#j'aime pouvoir financer ma vie
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P'tit plaisir de vie d'adulte d'avoir pas payer mes courses car me restait des chèque cadeau ✨
#j'aime pouvoir financer ma vie#je gere ma p'tite vie#en ce moment ça ca turbo bien#mes amis m'apelle enfin Eliam#ma soeur a enfin discuter sérieusement avec moi de nos trauma#on a enfin stabiliser notre relation#je vais dans quelque mois déménagemer#et au boulot je m'entend super bien avec mes collègues#la vie est belle ✨#j'ai trop peur qu'un truc pète du coup giejidjs#kenshi's life
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PRIÈRE DE LA SEMAINE
Heureux l'homme qui a trouvé la sagesse, et l'homme qui possède l'intelligence! Car le gain qu'elle procure est préférable à celui de l'argent, et le profit qu'on en tire vaut mieux que l'or; Elle est plus précieuse que les perles, Elle a plus de valeur que tous les objets de prix. Dans sa droite est une longue vie; Dans sa gauche, la richesse et la gloire. Ses voies sont des voies agréables, et tous ses sentiers sont paisibles. Elle est un arbre de vie pour ceux qui la saisissent, et ceux qui la possèdent sont heureux (Proverbes 3:13-18).
Moi, la sagesse, j'ai pour demeure le discernement, et je possède la science de la réflexion. La crainte de l'Éternel, c'est la haine du mal; L'arrogance et l'orgueil, la voie du mal, et la bouche perverse, voilà ce que je hais. Le conseil et le succès m'appartiennent; Je suis l'intelligence, la force est à moi. Par moi les rois règnent, et les princes ordonnent ce qui est juste; Par moi gouvernent les chefs, les grands, tous les juges de la terre. J'aime ceux qui m'aiment, et ceux qui me cherchent me trouvent. Avec moi sont la richesse et la gloire, les biens durables et la justice. Mon fruit est meilleur que l'or, que l'or pur, et mon produit est préférable à l'argent. Je marche dans le chemin de la justice, au milieu des sentiers de la droiture, pour donner des biens à ceux qui m'aiment, et pour remplir leurs trésors (Proverbes 8:12-21).
L'argent est à moi, et l'or est à moi, dit l'Éternel des armées (Aggée 2:8).
👉PRIONS:
Cher Père céleste, je viens humblement devant Ton trône de grâce et je Te remercie pour le souffle de vie, Tes bontés et les merveilles de Ta Parole...
Seigneur, aie pitié de moi, lave-moi dans le Sang de Jésus-Christ et purifie-moi de tout péché afin que rien ne vienne faire obstacle à ma prière, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur mon Dieu, je Te demande la sagesse pour comprendre Ta Parole et l'appliquer dans ma vie afin de prendre de bonnes décisions, celles qui T'honorent et qui m'attireront Ta bénédiction, Ta faveur, Ta paix et Ta joie, le contentement et la satisfaction d'un coeur pur, au nom de Jésus-Christ.
Ô Dieu, préserve-moi du mal et remplis-moi de Ton Esprit Saint pour me conduire dans toute Ta vérité, et donne-moi un cœur intelligent et sage, un cœur rempli de la lumière de Ta Sainte Parole, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, bénis-moi grandement et fais de moi une source de bénédiction pour ma génération, au nom de Jésus-Christ.
Je rejette l'esprit de la cupidité, je rejette l'esprit de l'avarice, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, que Ta main s'appesantisse sur tous les ennemis qui vont se lever pour m'attaquer afin qu'ils soient dans la confusion et la désolation, au nom de Jésus-Christ.
Que tous les obstacles diaboliques qui se tiennent contre ma vie, mes projets et mes finances, soient écrasés par le Rocher de Dieu, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, brise toute malédiction de sorcellerie assignée à réduire mes ressources financières et à me maintenir dans la pauvreté, au nom de Jésus-Christ.
Que le Sang de Jésus protège mes finances de toutes malédictions et attaques démoniaques, au nom de Jésus-Christ.
Que tout pouvoir ancestral et coutumier qui pose des réclamations sur ma vie pour des dettes que je n'ai pas personnellement contractées, soit anéanti devant le tribunal du Dieu vivant, au nom de Jésus-Christ .
Seigneur, mon Avocat, défends ma cause et fais taire toutes les voix d'accusation diaboliques qui se lèvent contre ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Père, bénis et multiplie mes finances et sécurise-les contre les filets des chasseurs sorciers, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, que l’étoile de ma destinée se lève et brille afin que mes bénédictions cachées dans le Nord, le Sud, l'Est et l'Ouest me localisent et me poursuivent, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare par le pouvoir suprême du Dieu vivant, que toutes les portes de bénédiction s'ouvrent dans ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Éternel mon Berger, ravive ma vie financière et donne-moi d’expérimenter une pluie de bénédiction financière venant de Tes écluses célestes afin que je puisse le témoigner pour Ta gloire, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, que Ta bénédiction sur ma vie me conduise à la libéralité et à la bienfaisance afin d'aider ma famille, les orphelins, les veuves et de soutenir Tes serviteurs et servantes fidèles dans Ton œuvre, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare qu'à partir d'aujourd'hui ma vie, mes affaires, mon ministère et mes projets sont alimentés par la Source intarissable du Dieu de ma Providence à qui appartiennent l’or et l’argent, au nom de Jésus-Christ.
Père Céleste, que Ta faveur et Ta bénédiction enveloppent ma vie. Protège-moi contre toutes les formes d'attaques de l’ennemi et couvre-moi de Ton manteau de victoire, au nom de Jésus-Christ.
Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront tous les jours et j'habiterai dans la Présence de mon Dieu jusqu'a l'éternité, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur Éternel, merci d'avoir exaucé ma prière, je Te loue et Te glorifie, au nom puissant de Jésus-Christ. Amen!
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CARNET DE BORD EXPERIENCES PROFESSIONNELLES
HALAOUI DAVID
1) Un projet Personnel et Professionel
a. Qui suis-je ? Je me présente
Je m’appelle HALAOUI David et j'ai 24 ans. C’est la première année de master à Clermont-Ferand. J’ai effectué mes études au Togo ou j’ai obtenu mon Baccalauréat ES. Après j’ai intégré l'institut Rousseau dans la ville de Toulouse où j'ai obtenu la license en patrimoine assurance Banque. Par la suite j'ai intégré l’école de commerce de Clermont-Ferrand en MGE2 classique. Je suis à la recherche des stages et des alternances en commerce etmanagement.
b. Mes qualités personnelles:
De part mon origine et mon cursus scolaire et universitaire j'ai remarqué que je suis quelqu'un de sociable.J'ai l'esprit d'équipe et le sens de l'écoute et Je m'adapte rapidement aux situatons,Je suis de nature pondéré et déterminé.
c. Traits de caractère:
Les trois points forts sont : -Le sens de la communication qui se traduit par l'interaction avec les autres personnes car la discussion est un élément important, elle permet de bien comprendre la mission à faire et de répondre de manière adéquate aux attentes de l'entreprise. -Le travail d' équipe, j'apprécie le travail en collectif car cela permet d'avoir une nouvelle vision car on prend en compte l'idée des collaborateurs. La persévérance qui s'explique par le fait que lorsque j'ai une tâche à effectuer et qu'elle est compliqué je fait tout pour la réaliser.
Les trois points à améliorer sont:
-La prise de décision: J'éprouve des difficultés à prendre des décisions et cela me rend indécis. -La gestion du stress. -La répartition des tâches sur une période donnée ,il me faut plus d'organisation pour la gestion de temps.
d. Mes valeurs:
Les valeurs que je détiens sont la serviabilité car il est important d'aider les autres, d'être altruiste. Le respect est important car il permet d'avoir la considération de soi et des autres. La sociabilité est aussi importante car elle permet de partager et de connaître les autres et leur culture.
e) Ce qui me motive dans la vie : mes appétences et mes centres d’intérêts:
Ce qui me motive est la réalisation de mon projet professionnel, et l'obtention d'un poste stable pour détenir et développer les compétences. Concernant les appétences, j'aime bien analyser des situations factuels avant d'apporter son opinion.
Mes centres d’intérêts:
Le sport comme le football car il permet le rassemblement entre les personnes. Il constitut aussi un facteur qui permet la cohésion d'équipe. Il y a également le ping-pong, le basket ball.J'aime bien la musique. Ces éléments permettent le bon fonctionnement de l'entreprise dans l'aspect social.
2. Que savais-je faire avant d’intégrer le programme ?
Les compétences formelles sont:
La Gestion des chéquiers et des cartes et la Réalisation des virements.
b. Les compétences informelles :
Le sens du relationel car il facilite la discussion avec les autres.
c. Stages en entreprise avant ma formation:
Stage dans une institution financière ( Franc Finance) à Paris et dans une banque ( CIC) à Toulouse.
d. Projets menés en dehors de ma formation:
L'organisation d'un évènement festif, Il fallait passer des commandes pour la location des chaises, des tables. Il fallait aussi faire appel au service traiteur en fonction du menu, de leur disponibilité et de la capacité en fonction du nombre de personnes.
3. Ma formation actuelle:
a. Les objectifs pédagogiques de ma formation :
Les objectifs pédagogiques sont de former les individus sur le management, de former des entrepreneurs en enseignant les connaissances nécessaires et de leur faire acquérir des compétences. Cela donne des occassions à la mise en pratique, et à la réalisation des projets.
b. Mes objectifs :
L'obtention de mon diplôme et intégrer une entreprise pour pouvoir acquérir de l'expérience. Améliorer les analyses dans les différents secteurs du commerce et de l'économie sur les différentes entreprises. Détenir des compétences dans l'aspect de gestion de projet , dans l'aspect commercial et développer le travail d'équipe.
L’axe sur lequel j’ai le plus progressé :
La Finance, le management stratégique, le comportement organisationnel, la négociation et la rentabilité.Il y a la progression en anglais car il y a eu des cours 50% anglais et aussi les projets et débat sur des thèmes en anglais. L’école nous fournit des occassions de passer le projet voltaire et le toeic, c’est aussi mon but d’obtenir le certificat de voltaire et de toeic. Le travail d' équipe est un élément sur lequel j'ai progressé par la délégation des tâches au menbres de l'équipe. La possiblité de communiquer avec les entreprises comme le carreer day et les négociales. Ces activités me permettent d’échanger avec les professionels et obtenir des conseils des professionels.
Le moins progressé:
Le contrôle de gestion, c'était un nouveau domaine , il y avait beaucoup de choses que je ne comprenais pas. Il y a également le droit car j'ai eu des difficultés sur certains thèmes et les cas pratiques.
Les compétences sur lesquelles je dois encore progresser :
Je dois progresser en informatique car cela représente un enjeu indispensable dans le domaine professionnel.
Comment vais-je procéder ?
Je vais suivre des formations et regarder des vidéos en ligne pour apprendre en autoditacte.
Les objectifs atteints:
La découverte des matières et un élargissement dans les domaines tels que le marketing international, le suppy chain management , le management interculturel qui étudie la culture du travail en fonctions des diverses origines des individus dans les entreprises . Il montre également l' importance sur l'aspect collaboratif et la concertation entre collègues. J’ai aussi amélioré la lettre de motivation, par les conseils que j’ai pu recevoir de la part de madame Delphine Lopez.
Les objectifs Non Atteints:
La maîtrise et la compréhension du fonctionemment du BI, ses avantages, le progrès qu'il apporte dans les informations des entreprises, son action dans la préservation et l' exploitation dans les investissements technologiques.
c. Mes compétences :
Au début de la formation: Le fonctionnement sur l'ouverture d'un compte, Les informations sur les caractéristiques des livrets d'épargne tels que le livret A, Le livret de développement durable, livret d'épargne populaire, livret jeune. Les notions sur les crédits de consommations et immobiliers et l'analyse de portefeuille du conseiller particulier. A la fin de la première année de formation (2018-2019): La notion et la connaissance des outils en gestion de patrimoine tels que l'assurance vie, la loi pinel, la loi Madelin, et le droit de succession. La connaissance sur certaines l'union européenne.
d) Expérience professionnelle :
J’ai eu deux expériences professionnelles dans différents secteurs avant d'obtenir la licence. La première à Franfinance et la seconde au CIC à Toulouse.
La présentation de l'entreprise Franfinance:
Franfinance est une filiale française du groupe Société Générale, spécialisée dans le financement des ventes de biens d’équipement destinés aux entreprises ainsi que dans le crédit à la consommation en direction des particuliers. Cette entreprise propose des services en Crédit et crédit-bail aux entreprises. Franfinance, sous la marque Société Générale Equipment Finance15, travaille en partenariat avec des constructeurs et des distributeurs afin de leur permettre de développer leur chiffre d’affaires en proposant une gamme complète de solutions de financement pour leur clientèle entreprise. Franfinance propose des solutions de financement : crédit classique, crédit-bail, locations financières et opérationnelles, produits structurés, ainsi que de services à la personne (assurances, remarketing…). La société intervient dans les secteurs d’activités suivants : Haute Technologie (IT, Bureautique, Médical) Équipements industriels (Machines de production, BTP) Transport (Véhicules industriels, utilitaires, semi remorque, porteur, tracteur, autocar),et la Manutention. Franfinance gère également une activité de prestations de services pour le compte de sociétés de leasing du groupe Société générale.
Stage à FRANFINANCE (59 AVENUE DU CHATOU 92853 RUEIL MALMAISON à Paris):
j'ai effectué un stage en 2017 pour une période de 2 mois. J'étais en charge de l'apprentissage du montage des dossiers de financement sur les entreprises. La structure de l'entreprise dans laquelle j'étais affecté est chargé de financer les projets d'acquisition de machine en se basant sur plusieurs critères et en suivant certaines démarches. J'avais différents contrats à traiter tels que les contrats de location, les contrats de location avec entretien et les contrats de crédit- bail. Je devais regarder les informations tels que le nom des entreprises, le numéro d'ODE qui est un numéro d'accord, le montant à financer, le siège social et vérifier que ces documents soient conformes au logiciels..Je devais vérifier que la fiches des contrats soient en double, regarder la fiche des conditions générales. Après cela je devais remplir les pochettesde de différent contrats de location. Les collaborateus vérifiaient après si la mission était faite. Ils m'ont également montrer les parties techniques avec les logiciels pour voir si les entreprises avaient demandé l'entretien des machines, car il avaient la possibilité de prendre cette option. Elle permettait aux entreprises de se faire envoyer des technicienspour un éventuel problème sur les machines.Il fallait aussi voirla décision des entreprises sur l'achat des machine après leur location. Le travail se faisait dans un espace ouvert, ce qui permettait d'échanger et de demander des informations à l'équipe . J'ai acquis la connaissance des logiciels dans ce domaine, le travail d'équipe. Durant mon stage à FranFinance, il y avait un dossier important sur une entreprise que les collègues ne retrouvaient pas, ils m’ont demandé si je l’avais pas vu ou mis dans le croc feuille, je leur ai affirmé que le dossier ne m’était pas parvenu. Devant la difficulté à retrouver ce dossier, j'ai proposé et donc demandé que tous les collègues de notre service et des autres services qui pourraient recevoir ce dossier que nous fassions un travail de fouille minutieuse dans nos dossiers qui se sont entassés sur les bureaux. Au final le dossier a été retrouvé et c’était un collaborateur d’une autre structure qui l’avait réceptionné. Cela m'a plu car cela présentait une situation qui se passe dans les entreprise et montrait comment on peut les résoudre.
Stage au CIC purpan:
Pendant le stage au cic purpan j'ai effctué olusieurs tâches comme de la gestion de l'accueil téléphonique, les clients appelaient pour plusieurs renseignements, pour des opérations sur leur compte bancaire.Pour ce qui est de l'accueil au guichet, il y avait la gestion des chéquiers et des cartes que je faisais, je demandais le nom des clients et leur pièce d'identité. Je vérifiais ensuite dans le logiciel et je les remettais aux clients. J'ai assisté à l'entretien en binome. Cela consistait à participer à l'entretien du conseiller et du client sur divers produits comme l'assurance-vie. Dans ce cas les clients voulaient diversifier leur portefeuille sur les unités de compte car la valeur avait augmenté. J'ai aussi procédé à l'analyse de portefeuille du conseiller particulier, cela consistait à expliquer les résultats obtenus du conseiller sur le produits tels que les livrets, les crédits, les assurances.
4. Le métier que je vise:
je vise le domaine du commerce ou supplychain managemen comme responsable de la chaine de productiion ou directeur commercial d'une entreprise. ces deux secteurs représentent un enjeu important dans l'aspect économique.
Mon plan d’action pour atteindre mon objectif professionnel:
Je vais effectuer La recherche des stages et des alternances. La maîtrise et la compréhension du fonctionemment du BI, car il apporte les informations des entreprise. Il représente un aspect important dans la préservation et l' exploitation d' investissements technologiques dans les entreprises. La recherche de progression en informatique car cela représente un enjeu indispensable dans le domaine professionnel.
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Dimanche 18 octobre 2020
Une envie de crever refait surface
Ca devait finir par arriver, après toutes ces relatives heureuses semaines, me voilà triste et déprimé. Je n'ai à ce moment là aucune envie de vivre et j'ai l'impression que ça n'ira jamais mieux... comme d'hab, les mêmes symptômes. Si je me fie à mon expérience ça devrait ne durer que deux ou trois jours. J'ose l'espérer.
J'ai toutes les raisons d'être déprimé. Je suis seul, depuis plus d'un an, et ce malgré tous mes efforts : en passant mon temps sur divers sites et applications de rencontres. Mais ça ne mène à rien, putain ! Les filles de mon âge m'évitent. La plupart des filles me next dès qu'elles voit ma photo, malgré le fait que je me suis appliqué à remplir mon profil de façon intéressante, loin du profil lambda qu'elles doivent croiser par centaines. Non, rien de tout ça ne les attire. Il faut dire que je ne suis pas un bon parti, je suis laid, relativement pauvre et sans emploi. Je ne suis même pas capable de conduire, alors, forcément, pour ces demoiselles là qui rêvent de cette vie minable classique (une carrière inintéressante, une maison à crédit, une voiture, un chien et deux ou trois foutus gosses moches qu'elle appelleront « les loulous », de futurs ados abrutis...) je suis un mauvais candidat. Est ce que c'est forcément un mal ? Après-tout, je devrais m'en réjouir, moi qui ai fait tout mon possible pour éviter cet enfer là.
Quant aux autres filles, oh, il y a bien des exceptions. De temps en temps je tombe sur une fille plus maligne que les autres, avec un esprit artistique qui a su voir en moi quelqu'un de relativement intéressant. Mais ça ne dure pas. Je les fascine pendant quelques jours et une fois qu'elles en ont assez de moi elles me zappent, ces gamines là. Toujours le même scénario de merde !
Une autre raison de broyer du noir : mes finances dans le rouge. Ce mois ci je pensais m'en sortir bien mais j'ai été obligé de changer mon téléphone. J'ai bien cru pouvoir bénéficier d'un achat à crédit, ce qui aurait sauver mon mois mais après étude de mon dossier le crédit m'a été refusé (alors que j'avais largement les moyens de rembourser ce crédit en quatre mois). Je n'ai donc pas eu le choix, j'ai dû payer le téléphone cash, ça m'a coûté 189€, une fortune, à mon échelle. Ainsi je me retrouve avec environ 250€ pour finir le mois. Tout ce que j'espère c'est avoir le droit à un petit découvert. On verra bien.
J'ai vu Canel hier. Nous avons été à la médiathèque et puis nous avons enchaînés avec des expos photos. Cette petite sortie c'était de l'oxygène dans mon quotidien, je serais ravi de remettre ça. Ca tombe bien, samedi prochain je suis censé revoir Canel et Justine, pour la foire aux disques. Il faut que je trouve un moyen de mettre 50€ de côté, parce que ça m'embêterait d'aller à la foire aux disques en spectateur sans avoir la possibilité de faire quelques achats.
Voilà quelques semaines que je prend des cours de trompette. C'est un peu fou de vouloir commencer un tel instrument à mon âge mais que voulez-vous, j'avais envie d'apprendre un instrument avec un professeur cette fois ci, plutôt qu'en autodidacte. Contrairement au piano ou à la guitare, la trompette est assez difficile d'accès, le simple fait d'y faire sortir un son peu prendre des semaines, pour un débutant. J'aime bien cet aspect là, il y a un côté défi, ça me plaît bien : pour arriver à jouer il faut le mériter !
Ce mois ci, il semblerait que je n'irais pas faire de soirée avec mon frère. Je lui ai demandé à plusieurs reprises de songé à notre sortie et il m'a envoyé chier en me disant que c'était du harcèlement (il exagère clairement), et maintenant que je n'ai presque plus de sous pour manger, il parle de sortir... je lui ai dit qu'éventuellement ça pouvait se faire si il me permettait de dormir chez lui (et ainsi d'éviter de payer 30€ de taxi pour rentrer chez moi) et il a prétexté que la chambre d'amis n'était pas pr��te. Of course... Alors tant pis, pas de sortie ce mois ci, je resterais à me morfondre quelques soirs de plus, c'est pas comme ci cette putain de soirée était la seule occasion que j'avais de m'amuser pendant tout le mois.
J'ai dessiné un peu ces derniers jours. Je tenais à dessiner pour quelqu'un et lui envoyé un dessin. Ca m'a prit plusieurs jours parce que j'ai été terriblement frustré par mon trait maladroit. J'ai l'impression que je ne suis pas capable de dessiner correctement. Eh dire que longtemps j'ai caressé l'espoir de faire de la bande dessinée ! Quel naïf je faisais !
Il me faut quelque chose pour me consoler. Je ne peux pas voir tout en noir ! Je ne vois que les livres, pour ça. Seule la perspective de me plonger quelques heures par nuit dans des lectures passionnantes me rassure. Tant qu'il y a des livres il y a de la vie...
Cette année aura été une année de merde jusqu'au bout puisque cette maudite pandémie n'est pas terminée et que le président à instauré un couvre-feu dans les grandes villes. Les concerts ne risques donc pas de reprendre de sitôt.
Ah, quelle vie de merde !
Bande son : Dream Sequence, Tangerine Dream
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Les Chroniques de Livaï #410 ~ ÊTRE POLI COÛTE PEU ET ACHETE TOUT (octobre 845) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Je remonte avec le fourneau sur l'épaule et remercie le brave homme. Les yeux lui sortent de la tête quand il me voit monter les escaliers avec ça. Je suis peut-être crevé, mais c'est pas grand chose.
Je reviens dans la chambre et pose le fourneau à côté de la baignoire avec la bouteille de gaz. J'enflamme un chandelier posé tout à côté, puis je teste la pompe et constate qu'elle tire bien, ce sera rempli en un rien de temps. Le paravent est pas très large, mais ça ira. Je commence à actionner la pompe et l'eau s'accumule dans la baignoire en petits jets rapides.
Je passe la tête derrière le paravent et vois Erwin enlever son gilet. Sa veste est pliée sur la commode. Il me demande de loin pourquoi j'ai choisis ce lit-là. Je sais pas, il m'avait l'air mieux fait. J'aime quand tout est au carré, tu sais bien. Je regarde avec une légère honte ma veste jetée sur le drap, et je suis un instant tiraillé entre l'envie d'aller la ranger et celle de continuer à remplir la baignoire... Erwin le fait pour moi et je me sens mieux ; la vue de cette veste en vrac m'a donné chaud un moment...
Assis sur le bord en céramique, j'écoute l'eau couler. Quelques accessoires trônent à côté - des serviettes, du savon, des gants de toilette - et je m'étonne un moment de tout le luxe qu'on peut trouver dans une chambre d'hôtel. Erwin a choisi l'établissement le moins cher de la ville, et quand je repense au prix des deux chambres qu'on nous a proposées, je comprends mieux. Erwin aime pas claquer son fric dans des trucs sans importance, il en utilise déjà pas mal pour financer les expéditions... Cet endroit est bien assez convenable pour nous, à côté d'un avant-poste humide qui sent le moisi, c'est le grand luxe.
Je me mets à penser aux prochaines expéditions. Erwin en a prévu une avant la fin de l'année, ça nous laisse du temps. Pas d'avant-postes insalubres cette fois ; ce seront les villages abandonnés et détruits par les titans que nous trouverons sur notre route. Dans un sens, ce sera plus facile de progresser, mais j'ai quand même foutrement l'impression qu'on a fait un énorme pas en arrière. Non, c'est pas une impression, c'est bien ce qui s'est passé. Je lâche la pompe avec rage et me frappe la cuisse comme pour m'empêcher d'avoir des idées noires.
La baignoire est presque pleine, je vais pouvoir me tremper bientôt. Je prends une des bouteilles d'huile de bain, l'ouvre et un parfum fleuri s'en échappe. Hmm, ouais, finalement, la journée se termine pas si mal... J'en verse un peu dans l'eau qui se colore en rose clair... La couleur est un peu de trop, mais je vais faire avec.
Erwin me demande ce que c'est que cette bonne odeur. Aucune idée, une fleur quelconque, je suppose. Tu veux sentir ? Il décline, et je me trouve bientôt à genoux par terre avec le fourneau. Je raccorde le gaz avec l'appareil, gratte une allumette et tourne des molettes. Trois brûleurs se mettent en marche - trois, c'est la grande classe - et approche le fourneau du fond de la baignoire. J'aime quand c'est très chaud, alors je vais pas y aller à moitié. J'ai trop de crasse à nettoyer, je la sens me recouvrir comme une seconde peau...
Je reviens dans la chambre et trouve Erwin en train de recompter les reçus. Tu y crois toujours pas, hein ? Ils sont bien réels. Et une bonne partie sont mon oeuvre. C'est une autre façon de voler, finalement, on se refait pas... Erwin rétorque que ce n'est pas du vol, que cet argent sera bien utilisé à des fins utiles. J'en doute pas. Mais je veux dire que... j'imaginais pas qu'on puisse soutirer de l'argent comme ça. Simplement en discutant...
Je m'assois sur mon lit et commence à retirer mes chaussures. Elles m'ont fait mal aux pieds toute la soirée mais vers la fin, je les sentais même plus. Mes pieds, je veux dire. Je dois avoir des cloques plein les panards, à tous les coups. Vivement mes bonnes vieilles bottes.
Je reste en tailleur sur mon lit, attendant qu'Erwin finisse. Une douce chaleur envahit la pièce à mesure que l'eau se réchauffe, et je sens mes muscles se détendre complètement. Je vais bien dormir, je crois... Je me suis rarement senti aussi fatigué. Pendant que je manque de partir en arrière sur mon oreiller, Erwin me murmure encore une fois des remerciements et cela me réveille. Ca va, arrête un peu, j'ai compris. Tu vas pas me remercier indéfiniment. Je l'ai fait pour le bataillon, n'en parlons plus. Mais il n'en reste pas là et est bien décidé à me surprendre jusqu'à ce que nous soyons couchés.
Il me lance qu'il compte me montrer sa gratitude et que pour cela, je suis autorisé à lui demander quelque chose, n'importe quoi, pour peu que ce soit faisable.
J'en crois pas mes oreilles. Ce que je veux, vraiment ? Il hoche la tête en se tournant vers moi pendant qu'il replie sa couverture au pied du lit. Je peux pas m'empêcher de ricaner et j'essaie de lire dans ses yeux à quoi il pense. Une minute, tu sais quand même à quoi tu t'exposes en me promettant ça ? Mon cerveau est capable d'imaginer des tas de trucs tordus, alors si tu t'en tiens à ça, il faut te préparer au pire. Tu maintiens ?
Il hoche la tête et s'assoit à son tour pour me faire face. Ok. Laisse-moi réfléchir. Hmm... j'ai bien une idée... Il est possible qu'elle te plaise pas, mais comme tu m'as promis... Ce que je veux... Je vois la gorge d'Erwin tressauter et j'ai l'impression qu'il commence à flipper. Relax, je veux que tu fasses quelque chose, pour moi. Quelque chose de très agréable... et que tu as sans doute pas faite depuis un bon bout de temps.
Il me fixe avec des yeux ronds, curieusement écarquillés, et j'ai la furieuse impression de voir son cerveau fonctionner à toute allure. Il passe en revue tout ce qui pourrait correspondre à ma description mais je doute qu'il trouve ; ça doit même plus faire partie de ses schémas mentaux, j'suis sûr.
Erwin, je veux que tu prennes des vacances.
Il reste stupéfait, comme indécis sur le sens de ce que je viens de lui dire, et je ne peux que me frapper le front devant sa lenteur. "Vacances", tu sais ce que c'est ou c'est nouveau ? "Congé", "repos", "relâche prolongée", ça te parle ? Ok. Je veux que tu prennes le large quelques temps. Quelques jours, une semaine, par exemple. Hanji, Mike et moi, on gèrera tes taches pendant ce temps. Ca va, panique pas, on peut s'en sortir sans toi, tu sais.
Erwin ne trouve rien à dire. Il s'attendait à ce que je lui demande quoi ? Il se gratte la tête et s'interroge sur l'endroit où il pourrait aller. T'as pas un chez toi quelque part ? Il répond qu'il a une maison familiale à Stohess. Bah voilà, c'est parfait. Tu vas te promener, respirer le bon air, faire du canot ou aller pêcher, enfin des trucs de vieux quoi, sans penser au bataillon. Et tu reviendras tout frais pour nous pondre une expédition aux petits oignons. C'est pas beau ?
Il semble pas convaincu. Hé ! tu as promis ! J'ai le droit de te demander ce que je veux. Si tu reviens sur ta parole, je pourrais bien ne plus te faire confiance... J'ai besoin de rien, mais toi, tu as besoin de ça. Je t'ai pas vu ralentir depuis que je te connais ; sauf pour Yule. Considère ça comme un cadeau d'anniversaire de ma part.
Il finit par approuver et semble un peu dépité d'avoir été pris à son propre jeu. T'as intérêt à pas tricher et à te reposer pour de vrai. Si tu respectes pas ton engagement, je finirais par le savoir. Il soupire et dit que nous ne devons pas tarder à aller nous coucher car nous devrons nous lever tôt pour rentrer à Trost. Non, non, je rentre à Trost. Toi, tu files directement à Stohess et tu te fais oublier là-bas. Si tu remets le pied au QGR, tu vas retomber dans tes travers de bourreau de travail ; on va te harceler pour lire ou signer des trucs, et tu vas faire semblant de tout oublier. Je te connais, va. Je ramènerai les reçus à Trost, tu peux compter sur moi. De toute façon, on ne pourra rien faire tant que le fric aura pas été transféré, autant t'occuper autrement.
Il cède mais je vois bien qu'il est pas très à l'aise. Je comprends que ça doit être dur pour lui, de laisser le bataillon dans d'autres mains, mais je veux qu'il le fasse. J'aurais pu demander un truc pour moi, mais après ce qu'on vient de traverser... il en a besoin même s'il s'en rend pas compte. Bah, il me remerciera en revenant.
Je me lève, et retourne vers la baignoire. Je teste l'eau, la température est parfaite, je vais me glisser là-dedans avec tout le plaisir du monde. Je m'assure qu'Erwin peut pas me voir, et je me déshabille vite avant de me plonger dans l'eau chaude. Ma peau réagit immédiatement et un frisson agréable me remonte le long des membres. Je vois la silhouette d'Erwin remuer derrière le paravent et je crains un moment qu'il n'essaie encore de négocier. Je l'arrête avant qu'il n'ait fait un pas de plus.
Ce paravent est le Mur le plus imprenable du Royaume, Erwin. Si tu t'avises de le franchir, il se pourrait que ce soit douloureux. Il rétorque en rigolant à moitié qu'il m'a déjà vu à poil, que ça lui a jamais rien fait, et qu'il voudrait juste se rincer la tête pour enlever ce qu'il a sur les cheveux. Requête rejetée, me contrarie pas ! Va te coucher, tu prendras ton bain demain.
Il soupire profondément et son ombre diminue sur le paravent. J'entends un bruit de frottement, signe qu'il a dû se glisser dans son lit. Je l'imiterai bientôt. A moins que je ne décide de passer la nuit dans cette baignoire...
Je pose un gant humide et brûlant sur mon visage, renverse la tête en arrière et ferme les yeux, savourant l'instant, laissant le savon me laver de toutes les saletés qui m'ont éclaboussé aujourd'hui...
Ca fait du bieeenn, putain...
#lc410#eruri#levi ackerman#levi chronicles#les chroniques de livaï#fanfiction#fallenRaziel#aot#snk#attack on titan#shingeki no kyojin
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Charly Sallé donne vie à ses sculptures de pierre
Le Festival Cap Fraternité des paroisses Notre Dame de la Mer et d'Étables sur Mer se déroulera du 29 mars au 5 avril 2020. Le thème choisi par l'EAP sera « le beau ».Afin de nous préparer à ce festival, chaque mois nous laisserons la parole à des artistes : musiciens, peintres, sculpteurs …..Ce mois-ci nous avons rencontré Charly Sallé, Plérinais et sculpteur sur pierre.
Installé depuis 20 ans à Plérin, Charly Sallé travaille la pierre. D'un bloc de granit, il fait une statue, une fontaine, un chapiteau d'église … Rencontre avec un artiste qui métamorphose la pierre et le bois. C'est toujours avec le sourire qu'il vous accueille dans son atelier de la rue Voltaire à Plérin. Il n'aime pas parler de lui mais il est intarissable dès qu'il s'agit de son art.
Comment est née votre vocation d'artiste ?
Ce métier, je suis tombé dedans quand j'avais neuf ans. Fasciné par ma mère, qui peignait, modelait et sculptait, j'ai dit « c'est ça que je veux faire ! ». J'étais pourtant un petit garçon débordant d'énergie, que l'on ne croyait pas capable de la concentration nécessaire à l'expression artistique. Je subtilisais les cuillères à café familiales, les limes et tournevis de mon grand-père pour en faire des gouges à sculpter le bois. A 20 ans, j'ai rencontré un professeur de l'école Boule qui m'a convaincu de passer un CAP de sculpteur sur bois. Engagé ensuite par une manufacture de meubles des Vosges, j'ai passé plus de 5 ans à sculpter des feuilles d'acanthe et autres motifs sur des meubles. Mais bientôt l'envie de revenir au pays m'a tenaillé. J'ai épousé la petite-fille de l'ébéniste briochin Ernest David qui a mis à ma disposition un coin d'atelier. De plus en plus attiré par la pierre, je me suis formé seul, par l'observation. Je préfère la pierre au bois. C'est un matériau plus dur qui nécessite plus d'outils mais l'approche des volumes est plus facile. Ma passion m'a conduit au concours de meilleur ouvrier de France, un titre que j'ai obtenu en 1990 dans la catégorie sculpteur praticien.
Comment se façonne une œuvre ?
Plutôt que de recourir au dessin sur papier, j'aime d'abord façonner mes statues dans l'argile, surtout quand les sujets ne sont pas trop imposants. C'est ainsi que travaillaient les artistes du 18e siècle. Il faut, avant de démarrer, avoir la pièce finale bien en tête. Je réalise une maquette en plâtre qui me servira à respecter les proportions, notamment pour les grandes pièces. Et ensuite je me sers du mètre, du pied à coulisse et surtout de l'œil. Pour façonner la pierre, j'utilise plusieurs outils comme la meuleuse à disque diamant et le pistolet pneumatique à pointes en carbure de tungstène, un matériau très dur et résistant. Le travail est aujourd'hui un peu plus facile car autrefois il fallait sculpter à la massette. Je finis par le ponçage avec des pierres aux grains de plus en plus fins.
Racontez-nous l'histoire des « Veuves de Paimpol » ?
C'est une œuvre qui m'a demandé 18 mois de travail. A la demande de l'association « Les amis de Pierre Loti », j'ai reproduit et agrandi une maquette dessinée en 1932 par le sculpteur briochin Francis Renaud. Par manque de financement, cet artiste était décédé avant de pouvoir démarrer la sculpture. Il m'a fallu faire une maquette en plâtre avant de m'attaquer au granit. Un bloc de douze tonnes du plus beau granit de Bretagne, issu des carrières de Pleumeur Bodou. Fabriquer la maquette a demandé plus de 600 heures de travail et la statue en elle-même plus de 1 000 heures. Quand je travaille le granit, je pense aux millions d'années qu'il a fallu pour constituer ce matériau très noble et cela me donne la volonté très forte d'aller au bout et de présenter la plus belle statue possible. Depuis 2017, la statue est exposée aux regards et aux vents de la mer à Lan Vraz en Ploubazlannec, près de Paimpol. Au départ, ce n'était qu'un gros bloc de granit qui s'est métamorphosé en une statue de 2,50 m de haut représentant Gaud et ses jolis galbes et Moan la grand mère au visage bien ridé, deux « veuves d'Islandais », pêcheurs paimpolais qui partaient pêcher la morue dans le grand Nord. La fabrication de cette statue a été pour moi un long tête à tête qui m'a passionné. Physiquement cela a été difficile car il faut être très concentré et précis mais je suis fier du résultat obtenu.
Avez-vous d'autres réalisations majeures ?
J'ai réalisé la statue du Curé d'Ars pour la Chapelle St Guillaume, celle de Jeanne D'Arc pour la clinique St Louis, le buste de François Mitterrand devant la gare de St Brieuc. J'ai également sculpté, en 2018, une statue de l'Archange St Michel pour un particulier de Dinard. La personne m'avait fourni des photos de St Michel et ne souhaitait pas de démon au pied de l'Archange. Je suis parti d'une pièce de granit des carrières de Lanhélin, près de Dinan, pesant 800 kg au départ pour finir à 250 kg environ. C'est aussi un beau granit à grain fin et moyen de couleur gris sombre bleuté. Le plus difficile a été de réaliser les mains de l'Archange pour qu'elles soient bien orientées afin de pouvoir y glisser la lance.
En dehors de ces œuvres majeures, quelles sont vos commandes habituelles ?
Je travaille pour les Monuments Historiques en sous-traitance. Je réalise actuellement des chapiteaux d'église qu'ils m'ont commandés. A la demande de particuliers ou de collectivités, je crée des œuvres pour des fontaines, pour des stèles funéraires, des statues pour des chapelles … Le travail est varié et passionnant.
Qu'aimeriez vous réaliser comme sculptures à l'avenir ?
J'aimerais donner une suite aux « Veuves de Paimpol ». Le projet se dessine un peu dans ma tête. Il s'agira de pêcheurs islandais. Je vois deux marins en action sur un bateau à fond plat type Doris, tirant à la main une ligne avec hameçons. Derrière, une grosse vague que l'on imagine engloutir le bateau. Ce bas-relief pourrait s'appuyer sur le mur du cimetière de Ploubazlannec devant les multiples plaques gravées au nom des 400 ou 500 marins décédés lors des campagnes de pêche en Islande. Tout un symbole mais ce n'est pour l'instant qu'un projet qui nécessitera surement beaucoup de démarches avant d'aboutir.
En tant qu'artiste, comment définissez vous une belle œuvre ?
Pour moi, c'est un ensemble de critères. D'abord le respect des proportions, puis le mouvement de la sculpture, son expression, la finition de l'exécution. Le bon coup de ciseau bien tranché. Nous avons la chance d'avoir des outils bien plus perfectionnés qu'au 18e siècle. Avec un pistolet pneumatique, on peut faire de la dentelle. Le visage des veuves de Paimpol a été réalisé entièrement au pistolet pneumatique avec une précision de chirurgien.
La volonté de transmettre Bon pédagogue, Charly Sallé souhaite transmettre ses techniques de sculpture aux personnes sensibilisées à cet art. Il organise des stages pour des groupes de trois à quatre personnes, dans son atelier de la rue Voltaire à Plérin. L'initiation à la sculpture se fait sur bois, à raison de 3 heures par semaine pendant 10 semaines. Les matériaux et outils sont fournis. Contact 24, rue Voltaire Plérin - Tél 06 66 28 16 47
Voir en ligne : Voir les photos
via Communauté pastorale du Littoral Ouest https://ift.tt/2P1K5lo
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Mise en route dans l'immobilier
De nombreux investisseurs immobiliers potentiels viennent à nous poser beaucoup de questions sur ce qu'il faut faire et où. Où est le "meilleur" endroit pour acheter de l'immobilier? Quelle est la meilleure façon de commercialiser? Quelle est la meilleure façon de trouver du financement?
Notre méthode privilégiée d'investissement immobilier consiste à être préparé pour tout «stimulus» et à pouvoir créer un accord, un plan, une stratégie de sortie quelle que soit l'opportunité. De cette façon, la "meilleure" réponse est d'être prêt à créer une opportunité de tout ce qui vous concerne ensuite.
Alors n'attendez pas - n'essayez pas de trouver le «meilleur» tout simplement parce que seulement en faisant, vous découvrirez quel est votre meilleur moyen d'investir.
Pour partager une histoire personnelle, non immobilière: j'ai voulu être peintre à l'huile toute ma vie. Je n'ai aucune idée d'où le désir est venu, cela ressemble à une partie de mon âme - une partie de ce que je suis vraiment. Chaque fois que l'on se présentait la question: "Que seriez-vous si vous pouviez être quelque chose?" ma réponse était toujours la même, un peintre à l'huile. Juste la pensée de Monet, Manet ou Pissaro m'inspire. J'ai pris des cours d'histoire de l'art, j'ai des livres sur l'histoire de l'art, j'ai des livres sur le dessin et la peinture.
Mais, hélas, je me suis limité en voyant la peinture à l'huile comme un luxe ultime, quelque chose que je ferais «quand j'aurais enfin le temps». Finalement, j'ai compris que ces cinq petits mots sont complètement limités et m'ont volé la plus grande partie de ma vie. Alors, je me suis inscrit à une classe de peinture à l'huile et il s'agissait d'une peinture de portrait. Pas nécessairement le moyen le plus simple de commencer, mais je commençais. Et devine quoi? Il s'avère que je suis très bien et je l'aime autant que je le croyais. Les gens de ma classe ont refusé de croire que je n'avais pas fait cela avant, et voici ce que j'ai appris:
N'attendez pas. Faites ce que vous désirez faire. Vous pourriez être génial. Et, d'ailleurs, cela se fait vraiment bien.
Personne d'autre ne peut vous dire ce que vous devriez faire ou quand et comment. Ils n'ont aucune idée de ce qui est en vous. La plupart des gens ne peuvent même pas entendre ce qu'ils sont en eux-mêmes, alors pourquoi vous leur demandez?
Et, j'aime commencer par un fond peint. Rien ne s'arrête autant que d'une toile vierge et blanche qui regarde en arrière. Donc, je commence toujours par peindre la toile d'une couleur. À l'origine, j'ai peint la toile bleue. J'ai pensé qu'il y a beaucoup de bleu dans le monde - le ciel, l'eau - si bleu doit être un bon fond. Ensuite, je suis allé au vert, à peu près pour la même raison (en plus du fait que je pensais essayer une couleur autre que le bleu).
Ensuite, quelque chose de magique est arrivé. J'ai ramassé un tube de terre cuite pour peindre un fond et je suis tombé amoureux. En regardant ma toile en terre cuite m'inspire à peindre. Pour peindre n'importe quoi. Je ne peux pas attendre pour peindre sur cette belle toile. Qui savait que j'aimais la terre cuite? Je ne l'ai certainement pas fait. Et je ne l'aurais jamais découvert si je n'évoquais pas les couleurs et la peinture. Personne ne enseigne (je ne crois pas): "Commencez par peindre la terre cuite en toile entière. Vous serez alors inspiré à peindre". Certaines choses ne peuvent pas être enseignées, elles doivent être découvertes. Si je ne peinsais pas, je n'aurais jamais découvert la terre cuite comme ma muse.
Source de l'article: http://EzineArticles.com/9772251
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La promesse des chemins
Les montagnes recèlent des parcours où le corps tutoie l'âme, l'un et l'autre cheminent à l'unisson lorsque le souffle se pose au rythme des pas. Les dénivelés sont une ivresse lorsque la volonté chancelle pour ensuite redoubler. Les montagnes sont une promesse de torrents et de cimes, de chemins de crêtes et de cols que l'on devine là haut, secs ou verdoyants, pâturages ou amas de roche . Le massif du Sharr demeure mystérieux, peu visité encore et c'est ainsi sans doute qu'il s'est fait désirable depuis ma maison au printemps lorsque je dessinais mon périple estival. A portée de clics un guide en ligne édité par une agence de l'ONU nous promet de belles randonnées autour de Dragash. Une version papier nous attend à la mairie de la ville, nous promet « le petit futé ». Il y a quelques années peut-être. La dame de l'accueil, ennuyée de ne pouvoir comprendre notre demande, nous dirige vers le bureau de l'urbanisme pris d'assaut sans doute pour des raisons plus aigües qu'une quête de randonnées. Au Kosovo, le tourisme semble sponsorisé par les agences internationales, une façon de miser sur les paysages et la culture pour redonner un élan au pays. L'espoir a-t-il été douché par le peu d'échos de ces initiatives ? Visiblement, les financements ponctuels n'ont pas rencontré les effets escomptés et les panneaux défraîchis sur les bords des routes, les portes closes des offices de tourisme en attestent.
En ville comme dans les montagnes, les meilleurs informations sont communiquées par les passants. Trouver le chemin est une affaire de dialogue, ne pas perdre son fil une question de GPS. La première randonnée nous mène à 3 kilomètres de Dragash, au départ de Radeshë. Elle nous promet, une rivière, une forêt et des ruines mystérieuses. La route vers le village nous offre déjà des prunes délicieuses, des fontaines d'eau pure et des saluts amicaux lancés depuis les véhicules croisés. De loin en loin, la musique rebondit sur les flancs montagneux, les mariages toujours. Le cœur de Radeshë tourne autour de la mosquée avec ses épiceries, ses cafés et sa place. Un peu plus haut, de belles villas s'incrustent dans le décor. Elles affichent une réussite à l'étranger, dans cet ailleurs qu'il a fallu conquérir. Nous abordons dans la rue un homme qui ne parle ni anglais ni français. La plaque d'immatriculation de sa belle voiture est italienne Il appelle son voisin et frère qui lui vit en Suisse, et qui aussitôt vient à notre rencontre accompagné de sa femme et de son fils. Ils nous invitent à boire un café sur leur terrasse. « Un café turc, ça ira ? Et du jus de framboises que ma belle mère vient de faire, ça vous plairait? ». Ils sont soucieux que nous nous sentions bien. Le frère apporte des figues, le fils s'enquiert de notre voyage, nous conseille des balades. Le père nous raconte la pauvreté qui les a fait partir loin, élude les fracas de la guerre, nous parle de son métier de boulanger qu'il a appris de son propre père et qui lui a permis de construire une vie plus prospère. « On travaille pour ça » dit-il en montrant la grande maison, la voiture rutilante et les magnifiques paysages, « pour revenir ici l'été et à Noël ». Je n'ai pas envie une seconde de ricaner de cette réussite affichée. Je songe à l'exil, aux a-priori, aux idées reçues sur les kosovars. Je pense au courage pour construire une nouvelle vie, pour vivre dans l'entre-deux, ni tout à fait d'ici, ni tout à fait d'ailleurs. Je déguste l'hospitalité et lit en filigrane leur bonheur de voir des touristes se délecter d'un pays qu'ils ont du quitter. Le fils, avec son accent suisse dénué de traces kosovares, partage son goût des montagnes et comprend ce que nous y recherchons.
Nos hôtes nous indiquent le départ du sentier, nous montrent un chemin de retour passant par un autre village. Nous les quittons comme nous dirions au revoir à des lointains cousins visités sur la route des vacances, les saluts teintés du bonheur simple d'un moment partagé de chaleureuse sincérité. Nos pas de randonneurs épousent avec joie le chemin de terre exempt de balisages. Le bruit de la rivière nous guide, la musique de l'eau remplace celle des mariages. Le sous-bois recèle des champignons, des mûres, la montagne se devine à travers la végétation touffue. Nous traquons les traces de passage humain pour deviner le sentier ténu que nous perdons. Le chant de la rivière nous rassure, égayé de temps à autres par de lointains rires enfantins. Nous retrouvons le chemin sans en avoir perçu toutes les promesses, croisons des cueilleurs de myrtilles et un cortège de mariage. La journée est un jeu de pistes. A Dragash nous élisons un café comme quartier général. Le patron nous envisage sous l'angle de la timidité puis vient échanger avec nous avec quelques bribes d'anglais mâtinées d'allemand. Nous trinquons, le verre de bière à la main, de la Peja, aux belles montagnes du Sharr, à leur abord énigmatique, au pays des Gorani et au guide de l'ONU. Un cortège de mariage s'annonce. La musique anime à nouveau la place.
Le lendemain, nous choisissons de nous rapprocher du Mont Koritnik, montagne frontalière avec l'Albanie. La route pour Rapçë , le village de départ, est bruyante et fréquentée. Nous la longeons avec précaution, allongeant le pas pour atteindre le calme. Une voiture de police s'arrête, les agents contrôlent nos papiers et nous déconseillent formellement de gravir la montagne. Nous les rassurons, telle n'était pas notre intention mais le silence répond à nos pourquoi. Au café du village, nous cherchons quelques conseils sur le chemin à prendre. Nous y reviendrons au retour pour trouver un taxi qui nous épargnera les quelques kilomètres sur l’asphalte retentissant. Une vielle dame me conseille de me couvrir la tête, le soleil tape fort. Le Mot Kortinik veille sur notre randonnée, cette fois à découvert. Le chant des abeilles accompagne le pique-nique. En bas un autre village se signale par sa mosquée, dernière halte des voyageurs avant la frontière. Il nous semble que le Sharr est désormais à notre portée. Le jour d'après, Brod nous le confirmera. Village le plus touristique du secteur, il propose des randonnées balisées, un centre touristique et même une station de ski. La vallée est d'une beauté saisissante. Une fois passés les deux premiers kilomètres où quelques promeneurs s'attardent, le sentier est désert. Deux cavaliers s'arrêtent pour nous saluer. L'un vit en Italie, l'autre en Allemagne. Sur leurs chevaux rustiques, nous les entendons rire de loin en loin. Au retour, nous croisons des familles venus pique-niquer et des cueilleurs de myrtille aux mains rougies par les fruits. Au café du village, un homme vient nous parler de Napoléon, un autre peste contre le défilé de voitures de touristes qui pour nous, sont des expatriés revenus pour l'été, un troisième nous aborde dans un français parfait. Il vit à Clermont-Ferrand et nous assure « si vous avez besoin de quoique ce soit, je suis là ». Et lorsque nous lui demandons comment trouver un taxi, il nous dit d'aller simplement nous poster à la sortie du village et d'attendre qu'une voiture s'arrête. Ce sont deux jeunes hommes qui s'arrêteront pour nous ramener à Dragash avec un détour vers un autre village pour nous faire goûter la spécialité locale, une pâtisserie faite de pommes. « Tu vois pourquoi j'aime les Balkans ». Ce n'était ni une question, ni une affirmation, des points de suspension élargissaient ma phrase.
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Portfolio: L’avenir
Je veux faire plus d’initiative dans mes relations personnelles, particulièrement avec les hommes (‘béguins’) dans ma vie. Je toujours laisse les autres à initier des plans pour les dîners, pour les fêtes, pour les événements au campus. Ce n’est pas que je suis trop paresseuse de faire des plans, où que je ne valorise pas mes amitiés, c’est parce que je suis introvertie et j’ai peur du rejet. Alors, ce mélange particulier n’est pas vraiment propice aux interactions sociales dites ‘audacieuses.’ La relation que je veux améliorer la plus est avec un étudiant (on l’appellera “Josh”). Il commence toutes nos interactions, sur les réseaux sociaux et dans la vie réelle aussi. Il m’a amené à Local 22 (un restaurant à Durham) et m’a acheté le vin rouge pour coupler avec le “mac n cheese” du jour (comme tous les adultes doivent faire). C’était amusant et léger, j’ai pensé que je pourrais juste être moi-même autour de lui. Puis, il m’a pris à une fête que sa fraternité a hébergé. Nous nous sommes habillés en tant que marins, et nous avons définitivement bu comme des marins. Il m’a introduit à ses amis, et quand j’ai entendu sa facilité de communiquer avec les amis et les étrangers, je suis devenue un peu jalouse et je me sentais coupable que je ne l'avais pas encore invité à rien. Pour moi, c’est les petits pas qui comptent les plus. Croyez-moi, je déteste les normes de genre cliché (dans les relations hétérosexuelles) qui relèvent les hommes à être les uns qui demandent et les femmes à être les unes qui répondent. Mais, en même temps, je n’ai pas beaucoup d’expérience avec le rejet et ce fait me fait peur! J’ai été acceptée dans la première université à laquelle j’ai posé ma candidature (bien sûr, Duke). Je suis largement appréciée par mes professeurs, ma famille et mes entraîneurs tout au long de ma vie. Et, avec mes ‘épreuves d’amour’, j’ai toujours l’impression que je suis sans aucune agence dans la relation parce que c’est difficile pour moi à naviguer et à surmonter les sentiments de la déception et du rejet. Honnêtement, juste cette écriture à la page m’inspire d’envoyer un texto à Josh, même un simple ‘Salut!’
J’ai la bonne chance de dire que ma vision de comment je vais pouvoir faire une différence dans le monde est une réalité. Au début du mars, j’ai reçu ma lettre d’embauche à “Teach for America.” J'enseignerai les élèves du primaire dans l'est de la Caroline du Nord. C’est toujours le début d’un processus long, et donc, je ne sais pas exactement où je vais enseigner et à quelle école. Néanmoins, je suis extatique de faire partie de ce programme! Il y a six mois, je n’avais aucune idée ce que je vais faire après Duke. Mais, j’étais sûre que je vais faire quelque chose dans l’éducation. La politique d’éducation est mon principal intérêt après avoir pris une classe ma troisième année avec Mme. Amy Anderson sur la “re”ségrégation dans les écoles publiques aux États-Unis. J’ai appris que les lois qui datent de l’époque de ségrégation ont des répercussions au présent, comme avec la séparation du logement. La composition des écoles publiques traditionnelles est basé sur les quartiers résidentiels environnants, et beaucoup de financement vient du quartier aussi. Alors, les quartiers sans assez de ressources sont déjà désavantagés et doivent rivaliser avec les écoles plus riches (et généralement plus blanches) pour attirer les étudiants et obtenir davantage de fonds. C’est un problème systématique qui exige le changement, mais mes espoirs pour le progrès dans la bonne direction ont été brisés lorsque Trump a été élu le président en novembre. J’ai pensé que je veux entrer immédiatement dans le faculté de droit ou dans la politique entourant l'éducation. Je me suis rendue compte que le progrès commence au niveau de sol. Si je n’entre pas dans la profession d’enseignant, je suis hypocrite et je serai mal informée à propos des problèmes réels qui touchent aux étudiants les plus vulnérables. Le fait que Betsy DeVos puisse être élue comme Secrétaire de l'Éducation m'horrifie. La décision pour moi est ainsi faite: Je vais aider les étudiants dans les écoles du “Titre I,” non par un sentiment de pouvoir ou une bienveillance erronée, mais parce que je veux être une partie intégrante dans des communautés qui s’occupent les unes les autres et qui se battent chaque fois que l'injustice se produit. La différence que je peux faire est petite et au niveau locale, et je la reconnais, mais je pense même si je touche la vie d’un seul enfant dans une manière positive, je serai heureuse.
***Une affiche pour Teach for America***
Une liste de tout ce que je veux accomplir et vivre dans ma vie:
Je veux recevoir mon diplôme de Duke University
Je veux appeler mes parents plus souvent au téléphone.
Je veux épouser l’amour de ma vie.
Je veux avoir des enfants, de préférence deux ou trois.
Je veux adopter un chien de la fourrière.
Je veux rester en contact avec tous mes amis du lycée et de l’université.
Je veux aller à la faculté de droit.
Je veux devenir une institutrice.
Je veux parler de la musique de rap sur une émission de radio.
Je veux rencontrer l’ancien président Barack Obama.
Je veux lire au moins deux livres par mois seulement pour ma plaisir.
Je veux aller aux Oscars avec une célébrité.
Je veux courir un demi-marathon, et si cela se passe bien, un marathon.
Je veux inventer une application qui aide les étudiants dans leurs cours.
Je veux aller dans l’espace.
Je veux découvrir une nouvelle espèce.
Je veux écrire un livre pour les enfants.
Je veux prendre des classes de ballet quand je quitte l’université.
Je veux voir les Jeux Olympiques sur le stade.
Je veux faire une généalogie de la famille biologique au côté de mon père.
Je veux faire un saut à l'élastique.
Je veux voyager en Australie et en Nouvelle Zélande.
Je veux planter un arbre.
Je veux prendre un cours au sujet du catholicisme pour comprendre mieux mon religion d’un perspectif extérieur.
Je veux coudre un vêtement comme mon grand-mère.
Je veux mémoriser la recette des gruau de maïs au fromage de mon arrière-grand-mère.
Je veux nager avec les dauphins.
Je veux boire le meilleur vin rouge du monde.
Je veux découvrir un tunnel secret.
Je veux me présenter pour une élection locale.
Je veux être une figurante dans un film.
Je veux faire une randonnée sur le sentier des Appalaches.
Je veux peindre un paysage.
Je veux écrire et produire les lyriques d’une chanson.
Je veux concevoir un T-shirt pour un concert.
Je veux s'asseoir en première ligne au Fashion Week à Paris.
Je veux aller en croisière aux Caraïbes.
Je veux apprendre l'espagnol et le japonais.
Je veux reprendre les cours de mathématiques, en particulier le calcul et la géométrie.
Je veux acheter une maison moi-même.
Je veux voir une comète dans le ciel.
Je veux aller à une fausse bataille historique (i.e., à Gettysburg)
Je veux lire, et essayer de comprendre, toutes les oeuvres de William Faulkner.
Je veux voir Hamilton, le musical.
Je veux faire un voyage à travers le pays dans ma voiture.
Je veux développer une nouvelle recette en mélangeant les goûts sucrés et salés.
Je veux être vivante quand la marijuana est légalisée partout aux États-Unis.
Je veux décorer une chambre dans la maison/l’appartement de mon ami(e).
Je veux voir la sixième fois que Duke gagne le titre de championnat national pour le basket masculin.
Je veux rechercher des médicaments alternatifs pour aider les personnes souffrant de dépression et d'anxiété.
Je veux concevoir un nouveau mot pour diffuser dans la conversation quotidienne.
Je veux aller au camping à Yosemite.
Je veux essayer la comédie stand-up.
Je veux faire la nouvelle année à New York.
Je veux préparer un repas complet pour ma famille.
Je veux aller à un festival de musique qui dure plusieurs jours.
Je veux apprendre des stratégies d’échecs.
Je veux écouter à la radio (i.e., NPR) plus et moins la musique quand je conduis.
Je veux rejoindre un club de lecture.
Je veux faire un photoshoot professionnel.
Je veux améliorer mes capacités de parler en public.
Je veux faire de la plongée en apnée.
Je veux aller en safari en Tanzanie.
Je veux faire un scrapbook pour quelqu'un que j'aime.
Je veux parler au téléphone toute la nuit avec quelqu'un.
Je veux devenir une maîtresse-nageuse certifiée.
Je veux organiser un voyage pour visiter ma famille d'accueil (d’EDUCO) à Paris.
Je veux écrire un courrier postal au moins une fois par mois.
Je veux diriger une pièce de théâtre.
Je veux créer une vidéo virale.
Je veux réciter de la poésie au slam.
Je veux me couper tous les cheveux, puis le regretter.
Je veux ouvrir un café qui se spécialise dans le café et la bière.
Je veux être avec un être cher quand elle accouche.
Je veux me souvenir (doit me souvenir) d’utiliser du fil dentaire.
Je veux pleurer comme un bébé à mon anniversaire de 30 ans.
Je veux suivre un cours de philosophie.
Je veux voir un requin être nourri.
Je veux voir un double, voire triple, arc-en-ciel.
Je veux cacher efficacement mon identité pendant une semaine, comme une espionne.
Je veux (bien) peindre mes propres ongles.
Je veux aller au fond de l'océan dans un sous-marin.
Je veux rencontrer la distribution de Seinfeld.
Je veux écrire un article sur les politiques pour le New York Times.
Je veux danser tous les jours.
Je veux pratiquer le tennis plus souvent.
Je veux apprendre des compétences de survie en région sauvage.
Je veux nommer une rue après un membre familial.
Je veux apprendre à coder un ordinateur.
Je veux créer une langue secrète.
Je veux me familiariser avec l'art classique.
Je veux monter dans un ballon à air chaud.
Je veux témoigner d'une amitié improbable entre différents animaux.
Je veux vivre dans une maison avec un porche de style sud.
Je veux faire un triathlon.
Je veux visiter Washington DC chaque année (si je n’habite pas là-bas à long terme).
Je veux faire du vélo à San Francisco.
Je veux visiter Disneyland en Californie
Je veux réapprendre à jouer du saxophone.
Je veux trouver quelque chose heureuse et positive chaque jour de ma vie!
***Ce GIF me rappelle des rêves***
Article de Magazine:
Hannah Morris est le photographe choisi de la semaine pour “National Geographic”. Elle fait un projet de photographie sur les étudiants aux écoles publiques à Washington D.C., sa ville natale. Son projet, “Students of D.C. Public Schools” s’inspire du projet de “Humans of New York,” créé il y a sept ans par Brian Stanton. On avait l’occasion de parler avec Hannah à propos de ses photos et ce qu’elle veut faire à l’avenir.
NG: Pourquoi avez-vous choisi de faire ce projet?
HM: Quand j’ai vu “Humans of New York” sur Facebook, j’ai vu tant d’histoires personnelles et significatives, qui abordent des sujets qui touchent à un vaste nombre d’individus venant de tous les horizons de la vie. J’ai voulu faire cela avec ma propre communauté, et avec les enfants car j’ai fini mon poste d’institutrice avec Teach for America il y a deux ans.
NG: Et, s’il vous plaît, commenter de cette expérience un peu plus?
HM: Oui, bien sûr. TFA était une très belle expérience. Je suis installée à l’est de la Caroline du Nord. L’environnement est très difficile. Beaucoup d’étudiants ne voient pas un avenir promettant pour eux-mêmes. Il faudrait chaque jour aller au travail avec une attitude positive et enthousiaste, mais je me sentais quelquefois comme si c'était une façade. La raison pour laquelle j’ai voulu faire ce projet est de donner la propre voix aux étudiants de DCPS. Les voix des enfants sont trop souvent occultées par les adultes, les politiciens et les médias. On peut gagner beaucoup de sagesse en écoutant ce qu'ils veulent dire.
NG: Je suis complètement d’accord. Quels sont les sujets les plus fréquents que vos étudiants abordent?
HM: À ce moment politique, ils aiment discuter l’injustice que la police continue de commettre contre principalement les jeunes mâles noirs. Heureusement, Trump n'est plus le président, mais tout le monde aime toujours parler de la façon dont ses politiques et ses ordres exécutifs ont eu un effet négatif sur leur vie. Ils parlent de leurs situations familiales, parfois c’est attachante et parfois déchirante. Au total, ce projet ouvre mes yeux et les yeux des membres de la communauté qui ne savent rien sur les écoles publiques à des enfants brillants qui ont des mots puissants à dire.
NG: Finalement, je veux demander ce que vous voulez fair à l’avenir? Un autre projet à la tête?
HM: Avec “Students of D.C. Public Schools,” je veux peut-être trouver un moyen d’intégrer le projet dans un cours pour les lycéens, qui peut continuer le projet sur leurs propres termes. À l’avenir, je pense que je voudrais faire une étude comparative avec des étudiants dans le nord de la Virginie, où les écoles publiques sont bien financées et soutenues par les familles. Il sera intéressant de voir les similarités et les différences dans les voix des étudiants de ces deux milieux situés dans la même région.
NG: Merci pour votre temps, Hannah! On vous souhaite la chance dans l’avenir.
Ma déclaration de mission est: “Je veux être la personne que mon chien pense déjà que je suis.”
J’ai choisi cette déclaration de mission parce que j’ai tendance à être auto-déprimant et je dois reconnaître que je ne me vois pas de la façon dont les autres me voient. Je devrais apprendre à concilier les deux points de vue. Je dois me rappeler que mon chien déjà voit en moi la meilleur version de moi-même, un individu à lequel il est toujours fidèle et qu'il aime inconditionnellement.
***Mon chien, Buddy (il a 15 ans maintenant!!)***
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Carnet de Bord expériences professionnelles
HALAOUI DAVID
1) Un projet Personnel et Professionel
a. Qui suis-je ? Je me présente
Je m’appelle HALAOUI David et j'ai 24 ans. C’est la première année de master à Clermont-Ferand. J’ai effectué mes études au Togo ou j’ai obtenu mon Baccalauréat ES. Après j’ai intégré l'institut Rousseau dans la ville de Toulouse où j'ai obtenu la license en patrimoine assurance Banque. Par la suite j'ai intégré l’école de commerce de Clermont-Ferrand en MGE2 classique. Je suis à la recherche des stages et des alternances en commerce etmanagement.
b. Mes qualités personnelles:
De part mon origine et mon cursus scolaire et universitaire j'ai remarqué que je suis quelqu'un de sociable.J'ai l'esprit d'équipe et le sens de l'écoute et Je m'adapte rapidement aux situatons,Je suis de nature pondéré et déterminé.
c. Traits de caractère:
Les trois points forts sont : -Le sens de la communication qui se traduit par l'interaction avec les autres personnes car la discussion est un élément important, elle permet de bien comprendre la mission à faire et de répondre de manière adéquate aux attentes de l'entreprise. -Le travail d' équipe, j'apprécie le travail en collectif car cela permet d'avoir une nouvelle vision car on prend en compte l'idée des collaborateurs. La persévérance qui s'explique par le fait que lorsque j'ai une tâche à effectuer et qu'elle est compliqué je fait tout pour la réaliser.
Les trois points à améliorer sont:
-La prise de décision: J'éprouve des difficultés à prendre des décisions et cela me rend indécis. -La gestion du stress. -La répartition des tâches sur une période donnée ,il me faut plus d'organisation pour la gestion de temps.
d. Mes valeurs:
Les valeurs que je détiens sont la serviabilité car il est important d'aider les autres, d'être altruiste. Le respect est important car il permet d'avoir la considération de soi et des autres. La sociabilité est aussi importante car elle permet de partager et de connaître les autres et leur culture.
e) Ce qui me motive dans la vie : mes appétences et mes centres d’intérêts:
Ce qui me motive est la réalisation de mon projet professionnel, et l'obtention d'un poste stable pour détenir et développer les compétences. Concernant les appétences, j'aime bien analyser des situations factuels avant d'apporter son opinion.
Mes centres d’intérêts:
Le sport comme le football car il permet le rassemblement entre les personnes. Il constitut aussi un facteur qui permet la cohésion d'équipe. Il y a également le ping-pong, le basket ball.J'aime bien la musique. Ces éléments permettent le bon fonctionnement de l'entreprise dans l'aspect social.
2. Que savais-je faire avant d’intégrer le programme ?
Les compétences formelles sont:
La Gestion des chéquiers et des cartes et la Réalisation des virements.
b. Les compétences informelles :
Le sens du relationel car il facilite la discussion avec les autres.
c. Stages en entreprise avant ma formation:
Stage dans une institution financière ( Franc Finance) à Paris et dans une banque ( CIC) à Toulouse.
d. Projets menés en dehors de ma formation:
L'organisation d'un évènement festif, Il fallait passer des commandes pour la location des chaises, des tables. Il fallait aussi faire appel au service traiteur en fonction du menu, de leur disponibilité et de la capacité en fonction du nombre de personnes.
3. Ma formation actuelle:
a. Les objectifs pédagogiques de ma formation :
Les objectifs pédagogiques sont de former les individus sur le management, de former des entrepreneurs en enseignant les connaissances nécessaires et de leur faire acquérir des compétences. Cela donne des occassions à la mise en pratique, et à la réalisation des projets.
b. Mes objectifs :
L'obtention de mon diplôme et intégrer une entreprise pour pouvoir acquérir de l'expérience. Améliorer les analyses dans les différents secteurs du commerce et de l'économie sur les différentes entreprises. Détenir des compétences dans l'aspect de gestion de projet , dans l'aspect commercial et développer le travail d'équipe.
L’axe sur lequel j’ai le plus progressé :
La Finance, le management stratégique, le comportement organisationnel, la négociation et la rentabilité.Il y a la progression en anglais car il y a eu des cours 50% anglais et aussi les projets et débat sur des thèmes en anglais. L’école nous fournit des occassions de passer le projet voltaire et le toeic, c’est aussi mon but d’obtenir le certificat de voltaire et de toeic. Le travail d' équipe est un élément sur lequel j'ai progressé par la délégation des tâches au menbres de l'équipe. La possiblité de communiquer avec les entreprises comme le carreer day et les négociales. Ces activités me permettent d’échanger avec les professionels et obtenir des conseils des professionels.
Le moins progressé:
Le contrôle de gestion, c'était un nouveau domaine , il y avait beaucoup de choses que je ne comprenais pas. Il y a également le droit car j'ai eu des difficultés sur certains thèmes et les cas pratiques.
Les compétences sur lesquelles je dois encore progresser :
Je dois progresser en informatique car cela représente un enjeu indispensable dans le domaine professionnel.
Comment vais-je procéder ?
Je vais suivre des formations et regarder des vidéos en ligne pour apprendre en autoditacte.
Les objectifs atteints:
La découverte des matières et un élargissement dans les domaines tels que le marketing international, le suppy chain management , le management interculturel qui étudie la culture du travail en fonctions des diverses origines des individus dans les entreprises . Il montre également l' importance sur l'aspect collaboratif et la concertation entre collègues. J’ai aussi amélioré la lettre de motivation, par les conseils que j’ai pu recevoir de la part de madame Delphine Lopez.
Les objectifs Non Atteints:
La maîtrise et la compréhension du fonctionemment du BI, ses avantages, le progrès qu'il apporte dans les informations des entreprises, son action dans la préservation et l' exploitation dans les investissements technologiques.
c. Mes compétences :
Au début de la formation: Le fonctionnement sur l'ouverture d'un compte, Les informations sur les caractéristiques des livrets d'épargne tels que le livret A, Le livret de développement durable, livret d'épargne populaire, livret jeune. Les notions sur les crédits de consommations et immobiliers et l'analyse de portefeuille du conseiller particulier. A la fin de la première année de formation (2018-2019): La notion et la connaissance des outils en gestion de patrimoine tels que l'assurance vie, la loi pinel, la loi Madelin, et le droit de succession. La connaissance sur certaines l'union européenne.
d) Expérience professionnelle :
J’ai eu deux expériences professionnelles dans différents secteurs avant d'obtenir la licence. La première à Franfinance et la seconde au CIC à Toulouse.
La présentation de l'entreprise Franfinance:
Franfinance est une filiale française du groupe Société Générale, spécialisée dans le financement des ventes de biens d’équipement destinés aux entreprises ainsi que dans le crédit à la consommation en direction des particuliers. Cette entreprise propose des services en Crédit et crédit-bail aux entreprises. Franfinance, sous la marque Société Générale Equipment Finance15, travaille en partenariat avec des constructeurs et des distributeurs afin de leur permettre de développer leur chiffre d’affaires en proposant une gamme complète de solutions de financement pour leur clientèle entreprise. Franfinance propose des solutions de financement : crédit classique, crédit-bail, locations financières et opérationnelles, produits structurés, ainsi que de services à la personne (assurances, remarketing…). La société intervient dans les secteurs d’activités suivants : Haute Technologie (IT, Bureautique, Médical) Équipements industriels (Machines de production, BTP) Transport (Véhicules industriels, utilitaires, semi remorque, porteur, tracteur, autocar),et la Manutention. Franfinance gère également une activité de prestations de services pour le compte de sociétés de leasing du groupe Société générale.
Stage à FRANFINANCE (59 AVENUE DU CHATOU 92853 RUEIL MALMAISON à Paris):
j'ai effectué un stage en 2017 pour une période de 2 mois. J'étais en charge de l'apprentissage du montage des dossiers de financement sur les entreprises. La structure de l'entreprise dans laquelle j'étais affecté est chargé de financer les projets d'acquisition de machine en se basant sur plusieurs critères et en suivant certaines démarches. J'avais différents contrats à traiter tels que les contrats de location, les contrats de location avec entretien et les contrats de crédit- bail. Je devais regarder les informations tels que le nom des entreprises, le numéro d'ODE qui est un numéro d'accord, le montant à financer, le siège social et vérifier que ces documents soient conformes au logiciels..Je devais vérifier que la fiches des contrats soient en double, regarder la fiche des conditions générales. Après cela je devais remplir les pochettesde de différent contrats de location. Les collaborateus vérifiaient après si la mission était faite. Ils m'ont également montrer les parties techniques avec les logiciels pour voir si les entreprises avaient demandé l'entretien des machines, car il avaient la possibilité de prendre cette option. Elle permettait aux entreprises de se faire envoyer des technicienspour un éventuel problème sur les machines.Il fallait aussi voirla décision des entreprises sur l'achat des machine après leur location. Le travail se faisait dans un espace ouvert, ce qui permettait d'échanger et de demander des informations à l'équipe . J'ai acquis la connaissance des logiciels dans ce domaine, le travail d'équipe. Durant mon stage à FranFinance, il y avait un dossier important sur une entreprise que les collègues ne retrouvaient pas, ils m’ont demandé si je l’avais pas vu ou mis dans le croc feuille, je leur ai affirmé que le dossier ne m’était pas parvenu. Devant la difficulté à retrouver ce dossier, j'ai proposé et donc demandé que tous les collègues de notre service et des autres services qui pourraient recevoir ce dossier que nous fassions un travail de fouille minutieuse dans nos dossiers qui se sont entassés sur les bureaux. Au final le dossier a été retrouvé et c’était un collaborateur d’une autre structure qui l’avait réceptionné. Cela m'a plu car cela présentait une situation qui se passe dans les entreprise et montrait comment on peut les résoudre.
Stage au CIC purpan:
Pendant le stage au cic purpan j'ai effctué olusieurs tâches comme de la gestion de l'accueil téléphonique, les clients appelaient pour plusieurs renseignements, pour des opérations sur leur compte bancaire.Pour ce qui est de l'accueil au guichet, il y avait la gestion des chéquiers et des cartes que je faisais, je demandais le nom des clients et leur pièce d'identité. Je vérifiais ensuite dans le logiciel et je les remettais aux clients. J'ai assisté à l'entretien en binome. Cela consistait à participer à l'entretien du conseiller et du client sur divers produits comme l'assurance-vie. Dans ce cas les clients voulaient diversifier leur portefeuille sur les unités de compte car la valeur avait augmenté. J'ai aussi procédé à l'analyse de portefeuille du conseiller particulier, cela consistait à expliquer les résultats obtenus du conseiller sur le produits tels que les livrets, les crédits, les assurances.
4. Le métier que je vise:
je vise le domaine du commerce ou supplychain managemen comme responsable de la chaine de productiion ou directeur commercial d'une entreprise. ces deux secteurs représentent un enjeu important dans l'aspect économique.
Mon plan d’action pour atteindre mon objectif professionnel:
Je vais effectuer La recherche des stages et des alternances. La maîtrise et la compréhension du fonctionemment du BI, car il apporte les informations des entreprise. Il représente un aspect important dans la préservation et l' exploitation d' investissements technologiques dans les entreprises. La recherche de progression en informatique car cela représente un enjeu indispensable dans le domaine professionnel.
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Chapitre 5 - Ca bosse dur
So, first day of work it is. Je rencontre l'équipe avec laquelle je vais travailler pendant ces cinq prochains mois. Mon boss fait un peu peur mais je pense qu'il est gentil en vrai et que je suis juste un bébé.
Tu te demandes peut être ce que c'est mon travail. Moi aussi. (c'est une blague) Friendship est divisé en différents départements, celui avec lequel je bosse c'est Sustainable Economic Development, ou SED pour les intimes. Leur job c'est de faire en sorte que les gens ici sortent de la misère de façon pérenne. Ca passe surtout par de la formation pour rendre l'agriculture et la pêche plus efficaces et durables ou pour rendre les femmes notamment, plus autonomes. C'est aussi un gros volet finance, de micro crédit pour permettre d'acheter des graines ou du matériel. Et enfin, une partie accès à l'électricité pour que la journée des gens ne s'arrête pas au couché du soleil. Crois moi qu'iels partent de loin !
Ma mission c'est d'évaluer l'impact environnemental de l'agriculture et de la pêche sur place et de voir parmi leur projets actuels, ceux qui fonctionnent et ceux qui fonctionnent moins, pour faire en sorte que le mode de vie des gens soient pérenne d'un point de vue économique pour elleux, et durable d'un point de vue environnemental. (j'ai beaucoup travaillé sur cette phrase pour me la péter à mort) Pour l'instant, je travaille sur des rapports qu'iels ont déjà écris mais mon boulot sera surtout basé sur une analyse de terrain et je vais partir au quatre coins du Bangladesh six ou sept fois d'ici les cinq prochains mois. So exciting !
Le truc rigolo qui m'est arrivé ce jour là, c'est quand Asif m'a transféré un email. Il venait de Mourad, un français que j'avais rencontré dans l'avion en allant à Dacca et à qui j'avais dis que j'allais bosser à Friendship. Je n'avais pas raconté ce passage parce que c'était un peu la honte, j'avoue. En fait, j'ai passé bien dix minutes à galérer pour essayer de sortir l'écran de mon siège. Mourad, quelques sièges plus loin et mort de rire, a fini par venir m'expliquer qu'il suffisait d'appuyer sur un bouton. Ouais. Du coup on a un peu discuté. Il s'occupe de la comm d'une asso qui vient faire des puits dans des villages au Bangladesh, du coup il est là pour un peu plus d'une semaine pour voir comment ça se passe. Pareil, il a pas mal halluciné quand je lui ais dis que je voyageais toute seule et que je comptais rester cinq mois. Comme on s'était perdu de vue en sortant de l'aéroport, il a envoyé un petit mail à Friendship pour leur demander s'ils pouvaient me le transférer. Je lui ai répondu et il m'a renvoyé un email trop mignon et trop gentil en me disant qu'il me soutenait tellement dans ma démarche et qu'il me souhaitait que le Bangladesh puisse m'offrir autant que ce que je peux lui offrir. On rencontre des gens biens des fois. Faith in humanity +12.
La journée s'est passée tranquillement, et un des chauffeur m'a ramené chez moi vers 15h30 (grosse journée). Il est repassé une heure plus tard pour que je puisse déplacer mes affaires de chez Rob et Kate jusqu'à mon nouvel appart temporaire dans Gulshan 1. J'ai dis au revoir et un gros merci à Rob, Kate étaient encore au travail, ils partent demain aprèm à Calcutta pour le weekend. Ca donne des idées.
Une fois installée, je commande un uber. Je l'attends pendant une heure. C'est pas Paris. Il m'amène à Gulshan 2 (faut suivre) chez Thomas et Valérie, les français.e.s chez qui je pense habiter. Iels me montrent la chambre qui va se libérer. Et comme c'est un peu tard, iels m'offrent à dîner. Hihi. Iels sont tou.te.s les deux profs à l'école internationale et arrivés pour la rentrée en septembre. Thomas fais toutes les matières scientifiques, il a déjà pas mal vécu à l'étranger, en Afrique surtout, et Valérie est instit, c'est sa première expatriation.
Jeudi, journée assez similaire au boulot. Todo bien, c'est déjà le weekend, je m'habitue aux épices, moins au riz deux fois par jour. Il y a un pot de départ aussi, je comprends pas encore le bengali mais il y a à manger après, ça décuple ma patience.
La partie cool de cette journée, vient après. Je vais diner au German club avec Shad et Maxine.
Shad bosse depuis quatre mois à l'ambassade de France, il lui en reste encore deux. Je le connais depuis un moment puisqu'il avait remplacé le bf cet été à l'ambassade de France en Macédoine, mais on ne s'était jamais rencontré pour de vrai. Il parle bengali, je suis trop jalouse. En gros c'est lui qui m'a permis d'avoir un visa et donc de venir à Dacca.
Petit point visa. Obtenir un visa pour le Bangladesh relève du parcours du combattant. J'étais encore en Serbie quand j'ai commencé les démarches. Doux pays sans ambassade du Bangladesh. Sinon c'est pas drôle. Du coup, il fallait que je le fasse à Paris mais depuis Belgrade. Heureusement le bf était sur place pour s'amuser à faire des petits aller-retour à l'ambassade au fin fond du XVIè arrondissement. Je te passe les galères d'ordre purement administratif, j'étais bien contente d'avoir ma copine Cathie, reine du visa, qui bossait à l'ambassade à Belgrade. J'ai demandé un visa recherche de cinq mois parce que le Bangladesh ne file pas de visa de travail. Quand je suis enfin retournée à Paris pour aller le chercher, on m'a rendu un visa tourisme de deux mois. Cimer. Comme Pipo n'accepte pas les stages de moins de trois mois, c'était fini. Le Bangladesh tué dans l'œuf, et tant pis pour les billets d'avion. J'ai envoyé un mail à Friendship pour leur dire que je ne pouvais pas venir et j'ai recommencer à envoyer un milliard de CV partout dans le monde. Pendant ce temps, Shad m'a demandé comment ça se passait. Je lui ais répondu que c'était mort. Il m'a dit qu'il allait voir ce qu'il pouvait faire. Ca m'a fait doucement rigolé, je ne voyais pas trop ce qu'un stagiaire allait pouvoir faire pour moi. Sauf que deux jours plus tard, j'ai reçu un mail me disant de retourner à l'ambassade pour récupérer mon visa recherche de six mois. L'ambassadrice de France au Bangladesh avait écrit à l'ambassadeur du Bangladesh en France. Pour moi. La chance et moi, grosse histoire d'amour depuis vingt ans. C'était reparti. Rollercoaster émotionnel j'te le dis.
Maxine c'est la luxembourgeoise qui m'a remplacé chez Kate et Rob et qui va bosser avec moi à Friendship. Elle parle luxembourgeois, anglais, français et allemand, je suis beaucoup trop jalouse. Mêmes galère de visa, du coup elle ne reste que trois mois. Je l'avais déjà contacté pour lui donner un coup de main parce qu'elle arrivait le jour même et que moi j'étais déjà à la maison à Dacca (non). En plus, Les brits partaient dans le même temps à Calcutta pour le weekend et elle se retrouvait toute seule, je me suis donc auto attribuée comme mission de m'occuper d'elle. Et puis j'aime bien me faire des coupines.
Bref, iels sont tou.te.s les deux trop cool, je les aime déjà trop et je les déteste d'avance de partir avant moi. On a passé une trop bonne soirée et on a plein de trucs prévu pour le weekend.
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