Tumgik
#il est très important de ne pas oublier tous les AU qui se situent à la même époque mais dans des contextes différents...
nael-opale · 4 years
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Petits Croustillants in a nutshell :
we now have so many AUs that Kaamelott characters are basically time travelers.
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ambipolis · 2 years
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Vendredi 22 juillet 2022
Le cinéma russe 
Un pari difficile à tenir, un défi : vouloir tenter d’illustrer l’histoire russe, la culture russe, l’âme russe, le rapport des Russes à la politique à travers des films. On a longtemps décrypté l’âme russe à travers les grands romans russes du XIXème siècle et les pièces de théâtre de Tchekhov.
Je me sens incapable en un texte court de choisir et surtout d’analyser tous les films russes et soviétiques qui reflètent sinon la politique russe du moins son histoire, sa géographie, sa culture, son peuple.
Impossible de ne pas mentionner en premier Sergueï Eisenstein et Le Cuirassé Potemkine (1925) avec cette scène du landau qui descend les escaliers avec un bébé dedans. Sans oublier La Grève (1925), Octobre (1927), Alexandre Nevski, (1938) entre autres.
Quelques décennies après vint l’immense Andreï Tarkovski connu et reconnu pour son Andreï Roublev (1969) et ses icônes, mais qui a été aussi récompensé et salué comme un des grands cinéastes du XXème siècle avec Solaris (1972), Le Miroir (1975), Stalker (1979) et l’admirable Le Sacrifice prix du cinéma de création au Festival de Cannes en 1986. Il a écrit un très beau livre Le Temps scellé. Je retiendrai une de ses plus belles phrases : « La fonction de l’art est de préparer l’homme à sa mort.»
Je terminerai avec un réalisateur moins connu, mais également très important : Alexandre Soukourov auteur de Mère et fils (1996) et de L’Arche russe (2002) notamment, un film filmé en un seul plan dont l’action et la vision se situent dans le célèbre musée de l’Ermitage. Je vous conseille le cours de cinéma du Forum des images sur ce film rentré dans l’histoire. Vous pourrez visionner cette conférence
Dans l’optique cinéma et politique, je retreindrai particulièrement le dialogue entre la voix du narrateur qui représente Soukourov et le comte Custine d’abord très méprisant, puis finissant par apprécier dans ce musée - et donc dans la politique culturelle russe - une forme de conservatisme.
Quel rapport entre ce conservatisme et Vladimir Poutine ? Évidemment aucun. Et pourtant la roulette russe continue de tourner…
Jean-Loup ARNAUD
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leptitarmand · 5 years
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Le cas McAfferty
Par Jean-Nicolas Tremblay
Patrice Meunier : Bon, alors monsieur Andrews, vous êtes le premier à avoir trouvé le corps de Brenda McAfferty après “l’incident” n’est-ce pas ?
René Andrews : L’un des premiers, s’il vous plait monsieur Meunier. L’un des premiers, car personnellement je ne sais pas ce que j’aurais fait si je m’étais trouvé seul lors de cette découverte...
P.M. : La scène ne devait pas être jolie à voir, j’imagine...
R.A. (Tire une cigarette de sa poche) Ça vous embête si je fume ? Je sais que c’est interdit dans l’école, mais il y a une sorte de loi non écrite qui dit que le prof est maître dans son bureau. De toute façon, si vous voulez mon avis jeune homme, dans trois semaines, vingt-trois jours tout au plus, cette école sera fermée par le gouvernement qui fera tout pour la faire oublier.
P.M. : Pensez-vous vraiment ce que vous dites ? Le gouvernement va-t-il fermer l’école pour étouffer l’affaire ?
R.A. : Après un événement de telle ampleur ? Évidemment que le ministre fera tout pour que cela reste sous silence ! Son règne soulève déjà bien assez de controverses ! Mais bon, nous ne sommes pas ici pour parler de politique... Que disiez-vous déjà ?
P.M. : Que ce ne devait pas être une très jolie scène à voir !
R.A. : Ah oui ! Et pour répondre à votre question : non. Ce n’était pas la chose la plus réjouissante à voir. J’en cauchemarde encore la nuit !
P.M . : J’imagine que vous pouvez détailler...
R.A. : Oui, mais vous comprendrez... Ce n’est pas quelque chose de très facile pour moi de vous raconter ce que j’ai vu là-bas. Je... je ne souhaiterais pas à qui que ce soit de voir ce que j’ai vu cette journée-là. Même pas à mon pire ennemi.
P.M. : Pouvez-vous en venir au fait et arrêter de tourner autour du pot nom de dieu ? C’est un reportage que j’écris moi, pas un compte rendu de ma discussion avec un vieillard quelque peu sénile !
R.A. : D’accord, d’accord ! C’est bon, je vais tout vous dire, tout ce que je sais. Tout ce que j’ai vu et pensé au moment de la découverte de... De tout ce gâchis! Aussi, tout ce que je sais sur Brenda MacAfferty et j’espère que votre café est bien chaud, que votre copine n’avait pas prévu de vous présenter ses parents et que personne ne vous attend pour souper, car nous en avons pour plusieurs longues heures de discussion et d’écoute... Alors, satisfait?
P.M. : Je n’en attendais pas moins.
R.A. : Alors, avant de commencer avec Brenda MacAfferty et la longue série d’événements, qui ont lentement, mais inexorablement poussé la petite fille timide et renfermée qu’elle était à ce monstre de colère et de destruction qu’elle était lors de ses derniers instants, je crois qu’il est important de se mettre en mémoire que nous nous situons dans le petit village d’à peine 400 de Saint-Médérique-Des-Terres-Fertiles qui est le plus gros village d’un petit rassemblement de villages de L’Abitibi-Témiscamingue et que, par conséquent, beaucoup de services essentiels de ces petits villages tels que: Le poste de police de la SQ, l’hôpital, la caserne de pompier, le centre commercial, le bureau de poste et la polyvalente se situent dans notre petite, mais magnifique communauté.
P.M. : Euh... Je ne vois pas en quoi c’est utile...
R.A. : Attendez, attendez, j’y viens... Mais d’abord, une autre cigarette. Je vais en avoir besoin... (Sort une autre cigarette de sa poche) Ah ! … Voilà, c’est mieux... Donc, vous voyez, comme l’indique son nom, notre petit village possède des territoires au sol très fertile, mais aussi regorgeant de dizaines de pierres et minéraux. Ce n’est donc pas surprenant lorsque l’on sait cela : 35% des emplois du village sont en lien avec le domaine minier et que ce même domaine attire quelques malheureux et leurs familles à la recherche d’emplois et/ou de meilleures vies... C’est d’ailleurs dans cette optique que Vincent MacAfferty avait décidé de venir s’installer avec sa femme : Carietta Pince et sa fille.
P.M. : Brenda MacAfferty ?
R.A. : Tout juste. Vincent MacAfferty était d’origine irlandaise et sa femme était d’origine écossaise. Leurs deux familles avaient immigré durant la Seconde Guerre pour être protéger par les lois sur l’immigration canadienne et ainsi éviter d’aller combattre sur le front européen.
P.M. : Malin !
R.A. : Tout à fait, mais je vous demanderais de bien vouloir cesser de m’interrompre s’il vous plait...
P.M. : Oui... Bien sûr... Continuez, je vous prie...
R.A. : Merci bien ! Donc comme je le disais, les parents de la petite Brenda MacAfferty étaient tous les deux d’origines étrangères... Le père, Vincent, n’était pas un bon élève. Sans doute était-il un TDAH non diagnostiqué ? Il avait donc laissé tomber l’école pour pratiquer des métiers manuels qui demandaient relativement peu de qualifications. Vous comprendrez donc que lorsqu'il apprit par le biais du Journal de Québec qu’une nouvelle mine de zinc nouvellement ouverte recherchait des mineurs et que les qualifications requises pour cette tâche étaient relativement peu nombreuses, celui-ci, sans en avoir longuement discuté avec son épouse, décida de venir s’installer dans la région.
P.M. : C’est la raison pour laquelle tous les élèves de 4e secondaire, dont moi-même, avons eu la chance de côtoyer sa charmante jeune fille dans quelques-uns de nos cours le semestre dernier ?
R.A. : Absolument, mais s’il vous plait, ne me mentez pas. Ne qualifiez pas vos “contacts” avec Brenda MacAfferty de chances... Si ce n’est pas pour moi, faites-le au moins pour elle. Si ce qui s'est passé vous attriste vraiment tel que vous le dites, vous le ferez...
P.M. : Oui, bien sûr pardonnez-moi... Veuillez continuer, je vous prie.
R.A. : Comme vous l’avez dit, Brenda MacAfferty est venue étudier à notre école secondaire : L’École secondaire des Rares-Hauts-Manoirs. Mademoiselle MacAfferty était, selon les avis de mes collègues, une élève timide, mais brillante, ni trop jolie, ni trop laide et malheureusement le souffre-douleur tout désigné pour ses camarades. 
P.M. : Oui pour l’avoir eue en tant que camarade de classe en sciences et en art plastique, je peux le confirmer. Brendass et MacAfferfiff étaient d’autres surnoms que ces intimidateurs, et Dieu sait qu’ils étaient nombreux, lui avait trouvé.
R.A. : Vous l’avez dit, ils étaient nombreux, mais tous le savent, le pire était de loin Simon Callahan, le capitaine de l’équipe de football de notre belle école...
P.M. : C’est bien vrai, mais ce que Brenda ignorait, c’est que ce bel abruti et toute sa bande de fier-à-bras avaient un plan plus poussé, plus élaboré que de simples insultes, que de simples surnoms dégradants.
R.A. : Là, nous arrivons en plein cœur du sujet, êtes-vous sûr de vouloir continuer ?
P.M. : Allez-y, il n’est que 21h12. L’avenir nous appartient...
R.A. : Bien. Alors comme vous le savez surement, notre école organise pour les élèves du deuxième cycle, tous les automnes, le “bal de l’automne” à l’intérieur duquel tous les élèves peuvent inviter un cavalier ou une cavalière. Il n’y a rien de bien important là-dedans, me direz-vous ? Sauf que justement personne ne pouvait se douter que le premier à se précipiter aux pieds de cette chère Brenda McAfferty, et probablement le seul, ne serait nul autre que Simon Callahan lui-même !
P.M. : Oui, je m’en souviens. Je crois même qu’il y a eu article à ce sujet dans le journal de l’école. Ce n’était pas tant pour cette demande surprenante, mais plus pour la réponse qu’elle lui a donnée. Personne, moi y compris, n’aurait pensé qu’elle aurait accepté l’invitation au bal de celui qui l’avait tant rabaissée et insultée...
R.A. : Oui, mais n’oubliez pas que malgré ses airs de gros durs sans cervelle, Callahan était un élève doué, surtout avec les mots. Il aurait pu devenir poète s’il avait eu d’autres intérêts que le football et s'il n’avait pas eu... Enfin vous me comprenez... Il avait donc fallu un simple poème pour que le cœur de la pauvre Brenda fonde comme neige au soleil...
P.M. : Et puis le jour vint, le Jour J...
R.A. : Oui le jour J comme vous le dites... De mémoire, je ne crois pas avoir vu une aussi belle fille pour son bal de l’automne et je ne crois pas que j’aurai la chance d’en voir beaucoup d’autres, car cette école sera bientôt fermée... Une magnifique robe rouge qu’elle avait elle-même cousue, des bottes de véritable cuir et des boucles d’oreille en cristal qui avaient appartenu à sa mère le jour de son mariage...
P.M. : La pauvre, elle n’avait aucune idée de ce qui l’attendait...
R.A. : Le bal se passa exactement comme je l’avais prévu. Avouons-le, j’avais pris la décision de surveiller Callahan au cas où il aurait prévu un coup à l’encontre de Brenda durant cet événement festif … Oui, tout se déroula comme sur des roulettes, jusqu’au moment d’élire le roi et la reine du bal. Comme par hasard, ce fut Brenda et Simon qui furent élus à ce poste. Callahan prit le micro pour dire son discours de gagnant et cria FEU !!!
P.M. : (Aux bords des larmes) Non...
R.A. : Oui, et vous le savez très bien. Ne prenez pas la peine, monsieur Meunier, car je vous ai vu avec les élèves. Vous vous êtes mis à la bombarder de fruits et de légumes pourris... La suite, du moins la suite immédiate, vous la connaissez, n’est-ce pas ?
P.M. : (En larmes) Oui ! Oui ! Je le sais et si seulement vous savez comment je regrette pour elle, pour ses parents et pour cette ordure de Simon. C’était un sale type, mais il ne méritait pas ça ! Brenda a poussé un cri horrible, un cri déchirant et... Elle s’est sauvée, je ne sais pas où. Simon était bien décidé à sonner le glas de sa blague avec une tomate qu’il faisait pourrir depuis trois semaines au moins... Et... Et...
R.A. : Et il l’a trouvée dans la place publique en train de pleurer ses rêves perdus et cet amour impossible pour lequel elle avait commis l’erreur de croire. Il l’a appelée pour avoir son attention et lorsqu’elle a posé sur lui un regard plein de désespoirs, il a lancé la tomate. Pour Brenda MacAfferty, c’en était trop. Elle a poussé un cri, son dernier cri. Elle a littéralement explosé, carbonisant la place publique de l’école, Simon Callahan et elle-même par le fait même. (Entre lui-même en larmes) C’est à ce moment que je suis arrivé talonné par le professeur Dubreuil et le professeur Austins. Il ne restait que de MacAfferty et Callahan des éclaboussures sanglantes, des lambeaux de peau et des bouts de tissus des habits des deux adolescents. Je me souviens d’avoir ramassé quelque chose de brillant par terre : il s’agissait d’une boucle d’oreille de la mère de Brenda. C’est d’ailleurs le seul souvenir d’elle que ses parents possèdent maintenant...
R.A. : À ce moment, la tristesse qui me submergeait avait atteint son paroxysme. Je me suis assis au sol, directement sur le plancher recouvert de sang et je me suis mis à pleurer. J’y suis resté jusqu’à ce que des ambulanciers, appelés par le professeur Dubreuil, viennent me chercher. J’étais tellement sous le choc qu’ils ont dû m’injecter un calmant et m’hospitaliser en psychiatrie pendant un moment. On m’a autorisé à sortir seulement si je continuais de voir le psychologue. Ce qui m’allait parfaitement, car je n’arriverais pas à vivre une vie ordinaire sans... Alors monsieur Meunier, est-ce assez précis pour vous, ou je dois en rajouter ?
P.M. : Non c’est parfait merci. (Se lève sert la main au prof Andrews et quitte.)
Au départ, quand j’ai décidé d’interviewer le professeur Andrews, c’était pour calmer ma culpabilité. Je me disais que si je racontais aux gens ce qui s’était réellement passé, le spectre de Brenda MacAfferty arrêterait de me suivre partout où j’allais. Puis, plus j’écoutais le professeur Andrews et plus je notais ce qu’il me récitait (comme si c’était une pièce de théâtre pour ne pas perdre l’essentiel de l’action), plus je croyais que cet article pourrait peut-être gagner un prix (peut-être pas un prix Pulitzer, mais qui sait ?). Par contre, lorsque je suis sorti de ma rencontre avec le professeur Andrews, j’étais plus troublé que je voulais me l’admettre. J’ai relu ce que j’ai écrit deux ou trois fois avant de finalement décider de brûler cette dissertation. Je me disais que le monde n’était pas prêt et ne voulait pas savoir et que le monde ne pouvait pas être au courant. J’ai alors brûlé ce texte et je me suis enfermé dans ma chambre pendant trois semaines. L’homme, qui en est sorti trois semaines plus tard, était un homme complètement différent.
Fin
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techkrunsh · 8 years
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5 trucs pour améliorer le référencement d’un site
Bien souvent, les entreprises qui ont créé un site internet il y a plus de 2 ans (ou qui l’ont réalisé en interne ou encore qui ont utilisé un générateur de site Web), se retrouvent avec un site qui n’apparaît pas dans les premières positions dans les résultats Google… Ou s’il apparaît c’est dans la plupart des cas sur la deuxième page pour les mots clés essentiels pour son activité. Autant dire qu’un tel site est quasi-invisible sur les moteurs de recherches.
Dans ce cas il y a 2 solutions, soit tout refaire, soit procéder à une optimisation du site internet pour améliorer son positionnement du mieux possible…
La meilleure solution peut être parfois de refaire le site (voire même de prendre un nouveau nom de domaine), mais parfois un tel site est bien placé sur quelques expressions, et le plus souvent les contraintes de temps et de budget poussent à réfléchir à une optimisation du site actuel pour le référencement naturel.
Voici donc 5 astuces pour améliorer le référencement d’un site internet sans tout refaire de A à Z :
1- Ajouter du contenu:
Cela peut sembler une évidence, mais la meilleure solution pour améliorer son classement dans Google c’est tout simplement d’écrire plus de texte et en publier du nouveau plus souvent. En effet un critère majeur pour être bien placé sur Google c’est un contenu important et régulièrement mis à jour.
Le but n’est pas de faire un page avec tous ses mots clés répétés plusieurs fois mais d’écrire 1 page pour chaque expression ou des mots clés précis. Chaque page doit être créée et optimisée spécialement pour 1 expression / mot clés : dans le nom du fichier HTML de la page, dans le titre de la page, dans la taille des caractères (H1, H2…), dans la mise en valeur (gras…)…
Attention, à ne pas perdre du temps pour rien…. Il faut créer des pages spécifiques que sur les mots clés qui en valent la peine (= mots clés pertinents pour votre site, et surtout ceux qui apportent du trafic), sinon vous allez passer des heures pour des mots clés recherchés qu’une dizaine de fois par mois…
Pour identifier le potentiel de chaque mot clés et expressions, utilisez les outils d’évaluation de requêtes de mots clés comme celui de SEOBook qui permet d’obtenir une estimation du nombre de recherches sur un mot clé donné sur Google, Yahoo…
Il vous suffit de taper dans cet outil votre mot clé principal (ici conseils marketing), choisir le pays, et Seobook.com vous donnera le nombre de recherches totales estimées par mois pour les expressions connexes sur les principaux moteurs de recherches.
Attention les estimations pour Google ne sont vraiment qu’indicatives d’une tendance, car elles sont estimées à partir des recherches de Yahoo, or en France Yahoo ne représente 3,18% des visites en France et Google 90%.
Dans cet exemple sur les mots clés “Conseils marketing”, on peut voir que cette requête est bien N°1 (il est donc pertinente d’avoir une page spécifique), mais qu’un autre mot clé sur lequel il serait pertinent d’apparaître serait “Conseil marketing entreprise” (1565 recherches), “Agence conseil web marketing” (1313)…
Bien entendu, avant de décider quoi faire, vous devez tester votre site sur chacune des expressions les plus recherchées.
Par exemple sur l’expression N°2 “conseil marketing entreprise” on peut voir sur Google que ConseilsMarketing.fr n’apparaît pas… il y a donc un travail d’optimisation à effectuer.
Cette optimisation est simple : – Si vous avez déjà une page dédiée à un mot clé/expression important en nombre de recherches, mais pour lequel votre site n’apparaît pas en premier dans Google, vous devez écrire du texte supplémentaire en ajoutant des mots clés nécessaires (attention : il faut écrire pour le lecteur PAS pour google, ses algorithmes détecteraient la supercherie…). – Si vous avez une page dédiée à un mot clé où vous êtes déjà bien placé, mieux vaut ne rien faire… vous risqueriez de changer votre classement dans Google. – Pour les mots clés importants pour lesquels vous n’avez pas de page spécifique, il faut tout simplement la créer… et faire du contenu autour de ce mot clé spécifique (dans cet exemple il faut donc faire un article sur conseilsmarketing avec les mots clés “conseils marketing entreprise” en titre et dans le texte car c’est un volume important et aucune page du site n’y est encore dédiée).
Bien entendu, vous pouvez générer des pages HTML classiques pour chacun de ces mots… Mais l’idéal pour générer ce genre de contenus, c’est de créer un blog dans un sous répertoire du site (ex: monsite.com/blog). Cela permettra de renforcer le site avec le contenu du blog. En effet si vous le mettez en sous domaine (ex: blog.monsite.com) l’apport en articles et en mots clés profitera moins au site principal, et encore moins si vous l’hébergez dans une autre plateforme (ex: monsite.blogger.com) car dans ce cas le contenu du blog est totalement séparé du site principal.
Le second intérêt d’un blog c’est qu’il est généralement très bien conçu pour le référencement, et surtout qu’il il permet d’écrire très rapidement du texte.
La seule contrainte de cette technique, c’est d’inclure dans la navigation du site des nouvelles pages faites pour Google (on peut facilement arriver à 20 ou 40 pages en cas d’optimisation sur les mots clés et expression essentielles).
Et bien, les spécialistes du référencement on trouvé la solution : il suffit d’utiliser la technique des pages “éditos” (ou encore appelées pages “annuaires” ou pages de “de renforcement de contenu”). Ces pages spécialement conçues pour le référencement sont intégrées dans la structure du site MAIS dans une navigation difficile à atteindre “naturellement”.
C’est pages sont uniquement très visibles sur Google pour attirer ainsi du trafic, puis une fois sur le site, ces pages renvoient très rapidement l’internaute dans les parties “normales” du site internet. La technique c’est de mettre en haut de pages plusieurs phrases avec les expressions ciblées, puis de renvoyer juste en dessous sur les pages produits du site.
Souvent il arrive même que le texte de ces pages n’est pas vraiment très “passionnant” (même s’il est quand même pertinent), mais il sert surtout à attirer les moteurs de recherches (l’exemple le plus classique c’est la définition de mots clés…). Généralement ce genre de pages sont écrites par des stagiaires, voire même la web agency elle-même !
Attention: il ne faut pas oublier que ces pages doivent absolument être liées au site, c’est-à-dire accessible dans la navigation du site (lien dans l’index.html), et généralement accessible via la home page. L’astuce sera de les cacher (ex: un lien en haut à droite en tout petit, dans un menu “plan du site”, définition, notre métier…).
Pour information cette technique est dérivée des la technique des pages “satellites” qui avait le même objectif, sauf que ces pages n’étaient pas reliées au site en lui-même (d’où le nom page satellites car non reliées au site Web). Les pages satellites ont été très populaires il y a 4 ou 5 ans, mais Google a mis de l’odre dans tout cela et a sévèrement puni les sites qui appliquaient cette astuces…
C’est pourquoi il faut faire absolument un usage modéré de des pages optimisées pour le référencement, car un jour Google va réussir à les identifier, et ce jour là des millions de sites (dont le votre) vont se retrouver déclassés du jour au lendemain.
En effet il ne faut pas douter que Google sait déjà identifier ces pages “portes d’entrée” spécialement optimisées, qui se situent en dehors de la navigation naturelle du site et avec des textes optimisées pour le référencement naturel (répétition de mots clés, densité…). C’est qu’une question de temps pour que le couperet ne tombe.
C’est pourquoi tout bon webmaster doit veiller à ne pas être dépendant de cette technique et intégrer du contenu “réel” via un blog d’entreprise (voir notre article “Comment monter un blog Pro” faire).
Néanmoins en attendant, l’effet de cette technique est parfois bluffant: votre le site peut faire un bond surprenant dans les moteurs de recherches rien qu’en créant 3 ou 4 pages spécifiques sur votre site Web !
2 – Revoir la hiérarchie du site
Google analyse les sites internet selon un algorithme. Et donc plus cette analyse sera facile et logique, plus votre site sera bien analysé par Google…
La logique veut que si on a un thème important, il en découle que de nombreuses pages de ce site doivent parler de ce thème… Et toujours en étant logique, plus il y a des pages sur un thème, plus la page à l’origine de ces pages “filles” sur ce thème particulier sera pertinent sur ce même thème.
Avec Google c’est pareil: une page mère sur un thème reçoit toute la puissance des pages filles qui sont derrière.
Par exemple si un de vos thèmes principaux c’est le marketing, plus vous aurez de pages “filles” derrière sur des déclinaisons du marketing (ex: marketing interactif, web marketing…), plus votre site au global sera considéré comme pertinent sur le mot clé “marketing” par Google.
Il en découle 2 conséquences: – Créer une page mère avec le thème principal, puis y relier le plus possible de pages “filles” qui détaillent les différents aspects de ce thème. – Mettre en place une structure qui permette un renforcement sur le thème principal des pages filles vers les pages mères.
Pour cela vous devez vérifier que votre site respecte une hiérarchie de l’information “logique” qui sera compréhensible par Google.
Voici un exemple
Index Thème A Sous catégorie du thème A1 Contenu thème A1 sur les mots clés XXX Contenu thème A1 sur les mots clés ZZZ Contenu thème A1 sur les mots clés EEE Sous catégorie du thème A2 Contenu thème A2 sur les mots clés RRR Thème B Thème C Plan du site
De cette manière vous êtes sur que Google va “crawler” facilement entre toutes les pages, en passant par toutes les étapes et qu’il comprendra bien quel est les thèmes principaux de votre site…
Et au contraire, si votre site actuel n’est pas conçu de cette manière (ex: on passe de l’index directement aux pages de Contenu XXX, ZZZZ et EEE) Google sera perdu et ne verra pas les liens entre ces pages et quel est votre thème principal.
En pratique, cela revient à créer des pages de navigation interne, et revoir les titres et mots clés utilisés (cf partie 1 de cet article).
A noter : si vous changez la structure du site (suppression et ajout de pages…), attention à ne pas provoquer des désastres… Google et les visiteurs pouvant être perdus, des pages essentielles pouvant ��tre perdues… Il faudra donc modifier le fichier htaccess avec des redirections 404 et 301 (voir http://www.outil-webmaster.fr/navigation-bp32.html ) pour expliquer à Google qu’une page a été remplacée ) par une autre.
3 – Mettre un plan du site et un sitemaps
Le plan du site à 2 utilités: – Aider vos internautes à retrouver les rubriques plus rapidement – Faire “remonter” (= rendre plus pertinentes) des pages avec des mots clés importants pour votre entreprise.
En effet Google estime que plus une page est “haute” dans la structure du site, plus elle est importante… ce qui est “logique” dans la mesure où logiquement on commence du plus important au moins important (et donc du plus synthétique au plus complet).
C’est pourquoi Google attribuera une meilleure “notation” aux pages mises en premier sur un site, et au contraire considérera les pages “lointaines” (= il faut passer par 1 ou 2 pages pour y arriver) dans la navigation comme moins importantes.
En pratique, il suffit de mettre une page “Plan du site” directement sur la home page, et de lier à cette page les sous pages les plus importantes pour vous (attention faire un maximum 100 liens, et d’ailleurs moins il y en a, mieux c’est… en mettre 20 à 30 serait une bonne moyenne).
Une fois que le site est bien architecturé, il est temps de refaire un sitemaps. Le sitemaps “explique” à Google toutes les pages sur le site et sa structure afin d’être sûr qu’aucune page importante n’est oubliée lors de la vérification.
Pour faire un Sitemaps, il suffit d’aller sur le site de google Webmaster tools (www.google.com/webmasters/tools), et d’indiquer l’adresse de son fichier sitemaps. Pour voir un exemple, visitez la page “sitemaps” de ConseilsMarketing.fr : http://www.conseilsmarketing.fr/sitemap.xml
A noter: si vous avez acheté plusieurs noms de domaines (ex: mot1-mot2.com et mot2-mot1.com), il faut vérifier qu’il n’y en ait qu’un seul qui pointe vers le site réel, les autres étant redirigés vers le nom de domaine principal (redirection 301 voir http://www.webrankinfo.com/forums/viewtopic_2972.htm et http://www.outil-webmaster.fr/nom-domaine-bp19.html ). C’est la même chose pour les redirections d’un même nom de domaine avec ou sans www. (ex: http://www.mot1-mot2 et http://mot1-mot2 ne doivent pas tous les deux pointer vers l’index du site).
Attention aux URL dupliqués involontairement… une erreur classique est de faire une URL spécifique pour mesurer le taux de retour depuis un site partenaire (ex: http://www.monsite.com/produit1.php?provenance=partenaire)… Il faut préférer une page directe spécifique sans paramètre avec un contenu différent.
4- Optimiser les titres et les balises des pages.
Il faut que le contenu de chaque page soit spécifique avec une optimisation :
– du nom du fichier HTML: il faut que le nom du fichier veuille dire quelque chose et qu’il contienne les mots clés le caractérisant. Il ne faut pas nommer sa page “produit1-bleu.htm” mais plutôt “crème-jour-lavande.htm”. – du titre de la page : la balise Title doit être unique pour chaque page (entre 5 et 10 mots, et moins de 100 caractères !). Rappelez-vous que vous devez écrire les titres pour des lecteurs (et pas pour Google), et que les phrases de plus de 10 mots dans la vie réelle sont rares, donc faites pareil avec vos titre de pages ! Notez que si les mots de/la/à… ne comptent pas dans les mots, mais qu’ils comptent dans le nombre de caractères. Bien entendu pour faciliter le travail de google, il faut mettre la balise title le plus haut possible (en dessous de la balise HEAD).
– des balises contend / keywords : y mettre quelques mots clés uniquement, même si elles sont moins importantes dans le classement par Google. Cela ne prend pas beaucoup de temps, et c’est toujours mieux d’avoir une cohérence dans toute la page HTML.
– les ancres des liens doivent contenir les mots clés pour les pages qui les concernent. Par exemple si vous ajoutez un lien vers une page qui contient des platines DJ de luxe, ne pas mettre comme texte de lien “modèles de luxe” mais “Platines DJ haut de gamme”. Une erreur classique c’est de mettre un lien du genre “cliquez-ici” pour arriver à une page… Il faut également retenir que les mots clés dans ces liens caractérisent également les pages qui s’y rapportent. Par exemple si Google voit un lien marqué “conseils marketing” il comprendra mal que la page liée parle de voitures de sport. Or, il sera parfois plus pertinent de mettre des mots clés importants comme “conseil marketing entreprise”.
– les textes alternatifs des images et des liens : ces textes sont également à remplir (ALT text) avec des informations sur le thème de la page et la description de l’image.
Il est également important de revoir les images et les animations flash du site car pour l’instant Google sait très mal interpréter ces données. Il faut donc les supprimer et les remplacer par du texte (ex: remplacer un tableau en image par un tableau en HTML, mettre des menus avec du texte et non pas des boutons images,…).
Dans le cas où les images ou la présentation flash sont non remplaçables par du texte (ex: animation…) il faut au moinsremettre le texte explicatif en doublon en dessous des animations.
5- Obtenir des liens (backlinks) de sites pertinents et influents.
La première chose à retenir c’est qu’obtenir des liens de sites annuaires ou de sites sans rapport à votre activité est une perte de temps. Vous allez vous épuiser pour des sites avec peu de trafic ou proposant des liens qui sont notés comme peu importants dans Google.
Vous devez donc vous concentrer sur les sites influents (et si possible dans les sites influents dans votre domaine d’activité).
Cela peut passer par une citation dans les Blogs les plus influents (voir des listes de Top blogs http://www.wikio.fr/blogs/top http://widget.criteo.com/transverse/AutoRollTop?m1=top&m2=2 …), avoir un lien sur les sites de ses partenaires et clients…
Mais attention, il faut retenir qu’un webmaster n’a aucun intérêt à échanger des liens: l’échange de lien à outrance est pénalisé par google, et aussi qu’un lien réciproque a beaucoup moins de valeur aux yeux de Google qu’un lien unidirectionnel (= un site fait un lien vers vous, mais vous ne faites rien).
A l’idéal il faut faire en sorte que cela soit vos produits/services ou vos articles de blogs qui attirent naturellement les webmasters à faire des liens vers votre site.
Néanmoins il existe d’autres solutions pour obtenir ces précieux backlinks: – publier des news intéressantes dans les Diggs like (mais il faut que votre contenu soit intéressant et à forte valeur ajoutée) – se faire référencer dans les moteurs de recherches majeurs (voir notre article Bien référencer son site). – mettre en place un partenariat entre un site influent dans votre secteur. – utiliser la technique de l’affiliation pour obtenir des liens de nombreux petits sites (les petits ruisseaux qui font les grosses rivières). – intervenir dans des forums et blogs qui acceptent les blacklinks – …
Pour en savoir plus vous pouvez consulter votre article sur le référencement d’un site Web.
Il existe aussi la technique du reverse Backlink: c’est tout simplement faire des liens de son site vers des sites de référence. Par exemple faire des liens vers Wikipedia, Google, l’administration française… valorisera votre site et donc vous permettra d’être mieux noté par Google.
Remarque: – obtenir trop de backlinks trop rapidement entraine une pénalisation par google. – demandez à vos partenaires de faire un lien vers la rubrique précise dont ils doivent parler (et non pas votre home page). N’oubliez pas aussi de leur demander de nommer ce lien avec les mots clés sur le thème de votre site. Mauvais exemple <a href=http://www.monsite.com> Le site officiel</a> Bon exemple <a href=http://www.monsite.com/produit1.html>Les Produit1 de Monsite</a> – certains sites vous proposent d’échanger des liens en mettant en avant leur PageRank… Ne prenez pas en compte le classement PageRank, c’est uniquement à titre indicatif, cela ne donne pas la vrai valeur de la qualité du lien. – Mettre un lien texte a plus de valeur qu’un lien “image” (=on clique sur un bouton pour arriver sur votre site). – Plus un lien est placé haut, plus il sera pertinent… demandez donc à ce qu’il soit en haut de la page et non pas en bas (erreur classique: mettre le lien dans le footer des pages qui sont présents des dizaines de fois sur les pages du site). – Obtenir 50 liens avec un même site ne sert à rien… 1 lien suffit, une dizaine est déjà trop.
Voici une sélection de liens sur l’optimisation d’un site Web: – Le blog Synodiance sur la création de contenu. – Les plans de sites sur www.Outil-Webmaster.fr.
Frédéric CANEVET est expert en Marketing Produits et Digital depuis plus de 15 ans.
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