#j'aimais beaucoup ses vidéos
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Cela fait maintenant 1 an que Eimadolly a arrêté youtube et tous ses réseaux. Et je dois avouer que les rendez-vous du mardi et vendredi soir 18h me manquent.
#jezatalks#apparemment elle va super#j'aimais beaucoup ses vidéos#on ressentait beaucoup sa spontanéité et honnêteté
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2023年08月25日 Le début des playlists
Depuis que j'ai commencé à écouter de la musique sur Internet, j'ai crée d'immenses playlists dans lesquelles se trouvaient toutes les musiques que j'écoutais. Je n'ai jamais considéré les playlists comme un moyen de catégoriser la musique que j'écoutais, mais plutôt une sorte d'archive de tout ce que j'aimais bien.
Quand j'étais petit, je n'étais pas passionné de musique et je n'écoutais aucun artiste si ce n'est les musiques qui passaient à la radio quand on allait quelque part en voiture. Cependant, quand j'ai commencé à être passionné par les jeux vidéos, j'écoutais les musiques provenant de plein de jeux différents, dont beaucoup que je n'avais jamais joué !
Des chaines YouTube du nom de BrawlBRSTMs3 et GilvaSunner postaient des musiques de jeu vidéo, et c'était les chaines référence pour les amateurs qui voulaient écouter leurs bandes-son préférées sans avoir à télécharger quoi que ce soit, en plus de la partie commentaire où la communauté pouvait interagir. Ainsi, j'avais une playlist composée majoritairement de vidéos provenant de ces chaines. Malheureusement, poster ces musiques sur Internet s'avère être illégal pour Nintendo, qui a fini par céder et supprimer toutes les vidéos les concernant pour droit d'auteur.
Dans le cas de BrawlBRSTMs3, c'est arrivé le 15 mai 2019, soit un jour avant que je ne découvre Casiopea ! Ma playlist avait deux ans, et plus de 1100 musiques, et voilà que deux tiers venaient de partir en fumée...
Depuis, j'écoute toutes ces musiques directement depuis mon ordinateur, et je les stocke sur un disque dur externe. Je n'ai pas réussi à retrouver toutes les musiques tellement il y en avait, mais je suis sûr qu'avec le temps j'y parviendrai !
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La réalisation d'un fantasme
La réalisation d'un fantasme
(100% histoire vraie)
Il était une fois, j'ai nommé ici le Frappeur.
Pour les anciens, vous le connaissez bien, tant il a marqué mon esprit aussi bien que mon cul.
Pour les nouveaux, le Frappeur était un homme grand, fort, puissant qui avait pour habitude de faire de moi ce qu'il voulait.
Et parfois par la force étant donné que je ne me laissais pas faire facilement quand j'avais décidé quelque chose.
J'avais rencontré le Frappeur sur un site quelconque de rencontres en 2012.
Ma fille avait alors...un mois! (Ne me tapez pas...)
Excusez moi si ma libido était revenue en flèche juste après l'accouchement!
La première fois que vous avions fait l'amour, c'était dans sa voiture.
Ce n'était pas incroyable, j'avais même trouvé ça mou. Avec beaucoup de violence.
Je n'y étais pas encore habituée...et je n'aimais pas ça.
Il me sonnait quand il avait envie de moi. Ça donnait un message du type "j'ai envie de te voir ce soir" et ça s'arrêtait la.
C'était droit au but.
Ah celui là! Il ne m'a jamais fait croire en rien lui au moins...
Toujours à dire que les femmes mariées qui se faisaient baiser par d'autres étaient des putes, mais qu'il adorait les sauter ces putes.
Qu'est ce qu'il adorait ça !
Il avait une sorte d'emprise sur moi. Je ne sais toujours pas comment il s'y est pris, mais j'étais incapable de lui résister.
Il aimait me filmer quand je le suçais.
Il aimait me filmer quand il me prenait.
Il aimait tout le temps me filmer. Encore aujourd'hui il regarde ces vidéos en se masturbant.
Ne riez pas, c'est lui qui me l'a dit!
Il essaye toujours de revenir dans ma vie par un moyen ou par un autre.
Bloqué de partout, il réussit à m'appeler avec un nouveau numéro régulièrement.
Histoire de voir si j'ai changé d'avis.
Mais je ne changerai plus d'avis.
L'époque du Frappeur est révolue.
Mais le pouvoir de ses souvenirs reste intact.
Notamment le jour où il a réalisé un de mes plus grands fantasmes à mon insu.
Il m'avait demandé quelles étaient mes envies lors de nos premiers rendez-vous et il avait les mêmes.
Mais pour que tout cela prenne forme, il ne fallait pas qu'il me dise ce qu'il allait faire.
Je ne me suis jamais doutée qu'il préparait un coup pareil. D'ailleurs je me demande même si c'était prémédité.
Nous étions sur le sol du salon, allongés l'un contre l'autre après avoir fait l'amour deux fois. Je ne sais plus exactement ce qu'il m'a dit, mais c'était sûrement une saloperie.
J'eus envie qu'il parte sur le champ: il m'avait dégoûtée.
Sûrement encore un truc mysogine dont il avait le secret. Il avait le don de me mettre hors de moi. Je le détestais. Mais il baisait si bien...
Lui seul me faisait fermer ma gueule comme il disait.
Lorsqu'il me répétait des "ta gueule" quand je criais trop fort, ça me rendait folle de désir.
Je me levais donc en colère et lui demandais de partir.
Il refusa. Il me dit qu'il avait encore envie. Mais moi non. Et plus du tout même.
Il ne me laissa pas le choix. Il me rattrapa au vol et m'agenouilla en me tenant les bras dans le dos.
Je lui demandai alors ce qu'il était en train de faire. Sa réponse? Un "ta gueule putain!"
Je lui répétai que non, je ne voulais pas. Sa réponse? "J'en ai rien à foutre! Si j'ai envie de te baiser, je te baise!".
Il me pencha légèrement en avant et me pénétra directement. Il était si dur, on aurait dit une barre de métal.
Il attrapa mes deux poignets avec une seule main tandis qu'il plaça la seconde sur ma bouche en me demandant si j'aimais ça.
J'essayai de le repousser mais je ne pouvais rien faire. Il était bien trop fort et moi trop faible.
J'étais dans un état second, je ne comprenais pas ce qu'il était en train de se passer. Je ne voulais pas, mais je ne pouvais absolument pas bouger.
Ses coups en moi se faisaient de plus en plus forts et je sentais que je lâchais prise au fur et à mesure des secondes qui défilaient.
Enfin, il déplaça légèrement sa main de façon à m'empêcher de respirer aussi par le nez.
Nous n'avions jamais parlé de ça! C'est un délire qu'il s'est permis ce jour-là.
Il me murmura alors à l'oreille "je pourrais te tuer là"...Une vague de désir incroyable se propagea alors en moi, au bas de mon ventre.
Je ne pouvais plus respirer, je manquais d'air, et je ne pouvais rien faire. Plus j'essayais de me débattre, et plus il resserrait son étreinte.
Quelque chose alors d'incroyable se passa en moi: je me laissai partir. Je m'abandonnai à cette douce mort qui m'attendait.
C'était très intense. Un sentiment de lâcher prise total, de plaisir incroyable. Mon corps était dans un tel état d'excitation que je ne le reconnaissais plus.
J'ai abandonné un instant l'envie de vivre. Le combat était perdu d'avance. Alors je me laissai aller au plaisir.
J'ai cessé de lutter. Et mon corps était en transe. J'aimais ça.
A la minute où j'ai rendu les armes, il se mit à jouir très fort. Je m'en rappelle comme si c'était hier. C'était différent des autres fois. C'était plus intense. Son cri était presque animal.
Il desserra son étreinte presque aussitôt et je pus enfin respirer et m'écrouler sur le sol.
Juste avant de me laisser là, complètement nue, recroquevillée sur moi-même, il me lança une phrase que je n'oublierai jamais "tu as été parfaite".
Il pensait que c'était un jeu. Pour moi, il m'a prise de force. Je ne voulais pas.
Mais mon corps a aimé ça à un point inimaginable.
Nous en avons reparlé depuis, et cela reste pour lui aussi un moment inoubliable, unique.
J'ai cette détestable impression d'avoir été violée, mais j'ai tellement aimé ça...que je me demande si c'était réellement un crime.
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Hello! J'espère que ce début de mois de juin se passe bien pour toi :) Parmi les "weird questions for writers", je vais faire ma curieuse et de poser les questions 3 et 19 (je trouve ça toujours fascinant de voir les différentes manières et méthodes que les gens utilisent!). Et je ne sais pas si tu es très poésie, mais dans ce cas là, peut-être la 40 aussi? Bonne journée à toi :D
Salut et merci pour les questions !
Mon mois de juin commence bien, même si c'est sous la pluie. J'espère qu'il en est de même pour toi !
3. What is your writing ritual and why is it cursed?
J'ouvre mon ordinateur à une heure miroir, je prie les grands anciens et...
Rien d'incroyable en fait. Je m'installe tranquillement à mon bureau, j'ouvre mon Google Doc et le document avec le script de mon chapitre en cours dans un autre onglet. Je me mets en condition et on y va.
Parfois, je mets des bruits d'ambiance en fond, comme cette vidéo :
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Mais jamais de musique car ça me déconcentre.
Des fois, si mon emploi du temps me le permet, j'écris sur mes heures de travail. On ne vit qu'une fois.
19. Tell me a story about your writing journey. When did you start? Why did you start? Were there bumps along the way? Where are you now and where are you going?
J'ai commencé à écrire à 12/13 ans. C'étaient de petites histoires inspirées par les univers que j'aimais, j'en ai posté certaines sur internet. Il y avait déjà la formule de base avec une héroïne au centre de l'action et en quête de son destin.
J'ai continué à écrire comme ça de manière assez épisodique. Je rêvais beaucoup mais je ne mettais pas forcément tout par écrit. Puis après j'ai commencé à écrire des nouvelles et à essayer de me lancer dans un roman qui se déroulait dans un univers inspiré des steppes d'Asie centrale.
C'est il y a 6 ans que j'ai commencé un vrai grand projet en me lançant dans mon premier NaNoWriMo. C'était un roman historique (oui j'avais des prétentions...) qui se déroulait au Japon pendant la guerre de Genpei (1180-1185), une période qui me fascine. ça s'appelait Le dit de Koyuki et ça racontait l'histoire d'une jeune guerrière d'une famille de samouraï qui se découvrait en quelques sortes des dons de médium. J'ai réussi à le terminer et ça m'a vraiment encouragée.
Ensuite, je me suis lancée dans un projet avec un univers de fantasy, qui était un univers égalitaire sans violences systémiques envers les femmes parce que j'en avais assez de ce genre de schémas. Pour moi, la fantasy c'était justement l'occasion d'inventer quelque chose de nouveau. J'ai écrit deux romans là-dedans : un sur une guerrière nommée Sighild et l'autre sur une nonne et peintre, Arianrhod (Ari).
Et après j'ai trébuché. Je me suis battue pendant 2 ans avec une dépression et ses suites. En plus j'étais au chômage, il y a eu le confinement et d'autres choses...Bref c'était pas l'éclate. Jusque-là, écrire était ce qui me permettait de m'évader et de respirer. Là, je n'y arrivais que très difficilement et c'était très douloureux de ne plus avoir ça, de voir que je l'avais perdu. Je devais me battre contre moi-même et contre une impression indélébile que tout ce que je faisais était mauvais. Souvent, je n'avais plus d'énergie pour écrire. Je n'arrivais plus à croire en moi et à ce que je faisais. C'était un dialogue permanent entre moi et un "hater" imaginaire. J'ai quand même écrit des choses pendant cette période, surtout quand tout a commencé à aller mieux.
Les angoisses de cette période sont restées encore un peu. J'avais peur d'écrire parce que j'avais peu d'échouer, de ne pas raconter les choses correctement. J'avais peur que personne ne veuille lire mes histoires.
Et puis j'ai recommencé doucement à écrire des fanfics et petit à petit j'ai repris confiance en moi. Je n'ai jamais autant écrit depuis 1 an et demi environ. Je commence de plus en plus à lâcher prise. Je n'écris pas pour atteindre un objectif ou pour être publiée, j'écris juste ce qui me fait plaisir. Je suis contente d'avoir persisté et d'avoir gagné.
40. Please share a poem with me, I need it.
Voici un extrait d'un poème de Renée Vivien, une de mes poétesses préférées !
Viens : nous écouterons, dans un silence amer, Parmi les chuchotis du vêpre à l'aile brune, Le rire de la Lune éprise de la Mer, Le sanglot de la Mer éprise de la Lune.
"Les succubes disent"
Weird questions for writers
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j'ai vu les césars pour la première fois et j'ai des choses très importantes à dire (non) ☝️
tahar rahim trop beau déjà
j'aimais trop les plans dans l'audience où je pouvais voir des actrices que j'aime bien mdrr
juliette binoche, rebecca marder, adèle exarchopoulos et laure calamy omgg sublimes 🥺
juliette binoche aurait dû faire une will smith sur scène ça aurait été marrant
la blague sur la diversité des présentateurs mais pas des nominé.es était marrante j'avoue
le film pour lequel rebecca marder a été nommée elle joue une femme juive, il faut que je le regarde <3
l'accent grec était marrant. par contre j'étais sur mon tél quand l'activiste est montée sur scène et du coup j'ai cru que l'interruption c'était à cause d'un problème de micro genre
le truc des décors sur scène était sympa, je sais pas si ils font des choses comme ça chaque année, il faudrait que je regarde plus souvent les césar si c'est fun comme ça
DEUX CÉSAR POUR SIMONE LE VOYAGE DU SIÈCLE ET UN POUR SAINT-OMER !!!
j'aime déjà beaucoup les vidéos "les nominés pour la catégorie machin sont..." mais les petites animations pour les costumes et les décors étaient super satisfaisantes à regarder !!
l'hommage à godard :(
jean-pierre léaud qui pleure :( :( :( :( :( :( :( :( :( :(
la transition entre l'hommage à un réalisateur mort et une musique de l'autre con, qui a eu cette idée wsh
eye haïdara, je n'ai vu qu'elle 🥺
j'ai vu aucun des films d'animation et seulement genre 4 films en tout 😶 ils ont l'air bien par contre
ptdr raphaël personnaz j'avais oublié son existence, il m'a rappelé ma princesse de montpensier à l'époque
jacques perrin :( :( :( :( :( j'ai littéralement pleuré par contre là, il me manque trop
je ne savais pas qui était david fincher avant ce soir genre j'avais entendu son nom mais c'est tout
virginie efira elle mother partout où elle va
pas le wife beater qui se fait l'invité surprise, les césar césaring hein. il faudrait pas qu'on respecte les femmes non plus (surtout après un message appellant à la solidarité avec les femmes et le peuple iranien, l'hypocrisie)
par contre j'ai vu une personne sur twitter dire qu'elle pensait que c'était une blague et que genre ahmed sylla allait débarquer mdrr j'aurais préféré ahmed sylla avec une perruque blonde que lui perso
brad pitt il parle longtemps frr ferme la omg va en prison
dinguerie
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Top des patineuses russes qui vont manquer aux JO
La Russie est là ou la sélection a été la plus rude. Beaucoup d'athlètes très douées, seulement trois place et une entraîneuse aux méthodes plus que discutables. Pour certaines j'ai vraiment, vraiment les boules. Parfois c'est juste horrible.
1. Alena Kostornaia
Désolée je ne m'en remet pas. La descente en enfer d'Alena a commencé fin août 2020 quand elle a quitté Eteri, et les critiques incendiaires dans les médias juste à cause de ça. Elle avait une blessure au dos et à la jambe. Mais elle ne s'en sortait pas trop mal avec Plush. Puis elle a attrapé le covid perdu son triple axel, et du revenir avec Eteri qui a dit qu'elle la virerait si elle ne le récupérait pas.
Alena a retrouvé le triple axel et était de retour cette saison. Mais celui-ci est très instable, et elle semblait épuisée cet automne. Et elle a été critiqué par le chorégraphe car selon lui "elle ne travaillait pas assez".
Et dix jours avant les nationaux qui devaient déterminer les places pour les JO, elle s'est cassé le bras en tentant un triple axel. Elle n'a même pas eu le droit à un combat.
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Je mets la vidéo de son programme court à Skate Canada, l'une des seules fois où elle a réussi son 3A
Et le pire, c'est que dans une interview, Eteri a dit qu'elle aurait du aller faire les nationaux alors qu'elle était interdite d'entraînement. Et Alena a dit il y a peu, que si elle n'avait pas soigné sa blessure à temps, elle aurait pu risquer l'amputation. Et après on me demande pourquoi je n'aime pas Eteri.
Pour s'occuper pendant sa convalescence, elle a lancé une chaîne youtube avec des vlogs assez sympas. Et elle a décidé de continuer sa carrière jusqu'en 2026, elle ne lâche pas le morceau !
2. Kseniia Sinitsina
Kseniia fait partie des rares patineuses sur le circuit international en Russie qui ne sont pas entraînée par Eteri. Par conséquent, elle a d'autres chorégraphes et une équipe peut-être un peu plus soucieuse de la longévité de sa carrière. elle avait remporté les Jeux Olympiques de la Jeunesse. Et, cette année elle avait deux très beaux programmes.
Il y a encore peu, Kseniia avait réussi des quads en compétition, mais le covid... elle en a tenté un pour les nationaux mais ça n'a pas marché. Dommage, son programme court sur la berceuse numéro 16 de Tchaikovsky était une merveille.
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3. Elizaveta Tuktamysheva "L'impératrice"
Liza était la seule concurrente pour une place aux JO à avoir plus de 20 ans (elle en a 25). Elle est entraînée par Mishin. C'était la troisième, LA TROISIEME fois qu'elle essayait de se qualifier. Elle a eu le covid, mais s'en est bien remise, est arrivée l'année dernière à décrocher la deuxième place aux championnats du monde. Elle a fait un très bon début de saison, grâce à son triple axel qui est très stable. Elle a un style, parfois j'aime, parfois j'aime pas. Cette année je n'aimais trop pas son programme libre (un peu simpliste et caricatural par rapport au thème) mais j'aimais bien son programme court !
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Mais voilà, Liza avait dit que la compétition la plus rude pour elle était les nationaux de Russie ou elle fait toujours une bourde. Cette année elle a fait de grosses erreurs sur son programme court, puis le lendemain a tout donné sur le programme libre. Mais ça n'a pas suffit.
Mais elle est la numéro 4 et est apparemment sur place si l'une des filles doit se désister. C'est toujours ça !
4. Daria Usacheva
Okay, là c'est horrible. Daria était le seule patineuse entraînée par Eteri sans quads ni triple axel. Elle avait donc peu de chance d'être prise, mais qui sait. Artistiquement parlant elle est loin d'être mauvaise, pour son jeune âge (15 ans), elle interprète très bien des chansons plutôt lyrique. Elle se débrouillait bien sur son programme libre sur une reprise de Nessum Dorma.
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Mais pour sa deuxième compétition sénior, au NHK, pendant l'échauffement, trois minutes avant de passer, elle s'est très gravement blessé à la hanche (la vidéo est assez horrible à regarder), et été critiquée par ses entraîneurs dans la presse "pour ne pas avoir fait attention" (elle a 15 ans...) Elle a donc loupé les nationaux et recommence tout juste à marcher. On ne sait pas si elle on va la revoir.
Et le pire, c'est que si elle s'en remet, elle va devoir affronter toutes les nouvelles petites juniors qui ont toutes des quads et des trixels. voilà, je crois que c'est ça le pire. Même si elle s'en remet, sa carrière senior aura duré peut-être deux mois...
5. Maiia Khromyk
Revenons en septembre... Maiia était une menace ! Elle avait fait une bonne impression lors des patins d'essai et avait remporté une compét face à Anna, championne du monde ! Son programme court est plutôt bon, elle arrive très bien à le vendre et sait jouer de sa grande taille !
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Mais ses quads ne sont pas stable et au fil de la saison elle s'est mise à galérer avec sa combinaison de sauts dans le programme court. Pour les nationaux, elle a fait pas mal d’erreurs dans son programme libre et Eteri et sa clique riaient lors de l'annonce des résultats, alors qu'elle avait envie de pleurer (oui, c'est déguelasse).
J'aimerais bien la voir continuer, avec une autre entraîneuse qui ne la délaisse pas pour des patineuses plus fortes.
6. Elizaveta Nugumanova
Là il y avait très peu de chances. Liza avait été entraînée par Mishin et avait fait la finale du Grand Prix Junior en 2016. Elle s'en était bien sorti l'année dernière, et était arrivée à être une réserviste de l'équipe nationale et pour les rusnat avait fait l'un des plus jolis programmes libres et était rentré dans le club très restreint des patineuses qui sont arrivées à me faire apprécier une chanson de Sia avec Sasha et Wakaba :
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On l'a aperçu lors des patins d'essai, mais depuis plus rien, pas de nouvelles. elle s'est désisté des nationaux cette année sans que l'on sache pourquoi.
7. Evgenia Medvedeva
Je la mets en dernier, on savait que c'était inespéré. Mais Zhenya avait dit qu'elle voulait essayer de se qualifier pour les JO de cette année. Je vais pas décrire en détail tout le parcours de Zhenya juste dire qu'elle est vice championne olympique et qu'elle s'est retrouvé au cœur de dramas qui ont retenti jusqu'au Kremlin et dont elle n'y était pour rien. Elle a fait tous les styles ou presque et est une excellente interprète. Cette année la fédération en l'avait pas mise dans l'équipe nationale et elle a annoncé récemment que sa colonne vertébrale est en lambeaux à cause des méthodes d'entraînements d'Eteri, et qu'elle a perdu 50% de ses capacité respiratoire après avoir attrapé le covid (elle avait été mise sous oxygène) . Aujourd'hui elle ne fait que des galas :
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Elle devait faire ce programme l'année dernière, et il aurait été parfait pour les JO. C'est le Cirque du soleil, la choré est parfaite, le tutu est parfait ...
Bonne nouvelle elle est dans le village olympique de Beijing mais dans la catégorie "Presse". Et elle a annoncé récemment qu'elle ne laisse pas tomber car "qui sait"...
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TRADUCTION FRANÇAISE (de moi)
ABC.ES 27/11/20
https://www.abc.es/estilo/gente/abci-ricky-merino-y-conchita-wurst-cuando-llamaban-maricon-colegio-no-sabiamos-significaba-202011270038_noticia.html
Ricky Merino & Conchita Wurst: «Quand ils nous traitaient de« pédé »à l'école, nous ne savions même pas ce que cela signifiait»
Les deux artistes ont formé un duo pour la chanson "Smalltown Boy", un plaidoyer contre l'homophobie
Ricky Merino et Conchita Wurst (lauréat du Concours Eurovision de la chanson 2014) unissent leurs forces dans cette version du classique britannique de Bronski Beat "Smalltown Boy". L'artiste autrichien Tom Neuwirth et son alter ego Conchita Wurst rejoignent le projet du chanteur majorquin Ricky Merino après avoir appris le message positif que l'espagnol a lancé dans son pays pour la lutte et l'amélioration. La chanson, enregistrée entre l'Espagne et l'Autriche et produite par Juan Sueiro, est une version mise à jour avec des touches pop et des sons européens dans laquelle les deux artistes montrent une connection avec leurs voix, dénotant également de nouvelles gammes vocales. Les artistes, après s'être rencontrés, ont partagé la même préoccupation musicale et artistique et l’ont reflétée ainsi dans le clip vidéo de la chanson entièrement enregistré à Vienne et réalisé par Salva Musté.
Cette version est la première fois qu'un lauréat de l'Eurovision publie un single avec un soliste espagnol, ce qui pour Ricky Merino est un rêve devenu réalité et un moyen de s'imposer sur le marché du disque. Tom Wurst poursuit sa brillante carrière internationale en étant l'une des références mondiales du collectif LGTBI + (il est allé au Parlement européen, pour lancer un message de tolérance et de respect). Actuellement, l'artiste présente un nouvel album, "Truth Over Magnitude", dont le single d'introduction "Hit Me" a étonné le monde avec un relooking surprenant. Il est également l'hôte de l’émission de talent musicale "FameMaker" qui est diffusé à la télévision allemande. Ricky Merino, artiste espagnol et présentateur actuel de la version espagnole de "Sing On!" pour Netflix, continue de publier des singles tout en découvrant de nouveaux sons avec son label Universal Music Spain. Ce single arrive dans une année au cours de laquelle il a aussi sorti avec succès les singles "Perfect" et "Bestia". Il était également l'un des artistes invités pour l'hymne de la Madrid Pride 2020.
-La vie d'un homosexuel dans une petite ville peut être assez difficile, n'est-ce pas?
(Ricky) Vous n'avez pas du tout tort, ça l'est. Je veux penser que la société a évolué et qu'il n'y a pas autant de situations de mépris et de rejet qu'il y a des décennies, mais malheureusement elles continuent de se produire. J'ai grandi dans une petite ville, Palma de Majorque, et jusqu'à ce que j'aie trouvé le courage et que je comprenne que ce qui m'arrivait n'était pas quelque chose de mal comme on m'avait amené à le croire, j'ai reçu de nombreuses insultes parce que j’étais différent. Et j'utilise le mot «différent» parce que quand ils ont commencé à me traiter de «pédé» à l'école, je ne savais même pas ce que cela signifiait ou ce que j'aimais, j'étais très jeune. En grandissant, j'ai pensé que si «pédé» était une insulte, c'était parce que l'homosexualité était une mauvaise chose et que je ne voulais pas être un «pédé». Je manquais de références, de personnes avec qui je pouvais parler ou m'identifier, et quand j'ai commencé à les avoir, j'ai commencé à m'accepter et à m'aimer d’être qui je suis. Mais tout ce processus, dans un village ou une petite ville, est plus lent. Récemment, la nouvelle est parue dans les médias selon laquelle un garçon avait été assommé après avoir été battu parce qu’il était homosexuel, et il y a peu de temps en Galice, une jeune femme s'est suicidée pour avoir été harcelée parce qu'elle était bisexuelle. Cela continue de se produire, même si certains préfèrent détourner le regard par confort et pensent que ce n'est pas le cas.
(WURST) Je pense que grandir, en général, est difficile, quelle que soit votre orientation sexuelle. Et je pense que grandir à la campagne plutôt que dans une grande ville a des avantages et des inconvénients, bien sûr, comme tout dans la vie. Bien sûr, il est plus difficile de voir d'autres personnes homosexuelles à la campagne, je suppose, alors peut-être que le plus dur de grandir dans une petite ville est de penser que vous êtes le seul à être «différent».
-Comment décririez-vous cette expérience musicale et personnelle?
(R) C'est un rêve devenu réalité. Je suis un fidèle fan du Concours Eurovision de la chanson et depuis que Tom l'a remporté en 2014, j'ai suivi chaque étape de sa carrière en admirant son incroyable talent. Quand nous l’avons interrogé lui et son équipe sur la collaboration, j'ai pensé qu'il dirait non, pas pour une raison quelconque mais parce que pour moi quelqu'un comme lui est "inaccessible" à cause de la façon dont j'idéalise les artistes que j'admire, et voyez, il a dit oui. Il est très proche, gentil et travailler avec lui a été un cadeau.
(W) Oh, c'était super de travailler avec Ricky. Il m'a contacté et m'a demandé si je voulais collaborer avec lui sur l'édition radio de "Smalltown Boy" et bien sûr j'ai dit oui. Nous avons enregistré les voix séparément, Ricky en Espagne et moi à Vienne, et Juan Sueiro, le producteur, a tout combiné. Et heureusement, Ricky et son équipe ont pu venir à Vienne avec le réalisateur Salva Musté, et nous nous sommes bien amusés à tourner le clip ensemble dans un studio à Vienne!
-Quels autres plans et projets avez-vous en vue?
(A) En ce moment, je suis très concentré sur le travail en studio. Je compose et enregistre de nombreuses chansons avec une équipe formidable et avec le producteur avec lequel nous avons lancé Smalltown Boy, Juan Sueiro. Comme beaucoup d'autres artistes, la pandémie a limité mes opportunités de monter sur scène et de jouer en direct, il est donc temps de m'arrêter, de respirer et de me concentrer sur ce processus créatif. J'ai aussi plusieurs options pour poursuivre ma carrière à la télévision, ce que j'adore, mais il est vrai qu'à cause de Covid tout est en phase de pré-production en attendant de voir quand il sera possible de le reprendre. Ce que je peux vous assurer, c'est qu'en 2021, il y aura beaucoup de nouvelles musiques.
(W) Bien sûr, je fais toujours la promotion de mon album et d'un autre côté, j'ai travaillé sur de la nouvelle musique pendant cette pandémie. Je m'intéresse également à des projets cinématographiques et télévisuels et j'adorerais faire du théâtre. Mais qui sait quand nous aurons des événements et des performances réguliers devant un public à l'avenir. Je suis donc le courant et j'essaye de me divertir grâce à un travail créatif.
-Qu'est-ce que la pandémie vous a volé?
(R) Eh bien, ce que je vous ai déjà dit: pouvoir monter sur scène. 2020 était l'année où nous allions commencer à jouer dans les festivals. Nous avions déjà plusieurs dates de concerts et ça ne pouvait pas se faire. Mais c'est quelque chose que je comprends, après tout, c'est une situation extraordinaire qui affecte non seulement moi, mais le monde entier, toute la population. Il y aura une opportunité de le faire.
(W) Oh, c'est une façon intéressante de voir les choses. Je n'ai jamais pensé que la pandémie m'aurait volé quoi que ce soit. Bien sûr, je n'ai pas pu terminer ma tournée européenne, je n'ai jamais pu me produire pour mes fans et devant un public en direct, et certains projets ont été reportés ou entièrement annulés. Mais en même temps, j'ai reçu le cadeau de pouvoir passer beaucoup de temps à la maison, beaucoup de temps seul aussi, pour pouvoir beaucoup réfléchir et penser aux choses que je veux faire et réaliser dans la vie. Et bien sûr, je suis dans une situation très privilégiée, car il y a beaucoup d'autres personnes qui sont en difficulté, qui travaillent aux premières lignes de notre système de santé, ou qui doivent soudainement scolariser leurs enfants à la maison, sont en emplois à temps partiel, avec le bureau à domicile. Alors je pense que non, la pandémie ne m'a rien volé, je suis content de tout tel que c’est.
-Ricky, lorsque vous avez été qualifié d '«agresseur» pour avoir signalé qu'il y avait encore des vestiges d'homophobie dans l'industrie, qu'avez-vous pensé? Je pense que vous ne parliez pas vraiment de choses qui vous sont arrivées, mais vous savez qu'elles continuent de se produire, non?
(R) Exactement. Ce qui a le plus retenu mon attention, c'est que la grande majorité des voix critiques provenaient de personnes appartenant au collectif LGTBIQ +. Une conclusion erronée a été tirée par une vidéo sortie du contexte d'une très longue interview dans laquelle l'intervieweur et moi avons discuté de la différence d'opportunités dans l'industrie de la musique pour un nouvel artiste ouvertement homosexuel depuis le début de sa carrière. Nous avons commenté que les chansons sur l'amour hétérosexuel chantées par des artistes hétérosexuels prévalent dans tous les classements, ce qui est irréfutable. Nous avons fait remarquer que ne pas entrer dans ce modèle fait de vous un artiste moins mainstream. Je ne parlais pas tellement de moi mais d'une situation réelle qui continue de se produire. Je continue de penser et de maintenir ce que j'ai dit.
(W) Je pense qu'il y a trop de phobies dans toutes les industries et partout! Je ne comprends pas pourquoi les gens ont peur des autres à cause de leurs différences. Je crois que le plus grand potentiel de l'humanité est la diversité, et j'espère que de plus en plus de gens le réaliseront. Mais j'aime penser que les industries créatives sont plus ouvertes d'esprit en général, et je vois de plus en plus de jeunes qui sont totalement ouverts d'esprit, et c'est merveilleux et ça me donne de l'espoir!
-Comment décririez-vous votre moment actuel sur le plan artistique et personnel?
(R) Eh bien, pour la première fois depuis longtemps, je peux vous dire que je me sens «en paix». En paix avec moi-même, avec ma carrière et avec ce que je réalise. Je suis conscient de la chance que j'ai de pouvoir continuer à vivre de la musique et du divertissement tant d'années plus tard. Je travaille en faisant ce que j'aime, je vis en faisant ce que j'aime, pour moi c'est la clé du succès. Je suis très heureux et reconnaissant pour ce que j'ai, mais attention! Cela ne veut pas dire que vous ne rêvez pas en grand. Il y a encore beaucoup de choses que je veux faire.
-Pourquoi avez-vous supprimé “Conchita" de votre nom de scène? Cela pourrait-il être interprété comme une reddition?
(W) Conchita était la femme barbue qui chantait de puissantes ballades dramatiques. Et avec mon projet T.O.M. "Truth Over Magnitude" je sentais que j'avais besoin de quelque chose de plus réaliste, je voulais que le projet montre aussi visuellement qu'il est plus proche de moi. J'ai donc pensé que Wurst représentait juste un peu plus cette honnêteté brutale que «Conchita Wurst». Au final, c'est toujours moi, peu importe si je suis en robe de soirée ou en pantalon en latex, et si je chante des ballades ou de la musique électronique. Tom, Conchita, Wurst, je suis tout cela en même temps.
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[FR-TRANS] Interview de YoonA pour le magazine L'Officiel édition printemps / été 2020.
Vous avez essayé le style féminin et masculin pour le photoshoot d’aujourd’hui. Quel style avez-vous préférez ? Et pouvez-vous nous parler en particulier du look avec la perruque, j’ai vraiment trouvé que ça vous correspondait bien.
N’est-ce pas? Pendant la discussion du concept des photos, on m’a demandé si je voulais bien mettre une perruque. J’ai trouvé que c’était une idée géniale, alors j’ai accepté. C’est vraiment amusant d’essayer quelque chose pour la première fois. Et lorsque je l’ai mise, j’ai vu “une nouvelle facette de moi que je ne connaissais pas” donc j’ai tout de suite su que c’était la bonne décision de faire ce shoot avec la perruque. J’ai également essayé deux tenues avec des styles différents. Comme je porte plus souvent des vêtement “féminin”, je pense que le style masculin est plus charmant. Mais quand je portais les tenues féminines, je me disais “ah, comme prévu ce style me va mieux”. Ainsi, je pense que ces deux concepts sont bons. Mais, j’ai toujours fait des concepts similaires donc j’espère que dans le futur j’essayerais quelque chose de différent.
Ça fait 13 ans que vous avez débuté. Y a t-il des moments que vous sentez que vous avez grandi par rapport à avant ?
Comment je ne trouvais pas que c’était fatigant de tournée toute la journée? Plus le temps passe, plus j’ai du “temps libre” *rires* et je deviens donc plus détendu. Pendant mes débuts, il y avait beaucoup de choses que je ne savais pas, tout était obscur et difficile. Mais maintenant, j’ai accumulé beaucoup d’expérience donc je sais ce qui me correspond le plus et je peux faire les choses encore mieux. Par exemple faire une séance photo comme à l’instant. J’exprime aussi beaucoup plus mes opinions et je propose des initiatives. Je pense que j’ai beaucoup mûri.
Comment étiez-vous enfant ? Avez-vous montré des signes d’enfant star pendant cette époque et vous n’étiez pas effrayé d’être en face de plusieurs personnes ?
Je me souviens que j’adorais les spectacles de jeunes talents, je n'hésitais pas à y participer dès que j'en avais l'occasion. Je ne me sentais pas timide lorsque j’étais entourée de plusieurs personnes. Cependant, j'ai toujours été quelqu’un de prudent avec les autres, donc en y repensant, je n’ai aucune idée comment je suis arrivée jusque-là, je suis très surprise. Maintenant, en raison de mon travail, j'ai rencontré beaucoup de personnes, donc ma personnalité a évolué et je peux discuter confortablement avec des personnes que je rencontre pour la première fois. Pour moi, c'est un énorme changement.
Alors, vous avez passé votre audition comme ça ? La vidéo où vous chantez avec votre visage d’enfant a été un sujet populaire pendant un long moment.
Ma situation était comme le fameux scénario dû “j’accompagne un ami à une audition et je finis par être celle qui est prise” *rires* Mon ami m’a dit de participer et j’ai accepté avec l’idée “que même si je ne réussis pas, ça restera une bonne expérience”. Mais à la fin mon ami n’a pas été pris et moi si. Et à partir de là je suis devenu stagiaire pendant 5 ans jusqu’à mes débuts. Je n’ai jamais manqué un seul cours d’entrainement. En y repensant, je suppose que c'était quelque chose que j'aimais vraiment.
Vous avez fait vos débuts en tant que chanteuse et actrice à près en même temps. Jusqu'à maintenant, lesquels de vos travaux sont les plus mémorables pour vous?
Je pense en premier à mon projet qui a permis à beaucoup de personnes de me connaître et qui a été également mon premier rôle principal : “You Are My Destiny”. Bien que les gens de 10 à 20 ans aient pu me connaître lors des promotions avec les SNSD, les gens avec des âges supérieurs ne me connaissaient pas. Mais grâce à ce projet, j’ai pu recevoir de l'amour de tous les groupes d'âge. Mon premier film ‘Confidential Assignment’ et mon premier film où j’ai eu uns des rôles principaux ‘EXIT’ sont également des travaux précieux.
Votre premier film où vous tenez l’un des rôles principaux “EXIT” a été l’un des plus gros succès de l’année.
Ce film a en effet reçu beaucoup plus d’amour que ce que j’avais prévu. Si j’avais eu plus d’expérience dans le milieu des films, j’aurais su que plus de 9 millions de spectateurs est impressionnants mais je ne l’ai pas réalisé tout de suite. Mais plus je voyais le nombre de spectateurs, plus je devenais excité. Et je me suis demandé si je serais en mesure de revoir des si grands chiffres comme ceux de EXIT à l'avenir.Comme c’est un film d’action / catastrophe, j’ai dû faire beaucoup de scènes de course et mettre mon corps à rude épreuve, mais le résultat est tellement bon que ça en valait la peine. Comme j’ai fait l’expérience d’une catastrophe à travers le film, j’ai appris à comment gérer cette situation si elle devait arriver dans la réalité car les catastrophes sont des situations que tout le monde peut vivre.
De mon point de vue personnelle, je pense que le concept et votre rôle dans le drama “The K2″ sont vraiment marquant. Avant il y avait une vague de rôle féminin très irréaliste qui était de “ne pas pleurer malgré comment tu te sens seule et triste”, mais Go Anna est complètement différente de ça.
Dans ‘The K2’, Anna est un rôle très complexe qui a vécu une vie cachée de solitude, ce fut un tout nouveau défi pour moi. L'endroit où nous avons filmé en dehors de la Corée était à Barcelone. En dehors des horaires de tournage, je me baladais dans la ville et j’y ai crée de merveilleux souvenirs.
Ce n’est pas facile de “briser” une image déjà existante
'ai réalisé que vouloir briser l'image ou le stéréotype que les gens ont de moi n'est pas quelque chose qui est faisable juste avec des mots. Avant, j'étais très attentive à ce que pensait le public de moi. J'examinais quelle sera la réaction du public si je jouais tel ou tel rôle. ‘The K2’ a été le premier projet que j’ai choisi sans prendre en compte ces facteurs. Et depuis, je suis beaucoup plus ouverte d’esprit et je veux montrer plus de côtés différents de moi en tant qu'actrice.
Y a-t-il des rôles que vous aimeriez essayez à l'avenir?
Je voulais essayer un rôle différent de ce que j’ai fait depuis le début. Les gens n’ont vu qu’une partie de moi, mais j’ai différentes facettes. Cependant, c’est très difficile de trouver le personnage parfait au bon moment, j’imagine que tous les acteurs et actrices partagent ce même sentiment.
Peux-tu en dire un peu plus sur vos projets pour cette année ?
J’ai un projet que j’aime beaucoup en cours mais je pense que c’est mieux de partager plus de détails quand tout sera plus sûr. Après tout, il y a tout le temps des changements de dernières minutes.
Avez-vous des projets en tant que chanteuse? L’album spécial “A Walk To Remember” que vous avez sorti l’année dernière était une très belle surprise pour vos fans.
Je n’ai actuellement aucun projet en cours mais je désire toujours chanter. Et bien sûr, je vais continuer à faire de la musique pour exprimer ma gratitude envers mes fans.
Les chansons dans votre album sont calmes avec des ballades folk et acoustiques, qui sont l'opposé des pistes des SNSD qui sont très énergique et optimiste. Vous avez toujours aimé ce genre de musique ?
J’écoute tous les types de musique. J’écoute souvent les chansons qui figurent dans les charts musicaux, qu’importe si c’est une piste très danse ou alors plus classique. Mon genre de musique favori change régulièrement aussi. D’ailleurs, pendant l’enregistrement de mon spécial album, j’ai écouté des chansons de genres très différents et ça m’a permis de m’inspirer beaucoup *rires*. Ma playlist musicale est principalement basée sur la météo ou mon humeur de la journée. Par exemple, il a plu hier, alors j’ai voulu écouter une chanson du film ‘About Time’ intitulée ‘II Mondo’. J’ai pensé à cette chanson car c’est la musique de fond pendant la scène du mariage ou il se met soudainement à pleuvoir et tout le monde cherche un abri. En ce moment, j’aime beaucoup écouter de vieilles chansons pop. Il n'y a pas si longtemps, en conduisant, "In Dreams" de Roy Orbison était diffusé à la radio, et c'était tellement génial. En plus, elle correspondait à la météo et à l'atmosphère de ma journée, tout semblait s’emboîter parfaitement.
En parlant de vieilles chansons pop, ça me rappelle lorsque vous avez publié des photos prises avec un appareil photo à pellicule sur votre compte instagram. C’est très similaire avec vos préférences musicales.
Il y a 6 mois, je suis allée à Paris pour mes vacances avec l’idée que je vais prendre mes photos avec un appareil à pellicule. Et bien malgré qu'il s'agisse d'un appareil photo jetable, le design de l'appareil photo était vraiment joli, et les photos étaient étonnamment très belles, j'étais vraiment contente. De nos jours, on peut voir directement nos photos mais avec les pellicules, il faut attendre qu”elles soient développées pour voir le résultat. J’apprécie vraiment ce temps d’attente et l’anticipation qui se crée avant que les photos soient développées. C’est une expérience très amusante !
Quand on parle de YoonA, c’est difficile de ne pas l’associer avec les SNSD. Que représentent les SNSD pour vous ?
Pour moi, elles seront toujours les personnes les plus spéciales et avec qui je suis le plus à l’aise. Nous avons passé notre dizaine et vingtaine ensemble et nous sommes plus proches les unes des autres que nos propres familles. En se regardant juste les yeux on sait ce que l’autre pense. Et nous restons régulièrement en contact.
Vous faites des donations depuis 2010, et vous êtes devenue membre de la “Honoro Society’ en 2015. Que pouvez-vous nous dire au sujet de vos régulières donations ?
Quand j’avais environ 20 ans, j’ai commencé à faire des dons à travers un programme de donation en relais. À partir de là, je donnais dès que j’en avais l’occasion. Le montant importe peu, le plus important c’est de partager. J’ai principalement été influencé par mes parents, qui me disaient souvent “Combien as-tu reçu ? Et combien d’argent vas-tu partager ? Il faut que tu le fasses pour être une meilleure personne”. Ce n’est pas facile de donner régulièrement mais je vais faire de mon mieux pour continuer à le faire.
Que faites-vous pour vous déstresser lorsque vous sentez exténuer mentalement ? Comme par exemple, des exercices ?
Bien que je fasse du pilate pour me détendre, je ne pense pas que ce soit suffisant *rires*. J’essaye aussi de trouver des choses à faire à la maison pour ne pas ressentir de la fatigue. Parfois, je fais des gâteaux, je déplace mes meubles ou je vais faire un tour. Aujourd'hui, j'ai apporté des cookies fait maison pour le personnel. Dans le passé, je soulageais mon stress en rencontrant et en discutant avec des gens autour de moi, mais maintenant j’essaye de trouver des façons de soulager mon stress toute seule. Car peu importe à quel point je m'amuse quand je suis avec mes amis, il y a toujours un sentiment de vide quand je rentre chez moi. Je ne peux pas toujours dépendre des autres, donc je m'efforce de chercher des moyens de mieux gérer mon mood.
Qu’est-ce qui vous définit le mieux ?
Hmm, ma personnalité change toujours petit à petit, alors il y a des moments où je n’arrive même pas à me comprendre. Ce n’est pas le cas pour tout le monde ? Il y a beaucoup de personnes qui pensent que j’ai une personnalité positive, ce qui est souvent le cas mais parfois je ne le suis pas. Je pense que la fois où j’ai pu le plus montré mon réel moi était pendant l’émission “Hyori’s Homestay 2″. Les caméras tournaient h24, donc j’avais très peu de moment ou je pouvais me reposer. À travers cette émission, j’ai été surprise de voir tant de gens dire qu’ils m’ont vue d’une manière différente.
Comment te sens tu par rapport au fait de vieillir ?
Je n'ai pas peur de vieillir, au contraire, j'ai même hâte de me voir plus âgée. Dans des interviews on me demande comment je me vois dans 5/10 ans mais je ne pense pas être capable de voir aussi loin. À la place, je planifie chaque année d'être une quelqu'un de meilleur.
C’est cette façon positive de voir les choses qui vous a rendu la personne que vous êtes aujourd’hui. Quels sont vos plus beaux souvenirs?
J'en ai tellement. Mes tournées avec les SNSD, quand on a remporté le daesang, quand mon film où je joue le rôle principal a été diffusé dans les salles de cinéma, quand j'ai remporté le rookie award en tant qu'actrice...C'est sans fin. J’ai vraiment eu beaucoup de souvenirs heureux pendant ma vingtaine mais à présent que j’ai passé la trentaine, je me sens bien plus heureuse à cet age-là. J’ai ma philosophie qui est de “plutôt que d’essayer d’atteindre de grands objectifs, il vaut mieux en atteindre des plus petits et d’apprécier chaque petit moment de bonheur.”. Je pense que chaque jour avec des petits moments bonheurs sont importants, et en les cumulant, notre vie devient plus belle.
Crédits : Traduction chinoise par Limyoonabar & YOONYA | Traduction anglaise : mystarmyangel | Traduction française : YoonA France
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Être fan des Strokes en 2015: “Je ne me fais pas trop d'illusions”
Toujours aussi rares sur scène (et encore plus en studio), les Strokes, apparemment de nouveau potes mais désireux d’aller voir ailleurs, continuent d’entretenir le doute sur leur avenir. Et les fans dans tout ça ? Ils attendent.
Pas facile d’être fan (vraiment fan) des Strokes en 2015. Si nous avons régulièrement des nouvelles de chacun des membres du groupe, un sixième album ne semble pas à l’ordre du jour, malgré, ici et là, des rumeurs. Ils seront certes, tous ensemble, sur scène, pour la prochaine édition du festival Primavera (Casablancas et Hammond Jr. s’y produiront également en solo) et en concert à Hyde Park (où ils joueront sans doute un rappel du 18 juin) mais il faut bien l’admettre: difficile de crier notre joie. Barcelone, Londres, et deux dates américaines. C’est tout. Aucune tournée. Leur dernier album, Comedown Machine, paru en mars 2013, n’avait d’ailleurs pas été réellement défendu sur scène. Après les cinq années de transition entre First Impressions Of Earth et Angles, et deux albums coup sur coup, on croyait l’affaire réglée, les cinq copains de retour aux affaires. Mais non, même pas. Certes, il semble loin le temps des petites phrases, des news alarmantes du NME, de Julian critiquant ouvertement les autres, du groupe enregistrant un disque sans même croiser le regard de son chanteur. En 2015, reste un certain vide. Et le doute, pour des centaines de fans qui se demandent si un jour, leur groupe préféré redeviendra, vraiment, un groupe.
Ils sont fans des Strokes, à des degrés différents. Ils s’appellent Arthur, Juliette, Annelise et Louis-Henri. Et ils ont ici carte blanche pour raconter leur relation avec le groupes, leurs espoirs, et pourquoi, finalement, les choses sont peut-être mieux ainsi.
Arthur Weiland: “Je suis au collège entre 1998 et 2002. J'avais 13 ans quand est sorti Is This It, à l'époque on découvrait la musique à la télé ou à la radio avant d'aller télécharger la chanson ou les clips vidéo sur Kazaa, Soulseek ou des sites bien obscurs genre Videopimp. On lisait très peu la presse. J'avais la chance d'avoir MTV2 et des parents qui m'emmenaient à la Fnac chaque dimanche pour acheter des disques. c'était un privilège. Dans la cour de récré on recensait les skateurs (punk rock), les jeunes qui écoutaient du rap (Skyrock) et les filles qui écoutaient du R'n'B (M6, MCM, MTV), trois gothiques qui écoutaient Korn, quelques freaks qui écoutaient du grunge et ceux qui n'écoutaient pas de musique (une majorité). J'ai découvert les Strokes à la télévision, pendant l'émission de Zane Lowe sur MTV2 il me semble. C’était la chanson “Last Nite”.
Juliette Bucaille: “Le première fois que j’ai entendu les Strokes, c’était une version live de “Juicebox” sur un sampler de Rock&Folk en décembre 2005. J'avais comme tout le monde déjà entendu “The End Has No End” avant, mais sans savoir qui ils étaient. C'est la première fois que j'ai fait un lien conscient entre le groupe et l'un de ses titres”.
Louis-Henri de la Rochefoucauld: “En 2001, je fête mes 16 ans, et à l'époque, j'écoute Oüi FM. C'est comme ça que je découvre les Strokes. Par "Last Nite" ? Je ne sais plus… Je me souviens par contre très bien du jour où je suis allé acheter Is This It en CD à la Fnac des Ternes, avec cette pochette qui avait ce je-ne-sais-quoi d'érotique”.
Annelise Berthiau: “Bizarrement et je le regrette presque pour l'histoire, je ne les découvre pas dès l'EP The Modern Age. Je ne suis pas une fan de la première heure, je n'étais pas à leur premier concert parisien. Dans les soirées d'école de journalisme, loin de Paris et de Ouï FM, un pote passe “Last Nite” et “Take It Or Leave It”: crush pour la musique, l'album ensuite mais pas pour le groupe dont je ne sais rien, même si j'ai bien vu leur jolie frimousse dans la pochette de l'album. J'aime mais j'oublie un peu, comme beaucoup de Français la pub EDF, avec “Tthe End Has No End”, me rattrape. J'écoute Room on Fire en boucle et je commence à creuser”.
Arthur: “Quand j'ai vu le clip de “Last Nite” pour la première fois, j'ai compris que quelque chose allait changer. Je crois que le premier truc que je me suis dit était "il faut que je fasse écouter ça à Hélène" (la fille que j'essayais de draguer à l'époque). Je découvrais le "vintage", la musique new yorkaise, les Converse, les jeans slim, la nouvelle cool attitude qui allait enfin bouleverser le paradigme des skateurs. Bon ok, pour créer un paradigme encore plus pénible, celui des baby rockeurs, mais enfin... Pendant deux ans... C'était bien”.
Juliette: “Presque instantanément, j’ai su que ce groupe allait être important pour moi, oui. La chanson ne ressemblait à rien de ce que je connaissais à ce moment là donc ça a été un choc assez important. J'ai ensuite lu leur interview dans le magazine et j'ai rapidement compris. Après ça j'ai acheté leurs albums précédents et me suis mise à lire tout ce que je pouvais trouver sur eux”.
Louis-Henri: “Pour être honnête, si j'aimais déjà beaucoup les Strokes, je n'ai eu l'illumination que deux ans plus tard. La première fois que j'ai entendu "12:51" à la radio (Oüi FM, encore !) m'a traumatisé. Là, ça a été mon chemin de Damas - la révélation ! En 2003-2004 j'étais en classe prépa en pension: cette année-là, dans mon lit avant de m'endormir, j'écoutais tous les soirs Room on Fire dans mon Walkman CD”.
Annelise: “Je ne lis pas la presse rock pendant ces années, mais en 2005, je rentre à Paris, et je replonge. Ouï FM, Newcomer… Et ça tombe bien, les Strokes reviennent bientôt: le concert du Trabendo le 3 décembre 2005 est une entrée en religion, tardive mais fervente. Dans la salle, c’est la révélation ! Je découvre In Transit, le film de leurs débuts, et en cherchant un peu, je trouve le forum des fans français et plonge dans un monde jusqu'alors inconnu. Et ça dépasse le groupe, grâce aux Strokes je découvre Adam Green, Regina Spektor, Ben Kweller, les Kings Of Leon, et accessoirement (ou pas) le Shebeen et la scène rock parisienne de l'époque”.
En 2006, le groupe sort son troisième album. La tournée qui suit est mondiale. On ne le sait pas encore, mais il n’y aura aucun nouvel album du groupe avant 2011.
Arthur: “C'est pendant l'enregistrement de First Impressions Of Earth qu'on disait que Julian ne voulait plus voir les autres en studio. Oui, ça sentait le sapin à l'époque mais l'album m'avait plu. Je me disais juste que ces tensions étaient rock'n'roll et qu'ils continueraient malgré tout. Car ça ne doit pas être évident de devenir un groupe mondialement connu en si peu de temps, d'être les prescripteurs d'une mode et de garder le cap, de savoir ce qu'on fait et où on va. ils ont peut être fait une pause pour trouver les réponses à ces questions”.
Juliette: “Dès l'instant où Albert a sorti son premier album solo (donc assez peu de temps après First Impressions Of Earth), il était clair qu'on aurait probablement pas de nouvel album avant minimum fin 2007, puisqu'il allait tourner avec. Puis quand il a annoncé un autre album solo, ça a vraiment officialisé le hiatus, ils se sont mis à tous faire leur truc dans leur coin”.
Louis-Henri: “Rappelons ici que le premier album solo d'Albert Hammond Jr. est sorti en 2006, soit la même année que First Impressions Of Earth ! Je n'ai jamais eu l'impression d'une coupure. Leur break de cinq ans a été meublé de cinq albums (deux Albert, un Fabrizio Moretti, un Nikolai Fraiture, un Casablancas): il y avait donc de quoi s'occuper”.
Annelise: “Je me souviens que First Impressions Of Earth est le moment où ils commencent à balancer dans les interviews, l'ambiance pendant la tournée Room on Fire, trop longue, trop intense, trop de drogues aussi. Tu sens que tout n'est pas rose dans la bande de potes sauveurs du rock. Là c'est le moment où l'attente est fiévreuse, où la moindre intervention ou collaboration est guettée. J'ai même un projet de bouquin sur le groupe, qui n'aboutit pas mais canalise un peu cette passion”.
Arthur: “Les trucs d'Albert ne m'intéressaient pas dès la première écoute, j'ai survolé Little Joy le projet de Fabrizio. Nikolai a fait un truc ? Je ne savais même pas. C'était le groupe ou rien et je doutais fortement qu'ils allaient arrêter pour quelques petites erreurs de parcours”.
Juliette: “C'était assez normal que les membres du groupe aient envie de faire leur propre truc après avoir passé trois albums un peu dans l’ombre de Julian, sans jamais composer. J'en ai un peu voulu à Albert au moment de son second album solo puis en y réfléchissant cette évolution des choses m'a paru assez naturelle: les Strokes ont eu le même line-up depuis leurs débuts, ce qui est extrêmement rare pour un groupe. Ils ont été ensemble en permanence pendant environ huit ans, c'était évident qu'ils aient besoin de prendre un peu leurs distances après la fin de la tournée de First Impressions Of Earth. Ils se sont en plus mis à faire des gamins et à déménager hors de New York, les choses ne pouvaient pas rester comme elles l'avaient été jusque là. Certains ont arrêté drogues et alcool et d'autres pas, ce qui peut aussi avoir un impact non négligeable sur un groupe”.
Louis-Henri: “Le premier Albert Hammond Jr, Yours To Keep, est à mon avis une merveille. Il y a aussi plein de sommets sur son deuxième album. Et j'avais beaucoup aimé le Little Joy (Fabrizio Moretti), donc je m'en foutais de cette séparation, je ne retenais que le positif : plein de bons disques dans des veines différentes”.
Annelise: “Fab fait des trucs avec sa copine de l'époque, Binki Shapiro. J'en ai presque voulu à Albert Hammond Jr, il avait tellement l'air de s'éclater sur scène seul, avec d'autres musiciens (dont le batteur remplaçant des Strokes et roadie Matt Romano). Et puis j'étais fan des Strokes mais aussi de chacun, donc c'était une porte ouverte sur leur univers et plus seulement celui de Julian, je trouvais ça intéressant, même si forcément moins fort que les Strokes. Mais quand Julian annonce que lui aussi va sortir un album solo, là je me dis que c'est fini”.
Julian Casablancas sort son premier album en 2009. Une merveille, certes, mais qui semble encore un peu plus assombrir l’avenir des Strokes, et retarde un éventuel nouvel album commun.
Arthur: “Je n'ai jamais écouté le premier album solo de Julian”
Juliette: “C'est un album de Julian et pas des Strokes. Les Strokes n'avaient à ce point là jamais été aussi électroniques, et le traitement de la voix de Julian n'avait pas grand chose à voir avec ce qu'on avait pu entendre sur leurs albums précédents. Ca m'a toujours énervée qu'on considère cet album comme un "album des Strokes". S'il existe en tant que tel, c'est en bonne partie parce que les Strokes comme unité ne voulaient pas travailler sur ces morceaux, car ils ne représentaient pas ce que pouvait être l'esthétique du groupe. Par ailleurs je trouve que le premier album solo d'Albert est la meilleure chose qui soit sortie de leurs diverses tentatives hors Strokes”.
Louis-Henri: “Je ne pense pas que ce soit "l'un des meilleurs Strokes". Je pense que c'est LE meilleur Strokes ! Je me souviens très bien du jour où j'ai vu le teaser mélancolico-synthétique de Phrazes for the Young pour la première fois. C'était en juillet 2009, j'étais chez mes grands-parents à Pargny-les-Reims (Marne, 51). Un choc ! Jusqu'à la sortie de l'album en octobre, j'ai passé trois mois à rêver de ce disque toutes les nuits - et à la sortie, il a dépassé toutes mes espérances. Mon album préféré au monde”.
Annelise: “Il annonce ce que seront les deux derniers Strokes. Passion pour cet album, que j'écoute en boucle”.
Absents des Studios, les Strokes le sont aussi de la scène. Les fans n’ont que leurs souvenirs.
Arthur: “Je les ai vu trois fois il me semble, une fois au Trabendo (il fallait récupérer ses places dans une Fnac un jeudi matin, les gens se marchaient dessus, l'enfer), une fois au Zénith et une fois aux Eurockéennes. Donc trois situations très différentes. Le concert au Trabendo était spécial pour moi, j'ai passé 45 minutes en larmes en repensant à mon ex. Pas Hélène, une autre. Ouais les mecs m'ont bien aidé à pécho à cette époque. Quand j'étais à fond, j'étais prêt à tout. les Strokes à Benicassim ? Je suis chaud. Mais quand on est lycéen et qu'on n’a pas une tune, on se contente de leurs venues à Paris. Et aujourd'hui ça ne me dit rien, les voir au Zénith, à vingt mètres de distance chacun. Non merci”.
Juliette: “Ils n'ont pas fait de tournée à proprement parler sur nos terres depuis 2006. J'ai eu la chance de les voir sur cette tournée là alors que je n'avais que 14 ans (à l'occasion des Nuits de Fourvière en juillet 2006), et beaucoup de gens de ma génération les ont raté car ils étaient trop jeunes au moment où le groupe faisait encore de vraies tournées et pas quelques dates de festivals par ci par là. Je les ai revus à l'été 2011 quand ils ont fait le Zénith de Paris mais à part ça ils n'ont pas fait de dates hors festivals en France et même en Europe, à part un petit concert à Londres pour genre 300 personnes, pour lequel les places sont parties en un quart de seconde. Je les ai vus les deux fois de ma vie où ça a été géographiquement et financièrement possible. Je vais les revoir au Primavera en mai mais je ne me rends pas au festival uniquement pour eux, ma décision de faire le déplacement est plus due à la présence de Brand New qui pour le coup sont encore moins souvent en France qu'à celle des Strokes (qui finiront bien par repasser par chez nous car ils conservent un public important et dévoué ici, malgré les derniers albums pas top). Je serai bien évidemment présente pour leurs prochains concerts français, une fois qu'ils seront annoncés. Après ça n'est pas non plus un groupe systématiquement génial sur scène, ils ont des jours sans et niveau présence scénique c'est pas nécessairement des champions, Julian avec les Strokes c'est assez souvent le degré zéro de l'interaction avec le public”.
Louis-Henri: “J'ai bizarrement plus vu Casablancas (quatre fois) que les Strokes (trois fois). Albert une seule fois. L'Himalaya reste et restera jusqu'à notre mort à tous, fans français, le concert du 3 décembre 2005 au Trabendo. C'était une toute petite salle, les Strokes étaient au comble de leur aura, il avait fallu se battre pour avoir des places - et mon Dieu ça en valait la peine… Je suis une personne âgée (30 ans) et n'ai jamais fait de grands voyages pour voir des concerts. Donc pas de déplacement loin, non. J'avais quand même pris le train pour voir Casablancas à Arras en 2010”.
Annelise: “Disons que j'ai rattrapé mon retard sur les premiers concerts parisiens: Trabendo en décembre 2005, Zénith le 29 juin 2006, London Natural History Museum le 6 juillet 2006, Lyon Fourvière en juillet 2006, Rockness le 13 juin 2010, Zénith le 20 juillet 2011, et Albert Hammond Jr. trois fois: Maroquinerie, à Paris, en décembre 2006, Rock En Seine en 2007, et de nouveau la Maroquinerie en 2013. Quant à Julian, quatre fois. J'ai hésité pour Primavera, en espérant qu'ils feraient d'autres concerts en Europe, j'ai même espéré un des festivals français, les Eurocks ou Rock en Seine. Donc non pour l'Espagne mais bien sûr je serai à Hyde Park le 18 juin. Immanquable”.
Les fans prennent donc leur mal en patience. Amour ? Haine ? La relation se trouble.
Arthur: “Je ne me suis jamais senti lésé. Ils font ce qu'ils veulent et ne devraient pas être mis sous pression par les attentes de leurs fans”.
Juliette: “Le fait que les fans aient toujours l'impression qu'un groupe ou un artiste leur doit quelque chose est à mon sens la portion la plus toxique de la culture fan. Ce sont des êtres humains qui ont leurs propres vies dont on ne sait pas tout et qui n'ont pas de comptes à nous rendre. Par exemple si leurs relations interpersonnelles sont meilleures sans le groupe, on n’a pas à réclamer un album supplémentaire juste parce qu'on a l'impression qu'ils "nous doivent bien ça comme on les a soutenu toutes ces années". Si on veut vraiment le bien du groupe, on ne peut pas mettre nos attentes personnelles avant eux”.
Louis-Henri: “Cela m'est complètement égal qu'un groupe soit distant avec ses fans, je n'ai pas du tout cette fixette "fandom". Il me semble par contre que via son label Cult Records, Casablancas (et donc la galaxie Strokes) essaie de plus communiquer qu'avant”.
Annelise: “Dans ma tête, de façon un peu naïve, ce n'est pas un groupe marketé donc ils font ce qu'ils veulent et les fans ne sont pas une donnée marketing qui entre en ligne de compte. Quoiqu'ils ont avoué avoir joué quelques festivals en 2010 tout simplement parce qu'on leur proposait une tonne d'argent, impossible à refuser. Et puis j'ai vu la semaine dernière à Londres qu'entre les teesh Rolling Stones et One Direction, il y a maintenant des tee shirts The Strokes chez Primark, alors est-ce que du coup ils sont devenus mythiques comme les Stones ou marketés comme les 1D ? Ou de simples objets pop qui dépassent la musique et leur existence en tant que groupe ?”
Puis, en 2011, le groupe annonce la sortie d’un très attendu nouvel album, leur quatrièms, Angles. Un album apparemment enregistré dans la douleur, Julian posant sa voix séparemment du groupe enregistrant ses parties.
Arthur: “Je ne pourrais jamais être objectif sur leur travail, l'affecte prendra toujours totalement le dessus sur l'analyse. je n'ai qu'une trentaine d'albums sur mon iPhone, et ceux là sont dessus depuis deux ans. Je les écoute encore régulièrement dans les transports, plus par habitude que par amour”.
Juliette: “J'aime certains titres sur Angles mais étant une fan absolue de First Impressions Of Earth, il m'a quand même pas mal déçue car il était très loin d'être à la hauteur de mes espérances (qui n'étaient certes pas du tout raisonnables après cinq ans d'attente). J'aurais préféré un album moins différent de FIOE, avec des guitares plus lourdes et intéressantes et pas des synthés ou du rock plus banal / classique. Je ne suis pas du tout contre un petit “Ask Me Anything” de temps en temps, mais c'était quand même pour moi un album forcé, même si quelques titres comme “Life Is Simple In The Moonlight” sont quand même magiques et m'ont rappelé pourquoi ce groupe était si important pour moi à la base. Comedown Machine par contre n'a suscité aucune émotion chez moi. Ils l'ont clairement fait pour pouvoir être débarrassé de leur contrat et pour moi ça se sentait. Je lui redonnerai peut être sa chance un jour ou l'autre mais pour moi il était vraiment trop générique, et il est sorti à un moment où les albums sonnant comme ça ne m'intéressaient pas”.
Louis-Henri: “Pour moi, les Strokes n'ont enregistré qu'un seul morceau moyen : "Juicebox". Tout le reste, c'est le haut du panier. Je suis comme un vieux fan des Stones ou des Stooges incapable de résister à une nouvelle sortie de ses héros. Comedown Machine était évidemment mon album préféré de 2013”.
Annelise: “Angles, je l’aime moins forcément que les premiers albums mais il y a quelques chansons biens. Oui j'aime certaines chansons, après la voix de Julian et quelques gimmicks des Strokes ça me suffit. A vrai dire, je les ai beaucoup moins écouté”.
Durant ces cinqs années, entre First Impressions Of Earth et Angles, ce fut le bal des rumeurs et des petites phrases. Split, engueulades, tensions...
Arthur: “Quelles rumeurs ? Non pas vraiment”.
Juliette: “Initialement, j’ai tout suivi de très près car j'étais très impliquée dans leur forum américain, on y discutait évidemment beaucoup du groupe et le moindre de leurs agissements était scruté, analysé et commenté. Les gens ont progressivement un peu lâché l'affaire sur le forum à cause du manque d'actualité et de trop nombreux faux espoirs (certains projets solo causaient également pas mal d'énervement et de dispute au sein des fans). Au bout d'un moment, spéculer et attendre a juste cessé d'être drôle, mais je suis quand même toujours restée à l'affut des rumeurs, malgré les régulières déconvenues”.
Louis-Henri: “Je suivais, bien sûr, mais sans me faire de mauvais sang. Comme répondu plus haut, j'aimais leurs albums en solo, donc j'étais content”.
Annelise: “C'est drôle comme à chaque sortie d'album, on en apprend un peu plus sur le précédent, l'ambiance d'enregistrement ou le manque de. Donc forcément en fan avide d'info, je guettais la moindre phrase ou collaboration de l'un ou l'autre, Valensi qui bosse avec Sia, Albert Hammond Jr joue dans Gossip Girl ou se marie, Fab Moretti qui vient à Paris faire du dessin avec Luz chez Perrotin, Julian lance un label (Cult Records, avec de nouveaux groupes très sympa), Nikolaï a un nouveau groupe Summer Moon. Avec Instagram et Twitter, il y a une proximité et un contact presque continu avec certains et pas seulement au rythme des interviews de sortie d'albums ce qui est plutôt cool... Quand Julian débriefe les interviews mal retranscrites après coup sur Twitter, quand tu es fan t'as l'impression d'avoir un truc plus direct, plus personnel, un accès moins restreint, même si tout cela est très maitrisé”.
Julian Casablancas tourne pour promouvoir son deuxième album solo (enfin, avec The Voidz), intitulé Tyranny. Sur scène, un manque se fait-il ressentir ?
Arthur: “Je vois un mec hyper doué, un songwriter déterminé et visionnaire qui continuera à faire ses trucs quoiqu'il arrive. à mon avis les Strokes n'étaient qu'un tremplin pour sa carrière. Ce mec a encore beaucoup de choses à nous apporter”.
Juliette: “Quand il joue des titres des Strokes, oui. Même si les autres membres ne sont pas les compositeurs initiaux de la majeure partie des morceaux, ils ont quand même leur style de jeu bien particulier et qui contribue grandement à ce qu'est le son des Strokes. Nick et Albert sont des guitaristes remarquables avec des personnalités importantes qui font partie intégrante du son et de l'image du groupe, et je ne pense pas qu'ils soient remplaçables. Les Strokes ont toujours été pour moi une unité indivisible, même si Julian a longtemps tenu tous les rennes en main. C'était un des trucs qui les rendaient unique: ils avaient un leader sur le plan musical mais qui ne se définissait pas comme tel, mais qui était le garant de l'union de l'ensemble et de leur intégrité musicale. Tant que les autres étaient ok avec ce deal le groupe pouvait continuer d'exister, et évidemment ça a fini par ne plus être le cas. C'est normal mais c'était probablement pas la meilleure chose qui est arrivée à leur son.
Et l’avenir ?
Arthur: “L’avenir du groupe, je le vois ronflant, probablement. comme celui de Blur non ? Des projets solos de Julian à la pelle et une tournée de reformation dans quinze ans. juste de quoi ne pas nous faire oublier nos premiers amours, nos premières crises de nerf, nos premiers stage diving. Notre adolescence”.
Juliette: “Au point où on en est je pense qu'ils feraient peut-être mieux de se séparer car les deux derniers albums n'ont pas fait grand chose pour la "legacy" du groupe. Je peux comprendre qu'ils en aient marre de jouer toujours les mêmes morceaux, de voir toujours les mêmes têtes et qu'il soit nécessaire pour eux d'évoluer, et c'est pour ça que je ne voudrais pas qu'ils se "forcent" à continuer de faire des trucs ensemble si le cœur n'y est plus. On comprendra s'ils ont envie de passer à autre chose pour de bon, personnellement je ne le retiendrais pas contre eux. Après, faire partie des Strokes c'est quand même une bonne façon de gagner sa vie et de nourrir ses gosses, et j'imagine que ça joue aussi un rôle dans le fait qu'ils ne se soient jamais vraiment séparés. Ils ont un truc que les gens aiment et qui est une source de revenus stable et je peux comprendre qu'il leur soit difficile de s'en séparer”.
Louis-Henri: “Là aussi c'est bizarre, mais je m'en fous. Je n'ai pas du tout le côté fan nostalgique qui veut foutre ses idoles au Musée Grévin (en gros : qui veut qu'ils ressassent ad libitum leurs débuts). Je vois les Strokes comme de vieux compagnons de route à qui je souhaite d'aller de l'avant, de tenter des trucs, de se planter pourquoi pas, de rebondir, etc... Par ailleurs, j'adore les personnalités de Casablancas et Hammond Jr. Ce qui compte à mes yeux, c'est leur épanouissement artistique. Si celui-ci passe par les Strokes, génial. Si c'est par leurs albums en solo, super aussi”.
Annelise: “Je ne sais pas, j'ai envie de façon un peu égoiste forcément qu'ils continuent, mais s'ils n'ont plus envie de jouer (d'être?) ensemble”.
Arthur: “Cela m'étonnerait qu'ils jouent pour le fric. J'aime à croire qu'ils sont comme un vieux couple qui s'en ait mis plein la gueule, trahi, déçu, mais qui n'oubliera jamais ce qu'il a traversé et construit ensemble”.
Juliette: “Je pense sincèrement que ça va mieux entre eux maintenant qu'il y a deux-trois ans par exemple, mais ne suis pas à même de juger s'ils prennent à nouveau du plaisir ou non à jouer ensemble. Ils ont maintenant des familles et des responsabilités en dehors du groupe, c'est l'une des raisons pour lesquelles il leur est difficile d'exister aujourd'hui en tant que groupe de la même manière qu'ils existaient avant, en étant juste un gang de potes. C'est difficile de les blâmer pour ça, c'est plus des ados un peu attardés. Ils ne sont plus aussi libres de leurs mouvements qu'avant, mais le groupe demeure probablement essentiel pour eux. Mais là encore ça n'est que de la spéculation par rapport à ce que j'ai pu observer ces dernières années, peut être que je suis loin du compte mais impossible de savoir exactement où ils en sont sans leur poser la question directement. Peut être que maintenant qu'ils sont libérés de leurs obligations de contrat ils vont pouvoir enfin faire un premier vrai album collectif cohérent et intéressant, qui renouera avec ce qui avait fait d'eux initialement un groupe différent des autres. On ne peux que l'espérer, mais je ne me fais pas non plus trop d'illusions”.
Louis-Henri: “Il ne faut pas faire l'autruche : j'imagine que sous le label "Strokes", devenu iconique, ils touchent des cachets faramineux. Nick Valensi n'a jamais rien fait en solo. Il a peut-être besoin d'une nouvelle piscine ? De nourriture pour son chien ? Ces concerts ne sont peut-être qu'un grand Restau du Coeur pour Valensi ? Plus sérieusement, je pense qu'a défaut de l'amitié d'antan, la camaraderie perdure, qu'il y a encore des liens forts entre certains d'entre eux (Albert avait sorti son EP sur le label de Julian), et qu'ils laissent la porte ouverte à un sixième album, donc… Le jour où ils se détesteront vraiment, je fais confiance à Casablancas pour renvoyer tout le monde dans son coin”.
Annelise: “Je crois qu'à un moment (assez tôt) ils en ont eu marre d'être les sauveurs du rock et d'avoir à refaire Is This It? en portant des Converse sous peine d'être accusé de trahison. Est-ce qu'ils sont toujours potes ? Je n'en sais rien. J'espère. Est-ce qu'ils ont toujours envie d'enchaîner les concerts et d'être ensemble non stop comme à 20 ans alors qu'ils ont des familles maintenant ? Non je ne pense pas. Valensi vit à LA, les autres à NY je crois, c'est forcément moins simple que quand ils étaient colocs, mais bon quinze ans pour un groupe c'est pas mal non? Pourquoi ne pas se séparer? Bah parce que si des promoteurs les paient grassement pour jouer quelques festivals tous les deux ans et il y a encore des fans, il n'y a pas de raison d'arrêter ! "We'll be in this race until the very end", comme ils le chantent sur “Welcome to Japan”.
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Pourquoi j'aime Français cars, partie 2: la Citroen Xantia.
Il n'ya pas longtemps, je vous ai parlé de la Peugeot 306, un rival Français à la Volkswagen Golf et la Honda Civic qui m'a présenté dans le monde merveilleux des voitures Français. Le magazine britannique pour lequel j'ai interné avait un 306 sur la flotte à long terme, et je l'ai conduit chaque fois que je pouvais-mais je l'ai toujours passer en faveur d'un lecteur dans notre Citroen Xantia.
Je suis sûr que beaucoup d'entre vous sont familiers avec la princesse, la Citroen DS. Je pense que la plupart des gens savent qu'il va de haut en bas, mais moins ont un sens de la façon dont sa suspension hydropneumatique fonctionne. Ne vous inquiétez pas-ni les gens qui l'ont conçu. Fondamentalement, le système a des sphères remplies de liquide et de gaz à chaque coin, ce qui permet un ajustement de la hauteur à la volée. Les freins arrière sont attachés dans le système de suspension, ce qui assure un dosage automatique des freins arrière et une plongée réduite sous freinage.
Au moment où j'étais au mag du Royaume-Uni, au début des années 90, il y avait encore deux hydropneumatique Citroën: le XM (qui est en bonne place dans la première course de voiture en 1998 "Ronin ") et la taille moyenne Xantia. (Les petites Citroën, la ZX uniwiyée et l'AX, ont partagé des bits mécaniques avec les Peugeot 306 et 106, respectivement.)
La suspension hydropneumatique a eu plusieurs tours de fête, y compris un levier qui vous a permis d'élever ou de baisser la hauteur de conduite. Entre autres choses, cela a permis de changer de pneu sans cric: Réglez la suspension à l'extension complète, soulever le coin de la voiture avec un mauvais pneu, puis laisser tomber la suspension à sa plus basse hauteur. Trois coins de la voiture serait tomber, la roue affectée serait soulever, et Hey Presto, vous pourriez changer votre pneu. (Voir fait, en allemand et sur un CX, dans cette vidéo.)
Le système vous a également permis de rouler sur trois roues. Cela étant plusieurs décennies avant YouTube, il ne m'est jamais venu à l'essayer avec le Xantia, mais voici un clip d'un DS de la série télévisée américaine CHiPs (doublés en espagnol, parce que pourquoi pas?).
Je l'ai fait une fois essayer d'élever la suspension à pleine hauteur et la conduite hors d'un trottoir, juste pour voir ce qui s'est passé. Il s'avère que le voyage complet ne permet pas de mouvement-la voiture rebondi comme un ballon de basket. Je ne m'attendais pas à ça.
De retour au bureau, nous avons discuté de la meilleure façon de garer le Xantia. Certains ont dit de le mettre à l'extension complète pour une hauteur d'étape facile. Je suis allé pour la compression complète, parce que j'aimais sentir la voiture "Get Up " quand vous l'avez commencé.
J'ai aussi découvert que si, tout comme vous êtes venu à un arrêt, vous avez sauté la voiture dans le neutre et a terré la pédale de frein, la suspension arrière s'accroupit, et la voiture serait "Sit. " Glissez-le dans l'engrenage, commencer à bouger, et il se lève à nouveau.
Mes collègues ont loué le tour de Xantia "Pillow-Soft "-bien que, étant un américain, j'ai dû me demander si leurs oreillers n'étaient pas faits de Pierre là-bas. Personne qui se souvient des pilotes arrière grandeur réelle de GM des années 1980 dira que le Xantia a roulé doucement, mais c'était une vue sacrément plus confortable que d'autres voitures de taille moyenne (le Vauxhall cavalier et le Ford Mondeo--notre contour--étant les best-sellers).
Oh, et ai-je mentionné qu'il avait un 1,9-litre turbo diesel? Ai-je mentionné qu'il avait une transmission manuelle? Ai-je mentionné que le tableau de bord dit "CONTROLE Citroën ", qui je sais signifiait rien d'excitant, mais m'a ravi de toute façon?
Vous voulez aussi accédé dans un autre site concernant par tout autoradio Bluetoot
J'ai essayé de le conduire au moins une fois par semaine, au grand dam de Chris, le rédacteur de nouvelles à qui la voiture a été assignée. Il avait 6 pieds-5, et j'avais 5 pieds-6, donc chaque fois qu'il conduisait la voiture après moi, il avait des bleus à genoux. J'ai depuis appris à toujours glisser le siège arrière quand j'ai fini de conduire-tout le monde est plus grand que moi-mais cela n'a pas aidé Chris ou ses genoux. Oh, bien. Au moins, il avait socialisé la médecine.
J'ai conduit deux autres Xantias pendant mon temps au Royaume-Uni, un modèle dépouillé avec un moteur à essence de 8 soupapes de 1,6 litres et l'autre un diesel non turbo alimenté. Les deux étaient ridiculement lents, mais ils avaient une suspension hydropneumatique à jouer avec, et je n'ai vraiment pas de soins. Laisse les Londoners derrière moi attendre.
Et qu'en est-il de la qualité de construction? En tout temps, on n'a jamais eu de problème avec le Xantia. Est-ce que je crois qu'ils étaient des voitures bien construites? Pas sur ta vie. Nous avons utilisé pour garder des fichiers de plaintes des clients-les britanniques aiment écrire et reproche-et bien que Citroen n'avait que 10% de part de marché, ils avaient le plus gros fichier de n'importe quel fabricant. Cela dit, j'ai une fois utilisé les lettres, et en toute équité à la Xantia, la plupart d'entre eux ont traité de la petite hache en plastique de l'AX, qui avait une habitude déconcertant d'Imploder à la vitesse de l'autoroute. Je n'accuserais jamais Citroen de violon avec leurs voitures de presse, mais si la chaussure s'adapte...
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Adolescente, j'aimais les enfants, je leur faisais du bien.👩👧👦Je n'oublierai jamais comment un jour, l'un d'eux (le fils d'une voisine qui n'avait que 06 ans) s'était tellement attaché à moi qu'Il m'avait dit avec détermination: "Josiane, quand je serai grand si tu es toujours ici je vais me marier avec toi!" 🤦🏾♀️😃
Une mère ce n'est pas celle qui a pu accoucher un ou plusieurs enfants mais plutôt celle qui prend soin d'une ou de plusieurs personnes que Dieu met sur son chemin.
Lorsqu'on ne prend pas soin de ses enfants on n'est pas une mère, mais juste une génitrice.
La génitrice du jeune qui a assassiné 19 enfants aux États-Unis vivait dans la drogue.
Son fils (le tueur) n'a jamais reçu aucun repère ni amour et pour tout couronner son père était absent. Ce détail ne justifie pas le crime mais mais il a le mérite d'être évoqué. (Ceci est d'ailleurs le sujet de la vidéo de la semaine).
Une véritable mère c'est celle qui paye le prix de prendre soin des personnes que Dieu lui donne, (c'est pareil pour les pères).
Quand tu le comprends ca te décomplexe, même si tu n'as jamais pu faire un enfant.
Je me suis toujours dit (quand j'étais adolescente) que si je rencontrais un problème de stérilité dans ma vie adulte j'allais adopter des enfants.
Dans ma tête ce n'était ni concevable ni envisageable de vivre sans enfant. Aujourd'hui avec la connaissance que j'ai je sais que dans le ciel nous serons récompensés non pour nos enfants naturels mais pour ceux que nous aurons enfantéd dans la foi (nos enfants spirituels).
Alors si tu me lis aujourd'hui et que depuis longtemps tu as du mal à enfanter, souviens-toi que tu peux adopter. N'hésite pas à demander à Dieu (selon que L'Esprit te conduit bien sûr) de te montrer un enfant que tu vas élever dans les voies du Seigneur.
Tu vas investir spirituellement dans la vie de cet enfant, tu vas tracer sa destinée dans la prière et tu en feras un prodige avec l'aide du Saint-Esprit. Tu en seras fier et tu recevras une récompense sur la terre et au ciel.
Je suis surtout persuadée que cela va t'enlever la frustration de n'avoir pas enfanté naturellement.
D'ailleurs j'ai vu beaucoup de personnes adopter un enfant et se retrouver débloquées par la suite (elles ont pu enfanter naturellement).
En tout cas pour aujourd'hui je souhaite à toutes les véritables mères, CELLES QUI PRENNENT SOIN DES AUTRES D'UNE MANIERE OU D'UNE AUTRE, une excellente fête!🤗🎉🎊🎈
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"Quand tu fais face à quelque chose qui a l'air compliqué, décompose-le et commence simple"
Maintenant qu'on se connait un peu, je pense que je peux vous le dire : j'ai mes petits travers dans ma manière d'appréhender le monde. Je suis très douée pour voir les visions d'ensemble : analyser des situations ou des systèmes très complexes, faire des supers stratégies globales, ça me vient très spontanément. Parfois, c'est d'ailleurs très utile et c'est exactement ce qu'il faut sur le moment.
Manque de pot, ça ne me suffisait pas, et moi ce que je recherchais en me mettant à mon compte, c'était aussi du concret : le plaisir de me saisir d'un projet et de le mener à terme, le goût de confronter mes idées à la réalité et de les voir prendre forme.
ça ne sortait pas de nulle part, c'était une envie que je nourrissais depuis quelques temps et j'y avais beaucoup goûté notamment en étant salariée de mon client. Lui, très pragmatique et orienté terrain et opérationnel, me mettait dans des situations où je n'avais pas le temps ou le recul pour préparer mes petites visions d'ensemble ; et même si ça me perturbait beaucoup et ça me faisait énormément raler, en vérité j'aimais beaucoup ça.
Malheureusement, aimer quelque chose ne suffit pas à changer radicalement sa nature profonde.
Alors quand j'ai imaginé le projet pour ce premier client, je l'ai imaginé à ma manière, autrement dit complet, complexe, transversal et ambitieux. Sauf qu'au moment où vous réalisez que vous allez devoir le mettre en oeuvre, vous n'en menez vraiment pas large. En fait, vous n'en menez tellement pas large que vous en arrivez à procrastiner devant l'ampleur de la tâche à accomplir.
Ajoutez à ça que pour certaines tâches, vous n'êtes vraiment pas à l'aise ou franchement angoissé (avez-vous déjà réalisé à quel point c'était stressant - et grisant - d'appeler une entreprise pour solliciter son aide ?), et vous vous retrouvez à repousser sans cesse l'échéance, ce qui forcément à terme n'est pas acceptable.
Autant ça a été pour moi l'une des plus grandes épreuves à surmonter de cette aventure, autant c'est peut-être aussi l'une de celle qui a été la plus enrichissante. J'ai appris - littéralement car il s'agit bel et bien d'un apprentissage - à accepter d'oublier cinq minutes la vision d'ensemble et de passer du statut de l'architecte au statut de l'artisan. De poser pierre après pierre, d'accepter l'imperfection, de prendre plaisir à l'ajustement.
Je ne pense pas qu'une vision soit préférable à l'autre ; les deux sont complémentaires, essentielles. Ce qu'il faut acquérir, c'est la souplesse pour passer facilement et selon les besoins de l'une à l'autre, dans ses actions, mais aussi dans ses explications. En tant qu'entrepreneur, vous serez à minima l'architecte et l'artisan de votre propre vie, autant dire que c'est une compétence qui vous sera bien utile.
Mais je n'ai pas dit comment j'avais appris. Voici quelques pistes, mais je pense que le plus efficace pour apprendre et s'adapter, c'est se retrouver dans le feu de l'action.
- quand je me retrouve avec une tâche difficile ou particulièrement pénible pour moi, je la décompose en plusieurs petites sessions réparties sur la semaine, plus acceptables psychologiquement car moins angoissantes. Souvent, à vrai dire, une fois passée la difficulté de s'y mettre, je la poursuis et il m'arrive de la finir le jour même.
- pour gérer un challenge complexe, avec de multiples variables à ajuster, je le décompose comme dans un jeu vidéo à plusieurs niveaux de difficulté. Quand une variable est fixée (que je maitrise l'une des composantes du challenge), je complexifie en ajoutant une nouvelle composante. A bien y réfléchir, c'est comme ça que l'on apprend à l'école.
- je suis le genre de personne à ne pas supporter de travailler sur une seule chose pendant toute la journée. Au bout d'un moment ça m'énerve, et j'en viens à papilloner dans tous les sens. Après m'être aperçue de ce travers, je me suis résolue à composer mes journées comme elles étaient composées pendant mes études : plusieurs matières en une journée, pas deux fois de suite la même journée. J'avais remarqué que pendant mes études j'étais toujours attentive à toutes les matières, que changer régulièrement ravivait mon attention et mon enthousiasme. Donc j'ai adapté mon planning pro pour qu'il ressemble à un planning étudiant.
- je me suis aperçue que selon les tâches à accomplir, il y avait des environnements et des moments où j'étais plus efficace que d'autres. Par exemple, quand je monte une vidéo ou que j'écris un texte long, je suis plus productive tranquille, dans ma chambre, confortablement installée sur mon lit. Quand je fais de la comptabilité, que j'établis un budget ou que je rédige des courriers administratifs, je ne peux le faire que sur un bureau, à "l'ancienne". Quand j'établis une stratégie (un planning éditorial, un plan d'action), j'ai besoin d'un bureau avec beaucoup de place et beaucoup de lumière. Quand je lis en prenant des notes, je préfère être assise dans un fauteuil ou un canapé. Quand je cherche une solution à un problème complexe ou que je prépare une interview, je suis plus efficace dans un parc dehors, avec du monde et de la vie autour de moi. Je n'ai jamais été aussi efficace et déterminée pour démarcher au téléphone qu'après une séance de sport ou pendant une balade. Etc.
- pour m'obliger à avancer, je me fixe moi-même (un peu à la manière de la méthode SMART) des jalons réguliers sur chacun de mes projets et je définis en fonction par mois et par semaine les projets et dossiers prioritaires à traiter.
A noter, pour ce dernier point, que cette méthode de jalons est susceptible de mieux marcher quand vous pouvez les partager avec d'autres. Ce qui nous amène au deuxième constat que j'ai fait
"Ce qui me manque un peu, c'est le travail en équipe"
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Quand j'étais petite, en 2013, j'avais genre 10 / 11 ans, j'adorais créer des blogs. J'en avais sur Skyrock, EklaBlog, Canaille Blog, je crois bien que j'ai du tous les faire. Je me rappelle que j'adorais ça; je faisais des blog à theme sur des trucs que j'aimais bien du style l'univers Sonic ou Mario. J'inventais des personnages (OC pour les connaisseurs) que je dessinais (ou plutôt je chopais une image d'un personnage qui existait déjà, j'ouvrais Paint et je modifiais les couleurs) puis ensuite j'inventais des histoires autours d'eux. Je les faisais devenir amis avec les personnages déjà existants ou des fois (tout le temps) je les faisais se pécho. Bref, je kiffais ma best life, je rentrais du cm2 et je m'enfermais dans ma chambre pour écrire des histoires, dessiner, ou même tenter de faire des montages de sonic (je retrouve plus la vidéo mais je me rappelle très de cette pépite qu'était "Sonic Couples" avec la musique Empire States Building en fond qui avait fait ma fierté parce qu'elle avait fait 113 vues à l'époque). J'aimerais souligner que l'utilisation du mot "enfermer" n'est pas anodin car, je tiens à la préciser, que bien que je m'amusais pendant des heures à créer des blogs, modifier leur apparence et jouer avec n'importe quelles petites fonctionnalité plus ou moins inutiles, sur papier j'avais interdiction totale de le faire. Maintenant, à mon âge (j'ai 40 piges tsais), je me rends compte que laisser une petite de 10 ans sur Skyrock AKA PechoLand c'est pas une super idée et je comprend que ma mère m'en ai interdit l'utilisation. Quand elle a découvert que je faisais mes petites affaires dans son dos, elle m'a terminé d'une puissance et a décidé de supprimer littéralement tous mes blogs, impossible d'en retrouver (malheureusement) la moindre trace. Je ne suis plus jamais retourné sur aucun blog. Mais... me revoila, huit ans plus tard, sur une plateforme que presque plus personne n'utilise, à mettre des heures à faire un blog pas trop moche et à écrire ces quelques mots que personne va lire (rip). Pour tout vous dire, je fais tout ça parce que ça va pas fort. Quand on est frappé par un coup de blues ou une petite déprime, chacun à sa manière de se remonter le moral: moi c'est de me retourner vers mes racines. Souvent je décide de relire tous mes anciens carnets et journaux intimes ou alors je retrouve mes anciennes affaires de cours et photos de classe ou encore je feuillette mes albums photos. J'ai jamais compris pourquoi redécouvrir mon passé comme ça, ça a toujours été une telle forme de réconfort, c'est comme si j'étais couverte d'amour par mes anciennes versions de moi et c'est comme si je les couvrais d'amour en retour. Comme si je leur disais, "J'avais oublié qui vous étiez, si vous saviez ce qui vous attends". Quand je me retourne vers le passé, je vois tout ce que j'avais de bien à ces moments là que je n'ai plus maintenant ou que j'ai encore et je vois tous ces problèmes que j'avais et qui ne sont plus et ceux qui le sont encore. C'est ce que je fais maintenant. Je me retourne vers quelque chose du passé. J'aime la sensation que voir que rien n'a changé ici me donne. Il y a quelque chose de nostalgique apaise mon cœur. Je suis une fille très sensible. Au quotidien j'essaye d'incarner quelqu'un de joyeux, d'amusant, de fort qui prend tout avec humour et qui ne se laisse pas faire mais ce n'est comme beaucoup de chose qu'une facade. Je suis constamment traversée par des états d'âme qui me pourrissent la vie. Je sauvegarde les détails de mes états actuels et précédant pour d'autres posts, mais je pense que je traverse en ce moment des combats intérieurs comme jamais auparavant. Je suis atteinte d'une puissante dépression et j'ai beau prendre toute les initiatives du monde, je perds espoir. Je me demande chaque jour comment vais-je survivre le prochain étant donné qui je suis. Voilà donc pourquoi j'ai décider de reprendre un blog de nouveau. J'ai pas de plan concret de ce que je vais faire exactement ici mais j'aimerais utiliser cet espace pour parler de tout. J'ai tellement de chose à
dire parfois mais j'ai l'impression que je manque de temps et que ce qui sort de ma bouche est chronométré et que je suis un athlète qui joue contre la montre. J'aime parler, j'aime débattre, j'aime démontrer toutes les possibilités, j'aime travailler, analyser un sujet, un thème, une situation sous tous ses angles et je veux utiliser ce blog pour m'exprimer. Ici, vous trouverez de tout donc. Je parlerais de moi, de mes problèmes (emoji cœur brisé), mais pas que (j'aime croire que je ne suis pas qu'une machine à ressentir des choses négatives), de mes passions, cinéma, dessin, écriture, lecture, montage vidéo, séries, fandom. Je parlerais aussi d'idées, d'hypothèses sur des évènements, des comportements, de fonctionnements... Je ne limiterais mes pensées et mes mots à aucune contrainte. J'espère trouver dans tout ca des réponses et honnêtement je ne sais pas si quelqu'un va me lire meme mais dans dix ans quand j'aurais une toute autre vie, je trouverais peut être un réconfort en relisant la moi d'aujourd'hui.
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quand j'étais au lycée, j'avais une amie avec qui on s'était choisi des noms de déesses romaines (on a dû trop faire de latin XD). elle c'était Vénus, et moi c'était Junon (oui oui rien que ça, on est Lion ou on l'est pas hein
) . on n'avait pas du tout le même mode de vie, elle était beaucoup plus indépendante que moi. ses parents lui laissaient souvent la maison, elle faisait la cuisine pour elle même, elle avait tout un tas de recettes et de petites habitudes culinaires que je ne connaissais pas.
j'aimais beaucoup la regarder faire, quand elle m'invitait à manger, elle avait de la jolie vaisselle (bon, chez nous aussi, mais c'est toujours mieux chez les autres, c'est bien connu). on allait au vidéo club d'en bas louer des films en cassette, hahaha c'était une autre époque (moi j'étais à la campagne, un vidéo club, c'était limite une diablerie
)
parmi ses petites recettes fétiches, il y avait la floraline (mélange de semoule et tapioca). c'était comme une petite madeleine de proust qu'elle traînait depuis l'enfance. elle en faisait souvent le soir. je suis sûre que son gamin, qui a environ 15 ans aujourd'hui, a dû en manger des kilotonnes, depuis.
toujours est-il que, l'autre jour j'en ai vu dans le rayon chez mon Edouard favori (que j'aime détester, mais il rend bien service quand même) et ça m'a donné envie d'en prendre.
l'autre soir je l'ai mise dans une soupe au chou un peu claire, ça a fait une espèce de purée délicieuse (bon OK j'ai mis beaucoup de beurre aussi... enfin du St Hub, c'était pour voir si vous suivez
).
et ce matin, pour un petit déjeuner un peu luxueux, j'ai fait des petits ramequins de semoule parfumée, avé des framboises, parmi d'autres choses raffinées, comme des petits toasts de brioche à la confiture de framboise ou de violette. et du thé des moines.
ingrédients (2)
(ça va être un peu à la bisto de nas, et ce n'est que justice, car c'est Vénus qui m'a appris cette expression, à l'époque) - du lait végétal - de la floraline - du sucre vanillé - de l'eau de rose - de la cardamome moulue - des framboises surgelées
préparation
sortir les framboises surgelées.
passer le fond de la casserole sous l'eau froide, pour éviter que le lait n'attache (...trop
).
remplir 4 fois le ramequin de lait et le mettre dans la casserole. ajouter au goût le sucre vanillé, l'eau de rose, la cardamome moulue.
porter à ébullition. ajouter la floraline en pluie (c'est là où c'est un peu approximatif... tout ce que je peux vous dire, c'est "pas trop", voire "vaut mieux moins que plus"
) remuer dans cesse hors du feu, puis baisser drastiquement ce dernier, et remettre la casserole dessus le temps que ça épaississe.
pendant ce temps, (mais sans cesser de remuer, débrouillez vous), répartir les framboises au fond des ramequins. verser la semoule par dessus, pas trop compacte hein.
tasser un peu, et laisser refroidir.
servir tiède ou froid.
au fait, le restaurant pour oiseaux est ouvert (lui, au moins^^)
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J'ai grandi dans un environnement familial assez strict. En primaire, je m’amusais à parler et marcher de façon “maniérée”. Je dessinais beaucoup de personnages féminins surtout leur robes qui me faisaient rêver dans les dessins animés. Je rêvais d'avoir les cheveux longs. J'enviais tellement les cheveux de ma soeur aînée, que je mimais de repousser des cheveux longs, imaginaires, en arrière. Je n'avais pas le droit de laisser mes ongles pousser non plus. En fait, j'aimais énormément de choses considérées socialement comme feminines. Tout cela insupportait mon père qui réagissait de façon assez violente. J'ai donc appris à cache mes dessins, ou a les jeter car j'avais honte, et peur que mon père tombe dessus. Et réfréner cette façon d'être qui m’épanouissait. Je fuilletais le catalogue de jouets à la rubrique consacrée aux filles le plus furtivement possible. Et j'essayais le vernis a ongle de ma mere ou ses talons quand mes parents sortaient... J'ai accumule tellement de frustrations quant à la façon dont je voulais exprimer et tester mon genre. “Se voir réprimer sa curiosité à six ans, réfréner sa créativité, goûts et vivre aussi tôt avec le sentement de honte et de dégoût, de soi-même, ça marque pour la vie.” Et ça continuait a l'école. "Tu devrais pas trainer avec des filles!" J'avais deux mellieures amies au collège et notre prof principal et de sport jugeait ça totalement inapproprié. Il a fait en sorte pour l'entrée en cinquième de me faire changer de class, avec l'approbation du le directeur. Mes parents sont militaires, on a déménagé tous le deux ans. J'ai donc toujours accordé énormément d'importance aux amitiés que je réussissais à nouer. Quand on parle de la violence au collège, on évoque celle des élèves mais pas assez celle du corps enseignant. Dans toutes les remarques LGBTphobes que j'ai entendues au collège, la pire c'était d'observer des adultes soi-distant responsables approuver et imiter les mêmes comportments. C'était d’autant plus perturbant que j'avais vraiment appris à respecter les figures d'autorité et à ne jamais le remettre le question. J'ai appréhendé la non binarité pendant mes études via des vidéos docu et groupes de parole sur le réseaux sociaux. J'ai adopté un prénom mixte d'origine gaélique que signifie "l'ile aux bateau”. C'était important pour moi qu’il ait une signification. Les lieux où j'ai vécu, déménagements répétés, la connexion enter mon identité queer et mes origines vietnamiennes se réunissant silencieusement sur une ile comme endormie. J'ai dû faire un coming out progressif auprès de mes proches. J'ai été confrontée à tellement de réactions. "Mais c'est trop compliqué iel." "Nan mais t'es sûr que tu vas pas une peu vite?" "Ça va te passer.” "Je peux encore t'appeler avec ton ancien prénom quand même?" "Non mais la non binarité ça n'existe pas.” "Oui mais au fond on est tous un peu non binaries tu sais." "OK mais faudra pas te vexer si je me trompe hein.” "Il se dit non binaire." "Tu vas faire les opérations?" "C'est quoi ça?!" D'accord. Ce n'était pas le cas. Ce qui est "drôle" car j'ai toujours été androgyne. Les commerçent-es buguaient souvent. Je suis androgyne aussi car asiatique et qui dans la vision qu'ont les personnes blanches des asiatiques nos traits qu’importe nos genres, sont féminins. <- Vêtements banals "Bonjour Mada...Monsieur? Ah non madam, Ah pardon Monsieur.” "Même avant mon coming out chaque fois que j'utilisais les toilettes de bars, je vivais des réactions violentes. "Meuf! Tu t'es planté de WC! Dégage!” Ce qui m’a fait du mal, c'est quand mon copain, à l’epoque de mon coming out, était vexé qu'on nous dise: " Madam, Monsieur" "MESSIEURS!" Comme si sa fierté d'homme gay primatie sur ma non binarité. "Tu risques de te faire emmerder dans le rue." <- Maquillage <- Plus de bijoux <- Vernis <- Talons Ca a été long pour qu'il comprenne l'importance que ça avait pour moi, et que j'avais besoin d’encouragements. En parallèle, je découvre l'antiracisme politique. Cela marque le moment où je me dis: "Ça y est, je me laisserai plus jamais marcher sur les pieds.” Heureusement qu'on peut rencontrer des personnes queer, trans, racisées, asiatiques via internet, et des conférences, réunions non-mixtes, poésie Queer. Cela fait 3 ans que j'ai changé de prénom officiellement j'entame des démarches de transition médicale pour maîtriser mon androgynie. Ce me procure de l'euphorie, c'est l’androgynie. Sauf que le corps médicale ne l'entend pas de cette façon, et que le SOFECT a laissé de la traces sur son passage. Il y a une form d'injonction au parcours de transition unique, les sancro-saint MtF* FtM* dans un lecture binaire et blanche. TRANSITIONS TM Un parcours MtX* est vu comme un caprice, un marque de recul, ou une incertitude. "Et pour votre transition médicale?" "En fait je ne veux pas prendre d'hormones." "POUR LE MOMENT." <- Médecienne generaliste Ce qu'elle a notifié sur la lettre de recommandation que je lui ai demandée pour le chirurgien. C'est une pensée que j'ai aussi retrouvée en ligne sur des groupes de soutien d'entraide: "La non binarité est une phase.” J'ai du mal à faire comprendre qu'on peut être non binaire et transféminin-e et ne pas vouloir prendre d’hormones. Et ne pas idéaliser la vision d'un cispassing* qui depend de codes de beauté blancs et patriarcaux. “Je ne comprends pas comment on peut penser que c'est un caprice ou être "edgy" "unique" ou "subversif-ve" comme un caprice d’enfant.” Je sais que je risquerai toujours ma vie en me promenant dans le rue de façon ouvertement androgyne, sans cis et white passing* “Je sais que je vais devoir me battre toute ma vie pour faire reconnaître l'existence et parcours de transition des personnes non binaires et non conformes aux stéréotypes de genre.” “ Face au système administratif, médical et à l'opinion publique.” “Ca je veux que le personnes non binaires après moi puissent souffler et arrêter d'avoir à se justifier face à la société et au sein même de nos communautés.” “Je veux me battre contre cette infantilisation permanente d'une non binarité qu'on juge "nouvelle" et capricieuse.” “Alors qu'elle a toujours existé loin du regard blanc, bien avant l'epoque de la colonisation, des peuples, des religions, des cultures, et des genres.”
87e témoignage TW : racisme - enbyphobie - queerphobie - misogynie
#so my French is too rusty#I had to run it through a translator to get it all#since I then had a transliteration#perhaps that is helpful to others
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