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#intransformable
mileskingston · 1 year
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Si vous pensez que nous n’avez pas d’influence sur votre vie ou que vous n’êtes qu’un grain de sable sans importance, réfléchissez de nouveau. Rien n’est immuable et rien n’est intransformable. Il est bien évident que ce n’est pas un individu qui va changer la planète à lui tout seul. Mais il n’empêche que nous nous devons tous de faire notre petite part, pour reprendre la métaphore du colibri apportant sa goutte d’eau lors d’un incendie de forêt.
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jace-the-writer-guy · 3 years
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A follow-up ask. Does Ebony use Pride Fang, or does she have another weapon? Also, what's her Materia loadout? (FF7 au)
"I use Pride Fang!" Ebony answered and held up the large, custom-made weapon in her hands, "I like to try to use all the elemental materia that I can so I can have all those covered in a fight. Plus it helps my ranged attacks too when Intransform my weapon to its gun form."
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✨ velocity from mtmte/ll a bit
ooh she’s a pretty robo
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claudehenrion · 5 years
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Les gilets jaunes, ‘’Saison n° 19′’... C’était samedi dernier.
.  Pratiquement tout le monde a oublié la vraie raison d'être de ce curieux ''non-mouvement'', et pourquoi il a éclaté. Mais il faut regretter que diverses forces, pas toutes recommandables, et pas très fréquentables non plus, aient récupéré ce cri de douleur, contre la folie fiscale qui a contaminé la France jusqu'à en devenir mortelle, et contre cette autre folie qu'est le ''dérèglement climatique'' qui veut sauver le monde en le rendant inhabitable. Ce n'est pas pour rien que quelque 80 % de la population applaudissaient leur initiative (pour beaucoup, les mêmes ou à peu près qui, aujourd'hui, les vouent aux gémonies et ne pensent qu'à leur fin..).. 
  Mais ils ont  joué de malchance : pris entre un Prince au ''Moi'' hypertrophié mais avec une faiblesse, côté ''colonne vertébrale'', un ''Sinistre'' de l'intérieur (titre créé par Coluche) qui se prend les pieds dans des constructions qui n'ont rien de ''structions'' (si j'ose !), une extrême gauche qui ne lâche jamais le bout d'os qu'elle a réussi à grappiller (l'ISF, dans le cas présent : une catastrophe, dont les anars refusent donc de se priver), et des hordes de sauvages sans foi ni loi qui ne rêvent que de pillage et ont réussi à se faire appeler ''Ultra-Gauche'' (ce qui les met à l'abri de la vindicte de la place Beauvau version Castaner et hors du champ de récits honnêtes, dans la presse)... les pauvres Gilets jaunes ne faisaient pas le poids !
  Le piège s'est lentement refermé sur leurs rêves (qui étaient ceux, rappelez-vous, de quelque 80 % d'entre nous, ce qui est énorme !). Macron, lui, n'avait rien vu venir et rien anticipé (on peut être élu à la Présidence, mais de là à être au niveau de Président de la République, en avoir envie ne suffit pas ! Encore faut-il avoir le minimum de bagage nécessaire et jamais suffisant. Lui a cru qu'il suffisait d'être.... ''suffisant''. Tout faux, Jupiter !). Soit il a laissé pourrir une situation à laquelle il ne croyait pas (genre : ''ils se lasseront d'avoir froid aux pieds avant que je me lasse des beaux tapis tout neufs de l'Elysée, bien au chaud''), soit il a vu là l'occasion d'une gigantesque ''propaganda'' à l'ancienne, impudique et sans limites, pour vendre ce qu'il croit être ses idées  –qui ne sont que celles qui flottent et tournent depuis des années dans le caniveau de la ''pensée clonée'' politiquement correcte. 
  Avec les élections dites ''européennes'' (qui ne sont que ''bruxelloises''), il voulait que sa pauvre croyance en un ''monde nouveau'' (tellement pire que l'ancien) soit connue. On peut remarquer qu'elle n'en est pas plus partagée pour autant : les sondages ne décollent pas de la petite phalange des 20 % de légitimistes à tous crins qui croient voir du bon dans ce qu'il raconte. Comment ne pas s'étonner que ce ''faux stratège vraiment en chambre'' n'ait pas compris que, en faisant tout ce qui est possible pour couper le lien affectif qui existait entre les Gilets jaunes et le peuple français, et en isolant (médiatiquement et autrement) les premiers des seconds, il poussait, obligatoirement, les éléments les plus en colère (en rage ?) vers la violence... et dans les bras, pour ainsi dire, des ennemis de l'ordre, des pilleurs, des casseurs, de ceux qui rêvent ''d'en découdre'', et des ''Black Blocs'' ?
  S'il est absolument faux que ''la France soit intransformable''  (la France de 2019 ne ressemble en rien à celle que j'ai connue dans ma jeunesse ! La transformation va au-delà du pensable !), il est exact qu'elle est réticente au ''changement pour le changement'', sans savoir sur quoi va porter la transformation annoncée mais jamais décrite. Gilets jaunes, bonnets rouges, sans culottes ou même anarcho-trotskystes... on ne change pas une société sans le peuple ou contre lui . Même l'énorme et sanguinaire machine du communisme et le lénino-stalinisme inhumain s'y sont cassé les dents : leurs leaders sataniques à peine enterrés, tout est rentré dans l'ordre et chaque chose a très vite repris la place qui était la sienne !
  Tout de même, ne trouvez vous pas étrange que la seule revendication stable qui ait  persisté tout au long de ces 19 semaines soit une demande impérative de départ de Macron ? On les brutalise, on les pousse à bout à force de mépris et de surdité... et lorsqu'ils finissent par toucher au désespoir, on change un lampiste (aussi nul que ses maîtres, mais ce n'est pas une raison suffisante !) et on fait intervenir la troupe, en lui intimant toutefois l'ordre... de ne pas intervenir. Sauf si… on ne sait trop quoi, tant le discours des généraux s'écarte de celui des politiques.
  Comme tout le monde le pressentait depuis 18 semaines, une tactique qui minimisait les dégâts, les pillages et les destructions et rendait ''moins pires'' les conséquences de débordements éventuels... existait bel et bien.  Et ce n'est pas verser dans un ''complotisme'' trop fréquemment invoqué --à tort-- que de constater que la responsabilité de ce qui est arrivé depuis novembre est du côté du gouvernement. Il a voulu jouer au plus malin... ce qu'il ne peut pas être, avec un Castaner à la manœuvre. La bonne nouvelle, c'est que les violences sembleraient se calmer. La mauvaise, c'est que, du coup, ce malfaisant a sauvé sa peau...
H-Cl.
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wfosbery · 6 years
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The big struggle
«La lucha general por la existencia de los seres vivos no es una lucha por la energía, que es abundante en forma de calor, desafortunadamente intransformable, en todos los cuerpos. Más bien, es una lucha por la entropía, disponible a través del flujo de energía desde el Sol ardiente hasta la Tierra fría. Para aprovechar al máximo esta energía, las plantas extienden las inconmensurables áreas de sus hojas y aprovechan la energía del Sol mediante un proceso aún inexplorado, antes de que se reduzca al nivel de temperatura de nuestra Tierra, para generar síntesis químicas de las cuales aún no tiene idea de nuestros laboratorios.»
(Ludwig Boltzmann 1844-1906)
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d0lor · 3 years
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me siento como un parásito, me comerá la ley de la vida desapareceré entre la gente y se borrará mi paso en esta tierra porque no me encuentro entre los más fuertes, soy el desecho intransformable de la especie
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jannet-oh · 7 years
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Time to work out after some time off of overworking 🏋🏻💪🏼💜👌🏼✅🌎😌#thankyougod #gthoh #dontlikemedontcare #dontlikemoveon #intransformation #bodybeast #animalinme #metal #rock #🤘🏼 (at 24 Hour Fitness - Littleton Belleview Ave, CO)
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Sabia que no pasaria nada, pero deseaba que pasara algo que el se diera cuenta de cuanto lo extrañaba, esperaba que alguien me preguntara si estaba bien, pero no paso nada y fue que entendí que no importa cuantas veces me golpee con  la pared de la realidad, aun creo que algo pasara, pero la realidad es que es solo eso fría e intransformable realidad nada pasara nada cambiara o volverá a ser lo de antes.
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brujadeagua · 4 years
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alerta: contenido político
Esta mañana participé en representación de Revista Colibrí, por primera vez, en la Asamblea de la Confluencia Feminista rumbo al Foro Social Mundial de las Economías Transformadoras (FSMET), que empieza mañana 25/06. A medida que iba escuchando a las compañeras de Colombia, Ecuador, Bolivia, España y muchos otros territorios, hablando despacio, tratando de que sus palabras alcancen la traducción -en vivo- al francés para las compañeras de Bélgica, preguntas estallaban como bombas en mi cerebro. Explosiones que afectaban mis conexiones neuronales, mis supuestos de aprendizaje, todo aquello que se manifiesta como obvio y por eso mismo, se omite. Preguntas -muchas- que quebraban paredes dentro mío, límites mentales.
La consigna principal que se germinaba fueron estrategias feministas para el sostenimiento de la vida, en este contexto de crisis financiera, ambiental, sanitaria y de cuidados. Y pensando en el cuidado como el centro de un nuevo acuerdo social que permita abolir las prácticas que reproducen y agudizan la desigualdad, escribí en uno de mis cientos de cuadernos ordenados por un finísimo e irrelevante orden personal “Filosofía de la reparación”. ¿Reparación? ¿Cómo? ¿De qué?
En el mundo mucho se ha destruído con la doctrina del opresor, un opresor que ha vendido una doctrina de la vida en consumo de productos etiquetados con palabras: “vida”, “amor”, felicidad”, “libertad”. Todo eso nos ha segmentado, nos ha fragmentado en nuestro propio ser, al punto de que hizo falta una pandemia global a esta escala para hacernos dar cuenta de que solxs, no se puede. Por eso, la filosofía de la reparación consiste en crear espacios medicinales en el universo, es pensar acciones unidas por una misma estrategia -como la que se expresó en las ponencias de las compañeras de la confluencia- con un primer y más importante objetivo: sanar.
Las raíces de un pueblo que están escritas con sangre. Los límites de un individuo que, también, se dibujan con la indiferencia al dolor del otre. ¿Por qué es tan doloroso ahondar en nuestros ancestros? Porque elles son de una época donde la crueldad estaba -aún más- naturalizada que en el hoy, hoy cuando el presente goza de un pacifismo blanco hipócrita, tan falso como las premisas privilegiadas de la meritocracia. Blancocracia suena más real. Las violencias se siguen reproduciendo mientras que grandes masas de personas -no me atrevio a escribir 'la mayoría'-, en ignorancia de las violencias acumuladas en la memoria colectiva, en total desempatía del que sufre, es también ciego al preso intrínsico del lugar del opresor. No entendemos, porque no conocemos nuestra historia, no entendemos, porque no ven que no es gratis tener las manos manchadas de sangre genocida. Ni siquiera se miran las manos.
La lógica neoliberal resuelve con un paradigma de “buenos” y “malos”: malos muy muy muy malos, malos que por un celular pueden matarte, matar a tus seres queridos, destruír a tu familia. La derecha resume la justicia en el punitivismo y el securitismo, donde la seguridad es el principal objetivo del Estado, ¿seguridad de qué? Del otre, que puede romper las murallas de la propiedad privada, aquel único lugar donde la derecha dice que estás seguro. No, decimos nosotras y nosotres. Porque sabemos que ese lugar es donde nos matan, porque nos matan en nuestra propia casa, una persona conocida en donde el patriarcado puede encarnarse, sea padre, pareja o ex pareja. No, decimos nosotras y nosotres, a la individualización de los problemas en módulos segmentados donde la salvación se reduce al bienestar de cada grupo familiar, donde el crecimiento económico se ancla en el trabajá-todo-lo-que-puedas-y-ahorrá. No, porque sabemos que la salida es colectiva y optamos por socializar nuestros problemas, de compartir el peso, de empatizar con el deseo del otre (googleá compersión). 
En esta teoría que comparto ahora pero que tiene hojas y hojas escritas en cuadernos de todos los colores, míos y de otres, no podemos desconocer la fuerza más reparadora que existe, la única que verdaderamente es capaz de transformar lo intransformable, de volver a un estado anterior, más puro, que discierne la verdad de la mentira. O la realidad de la ficción. La reparación organizada sólo puede -y debe- servirse del amor como recurso para sanar hacia afuera el adentro -sí, en ese orden-, para salvarnos a través de nuestros vínculos, desposeídos pero no desinteresados, con un certero fin político estructurado: sanar las bases, sanar la Tierra, sanar la historia, construir un mundo nuevo donde no haya cuerpos desechables, donde todas las vidas sean valoradas, donde las condiciones de vida digna sean derechos y no privilegios.
Un abrazo que abola fronteras y desigualdades a les compañeres de esta lucha.
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Un inicio
Porque nunca tuve tanto amilanamiento y coraje para dar un nuevo inicio.
Sensaciones que aún no describo, emociones que aún no salen a flote y se amontonan en la mente que aqueja ser un universo infinito sobre el que no tengo control aún. 
Aquí estoy otra vez en el inicio de una carrera nueva, en un canvas en blanco, en un libro sin recetas. 
Por primera vez no tengo nada planeado y mi humanidad me pide dominar este momento, pero he decidido rendirme y cerrar la puerta contra mi persona que es muchas veces esclavizante, autoritaria y obtusa. 
He decidido callarla para dejarme ser. Para permitirme vivir sin tanto miedo, sin tanta cobardía, sin tanta atadura al pasado.
Aquí estoy otra vez, en un inicio. Un inicio guiado por mi vida espiritual. Ya es momento de modificar lo que siempre he excusado como intransformable. Ya no huiré, aunque aún no vea dirección ni camino, ya no lo haré.
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jannet-oh · 7 years
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Progress from 190's to 163lbs . A total of 29lbs lost more clothes are fitting and some are way to big now but love it 😊👌🏼💜😛😳 i remember I used to be embarrassed by showing off my Body but not anymore ; I'm just PROUD! 😎💪🏼 #denver #tijuanera #bodypositivity #bodytransformation #bodybeastwomen #bodybeast #bodybuilding #bodybeastwomen #bodybeast4women #sagikalev #heismyhero #loveit❤️ #thanksfor #theprogram #bodygoals #bodymotivation #intransformation #dontlikemoveon #dontlikemedontcare #gthoh #thankyougod (at Littleton Co 80120)
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