#jacob malin
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dove-da-birb · 1 year ago
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My Makeup
People seemed interested, so this is a post of my makeup. I didn't include everything I have, as I have more moisturizers, setting powder, setting spray, and brushes. So yeah.
My favs will be bolded.
I use makeup for expression purposes; makeup has no gender babes.
People who seemed interested; @eynnwwyjth, @krenenbaker, @twistwonderlanddevotee, @silvers-numberonefan
Eyeshadow Palettes
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Palette; Fierce by Nature from Morphe (I think it's out of circulation now)
1st Row; Trance, Consume, Frenzy, Power Play, Savage, The OG, Disrupt
2nd Row; Temptin', Flame Game, Ferocious, Come Alive, Major Hottie, Stun Wild, Embers
3rd Row; New Flame, Ball of Fire, Red Alert, Make Believe, Unstoppable, Explode, Hot Contents
4th Row; Domination, Full Blast, Ignition, Mesmerize, Inferno, In Command, Hypnotic
5th Row; Stamina, Warning Label, Combust, Outta Control, Smolder, Jolt, Smoked Out
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Palette; Oh Boy by Morphe (out of circulation too I think)
1st Row; Hendrix, Derick, Benji, Maddox, Alexander
2nd Row; Jacob, Wyatt, Timmy, Carter, Liam
3rd Row; Max, Kai, Austin, Mace, Blake
4th Row; Bentley, Jax, Chris, Jonah, Oliver
5th Row; Paxton, Knox, Eli, Jace, Daniel
I only really have it to have a neutral palette just in case I need to do something more business or formal.
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Palette; 18 Hit Wonder by e.l.f
1st Row; Supreme, Vibrant, Moss, Peachy, Quartz, Pave
2nd Row; Velvet, Electric, Evergreen, Solar, Heat, Candy
3rd Row; Royal, Shade, Element, Summer, Penny, Danger
I also use this to do some dorm-inspired makeup; plus look at that rainbow.
Single Eyeshadows (also blush and highlighters but I use them as eyeshadow too)
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Starting at the top left;
Dito Galaxy Shade in Mars
Autobalm Day2Night in Lombard ST
Wander Beauty in Bouquet
Kaleido Cosmetics Skin Blush in Primadonna
Bottom row, left to right;
Nomad Cosmetics Desert Sands
Araceli Jalisco Eyes in Tequila
Estate Dew Me Baked Highlighter Powder in Lit
inmo cosmetics velveteen dream shadow in Kween Bee
Ciate London blush highlighter in Pinch Me
All from IPSY; why did they keep on sending me gold eyeshadows?
Foundations & Moisturizers
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Left to right;
Camelina + Strobe Luminizing Primer (I use it as a highlighter)
tarte Maracuja Tinted Hydrator in 10N Fair Neutral
ColourPop Pretty Fresh Foundation in Light 40N
Formula 10.0.6 Thirst No More! Moisturizer
I mix the two shades together, but it also depends on the season. I don't wear foundation very often, so yeah.
Clear Lip Stuff
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Left to right;
Bath & Body Works Pumpkin Cupcake
(Malin + Gotez) mojito lip balm
Ciate London Watermelon Burst Hydrating Lip Oil
Jersey Shore Cosmetics Watermelon Moisture Rich Hydrating Balm
Bath & Body Works Champagne Toast Lip Gloss
Lipsticks
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Left to right;
e.l.f Sheer Matte Liquid Lipstick in Bright Poppy
Lottie London Slay All Day in Fleek
melt in rebound
Burt's Bees Tinted Lip Balm in Sienna Rose
e.l.f. Sheer Slick in Dragonfruit
bellapierre cosmetics Mineral Lipstick in Envy
Liquid Eyestuff
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Left to right;
L.A. Colors Eye Marker in Blue
Covergirl Exhibitionist Lash Enhancing Liquid Eyeliner in Matte Black
Wet n Wild Mega Volume Mascara
item Lid Glaze in Lunar Drop
Kokie Profesional Crystal Fusion Liquid Eyeshadow in Polaris
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f-rg-tmigej · 2 years ago
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Hahaha, Dimmu Borgir i Stockholm med Malin, Jesper, Johan, Antero och Jake (Jabo, Jacob) Fan vad kul vi hade 😍
27 Oktober 2003
10 notes · View notes
juyub · 2 years ago
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Collectionneurs
Satisfait, Jacob Vacaasno se prélassait dans le grand lit français quand son téléphone portable s'est mis à sonner sur la table de nuit.
Mon bien-aimé, es-tu toujours au travail ? Je pense toujours à toi et je me languis de toi !
Avec un sourire amusé, il a répondu en tapant à la hâte au SMS de la femme qu'il avait demandée en mariage hier à genoux.
Oh, mon seul véritable amour, comme je t'aime. Je viens de rentrer à la maison et j'ai juste besoin de me reposer, je te contacterai demain.
Dans le grand miroir au-dessus du lit, notre Roméo, une fois son message accompli, se regardait avec satisfaction, ainsi que l'épouse somnolente de son meilleur ami, qu'il avait bien baisée dans le lit conjugal. Quant au grand amour qu'il venait de déclarer, Vacaasno songea avec amusement à l'efficacité de la demande en mariage auprès de la bimbo coincée pour l'attirer définitivement dans son lit. Elle n'était pas vraiment une bombe, mais elle avait de l'argent. Eh bien, il est temps de passer à l'étape deux et d'étriper cette idiote comme une dinde de Noël.
"Mon Dieu, que tu es belle !"
"Oh merci !"
L'épouse peu fidèle avait surpris dans son demi-sommeil les propos admiratifs de son amant et y avait réagi avec plaisir.
Jacob se contrôla péniblement pour ne pas éclater de rire. Cette stupide garce s'est en effet attribuée l'exclamation narcissique, alors qu'il s'admirait dans le miroir. Quelle putain de salope ! En fait, il s'était juste ennuyé et avait voulu faire la nique à son pote qui faisait le malin. Eh bien, les seins étaient tout à fait corrects. Peut-être qu'il l'annoncerait au mari trompé avec des remords feints, du genre 'elle m'a séduit'. Ce type était en effet un homme très féminin et le plus faux des amis se réjouissait déjà de le voir pleurer et de se délecter des jérémiades de la sensible Blanche-Neige.
A cette idée, la libido de l'impie Jacobus s'est fortement accrue et il a décidé de s'en prendre une nouvelle fois à son objet sexuel actuel.
*
Vacaasno s'est assis devant son ordinateur en riant, alors qu'il vérifiait l'un de ses nombreux faux profils sur Shinder.
Pour les dames en quête de contact sur le marché des portails de rencontre virtuels, notre loverboy jacobin s'appelait Scammy Fraudinski - un bel homme d'affaires fortuné qui cherchait le grand amour sur le net. Ce faisant, notre grand amoureux se concentrait sciemment sur des femmes qui ne correspondaient pas trop à l'idéal de beauté temporaire, mais dont les moyens financiers leur conféraient une certaine attractivité à ses yeux de cupide misogyne. Pour ce faire, il pratiquait une sorte de phishing et vendait les données ainsi obtenues à des partenaires commerciaux nigérians, qui arnaquaient ensuite les malheureuses dames par toutes sortes d'escroqueries via Internet. Notre gigolo virtuel se sentait parfois tenté de piller directement les comptes des dames, mais c'était trop dangereux pour lui.
La raison de cette explosion d'hilarité était les effusions d'amour limite débiles d'une dame médiévale du nom d'Anne Nala, qui appartenait plutôt à la lie intellectuelle de l'Absurdistan, mais qui occupait une position de pointe en tant que chef du service extérieur dans la direction du Teutonistan GmbH. C'était d'autant plus étonnant que cette femme inculte représentait pour ainsi dire le fanal des bimbos naïves en pain blanc, dont les capacités cognitives laissaient supposer qu'elles étaient trop stupides pour aller au puits. Au vu des déficiences mentales évidentes de certaines parties de la gent féminine en quête d'amour, certains collègues nigérians de Jacobs pensaient que cela était lié aux sortilèges vaudou des chamans mandatés, car aux yeux des Africains, plutôt réalistes, il était impossible que quelqu'un soit aussi profondément stupide.
Au moins, Vacaasno s'est bien amusé à voir cette noix sourde de responsable des relations extérieures présenter les lieux communs les plus triviaux comme une sagesse profonde. Eh bien, le Teutonistan Ltd., autrefois florissant, était de toute façon bien mal en point à cause de sa direction déjantée, qui remplaçait le manque de compétence par une indicible hubris. Outre l'aspect involontairement comique, notre grand coureur de jupons appréciait tout à fait les informations hautement explosives et précieuses que son amour d'Internet en mal d'écriture lui envoyait au passage pour s'en vanter. Mais au moins, cette fanfaronne aussi vaniteuse que stupide était une source d'argent abondante, puisque le chef du marketing Genrich Jagoda de la société Eastern Murder Inc. payait les prix les plus élevés pour les données obtenues.
Intéressé, le gigolo virtuel a découvert une nouvelle demande :
Bonjour !
tes photos sont superbes ! Je m'appelle Lisa Bathory et je suis toujours à la recherche d'un partenaire qui puisse me donner ce dont j'ai besoin. Rien qu'en pensant à lui, je tremble d'excitation.
Peu m'importe que tu sois beau ou laid, riche ou pauvre, instruit ou inculte. Je cherche le véritable amour, celui qui se donne corps et âme avec sincérité.
Pour que tu saches à qui tu as affaire, je t'envoie une photo de moi.
Si tu es intéressé(e), appelle-moi au 0190 666.
Quelle pute, il la baiserait comme elle en a besoin. L'image de cette femme visiblement en manque d'amour était un rêve macho et humide - rien que ses seins !
Le galant enflammé a rapidement pris une culotte à portée de main dans sa vaste collection de trophées, composée de sous-vêtements usagés de ces dames qui, pour leur malheur financier ou autre, se sont laissées faire par notre Don Juan pour pauvres. Jacobus le renifleur aspira avec délectation le mélange d'eau de pisse et d'autres parfums, afin de se mettre dans l'ambiance pour son prochain exploit érotique.
Vacaasno s'est emparé de son smartphone doré de marque Poser XL, autrefois financé par une maîtresse abandonnée depuis longtemps - la malheureuse payait encore les factures de téléphone exorbitantes de son grand amour en raison d'un contrat signé à la légère. Le numéro fut rapidement composé.
"Château Bran, Vlad Alucard à l'appareil".
Une légère confusion s'insinua dans l'appareil mental du gigolo téléphoniste, pour être remplacée par une cupidité naissante. Un château ! Il y avait certainement quelque chose à récupérer.
"Euh, je voudrais parler à Mme Lisa Bathory !"
"Désolé, Domnule, la maîtresse dort encore !"
"Désolé, vous me confondez avec quelqu'un d'autre. Je m'appelle Scammy Fraudinski et non Domnule. Votre maîtresse m'a écrit pour me demander de l'appeler" !
Légèrement déconcerté, l'appelant jacobin a pris connaissance du rire guttural de son interlocuteur, qui lui a ensuite répondu sur un ton enjoué.
"Vous ne pouvez pas le savoir, mais Domnule signifie 'mon seigneur' dans ma langue maternelle, mon seigneur. D'ailleurs, vous avez là un pseudonyme original. Cela peut vous surprendre, mais puis-je vous demander quel est votre groupe sanguin ? Je devrais peut-être aussi vous faire remarquer que la maîtresse vous récompensera richement si vous êtes à la hauteur de ses exigences".
Quel drôle d'énergumène, mais pour une riche récompense, il fallait accepter de faire quelques sacrifices.
"Groupe sanguin AB négatif, espèce d'oiseau. Qui êtes-vous maintenant ?"
Notre menteur notoire avait bien sûr triché, puisqu'en tant que zéro de caractère, il disposait également du groupe sanguin adéquat.
"Je suis en quelque sorte un serviteur".
"Ah, le mari !"
"Mancarea aime plaisanter. Non, plutôt une sorte de majordome. La maîtresse vous contactera ce soir. Réjouissez-vous ! Si vous êtes puissant, votre récompense dépassera vos rêves les plus fous. Puis-je connaître votre numéro de téléphone ?"
"0049 110 espèce de petit mac !"
"Adieu !"
Il avait vraiment raccroché ! Cette conversation vraiment bizarre a fait que notre Loverboy a pensé un moment à renoncer à cette connaissance. Mais comme pour beaucoup de gens, la cupidité l'a emporté sur la raison.
*
Les miaulements du téléphone portable n'en finissaient pas. Furieux, Vacaasno retira le masturbateur de ses parties les plus méridionales et remonta son boxer. Comme il détestait ces interruptions de son bodybuilding unilatéral du soir.
"Vacaasno, oui s'il vous plaît ?"
"Ah, mais pas Fraudinski ! C'est Lisa Bathory" !
Oups, dans la précipitation, il avait effectivement oublié qu'il s'agissait de son téléphone portable pour les victimes potentielles d'arnaques. De plus, le ton ironique de son interlocutrice le déconcertait.
"Euh, c'est vraiment Scammy Fraudinski. Vacaasno est mon surnom. En effet, j'attendais maintenant l'appel d'un ami et je me suis donc présenté ainsi".
Le rire pétillant d'érotisme de l'appelante rendit à son tour l'impie Jacobus légèrement confus et eut un effet stimulant sur la partie du corps précédemment entraînée, qui se redressa de manière exigeante.
"Tu n'es pas sans humour, Scammy Vacaasno ! Mais assez de plaisanteries douteuses ! Pour faire court : J'aimerais faire ta connaissance et t'inviter à un dîner. Si le courant passe, nous pourrons peut-être devenir plus intimes et envisager une relation à long terme. Au moins, je te récompenserai pour tes performances comme tu ne peux pas l'imaginer dans tes rêves les plus fous" !
Il y a de quoi rester bouche bée. Il n'avait encore jamais vécu cela dans ses relations d'exploitation avec le monde des femmes. Cette petite pute devait vraiment en avoir besoin, mais après tout, il y avait visiblement beaucoup à gagner avec cette nana ; il allait vraiment l'étriper.
"Eh bien, je ne suis pas vraiment un homme d'un soir et je ne suis pas du genre matérialiste, mais avec toi, je sens une certaine affinité. D'habitude, je suis très timide, mais d'une certaine manière, un sentiment profondément ancré dans mon âme m'attire vers toi. C'est presque comme si je te connaissais d'une vie antérieure".
La pute donnait certes une impression matérielle, mais Jacob pensait connaître le calibre. Après tout, il ne voulait pas seulement se taper cette salope en chaleur contre rémunération, mais aussi la plumer comme une oie de Noël. Son discours pseudo-romantique avait jusqu'à présent fonctionné avec chacune de ses victimes. Il fut d'autant plus surpris par le fou rire qu'il reçut en réponse et qui fit s'effondrer sa verge gonflée.
"S'il te plaît, ne ris pas, je vais peut-être pleurer".
Ces hommes-femmes adoraient les mauviettes pleurnichardes, peut-être qu'il s'en sortirait avec ce stratagème. A la rigueur, il restait le numéro macho, dans lequel il ferait passer certains passages de la conversation pour une blague masculine idiote.
"Tu es vraiment très amusante. Je me serais certainement souvenu de toi, mais arrêtons de jouer. Mmmh, à quelle heure le soleil se couche-t-il demain ? Tu n'as pas besoin de répondre, c'est juste une question rhétorique, si tu sais ce que cela signifie. Donc, vers 21 heures, heure de Transylvanie, tu seras à l'entrée sud du cimetière central. Un de mes serviteurs viendra te chercher et te conduira à l'hôtel particulier de ma ville, rue Morgue. Bon, je m'arrête là, il faut que je boive d'urgence un jus d'orange sanguine".
Perplexe, Vacaasno tenait le téléphone portable désormais muet dans sa main. Mon Dieu, cette nana était encore plus tordue que la stupide Galadriel dans une adaptation bâclée de Tolkien. Mais qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour de l'argent, et il semblait y en avoir beaucoup.
*
"Voilà, maître, nous sommes à l'entrée sud. J'aimerais bien savoir ce que vous faites là ? Vous êtes maintenant le troisième que je dépose ici cette semaine. Ça fait 16,66 euros !"
Eh bien, cette garce excitée semblait vraiment en avoir besoin ! Le visage impassible, Jacob paya le chauffeur de taxi au centime près, car ce type et son attitude impertinente l'avaient déjà fortement agacé dès qu'il était monté.
Mal à l'aise, le callboy jacobin regarda la grosse gargouille qui, à la lumière de néons froids, au-dessus de la porte fermée du cimetière, observait les visiteurs d'un regard de pierre.
Oups, c'était un grognement ? 
"Monsieur Vacaasno, je m'appelle Fenrir Kerberos. Ma maîtresse m'envoie, si vous voulez bien me suivre" !
Surpris, l'interpellé fit un tour sur lui-même et recula inévitablement d'un pas en apercevant l'énorme homme de couleur en tenue de cuir. Par la queue de Jupiter, le type était poilu - le plus pur des visages de fourrure. Comment cet ogre pataud avait-il réussi à s'approcher de lui presque sans bruit ? Un peu effrayant !
"Euh, je dois encore passer un coup de fil confidentiel et urgent. Vous n'êtes pas obligé de m'attendre. Dites-moi simplement le numéro de la maison, j'ai une excellente application de navigation".
Est-ce que le type avait aboyé ? C'est bizarre !
"Je suis désolé, ma maîtresse a donné des instructions détaillées. Sinon, on me remettra la laisse. Téléphonez tranquillement, je n'écoute pas" !
Ma gueule, la tante devait vraiment être complètement perverse. Pas seulement le SM, mais aussi le pet-play ! Mais au vu de la prospérité évidente de son hôtesse, Loverboy, soucieux de ses finances, a balayé ses doutes.
"Bon, je peux aussi téléphoner plus tard. Alors, allez-y" !
"Très bien, monsieur. Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous manger".
Pourquoi ce type riait-il si bizarrement ?
*
Après 10 minutes de marche, ponctuées par les halètements occasionnels de Kerberos, les joyeux randonneurs ont finalement atteint leur destination.
Comme par magie, le magnifique portail de la villa s'est ouvert - je laisse à l'imagination du lecteur avisé le soin de décrire exactement à quoi elle ressemblait, car je n'ai pas envie de décrire la construction pour le moment.
"Comme c'est gentil, une télécommande et la cabane n'est pas mal non plus. Votre patronne a l'air d'être assez fortunée" ?
"Télécommande ? C'est vrai, ma cabane est déjà assez exquise et la chaîne en or pur. Si vous souhaitez entrer, ma maîtresse vous accueillera ensuite dans la salle de réception. Vous devrez malheureusement renoncer à ma compagnie, je vais maintenant me faire une petite chasse au goûter".
Chasser un Snack ? Jacob ne savait pas vraiment quoi répondre - quel malade ! Après que Fenrir eut quitté les lieux en un clin d'œil, notre loverboy entra dans le domaine bathorien avec un soupir de soulagement. La maîtresse de maison ne pouvait pas être plus bizarre que son serviteur poilu.
Le luxe de ce véritable palais a rendu Vacaasno littéralement fou de cupidité ; il pouvait vraiment faire de l'argent ici !
"Bienvenue, mon cher ! Je suis content que tu sois venu".
Oui, est-ce qu'elles se sont toutes faufilées ? Sur le côté, sans qu'il s'en aperçoive jusqu'à présent, se trouvait une dame d'un attrait époustouflant - les amis, l'idéal de beauté temporaire est dans l'œil de celui qui regarde, c'est pourquoi, et comme je suis parfois vraiment paresseux, je laisse à mon aimable lectorat le soin d'imaginer les détails. En ce qui concerne les circonstances visuelles, le gigolo entreprenant était sûr de pouvoir se réjouir de la dame même sans incitation financière. Bon, la robe de brocart ancienne et le verre de vin de forme étrange qu'elle tenait à la main avaient un air un peu bizarre, mais on pouvait passer outre ce genre de choses avec ces salopes d'élite dégénérées quand elles avaient visiblement de l'argent comme de la merde et qu'elles étaient manifestement la baise du siècle.
"Lisa Bathory, je présume ?"
"Non, je suis la femme de chambre. Idiot !"
Cette petite garce était déjà impertinente, mais il finirait quand même par l'avoir.
"Pardonnez-moi, je suis irréfléchi. Vos photos chez Shinder ne sont qu'un pâle reflet de votre extraordinaire beauté. Je ne peux pas m'en empêcher, mais je dois avouer qu'il émane de vous quelque chose de rayonnant, qui illumine même la pièce la plus sombre. Presque quelque chose de magique..."
Le rire bref et perlé de son hôtesse interrompit le flot de paroles de l'imitation de Roméo.
"Délicieux, je pourrais te manger tout de suite. Mais chaque chose en son temps. Alors arrête tes bêtises et bois ça. Ne t'inquiète pas, ce n'est que du vin avec un petit ingrédient".
Cette garce a été très directe ! Il n'avait donc pas besoin de s'adonner à la douceur et devait plutôt compter sur ses capacités athlétiques.
"Tu ne bois pas ?"
Encore ce rire étrange, mais que ne supporte-t-on pas pour le travail et le plaisir.
"Plus tard, c'est garanti ! Je bois..."
Jacob l'ignorant remarqua l'étincelle moqueuse dans les yeux de son hôtesse, tandis que celle-ci restait silencieuse quelques secondes.
" ...pas de vin ! Mais maintenant, descends-le et d'un seul coup".
Il montrerait à cette pute arrogante quand il l'aurait attrapée. Avec un faux sourire, Vacaasno saisit le verre qu'on lui tend et le boit avidement.
"Il est excellent ! Je peux deviner ? C'est un Beerbocus 360 de 2023 ! Euh, qu'est-ce que..."
Le monde de Loverboy a commencé à tourner d'un seul coup. Cette satanée garce l'avait-elle empoisonné ? Avant que Morpheus ne le prenne gracieusement dans ses bras, Jacob entendit le rire joyeux de sa bien-aimée.
*
"Tiens, Kérberos, le dîner s'est réveillé !"
Se réveillant confusément de son rêve avec 99 vierges juste avant la défloration au paradis des machos, le loverboy jacobin a eu droit à un spectacle plutôt réjouissant. Entièrement dévêtue, la maîtresse de maison se tenait devant lui. Distrait par son corps parfait, Vacaasno, lui aussi nu, n'enregistra d'abord que peu de choses de son environnement, pour autant qu'il parvienne à le distinguer en position horizontale.
La salope aimait jouer, il allait donc lui montrer. Cependant, la tentative de se lever qui suivit immédiatement échoua lamentablement.
"Crétin, tu es enchaîné et tu es sur le banc de torture de mes ancêtres !"
Ce n'est qu'à ce moment-là qu'il y a eu une sorte d'élargissement de la conscience concernant le lieu de l'action en cours. Apparemment, il se trouvait dans un cachot intime qui avait le charme discret des salles de torture de l'Inquisition espagnole au début de l'ère moderne. Eh bien, peut-être un peu de SM hardcore ? Certes désagréable, mais il s'en sortirait d'une manière ou d'une autre. La chatte voulait donc jouer à la dominatrice avec son serviteur poilu, qui se trouvait manifestement hors de son champ de vision. D'accord, il savait ce que ces salopes malades aimaient.
"Domina, j'ai manqué à l'appel. S'il te plaît, punis-moi aussi durement que je le mérite".
Peut-être qu'un tel verbiage servile a contribué à ce que l'impérieuse hôtesse renonce à la partie brutale et aille droit au but, de sorte que l'esclave jacobin plein d'espoir n'a subi que des blessures mineures.
"Eh bien, Kerberos, je crois que notre invité n'a pas bien évalué la situation. Sois gentil, va donc chercher la collection".
"Oui maîtresse !"
Petit à petit, Vacaasno s'est rendu compte que quelque chose n'allait pas du tout. Il semblait vraiment être tombé entre les mains de vrais psychopathes. La seule chose à faire était de rester calme et d'attendre. Peut-être qu'il pourrait répondre aux tendances perverses de ces deux-là et s'échapper d'une manière ou d'une autre.
Au bout de quelques minutes, le serviteur poilu, également dévêtu, apparut enfin dans le champ de vision de l'homme allongé. Cependant, le cri d'horreur de Jacob ne s'adressait pas au corps extrêmement laid de Kerberos, mais au contenu de la vitrine d'exposition mobile qu'il poussait devant lui.
"Tais-toi ou je te coupe la langue !"
Face au changement de situation et à la vision inhabituelle, Jacob la crut sur parole et préféra ne plus exprimer verbalement sa panique.
"Ceci, mon cher, a d'ailleurs entendu Kérberos avant que je ne le transforme pour le prendre à mon service !"
La Bathory désigna le plus grand des nombreux organes sexuels masculins qui se trouvaient dans des bocaux de préparation remplis d'alcool à l'intérieur de la vitrine.
"Il a eu moins de chance ! C'était un beau grec que je voulais empailler, mais j'en ai tellement dans mon salon. Alors je n'ai pris que l'essentiel et j'ai jeté le reste à la poubelle. Il n'avait aussi que le groupe sanguin B positif et ne valait pas la peine d'être transformé. Qu'est-ce que je vais faire de toi ?“
Oh, mon Dieu, des assassins malades mentaux ! Loverboy ne pouvait plus réprimer sa panique.
"S'il vous plaît, ne faites pas ça, je ferai tout ce que vous voudrez, mais épargnez-moi".
"Dis-moi : je veux mourir et te donner tout mon sang !"
C'est avec une profonde horreur que Jacob réalisa que cette femme tueuse d'hommes littéralement était  supérieure à lui sur le plan intellectuel. Le macho en détresse se mit à pleurer à chaudes larmes comme une petite fille, sans trop savoir s'il avait plus peur de sa mort potentielle ou de la castration.
"Pleurer ne te sert plus à rien maintenant. Mais tu commences à m'ennuyer. En fait, je n'aime pas trop les pleurnichards comme toi, mais en raison de ton groupe sanguin rare, je vais quand même t'accepter dans la communauté des damnés. Tu pourrais faire un bon bouffon et nettoyer les latrines en même temps. Je vais te goûter !"
Les pleurs se transformèrent en cris stridents lorsque d'énormes crocs poussèrent sur la tortionnaire, que Lisa la Vamp planta rapidement dans le bras droit de Jacob, lié par les liens de l'amour. Dégoûtée, la Bathory abandonna sa victime après les premières gorgées et recracha le peu délicieux breuvage.
"Beurk, groupe sanguin zéro ! Je les déteste ! Sale bâtard, tu vas payer pour ça ! Kerberos, il est à toi. Mais s'il te plaît, mets ses restes dans les ordures ménagères".
Pendant que la vampire quittait le donjon, Jacobus le mordu a pu assister à la transformation d'un humain en loup-garou, ce qui a bien sûr augmenté le niveau sonore technique des cris de quelques décibels.
Finalement, Jacob Vacaasno, son roi macho et loverboy de la pire espèce, s'est fait vraiment manger par une créature masculine un peu poilue.
© 2023 Q.A.Juyub
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christophe76460 · 4 months ago
Text
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Dieu est pour nous refuge et force,
Dans la détresse un secours toujours prêt.
C'est pourquoi nous ne craindrons point,
Quand même la terre serait bouleversée,
Et que les montagnes chancelleraient au cœur des mers.
Que les flots mugissent et jettent leur écume,
Que les montagnes soient ébranlées par le soulèvement des vagues...
[L'Eternel des armées est avec nous,
Le Dieu de Jacob est notre haute retraite.]
Il est un fleuve dont les bras réjouissent la cité de Dieu,
Ce lieu saint des demeures du Très-Haut.
DIEU EST AU MILIEU D'ELLE : elle n'est point ébranlée,
Dieu lui donne secours dès le retour du matin.
Les nations s'agitent, les royaumes s'ébranlent...
Qu'il fasse entendre sa voix, la terre se fondra.
L'Eternel des armées est avec nous,
Le Dieu de Jacob est notre haute retraite.
LA BIBLE PSAUME 46.2-8
DIEU EST LA , ne nous laissons pas intimider, ni abuser par le malin❗ Enracinés et solides en CHRIST nous ne craignons RIEN ❗
- PROVERBE 18.10 - Le nom de l'Eternel est une tour forte; Le juste s'y réfugie, et se trouve en sûreté.
Bonne soirée à tous. Restons dans SA paix. 🙋‍♀️ 🌻 🌈 😘 🙏
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thesimboneyard · 8 months ago
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Concept
Alphabet legacy but kinda the opposite where names of each gen have to end with the same letter, each generation moving through the alphabet i.e Luca, Annabella and Ezra then Jacob and Robb ect.
Inspired by my current household with their kids Senan, Malin and Quinn. Guess its names ending in O for the next gen :p
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amirmalin · 1 year ago
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Amir Malin: Navigating the Intersection of Creativity and Business in the Film Industry
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There is perhaps no greater test for the union of art and business than making a hit movie. It’s a storytelling on a global scale that costs millions of dollars and faces fierce competition for consumers’ discretionary dollars. In fact, it’s the very tension between artistic directors and finance-minded executives that often leads to box office bombs. 
But for industry veteran Amir Jacob Malin, the challenge of marrying creative work to business sense has always been the best part of his job. 
Throughout his decades-long career in the entertainment sector, Malin has consistently managed to straddle the line between left- and right-brained thinking to deliver both commercial and critical successes. 
During his tenure, he helped transform a home video company into a hit studio, shepherded directors’ careers from obscurity to mass appeal, produced hit movies, and led companies to unprecedented success. 
The making of a great executive 
How does he do it? Perhaps it’s the unique approach Amir Malin has taken throughout his career that allows him to consistently make decisions that are both lucrative and artistically compelling. 
Malin talked about his background at a finance panel discussion at the Cannes Film Festival in 2003. That approach was shaped early. While his professional training comes from Brandeis and Boston University School of Law, his artistic sensibility was shaped in screening rooms on Long Island. 
A native of Great Neck, New York, Malin grew up around the children of movie executives in the days before the industry was completely rooted in Los Angeles. Many of his fondest memories involve watching yet-to-be-released films in the comfort of his friends’ homes. 
During these special viewings, something about the art form connected with him, and Malin soon found himself spending his high school weekends driving to Manhasset to watch movies by Truffaut, Polankski, or Hitchcock play at the local art house theater. 
As the years passed, his youthful sense of wonder crystallized into a deep passion for movies. But it was the time spent learning from his father, an entrepreneur, that revealed his natural acumen for business. He knew early on he wanted to combine both sides of himself into a career. 
A vision for success
One of the clearest examples of Malin’s two-sided approach to movie industry came from the 1999 dark horse blockbuster, “The Blair Witch Project.” Famously shot on a paltry budget by three University of Florida students, the movie almost didn’t see wide distribution. It was only thanks to Malin and his colleagues at Artisan, who were the first executives to recognize the film’s commercial appeal.
Just hours after seeing “Blair Witch” at the Sundance Film Festival, Malin and his team inked a $1 million deal with the filmmakers for the rights to the film. There was just one problem—everyone thought they were wrong. 
Inspired in part by the movie’s creative “found footage” style of filmmaking, Artisan spearheaded an innovative rollout plan. Under Malin’s guidance, the studio curated and spread an unofficial mythology of the film, using the early internet of 1999 as the grounds for a guerilla marketing campaign that carefully implied the movie was real recovered footage from a young documentary team. 
Malin also made sure the movie opened slowly, showing on very few screens in major metropolitan areas in order to build buzz and attract excitement. 
The stunts worked. 
Despite its low budget, untested filmmaking team, and lack of interest from any major studio, “The Blair Witch Project” went to net $140 million at the American box office. It also cemented Artisan as a serious studio and Malin as a sharp executive with a keen artistic vision. 
The end result
Building off the success of “Blair Witch,” Malin went on to secure or produce a series of independent and off-beat movies. Hits like “Requiem for a Dream” and “Van Wilder” followed, further establishing both him and his company as leading voices at the cutting-edge of filmed entertainment. 
Financial success followed close behind. When Artisan was finally sold to Lions Gate Entertainment in 2003, Malin had presided over an unprecedented turnaround. The final sale brought a nearly 700 percent return for the original Bain Capital led shareholder group. 
Just as remarkable as his success was his process. Despite working in the movie industry, Malin largely avoided Hollywood. He continued to live in New York, preferring to take trips to the West Coast when they were necessary. His position outside the bubble of Los Angeles allowed him to see the industry more clearly from afar. 
Like all of his decisions, it was both shrewd and creative, the perfect blend of artistic vision and business knowhow. 
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sinceileftyoublog · 2 years ago
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Winnetka Music Festival: 6/16-6/17
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Alejandro Escovedo
BY JORDAN MAINZER
Unlike summer street festivals in other “affluent” Chicago suburbs--Alejandro Escovedo’s words, not mine--the Winnetka Music Festival chooses established and up-and-coming independent, original artists in favor of the usual rotation of the same five cover acts. 
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The Wallflowers
Friday night, the headliner was a band that unexpectedly signed with New West two years ago: none other than The Wallflowers, the long-running project of singer-songwriter Jakob Dylan. Yes, they played the major songs from beloved major label sophomore record Bringing Down the Horse: the eternal “One Headlight”, the Adam Duritz-featuring “6th Avenue Heartache”, the “Sweet Jane”-riffed “Three Marlenas”, blasted jam “The Difference”, and Southern rocker “God Don’t Make Lonely Girls”. Though the aforementioned Counting Crow was nowhere to be found, the rest of the band brought down the horse house. Ben Peeler’s shimmery steel guitars shined alongside the churchy keys of the band’s biggest hits. If Dylan’s voice was raspy and understated, the instrumentation delivered the emotional punches, especially on songs from their latest Exit Wounds like “Roots and Wings”, where Dylan reflects on where he came from and what’s allowed him to move beyond. And the encore contained two covers of songs by Tom Petty and the Heartbreakers; considering Dylan’s father played in a band with the late, great Petty, it (perhaps unfairly) feels like The Wallflowers covering Petty is more appropriate than a version from any other Americana band. They were certainly crowd pleasers. After a speech about the paradox of “rules are meant to be broken,” Dylan proclaimed one mantra he’s learned to follow: “If you got a good thing, keep it going.” I can’t think of a better phrase to sum up everything about The Wallflowers, from that one set to their entire career.
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The Dip
Proceeding The Wallflowers on the same stage was another singalong-friendly band, Seattle R&B/funk septet The Dip. Yes, they were masters of style and tempo. Jacob Lundgren’s prickly guitars propelled the existential “Crickets”. Mark Hunter’s bass and Jarred Katz’ drums buoyed the strut of “She Gave Me The Keys”. The fluttery horn section--trumpeter Brendan Carter, tenor saxophonist Levi Gillis, and baritone saxophonist Evan Smith--were given ample space to solo and meander through the extended jams of “She Gave Me The Keys” and “Sure Don’t Miss You”. Throughout, Tom Eddy’s soulful lead vocals and charismatic banter and context helped make a decidedly retro band sound fresh and contemporary.
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Escovedo
If there was an outlier in not just the bands I saw but the whole festival, it was Alejandro Escovedo. He admitted it, noticing that unlike The Wallflowers and that night’s main headliner, Michael Franti & Spearhead, “We don’t get you movin’ and dancing.” The band took their time to sort through some sound issues and eased into their set, beginning with the languid “Wave” and echoing “Sometimes”, respective showcases for synthesizer/keyboard player Scott Danbom and drummer Mark Henne. Eventually, Escovedo and company became energized, laying down power pop burner “Break This Time” and Escovedo’s two most popular tunes, Chuck Prophet co-write (and dedicated to the hurting Jesse Malin) “Always a Friend” and “Castanets”. But it was the tunes in between that stood out. Escovedo introduced “Dearhead on the Wall” as “a song about taxidermy and Buddhism”; as he’s aged, the way his voice trembles on his more contemplative tunes is almost gothic in character, effective even if not purposeful. He muffled his vocals on “Sally Was a Cop” and “Teenage Luggage”; non-fans, town locals, and passersby likely didn’t expect to hear the words, “America's a blood-stain in a honky-tonk kill” emanating from the stage as if through a megaphone. Then again, with a discography like Escovedo’s, nobody knew what to expect, and he delivered a masterfully taut collection of his finest songwriting, leaving the band the opportunity to straight up choogle.
So, yes, the Winnetka Music Festival, which is presented in collaboration with SPACE in Evanston, is not your average Chicago suburban street festival, and certainly not one I would have expected even 10 years ago, let alone growing up on the North Shore of Chicago.
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princesssarisa · 1 year ago
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Hmm...
*Salzburg Festival, 1987 (Michael Hampe production – Samuel Ramey, Ferruccio Furlanetto, Anna Tomowa-Sintow, Julia Varady, Kathleen Battle, et al. conducted by Herbert von Karajan)
*Metropolitan Opera, 2000 (Franco Zeffirelli production – Bryn Terfel, Ferruccio Furlanetto, Renée Fleming, Solveig Kringelborn, Hei-Kyung Hong, et al., conducted by James Levine)
*Festival Aix-en-Provence, 2002 (Peter Brook production – Peter Mattei, Gilles Cachemaille, Alexandra Deshorties, Mirielle Delunsch, Lisa Larsson, et al, conducted by Daniel Harding)
*Innsbruck Festival, 2006 (Vincent Boussard production – Johannes Weisser, Marcos Fink, Malin Byström, Alexandrina Pendatchanska, Sunhae Im, et al., conducted by René Jacobs)
Basically, I like productions that, while not strictly traditional per se, aren't too distractingly avant garde, and strong singing actors who offer fresh, vivid, complex characterizations. A production that doesn't try to glorify Giovanni – even if it does give him some faintly sympathetic qualities – and that doesn't insult the female characters is a bonus too.
I'll leave it at these four for now, but I'm planning to do a marathon viewing very soon of all the productions I can get my hands on, whether on DVD or online.
pst what are your guys' favorite don g productions
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zuulosdovah · 5 years ago
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The Malin cousins! From left to right: Danni, Kettil, Tea, Mats, Idmon and Kaina.
Character introductions under the cut
Daniella “Danni” Malin-Flett (née Malin) Born: 1956
First child of Hakon and Lone Malin. With both her sibling being rather non-conforming according to pureblood standards, Danni took it upon herself very early to be the picture perfect daughter and heir so that Tea and Kettil could continue to be themselves in any way they wanted to. As such, she sets higher standards for herself than her parents ever could, and even though she’s the epitome of maturity and composure, as well as a largely successful duelling champion, nothing she does will ever be good enough to her. Her earrings change according to the phases of the moon.
Tea Malin Born: 1958
Second child of Hakon and Lone Malin. Tea (pronounced Te-ah) is very much a free spirit and a traveler at heart. She hardly spends any time at home, choosing instead to travel the world to experience as much of it as it as she can, both muggle and magic. When she runs out of money, she goes home and works at her uncle Viljar’s shop Olivkvisten until she has the funds to travel again. She runs by her own clock - always late, but never failing to show up in the end. Quite adept at broom-racing. Has a scary accurate gut-feeling when it comes to the weather.
Kettil Malin Born: 1961
Third child of Hakon and Lone Malin. Everyone was convinced Kettil (pronounced Shet-ill) was a squib until he finally displayed magic at the late age of 13. What people don’t know is that he bargained with a spiritus to get those abilities - a dark creature who stole them from someone else to give to Kettil - in a moment of fear, as he was a squib born to a very traditional pureblood family during the first wizarding war. The white of his hair is a result of his body trying to reject the foreign magic - something that still causes him to have spouts of accidental magic and fainting spells. That hasn’t put a damper on his spirit though (unfortunately). He’s still as smart-mouthed as he is accident prone, happily talking back to the wrong people and tripping over air like it’s his day job. Has a huge interest in magic artifacts, dark ones especially. His favourite is a Troll Ball he’s affectionately named Trulsa and uses to torment his sisters with constantly.
Mats Seipel Born: 1971
While technically not related to the Malins, Mats’ folks have always been neglectful of him, so he’s come to strike up a strong father-son relationship with Viljar that has him invited to all the family gatherings. Even so, he’s a rather private person who’d rather not talk about himself if he can help it. Slow to trust and used to his own company, it takes a while for Mats to open up and make nice with strangers, but for the ones who break through his standoffish exterior, he makes for a very loving and trustworthy friend. Has heterochromia, but despises the attention it attracts, so he keeps his left eye hidden behinds his bangs. He could use glamours to hide it, but his skin is overly sensitive to them - they make him break out in hives.
Jacob “Idmon” Malin Born: 1965
First child of Sigurd and Lucy Malin. They say Idmon used to be remembered fondly among his peers, before the Cursed Vaults drove him mad. The truth, naturally, is a bit more complex than that. While kind-hearted, Idmon also suffered from severe anxiety that gradually turned him into a chronic liar and people-pleaser who changed personality and opinion on the fly based on who was around to hear. It wasn’t a thing done out of malice, but rather a fear of rejection and confrontation. Between that, his natural legilimency, the Cursed Vaults, and R, it was really no wonder he ended up a nervous, paranoid mess. To himself, he’s twenty nervous habits and one hell of an obsessive personality trait crammed into a gryffindor uniform that ultimately feels undeserved. Everything about him is fake, fake, fake, he’s tricking everyone into thinking he’s a good person when in reality he’s a manipulative coward, oh Merlin, he’s awful-- 
Drakaina “Kaina” Malin Born: 1973
Second child of Sigurd and Lucy Malin. Kaina is very bold in everything she does. She’s a dangerous combination of being brave to the point of stupidity, having a strong sense of what's "right," and no regards for authority figures or rules. She’s social and loud and for the most part optimistic and happy, but with a temper that can swing to all kinds of extremes at the drop of a hat. Emotionally driven and good at reading people thanks to her natural legilimency, Kaina is just content with surrounding herself with people. She has a strong protective streak as well as obsessive tendencies, and needs to be needed, otherwise she’s not happy. Unfortunately, this can make her pushy, since she doesn’t really know how to be a friend without having something to fix, so she often inserts herself in situations where she isn’t wanted and doesn't belong.
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softfairies · 6 years ago
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I JUST LOVE HIM TOO MUCH???
I really love him??? I love all the headcanons you created for him @zuulosdovah and his personality, design???? And I love his relationship with Kaina??? I also love her a lot, I'll draw her later I can garantee you that for sure!!!! I just love that Gryffindor girl so much,,,
I hope it's okay I draw a little portrait of him?? And I hope you like it 💖 I really enjoyed drawing him, it was a lot of fun!!! And his hair after being in the Cursed Vaults?? Iconic.
💓💞💕💗💖✊💝
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holly-mckenzie · 3 years ago
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You’re nothing if not persistent. I had hoped you had reconsidered my proposal. Unless you had considered the obstacle too great.
Benjamin Fuchs & Satu Järvinen in A Discovery of Witches (3.04) 
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pleasereadmeok · 3 years ago
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Matthew scene by scene in  season 3
Episode 6 Scene 4 -  Stand up and face me!
If you haven’t read these before don’t expect any other character arcs - forget it.  Matthew all the way here. AND this is distinctly ‘shallow end’ stuff that is not to be taken too seriously.
SPOILERS if you haven’t seen episode 6!  Book spoilers in here as well. 
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Matthew is sitting quietly looking at Philippe’s watch.  Is that a slight smile as we hear that Benjie is back?  “It still keeps perfect time.” is his opener.  No ‘Hi son - long time no see.  Prepare to die.’  Seriously if Matthew is gonna end Benjie - just get it over already and cut the chat!
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Benjie looks a bit pleased that Daddy has come to visit. “Father, you’re finally here.”   Matthew pokes the bee hive and trashes Benjie’s addiction to ‘cruelty and obscenity.’  Ouch - but probably deserved.  
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 “That you would choose this place” - this was where Philippe was held prisoner.    I think Matthew has already figured out that Benjie had a role in Philippe’s torture but his ‘son’ is actually proud of it.  “Some of my best work.”   Oh oh - Matthew is standing up. 😱 Watch out Benjie you little shit!
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Benjie is provoking Matthew - talking about how well he was rewarded by the Nazi’s for the info’ he got from Philippe.  Nah!  You got NOTHING mate.  Philippe fed him false info!  Go Phil.  👏
Matthew is really going for it now -  the way he says Benjie’s name with absolute disdain is icy cold.  Ben - ja -min.  He reckons Benjie has a major chip on his shoulder about being “The wronged son.”  
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“I am exactly what you made me.”
Well actually Matthew - Benjie has a point about that.  You turned him into a vamp and let him loose to figure how to deal with it himself.   Also - while we are on the subject.  So Benjie betrayed your family - wouldn’t it have been easier to punish him by killing him then the problem is solved forever?  But Noooooooo - that would have been too easy and far less dramatic!  
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Matthew regrets that now.  Benjie reckons that daddy didn’t have the courage to just kill him outright - instead he destroyed him “One day, one drop of blood at a time.”   Oh and of course he passed on his blood rage to Benjie.  
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Matthew was glad that he did.  OK, Matthew - how many innocent humans were killed by Blood Raged Benjie?  Did you ever think of that?  🤬   But I forgive him coz of the gratuitous neck shot ...  I thank you.  
Moving on - Benjie doesn’t reckon that blood rage is a curse - 
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“It’s a gift.  The only thing of worth you gave me.”   Matthew doesn’t react to that - instead there is something else he wants to know.
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“Tell me, I’m intrigued, why now?”  Benjie is obviously a VERY patient vamp coz he’s been planning this for CENTURIES.  “I had to wait....for you to be happy.”
This is all very civilised so far but now Benjie goes way too far - he wants Diana.  I mean he WANTS her to give him children.  Oh crap Benjie has really pulled the pin from the grenade now.  
FIGHT!!!!!
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Oh yeah - Benjie is launched through a wall and general fisticuffs ensue.
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Actually this is brutal.  Neither of these vamps is holding back - they are vicious, animalistic and fuck me, Matthew is growling again.  I felt that head butt Matthew gives Benjie.   It’s game of cat and mouse that ends in a vicious fight when Benjie whacks daddy off his feet with an iron bar and they brawl in one of the cells. There are sparks, because of course there are, as we see a blur of bodies fighting for their vampy lives.   Who will come out of that room alive? 
[Side note -   You don’t often see no holds barred fighting on screen so I bet these two had great fun with this.]  
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Matthew is the victor and we see him dragging Benjie out into the corridor.   Why?   Why not just end him in the cell?  I guess they couldn’t fit the camera in there....   Anyway, Matthew drags Benjie out by his coat - yes his coat.  
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You know the one that Lena borrowed... 🤔  Oh well - Benjie probably has a few of them for every occasion - a witch raping coat, a torturing coat,.... a killing daddy coat.
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Matthew throws Benjie in a heap on the floor.   “Stand up and face me!” 
OH for god sakes GET ON WITH IT MATTHEW!   But NOOOOOOOOO!  Coz this is Matthew Clairmont with his Catholic guilt and his conscience so at the very last moment he goes soft.  🤬
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“It’s not your fault that I wasn’t a good father.”
WTF? BIG mistake.  HUGE mistake.  Coz ZAP!  Matthew is gripped by a witchy spell by Satu. 
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🤦🏻‍♂️
Book spoilers - Satu had no involvement in the Chelm fight.  Knox was the witch that Benjie got help from.  I like this change.  Coz we got Knox being dealt with by Sarah instead of Diana - loved that. Justice!  Benjie has manipulated Satu into helping and Satu is so damn desperate with jealousy of Diana that she will do anything to prove that she is ‘top witchy’.  I think she has deluded herself into believing that she is an all powerful coz she’s been taught to weave by her mummy.  She has NO idea that Diana is way ahead of her and has been trained by far more powerful witches back in 1590.   But I’m jumping ahead to stuff that happens in the next ep so I’ll stop there. 
Next up: I thought you might like to say goodbye.
📷 ADOW S3:06 unedited screenshots - see how dark these are. 
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ladycibia · 5 years ago
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Gryffindor kiddos (1/2), starring @angie-draws-sometimes, @neonbluewaves, @wickedica, @firefighter01, @migui-s18 and @zuulosdovah’s amazing mcs!! I hope you don’t mind if I borrowed your children, and if you do (or if you don’t like the final result or I’ve messed this up etc.), I’m sorry! :c I tried my best!
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juyub · 2 years ago
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Collectionneurs
Satisfait, Jacob Vacaasno se prélassait dans le grand lit français quand son téléphone portable s'est mis à sonner sur la table de nuit.
Mon bien-aimé, es-tu toujours au travail ? Je pense toujours à toi et je me languis de toi !
Avec un sourire amusé, il a répondu en tapant à la hâte au SMS de la femme qu'il avait demandée en mariage hier à genoux.
Oh, mon seul véritable amour, comme je t'aime. Je viens de rentrer à la maison et j'ai juste besoin de me reposer, je te contacterai demain.
Dans le grand miroir au-dessus du lit, notre Roméo, une fois son message accompli, se regardait avec satisfaction, ainsi que l'épouse somnolente de son meilleur ami, qu'il avait bien baisée dans le lit conjugal. Quant au grand amour qu'il venait de déclarer, Vacaasno songea avec amusement à l'efficacité de la demande en mariage auprès de la bimbo coincée pour l'attirer définitivement dans son lit. Elle n'était pas vraiment une bombe, mais elle avait de l'argent. Eh bien, il est temps de passer à l'étape deux et d'étriper cette idiote comme une dinde de Noël.
"Mon Dieu, que tu es belle !"
"Oh merci !"
L'épouse peu fidèle avait surpris dans son demi-sommeil les propos admiratifs de son amant et y avait réagi avec plaisir.
Jacob se contrôla péniblement pour ne pas éclater de rire. Cette stupide garce s'est en effet attribuée l'exclamation narcissique, alors qu'il s'admirait dans le miroir. Quelle putain de salope ! En fait, il s'était juste ennuyé et avait voulu faire la nique à son pote qui faisait le malin. Eh bien, les seins étaient tout à fait corrects. Peut-être qu'il l'annoncerait au mari trompé avec des remords feints, du genre 'elle m'a séduit'. Ce type était en effet un homme très féminin et le plus faux des amis se réjouissait déjà de le voir pleurer et de se délecter des jérémiades de la sensible Blanche-Neige.
A cette idée, la libido de l'impie Jacobus s'est fortement accrue et il a décidé de s'en prendre une nouvelle fois à son objet sexuel actuel.
*
Vacaasno s'est assis devant son ordinateur en riant, alors qu'il vérifiait l'un de ses nombreux faux profils sur Shinder.
Pour les dames en quête de contact sur le marché des portails de rencontre virtuels, notre loverboy jacobin s'appelait Scammy Fraudinski - un bel homme d'affaires fortuné qui cherchait le grand amour sur le net. Ce faisant, notre grand amoureux se concentrait sciemment sur des femmes qui ne correspondaient pas trop à l'idéal de beauté temporaire, mais dont les moyens financiers leur conféraient une certaine attractivité à ses yeux de cupide misogyne. Pour ce faire, il pratiquait une sorte de phishing et vendait les données ainsi obtenues à des partenaires commerciaux nigérians, qui arnaquaient ensuite les malheureuses dames par toutes sortes d'escroqueries via Internet. Notre gigolo virtuel se sentait parfois tenté de piller directement les comptes des dames, mais c'était trop dangereux pour lui.
La raison de cette explosion d'hilarité était les effusions d'amour limite débiles d'une dame médiévale du nom d'Anne Nala, qui appartenait plutôt à la lie intellectuelle de l'Absurdistan, mais qui occupait une position de pointe en tant que chef du service extérieur dans la direction du Teutonistan GmbH. C'était d'autant plus étonnant que cette femme inculte représentait pour ainsi dire le fanal des bimbos naïves en pain blanc, dont les capacités cognitives laissaient supposer qu'elles étaient trop stupides pour aller au puits. Au vu des déficiences mentales évidentes de certaines parties de la gent féminine en quête d'amour, certains collègues nigérians de Jacobs pensaient que cela était lié aux sortilèges vaudou des chamans mandatés, car aux yeux des Africains, plutôt réalistes, il était impossible que quelqu'un soit aussi profondément stupide.
Au moins, Vacaasno s'est bien amusé à voir cette noix sourde de responsable des relations extérieures présenter les lieux communs les plus triviaux comme une sagesse profonde. Eh bien, le Teutonistan Ltd., autrefois florissant, était de toute façon bien mal en point à cause de sa direction déjantée, qui remplaçait le manque de compétence par une indicible hubris. Outre l'aspect involontairement comique, notre grand coureur de jupons appréciait tout à fait les informations hautement explosives et précieuses que son amour d'Internet en mal d'écriture lui envoyait au passage pour s'en vanter. Mais au moins, cette fanfaronne aussi vaniteuse que stupide était une source d'argent abondante, puisque le chef du marketing Genrich Jagoda de la société Eastern Murder Inc. payait les prix les plus élevés pour les données obtenues.
Intéressé, le gigolo virtuel a découvert une nouvelle demande :
Bonjour !
tes photos sont superbes ! Je m'appelle Lisa Bathory et je suis toujours à la recherche d'un partenaire qui puisse me donner ce dont j'ai besoin. Rien qu'en pensant à lui, je tremble d'excitation.
Peu m'importe que tu sois beau ou laid, riche ou pauvre, instruit ou inculte. Je cherche le véritable amour, celui qui se donne corps et âme avec sincérité.
Pour que tu saches à qui tu as affaire, je t'envoie une photo de moi.
Si tu es intéressé(e), appelle-moi au 0190 666.
Quelle pute, il la baiserait comme elle en a besoin. L'image de cette femme visiblement en manque d'amour était un rêve macho et humide - rien que ses seins !
Le galant enflammé a rapidement pris une culotte à portée de main dans sa vaste collection de trophées, composée de sous-vêtements usagés de ces dames qui, pour leur malheur financier ou autre, se sont laissées faire par notre Don Juan pour pauvres. Jacobus le renifleur aspira avec délectation le mélange d'eau de pisse et d'autres parfums, afin de se mettre dans l'ambiance pour son prochain exploit érotique.
Vacaasno s'est emparé de son smartphone doré de marque Poser XL, autrefois financé par une maîtresse abandonnée depuis longtemps - la malheureuse payait encore les factures de téléphone exorbitantes de son grand amour en raison d'un contrat signé à la légère. Le numéro fut rapidement composé.
"Château Bran, Vlad Alucard à l'appareil".
Une légère confusion s'insinua dans l'appareil mental du gigolo téléphoniste, pour être remplacée par une cupidité naissante. Un château ! Il y avait certainement quelque chose à récupérer.
"Euh, je voudrais parler à Mme Lisa Bathory !"
"Désolé, Domnule, la maîtresse dort encore !"
"Désolé, vous me confondez avec quelqu'un d'autre. Je m'appelle Scammy Fraudinski et non Domnule. Votre maîtresse m'a écrit pour me demander de l'appeler" !
Légèrement déconcerté, l'appelant jacobin a pris connaissance du rire guttural de son interlocuteur, qui lui a ensuite répondu sur un ton enjoué.
"Vous ne pouvez pas le savoir, mais Domnule signifie 'mon seigneur' dans ma langue maternelle, mon seigneur. D'ailleurs, vous avez là un pseudonyme original. Cela peut vous surprendre, mais puis-je vous demander quel est votre groupe sanguin ? Je devrais peut-être aussi vous faire remarquer que la maîtresse vous récompensera richement si vous êtes à la hauteur de ses exigences".
Quel drôle d'énergumène, mais pour une riche récompense, il fallait accepter de faire quelques sacrifices.
"Groupe sanguin AB négatif, espèce d'oiseau. Qui êtes-vous maintenant ?"
Notre menteur notoire avait bien sûr triché, puisqu'en tant que zéro de caractère, il disposait également du groupe sanguin adéquat.
"Je suis en quelque sorte un serviteur".
"Ah, le mari !"
"Mancarea aime plaisanter. Non, plutôt une sorte de majordome. La maîtresse vous contactera ce soir. Réjouissez-vous ! Si vous êtes puissant, votre récompense dépassera vos rêves les plus fous. Puis-je connaître votre numéro de téléphone ?"
"0049 110 espèce de petit mac !"
"Adieu !"
Il avait vraiment raccroché ! Cette conversation vraiment bizarre a fait que notre Loverboy a pensé un moment à renoncer à cette connaissance. Mais comme pour beaucoup de gens, la cupidité l'a emporté sur la raison.
*
Les miaulements du téléphone portable n'en finissaient pas. Furieux, Vacaasno retira le masturbateur de ses parties les plus méridionales et remonta son boxer. Comme il détestait ces interruptions de son bodybuilding unilatéral du soir.
"Vacaasno, oui s'il vous plaît ?"
"Ah, mais pas Fraudinski ! C'est Lisa Bathory" !
Oups, dans la précipitation, il avait effectivement oublié qu'il s'agissait de son téléphone portable pour les victimes potentielles d'arnaques. De plus, le ton ironique de son interlocutrice le déconcertait.
"Euh, c'est vraiment Scammy Fraudinski. Vacaasno est mon surnom. En effet, j'attendais maintenant l'appel d'un ami et je me suis donc présenté ainsi".
Le rire pétillant d'érotisme de l'appelante rendit à son tour l'impie Jacobus légèrement confus et eut un effet stimulant sur la partie du corps précédemment entraînée, qui se redressa de manière exigeante.
"Tu n'es pas sans humour, Scammy Vacaasno ! Mais assez de plaisanteries douteuses ! Pour faire court : J'aimerais faire ta connaissance et t'inviter à un dîner. Si le courant passe, nous pourrons peut-être devenir plus intimes et envisager une relation à long terme. Au moins, je te récompenserai pour tes performances comme tu ne peux pas l'imaginer dans tes rêves les plus fous" !
Il y a de quoi rester bouche bée. Il n'avait encore jamais vécu cela dans ses relations d'exploitation avec le monde des femmes. Cette petite pute devait vraiment en avoir besoin, mais après tout, il y avait visiblement beaucoup à gagner avec cette nana ; il allait vraiment l'étriper.
"Eh bien, je ne suis pas vraiment un homme d'un soir et je ne suis pas du genre matérialiste, mais avec toi, je sens une certaine affinité. D'habitude, je suis très timide, mais d'une certaine manière, un sentiment profondément ancré dans mon âme m'attire vers toi. C'est presque comme si je te connaissais d'une vie antérieure".
La pute donnait certes une impression matérielle, mais Jacob pensait connaître le calibre. Après tout, il ne voulait pas seulement se taper cette salope en chaleur contre rémunération, mais aussi la plumer comme une oie de Noël. Son discours pseudo-romantique avait jusqu'à présent fonctionné avec chacune de ses victimes. Il fut d'autant plus surpris par le fou rire qu'il reçut en réponse et qui fit s'effondrer sa verge gonflée.
"S'il te plaît, ne ris pas, je vais peut-être pleurer".
Ces hommes-femmes adoraient les mauviettes pleurnichardes, peut-être qu'il s'en sortirait avec ce stratagème. A la rigueur, il restait le numéro macho, dans lequel il ferait passer certains passages de la conversation pour une blague masculine idiote.
"Tu es vraiment très amusante. Je me serais certainement souvenu de toi, mais arrêtons de jouer. Mmmh, à quelle heure le soleil se couche-t-il demain ? Tu n'as pas besoin de répondre, c'est juste une question rhétorique, si tu sais ce que cela signifie. Donc, vers 21 heures, heure de Transylvanie, tu seras à l'entrée sud du cimetière central. Un de mes serviteurs viendra te chercher et te conduira à l'hôtel particulier de ma ville, rue Morgue. Bon, je m'arrête là, il faut que je boive d'urgence un jus d'orange sanguine".
Perplexe, Vacaasno tenait le téléphone portable désormais muet dans sa main. Mon Dieu, cette nana était encore plus tordue que la stupide Galadriel dans une adaptation bâclée de Tolkien. Mais qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour de l'argent, et il semblait y en avoir beaucoup.
*
"Voilà, maître, nous sommes à l'entrée sud. J'aimerais bien savoir ce que vous faites là ? Vous êtes maintenant le troisième que je dépose ici cette semaine. Ça fait 16,66 euros !"
Eh bien, cette garce excitée semblait vraiment en avoir besoin ! Le visage impassible, Jacob paya le chauffeur de taxi au centime près, car ce type et son attitude impertinente l'avaient déjà fortement agacé dès qu'il était monté.
Mal à l'aise, le callboy jacobin regarda la grosse gargouille qui, à la lumière de néons froids, au-dessus de la porte fermée du cimetière, observait les visiteurs d'un regard de pierre.
Oups, c'était un grognement ?
"Monsieur Vacaasno, je m'appelle Fenrir Kerberos. Ma maîtresse m'envoie, si vous voulez bien me suivre" !
Surpris, l'interpellé fit un tour sur lui-même et recula inévitablement d'un pas en apercevant l'énorme homme de couleur en tenue de cuir. Par la queue de Jupiter, le type était poilu - le plus pur des visages de fourrure. Comment cet ogre pataud avait-il réussi à s'approcher de lui presque sans bruit ? Un peu effrayant !
"Euh, je dois encore passer un coup de fil confidentiel et urgent. Vous n'êtes pas obligé de m'attendre. Dites-moi simplement le numéro de la maison, j'ai une excellente application de navigation".
Est-ce que le type avait aboyé ? C'est bizarre !
"Je suis désolé, ma maîtresse a donné des instructions détaillées. Sinon, on me remettra la laisse. Téléphonez tranquillement, je n'écoute pas" !
Ma gueule, la tante devait vraiment être complètement perverse. Pas seulement le SM, mais aussi le pet-play ! Mais au vu de la prospérité évidente de son hôtesse, Loverboy, soucieux de ses finances, a balayé ses doutes.
"Bon, je peux aussi téléphoner plus tard. Alors, allez-y" !
"Très bien, monsieur. Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous manger".
Pourquoi ce type riait-il si bizarrement ?
*
Après 10 minutes de marche, ponctuées par les halètements occasionnels de Kerberos, les joyeux randonneurs ont finalement atteint leur destination.
Comme par magie, le magnifique portail de la villa s'est ouvert - je laisse à l'imagination du lecteur avisé le soin de décrire exactement à quoi elle ressemblait, car je n'ai pas envie de décrire la construction pour le moment.
"Comme c'est gentil, une télécommande et la cabane n'est pas mal non plus. Votre patronne a l'air d'être assez fortunée" ?
"Télécommande ? C'est vrai, ma cabane est déjà assez exquise et la chaîne en or pur. Si vous souhaitez entrer, ma maîtresse vous accueillera ensuite dans la salle de réception. Vous devrez malheureusement renoncer à ma compagnie, je vais maintenant me faire une petite chasse au goûter".
Chasser un Snack ? Jacob ne savait pas vraiment quoi répondre - quel malade ! Après que Fenrir eut quitté les lieux en un clin d'œil, notre loverboy entra dans le domaine bathorien avec un soupir de soulagement. La maîtresse de maison ne pouvait pas être plus bizarre que son serviteur poilu.
Le luxe de ce véritable palais a rendu Vacaasno littéralement fou de cupidité ; il pouvait vraiment faire de l'argent ici !
"Bienvenue, mon cher ! Je suis content que tu sois venu".
Oui, est-ce qu'elles se sont toutes faufilées ? Sur le côté, sans qu'il s'en aperçoive jusqu'à présent, se trouvait une dame d'un attrait époustouflant - les amis, l'idéal de beauté temporaire est dans l'œil de celui qui regarde, c'est pourquoi, et comme je suis parfois vraiment paresseux, je laisse à mon aimable lectorat le soin d'imaginer les détails. En ce qui concerne les circonstances visuelles, le gigolo entreprenant était sûr de pouvoir se réjouir de la dame même sans incitation financière. Bon, la robe de brocart ancienne et le verre de vin de forme étrange qu'elle tenait à la main avaient un air un peu bizarre, mais on pouvait passer outre ce genre de choses avec ces salopes d'élite dégénérées quand elles avaient visiblement de l'argent comme de la merde et qu'elles étaient manifestement la baise du siècle.
"Lisa Bathory, je présume ?"
"Non, je suis la femme de chambre. Idiot !"
Cette petite garce était déjà impertinente, mais il finirait quand même par l'avoir.
"Pardonnez-moi, je suis irréfléchi. Vos photos chez Shinder ne sont qu'un pâle reflet de votre extraordinaire beauté. Je ne peux pas m'en empêcher, mais je dois avouer qu'il émane de vous quelque chose de rayonnant, qui illumine même la pièce la plus sombre. Presque quelque chose de magique..."
Le rire bref et perlé de son hôtesse interrompit le flot de paroles de l'imitation de Roméo.
"Délicieux, je pourrais te manger tout de suite. Mais chaque chose en son temps. Alors arrête tes bêtises et bois ça. Ne t'inquiète pas, ce n'est que du vin avec un petit ingrédient".
Cette garce a été très directe ! Il n'avait donc pas besoin de s'adonner à la douceur et devait plutôt compter sur ses capacités athlétiques.
"Tu ne bois pas ?"
Encore ce rire étrange, mais que ne supporte-t-on pas pour le travail et le plaisir.
"Plus tard, c'est garanti ! Je bois..."
Jacob l'ignorant remarqua l'étincelle moqueuse dans les yeux de son hôtesse, tandis que celle-ci restait silencieuse quelques secondes.
" ...pas de vin ! Mais maintenant, descends-le et d'un seul coup".
Il montrerait à cette pute arrogante quand il l'aurait attrapée. Avec un faux sourire, Vacaasno saisit le verre qu'on lui tend et le boit avidement.
"Il est excellent ! Je peux deviner ? C'est un Beerbocus 360 de 2023 ! Euh, qu'est-ce que..."
Le monde de Loverboy a commencé à tourner d'un seul coup. Cette satanée garce l'avait-elle empoisonné ? Avant que Morpheus ne le prenne gracieusement dans ses bras, Jacob entendit le rire joyeux de sa bien-aimée.
*
"Tiens, Kérberos, le dîner s'est réveillé !"
Se réveillant confusément de son rêve avec 99 vierges juste avant la défloration au paradis des machos, le loverboy jacobin a eu droit à un spectacle plutôt réjouissant. Entièrement dévêtue, la maîtresse de maison se tenait devant lui. Distrait par son corps parfait, Vacaasno, lui aussi nu, n'enregistra d'abord que peu de choses de son environnement, pour autant qu'il parvienne à le distinguer en position horizontale.
La salope aimait jouer, il allait donc lui montrer. Cependant, la tentative de se lever qui suivit immédiatement échoua lamentablement.
"Crétin, tu es enchaîné et tu es sur le banc de torture de mes ancêtres !"
Ce n'est qu'à ce moment-là qu'il y a eu une sorte d'élargissement de la conscience concernant le lieu de l'action en cours. Apparemment, il se trouvait dans un cachot intime qui avait le charme discret des salles de torture de l'Inquisition espagnole au début de l'ère moderne. Eh bien, peut-être un peu de SM hardcore ? Certes désagréable, mais il s'en sortirait d'une manière ou d'une autre. La chatte voulait donc jouer à la dominatrice avec son serviteur poilu, qui se trouvait manifestement hors de son champ de vision. D'accord, il savait ce que ces salopes malades aimaient.
"Domina, j'ai manqué à l'appel. S'il te plaît, punis-moi aussi durement que je le mérite".
Peut-être qu'un tel verbiage servile a contribué à ce que l'impérieuse hôtesse renonce à la partie brutale et aille droit au but, de sorte que l'esclave jacobin plein d'espoir n'a subi que des blessures mineures.
"Eh bien, Kerberos, je crois que notre invité n'a pas bien évalué la situation. Sois gentil, va donc chercher la collection".
"Oui maîtresse !"
Petit à petit, Vacaasno s'est rendu compte que quelque chose n'allait pas du tout. Il semblait vraiment être tombé entre les mains de vrais psychopathes. La seule chose à faire était de rester calme et d'attendre. Peut-être qu'il pourrait répondre aux tendances perverses de ces deux-là et s'échapper d'une manière ou d'une autre.
Au bout de quelques minutes, le serviteur poilu, également dévêtu, apparut enfin dans le champ de vision de l'homme allongé. Cependant, le cri d'horreur de Jacob ne s'adressait pas au corps extrêmement laid de Kerberos, mais au contenu de la vitrine d'exposition mobile qu'il poussait devant lui.
"Tais-toi ou je te coupe la langue !"
Face au changement de situation et à la vision inhabituelle, Jacob la crut sur parole et préféra ne plus exprimer verbalement sa panique.
"Ceci, mon cher, a d'ailleurs entendu Kérberos avant que je ne le transforme pour le prendre à mon service !"
La Bathory désigna le plus grand des nombreux organes sexuels masculins qui se trouvaient dans des bocaux de préparation remplis d'alcool à l'intérieur de la vitrine.
"Il a eu moins de chance ! C'était un beau grec que je voulais empailler, mais j'en ai tellement dans mon salon. Alors je n'ai pris que l'essentiel et j'ai jeté le reste à la poubelle. Il n'avait aussi que le groupe sanguin B positif et ne valait pas la peine d'être transformé. Qu'est-ce que je vais faire de toi ?“
Oh, mon Dieu, des assassins malades mentaux ! Loverboy ne pouvait plus réprimer sa panique.
"S'il vous plaît, ne faites pas ça, je ferai tout ce que vous voudrez, mais épargnez-moi".
"Dis-moi : je veux mourir et te donner tout mon sang !"
C'est avec une profonde horreur que Jacob réalisa que cette femme tueuse d'hommes littéralement était supérieure à lui sur le plan intellectuel. Le macho en détresse se mit à pleurer à chaudes larmes comme une petite fille, sans trop savoir s'il avait plus peur de sa mort potentielle ou de la castration.
"Pleurer ne te sert plus à rien maintenant. Mais tu commences à m'ennuyer. En fait, je n'aime pas trop les pleurnichards comme toi, mais en raison de ton groupe sanguin rare, je vais quand même t'accepter dans la communauté des damnés. Tu pourrais faire un bon bouffon et nettoyer les latrines en même temps. Je vais te goûter !"
Les pleurs se transformèrent en cris stridents lorsque d'énormes crocs poussèrent sur la tortionnaire, que Lisa la Vamp planta rapidement dans le bras droit de Jacob, lié par les liens de l'amour. Dégoûtée, la Bathory abandonna sa victime après les premières gorgées et recracha le peu délicieux breuvage.
"Beurk, groupe sanguin zéro ! Je les déteste ! Sale bâtard, tu vas payer pour ça ! Kerberos, il est à toi. Mais s'il te plaît, mets ses restes dans les ordures ménagères".
Pendant que la vampire quittait le donjon, Jacobus le mordu a pu assister à la transformation d'un humain en loup-garou, ce qui a bien sûr augmenté le niveau sonore technique des cris de quelques décibels.
Finalement, Jacob Vacaasno, son roi macho et loverboy de la pire espèce, s'est fait vraiment manger par une créature masculine un peu poilue.
© 2023 Q.A.Juyub
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christophe76460 · 1 year ago
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ANYIGBA NYUI
Jeudi, 1er février 2024
"Il dit encore: ton nom ne sera plus Jacob, mais tu seras appelé Israël; car tu as lutté avec Dieu et avec des hommes, et tu as été vainqueur."
Genèse 32, 28 (LSG)
De Jacob à Israël, l'histoire d'un combat
Jacob, le malin, l'usurpateur, pour arriver à ses fins a mainte fois usé des artifices. Par exemple, il n'a pas hésité à tromper son vieux père aveugle pour prendre la bénédiction de son frère. Cet acte plein de ruse et de mensonge va le conduire en exil loin de la terre promise chez Laban, son oncle maternel. Mais le temps est venu pour qu'il rentre à la maison afin que la promesse de Dieu s'accomplisse. Il doit donc rencontrer son frère dont il a volé la bénédiction et qui a promis de se venger de lui en le tuant à la première occasion (Genèse 27, 41-42) . Jacob est confus et angoissé. Dans quel état d'esprit Esaü va-t-il l'accueillir, lui qui lui a fait tant de mal ? Il faut coûte que coûte qu'il fasse quelque chose.
D'abord, il prie Dieu de leur épargner, lui et sa famille, la colère d'Esaü (Genèse 32, 11). Ensuite il envoie des présents, deux cents chèvres et vingt boucs, deux cents brebis et vingt béliers, trente femelles de chameaux avec leurs petits qu'elles allaitaient, quarante vaches et dix taureaux, vingt ânesses et dix ânes (lire Genèse 32, 14&15), à Esaü pour l'apaiser. Pour finir, il sépare sa famille en deux, au cas où Esaü décide de tuer tout le monde, il en échappera un groupe.
Cependant, l’angoisse étreint encore son cœur ; la pensée du massacre qui le menace, lui et les siens, ne le quitte point. Il a tout fait, mais il sent que rien n’est fait. Il lui manque cruellement quelque chose pour se libérer du poids de son passé infâme. Mais au lieu d'un consolateur, voici un inconnu vient lui livrer combat toute la nuit. Pourquoi Dieu a-t-Il donc opté pour un combat au moment où Jacob attendait une consolation ?
Bien-aimé(e), Il y avait en Jacob deux types de personnalité : d’un côté, l'homme de Dieu, objet des promesses divines ; de l’autre, l’homme naturel, rusé et trompeur. Dieu, tout en voulant sauver et bénir le premier, veut faire périr le second. De cette lutte terrible va sortir un Jacob purifié et béni : Israël, celui qui ne connait plus d’autre force que celle de Dieu. En effet, Jacob résiste farouchement jusqu'à l'aurore à l'homme mais il reçoit un coup à l'emboîture de la hanche qui l'aneantit vraiment. Jacob affaibli, s'accroche quand même à son adversaire, cependant il est obligé de le prier de le bénir. C'est alors que l'inconnu change son destin en lui changeant de nom : "...ton nom ne sera plus Jacob, mais tu seras appelé Israël..."(verset du jour).
Cher(e) ami(e), Dieu a un projet pour tout un chacun de nous, bien entendu un projet de paix et non de malheur (lire Jérémie 29, 11). Cependant il arrive qu'Il nous arrête dans notre marche quand nous privilégions notre propre volonté à la sienne. Alors Il nous enlève notre énergie charnelle afin de nous donner sa puissance.. Mais comment réagissons-nous dans ces moments de dures épreuves ? L'apôtre dit : "...je prends plaisir dans les faiblesses, dans les outrages, dans les contraintes, dans les persécutions, dans les détresses, pour Christ. Car lorsque je suis faible, alors je suis fort"(2 Corinthiens 12, 10). Tel aussi est ton cas ou lâches-tu souvent prise ? Souviens-toi de Jacob et de Peniel : après le combat son âme a été sauvée et le soleil s'est levé pour lui. Alors il ne craint point de rencontrer Esaü.
Amen !
Exhortation : Fais preuve d'endurance dans le combat spirituel
Texte du jour : Genèse 32, 23-33
Edoh Nicolas
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@Terrefertilecorporation
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montdiarts · 5 years ago
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F.R.I.E.N.D.S AU
"The one where Uriel moved"
I love that series
Drakaina Malin @zuulosdovah
Ethren Whitecross @hogwartsmysterystory
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