et t’apporter ce qui te manque dans la vie. Donne-toi les moyens et sors de ta zone de confort.  >> Si vous aussi, vous souhaitez tester Mainet et découvrir le potentiel de cet investissement, rendez-vous ici : Découvrir Mainet Rejoignez Mainet maintenant ! Si avant de vous lancer, vous souhaitez lire d’autres témoignages, vous pouvez consulter notre rubrique dédiée ici : Témoignages sur Mainet Read the full article
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n-a-colia · 2 years ago
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L'Histoire d'un Perdant
Nouvelle du : 12/10/22
Défi : Ecrire une nouvelle à partir d'une image aléatoire.
         La vie est parfois amusante.
         Je ne me souviens pas de la dernière fois où j’étais malheureux. Quand était-ce déjà ? Il y a un an ? Deux, peut-être ? Pourtant, aujourd’hui est un jour dont je me souviendrai…
         En tant que pilote de ligne, nous avons la responsabilité de nombreuses vies. Certaines d’entre elles valent la peine que l’on atterrisse, d’autres moins. Parmi ces vies, il y a celles de ceux sans histoire : une famille banale ; quelques amis ; quelques souvenirs agréables et d’autres moins ; rien à léguer et c’est bien dommage. Il y a aussi des vies plus étonnantes : un meurtrier ; une star ; un astronaute ; des pilotes… Qui sait ce qu’il peut y avoir dans un avion ?
         Ceux d’en bas ne voient qu’une ligne blanche dans le ciel, et ceux d’en haut ont la chance de ne voir qu’un monde miniature. Mais pas aujourd’hui. Aujourd’hui, le ciel est gris. Ceux d’en bas, comme ceux d’en haut, ne voient que la poussière. Et moi, je me plonge dans des souvenirs agréables…
         Une balade avec elle, le regard tourné vers le ciel ; Un verre en terrasse d’été et elle qui sourit au soleil ; Un voyage en bateau, sur les eaux azure et calmes ; L’espoir d’un nouveau-né dans le ventre de l’être aimé ; L’amour partagé dans des draps mouillés ; Son visage vide… Ses yeux perdus… ; Son amant mort qui l’eut pénétrée dans ma maison.
         Je ne comprends pas pourquoi les Hommes sont si cruels avec ceux sans histoires. L’on dit que c’est le vainqueur qui l’écrit, or il ne tient qu’au perdant de se rebeller dans un dernier acte déraisonné pour graver l’Histoire d’une page passionnante.
         Dans mon cockpit, des personnes distantes hurlent d’une voix grésillante. Je les entends mais ne les écoute pas. J’ai le regard plongé sur la verrière blanche de mon avion. Je ne peux l’en détourner sans souffrir…
« ATR 57-500, vous me recevez ? Votre altitude est trop basse. Redressez ! »
         J’ai la sensation d’avoir manqué quelque chose. Mais quoi ? Peut-être connaitrai-je enfin le sentiment d’être important. À mes côtés, mon copilote repose paisiblement. Il n’allait rien vivre de toutes façons. Je l’envie… Je prends le micro pour m’adresser une dernière fois aux vies que je transporte :
« Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, j’espère que le vol vous aura été agréable. Je m’excuse par avance pour la future gêne occasionnée. En espérant de tout cœur vous revoir très vite… ATR 57-500, terminé. »
         Devant moi, j’aperçois enfin ce que je voulais : Une image qui m’en donne une autre. Dans les nuages blancs, l’épaisse brume se dégage pour faire apparaitre trois pilonnes d’aciers. Des lignes électriques qui lient les vies des uns aux vies des autres par le courant qu’elles transportent. Notre vitesse est grande et mon choix est fait. Si je suis le perdant, je resterai dans l’Histoire par un coup d’éclat.
         La seconde image que je vois, c’est la sienne. Elle, qui m’a tout donné, puis tout retiré. C’est drôle comme la vie peut parfois être amusante…
« Ma chérie… Je suis enfin quelqu’un… Et j’arrive. »
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pourlemeilleur · 3 years ago
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avoir eu cette sensation là cette nuit alors que je pensais ne jamais l’avoir avec elle, me montre finalement que je serai juste seule, que je le suis déjà. Je me fichais de tout le reste, parce que je savais qu’à ses yeux je resterai toujours cette personne spéciale, une amitié très profonde… et désormais, j’ai l’impression que c’est plus le cas. C’est très bizarre de se dire qu’on a passé une petite partie de sa vie à clamer haut et fort que la seule personne qui restera à la fin, que la seule personne pour qui je me sentais réellement importante, me considère aujourd’hui comme juste une amie. Comme les autres. Je suis devenue une amie à qui elle ne dit plus les choses, alors qu’avant j’étais la seule à tout savoir.
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paroles-en-lair · 3 years ago
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Tu ne comprendras que ce jour où je partirais
Point de limite. C’est ce que j’ai atteint, ma limite. Heureusement je ne suis pas encore au point de non-retour, mais la question est : réussiras-tu à réaliser avant que ce point ne soit atteint? Honnêtement, j’en doute. J’avais aucune envie de me remettre en couple, encore moins avec toi. Après avoir souffert pendant tant d’années, je voulais juste de la paix. Je voulais être égoïste, je voulais ne penser qu’à mon bonheur et ne me soucier de personne d’autre que ma petite personne. Je suis une femme forte, plus que ça même, je suis une guerrière. J’encaisse en silence. Après plus de deux ans j’ai fini par tomber dans tes bras. Pourquoi ? Je ne sais pas trop. J’ai une fois de plus agis bêtement, je suis tombé amoureuse de tes belles paroles, de tes promesses, de ta douceur qui cachait bien d’autres choses. Je m’étais juré que ça n’arriverait plus, que je ne me ferais plus avoir mais c’est arrivé et je m’en veux. Je m’en veux d’avoir cru en l’amour, d’avoir cru en toi, d’avoir cru en nous. Mais est-ce que je peux vraiment m’en vouloir de garder espoir? D’avoir toujours un si bon coeur? J’en sais rien. Ça ne fait que quatre mois qu’on est ensemble et t’as déjà réussi à faire grimper une si grande haine en moi. Que ça soit tes moment de violence, le nombre incalculable de fois où tu ne m’as pas respecté, ou encore toutes les fois où tu m’as parlé comme si j’étais la dernière des merdes. T’es en train de faire la même chose que lui à fait dans le passé. C’est-à-dire tout simplement me prendre pour acquise, prendre mon amour pour acquis, prendre ma présence pour acquise. Tu penses que quoi que tu fasses, peu importe comment tu me traites je resterai là. Mais c’est tellement faux, comment te faire comprendre? Tu ne comprendras que ce jour où je partirais. Mais comment t’en vouloir?Je te laisse me traiter comme tu veux, je te laisse me manquer de respect, je te donne l’impression de tout accepter, je te laisse croire que je serai toujours là et que tu penses que je t’aime au point de tout accepter. Une fois de plus c’est de ma faute. Mais je sais comment ça va finir, je nous vois foncer dans le mur, je vois très bien où va cette relation. Cette relation ne va tout simplement nul part et ça peut se voir à des kilomètres. T’es en train de taper dans mes limites, dans les limites de mon amour. Parce que peu importe à quel point je t’aime, tout le monde à ses limites, n’importe quel amour à ses limites. Tu ne comprends encore rien, tu ne réalises pas à quel point tu me brises le coeur un peu plus chaque jour, tu ne réalises pas que tu m’éloignes petit à petit de toi, tu tues mon amour et ma flamme à petit feu. Mais je ne dirais rien, je me tairais. Je me tairais parce que tu ne sais pas écouter que ça soit avec tes oreilles ou avec ton coeur. Donc je préfère me préserver et préserver mon énergie. J’attends juste d’avoir la gueule face au mur, parce que c’est ce qu’il va arriver.
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estelle-perge-prost-blog · 3 years ago
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Les premiers préparatifs
L’opération est pour demain, je commence le protocole d’hygiène post-opératoire. Je change les draps du lit pour dormir ce soir après la première douche, dans un lit propre. Je viens de commencer aussi mon sac pour la clinique, sous-vêtement de rechange avec ma nouvelle brassière que je ne mettrais qu’après l’opération, une chemise de nuit en prévision (on n’est jamais trop prudent, je n’ai pas envie de faire courir Coin Coin), une petite trousse de toilette.
J’ai déjà vérifié depuis hier trois fois mon dossier avec les papiers demandés pour l’hospitalisation ambulatoire. J’ai reçu hier soir tard mon PCR (négatif bien évidement). Tous est OK,  mais me connaissant je vais encore revérifier au moins 4 fois d’ici demain matin.
Je suis sereine, calme, presque reposée, encore un peu de toux, mais c’est vraiment sur le déclins, demain je serai au top.
Tous les marqueurs sont au vert puisque le Pet-Scan ne révèle pas d’autres anomalies. Cette petite tumeur cancéreuse ne va plus me contrarier très longtemps. Comme le disait ma “Poupée”, le cancer c’est attaqué à la mauvaise personne, il n’a aucune chance face à moi. Je ne considère pas cette maladie comme une ennemie, ni comme une fatalité, ni comme un châtiment de Dieu, ni comme rien de négatif. Ce sont juste des cellules dans mon corps qui (on ne sait pas trop pourquoi) se sont emballées pour former cette petite tumeur. Je considère ces cellules comme des agents indésirables qui ce sont invités à squatter mon sein et que je pris avec déférence mais fermeté de dégager vite fait par la voie de la chirurgie et des traitements appropriés. Je pense qu’il est important de s’approprier sa maladie et non de la rejeter, elle fait partie de moi, c’est moi qui est créée ses cellules, mais inconsciemment, donc il est claire que je ne veux pas de dichotomie entre mon corps et mon esprit, il faut remettre tous ça en harmonie. La première semaine a été difficile, j’ai pleuré, j’étais très perturbée et perturbée parce que j’étais perturbée. Je ne supporte pas ce que je ne maîtrise pas. Avec détermination et volonté, j’ai vite repris le dessus pour prendre toutes les mesures nécessaires à ce contre temps fâcheux. Je ne minimise pas cette maladie, ni ce que je subit avec l’opération et que je vais subir avec la chimio et la radio dans quelques semaines, ma vie va tourner autour de mon cancer pendant quelques mois, mais je ne veux pas qu’il n’y ait que ça. Toute proportion gardé, ce n’est pas une tumeur inopérable, je ne suis pas en phase terminal, j’ai la chance que ce soit pris au début, j’ai une totale confiance dans mon Staff médical et je remercie Bin Bin Doc pour toutes les réponses qu’il me donne.
Il y a quelques années, quand j’étais ambulancière, et que je transportais mes patients, j’ai souvent songé à ce que je ferais si moi aussi j’étais confronté personnellement à un cancer, ou toute autre maladies graves. Je m’étais toujours dis que j’assumerais, que je regarderais la maladie dans les yeux et que je resterais combattante et lucide. Mais entre ce que l’on pense, ce que l’on dit et ce qu’il arrive, parfois les choses sont différentes. Et bien pas pour moi. J’ai exactement l’attitude que je pensais et que je voulais avoir face à un tel cas. Finalement je suis fière de moi, je ne suis pas lâche, je ne suis pas fuyante, je ne rejette pas la faute de cette maladie sur quoi que ce soit, j’assume, et vois les choses avec sérénité. Ce qui est le plus important pour moi, hormis le fait de guérir ou du moins d’être en rémission le plus longtemps possible, c’est l’organisation, l’anticipation, la logistique et la stratégie... Oula, mais c’est bien la militaire qui parle en moi... Leclerc de Hauteclocque, sort de ce corps !!!!
Je sais où je vais, je sais ce que je veux, et j’ai la chance de sentir tant d’amour et de bienveillance autour de moi que je me sens bien.
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ikaroux · 3 years ago
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Xiao x Lecteur (F) Vivre libre, à tes côtés. (Part 3)
Note de l’auteur: Je ferais une relecture à tête reposée . J’ai eu beaucoup de mal avec ce chapitre étant donné l’état de fatigue dans lequel je suis :,)
À la base j’étais partie pour faire un chapitre 18+ mais j’avais peur que ça fasse trop long ! Du coup je pense en faire un plus tard. Le prochain chapitre sera un Zhongli x lecteur ❤️
Peut contenir des spoilers sur l’histoire de Liyue‼️
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Un mois s'était écoulé depuis que Xiao et vous aviez échangé votre premier baiser. Depuis, les contacts physiques entre vous se faisaient rares mais restaient présents, Xiao frôlant par moments votre peau du bout de ses doigts ou caressant quelques mèches de vos cheveux (couleur). Vous saviez qu'il était difficile pour lui d'établir ce contact, lui qui n'avait jamais rien connu de tel, la peur de vous blesser, de vous corrompre restait profondément ancré en lui.
Vous aviez néanmoins fait preuve de douceur et de patience avec cet homme que vous aimiez tant, ce qui l'aidait à prendre peu à peu confiance en lui.
Ce fut lors d'une nuit fraîche que votre relation prit un nouveau tournant...
Vous vous étiez mis au lit tôt, un voyage jusqu'à Mondstadt vous attendant le lendemain. Allongée sur le matelas moelleux, vos pensées étaient tournées vers l'adepte assit sur le bord de votre balcon, regardant l'horizon d'un air absent. L’intensité de votre regard le fit se retourner, verrouillant ses yeux avec les vôtres, vous pouviez y lire toute la douceur et l’amour qu’il éprouvait pour vous... Un long frisson parcourut votre corps, vous faisant trembler sous les draps du lit, vous vouliez qu'il soit à vos côtés, ses bras vous encerclant dans sa chaleur.
« Xiao, rejoint moi. »
Xiao ouvrit de grands yeux, ses oreilles brillaient d’un incroyable éclat cramoisi. Il détourna rapidement son visage de vous, gêné et hésitant.
Vous n’aviez jamais dormi ensemble, l’adepte n’ayant pas besoin du même repos qu’un mortel. Malgré tout, vous souhaitiez partager cette expérience avec lui, sentir son corps chaud alors que vous vous blottissez contre lui, poser votre tête dans le creux de son cou et vous endormir avec son odeur...
Vous pensiez que Xiao refuserait catégoriquement de vous rejoindre mais il vous surprit en se levant de sa place, ses mains tremblaient légèrement le long de son corps et ses yeux ne croisaient jamais les vôtres. Il s’assit près de vous, au bord du lit alors que vous l’accueillez avec votre plus beau sourire.
« Je ne pensais pas que tu viendrais vraiment. »
En dépit du fait que la pièce était plongée dans le noir, vous pouviez voir l’intense rougeur sur le visage de votre amant.
« Si tu partais du principe que j’allais refuser, pourquoi me l’as tu proposé?! Hmph! Je ne vous comprends pas, vous les mortels. »
Vous aviez ri à son ton faussement agacé, votre main venant apaiser la sienne posée près de vous, enlaçant tendrement vos doigts aux siens.
« Est ce que tu veux bien t’allonger près de moi? »
Il daigna enfin poser ses yeux sur vous, son regard félin analysant chaque partie de vous exposé. Il voulait autant que vous partager ce moment de tendresse dans vos bras sans jamais oser faire le premier pas. Votre main lâcha la sienne pour venir se poser sur sa joue, caressant affectueusement sa peau, forçant ses yeux à se fermer alors qu‘il se délectait de votre contact. Il finit par pousser prudemment vos draps, découvrant votre corps vêtu d’un simple shorty et d’un débardeur. La vue augmenta inconsciemment son rythme cardiaque.
Vous vous étiez décalée vers le côté inoccupé du lit, lui laissant la place proche du balcon au cas où une urgence le pousserait à partir. Il s’engouffra lentement, sans un bruit dans les draps chauds, guettant les moindres faits et gestes d'inconfort de votre part. Sans le brusquer, vous vous êtes blotti contre lui, son corps raide se détendit peu à peu avant que ses bras viennent s’enrouler autour de vous, vous rapprochant davantage de lui. C'était la première fois que vous étiez aussi proche et intime l'un envers l'autre. Heureuse, vous l’avez taquiné en enroulant l’une de vos jambes contre les siennes, frottant votre pied gelé contre le tissu de son pantalon, ce qui le fit sursauter.
« Tu es gelé ! Pourquoi? Est ce normal ? Tu n’es pas malade au moins ?! »
La pièce s’anima au son de votre éclat de rire.
« Tout va bien Xiao, je ne suis pas malade. J’ai souvent les pieds froids quand je suis au lit. »
« Pourquoi tu... tu ne mets pas quelque chose de plus chaud? »
« Je n’arrive pas à dormir sinon. »
Vous avez enfoui votre visage dans le creux de son coup, frottant votre nez contre sa peau frissonnante. Sa main droite vint se positionner à l'arrière de votre tête, vous rapprochant un peu plus de lui. Comme s’était agréable, pensiez vous.
« Ton nez aussi est froid. »
Sans relever la tête vous lui répondiez: « Ça te gêne? ».
Sa main vous relâcha pour pouvoir relever votre visage vers le sien. Ses lèvres se posèrent avec hésitation sur le bout de votre nez, l’embrassant avec tendresse.
« Oui. Je n’aime pas savoir que tu as froid. »
« Continu de me réchauffer alors. »
Vous ne faisiez aucun sous-entendu particulier, encourageant simplement votre amant à continuer les douces caresses de ses lèvres sur votre nez, de ses doigts sur vos épaules, de ses jambes contre les vôtres. L'atmosphère entre vous était si douce, sans vous en rendre compte vous vous étiez mise à fredonner un air que vous aviez entendu au port de Liyue, faisant naitre un fragile sourire sur les lèvres de Xiao.
Et avant même que vous vous en rendiez compte, vous aviez sombré dans un profond sommeil.
Vos rêves furent agités, la vision de Xiao allongé dans l'herbe et couvert de sang vous torturaient. Vous aviez beau utiliser votre vision dendro pour le soigner, rien n’y faisait, plus aucune vie n'émanait de lui. La solitude, la tristesse et le désespoir emplirent vos yeux de larmes, vous vouliez hurler au vent, frapper le sol avec vos poings, mais aucun son aucun mouvement ne put sortir de vous, seules vos larmes coulant désormais sur vos joues étaient témoins de votre désarroi. Le paysage autour de vous s'assombrissait lentement, vous laissant pour seule vision le corps inerte de votre amant.
C'était un cauchemar, ça ne pouvait être qu'un cauchemar ! Vos mains vinrent se placer sur chaque côté de votre tête, agrippent désespérément une poignée de vos cheveux.
« Xiao... Xiao... ne me laisse pas seule... Xiao ! »
Vous vous étiez réveillée en sursaut, le corps en sueur et le cœur battant à un rythme affolant. Les larmes coulaient le long de vos joues tandis qu'une main douce venait vous les essuyer. Vous fixiez la forme floue de votre amant avec surprise alors qu'il était assis à vos côtés, vous berçant doucement. Votre vue s’adapta peu à peu à la pénombre de la pièce jusqu’à finir par apercevoir les contours du visage de Xiao.
« Un cauchemar ? »
Sa voix douce vous ramenait peu à peu à la réalité, il était vivant, bien vivant. Votre voix éclata en sanglots alors que votre corps s'enfouissait dans ses bras. Xiao était pris au dépourvu, la détresse dans votre voix le cloua dans la stupeur.
« J'ai cru que je t'avais perdu... Tu étais allongé par terre, couvert de sang... tu ne respirais plus ! »
Ses bras vous entourèrent affectueusement, ses mains dans votre dos traçant des cercles lents dans une tentative d'apaisement.
Vous sentiez ses lèvres se poser sur votre front avec tellement de douceur que vos yeux se fermèrent à la sensation, savourant le bien-être qu'il vous procurait. Vous aviez l'impression que toutes vos tristesses et vos peurs s'effaçaient, la brume du sommeil vous enveloppant de nouveau.
De quoi aviez vous rêvé déjà?
« Je ne te quitterai jamais... »
Vous n'aviez pas entendu ses mots, votre esprit épuisé partant de nouveau dans le monde des rêves. Xiao vous allongea avec précaution sur le lit, couvrant votre corps endormi avec les couvertures. Il caressa votre visage, vos cheveux, plaçant par réflexe quelques mèches derrière votre oreille.
« Je ne te laisserai jamais souffrir. Je resterais... jusqu'à la fin. »
Xiao était un adepte, il avait vécu des milliers d’années avant vous et vivrait encore longtemps après vous.
Des larmes coulèrent soudainement de ses yeux, prenant conscience du peu d'années qu'il vous restait à vivre auprès de lui. Sa mâchoire se serra, il ne voulait pas penser à ça, pas maintenant ! Il voulait profiter des années à venir à vos côtés, il voulait vous toucher, vous embrasser, apprendre à vivre dans votre monde, il voulait vous faire sien de toutes les manières possibles. Il dévorerait vos cauchemars pour ne plus jamais voir la souffrance sur votre visage.
Il voulait par dessus tout votre bonheur avant le sien.
Avec cette nouvelle résolution en tête, Xiao s'allongea auprès de vous, enlaçant votre forme endormie dans ses bras. Il enfouit son visage dans vos cheveux, savourant désespérément votre odeur.
Vous vous êtes réveillée avec les premiers rayons de soleil, clignant à plusieurs reprises vos paupières pour vous adapter à la lueur du jour. Vous aviez pour habitude de trainer au lit avant de vous lever, étirant vos membres et vous délectant de la douceur de vos draps.
C'est seulement lorsque vous vous êtes positionnée sur le dos que vous remarquiez la présence de Xiao à vos côtés, son bras enroulé mollement autour de vous. Ses yeux s'ouvrir lentement lorsqu'il sentit vos mouvements, vous attirant silencieusement contre lui. La surprise de sa présence vous fit violemment rougir alors que vos regards restaient connectés l'un à l'autre, sans un bruit.
« Qu-Qu’est ce que tu fais là?! »
Xiao vous dévisagea, confus.
« Tu m’as demandé de rester avec toi hier soir. »
« Oui ça je sais mais je ne pensais pas que tu resterais toute la nuit... et tes devoirs de Yaksha? »
Xiao se redressa en soupirant, ses doigts agrippant l’arête de son nez.
« Je n’ai pas senti de danger cette nuit. Tu aurais préféré que je parte? »
Le ton qu’il avait employé était plus brutal qu’il ne l’aurait voulu. Par moments, Xiao avait vraiment du mal à vous comprendre.
« Non ! ... je suis vraiment heureuse que tu sois resté avec moi... Mais... Je ne veux pas devenir un poids pour toi Xiao. »
Ses yeux s’adoucir à votre réponse. En silence il s’approcha de vous, vous forçant à vous rallonger sur le lit pendant qu’il vous surpassait.
« Xiao... je-je dois partir voir mon amie à Monds-... »
Il vous empêcha de continuer votre phrase, ses lèvres venant s’écraser contre les vôtres, entament un baiser rude et passionné.
« N’y vas pas... reste avec moi (V/n). »
Sa voix était tremblante. L’idée que vous partiez loin de lui le bouleversait, vous pouviez de nouveau être attaqué par des monstres ou bien vous faire agresser par quelques brigands des montagnes et si, pour une raison quelconque, il vous était impossible de l’appeler...
« Ne pars pas... »
Sa tête s’appuya dans le creux de votre cou, ses mains posées sur vous tremblaient légèrement.
« (V/n), ne pars pas... »
Sa peur et son chagrin vous frappaient comme un torrent. Vos bras s’enroulèrent autour de son dos, apaisant son corps et son esprit avec de douces caresses.
Xiao n’avait jamais vraiment pu se pardonner de ce qu’il s’était passé il y a quelques semaines, lorsqu’une horde de monstre chassé de leur camps par le Yaksha en colère s’en étaient pris à vous.
« Tu... pourrais venir avec moi Xiao. »
Il redressa la tête violemment, ses yeux dans les vôtres et la bouche légèrement entrouverte de surprise.
« Quitter Liyue... impossible... je... suis un adepte, Rex Lapis… Morax m’a demandé de garder Liyue en sécurité... »
« Morax n’est plus un archonte désormais. Tu ne sers plus personne. Viens avec moi. »
Il semblait hésiter. Xiao savait que vous n’aviez pas tort, Morax ayant abandonné son statut de Géo archonte, les anciennes promesses qui le liaient à lui s’évaporaient elles aussi.
Xiao était un homme loyal et Liyue était son foyer, mais désormais vous étiez à ses côtés... Pouvait il espérer connaître la liberté? Même s’il désirait ardemment continuer de protéger Liyue, endosser sa dette karmique, peut être que pour quelques instants il pourrait...
Xiao ne vous répondit pas avec des mots. Son corps, ses expressions parlaient pour lui.
Ses yeux autrefois apeurés étaient désormais aussi doux et chaleureux qu’une brise d’été. Ses mains caressaient vos cheveux et votre visage avec tendresse. Il approcha silencieusement ses lèvres des vôtres pour vous embrasser, l’une de ses mains explorant votre corps avec avidité. La sensation de votre peau contre ses mains l’obsédait.
« Ta peau est froide… »
Vos joues étaient terriblement chaude face au toucher de votre amant. Votre main dominante vint se placer dans le cuir chevelu de Xiao, faisant passer quelques mèches de cheveux entre vos doigts.
« Alors réchauffe moi… » -Votre voix était rauque et invitante, remuant les tripes de Xiao.-
Il s’abaissa, posant de nouveau ses lèvres contre les vôtres, ses mains continuant timidement d’explorer votre corps. Vous seriez sans aucun doute en retard à votre rendez vous avec Lisa, mais peu vous en importaient, la sensation de Xiao contre vous surpassant tout le reste.
Il allait très vite devenir accro à cette façon de vous réchauffer.
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christophe76460 · 2 years ago
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Soyez disposé à faire la volonté du Seigneur Tout se passait bien en mission. Je vivais des expériences magnifiques qui resteront pour toujours dans mon cœur. Pourtant, au bout de huit mois, j’ai commencé à avoir des problèmes de santé. Après beaucoup de jeûnes et de prières, j’ai été renvoyé chez moi. J’étais effondré. Je pensais que tout était de ma faute. J’ai cessé de lire mes Écritures et de prier aussi souvent. Je me suis demandé si j’avais fait tout ce que je pouvais pour rester. Puis je me suis rendu compte que j’étais éprouvé pour voir si je resterais loyal au Seigneur. C’était difficile mais j’ai placé ma confiance en lui et je suis retourné dans le champ de mission où j’ai de nouveau vécu des expériences extraordinaires. Mes problèmes de santé sont revenus mais, cette fois-ci, j’étais plus disposé à faire la volonté de notre Père céleste. Je suis donc rentré à la maison une seconde fois. C’était difficile mais je sais que je peux tirer des leçons de tout ce que j’ai traversé. Bien que je n’aie pas servi pendant vingt-quatre mois, je sais que j’ai rempli une mission honorable. Je sais que le temps que j’ai passé à servir le Seigneur en valait la peine, pour moi et pour les personnes que j’ai aidées. J’éprouve de la reconnaissance envers mon Sauveur pour son expiation infinie. Il connaît chacune de nos difficultés. Si nous nous appuyons sur lui en toute confiance, nous ne serons jamais seuls. https://www.instagram.com/p/CnCYJRbIJek/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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