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#guerre d'algérie
rotor25 · 2 years
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skaediteur · 1 year
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Ankylose
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garadinervi · 2 months
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Annie Rey-Goldzeiguer, Aux origines de la guerre d'Algérie, 1940-1945. De Mers-el-Kébir aux massacres du Nord-Constantinois, Casbah Editions, Alger, 2002 (also La Découverte, Paris, 2002)
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mydearalgeria · 1 year
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Algérie. Mériem Bouatoura, surnommée Yasmina, combattante de l'ALN (Armée de libération nationale) lors de la guerre d'Algérie, en Algérie, circa 1960
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dorianmathay · 6 months
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(J) DERRIDA.éd_Galilée.2006.(op.cit) 81p:"[...]dans ce qui donne son ton au ton, un rythme.[...]contracté à l'école, ce goût hyperbolique pour la pureté de la langue. Et partant pour l'hyperbole en général. Une hyperbolite incurable. Une hyperbolite généralisée. Enfin, j'exagère. J'exagère toujours." & (81-82p):"parler en bon français, en français pur, même au moment de s'en prendre, de mille façons, à tout ce qui s'y allie et parfois à tout ce qu'il habite. Cet hyperbolisme (《plus français que le français》, plus 《purement français 》que ne l'exigeait la pureté des puristes alors même que, depuis toujours, je m'en prend à la pureté et à la purification en général, et bien sûr aux 《ultras》d'Algérie), cet extrémisme intempérant et compulsif, je l'ai sans doute contracté à l'école, oui, dans les différentes écoles françaises où j'ai passé ma vie. (Tiens, est-ce fortuit, les institutions qui m'ont hébergé, même dans l'enseignement dit supérieur, se sont appelées 'écoles', plus souvent que 'universités')."※
Mais je viens de le suggérer, cette démesure fut sans doute plus archaïque en moi que l'école . Tout avait du commencer avant la maternelle ; il me restait donc à l'analyser plus près de mon antiquité [...]j'ai [..] besoin de me reporter à cette antiquité pré-scolaire pour rendre compte de la généralité de cet 'hyperbolisme' qui auras envahie ma vie et mon travail.(83p)Les choses changèrent plus vite qu'au rythme des générations.[..] Mais il y eut un moment singulier dans le cours de cette même histoire. Pour tous les phénomènes de ce type, la guerre précipite la précipitation générale. [...] la guerre reste un formidable 'accélérateur'.[..] juste après le [D]ébarquement des Allié[(e)]s en Afrique du Nord, en [N]ovembre 1942, on assiste alors à la constitution d'une sorte de capitale littéraire de la France en exil à Alger. Effervescence culturelle, présence des écrivains 'célèbres', prolifération de revues et d'initiatives éditoriales. Cela confère aussi une visibilité plus théâtrale à la littérature algérienne d'expression, comme on dit, française, qu'[eILe] s'agisse d'écrivains d'origine européenne (Camus et bien d'autres) ou, mutation très différente, d'écrivains d'origine algérienne. Quelques années plus tard, dans le sillage [..]de cet étrange [..]gloire, j'ai été comme harponné par la littérature et la philosophie française, l'une et l'autre, l'une ou l'autre 『sugg.: 'l'une <&> l'autre-』: flèches de métal ou de bois, corps pénétrant de paroles enviables, redoutables , inaccessibles alors qu'elles entraient en moi, phrases qu'il fallait à la fois s'approprier, domestiquer, 〔italic;'amadouer'〕, c'est-à-dire aimer en enflammant, brûler[..], peut-être détruire, en tout cas marquer, transformer, tailler, entailler, forger, greffer au feu, faire venir autrement, autrement dit, à soi en soi." & (85p.:) ' Mais le rêve qui devait commencer alors de se rêver, c'était peut–être de lui faire 『arriver』quelque chose, à cette langue.[...]."
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Pauline Lecomte : Vous avez publié naguère une biographie intellectuelle consacrée à Ernst Jünger, figure énigmatique et capitale du XXe siècle en Europe. Avant de se faire connaître par ses livres, dont on sait le rayonnement, cet écrivain majeur fut un très jeune et très héroïque combattant de la Grande Guerre, puis une figure importante de la "révolution conservatrice". Comment avez-vous découvert l’œuvre d'Ernst Jünger ?
Dominique Venner : C'est une longue histoire. Voici longtemps, quand j'écrivais la première version de mon livre Baltikum, consacré à l'aventure des corps-francs allemands, pour moi les braises de l'époque précédente étaient encore chaudes. Les passions nées de la guerre d'Algérie, les années dangereuses et les rêves fous, tout cela bougeait encore. En ce temps-là, un autre écrivain allemand parlait à mon imagination mieux que Jünger. C'était Ernst von Salomon. Il me semblait une sorte de frère aîné. Traqué par la police, j'avais lu ses Réprouvés tout en imaginant des projets téméraires. Ce fut une révélation. Ce qu'exprimait ce livre de révolte et de fureur, je le vivais : les armes, les espérances, les complots ratés, la prison... Ersnt Jünger n'avait pas connu de telles aventures. Jeune officier héroïque de la Grande Guerre, quatorze fois blessé, grande figure intellectuelle de la "révolution conservatrice", assez vite opposé à Hitler, il avait adopté ensuite une posture contemplative. Il ne fut jamais un rebelle à la façon d'Ernst von Salomon. Il a lui-même reconnu dans son Journal, qu'il n'avait aucune disposition pour un tel rôle, ajoutant très lucidement que le soldat le plus courageux - il parlait de lui - tremble dans sa culotte quand il sort des règles établies, faisant le plus souvent un piètre révolutionnaire. Le courage militaire, légitimé et honoré par la société, n'a rien de commun avec le courage politique d'un opposant radical. Celui-ci doit s'armer moralement contre la réprobation générale, trouver en lui seul ses propres justifications, supporter d'un cœur ferme les pires avanies, la répression, l'isolement. Tout cela je l'avais connu à mon heure. Cette expérience, assortie du spectacle de grandes infamies, a contribué à ma formation d'historien. A l'époque, j'avais pourtant commencé de lire certains livres de Jünger, attiré par la beauté de leur style métallique et phosphorescent. Par la suite, à mesure que je m'écartais des aventures politiques, je me suis éloigné d'Ernst von Salomon, me rapprochant de Jünger. Il répondait mieux à mes nouvelles attentes. J'ai donc entrepris de le lire attentivement, et j'ai commencé de correspondre avec lui. Cette correspondance n'a plus cessé jusqu'à sa mort.
P. L. : Vous avez montré qu'Ernst Jünger fut l'une des figures principales du courant d'idées de la "révolution conservatrice". Existe-t-il des affinités entre celle-ci et les "non conformistes français des années trente" ?
D. V. : En France, on connaît mal les idées pourtant extraordinairement riches de la Konservative Revolution (KR), mouvement politique et intellectuel qui connut sa plus grande intensité entre les années vingt et trente, avant d'être éliminé par l'arrivée Hitler au pouvoir en 1933. Ernst Jünger en fut la figure majeure dans la période la plus problématique, face au nazisme. Autour du couple nationalisme et socialisme, une formule qui n'est pas de Jünger résume assez bien l'esprit de la KR allemande : "Le nationalisme sera vécu comme un devoir altruiste envers le Reich, et le socialisme comme un devoir altruiste envers le peuple tout entier". Pour répondre à votre question des différences avec la pensée française des "non conformistes", il faut d'abord se souvenir que les deux nations ont hérité d'histoires politiques et culturelles très différentes. L'une était sortie victorieuse de la Grande Guerre, au moins en apparence, alors que l'autre avait été vaincue. Pourtant, quand on compare les écrits du jeune Jünger et ceux de Drieu la Rochelle à la même époque, on a le sentiment que le premier est le vainqueur, tandis que le second est le vaincu. On ne peut pas résumer des courants d'idées en trois mots. Pourtant, il est assez frappant qu'en France, dans les différentes formes de personnalisme, domine généralement le "je", alors qu'en Allemagne on pense toujours par rapport au "nous". La France est d'abord politique, alors que l'Allemagne est plus souvent philosophique, avec une prescience forte du destin, notion métaphysique, qui échappe aux causalités rationnelles. Dans son essais sur Rivarol, Jünger a comparé la clarté de l'esprit français et la profondeur de l'esprit allemand. Un mot du philosophe Hamman, dit-il, "Les vérités sont des métaux qui croissent sous terre", Rivarol n'aurait pas pu le dire. "Il lui manquait pour cela la force aveugle, séminale."
P. L. : Pouvez-vous préciser ce qu'était la Weltanschauung du jeune Jünger ?
D. V. : Il suffit de se reporter à son essai Le Travailleur, dont le titre était d'ailleurs mal choisi. Les premières pages dressent l'un des plus violents réquisitoires jamais dirigés contre la démocratie bourgeoise, dont l'Allemagne, selon Jünger, avait été préservée : "La domination du tiers-état n'a jamais pu toucher en Allemagne à ce noyau le plus intime qui détermine la richesse, la puissance et la plénitude d'une vie. Jetant un regard rétrospectif sur plus d'un siècle d'histoire allemande, nous pouvons avouer avec fierté que nous avons été de mauvais bourgeois". Ce n'était déjà pas mal, mais attendez la suite, et admirez l'art de l'écrivain : "Non, l'Allemand n'était pas un bon bourgeois, et c'est quand il était le plus fort qu'il l'était le moins. Dans tous les endroits où l'on a pensé avec le plus de profondeur et d'audace, senti avec le plus de vivacité, combattu avec le plus d'acharnement, il est impossible de méconnaître la révolte contre les valeurs que la grande déclaration d'indépendance de la raison a hissées sur le pavois." Difficile de lui donner tort. Nulle part sinon en Allemagne, déjà avec Herder, ou en Angleterre avec Burke, la critique du rationalisme français n'a été aussi forte. Avec un langage bien à lui, Jünger insiste sur ce qui a préservé sa patrie : "Ce pays n'a pas l'usage d'un concept de la liberté qui, telle une mesure fixée une fois pour toutes est privée de contenu". Autrement dit, il refuse de voir dans la liberté une idée métaphysique. Jünger ne croit pas à la liberté en soi, mais à la liberté comme fonction, par exemple la liberté d'une force : "Notre liberté se manifeste avec le maximum de puissance partout où elle est portée par la conscience d'avoir été attribuée en fief." Cette idée de la liberté active "attribuée en fief", les Français, dans un passé révolu, la partagèrent avec leurs cousins d'outre-Rhin. Mais leur histoire nationale évolué d'une telle façon que furent déracinées les anciennes libertés féodales, les anciennes libertés de la noblesse, ainsi que Tocqueville, Taine, Renan et nombre d'historiens après eux l'ont montré. A lire Jünger on comprend qu'à ses yeux, à l'époque où il écrit, c'est en Allemagne et en Allemagne seulement que les conditions idéales étaient réunies pour couper le "vieux cordon ombilical" du monde bourgeois. Il radicalise les thèmes dominants de la KR, opposant la paix pétrifiée du monde bourgeois à la lutte éternelle, comprise comme "expérience intérieure". C'est sa vision de l'année 1932. Avec sa sensibilité aux changements d'époque, Jünger s'en détournera ensuite pour un temps, un temps seulement. Durant la période où un fossé d'hostilité mutuelle avec Hitler et son parti ne cessait de se creuser.
Dominique Venner, Le choc de l'histoire (Via Romana, 2011)
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0mega-x · 6 months
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Eh jcomprends rien du cours d'hggsp sur la partie avec la guerre d'Algérie jpp IL EST OÙ LE FIL DIRECTEUR ?!?!?
Le thème histoire et mémoire va m'achever kdjzlfleb
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jezatalks · 10 months
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Euh bon, j'ai faillit mourir 2 fois en 48h.
Vendredi la fumée de cacahuètes grillées. Et la nuit de dimanche de fumée d'incendie.
On est allés chez mes grands parents dimanche pour fêter mon anniversaire, ça se passait bien. Avec ma sœur on a traîné un peu, elle s'endort.
1h du mat je vais au toilettes, et au moment de me brosser les dents j'entends un énorme BOUM. Un deuxième. Et au troisième, je descend en trombe avec mon père (réveillé par le bruit).
Dans le salon, mes grands parents paniqués, de la fumée qui sort d'on ne sait où et qui tentent d'ouvrir toutes les fenêtres pour aérer (très mauvaise idée si feu il y a car appel d'air)
On réveille ma mère, mon oncle et ma sœur, l'électricité saute et on sort dehors en veillant à tout fermer derrière.
On a appelé les pompiers qui sont intervenus en 20min (on est au milieu de la campagne en bordure de village).
Au total il y a eu 5 camions et une quinzaine de pompiers. Pas tant que ça de dégâts (enfin si un peu quand même).
Le voisin a pu nous hébergés, et un autre est venu le lendemain pour brancher les congelos au central électrique de la maison de sa mère à côté. (Partie en vacances sinon c'est pas drôle)
Toute la maison est couverte de suie et pue la fumée (probablement des merdes et du plastique).
Après investigation des pompiers c'était le sechoir à champignons (bricolé par mon grand père dans une vieille table de chevet) qui a cramé.
Il y avait la voiture vraiment pas loin des flammes, des bidons d'essence pour la tondeuse à gazon à 2m, et les pompiers ont trouvé in extremis 2 balles de carabine (j'ai plutôt envie de dire des obus) datant probablement de la guerre d'Algérie (brûlantes selon ses dires).
Donc on a échappé à pire.
Heureusement que toute la famille était là ce week-end, car mes grands parents n'auraient pas eu tous les réflexes et lucidité qu'on a eu.
Ils tenaient (pendant et après l'incendie) à retourner dans la maison investiguer, récupérer des affaires durant l'intervention, et surtout NOUS AFFIRMAIENT que "mais non vous exagérez ça sent plus dans la maison et il n'y a pas de suie. On veut dormir dans nos lit" alors que ça puait de l'extérieur.
(Sur la 1ere photo on peut voir les interstices de la porte de garage devenir noires tellement la fumée était épaisse)
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Pour rassurer, tout le monde va bien. Mes grands parents sont un peu chamboulés. Il n'y a que le sous sol/garage qui a cramé (sur 3m²).
Les assurances et techniciens sont tous passés. Encore merci à la quinzaine de pompiers volontaires qui se sont déplacés et au voisin de nous avoir hébergés.
Avec ma sœur on est rentrés en car, elle car elle travaille demain, moi car j'ai les poumons qui me piquent encore. Nos parents et mon oncle restent pour veiller sur nos grands parents et aider à gérer toute la paperasse.
Ce que j'en retiens : Je n'oublierai jamais la semaine de mes 26 ans. J'espère que ça ne présage rien pour mon pvt...
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sabrinedz · 3 months
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Femmes algériennes 1960, Marc Garanger
Un photographe français dans ses mémoires sur la guerre d'Algérie:
"Je n'ai pas eu peur dans ma vie
sauf ce moment ou j'ai photographié cette femme des Aurès"
La Martyre et la lionne des Aurès, Ghezala Bent Ammar de Tazbent à Cheria, Tebessa - Algérie 🇩🇿
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studygrammeuse · 1 year
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J'ai fini la bande dessinée 'Carnets d'Algérie' de Jacques Ferrandez. Je vous la conseille vivement ! C'est vraiment une pépite. L'histoire est inspirée de faits réels même si les personnages principaux sont totalement fictifs. De plus, elle contient des documents historiques sur la guerre d'Algérie, cela permet de venir préciser certains points sur cette guerre. C'est une BD importante qui mérite vraiment plus de visibilité !
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alain-keler · 3 days
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Paris, dimanche 8 mai 1988.
 J'ai publié l'autre jour pour la fête de jeanne d'Arc, le défilé du Front National avec des adhérents exhibant des portraits du Maréchal Pétain. Mais ce jour-là il y avait aussi des membres du groupuscule fasciste du parti nationaliste français et européen (PNFE). Tout ce beau monde défilait rue de Rivoli, comme autrefois l'armée allemande triomphante.
Sur la photo publiée aujourd'hui on voit des membres du PNFE. 
 "Adepte des thèses du racisme biologique, opposé à la démocratie et au « capitalisme cosmopolite », il dénonce le « lobby juif mondial ». Il est issu d'une scission du Parti nationaliste français en 1985 et est inactif depuis 19991. Comme beaucoup d'autres groupes d'extrême droite français, le PNFE utilise la croix celtique comme emblème. Sa devise était « France d'abord ! Blanche toujours ! ». Parmi ses membres, figurent le négationniste Vincent Reynouardou le militant Michel Faci. Erik Sausset, rédacteur de la revue Le Flambeau, en fut le président de 1996 à 1999.
En janvier 1994, les Faisceaux nationalistes européens (FNE) de Mark Fredriksen se rallient au PNFE.
Il fête l'anniversaire de la naissance d'Adolf Hitler lors d'un banquet le 22 avril 1990 et s'est rendu en juin 1995 au congrès du parti allemand d'extrême droite NPD.
Le PNFE rallia des policiers français issus de la Fédération professionnelle indépendante de la police(FPIP). Le président du PNFE était Claude Cornilleau. Militaire de carrière, il est condamné par contumace à vingt ans de prison pour sa participation au putsch d'avril 1961 pendant la guerre d'Algérie, mais bénéficie de l'amnistie de 1968. De 1979 à 1981, il est membre du FN. Conseiller municipal RPR de Chelles (Seine-et-Marne) en 1983, il est contraint à la démission en 1987 en raison de propos très virulents et racistes"*.
 Trente-six ans après ce défilé, il me paraît difficile de ne pas croire que certains de ces membres n'aient pas fait allégeance au Rassemblement National. Ce n'est bien entendu qu'une hypothèse personnelle !
* source https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_nationaliste_français_et_européen
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sous-france · 12 days
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1. Le Concept de la "Sous France"
La photographie est bien plus qu'un art pour moi; c'est une thérapie puissante qui m'a aidé à surmonter des états émotionnels fragiles et à combattre la xénophobie. Mon projet photographique, intitulé Sous-France, reflète à la fois mes souffrances personnelles et les réalités sociales de mon quartier populaire.
Définition et résonance : Le terme "Sous-France" résonne profondément, évoquant les réalités complexes et douloureuses des quartiers populaires. Il symbolise les souffrances et défis socio-économiques vécus par certains citoyens, souvent marginalisées et souvent confrontées à des discriminations systémiques ancrées dans les structures sociales et institutionnelles qui perpétuent les inégalités. Impact personnel: Pour vous, la "Sous-France" est plus qu'un concept ; c'est une réalité vécue. La douleur du racisme et des injustices subies a éveillé en vous une passion pour la photographie, transformant les cicatrices de votre enfance en une forme d'expression artistique à l'âge adulte.
Clarification de l'appellation: Il est crucial de noter que cette appellation n'est pas une critique de la France, ce n'est pas de l'anti France, mais plutôt une reconnaissance sincère des défis réels et à renforcer les valeurs universelles. 2. La Charge Raciale et mon travail photographique Charge Racial: "La charge raciale", comme décrite par Douce Dibondo, implique des efforts constants pour se conformer aux attentes de la société majoritaire, fréquemment au détriment de l'identité personnelle. Vos photographies capturent cette tension entre l'authenticité et les difficultés pour être accepté. Exploration authentique: Mes œuvres photographiques explorent cette "Sous-France" de l'enfance. Chaque photo est un acte de résilience, documentant la diversité et les richesses culturelles des quartiers populaires, et offrant une fenêtre sur les réalités quotidiennes des habitants. 3. La Psychogénéalogie et mon Histoire Psychogénéalogie & traumas transgénérationnels: La psychogénéalogie explore comment les traumatismes non résolus et les secrets familiaux sont transmis de génération en génération. Les descendants portent les conséquences émotionnelles et psychologiques des événements historiques vécus par leurs ancêtres. Lien avec la Guerre d'Algérie et la colonisation : La guerre d'Algérie est un traumatisme majeur dont les répercussions se font encore sentir aujourd'hui. Les non-dits et les souffrances non exprimées continuent d'affecter les descendants colonisés. À travers mon travail photographique, j'ai pu évacuer ses traces silencieuses de cette guerre, de la colonisation, révélant des blessures intergénérationnelles invisibles, mais profondément enracinées. Cette souffrance, c'est vivre sous le poids de la "charge raciale" et des héritages psychogénéalogiques et des traumas transgénérationnels. Objectifs de Vos oeuvres: Mes photos célèbrent la résilience et la diversité, tout en soulignant l'importance de la compréhension et de l'empathie pour surmonter les peurs et promouvoir la tolérance. Combat contre l'extrémisme : J'utilise cet art pour combattre les peurs, résister à la normalisation de l'extrême droite, et rejeter l'extrémisme religieux. Mes images sont des outils pour sensibiliser et éduquer, favorisant une société plus inclusive et tolérante. Mon travail photographique est une exploration poignante et authentique de cette "Sous-France". En capturant les réalités vécues avec des héritages historiques, j'utilise l'art comme moyen de résilience personnelle et de dialogue social. Mes œuvres encouragent la compréhension, l'empathie, et la tolérance, tout en résistant aux forces de l'extrémisme. Ce parallèle entre la charge raciale, la psychogénéalogie, les traumatismes transgénérationnels et le travail photographique démontre comment l'histoire personnelle et collective peut être transformée en une force pour le changement et la cohésion nationale.
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lonesomemao · 2 months
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LE PAYS DANS LE CIEL
OCCIDENT
Après la guerre d'Algérie
Se créa Occident
Où s'entendant parfaitement
Une Action Française Gaullienne
Et des nostalgiques de Pétain
Développèrent l'état d'esprit
Françafrique à partir de Paris l'homme blanc
Anticommunisme primaire de crétins
Pris par l'empire rouge
Russie Blanche couleur de peau
Contre Occident
Pour moi Oxydant
Une dame blanche
Et avec elle le sexe touchant
L'Europe est belle
Une souillure cependant
La Biélorussie obligée de se raccrocher
A Occident
Mardi 30 avril 2024
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26 mars : le jour où les pieds-noirs ont perdu l’Algérie
Il y a 62 ans des soldats français tiraient sur la foule des manifestants faisant des dizaines de morts. Les victimes de la fusillade de la rue Isly, à Alger, le 26 mars 1962, étaient des Français vivant en Algérie manifestant contre le processus de décolonisation. Quelques jours plus tôt, le 18 mars, les accords d’Évian avaient accordé son indépendance à l’Algérie, mettant fin à 17 ans d’une sale guerre. Les appelés étaient enfin démobilisés, ce que la France célèbre chaque 19 mars. Mais pour les Pieds-noirs, tel qu’on appelait à l’époque les Français vivant en Algérie, le conflit n’était pas achevé. Le Cercle Algérianiste et d’autres associations de Pieds-noirs, souhaiteraient que l’on commémore le massacre du 26 mars, et demandent que cette journée soit inscrite prochainement à l'agenda des commémorations officielles. Ce qui n’est pas le cas, il n’y a pas de commémorations récurrentes, sauf des cérémonies ponctuelles et discrètes, dans diverses localités du sud de la France où vivent de nombreux descendants de Pieds-noirs.
Cela n’a pas empêché les autorités de célébrer le 80e anniversaire du drame en présidence du président Macron qui a dénoncé «une page tragique de notre récit national» et un massacre « impardonnable ». Le président français  voulait contrebalancer, dans la mémoire des Pieds-noirs, son qualificatif de « crime contre l’humanité » dont il avait taxé la colonisation, lors d’une visite à Alger en 2017. Une qualification qui n’avait pourtant rien d’exagéré si on se remémore les conditions de la conquête de 1830 et des années qui ont suivi.
Le 26 mars 2022, le président Macron avait rendu hommage aux 800 000 Français d'Algérie, «déracinés au sein de leur propre patrie», mais sans pour autant reconnaître la responsabilité de l’État français dans ce massacre. Il est vrai que les circonstances étaient assez particulières. Quelques jours plus tôt, le 20 mars déjà, des Français avaient tué des Français. Les victimes étaient des soldats du contingent tués par des terroristes français engagés dans l’OAS, la sinistre Organisation de l’armée secrète qui s’était donné pour objectif de saboter de processus d’indépendance de l’Algérie. C’est cette même OAS qui avait appelé la population européenne d’Alger à la manifestation du 26 mars. Malgré son interdiction par le préfet de police, plusieurs milliers de partisans de l'Algérie française ont afflué. Ils se dirigent vers le quartier de Bab-el-Oued, refuge de membres de l'OAS, afin de forcer les barrages installés par l'armée française Le trajet principal passe devant la Grande Poste, à l'entrée de la rue d'Isly. Des soldats du contingent, marqués par la fusillade du 20 mars, étaient chargés du maintien de l’ordre. C’est là que tout a dérapé. Un premier coup de feu est parti. On ne sait d’où, car aucune enquête officielle n’a été faite après le massacre. Soudain, les soldats ont tiré sur la foule perçue comme menaçante. Le bilan officiel est d'une cinquantaine de morts et 150 blessés, sans doute plus, on ne sait pas exactement. Des pieds-noirs se sont aussitôt vengés en lynchant des Algériens du quartier de Belcourt (aujourd’hui Belouizdad)… l’enchaînement de la violence a ruiné tout espoir d’empêcher l’indépendance de l’Algérie. C’est dire si cette date est douloureuse pour ceux qui ont dû quitter un pays où ils étaient établis parfois depuis plusieurs générations, mais établis comme colons, au détriment d’une population autochtone dépourvue de tout droit politique. L'événement a marqué le début de l'exode massif des Européens d'Algérie.
Le soir du 26 mars 1962, le président Charles de Gaulle s'adressait aux Français pour leur demander de voter en faveur de l’indépendance de l’Algérie. Il ne fit aucune allusion à ce massacre occulté pendant des dizaines d’années. En 2010, toutefois, le gouvernement français a finalement décidé d'inscrire les noms des victimes de la rue d'Isly sur le Mémorial de la guerre d'Algérie à Paris, mais l'État français n'a jamais reconnu de responsabilité dans ces événements dans lesquels les terroristes de l’OAS ont aussi leur part. Et après le 26 mars, l’OAS fera encore de nombreuses victimes, tant civiles que militaires. L’indépendance de l’Algérie qui arrivait beaucoup trop tard, était dans le sens de l’histoire. L’opinion publique française voulait tourner la page de la guerre d’Algérie. D’où l’occultation de ce drame, comme d’autres, pendant un demi-siècle.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 26 mars 2024
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lanuitlennuie · 4 months
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Du Triste tigre de Neige Sinno au récent divan sur lequel je flotte le regard accroché au portrait du prophète barbu, quelque chose de mai 68 est remonté dans un souffle invisible mais puissant, ouvrant des portes cochères et des trappes de grenier, m'échouant démantibulée sur un territoire familier mais reconfiguré. En parlant avec S, je retourne lire Kristin Ross qui permet de rendre justice et défaire l'usurpation historique par laquelle s'est refermé un immense, profond et large mouvement de contestation dans lequel s’étaient engagés des millions de personnes - aux conditions et activités disparates mais dont elles refusaient la séparation - , réduit par le récit officiel à une simple révolte de jeunesse n'ayant aboutit qu'à une transformation d'une bourgeoisie autoritaire en son clone libéral. Mes yeux brûlent mais il n'est pas trop tard ni pour le chagrin ni pour la joie de voir apparaître cette vérité dans toute sa spécificité historique et matérielle, ce qu'elle fait au monde d'où je viens, le réouvrant à froid, sans tri, sans hiérarchie.
« Mai 68 se limite donc au seul mois de mai - pas même à celui de juin, au cours duquel pourtant près de neuf millions de travailleurs, tous horizons géographiques ou sociaux confondus, poursuivent leur grève. La plus grande grève générale de l'histoire de France se trouve ainsi reléguée à l'arrière-plan, tout comme la genèse de l'insurrection, dont on peut déjà trouver les ferments à la fin de la guerre d'Algérie, soit au début des années 60. Ni la violente répression d'État qui mit un terme aux évènements de mai-juin, ni la violence gauchiste qui a perduré jusqu'au début des années 1970 ne sont évoquées. Ce ne sont pas moins de quinze à vingt ans de radicalisme politique qui sont ainsi occultés, dont les symptômes étaient déjà manifestes dans l'émergence progressive d'une opposition limitée mais significative à la guerre d'Algérie et dans l'adhésion de nombreux Français, dans la foulée de l'énorme secousse des révolutions anti-coloniales, à une analyse «tiers-mondiste» de la politique globale. Il était également manifeste dans la récurrence de troubles, vers le milieu des années 1960, parmi les ouvriers des usines françaises, ainsi que dans l'émergence d'un marxisme critique, antistalinien, exprimé dans les innombrables journaux qui fleurirent entre le milieu des années 1950 et celui des années 1970. La conjoncture politique en France était en fait dominée par un marxisme très dynamique, que ce soit à l'intérieur du mouvement ouvrier, à l'université par le biais des idées d'Althusser, dans les petits groupes maoïstes, trotskistes ou anarchistes, ou encore dans la recherche, en tant que cadre de pensée dominant en philosophie et en sciences humaines depuis la Seconde guerre mondiale. Tout cela s'évanouit pourtant au profit d'un récit dans lequel Mai 68 jaillit soudain de nulle part, de manière tout à fait spontanée. Cet oubli est sans doute le prix à payer pour «sauver» le joli mois de mai au cours duquel est né la «libre expression». Cette restriction des évènements au seul mois de mai a des répercussions importantes. La raccourci temporel non seulement fonde mais renforce la réduction géographique du théâtre d'activité à la seule ville de Paris et, plus spécifiquement encore, au Quartier Latin. Une fois de plus, le rideau tombe sur les travailleurs en grève dans les faubourgs de la capitale et dans tout le pays.» Kristin Ross, Mai 68 et ses vies ultérieures, p.20.
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mariesrbouipochodian · 4 months
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On a eu deux guerres mondiales en Europe.
1914-1918. La révolution bolchevique.la guerre de 1939-1944..
pour la France aussi la guerre d'Indochine, d'Algérie et du Liban.
En fait, il y a eu le plan Marshall et les alliés surtout les usa ont dit qu'il fallait rembourser cette aide.
D'une certaine façon, encore aujourd'hui, l'Europe, de l'Atlantique au pacifique, rembourse cette aide.
Je pense que les peuples européens meurent par la faute des usa et leur paranoïa. Les usa haïssent les musulmans, les noirs et les communistes. Donc toute l'Europe et l'Afrique et l'orient.
Que pensent les usa des juifs et des asiatiques.
Que pensent les usa des latinos des Amériques.
Doit on toute la planète mourir pour que les cerveaux paranoïaque des usa n'aient plus peur
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