#je suis plus prof dans deux mois anyway so
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girafeduvexin · 10 months ago
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Sondage dangereux (mais j'y pense trop et ça me fait rire) (à ne pas prendre au sérieux) (il y a beaucoup d'ados sur tumblr donc statistiquement ???)
(Si oui, va réviser le brevet/bac !)
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vraiesmeufs · 7 years ago
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Alexander
Un article de Léa
Le 12 mai 2001 naît Léonie. 16 ans plus tard, elle se transforme en Alexander. Elle se transforme en Il, il fait partie de ces nombreux jeunes nés dans le mauvais corps.
Dans le jardin botanique de Tourcoing, il nous explique son changement, son rapport sur lui-même mais aussi celui de sa famille, de ses amis et de la société. Il s’identifie comme transgenre, après des phases de genres binaires (gender fluid). Aujourd’hui il est dans la phase où il va bientôt l’annoncer à ses parents pour commencer les traitements. Il m’explique le principe des traitements qui entre autres nécessitent un suivi psychiatrique très lourd de plusieurs mois. Mais surtout pour les mineurs, il faut une autorisation parentale pour mettre en oeuvre cet abolissement. Au cours de notre discussion, Alex et ses deux amis venus pour l’occasion, m’expliquent l’opinion de leurs parents sur la communauté LGBT. L’un (ancienne lesbienne à présent transgenre), Josh, a déjà fait son coming out lesbien plusieurs années auparavant mais pas encore son coming out pour entreprendre un début de traitement de trans-identité. L’autre (bisexuel) Hughes a fait son coming out à son entourage, sa famille et ses amis sont tolérants. 
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Alexander, plus jeune
Alexander, lui, espère commencer le traitement rapidement et par la suite effectuer une mastectomie. Le changement de sexe n’est pas sûr quant à lui, représentant un pas plus important dans cette évolution. Il m’explique que parfois certains profs ont fait des remarques au cours de l’année. Des élèves ont eux aussi tenté d’en savoir davantage, il m’explique que cela ne les regarde pas et que, mis à part les réseaux sociaux, il évite d’en parler car cela ne regarde que lui. Il a malheureusement eu un trouble de dysphorie plusieurs mois, le regard des gens sur lui était compliqué avec l’idée “Je ressemble trop à une fille ils vont penser que je suis une fille’’. Le tout mélangé à d’autres soucis créait un sentiment plutôt affreux. 
Le changement et la différence se font sentir surtout lors de son année de troisième et seconde, il oscille entre des périodes androgyne et genderfluid pour finalement arriver sur le constat de la transidentité. Pourtant lorsqu’il me parle de son enfance, des signes avant-coureurs semblaient déjà l’avoir marqué comme porter des vêtements qualifiés masculins «Par exemple je me souviens que j'avais récupéré un sweat Diesel d'un de mes cousins et que j'étais vachement content quand je le mettais» . Il décide par la suite de m’expliquer l’origine de son prénom : Alexander. «  Cela vient du chanteur de All Time Low (groupe de pop rock américain) Alex Gaskarth. Et c’est un prénom que j’ai toujours adoré, puis c’est un mec que j’aime beaucoup. »
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Alexander, aujourd’hui
Depuis qu’on s’est rencontré, Alex a fait son coming-out à ses parents il y a 2 semaines par lettre. Ils se sont revus il y a quelques jours lorsque Alex revenait de vacances, «C’est pas encore bien clair, ils sont pas habitués, ils veulent qu’on en reparle, enfin bref j’attend la suite de la saga quoi.»  Mais quand nous parlons de la situation actuelle, il semble sûr d’une chose, c’est qu’il est sur la bonne voie. Il me dit que tout va beaucoup mieux, qu’il a plus confiance en lui et que l’idée d’être un garçon est beaucoup plus ancrée dans son cerveau.
ENGLISH (translated by Mathis)
On May 12nd 2001 was born Léonie. 16 years later, she becomes Alexander. She becomes a He, belonging to these many teenagers born in the wrong body.
In the botanic garden of Tourcoing, he explains his change, how he feels about himself but also how his family, friends and society feel about him and people like him. He identifies himself as transgender, after a few phases of gender fluid. These days, he’s about to announce it to his parents so he can start treatments. He explains to me how these treatments work and that an heavy psychiatric treatment is needed as well for several months. For minors, a parental authorization is needed to do so. While we’re discussing, Alex and his two friends who came for the occasion, explain to me their parents’ opinion on the LGBT community. One of them (former lesbian, now transgender), Josh, already did his lesbian coming out a few years ago but has yet to do the one to start trans-identity treatments. The other one (bisexual), Hughes, already did his coming out to his entourage. His family and his friends are tolerant.
Alexander hopes he can start the treatment quickly and then do a mastectomy. Changing his sex isn’t for sure at this time, representing a more important step in this evolution. He explains that sometimes some teachers already had some remarks during the year. Other students also tried to know more about it, but he says that it is none of their business and that, apart from social networks, he avoids talking about it because it is his own business. Alex unfortunately had a dysphoric disorder during a few moths, and the way people saw him was complicated, linked to the idea that “I look too much like a girl, they will think that I am a girl”. These both things mixed with other problems created an awful feeling.
Change and difference are mostly seen during his first year of high school and the year before, as he wavers between androgynous periods and gender fluid to finally conclude on trans-identity. Yet, when he talks about his childhood, it seems like some signs already hit him, such as wearing clothes qualified as male clothes. “For example, I remember that I took a Diesel hoodie from one of my boy cousins and I was very happy when I was wearing it”. He then decides to explain to me his name’s origin: Alexander. “It comes from the All Time Low’s singer (an american pop rock band) Alex Gaskarth. It’s a name that I always loved, and I like that man a lot”.
Since we met, Alex did his coming out to his parents, by sending a letter two weeks ago. They met a few days ago when Alex came back from his vacations: “it’s not very clear yet, they aren’t used to it, they want to talk about it again, anyway I wait for this saga’s continuation”. But when we speak about the actual situation, he seems sure about one thing: he’s on the good way. He tells me that everything is going much better, he has more self-confidence and the idea of being a boy is a lot more embedded in his brain.
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clarinette99 · 7 years ago
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Mel'
Mon nom est Melissa. Mes amis m'appellent souvent Mel'. Enfin des amis...je ne sais pas si je peux encore les appeller ainsi, mais peu importe. J'ai 16 ans et je vis à Lyon, en France, mais je suis d'origine Anglaise. D'ailleurs ça s'entend quand je parle. Les gens me disent souvent que j'ai un accent "so British". Je n'y peux rien, que voulez-vous, je suis arrivée en France à mes 8 ans et j'ai toujours parlé anglais avec mes parents. Il est normal que mon accent reste présent. Je me suis entraînée dur pour amméliorer mon Français. Heureusement, j'ai pu commencer tôt et j'ai toujours été du genre travailleuse. J'ai rapidement fait de gros progrets. Aujourd'hui, je maîtrise parfaitement le Français, même si j'ai quelques aspects anglais qui demeurent. Daddy lui, a eut beaucoup plus de mal avec le Français. Il a fait du mieux qu'il a pu pour apprendre mais il a du mal avec les langues étrangères. Mais bon, au bout de huit ans en France, il a finit par s'y faire, à la langue de Molière. Mummy, quand à elle, est professeure de Français. Il faut avouer que ça m'a beaucoup aidé à apprendre. D'ailleurs c'est elle qui nous a fait venir dans ce Pays. Grace à elle ou à cause d'elle, je ne saurais le dire. J'aime beaucoup la France et je la considère comme mon propre Pays, mais mes souvenirs d'enfant me rendent parfois nostalgique. Je repense parfois à ces ruelles de Winchester que je ne reverrai plus jamais, je songe tristement que jamais plus je ne pourrais me promener dans les nombreux parcs qu'il y avait là-bas... Anyway, c'est du passé. Je suis bien en France, c'est tout ce qui importe. En revanche ma grande sœur, Jane, a eut beaucoup de mal à s'intégrer. Il faut dire qu'elle est arrivée en France à l'âge de 13 ans. Il est bien plus dur de changer de vie à cet âge là. Elle en a beaucoup voulu à Mummy pour ça. Elle lui a souvent reproché d'avoir voulu partir d'Angleterre sur un coup de tête pour partir vivre son rêve Français. Elle s'est toujours offusquée auprès de Daddy, ne comprenant pas pourquoi il ne s'y était jamais opposé. Mais moi je sais pourquoi il ne l'a pas fait. Il est fou de Mummy. Il ferait n'importe quoi pour elle. Alors lorsqu'elle a enfin trouvé un boulot en France et qu'elle a réalisé son rêve en venant vivre en France, Daddy ne l'a jamais retenue. Je suppose que c'est parce qu'il était trop heureux de la voir aussi épanouie. Jane ne le voit pas de cet oeil. Elle a perdu beaucoup en venant vivre ici. Tous ses amis, bien sûr, mais bien plus. Elle a perdu sa passion : le cricket. Elle adorait jouer au cricket. Sauf qu'en France, il est bien compliqué de trouvé un club pour ce genre de sport. Mais je crois que ce qui a toujours été dur à vivre pour Jane, c'est le collège. Les élèves n'étaient pas très gentlemen avec elle. Lorsqu'elle est arrivée en France, elle parlait à peine la langue du pays. Et je peux vous dire que ses camarades en profitaient. Elle est vite devenue la risée de la classe. Puis de l'école. Ils l'appellaient "Rosbif". Elle l'a assez mal vécu. D'ailleurs elle ne mange plus de Rosbif. Anymore. Mais bon, elle va mieux maintenant. Elle a 21 ans maintenant et elle mène une vie d'adulte. Elle fait des études de droit. "Pour rendre un peu de justice dans ce monde de dongue" disait-elle. Why not. Moi, en revanche, mon collège c'est bien passé. J'étais même devenue un peu populaire pour une raison : les leçons en Anglais. Notre prof d'anglais du collège, Mme Moreau, était très exigeante et nous donnait des tonnes de devoirs. Et autant dire que la plupart de mes camarades n'étaient pas vraiment passionnés par cette matière, et par conséquent, pas très fort. Aussi, je les aidais en leurs donnant les réponses des exercices à la récré du matin, avant les cours d'Anglais. On abusait souvent de ma gentillesse, par ailleurs. Les fois où je faisais carrément leurs devoirs à leur place n'était pas si rare. Et pas qu' en Anglais, d'ailleurs. L'Histoire et les Maths s'ajoutaient souvent à la liste. J'étais bonne élève, alors les autres me demandais. Je n'osais pas dire non. Et puis je me disais qu'ils me le rendrait bien. J'oublie souvent ma naïveté. Ils ne me l'ont jamais rendu, ils ont profité de moi. Mais, candide, je n'avais rien vu. Au lycée, les élèves avaient probablement plus d'estime en ma personne car ils ne m'ont jamais exploité de la sorte. Je m'y suis faite de vrais amis. J'en avais quatre : Damien, un garçon drôle et sympa avec qui je passais mon temps à rire. Léo, le meilleur ami de Damien, un garçon sportif, très doué au football. Il y avait aussi Emilie, une fille qui aimait beaucoup dessiner. Elle parraissait un peu associable comme ça mais en réalité elle était sympa. Et puis il y avait ma meilleure amie : Margot. Elle adorait lire tout comme moi, et on se voyait tout les week-ends. On s'échangait nos bouquin, On allait au ciné, au parc, on se téléphonait souvent... bref, c'était une amie très proche. Les autres aussi je les aimais beaucoup. Et comme avec toute les personnes que l'on aime, je leur faisais confiance. J'aurais peut-être pas du. Peut-être qu'à Antoine, je pouvais lui faire confiance. Je l'espère de tout mon coeur. Antoine était mon boyfriend. Enfin mon "petit ami" comme on dit en France. C'était mon premier amour. Et je l'aimais beaucoup. D'ailleurs je l'aime toujours. Il avait ce don pour réforter les gens. Pour être doux et tendre. On était ensemble depuis deux ans. On se croyait invincible. Mais c'est arrivé. Ce jour-là tout semblait normal. Je n'avais aucune idée de ce qui allait m'arriver. Avec la bande, on allait à la piscine. C'était une idée de Léo. J'ai toujours aimé nager, j'ai accepté avec plaisir. Damien et Margot aussi. On a du se démener pour forcer Emilie a venir, mais après de longues argumentation et beaucoup de chantage à base de crèmes glacées, on a réussi à la convaincre. Tout s'annonçait bien. Antoine avait pu venir lui aussi. J'étais heureuse. Pendant qu'on barbotait et que Léo faisait des longueurs, Antoine c'est éclipsé pour aller aux toilettes. C'est ce moment qu'à choisit Damien pour lancer : -Hey les gars, ça vous dit on essaye le sauna ? Ils se sont regardés d'un air complice et on tous accepté. -On a pas le droit, j'ai rétorqué. C'est interdit aux moins de 18 ans. -On s'en fout ! à lancé Emilie en me poussant vers le sauna. J'ai tenté de protester mais ils ne m'écoutaient pas. J'ai finis par céder. À peine sommes-nous arrivés devant le sauna qu'ils me possent dedans. Mais contrairement à ce que je pensais, ils ne sont pas venus avec moi. Non, ils ont bloqué la porte. -Qu'est ce que vous faites ?! ai-je hurlé Ils n'ont pas répondu. Je les entendais s'exclaffer derrière la porte. C'est à ce moment-là que j'ai compris que c'était une blague. Aucun d'eux ne comptait entrer dans le sauna. Ils voulaient juste me faire une bonne blague en m'enfermant dedans. Pour me faire peur. Et shit, ils ont réussi. J'ai tambouriné à la porte. -Ouvrez-moi putain, c'est pas drôle ! Mais ils ne m'écoutaient pas, ils se marraient en tenant la porte. J'ai hurlé pendant plusieurs minutes. Ça les faisait beaucoup rire. Moi pas. Pas du tout. Je flippais. -Ouvreeeez !!! Les gars, ouvrez !!! Je tambourinai à la porte comme une forcenée. J'ai chaud. Beaucoup trop chaud. Ça faisait déjà dix bonnes minutes que je hurlais à amis de le laisser sortir. Je suais beaucoup. J'étais trempée de sueur. J'avais du mal à respirer. -Laisser-moi sortir ! Répétais-je d'une voix faible. C'est plus drôle ! Pitié ! Mais non, ils n'ouvrir pas. J'ai commencé à peter un plomb : -OPEN THIS FUCKING DOOR NOW !!! J'entendis Damien me lancer : -Hey la British, il fait plus chaud que chez toi, hein ? Les autres ont éclatés de rire. Moi j'ai pleuré. Je savais que c'était pour rire. On faisait souvent des blagues sur nos origines tous ensemble. J'avais toujours aimé ça mais pas là. Pas dans ce sauna surchauffé et verrouillé où je n'avais pas le droit d'être pour raison de sécurité. Ça me faisait flipper. Ça me faisait putain de flipper. -Laissez-moi sortir, pleurais-je. Les gars ! Margot ! Mais ils ne m'entendaient pas. J'entendis vaguement Emilie faire une blague sur mon manque de force pour ouvrir la porte, mais je ne l'écoutais plus. J'avais chaud. Beaucoup trop chaud. Ma tête me tournait. Je bredouilla le nom d'Antoine. Pitié, faites qu'il revienne. Faites qu'il me fasse sortir d'ici. J'ai peur. Mes jambes fléchirent. J'avais trop chaud. Antoine...aide-moi. Antoine... Ça faisait au moins quinze minutes que j'étais là-dedans. Il était forcément revenu des toilettes. Qu'est-ce qu'il foutait ?! C'est alors que ça m'est revenu : les crèmes glacées. Il avait prétexté d'aller aux toilettes pour aller les acheter et faire la surprise aux autres. J'ai frappé le mur et je me suis éccroulée à genoux. Le trajet piscine-glacier prenait au moins trente minutes aller-retour. Il ne reviendrait pas à temps. Je serre dans ma main le collier qu'il m'a offert il y a un an, pour mon anniversaire. C'était un coeur aux couleurs de l'Union Jack. "Pour l'anglaise que j'aime de tout mon coeur" m'avait-il dit en m'embrassant. Je le porte toujours, ce collier. Je le serre plus fort. Je chiale. Je n'arrive plus à respirer. Un voile noir voile mes yeux. Je sombre dans l'inconscience. Ma dernière pensée fut pour mes amis. Pourquoi est-ce que je leur avais fait confiance ? Damn it. I'm so silly.
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