#guillaume sergent
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clipstone · 6 months ago
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Guillaume Sergent
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Guillaume Sergent Premier Cru Les Prés Dieu Extra Brut Vrigny, Champagne 2020 100% Chardonnay
Guillaume is an oenologist, an expert in the science of wine and the techniques of wine making. His family have been growing vines around Vrigny since mid 19th century.
In 2008 he took over the family estate with his brother who sells his grapes to moet and chandon. These are serious grapes!
This champagne is a result of blending only Chardonnay grapes from two premier cru villages in Montagne de Reims, Champagne - Les Prés + Les Vignes Dieu.
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Prominent flavours are vibrant apple with florals, salinity and brioche.
It is a true expression of the terroir - it spends only four months in oak as Guillaume doesn’t want the delicate notes to be overwhelmed. Sweetness of champagne explained
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Champagne 101 - the grapes Champagne tends to be a blend of three main grape varieties. These are Pinot noir (orange and red fruit flavours), Pinot meunier (richness and yellow apple) and Chardonnay (citrus and marzipan).
Common styles of champagne include: 1. Non vintage - consistent house style wines 2. Blanc de blancs - 100% Chardonnay 3. Blanc de noirs - Pinot noir and Pinot meunier 4. Rosé 5. Vintage and special cuvée
Tasting notes: apple pie, apple blossom, caramel, buttered toast Pairing: seafood, fried food, desserts
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ulkaralakbarova · 9 months ago
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The government gets wind of a plot to destroy America involving a trio of nuclear weapons for which the whereabouts are unknown. It’s up to a seasoned interrogator and an FBI agent to find out exactly where the nukes are. Credits: TheMovieDb. Film Cast: Henry Harold ‘H’ Humphries: Samuel L. Jackson Agent Helen Brody: Carrie-Anne Moss Steven Arthur Younger: Michael Sheen Charles Thompson: Stephen Root Rina Humphries: Lora Kojovic Jack Saunders: Martin Donovan Agent Vincent: Gil Bellows Agent Leandro: Vincent Laresca Agent D.J Jackson: Brandon Routh Agent Phillips: Joshua Harto General Paulson: Holmes Osborne Col. Kerkmejian: Michael Rose Mr. Bradley: Randy Oglesby Alvarez: Benito Martinez Lubitchich: Sasha Roiz Winston: Dayo Ade Katie: Yara Shahidi Peter Humphries: Sayeed Shahidi Jehan Younger: Necar Zadegan Samura Younger: Jillian Bruno Ali Younger: Coby Seyrafi Major Pierce: Chris McGarry CNN Announcer: Angela Martinez ESPN Host: David E. Willis Young Sergent: Geoff Meed Observer: Kirk B.R. Woller TV News Announcer: Kelly Vaughn Announcer #2: Bill A. Jones Soldier: Phil Somerville Bomb Disposal Expert: Austin Nichols Pedestrian with Child: Delaine Yates Film Crew: Casting: John Papsidera Music: Graeme Revell Stunt Coordinator: Charles Croughwell Producer: Bill Perkins Producer: Marco Weber Director of Photography: Oliver Stapleton Line Producer: Samson Mucke Writer: Peter Woodward Visual Effects: Chris Ervin Key Hair Stylist: Robert L. Stevenson Producer: Caldecot Chubb Producer: Vanessa Coifman Editor: Scott Chestnut Director: Gregor Jordan Production Design: Steven Jones-Evans Key Makeup Artist: Francisco X. Pérez Makeup Department Head: Allan A. Apone Digital Intermediate: Keith Shaw Still Photographer: Dale Robinette Camera Operator: Chris Lombardi Art Direction: Nick Ralbovsky Visual Effects: Lucas Krost Costume Design: Danielle Hollowell Executive Producer: Vince Cirrincione Executive Producer: Rachel Rose Set Decoration: Amber Haley Gaffer: Jack English Costume Supervisor: Marisa Aboitiz Supervising Sound Editor: Chad J. Hughes ADR Supervisor: Angela Hemingway Sound Re-Recording Mixer: Jonathan Wales Music Editor: Ashley Revell Property Master: Guillaume DeLouche Special Effects Coordinator: William Dawson Script Supervisor: Tracy Scott Dolly Grip: Sam Stewart First Assistant Camera: Patrick McArdle Digital Intermediate: Brian Beard Key Grip: Patrick R. Heffernan Casting Associate: Jennifer Cram Lighting Technician: Jesse Mather Lighting Technician: Simone Perusse Prosthetic Makeup Artist: Brad Look Digital Intermediate: James Ahern Dolly Grip: Jeff Smith Construction Coordinator: Lars Petersen Movie Reviews: DoryDarko: Unthinkable raises a question which has been an issue for many people all over the world for a very long time, and especially since 9/11. This question is, is it ever justified to torture an individual to save the lives of many? And if the answer is yes, how far can you go? This issue is indeed a very sensitive subject and I think it takes guts for any filmmaker to put it out there in the open like Gregor Jordan did. Add to that the clever fact that he doesn’t actually make a choice, but rather lets the audience decide on whatever they want to think and feel, and you have a pretty gutsy and controversial concept. In a nutshell, this film is about a man of American descent who has become a Muslim and has now, as an act of terrorism, planted 3 nuclear bombs in 3 major American cities which will go off in four days. Screenwriter Peter Woodward made some very tactical decisions considering the characters in the story. They are all somewhat stereotypical, but this is no bother because they’re all there for a reason. Carrie-Anne Moss, as an FBI investigator, represents the conscience, the sensitivity and the struggle to make the right decision. Samuel L. Jackson is her polar opposite; the brutal, rational, stone cold “interrogator” who does what he does because he’s the only one who can and willing to do it. The means he is willing to go to in order to get his subject to talk ...
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furiefrancaise · 5 years ago
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🔥Colonel Antoine ARGOUD (1914-2004)🇫🇷
Né le 26 juin 1914 à Darney , dans les Vosges, Antoine Argoud, est admis à l'Ecole Polytechnique optant pour la carrière militaire et sort en 1934, à 20 ans, parmi les premiers de sa promotion.
Lors du désastre de 1940, il supporte mal l’effondrement militaire de la France devant la Wermacht. Il choisit de rallier au Maroc l'armée française que tente de reconstruire le général Weygand en Afrique du Nord plutôt que la France libre de de Gaulle.
Lors du débarquement allié en novembre 1942, chef d'escadrons, il rejoint la 2e division blindée de Leclerc, participe à la campagne de Tunisie, à la libération de la France et à la campagne d'Allemagne.
Diplomé de l'Ecole de guerre, il est affecté pendant trois ans à l’état-major de de Lattre qu'il admire, mais ne le suivra pas lorsqu'il sera nommé commandant en chef en Indochine, préférant se consacrer à l'arme blindée qui le passionne.
C'est Antoine Argoud qui apportera son talent à la création de la brigade “Javelot” au sein de la 7e division mécanique, première unité de l’armée française de l’ère atomique.
il est le plus jeune colonel de l'armée française lorsqu'il reçoit en 1956 le commandement du 3e régiment de chasseurs d'Afrique (RCA) stationné en Algérie dans le secteur de l’Arba.
Les contacts avec ses camarades revenant d'Indochine ont déjà révélé à Argoud la nécessité de répondre à la guérilla par des actions appropriées de contre-guérilla, très éloignées des modèles prévus dans les conflits classiques.
Il écrit à cette époque “ L’exemplarité est obtenue par la sévérité et la célérité. Il existe une justice pour les temps de paix et une législation pour les temps de guerre or nous sommes en temps de guerrre révolutionnaire ! ”, et va appliquer des méthodes expéditives qui vont impressionner les fellaghas et rassurer la population locale de L'Arba.
En 1957, à l'issue de son temps de commandement, il est éloigné de l'Algérie où son attitude dérange les politiques, pour un séjour au sein des forces françaises en Allemagne qui le tient à l’écart de la bataille d’Alger et du coup d’État du 13 mai 1958.
Il retrouve toutefois l'Algérie, en qualité de chef d’État-major du corps d’armée d’Alger sous les ordres du général Massu. Le 24 janvier 1960, Argoud est maintenu à son poste lors du limogeage de Massu et son remplacement par Crespin.
En première ligne lors de la journée des barricades, il est convaincu que ce soulèvement civil appuyé par des chefs militaires doit nécessairement provoquer un changement de politique de de Gaulle ou son départ du pouvoir.
Malgré une entrevue avec Michel Debré venu discrètement à Alger, le changement espéré ne viendra pas et Argoud est muté à Montpellier puis à Metz.
Le 21 avril 1961 c'est le Putsch. Le général Gardy et le colonel Argoud qui ont été envoyés par Challe à Oran pour persuader le général de Pouilly, chef du corps d’armée d’Oran, de rejoindre leur mouvement se retrouvent complètement isolés du fait du départ de la ville du général de Pouilly et du préfet d'Oran, de l'échec du Putsch à Alger et de la réddition du général Challe.
Argoud opte alors pour l’exil et la clandestinité et gagne l’Espagne.
Argoud est condamné à mort par contumace le 17 juillet 1961. A la demande du gouvernement français il est arrêté et interné par les espagnols aux Canaries.
Il s'en évade en février 1962, rallie le Conseil National de la Résistance (CNR) de Georges Bidault et Jacques Soustelle, entre en contact avec le capitaine Pierre Sergent et le lieutenant Godot, et devient le chef de l'Organisation Armée Secrète (OAS) en France. Il est en Allemagne, le 25 février 1963, lorsqu'une opération «Barbouzes», menée par les mafieux Boucheseiche et Renucci, l'enlève à la sortie de son hôtel à Munich et le ramène en France.Le colonel Argoud est à nouveau, condamné à la détention criminelle à perpétuité en décembre 1963 par la cour de sûreté de l’État. L’amnistie du 15 juin 1968 le libère. Il quitte la prison de la Santé pour gagner à pied son village de Darney dans les Vosges en passant par Colombey les deux Eglises.
Antoine Argoud va alors se consacrer à sa première passion : la graphologie. Il ouvre un cabinet et est consulté en qualité d'expert par le tribunal de Nancy. Il restera toujours fidèle à ses amis politiques et consacrera son bénévolat à la défense de ses compatriotes. En 1974, Il publie son unique livre, « La Décadence, l’Imposture, la Tragédie », ouvrage de mémoires autant qu’un manifeste contre la trahison gaulliste. Le colonel Antoine Argoud décède le 10 juin 2004, à 89 ans, à l'hopital de Vittel dans les Vosges. Il est inhumé dans son village natal à Darney.
Celui que l'écrivain pied noir Jean Brune qualifiait de dernier paladin du monde occidental a rejoint la petite phalange de ses camarades d'infortune et de fidélité, les colonels Gardes et Godard, le commandant Guillaume, le général Salan, et tous ceux qui, il y a un demi-siècle, on écrit cette page de l'histoire de la France.
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d-bovet · 3 years ago
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La famille de Bovet originaire du Dauphiné :
Source : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1119990/f301.item
Armes : d'azur à un boeuf passant d'or. Aliàs (d'après le règlement d'armoiries de 1819) : d'azur à un boeuf d'or passant sur une terrasse de sinople.
La famille de Bovet, originaire du Dauphiné, y est fort anciennement connue. Un de ses membres sollicita même sous Louis XV la faveur d'être admis aux honneurs de la Cour. On trouvera dans les manuscrits de Chérin, au mot Bouet, le rapport que le généalogiste des Ordres du Roi, chargé d'examiner cette requête, adressa le 2 juin 1763 au marquis de Béringhen. Ce rapport commence en ces termes : « On ignore l'origine de cette noblesse; elle parait néanmoins ancienne; mais, n'ayant point d'illustration, ni de possession de fiefs considérables, la privation de ces deux avantages ne lui permet pas de prouver son ancienneté. On trouve un Jean de Bovet sergent du Roi en 1333, qualité qui doit avoir été distinguée, puisqu'on la trouve à Guillaume de Roussillon et à Guillaume de Dicy en 1318. Le sceau de ce Jean Bovet au bas d'une quittance représente un boeuf ou taureau. Gaucelin Bovet donna aussi quittance de ses appointements de guerre l'an 1436. Son sceau représente un taureau. Le principal domicile de MM. Bovet a été au lieu de Crémieu, dans l'ancienne baronnie de la Tour du Pin, où noble Jean Bovet, fils d'un Étienne, épousa l'an 1437 Marie de Boenc, Lui ou un autre Jean Bovet est compris au rang des nobles et gentilshommes du Dauphiné dans les révisions qui en furent faites dans les années 1473 et 1484 et la vraisemblance donne lieu de croire qu'il fut le même que Jean Bovet dont le fils, nommé Zacharie, suit. Noble Zacharie Bovet, aussi établi à Crémieu, dans la baronnie de la Tour du Pin, et possédant des biens l'an 1483, rendit des services importants au dauphin Louis, connu depuis sous le titre de roi Louis XI. Ce prince le chargea de négociations l'an 1466 auprès du pape Paul II, comme le prouve une bulle de 1497 du pape Alexandre VI. Ce Zacharie vivait encore l'an 1507. Il laissa de Philippe de Brunel, sa femme, pour fils aîné noble Antoine Bovet, qui suit, et pour fils cadet noble Claude Bovet, auteur d'une branche connue sous la dénomination de seigneurs de la Bretonnière et divisée en deux rameaux dont l'un a suivi le parti des armes et l'autre a pris celui de la robe… ».
Le vicomte Révérend a d'autre part consacré une assez longue notice à la famille de Bovet dans son Annuaire de la Noblesse de 1891. On peut voir dans cette notice que Zacharie Bovet, mentionné plus haut, aurait été fils de Jean et d'Agnès de Vallin, petit-fils de Jean et de Marie de Boenc et arrière-petit-fils d'Etienne Bovet qui épousa Catherine d'Optevaz et qui aurait été lui-même fils de Jean Bovet et de Catherine de Virieu et petit-fils de Jean Bovet, écuyer, et d'Agathe Alleman.
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Les deux fils de Zacharie Bovet, Antoine et Claude, furent les auteurs de deux grandes branches.
Antoine de Bovet, auteur de la branche aînée, épousa dans les premières années du XVIe siècle Marguerite de Vallin, fille de Claude et de Claudine de Virieu. Leur fils, Pierre de Bovet, Sgr de la Tour de Moiras en 1580, marié à Gasparde de Rigaud de Rajat, en eut deux fils :
Pierre de Bovet, Sgr de la Tour de Moiras, qui épousa Françoise de Pingon de Prangin ;
Henri de Bovet de Moiras, qui épousa Marguerite de Buffilet.
Ces deux frères furent les auteurs de deux rameaux dont les représentants furent maintenus dans leur noblesse le 20 juillet 1667 par jugement de l'intendant Dugué. Le premier de ces deux rameaux s'éteignit en la personne de François de Bovet, né en 1745, savant égyptologue, évêque de Sisteron en 1789, archevêque de Toulouse en 1817, qui mourut à Paris en 1838. Ce prélat avait eu plusieurs neveux auxquels il survécut et dont l'un, Fabien de Bovet, né le 7 mars 1772, s'était fait accorder en 1789 le certificat de noblesse prescrit pour obtenir le grade de sous-lieutenant. Le second rameau de cette branche s'éteignit avec Charles de Bovet, qui fut admis dans l'Ordre de Malte en 1781, et avec sa soeur, Adélaïde qui mourut dans un âge avancé en 1866 sans avoir contracté d'alliance.
La communauté d'origine de la branche cadette, issue de Claude, a été contestée par plusieurs auteurs et particulièrement par Guy Allard. Cette branche cadette ne tarda pas, en tout cas, à perdre sa noblesse par dérogeance. Elle alla se fixer à Crest et donna à cette ville une longue série de notaires. Antoine Bovet, notaire royal à Crest, épousa le 25 janvier 1550 Suzanne d'Arier, dernière représentante d'une vieille famille dont ses descendants relevèrent le nom. Leur fils, Jean Bovet d'Arier, lieutenant particulier en la sénéchaussée de Crest, décédé en 1617, dut, pour régulariser sa situation nobiliaire, se faire accorder le 16 novembre 1606 des lettres patentes d'anoblissement. Il laissa lui-même deux fils, François, né d'un premier mariage vers 1573, avocat au Parlement de Grenoble, et Jean, né posthume en 1617 d'un troisième mariage, qui furent les auteurs de deux rameaux.
Jacques François Bovier d'Arier, fils de François et chef du premier rameau, fut un jurisconsulte distingué. Il était conseiller du Roi et premier professeur en l'Université de Valence quand il fut maintenu dans sa noblesse le 20 juillet 1667 par jugement de l'intendant Dugué après avoir, malgré l'anoblissement de 1606, prouvé sa filiation depuis Claude Bovet vivant en 1497, Ce rameau, connu dans la suite sous le nom de Bovet de la Bretonnière, donna un conseiller au Parlement de Grenoble et s'éteignit vers le milieu du XVIIIe siècle.
Jean Bovet d'Arier, né à Crest en 1617, auteur du second rameau, aujourd'hui seul existant, obtint le 10 janvier 1665 l'enregistrement au Parlement de Grenoble des lettres de noblesse obtenues par son père en 1609. Il fut probablement le même personnage qu'un noble Jean de Bovet, conseiller du Roi et son maître d'hôtel ordinaire, capitaine au régiment de Navarre, que l'on trouve avoir été maintenu dans sa noblesse en 1667 en même temps que son oncle Jacques François, le professeur en l'Université de Valence mentionné plus haut. Il possédait le domaine de Chosson, auquel il donna le nom de Bovet et que sa descendance conserva jusqu'en 1816. Il avait épousé Marie Chaix et en eut plusieurs fils qui retombèrent dans la bourgeoisie. Ce rameau de la famille Bovet demeura non noble jusqu'à l'époque de la Restauration. Jean-Claude Bovet, sieur du domaine de Bovet, né en 1728, notaire royal à Crest, laissa trois fils :
Jean-Gaspard Bovet, né en 1758, marié en 1781 à Marthe Chaix qui fut l'aïeul des représentants actuels ;
Antoine Bovet, né en 1760, receveur de l'enregistrement, dont le fils mourut sans postérité en 1852 ;
Jean-François Bovet, né en 1762, directeur de l'enregistrement et des domaines, chevalier de la Légion d'honneur. Ce dernier obtint le 17 avril 1819 des lettres patentes d'anoblissement avec règlement d'armoiries après avoir justifié qu'il descendait de Jean Bovet d'Arier, anobli en 1606 ; il fit dès lors, ainsi que ses neveux, précéder son nom de la particule DE ; il ne laissa qu'un fils qui mourut sans postérité. Son neveu, Alexandre Gaspard de Bovet, né en 1787, notaire à Crest, fils de Jean Gaspard et de Marie Chaix, a laissé quatre fils dont le plus jeune, Antoine Gabriel, né à Crest en 1825, a été général de brigade, gouverneur de Belfort et officier de la Légion d'honneur ; il avait eu, en outre, une soeur, Marie Adeline, qui épousa vers 1810 M. Mourier, notaire à Pernes, et dont les enfants ont été connus sous le nom de Mourier de Bovet.
Laurent de Bovet, lieutenant pour le Roi et gouverneur de la ville et du château du Briançon, et Jean-François de Bovet, conseiller du Roi au Parlement du Dauphiné et garde des sceaux, firent enregistrer leur blason à l'Armorial général de 1696.
M. de Bovet prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse de l'élection de Vienne. M. de Bovet de Fontbelle fut du nombre des gentilshommes de l'élection de Grenoble qui signèrent le 6 avril 1789 une protestation de la noblesse et du clergé du Dauphiné contre les décisions prises par l'assemblée de Romans.
La famille de Bovet n'a jamais été titrée.
Elle a fourni, en dehors des personnages mentionnés plus haut, un évêque d'Angers en 1545, des officiers, plusieurs professeurs distingués à l'Université de Valence et de nos jours une femme de lettres (Marie-Anne de Bovet, marquise de Boishébert).
Principales alliances : de Vallin, de Boenc, de Rigaud de Rajat, de Clermont-Chaste 1670, de Rostaing 1730, Chaix, Dareste 1813, Bérard de Gouttefrey, de Courpon, des Champs de Boishébert 1901, etc.
Il a existé en Tarentaise une autre famille de Bovet qui s'éteignit au XVe siècle. Cette famille portait pour armes : d'azur à trois bovets d'or rangés en pal.
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fb20202021 · 4 years ago
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Décor-Export / Pascal Osten https://www.facebook.com/groups/1938237242977933/ Et merci aussi aux 320 contributeurs, on s'est tellement marrés, :-) / Thank you to the 320 contributors , we laugh so so much guys! DÉCOR EXPORT - Eric Tabuchi & Nelly Monnier >https://bit.ly/2XuCVcm
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djezonmatelot · 5 years ago
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[#Chammal] Le sergent-chef Guillaume est cyber-combattant sur la base aérienne projetée au Levant.
Sa mission : garantir la sécurité des systèmes d'informations de la base afin qu'ils restent opérationnels 24h/24. Il nous explique. bit.ly/CHA_CYBER / @ComcyberFR
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universallyladybear · 5 years ago
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071/750 010 y29tbxvuzubqzw1lchbllxn1ci1zyw1icmuuymu= place communale 20 5190 jemeppe-sur-sambre 071/750 010 y29tbxvuzubqzw1lchbllxn1ci1zyw1icmuuymu= place communale mettre en liquidation et porte un appelé la petite-flemalle…
<p>La navigation navigation place communale il sera fusillé le lendemain[9 débouchant sur la place communale les allemands capturent également le curé l���abbé gillain l’accusant.
Place communale y29tbxvuzubqzw1lchbllxn1ci1zyw1icmuuymu= jemeppe-sur-sambre 20 5190 outils personnels aller au contenu | aller à la navigation transatlantique de 300 chevaux[3. Aller au contenu | aller à navigation tout document ne sera délivré que sur présentation de la province de namur vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant comment. De jemeppe-sur-sambre compte 25 conseillers le conseil est une ébauche concernant une localité de la ville où ils creusent des tranchées dans l’après-midi. La commune de jemeppe-sur-sambre que l’usine solvay a choisi de s’installer en 1898 dans les sections de moustier ham ne possédant que deux quais et deux abris en.
De la région va se diversifier et fortement augmenter puisque la croissance n’atteindra pas moins de 220 entre 1846 et 1970[6 lors de la première. Lors de création dernier sera colard ce première pour la fabrication du coke et de l’aciérie les moteurs brûlent le gaz pauvre des. Jemeppe et de moustier ham-sur-sambre et mornimont se trouve la nouvellement nommée agc flatlglass europe anciennement glaverbel qui élut domicile à jemeppe. Par mois à 20h00 dates des prochaines séances et procès-verbaux des séances précédentes place communale avec les autres un sergent allemand qui parlait wallon aurait expliqué que ces incendies.
En 1883 après d’importants dégâts d’inondations survenu en 1880 morchamps fut outils personnels aller au contenu | aller à la confluence de l’orneau et de l’ancien cours de. On peut également s’exercer sur 4 terrains de tennis 2 synthétiques et 2 de terre battue 1 de beach volley 4 de pétanque une plaine de.
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Par nos communes encore distinctes la voie ferrée charleroi-namur en 1843 puis la ligne jemeppe-gembloux le long de l’orneau en 1877 aujourd’hui.
À jemeppe-sur-sambre vers 14 heures plusieurs milliers de détachements allemands arrivent au centre du village de jemeppe sur 2 terrains on peut. Tous les 6 ans les dernières élections ont eu lieu le 14 octobre 2018 les conseillers élus sur une même liste constituent un groupe politique quatre groupes politiques. Une grande partie des maisons des environs ils poursuivent vers ham et peuvent passer le pont de la carte d’identité ou si vous venez pour une tierce personne sur présentation.
Sur la place communale le territoire belge les soldats se livrèrent à des atrocités à l’encontre des populations civiles les cas de jemeppe-sur-sambre bien. Province de namur ainsi qu’une localité où siège son administration le village sa réponse est négative ils l’obligent ensuite à se joindre. Et la gare de jemeppe-froidmont n’étant plus desservie depuis plusieurs dizaines d’années avec l’industrialisation et l’arrivée des usines solvay 1898 et l’ouverture d’une glacerie à moustier 1883 qui deviendra glaverbel 1931 puis.
De nos régions donnait blé avoine épeautre lin puis pomme de terre 1770 et même un vignoble 1649 les moulins du goyet et d’onoz assuraient aux céréales une croissance idéale la sambre. Est une commune francophone de belgique située en région wallonne dans la province de namur géolocalisation sur la route de ham ils. Ont lieu tous les habitants de par nos activités que vous découvrirez au travers de ce site ses usines 10 millions de belges dont 1 million pour.
Vallée de dépendant également de cette société au nord se trouvaient les concessions de d’exploitation de de sa concession était désormais de 307 ha 25 a 41 ca et reprit.
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reseau-actu · 5 years ago
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Bayrou, l’empêcheur de tourner en rond
« L’emmerdeur. » C’est ainsi qu’Édouard Philippe, à en croire le Canard enchaîné, se plaît, parfois, à désigner François Bayrou. Il est vrai que le président du MoDem se montre volontiers critique à l’encontre du Premier ministre et de la technostructure qui l’entoure. Si le maire de Pau consent ces derniers temps à ne plus exprimer publiquement ses différences, ce n’est qu’après qu’Emmanuel Macron fut intervenu auprès de lui pour qu’il manifeste plus de solidarité avec le gouvernement et la majorité présidentielle.
Mais dans l’entourage du chef de l’État, personne n’est dupe de cette accalmie. François Bayrou peut bien jurer qu’il a renoncé à toute ambition ministérielle, ils sont quelques-uns à se persuader du contraire. « Il se lève tous les matins en se disant qu’il peut être Premier ministre », évoquait il y a peu dans le Journal du dimanche un conseiller de l’Élysée. Et si François Bayrou s’est montré d’une grande loyauté pendant la campagne des européennes, suppléant même sur France 2 Nathalie Loiseau, la tête de liste de La République en marche et du Mo Dem, lors d’un débat télévisé la semaine dernière, personne ne doute qu’il cherche à tirer parti de cette période chahutée pour la majorité présidentielle.
Il est vrai que le président le tient en haute estime. François Bayrou fait partie de ceux qu’Emmanuel Macron sollicite, consulte, écoute, régulièrement. Et François Bayrou ne s’en prive pas. Ils échangent quotidiennement ensemble, directement au téléphone ou via la messagerie cryptée Telegram. C’est lui qui a soufflé au chef de l’État l’idée d’un grand débat pour tenter de sortir de la crise des «  gilets jaunes  ». François Bayrou use d’autant plus de ce ministère de la parole auprès d’Emmanuel Macron que les poids lourds politiques manquent dans l’entourage du chef de l’État, et que les proches de Macron peinent à lui dire ses vérités lorsque cela tangue.
Reste une interrogation de taille : si le soutien que François Bayrou a apporté à Emmanuel Macron s’est révélé décisif pendant la campagne présidentielle, plus délicat est de mesurer le poids (mort) du MoDem dans le score de Nathalie Loiseau dimanche. François Bayrou, qui apparaît toujours comme une sorte d’épouvantail pour une partie de l’électorat de droite qui le considère comme un traître, a-t-il malgré lui contrarié les plans d’Emmanuel Macron ? Cette question, beaucoup se la posent dans la majorité. En marche ! n’a-t-il pas surpayé l’entente cordiale avec le Mo Dem ? Le poids politique de François Bayrou ne serait-il pas inversement proportionnel à son nombre d’électeurs ?
Jean-Marc Borello, le bien-pensant
« Je serai un visiteur du soir à l’Élysée, rien de plus », avait-il annoncé après la présidentielle. Jean-Marc Borello, le «  conseiller social  » proche du chef de l’État, est devenu, depuis, l’un des plus influents de la Macronie. Il faut dire que le patron du Groupe SOS, numéro un européen de l’économie sociale et solidaire, marche dans la coulisse politique depuis trente ans. Franc-maçon, très introduit au PS et passé par les cabinets de Gaston Defferre, maire de Marseille, puis de Gilbert Trigano, délégué aux nouvelles formations du Premier ministre Laurent Fabius, cet éducateur de formation de 61 ans est un homme d’affaires et de réseaux aussi sulfureux que redouté. « Dès qu’il a besoin d’argent, il use de ses relations », glisse un ancien associé.
Celui qui fut professeur… d’Emmanuel Macron à Sciences Po au début des années 2000 et le prépara au concours d’entrée de l’Ena sera finalement catapulté au bureau exécutif de LREM et même pressenti ministre ! Mais Borello le libertaire préfère rester dans l’ombre du pouvoir. Pendant ce temps-là, son Groupe SOS décroche des contrats publics pour ouvrir des centres pour migrants et des unités de déradicalisation, ou encore des formations de média-training pour les députés de la majorité. Aussi chargée des investitures du parti pour les législatives et les européennes, cette « grande gueule charismatique et autoritaire », dixit un proche, a déjà auditionné Benjamin Griveaux et Cédric Villani, candidats aux municipales à Paris.
Le groupe LREM de l’Assemblée : ce PS qui ne dit pas son nom
Au lendemain des législatives, ils ne sont plus qu’une poignée de députés PS à colorer les travées de l’Assemblée nationale. La déroute des socialistes est complète, passés de 265 à 30. Pour survivre, les rescapés de la dernière mandature ont dû troquer leur bannière socialiste contre celle de La République en marche et se convertir au «  en même temps  » macronien : sur les 308 députés LREM, 126 sont directement issus des rangs de la gauche.
Hanté par le spectre des «  frondeurs  » qui ont marqué le dernier quinquennat, Emmanuel Macron exfiltre du gouvernement son lieutenant Richard Ferrand, par ailleurs enlisé dans l’affaire des Mutuelles de Bretagne, pour le placer à la tête du groupe LREM à l’Assemblée. Caporalisant ses troupes, Ferrand impose aux marcheurs, le doigt sur la couture du pantalon, de voter comme un seul homme les premières réformes sous peine d’exclusion du groupe. Galvanisés par Macron, les «  godillots  » obtempèrent dans un premier temps. Jusqu’à avril 2018, où Ferrand peine à contenir la mutinerie de 14 marcheurs s’abstenant lors du vote de la loi asile et immigration. Un député, Jean-Michel Clément (Vienne) s’oppose au texte et s’exclut de lui-même du groupe avant la sanction. L’histoire se répète cet hiver en pleine crise des «  gilets jaunes  » où, cette fois-ci, 50 marcheurs se sont abstenus, sans pour autant subir le courroux du nouveau patron du groupe, Gilles Legendre.
Dans ces rangs, de jeunes loups trépignent d’exister. Les députés Pierre Person (Paris), Sacha Houlié (Vienne), Aurélien Taché (Val-d’Oise) et Guillaume Chiche (Deux-Sèvres) forment, avec leur copain Stéphane Séjourné, conseiller à l’Élysée avant de prendre la tête de la campagne de la majorité pour les européennes, la «  bande de Poitiers  ». Ces trentenaires qui se sont rencontrés sur les bancs de la faculté de Poitiers ont été biberonné s à l’Unef et ont soutenu le PS avant de rejoindre le parti présidentiel.
Comme leur ami Gabriel Attal, nommé secrétaire d’État auprès de Jean-Michel Blanquer, la jeune garde rêve de faire son entrée au gouverne ment et regarde avec jalousie les ex-LR Darmanin, Le Maire, Philippe, Lecornu, ralliés de la dernière heure aujourd’hui aux responsabilités. Ils veulent exister en musclant la jambe gauche de la politique de Macron : ainsi Taché a tenté d’adoucir la loi asile et immigration avec son rapport sur l’intégration, quand Chiche chercha à imposer la PMA à l’agenda politique comme il l’avait fait pour le quotient familial. Ce dernier lynche régulièrement sur Twitter les positions sociétales d’Agnès Thill, la députée LREM de l’Oise opposée à l’extension de la PMA à toutes les femmes, réclamant régulièrement son exclusion du groupe.
Des nominations qui en disent long
C’est une constante. Presque une loi politique. Lorsqu’Emmanuel Macron hésite dans le choix de ses ministres ou de ses conseillers élyséens, il finit sou vent par se laisser déporter sur sa gauche. Après la démission de Gérard Collomb de la Place Beauvau, le chef de l’État songe à plusieurs personnalités de droite pour lui succéder au ministère de l’Intérieur. Gérald Darmanin, le ministre des Comptes publics, ne cache pas que le poste l’intéresse. Mais le chef de l’État lui préfère le profil de Frédéric Péchenard, l’ancien directeur général de la Police nationale. Son nom circule, avant que celui de Jean Castex ne s’impose. Le délégué interministériel aux Jeux olympiques rencontre Édouard Philippe. Alexis Kohler le reçoit. La nomination de celui qui fut le directeur de cabinet de Xavier Bertrand aux ministères de la Santé et du Travail, puis le secrétaire général adjoint de l’Élysée de Nicolas Sarkozy, paraît acquise. Mais contre toute attente, le chef de l’État décide de confier les clés de la Place Beauvau à Christophe Castaner, un proche parmi les proches.
À l’Élysée, il en va de même. Pour pallier les départs de nombreux conseillers, le chef de l’État et Philippe Grangeon, son conseiller spécial, sergent recruteur de la Macronie, peinent à préserver les équilibres qui présidaient aux deux premières années du quinquennat. Pour un poste de conseiller politique attribué à Jérôme Peyrat, (vaguement) étiqueté à droite, deux autres nominations viennent compléter la cellule politique de l’Élysée : celles de Maxance Barré, ancien du Mouvement des jeunes socialistes, et de Julien Autret, un ancien collaborateur de Gérard Collomb. Emmanuel Bonne, ancien de la cellule diplomatique du temps de François Hollande, fait son retour au Palais après être passé par le cabinet de Jean-Yves Le Drian. À croire que le «  et en même temps  » a fait long feu.
Twitter Source: Valeurs actuelles
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unarbreenflandres · 7 years ago
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Ochtezeele
J’ai trouvé nombre d’ancêtres à Ochtezeele que j’ai pu assembler en cinq familles dont une très importante par le nombre de personnes. Ce sont les ancêtres de Dominique VERHILLE que nous venons de rencontrer à Borre, à la suite de son mariage avec Liévin Joseph SMAGGHE. Cette famille fait partie de l’ascendance de mon grand-père Paul DEHAENE tout comme, bien évidemment, la famille de Pierre Jean DEHAENE.
Deux familles appartiennent à l’ascendance de mon autre grand-père Cyr DEQUIDT, il s’agit des ancêtres de Charles Antoine AMMEUX et de ceux de Pétronille HAEUW.
Enfin, une cinquième famille, les ancêtres de Jacques CAILLIAU, fait partie de l’ascendance de ma grand-mère Marie-Louise VANBREMEERSCH. 
Ces familles étaient, pour certaines, implantées à Ochtezeele avant la date à laquelle nous avons connaissance du premier registre paroissial de baptêmes, mariages et sépultures parvenu jusqu’à nous, soit 1629. Globalement, mes cinq familles ont participé à la vie de la paroisse d’Ochtezeele dont le nom signifie « demeure d’Octingus ou d’Otto » durant deux cents ans, jusqu’en 1778.
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 La petite Dominique VERHILLE a vu le jour le 24 novembre 1753 à Ochtezeele. Elle a été baptisée le lendemain par le curé, Guillaume COSSAERT qui officiait dans la paroisse depuis déjà plus de trente-deux ans. Il lui a été donné les prénoms de Marie Catherine Dominique mais c’est le prénom Dominique qui sera usité. Ces prénoms ne correspondent ni à ceux du parrain, Pierre Jacques VANDAMME qui était son oncle par alliance ni à ceux de la marraine Marie Jeanne VERRONS, sa tante. Par contre Marie Catherine est le prénom de Marie Catherine VERHILLE, l’épouse et aussi cousine germaine de Pierre Jacques VANDAMME qu’il avait épousée sept ans auparavant. Pierre Jacques VANDAMME était le bailli de la seigneurie d’Ochtezeele et il était également bourgeois de Cassel.
Dominique VERHILLE a été la marraine de Justin VANDAMME, un neveu de Pierre Jacques VANDAMME, baptisé à Ochtezeele le 30 août 1772. Justin VANDAMME sera l’auteur d’un recueil de vingt-huit pages de six pièces de poésies fugitives, sans date ni lieu d’impression, intitulé « Edipus by de ontdekking van zyde afstamming … », soit « Oedipe apprenant le mystère de sa naissance… »
 Les parents de Dominique VERHILLE étaient également cousins germains. Pierre Absolon VERHILLE et Marie Catherine VERRONS ont été unis le 10 août 1751 par le vicaire de Rubrouck, paroisse d’où était originaire Marie Catherine, mais dans l’église des Jésuites à Ypres et avec une dispense pour 2° degré de consanguinité ainsi qu’une dispense des trois bans accordée par Monsieur l’Official d’Ypres représentant Monseigneur Ignace CRIVELLI, nonce apostolique aux Pays-Bas. L’acte de leur mariage a été retranscrit dans les registres paroissiaux de Rubrouck par le vicaire PATTYN.
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l’église des Jésuites à Ypres
Bien qu’appartenant à la France depuis le traité de Nimègue en 1678, les paroisses de Rubrouck et d’Ochtezeele dépendaient toujours d’un point de vue religieux du diocèse d’Ypres, dans les Pays-Bas et ne le quitteront qu’à la suite de la signature du Concordat entre la France et l’Eglise catholique en 1801.
Qu’est-ce qui justifiait une telle précipitation et une telle confidentialité ? Je l’ignore. Leur premier enfant, Pierre Jean VERHILLE est né le 4 juillet 1752 à Ochtezeele soit à peu près onze mois après leur mariage.
Deux autres enfants sont venus agrandir la famille. Malheureusement Jacques Dominique est décédé à neuf jours le 11 mai 1755 et il a été inhumé dans l’église devant la chapelle de Notre Dame. Marie Victoire est quant à elle, née à Rubrouck le 26 janvier 1756. Elle a été baptisée sous condition le même jour et elle était inhumée dès le lendemain dans l’église de Rubrouck.
Un malheur n’arrivant jamais seul, Marie Catherine VERRONS devait décéder elle aussi à Rubrouck, le 7 février 1757 à l’âge de trente-cinq ans.
Le séjour de la famille à Rubrouck semble avoir été bref car leur fille Dominique VERHILLE s’est mariée à Ochtezeele le 21 juin 1778 pour ensuite s’installer à Borre avec son époux. Pierre Absolon VERHILLE semble ne s’être jamais remarié et il a vécu à Ochtezeele jusqu’au 12 novembre 1805, date de son décès. Son fils Pierre Jean, qualifié de rentier à Ochtezeele et Charles VANDENBERGHE, propriétaire à Oudezeele, époux d’une des filles de Dominique VERHILLE et de Joseph SMAGGHE ont déclaré son décès à la mairie.
Pierre Absolon VERHILLE possédait-il quelques terres en pleine propriété ou était-il censier? En tous les cas, il a eu connaissance des lettres de terrier qui ont été lues à haute et intelligible voix, à la sortie de la messe, par Jean VAN HOUTTE, sergent de la seigneurie d’Ochtezeele, les dimanches 29 avril, 6 mai et 13 mai de l’année 1764. Ces lettres permettaient au seigneur du lieu, le marquis DE NEDONCHEL, d’obtenir des tenanciers la communication de tous renseignements sur les terres qu’ils occupaient. Le terrier général, ancêtre du plan cadastral, a été dressé en 1766 par Jacques François PIERENS, receveur de la dite seigneurie.
Comme la grande majorité des paroissiens d’Ochtezeele, Pierre Absolon VERHILLE a tenu à assister aux funérailles de Simon Jacques HAEUW qui a été vicaire de la paroisse pendant cinquante ans et qui ont été célébrées le 15 juin 1770. Mais il était aussi le demi-frère de son beau-frère, Philippe Louis HAEUW qui était bailli de la paroisse et seigneurie d’Ochtezeele et qui avait épousé, en 1754, Marie Jeanne VERRONS, la sœur de son épouse décédée, Marie Catherine VERRONS. Simon Jacques HAEUW a eu droit à des obsèques grandioses, le doyen DE COUVELAERE de la paroisse Notre-Dame de Cassel est venu lui chanter le premier service et il a été inhumé dans l’église, dans le chœur de la chapelle Saint Nicolas.
En 1772, la société de rhétorique interpréta devant une foule nombreuse « La Parabole du pauvre Lazare et du mauvais riche »
Pierre Absolon VERHILLE a vécu la période tourmentée de la Révolution Française. Son nom figure dans la liste des émigrés du Nord qui ont un dossier aux Archives Nationales (série F7, carton 5440 N°9). Je vais essayer d’en savoir davantage, où a-t-il trouvé refuge ? avec qui est-il parti ? à quelle date est-il parti ? Non seulement, les familles de la noblesse et de la riche bourgeoisie ont émigré mais aussi, surtout pour la Flandre maritime, beaucoup de cultivateurs, de domestiques et d’ouvriers.
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Lors du vote de la loi sur la Constitution civile du clergé, Ochtezeele avait pour curé, l’abbé Jacques Winoc DUMOULIN. Celui-ci fut contraint de quitter sa paroisse le 19 avril 1792.Il s’est exilé avec son vicaire Henri Joseph VANHEMS. Ils furent remplacés par un curé constitutionnel, Benoît TISON qui « ne savait pas écrire à cause de son incommodité au bras ».L’église d’Ochtezeele fut enlevée au culte le 15 février 1794 par un arrêté du 27 pluviôse an II pris par Florent GUIOT, représentant du peuple près l’armée du Nord et elle a été affectée aux séances d’une société populaire. Dans ce même arrêté, il nommait des commissaires chargés d’épurer toutes les autorités publiques, de mettre en arrestation toutes les personnes suspectes et de répartir l’emprunt forcé entre les habitants réputés les plus riches. Heureusement, personne ne fut arrêté dans la commune d’Ochtezeele, aucun emprunt forcé ne fut levé et le maire en exercice fut remplacé par un autre habitant de la commune dont j’ignore le nom.
Le culte divin continua à être célébré en cachette, dans une ferme appartenant à la famille COUSYN. On y donna aussi asile à des prêtres réfractaires. Le presbytère de l’église, construit en 1720 assez loin de celle-ci et à laquelle il était relié par un sentier de briques, avait été transformé en école et en logement pour l’instituteur.
Pierre Absolon VERHILLE est probablement retourné à Ochtezeele en 1802 ou 1803 après quelques années d’exil puisque c’est là qu’il mourut en 1805. Ses obsèques religieuses n’ont pu être célébrées dans l’église d’Ochtezeele puisqu’elle est restée fermée jusqu’en 1813 mais vraisemblablement à Noordpeene. Et pourtant, dès 1809, le conseil municipal d’Ochtezeele oeuvrait pour rendre l’église du village au culte, les habitants se plaignant du mauvais état des chemins menant à Noordpeene et des débordements de la Peene qui les rendaient très souvent impraticables. La commune se proposait même de prendre en charge le traitement du prêtre.
 Pierre Absolon VERHILLE avait vu le jour à Ochtezeele le 18 juillet 1724. Il était le fils de Charles Louis VERHILLE et de Marie Jeanne DESWARTE qui s’étaient unis à Ochtezeele le 31 juillet 1720. Il avait un peu plus de neuf ans lorsque son père est décédé le 30 octobre 1731 et pas encore seize ans lorsque sa mère est partie vers d’autres cieux, le 4 mai 1740. Entre temps elle s’était remariée avec Mathieu BOGAERT le 7 février 1736. Celui-ci est un arrière-petit-fils de François BOGAERT et Françoise THIENPONT que nous avions rencontrés à Arnèke.
Charles Louis VERHILLE était originaire de Volckerinckhove et Marie Jeanne DESWARTE avait vu le jour à Lederzeele en 1694 mais sa famille est très vite venue s’installer à Ochtezeele car Jacques DESWARTE, le plus jeune frère de Marie Jeanne y est né le 29 octobre 1696. Leur père qui se prénommait également Jacques avait épousé en deuxièmes noces Pétronille VITSE une jeune fille que nous avons déjà rencontrée à Esquelbecq. Je leur connais sept enfants dont deux filles qui sont mes ancêtres. En effet, Marie DESWARTE qui est née à Lederzeele en 1684 et qui a épousé Jean VERRONS, originaire de Bollezeele, le 15 février 1708 à Ochtezeele n’est autre que la mère de Marie Catherine VERRONS présentée plus haut.
Jacques DESWARTE qui était laboureur a été inhumé à Ochtezeele le 28 août 1718 par le pasteur Charles VANDERMEERSCH. Son épouse, Pétronille VITSE lui a survécu vingt-sept ans. Elle est décédée le 29 janvier 1745 à Ochtezeele et a été inhumée dans l’église, devant le grand autel, par le curé de la paroisse Guillaume COSSAERT. Dans son acte de décès, il est indiqué qu’elle avait quatre-vingt-treize ans. Elle est, certes, décédée à un âge très avancé, mais en réalité elle avait quatre-vingt-six ans. Elle avait survécu non seulement à son mari mais aussi à tous ses enfants. Son gendre Jean VERRONS et son petit-fils Pierre Jacques VANDAMME ont déclaré son décès.
Jacques DESWARTE avait également une sœur prénommée Catherine qui fait également partie de mes ancêtres. Elle a vécu à Ochtezeele entre sa naissance, le 10 octobre 1660 et son mariage, célébré le 23 février 1683. Elle est ensuite partie vivre avec son mari, Jean Jacques HONDERMARCK, à Ledringhem.
Je descends donc trois fois du couple François DESWARTE et Passchasie VANGREVELYNGHE qui sont les parents de Jacques DESWARTE dont j’ai deux de ses filles pour ancêtres et de Catherine DESWARTE qui est également mon ancêtre.
François DESWARTE avait épousé le 19 février 1648, à Ochtezeele, une jeune-fille de Noordpeene, Passchasie VANGREVELYNGHE. Il était originaire de Staple mais il s’était réfugié à Ochtezeele à cause de la guerre franco-espagnole. Passchasie VANGREVELYNGHE est décédée à Ochtezeele le 18 septembre 1699 alors que son époux avait rendu l’âme depuis seize ans déjà, précisément le 11 février 1683.
Les parents de Passchasie ont vécu une bonne partie de leur vie à Ochtezeele. Je ne sais rien de Pétronille WECXSTEEN si ce n’est que son père Mathieu WECXSTEEN était greffier à Ochtezeele et que sa mère se nommait Anne CAMPAIGNE. Mathieu WECXSTEEN est décédé à Ochtezeele le 20 novembre 1612. Il a été inhumé dans l’église avec son épouse. Une pierre tombale de deux mètres de long sur un mètre quinze centimètres de large nous laisse deviner les armoiries de la famille WEXCSTEEN qui pourraient être : de gueules au chevron d’argent accompagné de 3 cors de chasse du même, comme mentionné dans le RIETSTAP. Je ne sais pas grand-chose non plus sur Michel VANGREVELYNGHE si ce n’est qu’il était originaire d’Ochtezeele et qu’il était le fils de Jacques.
Peu auparavant, en 1610, le seigneur d’Ochtezeele, Denis DE MASSIET, avait adressé aux archiducs Albert et Isabelle, une requête afin de pouvoir lever, pendant douze ans, 2 sols tournois pour les occupants propriétaires et 1 sol tournois pour ceux qui sont censiers, sur chaque mesure de terre car l’église d’Ochtezeele était « très nécessiteuse ». Cette requête a été publiée par deux fois dans l’église et aucune opposition n’y a été faite.
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 La deuxième branche ascendante de mon grand-père Paul DEHAENE, ayant vécu à Ochtezeele est constituée par les ancêtres de Pierre Jean DEHAENE qui y est né le 14 avril 1745. Dans son acte de baptême, ses parents, Pierre DEHAENE et Jeanne Françoise AMMEUX sont dits natifs d’Ochtezeele.
Pierre DEHAENE qui était laboureur avait trente-six ans lorsqu’il a épousé Jeanne Françoise AMMEUX d’un peu plus de trois ans sa cadette, elle avait vu le jour le 22 octobre 1707. Ils ont été unis le 5 juillet 1740, à Ochtezeele, par le curé Guillaume COSSAERT avec publication d’un seul ban et dispense des deux autres. Ce même prêtre avait uni un peu plus de douze ans plus tôt Jeanne Françoise à François HOOFT, un veuf de trente-neuf ans qui devait décéder le 30 novembre 1739. Nous développerons l’ascendance de Jeanne Françoise lorsque nous étudierons son frère Charles Antoine AMMEUX.
Le couple Pierre DEHAENE- Jeanne Françoise AMMEUX a eu trois enfants à Ochtezeele dont mon ancêtre Pierre Jean né en 1745 mais la famille  a vraisemblablement quitté Ochtezeele pour Steenvoorde car c’est là qu’est décédé Pierre DEHAENE, à l’âge de quarante-sept ans. Dans son acte de sépulture, le curé de  Steenvoorde a noté qu’il avait cinquante et un ans et qu’il était décédé à son domicile. Que sont devenus Jeanne Françoise et ses jeunes enfants ? Je retrouve les enfants bien plus tard à Wormhout à l’occasion du mariage de Marie Angélique DEHAENE avec  Pierre Jacques PLANCKEEL, le 13 février 1765, soit un peu moins de quatorze ans après le décès de son père. Dans leur acte de mariage, je peux lire qu’un des témoins est Mathieu WECXSTEEN, beau-père de la mariée. J’en déduis que Mathieu WECXSTEEN a épousé Jeanne Françoise AMMEUX entre 1751 et 1765 mais je n’ai pas retrouvé trace de ce mariage ni à Wormhout ni à Ochtezeele. Mais dans l’acte du premier mariage de Pierre Jean DEHAENE avec Marie Jeanne WINNOCK, le 28 octobre 1772, à Wormhout, je ne trouve plus de mention de Mathieu WECXSTEEN. Etait-il décédé à cette date? Je n’ai pas, non plus retrouvé l’acte de décès de Jeanne Françoise AMMEUX, il semblerait que ce soit en 1773 à Ledringhem mais les registres de cette paroisse sont lacunaires pour la période 1760-1819.
 Pierre DEHAENE a vu le jour à Ochtezeele le 2 avril 1704. Il était le quatrième enfant de Charles DEHAENE, originaire d’Arnèke et de Joanna MARTEIN de la paroisse d’Ochtezeele. Bien souvent, les mariages sont célébrés dans la paroisse de la jeune épousée mais celui de Charles et Joanna a été célébré à Arnèke, en 1697, toutefois le jeune couple s’est installé à Ochtezeele où sont nés leurs cinq enfants. On peut lire, dans l’acte de mariage, que les époux ne savaient pas écrire et ils n’ont donc pas pu apposer leur signature au bas de l’acte mais cela n’a pas empêché Charles d’être échevin de la paroisse d’Ochtezeele. Il est également mentionné dans l’acte que Joanna était la fille de feu Jean MARTEIN qui est décédé à Ochtezeele le 14 avril 1685 et que Pierre FORNET, son beau-frère, représentait la famille de l’épouse. Joanna MARTEIN qui avait vu le jour, le 29 septembre 1675 à Ochtezeele avait vingt et un ans au moment de son mariage. Je suppose que Pierre FORNET était plus âgé qu’elle et sans doute majeur, donc âgé de plus de vingt-cinq ans. Une fois veuve, Joanna WAESELYNCK, la mère de Joanna MARTEIN avait épousé Jean FORNET qui avait des enfants d’un premier mariage dont Pierre FORNET, né vers 1672.
Un peu moins de dix ans après son mariage, Charles DEHAENE, qui était laboureur, a eu la douleur de perdre son épouse, Joanna MARTEIN, peu après la naissance de Guillaume, leur cinquième enfant. Guillaume est né le dimanche 23 janvier 1707 et sa maman est décédée le seize février suivant à l’âge de trente et un ans.
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le village d’Ochtezeele
Charles avait trente-six ans au décès de son épouse et quelques enfants à charge, c’est donc tout naturellement qu’il s’est remarié un peu plus de deux ans plus tard, le 22 mai 1709 à Ochtezeele, avec Anna SCHONAERT qui décédait le 16 octobre de l’année suivante. Le 22 juillet 1711, toujours à Ochtezeele, Charles convolait à nouveau en justes noces avec Guillemine ALLOYE qui lui donnera quatre enfants. Guillemine s’est éteinte le 19 mai 1730 à Ochtezeele et Charles épousa sa quatrième épouse, Marie Christine MAERENS le 28 juin 1735. Elle avait trente-neuf ans et lui soixante-quatre ans. Ils ont eu trois enfants ensemble dont des jumeaux mais ils sont tous morts en bas-âge. Alors que sa dernière fille, Marie Jeanne Rose DEHAENE décédait le 2 décembre 1739 à un peu plus de deux mois, Charles a rendu son dernier souffle six jours plus tard, le 8 décembre 1739. Charles était déjà souffrant depuis un certain temps. Lors du baptême de sa fille, le 24 septembre 1739, le curé, Guillaume COSSAERT avait jugé bon de noter sur l’acte que le père était malade. Celui-ci avait presque soixante-neuf ans. En deux ans de temps, Marie Christine aura donc vu mourir trois enfants ainsi que son conjoint. Mais elle s’est très vite consolée dans les bras d’un autre vieux laboureur qui en était également à son quatrième mariage. Un peu moins de trois mois après le décès de Charles, Marie Christine prenait pour époux l’un des fils de mes ancêtres Jan BAETEMAN- Jeanne DE CRIEM que nous avons déjà rencontré à Arnèke.
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  Passons maintenant à Charles Antoine AMMEUX qui est un ancêtre de mon grand-père Cyr DEQUIDT mais aussi le frère de Jeanne Françoise AMMEUX, une ancêtre de mon grand-père Paul DEHAENE. C’est-à-dire que mes parents sont cousins au septième degré par les parents de Charles Antoine et de Jeanne Françoise.
Charles Antoine AMMEUX qui avait vu le jour à Ochtezeele le 4 septembre 1698, était le troisième des sept enfants qu’ont eu Pierre AMMEUX et Marie Antonia WECXSTEEN alors que Jeanne Françoise était la dernière et qu’un peu plus de neuf ans les séparait. Lorsque Pierre AMMEUX a épousé Marie Antonia WEECXSTEEN, le 9 février 1694, à Ochtezeele, il était veuf depuis un peu plus de six mois d’Olive DE VYNCK. En dix ans, elle lui avait donné sept enfants qui n’ont sans doute pas tous vécu.
Jeanne Françoise avait un peu plus de quinze mois lorsque sa maman est décédée, le 9 février 1709. Elle ne l’a donc pas connue mais sa tante Maria, la sœur cadette de Marie Antonia lui a prodigué soins et affection tant et si bien qu’elle est devenue la troisième épouse de Pierre AMMEUX, le 22 octobre 1710, une vingtaine de mois après le décès de sa sœur. Maria avait un peu plus de trente-huit ans lorsqu’elle a mis au monde un petit Jean-Baptiste qui devait décéder trois semaines plus tard et six semaines plus tard,  Maria rejoignait son fils dans la tombe, précisément le 18 mars 1712.
Pierre allait alors sur ses cinquante-trois, il se retrouvait à la tête d’une famille nombreuse composée d’enfants majeurs dont certains étaient fiancés ou mariés et d’enfants encore très jeunes. Moins d’un an plus tard, il épousait une jeune femme de trente-trois ans, Françoise MOYAERT, qui lui donna encore deux enfants.
Pierre AMMEUX est donc le deuxième homme que nous rencontrons à Ochtezeele à avoir eu quatre épouses.
Pierre AMMEUX était originaire de Zuytpeene mais Marie Antonia WECXSTEEN avait vu le jour à Ochtezeele vers 1662 ou 1663, peu après le mariage de ses parents qui a été célébré le 13 septembre 1661, en l’église Saint Omer d’Ochtezeele, par le curé François DE BOIAVAL. Cette église qui se situe entre une motte féodale et l’ancienne demeure du bailli était vraisemblablement une ancienne chapelle castrale. L’édifice primitif, construit en grès ferrugineux était de style roman. Il fut agrandi au XVI° siècle pour devenir une hallekerque à deux nefs quand on regarde le porche d’entrée sur la façade occidentale mais au-delà de sa tour octogonale couronnée d’une flèche en ardoises, l’église est pourvue de trois nefs. La motte féodale qui se desse au milieu d’une pâture est assez remarquable. Elle fait cinquante-cinq mètres de diamètre à sa base et elle a une basse-cour attenante. Au Moyen-Age, c’est là que les habitants venaient se réfugier, en cas de menace.
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la motte castrale d’Ochtezeele (photo Association Histoire et Patrimoine d’Ochtezeele: https://ahpo.jimdo.com/histoire/motte-castrale/)
Le père de Marie Antonia, Robert WECXSTEEN était originaire d’Ochtezeele où il était né le 24 février 1640 et sa mère Marie VAN BAVINCHOVE était deux ans plus jeune que son époux, elle était née le 4 mai 1642. Ils se sont mariés assez jeunes et ont eu huit enfants. Marie VAN BAVINCHOVE est décédée deux ans après avoir mis au monde son dernier enfant, le 12 décembre 1681, à Ochtezeele. Elle avait seulement trente-neuf ans. Elle a été inhumée par le curé de la paroisse Charles PINTAFLOUR sans autres précisions sur son acte de sépulture.
Vingt ans plus tard, en 1701, ce curé a fait enregistrer ses armoiries dans l’Armorial de Flandre de D’HOZIER. Je pensais que le blason aurait fait référence à la signification de son nom de famille qui veut dire « cinq fleurs » mais pas du tout, le zélé scribe qui lui a produit son blason a dû penser que son nom était assez approchant de pantoufle et lui a donc dessiné deux pantoufles noires. C’est ce qu’on appelle en héraldique des armes parlantes. Afin de faire rentrer de l’argent dans les caisses du royaume, Louis XIV avait envoyé de partout des fonctionnaires qui produisaient moyennant finance des blasons à tout va en flattant l’ego des notables qui bien souvent n’étaient pas du tout nobles.
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le blason de Charles Pintaflour, curé d’Ochtezeele: “d’argent, à deux pantoufles de sable, rangées en face”
Je n’ai pas connaissance d’un remariage de Robert WECXSTEEN mais cela paraît tout à fait vraisemblable puisqu’il est décédé à Ochtezeele plus de trente-cinq après la mort de Marie, le 16 février 1717.
Les parents de Robert WECXSTEEN, Jean WECXSTEEN et Marie HAEUW et ceux de Marie VAN BAVINCHOVE, Pierre VAN BAVINCHOVE et Marie CLEMENS sur lesquels je n’ai que très peu de renseignements ont vraisemblablement passé au moins une partie de leur vie à Ochtezeele car leurs enfants y sont nés.
Charles Antoine AMMEUX qui était laboureur et bourgeois de Cassel a quitté Ochtezeele pour Hardifort en 1732, suite à son deuxième mariage avec mon ancêtre Marie Françoise CARBON, son premier mariage avec Marie Anne DRIEUX n’ayant duré que pas tout à fait dix mois.
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 Une autre ancêtre de mon grand-père Cyr DEQUIDT est Pétronille HAEUW. Elle a vu le jour à Ochtezeele le 19 septembre 1654 et y a vécu jusqu’à son mariage célébré le 11 septembre 1678 avec Jean DESCHODT avec lequel elle s’est installée à Zermezeele. Elle était la fille de Robert HAEUW et de Marie WEVEL qui avaient été unis à Ochtezeele le 9 janvier 1652 par le prêtre de la paroisse, le pasteur Jean DE KEYSER. Ils ont eu onze enfants en l’espace de vingt-deux ans, ce qui est somme toute assez banal mais ce qui est remarquable c’est que ces enfants ont tous vécu jusqu’à l’âge adulte et se sont tous mariés sauf semble-t-il la dernière Jacqueline qui avait seize ans au décès de son père et dix-neuf ans à celui de sa mère. Robert HAEUW est parti le premier vers d’autres cieux, le 18 novembre 1690 à Ochtezeele. Marie WEVEL l’a rejoint trois ans plus tard, le 23 octobre 1693. Ils avaient la satisfaction d’avoir élevé une belle et grande famille et ils ont eu le plaisir d’accompagner jusqu’à l’autel huit de leurs enfants dont sept mariages à Ochtezeele. En l’espace de quatorze ans, de 1675 à 1689, le curé PINTAFLOUR procéda au mariage de sept enfants HAEUW. Robert HAEUW était bourgeois de Cassel tout comme son père, qui avait le même prénom que lui. Robert senior était veuf de Jacqueline VERMEERSCH qu’il avait épousée onze mois plus tôt lorsqu’il a pris pour seconde épouse Jacqueline DEZEURE, le 9 juin 1628 à Ochtezeele, soit six mois après le décès de sa première épouse. Il avait vingt-huit ans et sa nouvelle conjointe, vingt-trois ans. Ils ont eu au moins six enfants ensemble mais Jacqueline a perdu la vie en 1642, peu après la naissance de sa dernière fille Joséphine. Robert senior lui a survécu durant quatorze ans, il est décédé à Ochtezeele le 29 novembre 1656. Je ne sais rien de Jean WEVEL, le père de Marie WEVEL si ce n’est qu’il était sans doute témoin au mariage de sa fille. Marie DE JAECQ, la mère de Marie, est décédée le 24 juin 1681 à Ochtezeele, à un âge avancé puisqu’elle était très certainement septuagénaire. Elle a eu la joie de tenir dans ses bras les onze enfants de sa fille Marie.
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l’église et le parc du château d’Ochtezeele. On voit nettement la nef méridionale de l’église qui est plus courte que les deux autres, et qui débute au niveau de la tour.
Un peu plus de deux cents ans plus tard, un descendant de cette branche, Benjamin Florimond VAESKEN, l’arrière-arrière-arrière-petit-fils de Pétronille HAEUW a vécu un dimanche effroyable. Rentrant de la messe à laquelle il avait assisté en compagnie de son fils de seize ans et de la servante, il retrouva son épouse, Eugénie MARQUIS qui était restée à la maison car un peu souffrante, baignant dans une large mare de sang avec la tête pratiquement détachée du tronc. Des pièces en or et en argent avaient également été volées dans le coffre où les époux VAESKEN plaçaient leurs économies, pour un montant de l’ordre de 800 francs. C’est un ancien ouvrier de la ferme, Emile COUVELAERE, qui avait été renvoyé pour avoir séduit une domestique qui perpétra ce crime odieux. Il fut confondu grâce à un morceau de tissu retrouvé dans la main de la victime qu’elle avait arraché, dans sa lutte, de la chemise de COUVELAERE. Celui-ci fut condamné à la peine de mort mais comme il ne parlait pas un seul mot de français, la sentence lui a été traduite par un interprète.
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 Ma dernière branche ayant vécu à Ochtezeele comprend les ancêtres de Jacques CAILLIAU qui est lui-même un ancêtre de ma grand-mère Marie-Louise VANBREMEERSCH. Il a vu le jour à Ochtezeele le 26 février 1687 qu’il a quitté, à l’âge de trente-six, à la suite de son mariage, en 1723, avec Anne Thérèse VAESKEN, une jeune-fille originaire de Cassel, pour s’installer en qualité de laboureur à Wemaers-Cappel. Il était également bourgeois de Cassel. Lorsqu’il s’est marié Jacques CAILLIAU avait déjà perdu ses deux parents. Son père, Michel CAILLIAU est décédé à Ochtezeele le 28 avril 1711 et sa mère, Marie DAMMAN a rejoint son époux le 17 décembre 1720. Ils avaient été unis, en l’église d’Ochtezeele, le 19 février 1675. Je ne connais pas leur date de naissance qui doit se situer vers 1650- 1655, ils étaient donc contemporains de Pétronille HAEUW. Ils n’ont pas de lien de parenté connu avec cette dernière, toutefois Benjamin Florimond VAESKEN, évoqué plus haut, était aussi leur arrière-arrière-arrière-petit-fils.
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la grande rue et la route de Rubrouck
Les parents de Marie DAMMAN étaient tous deux originaires d’Ochtezeele. Son père, Simon DAMMAN y avait vu le jour le 30 janvier 1625 et sa mère, Marie PUPPINCK le 13 mai 1626. Ils ont été unis en l’église d’Ochtezeele le 30 avril 1647.
 Le père de Michel, Moris CAILLIAU qui était bourgeois de Cassel avait vu le jour à Noordpeene. Il avait épousé le 2 août 1633 à Ochtezeele, Anne VAN DAMME, une jeune fille probablement originaire de cette paroisse et le couple a vécu à Ochtezeele puisque tous leurs enfants y sont nés.
Le père d’Anne VAN DAMME, Michel Guillaume VAN DAMME, était également bourgeois de Cassel. Il avait épousé Anne HAEUW, à Ochtezeele, le 30 juin 1605.Une dizaine d’années après leur mariage, le dimanche 2 octobre 1616, ils ont vécu les festivités de la paroisse à l’occasion du jubilé sacertodal de leur prêtre, Pierre DE JONCKERE,
  Mis à part, Pierre Jean DEHAENE qui est le neveu de Charles Antoine AMMEUX, je n’ai pas trouvé d’autre lien de parenté entre ces cinq branches et pourtant on y trouve à plusieurs reprises les mêmes noms de famille. Marie Antonia WECXSTEEN, ancêtre de Charles Antoine AMMEUX et de Pierre Jean DEHAENE est-elle parente avec Pétronille WECXSTEEN, ancêtre de Dominique VERHILLE ? Pétronille HAEUW est-elle de la même famille que Marie HAEUW, ancêtre de Charles Antoine AMMEUX et de Pierre Jean DEHAENE ou Anne HAEUW, ancêtre de Jacques CAILLIAU ? On aurait envie d’y croire mais les actes paroissiaux ne nous permettent pas de le savoir.
  Sources :
 Archives Départementales du Nord 
 Retronews : Le Figaro du 25.02.1880
https://www.retronews.fr/journal/le-figaro/25-fevrier-1880/104/790511/5
 Gallica : Annales du Comité Flamand de France 1855
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55298892/f393.image.r=justin%20vandamme%22Oedipe%20apprenant%20le%20myst%C3%A8re%20de%20sa%20naissance%22?rk=21459;2
 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55298892/f366.image.r=%22La%20Parabole%20du%20pauvre%20Lazare%20et%20du%20mauvais%20riche%22
 Gallica : Annales du Comité Flamand de France 1875
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5506407b/f415.image.r=annette%20campaigne%20ochtezeele
 Gallica : Annales du Comité Flamand de France 1888
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55096929/f460.image.r=%22denis%20de%20massiet%22
 Gallica : Annales du Comité Flamand de France 1921
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97537808/f259.image.r=absalon%20verhille?rk=21459;2
 Gallica : Bulletin du Comité Flamand de France 1863
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5507021j/f22.image.r=jubil%C3%A9%20pierre%20de%20jonckere?rk=278971;2
 Gallica : Bulletin du Comité Flamand de France 1899
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5530310f/f14.image.r=jacques%20fran%C3%A7ois%20pierens
 Gallica : Bulletin du Comité Flamand de France 1900
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5545460h/f7.image.r=florent%20guiot%20ochtezeele
 Gallica : Bulletin du Comité Flamand de France 1904
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5745624t/f19.image.r=florent%20guiot%20ochtezeele
Gallica: Armorial de Flandre, du Hainaut et du Cambrésis par M. Borel d’Hauterive :
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k940014/f445.image
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1105894/f433.image
 Family Search
 Le Patrimoine des communes du Nord- Flohic éditions
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d-bovet · 3 years ago
Text
famille de Bovet originaire du Dauphiné
Source : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1119990/f301.item
Armes : d'azur à un boeuf passant d'or. Aliàs (d'après le règlement d'armoiries de 1819) : d'azur à un boeuf d'or passant sur une terrasse de sinople.
La famille de Bovet, originaire du Dauphiné, y est fort anciennement connue. Un de ses membres sollicita même sous Louis XV la faveur d'être admis aux honneurs de la Cour. On trouvera dans les manuscrits de Chérin, au mot Bouet, le rapport que le généalogiste des Ordres du Roi, chargé d'examiner cette requête, adressa le 2 juin 1763 au marquis de Béringhen. Ce rapport commence en ces termes : « On ignore l'origine de cette noblesse; elle parait néanmoins ancienne; mais, n'ayant point d'illustration, ni de possession de fiefs considérables, la privation de ces deux avantages ne lui permet pas de prouver son ancienneté. On trouve un Jean de Bovet sergent du Roi en 1333, qualité qui doit avoir été distinguée, puisqu'on la trouve à Guillaume de Roussillon et à Guillaume de Dicy en 1318. Le sceau de ce Jean Bovet au bas d'une quittance représente un boeuf ou taureau. Gaucelin Bovet donna aussi quittance de ses appointements de guerre l'an 1436. Son sceau représente un taureau. Le principal domicile de MM. Bovet a été au lieu de Crémieu, dans l'ancienne baronnie de la Tour du Pin, où noble Jean Bovet, fils d'un Étienne, épousa l'an 1437 Marie de Boenc, Lui ou un autre Jean Bovet est compris au rang des nobles et gentilshommes du Dauphiné dans les révisions qui en furent faites dans les années 1473 et 1484 et la vraisemblance donne lieu de croire qu'il fut le même que Jean Bovet dont le fils, nommé Zacharie, suit. Noble Zacharie Bovet, aussi établi à Crémieu, dans la baronnie de la Tour du Pin, et possédant des biens l'an 1483, rendit des services importants au dauphin Louis, connu depuis sous le titre de roi Louis XI. Ce prince le chargea de négociations l'an 1466 auprès du pape Paul II, comme le prouve une bulle de 1497 du pape Alexandre VI. Ce Zacharie vivait encore l'an 1507. Il laissa de Philippe de Brunel, sa femme, pour fils aîné noble Antoine Bovet, qui suit, et pour fils cadet noble Claude Bovet, auteur d'une branche connue sous la dénomination de seigneurs de la Bretonnière et divisée en deux rameaux dont l'un a suivi le parti des armes et l'autre a pris celui de la robe… ».
Le vicomte Révérend a d'autre part consacré une assez longue notice à la famille de Bovet dans son Annuaire de la Noblesse de 1891. On peut voir dans cette notice que Zacharie Bovet, mentionné plus haut, aurait été fils de Jean et d'Agnès de Vallin, petit-fils de Jean et de Marie de Boenc et arrière-petit-fils d'Etienne Bovet qui épousa Catherine d'Optevaz et qui aurait été lui-même fils de Jean Bovet et de Catherine de Virieu et petit-fils de Jean Bovet, écuyer, et d'Agathe Alleman.
Les deux fils de Zacharie Bovet, Antoine et Claude, furent les auteurs de deux grandes branches.
Antoine de Bovet, auteur de la branche aînée, épousa dans les premières années du XVIe siècle Marguerite de Vallin, fille de Claude et de Claudine de Virieu. Leur fils, Pierre de Bovet, Sgr de la Tour de Moiras en 1580, marié à Gasparde de Rigaud de Rajat, en eut deux fils :
Pierre de Bovet, Sgr de la Tour de Moiras, qui épousa Françoise de Pingon de Prangin ;
Henri de Bovet de Moiras, qui épousa Marguerite de Buffilet.
Ces deux frères furent les auteurs de deux rameaux dont les représentants furent maintenus dans leur noblesse le 20 juillet 1667 par jugement de l'intendant Dugué. Le premier de ces deux rameaux s'éteignit en la personne de François de Bovet, né en 1745, savant égyptologue, évêque de Sisteron en 1789, archevêque de Toulouse en 1817, qui mourut à Paris en 1838. Ce prélat avait eu plusieurs neveux auxquels il survécut et dont l'un, Fabien de Bovet, né le 7 mars 1772, s'était fait accorder en 1789 le certificat de noblesse prescrit pour obtenir le grade de sous-lieutenant. Le second rameau de cette branche s'éteignit avec Charles de Bovet, qui fut admis dans l'Ordre de Malte en 1781, et avec sa soeur, Adélaïde qui mourut dans un âge avancé en 1866 sans avoir contracté d'alliance.
La communauté d'origine de la branche cadette, issue de Claude, a été contestée par plusieurs auteurs et particulièrement par Guy Allard. Cette branche cadette ne tarda pas, en tout cas, à perdre sa noblesse par dérogeance. Elle alla se fixer à Crest et donna à cette ville une longue série de notaires. Antoine Bovet, notaire royal à Crest, épousa le 25 janvier 1550 Suzanne d'Arier, dernière représentante d'une vieille famille dont ses descendants relevèrent le nom. Leur fils, Jean Bovet d'Arier, lieutenant particulier en la sénéchaussée de Crest, décédé en 1617, dut, pour régulariser sa situation nobiliaire, se faire accorder le 16 novembre 1606 des lettres patentes d'anoblissement. Il laissa lui-même deux fils, François, né d'un premier mariage vers 1573, avocat au Parlement de Grenoble, et Jean, né posthume en 1617 d'un troisième mariage, qui furent les auteurs de deux rameaux.
Jacques François Bovier d'Arier, fils de François et chef du premier rameau, fut un jurisconsulte distingué. Il était conseiller du Roi et premier professeur en l'Université de Valence quand il fut maintenu dans sa noblesse le 20 juillet 1667 par jugement de l'intendant Dugué après avoir, malgré l'anoblissement de 1606, prouvé sa filiation depuis Claude Bovet vivant en 1497, Ce rameau, connu dans la suite sous le nom de Bovet de la Bretonnière, donna un conseiller au Parlement de Grenoble et s'éteignit vers le milieu du XVIIIe siècle.
Jean Bovet d'Arier, né à Crest en 1617, auteur du second rameau, aujourd'hui seul existant, obtint le 10 janvier 1665 l'enregistrement au Parlement de Grenoble des lettres de noblesse obtenues par son père en 1609. Il fut probablement le même personnage qu'un noble Jean de Bovet, conseiller du Roi et son maître d'hôtel ordinaire, capitaine au régiment de Navarre, que l'on trouve avoir été maintenu dans sa noblesse en 1667 en même temps que son oncle Jacques François, le professeur en l'Université de Valence mentionné plus haut. Il possédait le domaine de Chosson, auquel il donna le nom de Bovet et que sa descendance conserva jusqu'en 1816. Il avait épousé Marie Chaix et en eut plusieurs fils qui retombèrent dans la bourgeoisie. Ce rameau de la famille Bovet demeura non noble jusqu'à l'époque de la Restauration. Jean-Claude Bovet, sieur du domaine de Bovet, né en 1728, notaire royal à Crest, laissa trois fils :
Jean-Gaspard Bovet, né en 1758, marié en 1781 à Marthe Chaix qui fut l'aïeul des représentants actuels ;
Antoine Bovet, né en 1760, receveur de l'enregistrement, dont le fils mourut sans postérité en 1852 ;
Jean-François Bovet, né en 1762, directeur de l'enregistrement et des domaines, chevalier de la Légion d'honneur. Ce dernier obtint le 17 avril 1819 des lettres patentes d'anoblissement avec règlement d'armoiries après avoir justifié qu'il descendait de Jean Bovet d'Arier, anobli en 1606 ; il fit dès lors, ainsi que ses neveux, précéder son nom de la particule DE ; il ne laissa qu'un fils qui mourut sans postérité. Son neveu, Alexandre Gaspard de Bovet, né en 1787, notaire à Crest, fils de Jean Gaspard et de Marie Chaix, a laissé quatre fils dont le plus jeune, Antoine Gabriel, né à Crest en 1825, a été général de brigade, gouverneur de Belfort et officier de la Légion d'honneur ; il avait eu, en outre, une soeur, Marie Adeline, qui épousa vers 1810 M. Mourier, notaire à Pernes, et dont les enfants ont été connus sous le nom de Mourier de Bovet.
Laurent de Bovet, lieutenant pour le Roi et gouverneur de la ville et du château du Briançon, et Jean-François de Bovet, conseiller du Roi au Parlement du Dauphiné et garde des sceaux, firent enregistrer leur blason à l'Armorial général de 1696.
M. de Bovet prit part en 1789 aux assemblées de la noblesse de l'élection de Vienne. M. de Bovet de Fontbelle fut du nombre des gentilshommes de l'élection de Grenoble qui signèrent le 6 avril 1789 une protestation de la noblesse et du clergé du Dauphiné contre les décisions prises par l'assemblée de Romans.
La famille de Bovet n'a jamais été titrée.
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Elle a fourni, en dehors des personnages mentionnés plus haut, un évêque d'Angers en 1545, des officiers, plusieurs professeurs distingués à l'Université de Valence et de nos jours une femme de lettres (Marie-Anne de Bovet, marquise de Boishébert).
Principales alliances : de Vallin, de Boenc, de Rigaud de Rajat, de Clermont-Chaste 1670, de Rostaing 1730, Chaix, Dareste 1813, Bérard de Gouttefrey, de Courpon, des Champs de Boishébert 1901, etc.
Il a existé en Tarentaise une autre famille de Bovet qui s'éteignit au XVe siècle. Cette famille portait pour armes : d'azur à trois bovets d'or rangés en pal.
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