Tumgik
#je crois que je regardais simplement BEAUCOUP de télé
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si big finish ne va pas m'employer pour écrire quelques boxsets sur thasmin, vous pensez que je pourrais me faire employer comme adapteur pour doctor who version française
#en train de regarder cet interview avec le directeur artistique de la version française et#c'est tellement intéressant et je veux m'excuser un peu pour les commentaires que j'ai faits avant#critiquant les erreurs et les décisions étranges etc#parce que ça a l'air tellement difficile à faire mais j'aimerais le défi et j'aime dw donc#j'ai aussi regardé la version italienne hier#et j'aime cette version aussi#mon italien n'est pas encore au niveau mais#moi dans leur inbox quand j'ai traduit quelques romans dw en français et en italien: salut/salve emploie-moi stp#fgkjhgjk#il y a six mois j'ai traduit les mots 'lungbarrow' et 'oakdown' en français ghfkjgh#seulement les mots#c'est déjà qqch ghkjhgj#mais c'était vraiment fun je veux faire plus#je peux simplement commencer à traduire un roman mais#jsais pas. j'ai toujours le sentiment que mon français n'est pas suffisamment bon et ça me démoralise#et je peux pas réperer mes erreurs. je sais que je les fais mais je sais pas où ça me rend dingue#je sais pas si mon français est en fait un anglais traduit comme mon néerlandais est un anglais mal traduit#mais je vais pas l'améliorer en évitant de l'utiliser#c'est le b2-c1 plateau c'est si chiant#je ne me souviens pas vraiment comment je l'ai passé en apprennant l'anglais#je crois que je regardais simplement BEAUCOUP de télé#en fait ça doit avoir été lors de ma première obsession avec dw. et sherlock etc#quand j'ai regardé sherlock les premières fois j'avais besoin de transcriptions à cause des accents et le marmonner#ils parlaient vraiment pas très nettement#mais aussi ils utilisaient beaucoup de mots au-delà de mon niveau#je sais pas. ça fait 10 ans entre b2 et c2 je pense#j'ai pas envie qu'il faudra encore 10 ans avant que je ne parle le français ghjkhkj gotta streamline#j'ai des cahiers de grammaire c1/c2 je dois seulement les utiliser. sigh
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songedunenuitdete · 6 years
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Création de : Roberto Aguirre-Sacasa Date de sortie :  26 octobre 2018  Avec : Kiernan Shipka, Lucy Davis, Miranda Otto, Chance Perdomo et Michelle Gomez Nationalité : Américain  Genre : Fantastique, Horreur Format : 49 – 61 minutes Nombre d’épisodes : 10Synopsis :
Sabrina Spellman est une adolescente presque comme les autres : Elle est née suite à la relation entre un sorcier et une mortelle, ce qui fait d’elle un hybride des deux.
  Elle vit dans la petite ville de Greendale, élevée par ses deux tantes paternelles, Hilda et Zelda, et fréquente le lycée de la ville avec des adolescents mortels. Néanmoins, à l’aube de son seizième anniversaire, elle doit faire un choix : accepter d’être baptisée pour devenir membre de la satanique Église de la Nuit ou renoncer et continuer sa vie au côté des mortels mais avec peu de pouvoirs.
  Elle va également devoir faire face à des forces maléfiques qui menacent sa famille et le monde des mortels car dans l’ombre, l’horrible Madam Satan est prête à tout pour aider Satan à recruter la jeune fille.
L’avis de deux Songeuses
Pour parler de cette nouvelle création de Netflix, j’ai avec moi Coleen Hill, merci d’être là ! 
Coleen Hill : Ce n’est pas comme si tu m’avais laissé le choix…
Ça doit faire plus de 10 ans que je n’ai pas vu Sabrina l’apprentie sorcière que ce soit en série ou en dessin animé. Kierman Shipka, l’interprète de Sabrina, ressemble plus au personnage des comics, pour le physique, au premier épisode son rapport avec la magie ressemble plus à la Sabrina du dessin animé, enfin d’après mes souvenirs…
Coleen Hill : Pour ma part, je n’ai qu’un vague souvenir d’une série typée américaine des années 90 je crois, avec beaucoup d’humour… Presque conforme aux séries Disney que je regardais à cette époque-là, avec des rires en fond. Où la Sabrina était blonde, avait des amis dont je ne me rappelle plus mais surtout avait un chat noir, Salem, qui parlait avec beaucoup d’humour noir et d’ironie ! Donc ce n’est vraiment qu’avec très peu de souvenirs et donc aucun à priori, que je me suis plongée dans cette série.
Une chose est sûr, c’est que ce reboot est bien loin de la série et du dessin animé de mon enfance ! Il dégage une sensation sombre mais sans trop, idéale pour la saison d’octobre ! On peut constater la noirceur de la série dans les trailer, mais aussi dans l’opening. Opening qui est très bien réalisé !
Coleen Hill : Je n’avais absolument pas regardé de Bande Annonce ou autres et j’y suis allée car pour une fois, j’avais un peu de temps libre ! Et ben quelle surprise ! Je ne m’attendais clairement pas à cette vision des choses ! C’est dans un univers graphique magnifique que nous sommes heurtés au diable dans sa version primitive du terme ! La série, comme le dit Orme Étoile est assez noire et je n’ai pu m’empêcher de penser à la série Salem (Orme Étoile : en un peu moins glauque ! ). Nous sommes dans ce type de magie, très sombre, brute, effrayante. Il y a quelque frisson, des palpitations et quelques fois du dégoût mais tout est largement surmontable. Beaucoup plus en tout cas que Salem.
J’ai trouvé le scénario plutôt sympa, même si certains des événements sont prévisibles. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre puisque j’ai refusé de voir les trailer, mais on est dans la magie noire. J’ai beaucoup aimé cette vision du Diable, Il est tout simplement terrible !
Coleen Hill : J’ai aussi trouvé le scénario très sympa ! Effectivement, certaines choses se devinent assez facilement même si la série est pour moi, à diviser en deux parties. La première où Sabrina se bat pour sa liberté, et la seconde où elle entre clairement dans l’antre des sorcières !
L’actrice est très attachante ! Son cousin et ses tantes également ! Et le décalage entre des actions terribles pour nous, et beaucoup moins importantes pour elles est des fois assez comique. Les méchants sont de vrais méchants, sans excès inutiles. Orme Étoile a raison ! (Orme Étoile : Mais toujours !) Le Diable est vraiment effrayant et à chaque fois qu’on le « croise », j’en ai peur pour nos héros ! Le Sombre Seigneur fait preuve de peu de gentillesse et encore moins de compréhension !
Les tantes et le “cousin” de Sabrina sont attachants et intéressants ! Ça m’a fait drôle de voir Miranda Otto dans cette série, car je la connais surtout comme Éowyn damoiselle protectrice du Rohan… Mais le rôle de Zelda Spellman lui va à merveille ! J’aime beaucoup la façon dont tous les personnages gravitent autour de Sabrina chacun y trouve sa place, même si je regrette un peu le manque d’utilité de Salem à qui je m’étais tant attachée dans Sabrina l’apprentie sorcière.
Coleen Hill : Je suis assez d’accord avec Orme Étoile ! Salem n’a que peu d’importance et j’espère qu’il prendra toute son ampleur un peu plus tard ! Il est magnifique ! Les amis des Sabrina m’ont un peu laissé de marbre… C’est dommage mais je me dis que c’est peut être voulu par les créateurs de la série. Cela s’explique au fur et à mesure du visionnage.
Pour ce qui est d’Herveyn, Susie et Rosalind, je les trouve bien construit, je n’ai pas d’affection particulière pour eux, mais j’ai aimé découvrir leur passé sur les derniers épisodes de la série.
Coleen Hill : Par contre, une chose est sûre, c’est que je souhaite continuer cette série car il y beaucoup trop de secret pour que je m’arrête là !
Comme Salem, c’est une série que j’aurais grand plaisir à revoir passé le 15 octobre pour être dans une ambiance un peu sombre et magique à l’approche de la Toussaint. J’ai hâte de découvrir la suite qui je crois est en tournage ou qui ne devrait pas tarder à l’être !
Chronique série télé - Orme Étoile et Coleen Hill | Notre avis Les Nouvelles Aventures de Sabrina de Roberto Aguirre-Sacasa. La nouvelle série de @NetflixFR et @warnerbrosfr a su nous séduire à bonne période ! Création de : Roberto Aguirre-Sacasa Date de sortie :  26 octobre 2018  Avec :
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insidemyhead2869 · 3 years
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Lundi 10 mai 2021
Je vais essayer de reprendre un rythme plus soutenu dans l’écriture de ce journal. Je n’ai pas grand chose à dire sur cette journée. Elle a mal commencée, elle finit plutôt bien. Le réveil a été difficile, j’étais tout simplement rincée de la balade de la veille. On est allées au parc avec une amie, pas très loin de chez moi mais ça m’a vraiment tuée. Je me demande si ça n’est pas lié à la pandémie et au fait que je ne fais plus d’exercice physique, que je sors très peu de chez moi. Sans rire, j’étais épuisée d’avoir marché 10 minutes jusqu’au parc, où on est restées 1heure à peu près et puis le chemin retour. Déjà quand je monte les escaliers je suis essoufflée, vraiment... Donc le soir je m’endormais alors qu’il était à peine 21h... Puis j’ai fait une sieste jusqu’à 22h30. Vraiment très bizarre. J’avais les paupières lourdes, je voyais flou, j’avais plus la force de me concentrer sur ce que je regardais : les real housewives of atlanta. Je crois bien qu’on peut décréter que c’est une situation de crise. Donc j’ai décidé de me rendormir pour de bon mais il s’est passé ce que je savais qu’il allait se passer, je me suis réveillée plusieurs fois dans la nuit, en étant comme requinquée de ma sieste. J’ai quand même dormi jusqu’au matin 8h et j’ai attendu que mon réveil sonne à 9h. Bon je suis allée à la BU j’ai pas travaillé comme je savais que j’allais pas travailler puis je suis rentrée. Et là j’ai fait ce que j’attendais depuis ce matin 8h, je me suis allongée sur mon lit. Une flemme pareille c’est assez étonnant... Finalement Juliette est rentrée et tout allait déjà un peu mieux. Ma sieste-téléphone m’avait requinquée et son retour m’a mis de bonne humeur. Elle est partie à la BU et j’ai passé l’après-midi seule à l’appart. J’ai joué à tomb raider que j’étais décidée à terminer. C’est le dernier de la période purement classique, avant-dernier du studio core design. J’ai eu beaucoup de mal à finir parce que je n’avais plus de trousse de secours, plus de vie et ce foutu hélicoptère qui te mitraille là...!! Mais j’ai finalement pu m’en sortir et je suis vraiment contente d’avoir fini. J’aurais rejoué et terminé tous les tomb raider que je possède excepté anniversary et angel of darkness. Je suis pas très claire mais voilà : j’ai terminé tomb raider 2, tomb raider 3, tomb raider 4, tomb raider 5, legend et underworld. Il ne me manque plus que de rejouer à angel of darkness et anniversary !! (je ne possède pas tomb raider 1 sur pc, je l’avais acheté sur ps1 mais j’ai pas très envie de me faire chier à l’installer sur la télé du salon). J’ai beaucoup aimé tomb raider 2 mais il faut avouer que le passage de tomb raider 4 à tomb raider 2 m’a un peu peinée au niveau du gameplay. Les mouvements de Lara sont moins fluides, moins agréables. Donc j’ai pas forcément envie de jouer à tomb raider 1. Sachant que je n’y avais pas joué lorsque j’étais petite, il n’y a pas le facteur nostalgie comme pour les autres (notamment le 3 et le 5 en ce qui concerne les classiques).
Bon... sinon j’ai pas trop travaillé mais j’ai retrouvé internet donc je kiffe juste pour le moment. Je regarde des sites de marques de vêtements,
ALORS PARDON ???????? Je viens d’effacer tout ce que j’ai écris là ???? Oh le seum................ J’allais parler de cette personne qui dit ne pas avoir de souvenirs de son enfance et que je ne peux pas le croire, pas le concevoir. Moi j’y pense tout le temps, tout le temps... Même trop je crois. Enfin bref ça m’a coupé l’envie d’en parler mais je le ferai peut-être plus tard.
Oups j’allais oublier : je suis dans mon lit, sous la couette, prête à regarder Anne with an E, j’écoute les musiques de la playlist Jane The Virgin, là tout de suite il y a Moody Jane qui passe en fond...
Bye
Je viens de relire (cf précédent texte “relecture”) et la vérité c’est que j’écris comme une enfant de douze ans qui raconte sa vie dans son journal. Je peux pas c’est trop, le passage sur les jeux tomb raider j’en peux plus !!! J’ai bientôt 25 ans hein !! Allez c’est trop je laisse tomber pour ce soir...
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dont-tell-any-buddy · 4 years
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Mort et confiance
J’ai tellement écrit hier, je ne pensais pas autant avoir besoin d’évacuer !
Finalement, après encore quelques réflexions, j’en suis venue à la conclusion qu’absolument TOUT me ramenait à un manque de confiance. Simplement, je l’avais sous estimé durant toutes ces années.
Il y a tant de sujets que je pourrais aborder avec un psy. En plus de la confiance, on pourrait parler de mon rapport à la Mort, la féminité, le fait que je sois coincée dans le passé / les souvenirs...
Mais je n’ai pas terminé ma réflexion sur la confiance.
Hier, j’en parlais à un très bon ami à moi.
Comme je m’autorise à le faire avec certaines personnes desquelles je me sens proche, j’ai la sensation d’avoir encore monopolisé la parole. Mais ça n’a pas l’air de le déranger, il se sent vraiment concerné et il est vraiment à l’écoute. J’en ai de la chance. J’ai toujours peur de déranger.
Il faut que je revienne sur cette discussion, parce que j’ai encore trouvé de quoi alimenter le pavé que j’ai rédigé la fois dernière : On va partir de la Mort, pour revenir à la confiance.
J’expliquais à mon ami que malgré le fait que je n’ai pas été touchée directement par le deuil de l’ami de mon copain, décédé violemment vendredi dernier en percutant de plein fouet un poids lourd avec sa voiture, que je ne pouvais pas m’empêcher d’y penser. Alors que je ne l’ai rencontré qu’une fois, hein, ce mec ! Je ne peux pas m’empêcher de m’imaginer la scène de l’accident, vraiment, de visualiser les détails, comment la voiture s’est pliée, jusqu’au moment où le moteur s’est détaché du capot, le choc des genoux contre le camion, la façon dont il a été scotché au siège, le pare brise qui explose, la pression exercée sur son corps au moment du choc...
Et mon ami m’a dit que déjà, ça, le fait de visualiser “toutes les actions et conséquences physiques qui ont amené à ce décès”, n’était pas normal. C’était déjà le cas quand mon meilleur ami Clément est décédé en voiture il y a un an et demi, même si le concernant, il s’agissait d’un suicide. J’étais allée sur le lieu de l’accident, avec un ami en commun (certainement un peu limite sur certains points, lui aussi), je regardais l’emplacement des roues de la voiture, encore signalé par des marquages verts au sol, j’essayais d’imaginer à quelle vitesse il était allé, pour en arriver à la photo de la voiture broyée que j’avais observée dans les journaux ressassant son accident. On avait même ramassé un petit morceau de la voiture de Clément, avec cet ami en commun. C’est un peu freeky... et en même temps, je pense qu’il y avait besoin de se rapprocher de tout ce qui pouvait me rapprocher de lui (après tout, c’était la dernière chose qu’il avait touchée, la voiture)... Je ne sais pas, j’imagine juste.
Enfin voilà, j’me demande pourquoi je m’imprègne des accidents, pourquoi j’essaye de les revivre, pourquoi je m’impose ça. Est-ce que je me complais dans le malheur ?
Pour mon ami, je me “force à ressentir toute la peine qu’entoure chaque drame.” au fil des informations/détails que je recherche, qui concernent l’accident.
Encore, pour Clément, ça aurait pu être compréhensible, j’imagine... que je cherche à m’imprégner de ce décès... (mouais... en fait, c’est quand même pas très sain) mais alors l’ami de mon copain, il n’y avait aucune raison à cela. 
Je crois que j’ai un souci avec la mort, plus encore quand ça touche les jeunes. Gwenaelle en 2015, décédée d’un AVC, ça m’avait fait mal aussi. C’était une de mes amies de promo. En fait, peut être que les décès de personnes aussi jeunes, de mon âge en fait, ça me renvoie à ma situation de mortelle. Je sais que j’ai peur de crever. Même si après avoir vraiment réaliser la mort de Clément, j’ai pensé à prendre ma caisse et aller me planter au même endroit que lui, que j’me dis parfois que si je crève en voiture ça m’est égal désormais. Sinon, je ne m’autoriserais pas à envoyer des SMS/vocaux au volant, par exemple. Chose que je ne faisais pas avant.
Mais au fond je dois encore flipper.
Je disais à cet ami “Je me souviens du moment où j’ai réalisé ce qu’était la mort.” Quand je suis sortie de mon lit d’enfant en me précipitant dans les bras de mon grand frère, qui, lui, était dans la chambre de mes parents, devant la télé. Je crois même qu’il regardait Fort Boyard, tiens. Pour dire à quel point ça m’a marquée. Je lui disais en pleurant “j’veux pas mouriiiiir”.
Et j’ajoutais : “ je pense que tout est lié, et que tout part de mon manque de confiance et de la basse-estime que je me porte. J’ai peur de la mort parce que j’ai pas envie d’être oubliée. J’ai besoin, à travers le regard des autres, de me renvoyer l’image positive que je n’arrive pas à me renvoyer toute seule. Parce que sans le regard des autres, je ne parviens pas à être fière de moi.”
Faire sourire/rire les gens, pour moi, ça a toujours été important. Enfin, plus encore depuis le lycée, je pense. Je me revois apprendre des sketch d’Elie Semoun (la honte) et Florence Forestie, pour les refaire devant mes potes à la récré. D’ailleurs, j’me souviens encore du sketch de Satania et Démonio !
Quand je me regarde dans le miroir, j’essaye de trouver des éléments pour me rassurer.
J’me suis déjà demandé s’il m’arrivait quelque chose, si je manquerais à beaucoup de personnes (alors qu’en vrai je sais : on s’en fiche du nombre, la qualité prime à la quantité, blablabla.)
J’me suis déjà allongée dans le lit, en imaginant la position qu’on peut avoir dans un cercueil : les pieds joints, les mains croisées sur le ventre. J’ai un peu essayé d’imaginer la scène. J’crois même que ça m’a déjà ôté quelques larmes. Ça fait hyper narcissique. Beurk. J’ai déjà pensé qu’il puisse m’arriver une chose, pas assez grave pour mourir ou pour être défigurée, handicapée, mais assez important pour susciter l’inquiétude autour de moi. Assez, pour voir qu’on a peur pour moi, qu’on tient à moi. Putain, ce melon, pfff.
Mais j’ai peur que du manque de confiance, au narcissisme / à l’égocentrisme, il n’y ait qu’un pas. Je n’ai pas envie de l’être. Indéniablement, je dois au moins être l’un des deux, je pense. 
J’ai déjà aussi imaginé mon ancien patron (qui me rendait malade à force de me rabaisser, hein, je gerbais avant d’aller travailler à l’hôtel pendant un temps) me voir accomplir des choses, lui permettant de reconsidérer son jugement de valeur à mon égard, et qu’il arrête de me voir comme une merde. Je le revois me dire, deux fois de suite, d’un ton moqueur, comme si j’étais attardée : “c’est l’information qui va pas jusqu’au cerveau, c’est ça ?! C’est l’information qui va pas jusqu’au cerveau ?” les yeux plissés, un sourcil relevé. Entre ça et le “t’es moyenne en tout” que ma mère m’a déjà sorti plus jeune, on peut pas dire que ça aide à prendre confiance en soi. De toute façon, je gère très mal le stress.
À chaque fois, j’ai peur de réaliser que je ne suis pas une personne aussi bonne/bienveillante que je le pensais. J’ai peur que tous mes actes soient intéressés, et qu’ils aient lieu pour me rassurer. J’ai peur que tout ça, fasse de moi une personne laide.
J’ai aussi l’impression de m’inventer des problèmes. La santé ça va, j’ai des bons amis, j’ai connu des ruptures amicales et amoureuses pas faciles l’année dernière, mais présentement je suis bien entourée, la santé de mes proches ça va, le seul problème que je pourrais avoir, c’est le fait de ne pas avoir d’emploi. Et encore, j’ai le droit au chômage, donc j’ai un toit, et de quoi manger. J’ai quelqu’un qui m’aime. Donc, techniquement, il n’y a pas d’quoi en faire une pendule.
Pour mon ami, je “n’aspire que d’intérêt que pour la négativité. Toutes les choses qui ont des effets ou conséquences négatives, tu t’y intéresses, et tu te laisses submerger complètement.(...) Ton plus gros problème, c’est que tu n’acceptes pas toi-même d’avoir un problème psychologique. Et tu penses que ce n’est pas vraiment réel.” Il ajoute que je n’ai pas de problème de narcissisme mais que j’ai juste peur de la solitude.
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J'ai commencé par faire mes valises en me demandant ce qui me semblait nécessaire, j'ai de suite pris mes robes, ma collection de Johnny Depp et quelques affaires. J'avais environ deux heures pour trouver le moyen de m'enfuir, avec le plus de sacs possibles et mon rat, mais je ne savais pas où aller, je commençais à stresser, à pleurer, comment est-ce que j'allais m'en sortir ? Je n'avais plus personne, et si j'oubliais des choses ?
Ma première pensée fut pour Coralie, elle ne me parlait plus et je n'avais plus son numéro non plus. Ah oui, j'ai été bien maline de supprimer mes contacts à cause de Thibaud. J'ai appelé Schmitt, il ne répondait pas, il devait être en cours. J'avais vraiment besoin d'une voiture, je ne pouvais pas partir autrement, j'aurais jamais pu tout prendre. Alors j'ai pensé à Camille, j'ai cherché dans mes contacts mais je n'avais plus son numéro non plus. J'appelle Dimitri, pas de réponse. J'appelle Elisa, pas de réponse. Je ne me décourageais pas, je continuais de faire mes valises et d'envoyer des sms à Elisa et Dimitri pour avoir les numéros de Camille et Coralie. Je cours dans la salle de bain, je pense à prendre mes chaussures, mon lisseur... en fait, je ne crois pas avoir pris quoi que ce soit de réellement nécessaire, mais je n'étais pas vraiment capable de penser. Ça y est je m'étais décidé à partir, est-ce que j'allais vraiment le faire ? Est-ce que j'allais vraiment abandonner Thibaud ? Est-ce que même j'aimais encore Thibaud ?
Puis je reçois une réponse d'Elisa qui m'envoie les numéros de Camille et Coralie, alors j'appelle mais toujours personne qui me répond. Là je me suis assise, j'ai posé mon portable, j'avais envie de laisser tomber, de déballer mes affaires et de les ranger, j'étais en larmes, j'étais tellement perdue et je ne savais plus comment faire et si je ne faisais pas au plus vite, Thibaud allait rentrer et me voir avec ces valises, il allait comprendre et être plus violent que jamais. Mais mon portable se met à vibrer, Dimitri me rappelait, merci seigneur, j'essaie d'être brève, je lui explique qu'il faut absolument que je parte, tout de suite. Alors Dimitri me propose de le rejoindre à sa fac mais je lui dis que je ne peux pas laisser mes affaires ici, j'ai trop peur. Il essaie de me rassurer en me disant qu'on allait trouver une solution ensemble puis il raccroche après m'avoir dit qu'il allait tout faire pour trouver une voiture dans sa fac et pour venir me chercher, il m'a dit « Prépare toi, on va arriver ».
Dis minutes après, Dimitri me rappelle pour me dire qu'il était devant. Soulagement. Alors je suis sortie et je me suis précipitée vers Dimitri, je crois qu'à ce moment, il était la personne que j'avais le plus envie de voir et j'étais vraiment heureuse de me rendre compte que je pouvais compter sur lui, quoi qu'il se passe. Il était venu avec deux amis à lui, ils m'ont aidés à prendre mes valises mais je n'ai pas pu toutes les prendre, je ne voulais pas les embêter à faire plein d'aller-retours et à s'encombrer avec plein de sacs. Ma chienne m'avait suivie dehors, je l'ai rappelée, je lui ai dit de retourner dans l'appartement, j'ai déposé les clefs sur le bureau puis je suis partie. 
Il était environ midi quand on est arrivé à la fac de Dimitri, ça me faisait un bien fou de les voir, mais aussi de me retrouver dans un autre environnement plus sain. Je souriais aux conneries que Dimitri et ses amis disaient. Mon arcade ne saignait plus mais j'avais des traces de sang mal lavées sur le visage et ma lèvre n'était plus que légèrement gonflée, j'avais un peu de difficultés à fermer la bouche complètement, mais ça ne se voyait pas.
Finalement Coralie m'a rappelée, je lui ai expliqué et elle m'a dit qu'elle venait me chercher, comme Dimitri avait cours cette après-midi, elle m'a aussi assurée que je pouvais vivre chez Schmitt et elle le temps que je voudrais. A ce moment, je remerciais la vie de m'avoir donner des amis aussi formidables.
Coralie est arrivée vers 13h00, on a récupéré mes affaires pour les poser chez elle et Schmitt, elle a mangé quelque chose, moi je n'avais pas faim et elle m'a amené au médecin qu'elle a payé. En rentrant je me suis rendue compte que je n'avais pris aucun sous vêtement et qu'en plus c'était une mauvaise idée d'avoir d'abord pensé à prendre mes robes, en hiver. Coralie m'a fait manger un million de trucs, on a passé la journée à regarder la télé, Schmitt est rentré lui aussi. Schmitt c'est cette personne qui sait jamais trop comment faire, qui sait pas quoi dire mais dont tu sais que tu peux compter sur lui, il te fait tout passer en regard. Puis je suis allée me coucher tôt, très tôt, j'étais épuisée de cette journée.
Le lendemain matin en regardant mon portable, j'ai vu que Thibaud m'avait envoyé plein d'sms, comme quoi il m'aimait, ne voulait pas me perdre, il m'expliquait qu'il allait commencer sa cure mais qu'il avait besoin que je lui relaisse une chance, que lorsqu'il arrêterait l'alcool tout irait beaucoup mieux entre nous. J'y ai cru, pas parce que j'avais confiance en Thibaud, mais parce que j'avais envie d'y croire ! J'avais envie que tout se passe bien, mon amour pour Thibaud n'a jamais disparu, il était toujours aussi puissant en fin de compte, Thibaud m'avait manqué toute la nuit, la seule différence, c'est que je le haïssais autant que je l'aimais, et je l'aimais réellement plus que tout ce qu'on peut imaginer. Alors j'ai décidé de ne pas aller en cours le matin mais d'aller parler à Thibaud. Au moment où je commençais à partir, Coralie est rentrée, elle m'avait acheté des sous-vêtements, des chaussettes et des collants pour mettre avec mes robes. Je veux encore lui dire merci pour tout.
J'ai rejoins Thibaud, on a parlé un peu, lui il buvait encore, et on est allé tous les deux à son rendez-vous dans le centre d’addictologie, un psychiatre nous a expliqué qu'il allait devoir lui donner un traitement qui pouvait être dangereux et donc que je devais rester près de lui parce qu’il pouvait faire des malaise ou des crises. Mais j'ai hésité, si j'acceptais ça voulait alors dire que je devais retourner avec lui. Thibaud, qui était déjà ivre, s'est alors énervé, après moi parce que j'hésitais à accepter. Il est parti, je suis restée seule avec les psychiatres, une psychologue est alors venue me voir, on a beaucoup parlé puis elle m'a dit : « Vous êtes une femme battue » et à ce moment j'ai réalisé. Merde, je pensais qu'on se disputait et que ça finissait mal, je pensais que des disputes il y en avait dans tous les couples, je pensais que de toute façon il n'était pas violent parce qu'il pouvait faire pire, comme il me disait chaque fois. Là ça m’a retourné, j’a compris que fallait que je me sorte de là, mais j'ai tout de même fini par accepter de retourner avec Thibaud, je retournais vivre avec lui, je ne me sentais pas prête à l'abandonner maintenant, je pensais qu'il avait encore besoin de mon aide pour guérir, j’étais sûre qu’il pourrait guérir et que tout irait mieux, il était malade et avait besoin de moi. J'y ai posé ma condition, je reviens simplement s'il se soigne définitivement. Et je pensais que le fait d'avoir réussi à partir une première fois, me permettrait d'avoir la force de le faire à nouveau s'il le fallait, maintenant que j'avais compris que je n'étais pas seule et qu'en réalité je n'avais jamais été seule. J'avais quand même laissé des affaires chez Coralie et Schmitt en les prévenant de la situation. 
Thibaud et moi sommes partis à Charleville-Mézières, chez ses parents, pour qu'il fasse sa cure lui-même et que ses parents le soutiennent. Tout s'est très bien passé même si pour la première fois je n'ai pas pris soin de lui, d'habitude pendant ses crises de manque, je restais près de lui, je le couvrais quand il avait froid, lui passais de l'eau froide sur le corps quand il avait chaud, je lui faisais des papouilles pour essayer de le calmer, de l'endormir, j'essayais de rester éveiller pour montrer que j'étais là s'il avait besoin de quelque chose. Cette fois je dormais juste et je le laissais se débrouiller. J'avais accepter de l'aider et pourtant je ne faisais aucun effort, j'en avais marre que mes efforts ne servent strictement à rien.
Mais au bout de quatre jours, tout allait mieux, il ne buvait plus, ne faisait plus de crise de manque, même s'il avait toujours des difficultés pour dormir, on recommençait à rigoler tous les deux, on se promenait dans les bois avec la grosse Isis, je lui reportais de l'attention et lui montrais de l'affection. Cela faisait une éternité qu'on n'avait pas eu de vrais bons moments à tous les deux. Durant cette semaine à Charleville-Mézières, je revoyais enfin celui dont j'étais tombée amoureuse et j'étais tellement heureuse de pouvoir le retrouver, on parlait à nouveau de tout et de rien, on regardait des films tous les deux alors que j'étais blottie dans ses bras. Alors on a pris le train et on est rentré à Reims, son père lui a dit qu'il était très fière de lui, et moi même j'étais super fière de pouvoir voir qu'il allait s'en sortir et que je pourrais à nouveau compter sur lui. Je le regardais comme au tout début. J’arriverai jamais à arrêter d’aimer Thibaud, c’était lui mon âme sœur. 
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xoxhellsxox · 7 years
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Hello les Amis,
On se retrouve pour un nouvel article culture et series addict related (oui, je suis bilingue, excusez-moi du peu *dit-elle en toute modestie*) puisque cette semaine, je vous propose un TOP 5 des séries que je regardais durant mon adolescence et que je vous recommande, que vous soyez vous-mêmes adolescent(e)s ou que vous cherchiez des séries fort sympathiques à regarder.
S’il est vrai que ces séries sont plus anciennes, pour autant, elles sont superbement réalisées et ont des histoires très prenantes.
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Sans plus tarder, je me lance dans le vif du sujet, en commençant par une série que j’ai mentionné la semaine dernière dans mon article “TOP 5 des séries anglaises à (absolument) découvrir ou redécouvrir“, à savoir SKINS. Je ne vais pas m’éterniser dessus puisque j’en ai parlé plus en détail, il y a peu. Je vous renvoie donc à mon article. Simplement, je vous précise que cette série a fait son apparition à l’écran en 2007, alors que j’avais 15/16 ans, soit la tranche d’âge des personnages de la série, et que le coup de cœur a été immédiat.
Les personnages sont attachants, l’histoire prenante et, en tant qu’adolescent, on se retrouve parfois dans leurs difficultés. Il est vrai que, comme il me l’a été signalé, certains passages de la série sont quelques peu déprimants mais je trouve que cela contribue au charme de la série. La vie réelle n’est pas toute rose, même (pour ne pas dire surtout) lorsque l’on est adolescent. Alors, le fait que cela ressorte de la série la rend plus réaliste, selon moi.
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La série à laquelle j’étais accroc de chez accroc (et vous ne savez même pas à quel point) lorsque j’étais ado, c’était One Tree Hill (ou “Les Frères Scott“). Alors là, les amis, j’étais a un autre niveau d’addiction… Mais vraiment. C’était MA série, celle que je ne pouvais rater sous aucun motif. La toute première diffusion de cette série a eu lieu en 2003 aux Etats-Unis. Je ne l’ai connue que par la suite, bien évidemment, lorsque j’avais 13/14 ans.
Synopsis : Lucas et Nathan, deux demi-frères que tout sépare, se retrouvent rivaux non seulement sur le terrain de leur équipe de basket mais aussi dans le cœur d’une fille.
Si vous ne connaissez pas la série, le synopsis est bateau de chez bateau. On ne peut pas faire plus court et plus éloigné du fond de la série. Alors oui, l’histoire tourne autour de deux demi-frères, du basket et la vie au lycée. Mais c’est beaucoup plus profond que cela. Chaque ado a sa structure familiale dans laquelle il se passe diverses choses (plus ou moins difficiles). Et ce que j’ai adoré, c’est qu’au fur et à mesure des saisons et donc des années passant, la série évolue. Nous, téléspectateurs, grandissons avec les personnages. C’est ainsi qu’au départ, ils sont lycéens. Puis ils ont grandi et les choses de la vie ont fait que certains sont partis en études, certains ont été vers la voie professionnelle dès la sortie du lycée, certains ont tenté (réussi ou échoué) de construire une grosse carrière (sportive ou dans la mode ou autre). Puis on les a vu évoluer avec le temps, devenir adultes, éventuellement avoir des enfants. J’aimais tellement cette série que lorsque j’ai eu mon premier ordinateur, je l’ai appelé Lucas (ne me jugez pas, j’avais quatorze ans, et à ce jour, je ne regrette pas ce choix judicieux !). Bref, vous l’aurez compris, cette série était ma favorite à l’époque et je crois même qu’un jour, je tenterai de la regarder à nouveau depuis le début !
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Autre série à laquelle j’étais accroc lorsque j’étais adolescente : Véronica Mars ! Bien sûr que cette série fait partie de mon TOP 5. Cette série est parue pour la première fois sur les écrans en 2004 et j’ai dû la regarder alors que j’avais plus ou moins 15 ans.
Synopsis : Veronica Mars semble être au premier abord une adolescente ordinaire. En fait, futée et courageuse, la jeune fille s’emploie à résoudre les mystères les plus enfouis que cache la petite communauté de Neptune. Et par la même occasion, elle espère élucider le scandale qui a ruiné la vie de son père…
Une ado qui a un père détective privé et qui se lance à corps perdu dans une enquête secrète pour découvrir diverses d’énigmes qui la concernent de près ? Mon nom est écrit en long, en large et en travers de ce résumé ! J’étais une adolescente donc bien sûr, je m’identifiais au personnage principal avec grande aisance. Mais en plus de cela, j’ai toujours été passionnée des séries policières alors quand on ajoute une touche d’enquête… C’était l’alliance parfaite. Ma tristesse fût énorme lorsque j’ai appris que la série n’était pas renouvelée. Incompréhension totale. M’enfin, mieux valait qu’elle soit annulée en étant géniale plutôt qu’elle persiste et perde en intérêt (c’est ce qu’un sérivore se dit lorsqu’il essaye de se convaincre pour se remonter le moral). Il devait y avoir une adaptation cinématographique de cette série. Je ne sais franchement pas ce que cela a donné ni ou en est le projet. Mon cœur est toujours malheureux de l’absence de suite pour cette série.
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Alors que je n’étais qu’un adolescente, j’ai également eu le plaisir de regarder et accrocher à Desperate Housewives. Je ne considère pas cette série comme étant dirigée, en premier lieu, vers les ados. Et pour tout vous dire, j’ai commencé à regarder cette série par hasard, alors que ma mère la regardait elle-même à la télévision. Cette séries est a fait son apparition sur les écrans en 2004 également mais je n’ai dû commencer à la regarder que plus tard, alors que j’avais 15/16 ans.
Synopsis : Wisteria Lane est un lieu paisible où les habitants semblent mener une vie heureuse… en apparence seulement ! Car en y regardant de plus près, on découvre bien vite, dans l’intimité de chacun, que le bonheur n’est pas toujours au rendez-vous. Et peu à peu, les secrets remontent inévitablement à la surface, risquant de faire voler en éclat le vernis lisse de leur tranquille existence…
Ce n’est pas la série à laquelle j’étais absolument accroc mais je la regardais avec grand plaisir. En fait, c’est une série assez tout public et familiale (bien que certains passages soient un peu plus délicats pour les très jeunes). Je n’ai pas grand chose à dire là-dessus, si ce n’est que je n’ai pas suivi aussi religieusement cette série que je l’ai fais pour les autres. Aussi, quelques épisodes n’ont pas été regardés (en même temps, je suivais la série à la télé, donc forcément, c’est plus facile de rater un épisode que lorsqu��on les regarde en DVD *ouuuuh le dinosaure* ou sur l’ordinateur).
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Enfin, une série que je regardais avec passion, c’était… Dr House ! Encore une série adorée, que je pouvais passer des heures à regarder (jusqu’à présent d’ailleurs, elle ne vieillit pas). Elle a aussi fait son apparition sur les écrans en 2004 (décidément !) et j’ai dû commencer à regarder cette série lorsque j’avais 15/16 ans.
Synopsis : Le Dr Greg House est un médecin revêche qui ne fait confiance à personne, et encore moins à ses patients. Irrévérencieux et controversé, il n’en serait que plus heureux s’il pouvait ne pas adresser la parole à ses patients. Mais House est un brillant médecin. Et avec son équipe d’experts, il est prêt à tout pour résoudre les cas médicaux les plus mystérieux et sauver des vies.
Bien évidemment, tout le charme de la série est fait par le Dr House (parfaitement joué par ce cher Hugh Laurie). Oui, parce que tout le jargon médical autour, c’est bien beau mais étant donné que je n’y connaît absolument rien de rien à la médecine, ils peuvent raconter n’importe quoi concernant les maladies détectées, les symptômes y afférant ou les traitements à apporter, je n’y verrai que du feu. Mais tout le chef d’oeuvre réside dans les personnages et l’histoire autour parce que, je me doute bien que, comme moi, une bonne partie des spectateurs n’appartient pas au corps médical. Ce qui est bien, c’est que la série ne nous perd pas sous une myriade d’informations médicales. Même les patients, qui diffèrent à chaque épisode, apportent un plus. C’est vraiment une série qui fait du bien et que je prenais plaisir à regarder (même lorsque des épisodes que j’avais déjà vus repassaient à la télé, c’est dire !).
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Ce n’est pas évident de se limiter à un TOP 5 lorsque j’ai regardé de nombreuses très bonnes séries durant mon adolescence. Voilà donc qui achève ce premier TOP 5, qui sera très certainement suivi d’une seconde partie car j’ai déjà une bonne liste à vous faire partager.
Et vous, dites-moi en commentaire quelles étaient les séries auxquelles vous étiez accroc lorsque vous étiez adolescent(e)s ?
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Je vous présente un premier TOP 5 des séries que j'ai adoré regarder durant mon adolescence. Hello les Amis, On se retrouve pour un nouvel article culture et series addict related (oui, je suis bilingue, excusez-moi du peu *
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