#il a arrêté d'être modo après un moment
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jezatalks · 5 months ago
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Ça faisait un moment que je tournais autour du pot à supprimer un ex ami de ma liste. On ne se parle plus depuis août. (Celui qui dit que "j'en fais trop car t'es autiste"). Et euh. Je viens de voir son profil discord...
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Hop ça dégage. Bon débarras.
Ce qui me fait peur. C'est qu'à mon retour en France je risque de le recroiser à Japan Tours chaque année.
Et mon meilleur ami a commencé sa transition depuis quelques mois. Avant ils étaient potes jusqu'à ce qu'on clash (raison écrite au dessus). Et donc déjà l'année dernière quand mon meilleur ami demandait à être appelé par le raccourci de son prénom qui est neutre, il l'appelait par son prénom de naissance...
J'ai peur pour lui :((
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12-edition · 7 months ago
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Ma version de toi, chapitre premier.
[Publication originale : 12 mars 2024]
Je vais vous parler d’une femme que j’aime beaucoup, enfin, non pas vraiment je vais vous parler de la version d’elle que je me suis créer. En fait, je ne la connais pas tant que ça, j’ai du passer grosso modo un ou deux mois en sa compagnie, mais ces moments resteront en moi pour toujours. C’est une des ces personnes que vous croisez rapidement sans savoir qu’elles vont marquer votre vie pour toujours.
Précédemment je lui écrivais directement, mais quand je me suis aperçu que c’était à sens unique, j’ai arrêté, j’espère tout de même qu’elle a compris a quelle point je n’ai pas menti à propos de ce que j’ai dit sur elle et sur mes sentiments, chaque mots a été mûrement réfléchi, chaque chansons représente mon état d’esprit, j’espère que je n’ai pas fait tout ça pour rien. Mais ont peut difficilement sauver quelqu’un qui a décidé d’arrêter de vivre et qui ne veut pas d’aide. Je crois malheureusement qu'elle a arrêté de vivre, elle ne ressent plus rien, elle est comme une coquille vide, une bouteille à la mer sans message à l’intérieur, elle dérive. Je me bats pour exister à ses yeux, j’ai besoin d’elle, j’ai envie d’elle, mais ça ne sert à rien parce que c’est à sens unique, elle a décidé de ne plus rien vivre.
Quoi qu’il en soit, j’ai besoin d'écrire sur elle, d’une manière ou d’une autre, elle m’inspire de l’écrit. J’ai eu besoin d’un peu de temps pour trouver une autre façon de le faire, et j’ai décidé de vous en parler.
Je l’ai rencontré, il y a longtemps maintenant, dans une contrée qui n’existe plus aujourd’hui, la contrée de l’oiseau bleue, là-bas, j’avais une activité de colporteur de news sur l’univers Kaamelott, j’ai rencontré des amis, des amis que je croyais être sincère mais je me trompais, et il y avait elle, au début nous parlions très occasionnellement, puis petit à petit, je ne me rappelle plus vraiment comment c’est arrivé, mais nous nous sommes rapprochés, elle était seule et malheureuse, elle avait besoin d’aide, à cette époque j’étais bien naïf et je me suis dit que je pourrais l’aider. J’ai appris à la connaître, à l’aimer, doucement, nous passions des nuits à parler de tout et de rien, j’avais l’impression qu’elle allait mieux, ou tout du moins qu’elle allait bien quand nous étions ensemble, j'avais l'impression d'être utile à quelqu'un. Au même moment avec quelques amis nous avions créé un groupe de conversation sur Kaamelott, j’ai beaucoup aimé cette période, elle m'a donné confiance en moi, j’avais des amis, une meilleure amie avec qui parler, presque une compagne, je pensais que ça allait durer pour toujours, un mirage de l’esprit.
Comme souvent quand on fait des rencontres, on fait des projets, une rencontre a été organisé lors d’un rendez-vous de fans, à la base elle ne devait pas venir, à la base je ne voulais pas qu’elle vienne, mais elle a insisté, et je ne regrette absolument pas d’avoir fait sa rencontre en réel, mais je ne me doutais pas que j’allais la perdre aussitôt après. Il est vrai que je ne me suis pas comportée de la meilleure des manières. Lors de notre première rencontre, j’étais très stressé, c’est ma nature, mais curieusement le contact c’est fait très naturellement, ça collé entre nous, quelque chose que je n’aurais jamais imaginé. Ces moments sont gravés en moi, pour toujours comme tous les moments passés avec elle. Le reste de la rencontre je ne me suis pas très bien comporté, j’ai juste réalisé que je voulais passer du temps avec elle, et pas forcément avec les autres, je l’avoue, mais j’ai encore passé des moments incroyables avec elle, main dans la main.
Je ne pensais pas que ce serait la presque dernière fois que je serais en sa compagnie, mais j’aurais dû m’en douter à cause de mon comportement.
Ce que je ne savais pas c’est qu’il y avait un ver dans fruit dès le début, un ver qui allait détruire le groupe, nos vies, et tout ce que j’aimais. Le créateur du groupe avait ses propres desseins dans l’affaire et surtout il mentait comme un arracheur de dents, c’est vrai que certains détails sur sa vie avez l’air assez curieux mais je pense que tout les autres membres s’en moquer un peu, du moment que l’ont passé des moments, ce qui était le cas. Mais petit à petit il s’est rapproché de la femme que j’aimais, même si à l’époque je n’en avais pas conscience. Il m’a vite éloigné du groupe comme un malpropre, personne n’a rien dit, même moi, j’imagine que nous étions tous un peu ensorcelés. En un temps infiniment court je me suis retrouvé seul, sans rien, n’y personne, plus ces gens que je considérais comme des amis, et surtout plus elle, je venais de la perdre à tout jamais, sans espoir de la retrouver. L’espace d’un instant j’ai décidé d'en finir, mais je me suis repris, j’ai continué ma route, cassé, sans repères et seul. Je n’en ai jamais parlé à personne, personne n’aurait compris. J’ai essayé plusieurs fois de reprendre contact avec elle sans succès, elle m’envoyer balader, je cherchais ce que j’avais bien pu faire pour mériter ça, je n’ai jamais vraiment trouvé, avec le temps je me suis fait une raison mais je ne l’ai jamais laissé tomber, même à distance. Comme elle n’était plus là, je suis passé par différent stade, celui où je l’a voyait partout, le moindre détails me rappeler ce qu’elle était, une période compliqué, que je préfère laisser derrière, puis j’ai décidé de ne plus me battre pour l’oublier et des versions aléatoires d’elle m’ont accompagné depuis ce moment là.
Certains facettes de sa personnalité ont trouvé une résonance avec d'autres personnes, sa voix qui me plaisait tant, à était remplacé par les voix de Dido et surtout Adèle, son côté charnel a trouvé une résonance avec Chanel Preston, son côté sentimental correspond un peu aux rôles de Scarlett, et le fait qu'elle partage souvent des photos de Katheryn Winnick joue aussi, elle est un mélange de tout cela, avec son caractère à elle au centre, c'est le plus important, ça peut paraître ridicule mais ces versions d'elle vivent en moi, c'est pour ça que j'écris ici, pour les faires vivre, pour la faire vivre, elle a peut être décider d'arrêter, mais je ne suis pas de cet avis. C'est une fille géniale, elle n'en a juste pas conscience, elle se dévalorise trop, je sais ce que c'est, je fais pareil. J'ai besoin de la faire vivre. Dans les prochains chapitres je partagerais des histoires inspirées avec ces versions d'elle.
Pour A.
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payetongyneco-blog · 7 years ago
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Bonjour,
j'ai 25 ans et je suis "sexuellement active" depuis l'âge de mes 15 ans. Depuis cet âge j'ai vu 4 gynécologues différentes, cela représente grosso modo le nombre de rendez-vous que j'ai eu. En dehors de la première gynécologue consultée que j'ai vu peut-être 3/4 fois, je n'ai pas vraiment eu de suivi par un.e. seul.e. gynécologue en raison de mes mauvaises expériences avec eux ou de problèmes de disponibilité. Dès le lycée je me suis rendue chez une première gynécologue en raison de quelques pertes de sang que pouvaient générer des efforts physiques (en sport etc.). Dès la première consultation je me suis retrouvée, sans avoir été prévenue, à subir un touché rectal... Sa technique, assez classique dans le monde médical, fût de me parler pour me distraire et de pratiquer l'examen sans m'en avertir. Je me souviens encore de la violence que j'ai ressenti par cette pratique. J'ai eu le sentiment de vivre une trahison. Cette gynécologue s'est avérée également très borderline quant aux règles d'hygiène. Par exemple je me souviens très qu'elle a nettoyé ses lunettes et touchés différents objets de son cabinet tout en portant les gants qu'elle allait utiliser pour pratiquer les examens. Elle m'a fait passer une échographie abdominale dans son cabinet une fois et m'a demandé de boire 1L d'eau et de ne pas uriner 1h ou 30 min avant. J'étais jeune, c'était mon premier examen de ce type et je n'ai pas bu assez d'eau ou je suis retournée une dernière fois aux toilettes trop tard avant l'examen. Quand je suis arrivée au cabinet et qu'elle a voulu pratiqué l'échographie elle m'a engueulé, mais vraiment engueulé, parce qu'il n'y avait pas assez d'eau dans ma vessie, qui était quand même sur le point d'exploser, pour voir correctement. Du coup elle m'a prescrit une échographique abdominale mais pratiquée en centre radiologique.
Lors de cette échographie abdominale en centre radiologique, le praticien qui m'a pratiqué l'examen a demandé à ma mère de rester lors de l'examen parce que de nombreuses jeunes filles avaient portées plaintes pour agression sexuelle ou viol. Je me souviens qu'il avait expliqué que ces accusations étaient pour la plupart mensongères (ahem, cf tous les témoignages actuels sur les violences subies...). C'était pour protéger les praticiens, et non les patientes. Ils demandaient à ce qu'un adulte soit présent pour des examens sur mineurs. Je me suis donc retrouvée vers 14-15 ans à me faire ausculter devant ma mère, il n'y avait aucune organisation spatiale qui permettait de préserver mon intimité. Je pense qu'installer un paravent ne leur aurait pas coûté trop cher mais comme l'objectif était de le "protéger" lui, et non les patientes mineures, ton intimité et ta dignité tu peux les oublier. Quelques fois je me dis que j'ai eu de la chance que ce soit ma mère qui m'ait accompagné et non mon père...
Vers 16 ans, j'ai pris un rendez-vous avec une deuxième gynécologue pas trop mal et à qui j'ai demandé une pilule parce que j'avais des douleurs très violentes lors de mes règles, que j'ai toujours d'ailleurs, et un petit copain depuis presque deux ans. J'ai eu une première pilule qui m'a été changé pour la Diane. J'ai eu des effets secondaires horribles: prise de poids, dépression, sautes d'humeur, migraines, etc... Très peu de temps après je me suis séparée de mon copain et j'ai décidé d'arrêter la pilule parce que je n'en pouvais plus et que je ne voyais plus l'utilité de la prendre avec ma récente rupture. Depuis ce moment je n'utilise que le préservatif. En deuxième année de fac, je me suis dit que ce serait pas mal que je retourne voir cette gynécologue que j'avais trouvé plutôt à l'écoute et compréhensive pour faire mon premier frottis. Sauf que je suis tombée sur une remplaçante avec qui ça s'est très mal passée. Elle m'a posé les questions de routine, je lui ai donc dit que j'étais avec quelqu'un depuis presque un an, que j'avais déjà pris la pilule mais que j'avais assez vite arrêté parce que mes effets secondaires étaient violents, que j'avais consulté des médecins et gynécologues pour mes douleurs de ventre mais que personne n'avait réussi à en trouver la raison et à me prescrire quelque chose d'efficace. Elle a trouvé judicieux de m'engueuler en me disant qu'à mon âge c'était scandaleux que je n'ai aucun moyen de contraception et que si elle avait été ma mère, ça ferait bien longtemps qu'elle m'aurait forcé à prendre un moyen de contraception (sous-entendu hormonal, parce que la capote c'est bien connu ça ne compte pas, c'est pour les inconstants). J'avais mes règles à ce moment et je ne savais pas qu'on ne pouvait pas pratiquer un frottis en même temps. Elle n'a même pas essayé de me l'expliquer, elle m'a juste méprisé pour mon absence de connaissance à ce sujet et m'a prescrit un implant hormonal qui m'empêcherait d'avoir mes règles parce que quand même, fallait arrêter de déconner maintenant et grandir un peu. Je rappelle qu'a aucun moment je n'étais venue pour qu'elle me prescrive un contraceptif hormonal, j'étais simplement venue pour un frottis...
Jusqu'à l'année dernière, je n'étais pas retournée voir de gynécologue. Ne trouvant pas d'alternatives sur le long terme à mes douleurs, et supportant de moins en moins les médicaments anti-douleurs, j'ai décidé de me tourner vers une spécialiste de l'endométriose. Ayant regardée ses interventions à ce sujet dans différents médias et m'étant renseignés de mon côté, j'avais lu que c'était une maladie difficilement diagnostiquée parce que peu connue, que les douleurs étaient souvent niées parce qu'on part du principe que la personne surjoue et exagère toujours sur son état, ce qui m'est bien évidemment arrivée, jusqu'à ce que je prenne conscience il y a un an que non, avoir mal, ce n'est pas normal. J'y suis allée en me disant que cette femme avait fait d'une maladie déconsidérée son cheval de bataille et que du coup elle serait compréhensive et à l'écoute. QUE NENNI! Elle m'a proposé de prendre la pilule le temps de faire un diagnostique et je lui ai dit que je ne voulais pas de moyen de contraception hormonal, que je m'en sortais très bien sans et que j'étais plutôt branchée médecine douce et alternative. Ce à quoi elle a jugé bon de me dire que "Quand même, vous vous réveillez vachement tard pour vous faire soigner et vous auriez pu chercher des solutions depuis le temps". L'endométriose n'est pas une maladie facilement diagnostiquée parce que nous ne prenons pas au sérieux les douleurs des femmes, ce qui leur donnent l'impression d'être illégitimes lorsqu'elles parlent de leurs douleurs... Personne n'a jamais trouvé d'explications à mes douleurs, parce que les médecins ne sont pas formés pour les prendre en considération. Je pensais pouvoir sortir la tête de l'eau et ne plus être une loque 2 semaines par mois. Et c'est marrant parce qu'en allant la voir elle, la spécialiste, je n'ai pas eu du tout l'impression d'être considérée comme légitime. Je n'ai pas sorti la tête de l'eau. En plus, l'examen vaginal qu'elle m'a pratiqué fût extrêmement inconfortable: elle n'avait pas compris que j'avais mes règles et que j'avais ma cup, du coup elle a du me la retirer pendant l'examen (1er moment gênant), ensuite elle a essayé de voir si j'avais un kyste mais comme j'étais tendue pas notre conversation et mes antécédents, elle avait du mal à pratiquer l'examen, donc elle m'a sèchement réprimandé parce que je ne me laissais pas faire et finalement elle a abandonné en me disant que je ne facilitais pas l'examen (elle me l'a répété plusieurs fois). Du coup elle m'a prescrit une écho pelvienne. A la fin de l'examen, je souhaite remettre ma cup, le problème c'est qu'il n'y a pas de paravent. Je me retrouve donc accroupie au milieu de la pièce pour la remettre...
J'ai décidé de ne pas retourner voir cette gynécologue, bien qu'elle soit spécialiste de la maladie. Je ne supporte plus d'être déconsidérée et engueulée comme une enfant pour des choix que je fais en tant qu'adulte et qui ne regardent que moi. Je suis tout de même allée faire l'échographie pelvienne, qui fut également une aventure.
La gynécologue m'avait annoncé que je devrais faire un lavement pour ce type d'examen. Pour être sûre des étapes à suivre j'appelle le centre de radiologie où je devais faire cette échographie. La secrétaire médicale m'explique que pour ce type d'examen je ne devais pas faire de lavement mais que je devais avoir la vessie pleine. Pour confirmer ses propres elle m'envoie une feuille officielle pour le protocole à suivre. Le jour J je bois donc 1L-1,5L d'eau et arrête d'aller aux toilettes à 11h, mon rendez-vous étant à 14h. J'arrive au centre, m'installe dans la salle d'attente et j'attends. J'attends longtemps... 1h30 de retard, je finis par aller voir les secrétaires pour leur expliquer la situation. Je leur demande si le retard est encore très importante car ma vessie et sur le point d'exploser. Et là, la secrétaire me regarde tout étonnée: je n'avais pas à avoir la vessie pleine pour ce type d'examen mais j'aurais pu faire un lavement.. J'ai donc tenu 3h30 la vessie pleine pour rien. Je me dépêche d'aller aux toilettes avant de tomber dans les pommes et de me faire dessus. Une fois que c'est à mon tour de passer, c'est un jeune stagiaire (genre 17-18 ans) qui me prend en charge pour me préparer à l'examen. Il me fait rentrer dans un couloir de cabines, qui donne dans la salle d'attente. Je retire le bas et garde ma tunique, je sors de la cabine pour poser une question au jeune homme et je me retrouve nez à nez, cul nu, avec un monsieur dans la salle d'attente qui a le réflexe de refermer très vite la porte... Le Docteur qui devait m'examinait a été extrêmement respectueuse. Elle a remonté les bretelles du jeune homme, m'a demandé de l'excuser pour les problèmes de désinformations sur le protocole que j'aurais du suivre en amont de l'examen et a fait ce que tout médecin devrait faire: elle m'a expliqué ce qu'elle allait faire, ce qu'elle faisait et ce qui apparaissait sur l'écran. Elle a été professionnelle et a fait preuve d'un minimum d'humanité.
Voilà ce que j'ai subi depuis mes 15 ans. Je ne suis pas la plus à plaindre, il suffit de lire les témoignages pour constater l'étendu des dégâts et le mépris avec lequel nous sommes traitées. La priorité est le confort du corps médical ce qui n'induit pas l'efficacité. De manière général, je ne suis pas pudique. J'ai eu différents problèmes de santé qui m'ont appris à ne pas être gênée par une auscultation, chez moi on parle de nos problèmes de santé sans honte. Nous sommes ouverts, il y a très peu de tabou. Pourtant, je n'arrive plus à tolérer les auscultations gynécologiques. Depuis mes 15 ans, je n'ai aucun suivi et je n'ai fait aucun examen de routine. Ce n'est parce que je suis quelqu'un d'irresponsable, je me renseigne énormément et essaye de trouver des solutions à mes problèmes. C'est parce que j'ai décidé de me protéger et de ne pas subir de violences sous prétexte que ma santé nécessite des examens que j'ai du mal à aller voir des gynécologues. J'ai énormément de mal à me projeter dans un futur avec des enfants. Ces violences ne sont peut-être pas la seule raison qui ont fait que je ne veux pas avoir d'enfants et que l'idée même d'être enceinte me provoque des angoisses terribles. Mais elles ont participé, je pense, à cette décision, plus je lis des témoignages, moins j'ai envie de m'engager dans cette voie. Il est évident que le corps médical est en sous-effectif. Cependant, cette situation ne peut justifier des violences disproportionnées. Les patient.e.s n'ont pas à subir de la violence symbolique ou physique.
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