#gonzesse
Explore tagged Tumblr posts
Text
"Le reste du temps qu'est-ce qu'il fabrique le peuple [...] Entre les déluges ? Rien ! Il s'écoute causer, roter, il se fait reluire avec des conneries, comme des vraies gonzesses, des futilités, des babioles [...] jamais il parle du fond des choses." - Louis-Ferdinand Céline
25 notes
·
View notes
Text
Réflexion à la con de 3h du mat :
Dans Kaamelott y'a quand même pas mal de chevaliers qui ont des pensés et des remarques assez homophobes (on entend souvent des insultes type "pédale" "fiote" "grosse tantine" etc. sans compter les remarques type "comme une gonzesse")
Et je me disais que dans le contexte de la série, ça n'a aucun sens
Parce que dans la série c'est quand même acté que c'est l'église catholoique qui a amené l'idée que l'homosexualité, c'est pas bien
Avant ça, ça semblait pas être spécialement tabou. Athur lui-même, déjà, est pas contre (bon on peut dire que c'est lié à son éducation à Rome, mais à ce stade de la série je crois pas que A.A avait déjà imaginé cette backstory pour Arthur), et il dit même qu'il y a sûrement pas plus ou moins d'homosexualité à Kaamelott qu'ailleurs. Sous entendu donc, que c'est plutôt commun et banalisé dans le monde celte.
Du coup, ça n'a pas de sens que les chevaliers (ou tout autre celte) aient des propos homophobes vu que ce n'était pas vu comme un péché avant l'arrivée du christianisme...non ?
68 notes
·
View notes
Note
HEY DUROC HAVE YOU HEARD
EVERYONES TURNING INTO GIRLS I DID FOR A FEW DAYS IT WAS FUN BUT I TURNED BA-
OH LA FUCK
Youre a gonzesse!
and marmonts a goat! hey buddy havent seen ya around!
— @armagnac-army
E-Eh... Hi Lann-
OH MY GOD, IS THAT YOU LAN-MAN...?!?!?!?
For a moment, Marmont looks all exited to see... a friend, but then he suddenly freezes and tries to hide away, only to be in vain.
Uh... Y-Yes but...! Afterlife! He he he...! Ha...!
It's... good to see ya!!!
I was just uh... hangin', 'round 'ere, y'know?
You look fresh as ever, buddy!!!
As Lannes could notice, a tail would be wagging behind Marmont in a exited way. It was black and thin, and whose tip resembled a spade/pike.
And indeed, I'm a goat, or... most likely, THE G.O.A.T!!! HEHEHE HAHA!!
Eh...
Who I am kidding, obviously you are...
And I'm not.
17 notes
·
View notes
Text
Zuza appartient à @soupedepates
Le texte qui suit aborde des thèmes lourds autour de la grossesse et de l'accouchement.
Et oui on écrit en français aujourd'hui youpidou
3 décembre 2002, 17h03
– Mademoiselle Nowak ?
Putain, c'est pas trop tôt. J'arrive à cours de barres chocolatées. Moi qui croyait que les fringales s’arrêtaient après la grossesse, je l’ai dans le cul. Au moins le résultat de ladite grossesse pionce tranquillement dans son porte-bébé, enfin.
Le comité est bien garni en tout cas. La sage-femme qui est à sa tête amène avec elle toute une petite cour. Madame Fourrières alias la gynéco la plus safe qui existe, bénie soit cette femme, la nana de l’ASE qui s’occupe du dossier de Tonia, j’ai oublié son nom, une autre sage-femme, à lunettes celle-là, et deux meufs en blouse bleue qui doivent pas être beaucoup plus âgées que moi et qui se chient clairement dessus. Ça m’agace gentiment, cette procession, j'ai l’impression qu'ils viennent admirer la bête curieuse. Déjà qu'ils m’ont pas laissée assister à l’accouchement... Au moins la sage-femme devant est souriante, ça en fera au moins une entre nous deux.
– Vous connaissez déjà le docteur Fourrières et mademoiselle Blin de la protection à l’enfance, je crois.
Blin. Marie Blin. Je me demande comment j’ai pu oublier son nom, à cette pimbêche et ses discours tout faits. Oh, pleine de bonne volonté, hein, mais c’est pas la bonne volonté qui change la situation de merde dans laquelle on est. La sage-femme me sourit toujours malgré mon regard mauvais.
– Moi c’est Amel, j’étais avec Tonia pendant l’intervention. Tout s'est bien passé, elle se repose pour l’instant. Elle a géré la césarienne comme une championne.
C’est tout ? Des heures d'attente au milieu de cris de chiards pour qu'on me lâche que ça “s’est bien passé” ? Et c’est quoi exactement “gérer une césarienne” ? Le regard d’Amel s’adoucit.
– On va vous raconter en marchant un peu, si vous voulez bien. Julie, Crystal, vous voulez bien faire le tour de vos patientes pendant que je m’occupe de mademoiselle Nowak ?
Les gonzesses en bleu, sûrement les internes, hochent vivement la tête et déguerpissent aussi sec. Bon débarras. Amel me fait signe de la suivre, le docteur Fourrières fait quelques mètres avec nous avant de devoir repartir en intervention aussi sec. Je suis bien remontée contre tout le monde mais elle, je lui en veux pas, vu comment elle a géré ma grossesse et celle de Tonia. Quasi en simultané d’ailleurs. Sans doute pas le meilleur moment de sa carrière. Mais du coup me voilà en train d’arpenter les couloirs puants avec ma môme sur la poitrine, Amel, la gourdasse de l’ASE, et la binoclarde dont j'ai toujours pas le nom.
– Donc, par rapport à Antonina… Vous êtes sa tutrice légale, c'est bien ça ?
– Depuis pas longtemps, ouais. Chais pas si on vous a dit par rapport à sa famille ?
Ces énormes fils de pute ?
– Je leur ai déjà fait un topo, intervient la mère Blin derrière moi.
Nan mais écoutez-la, gngngn je leur ai déjà fait un topo… Au moins ça m’épargnera de la salive.
– Mademoiselle Nowak n'est pas sa tutrice depuis très longtemps, vous comprenez, alors je suis là pour faire en sorte que tout se passe bien…
Mais c’est qu’elle en rajoute en plus ?! Putain, Micheline, j’ai pas cinq ans, j’ai une gosse, un diplôme, une bagnole et un appart, connasse !
– Je vois, répond Amel avec ce qui ressemble à de la politesse pour éviter de lui dire qu’elle s'en fout. Mademoiselle Nowak, on m'a dit que vous sortez de l’école d’infirmières ? Ça doit être pénible de repasser à l’hôpital.
Ouais. Ça l'est. Mais je crois que j'aurais préféré y être pour bosser.
– Ça va. Chuis en congé mat’, de toute façon.
Amel regarde mon petit paquetage de deux mois qui tape toujours sa meilleure sieste. Ce porte-bébé est un putain de cadeau de Dieu.
– Hmhm. Comment il… ou elle, s’appelle ?
– Bronya.
– Bronya, elle répète avec un sourire.
Par rapport à ma grand-mère. Bronislawa. J’avais pas de meilleure idée.
Et cette causette commence sérieusement à me gonfler.
– Bon écoutez, j’aimerais bien qu’on arrête de tourner autour du pot. Si ça s'est si bien passé que ça, pourquoi vous m’en dites pas plus ?
Son sourire se fait plus crispé. C'est pas la gueule d'une menteuse mais c’est bien celle de quelqu'un qu’a pas que des bonnes nouvelles à annoncer.
– Oui, il faut bien y venir… On arrive justement en néonat’. Le pédiatre est un peu débordé, donc c’est moi qui vais faire l’explication.
En… Putain j'avais oublié dans la panique. C’est vrai que l’accouchement était prévu pour février 2003 à la base. J’aurais dû m’attendre à ce que ça soit un préma, vu les circonstances.
Amel explique longuement à la Blin que ce serait mieux qu'elle attende dehors, que pour l’instant il faut éviter d’être trop nombreuses dans la pièce, en gros elle la baratine et l'autre finit par hocher la tête avec un air tout perdu. Dans les dents, grognasse.
…
On va pas se mentir, une fois devant la couveuse, je me sens plus si fière. Ça fait beaucoup trop de bips et beaucoup trop de tubes pour un bébé aussi riquiqui. Je passe une main sur la petite tête de Bronya, nerveusement. Ça aurait pu être elle dans cette machine. Ça aurait pu être elle.
Amel pose une main sur l’incubateur, tout doucement.
– Voilà. Je sais que c’est impressionnant, mais c’est nécessaire… Et la petite est tout à fait stable. Il n’y a pas vraiment lieu de s’inquiéter.
Donc c’est une fille. Bon. Je pensais que l’annonce du genre allait me faire plus d’effet, mais là je m’en fous un peu.
– Elle s’appelle comment ?
Silence dans la salle. J’ai mis les pieds dans le plat ? On dirait bien. Parce que binocles a l’air hyper contrite et qu’Amel soupire.
– Vous… Vous savez déjà, mademoiselle Nowak, que certaines patientes peuvent avoir des réactions très… fortes après un accouchement, surtout s'il est traumatique.
Ouais. Je sais. Encore une fois, je suis infirmière. Et j’aime pas du tout cette prémice.
– Antonina… n’a pas voulu nous croire quand on lui a dit que c’était son bébé. Elle a refusé de lui donner un nom, elle n’a pas arrêté de crier et de pleurer, on a dû vite l'enlever de sa vue parce que ses constantes s'affolaient.
… Putain. Putain, voilà pourquoi j’ai insisté pour qu’ils me laissent venir, mais non, hein, le moins de personnes possibles, c’était mieux de me faire attendre sur un siège défoncé pendant que la gamine dont j’ai la responsabilité légale fait une crise de nerfs en accouchant parce qu’elle a pas onze ans, putain.
– Elle s’est aussi mise à refuser de parler autrement qu'en polonais… Sans Zuza, on n'aurait jamais réussi à la calmer.
Elle désigne la binoclarde, qui a toujours pas pipé mot et qui rosit en se faisant mentionner. J'en profite pour la regarder un peu mieux. Elle est pas très grande, le nez un peu arqué et les cheveux tirés en arrière, ce qui la vieillit vachement alors qu'elle doit avoir vingt-cinq ans à tout péter. Mais elle a une bonne tête, ça va.
– Vous lui avez parlé polonais ?
Elle hoche doucement la tête. Sans rien dire de plus. C'est vrai que “Zuza”, ça sonne polonais.
– … Merci.
Elle a un tout petit sourire et ça change tout sur son visage.
– C’est normal, je n’ai fait que mon travail.
Putain sa voix est super apaisante. C’est pas grand-monde qui peut souffler ma colère comme ça. Même Bronya, qui s’est réveillée à cause des bips partout, la fixe avec de grands yeux. Sans chouiner.
– Antonina a été très courageuse, se sent obligée de préciser Amel. Mais Zuza a été une aide précieuse, vraiment.
Bien sûr qu'elle a été courageuse. Elle avait pas le choix. C'est déjà assez dingue qu'elle ait pas décidé de juste abandonner le bébé ou de faire ça sous X.
– On pensait vous demander de la nommer, mademoiselle Nowak, reprend Amel.
Je jette un œil à l’espèce de crevette rabougrie et intubée de partout dans sa couveuse. Ça m'inspire rien du tout. J’ai toujours été nulle avec les noms. Et puis même si elle en veut pas, c’est le bébé de Tonia, pas le mien.
– Chais pas trop.
Zuza s'approche, l’air un peu hésitante.
– Vous savez, je pense que ça ne dérangerait pas Antonina. Elle a parlé de vous plusieurs fois, même en délirant. Et vous avez l’air de beaucoup l'aimer.
Ouais. C’est vrai. Je l’adore, cette gamine. Même enceinte jusqu'aux yeux à un âge où tu devrais juste être en train de jouer aux Legos et de t'inquiéter de tes devoirs de maths, elle arrivait encore à me sourire. À faire des blagues. À me parler de films qu’elle voulait voir. À s'extasier sur mon bébé à peine né dont je savais même pas quoi penser. Je comprends pas comment on peut ne pas l'aimer. Je comprends pas les messages sans réponse envoyés à Eunika pour lui dire de venir, putain, c’est ta petite sœur quand même, pour qu’au final mes SMS s'envoient même plus. Bloquée. Tu parles d'une amie, tu parles d'une sœur. Ils peuvent aller crever, elle et son mec. Surtout son mec.
Et les tonnes de messages que je reçois de la daronne Zielinska, cette vieille pute, ils valent même pas la peine que je les regarde.
– Ça lui ferait plaisir que vous nommiez ce bébé, Milena.
Milena. Elle m’appelle par mon prénom. J’ai les yeux tout humides, ça doit être la fatigue. Bronya fait pas encore ses nuits mais ce qu'elle me fait c’est de sacrées coliques, et moi chuis crevée.
En parlant de Bronya, la voilà qui se met à babiller maintenant. À deux mois, c’est surtout des “A-ba” et autres variantes toutes aussi lettrées. Je l’écoute d'une oreille en regardant l’autre dans sa couveuse.
… Ça me donne une idée, ce discours de bébé.
– Ada. C'est bien, Ada.
Simple. Ça se lit pareil dans les deux sens. Ça la fera pas chier pour l’écrire à l'école.
– Ada ! s'exclame Amel d'une voix réjouie. C’est très joli. On saura comment l’appeler maintenant.
Elle part dans des explications sur la suite, le peau à peau, les soins, l’allaitement, comment je peux demander de l'aide pour surveiller la santé de Tonia et d’Ada, et puis déclarer la petite à la mairie, je l’écoute à peine. Trop crevée. Épuisée d'avance à l’idée que je vais devoir demander de l’argent à mes parents. Que mon daron le donnera sans problème, mais pas avant que ma mère m’ait copieusement engueulée et traitée d’incapable.
Zuza pose une main sur mon épaule. Je la laisse faire quelques secondes, puis je la repousse mollement. C’est pas grave. Je me démerderai.
Me suis toujours très bien démerdée toute seule.
Et non, je pleure pas, merci beaucoup.
– Vous voulez aller voir Antonina, Milena ? me demande Zuza. On pourra s'occuper d’Ada après.
Je hoche la tête. Ouais. Je veux bien. Ça m’évitera de perdre du temps sur le reste.
Elle a besoin de moi.
Elles ont toutes besoin de moi. Je peux pas les laisser tomber.
#noa writes stuff#lysara modern au#noa écrit en français#milena's the true mvp#her pov is so fun to write too#but yeaaaah bazyli's birth wasn't easy#you also get a deadname reveal (six years later he'll change it)#thanks naïs for blindly letting me borrow young Zuza#milena's 21 in this and zuza 25 btw
5 notes
·
View notes
Text
«Le reste du temps qu’est-ce qu’il fabrique le peuple bibineux, pêcheur d’ablettes ? Entre les déluges ? Rien ! Il s’écoute causer, roter, il se fait reluire avec des conneries, comme des vraies gonzesses, des futilités, des babioles. Il compte les verres sur la table… jamais il parle du fond des choses. Jamais. C’est une vraie affaire pour la Mort, le peuple. Un coup de clairon, il s’apporte, y a pas besoin de lui expliquer. Il est toujours là. Il attend. »
Louis-Ferdinand Céline - L’École des cadavres (1938), Éditions Denoël, 1938.
7 notes
·
View notes
Text
"La Cité future pour Popu c’est son pavillon personnel avec 500 mètres de terrain, clos soigneusement sur quatre faces, canalisé si possible, et que personne vienne l’emmerder. Tout ça enregistré devant notaire. C’est un rêve de ménagère, un rêve de peuple décadent, un rêve de femme. Quand les femmes dominent à ce point, que tous les hommes rêvent comme elles, on peut dire que les jeux sont faits, que grandeur est morte, que ce pays tourné gonzesse, dans la guerre comme dans la paix, peut plus se défendre qu’en petites manières, que les mâles ont plus qu’à entrer faire leur office de casseurs, saillir toutes ces mièvreries, abolir toutes ces prévoyances. Ça sera-t-y des jaunes ? des blancs ? des noirs ? des purs ? des compliqués ? Est-ce qu’on périra dans la noce ? C’est bien possible, c’est même probable. Toujours est-il que ça sera des hommes et des butors, des dominants qu’iront pas demander aux grand’mères comment faut rêver dans la vie, qui seront disposés comme des ours."
Louis-Ferdinand Céline, Les beaux draps, 1941.
3 notes
·
View notes
Text
Rouen : la population est totalement dégénérée.
J'ignorais l'existence de cette faille spatio-temporelle.
Un voyage dans le temps.
Le dernier micro-trottoir de Frontières à Rouen est une faille spatio-temporelle.
youtube
Ce qui est choquant, c’est le contraste entre la vieille ville, très belle, et l’infâme sous-humanité qui rampe entre ses murs.
Cette négresse avait presque l’air fonctionnel par rapport au reste des Blancs névrosés qui flottent, incertains, dans ce ragout biologique étrange.
Quant au suivant, je n’ai toujours pas compris si c’est un homme ou une femme.
Par contre on sent l’effet combiné des antidépresseurs, du shit et des traitements hormonaux. Un bon paquet de neurones ont déjà été grillés.
Et bien sûr la boomeuse de fin de niveau.
Très solide sur ses appuis grâce à une confortable retraite acquise à la sueur des doigts dans la fonction publique.
Il y a de belles pièces de collection.
Comme cet électeur de François Mitterrand, aussi inflexible qu’une barre de fer 43 ans après avoir commis l’innommable.
Il y a du babos LFIste aussi in situ.
Du beauxardeux mené à la baguette par sa gonzesse.
Celui avec son maquillage m’a fait rêver quelques secondes.
Cette vibe 1980 m’a fait bizarre.
Rouen est bloquée en 1987, peu importe l’évolution du monde, les guerres, internet, les flots de migrants d’Afghanistan ou de Guinée-Bissau.
youtube
Je ne veux pas noircir le tableau ou céder à un pessimisme stérile, mais il faut tout de même reconnaître que Rouen est une ville peuplée de dégénérés, de boomers et de métèques, tous acquis à la victoire de la gauche régressive, envers et contre tout, avec assurance, fermeté, imperturbable.
Je vais finir par croire que Rennes est une ville normale par comparaison.
Démocratie Participative
2 notes
·
View notes
Text
youtube
"Font leur pipi contre les murs Quelquefois même sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer à la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bâton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquêtes Leurs péripéties de braguette Dans des gros rires à la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guéguerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme à la paupière Les z'hommes
Virilité en bandoulière Orgueil roulé en bandes molletières Agressivité en oeillères Les z'hommes Ils te traiteront de pédé De gonzesse et de dégonflé À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes Prostituées ou Pénélopes Apprivoisées ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux châtelaines Et le tablier à Mémène Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa révolution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa révolution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
8 notes
·
View notes
Text
Épisode 10
Avec son collègue Blotin, Ray avait rendu visite à la sœur d'Amelie , l'entretien ne rapporta pas beaucoup de renseignements. La sœur dit qu'Amelie avait rencontré un jeune homme qu'il était vidéaste, qu'ils avaient le même âge mais elle ne savait pas où il habitait et ne l'avait jamais vu de visu ou en photo.
- ma sœur avait l'air heureuse avec lui affirma la jeune femme
Blotin lui demanda qu'elle genre de vidéo faisait ce garçon, il connaissait la reponse mais il lui posa quand même la question.
- des courts métrages avec des dragons, c'est un peu ninja et gothique à la fois. Une fois elle m'a montré des extraits sur internet , il se nomme Gabin.
Elle fit visionner le site avec les extraits des vidéos, Ray et Blotin les regardèrent avec surprise .
Ray lui demanda :
- ça marche ce truc ?
- Oui plusieurs milliers de vues dit-elle légèrement amusée
Blotin regardait une femme nue qui se déplaçait dans une rue.
- pas mal ! dit-il d'un air goguenard
Ray téléphona à Ginette pour lui demander qu'elle se connecte sur le site et qu'elle essaie d''en savoir plus.
- OK Ray ! contente que les choses avançent
Ray pensait la même chose, il espérait que cette enquête bouge.
- j'aime bien ce genre de vidéos dit Blotin
- pour les gonzesses ? Lui demanda Ray
- bien sur ! s'exclama Blotin
Ils éclaterent de rire.
Ginette avait récupéré le numéro d'un agent artistique, celui-ci figurait sur le site. Elle téléphona et se fit passer pour quelqu'un d'intéresser. Elle récupéra un nom et une adresse .
Gabin x demeurant boulevard des Remparts.
- bon ! j'envoie une demande de perquisition sur ce numéro et sur cette adresse dit Ray
Ginette dit à ses collègues qu'elle avait mis le numéro de Gabin sous surveillance mais sur son portable.
- attention ! dit Ray , quand ce sera fini désactive le truc
- d'accord dit Ginette
Ils prirent un café et en profitèrent pour monter un dispositif de surveillance.
Ils surveillèrent le domicile de Gabin sans résultat. Ginette avait réussi à récupérer la photo de Gabin sur un réseau social, elle fit circuler la photo.
Après quelques renseignements glanés avec les voisins, ils étaient sûrs que Gabin était la bonne personne à cueillir.
Une immense déflagration eût lieu dans l'immeuble, en quelques minutes les locataires sortirent de l'immeuble en flammes, les gens s'ennuyaient à droite et à gauche. Les pompiers et d'autres policiers arrivèrent rapidement.
- attention ! il s'enfuit hurla Ginette en le désignant Gabin de l'index
- arrête toi ! hurla t-elle
Ginette et Blotin se mirent à sa poursuite, Blotin fit un tir de sommation en hurlant :
- halte ! ou je tire
Gabin souriant se retourna et plongea la main dans sa poche.
Ginette tira.
Allongé sur le trottoir dans une mare de sang, Gabin vit défiler le ruban de goudron longeant le pacifique au pied des contreforts de la Sierra Madré, Los Angeles, ses boulevards, ses somptueuses villas avec piscines, les plages immenses, les flots de bagnoles, l'air de l'océan...
- à tout de suite Amelie marmona Gabin avant de s'éteindre sous le regard de Ray et de ses deux collègues.
Le corps de Gabin tressauta une dernière fois.
Ray soupira, il ne s'habituerait jamais à ces scènes.
Ginette se tordait les mains, elle allait devoir se justifier de ses gestes devant les autorités. Ils allaient éplucher son dossier . Ray et Blotin la rassurèrent , même leur supérieur soutiendrait Ginette.
Au domicile de Gabin, les flics virent un énorme trou dans le mur donnant sur le palier, la porte d'entrée était explosée. L'appartement ne valait guère mieux tout était détruit, cramé, déchiqueté, plié, la scientifique allait avoir un énorme boulot. Quelques débris humains étaient éparpillés autour de se qui avait été un congélateur.
Ray avait proposé à Ginette de venir chez lui, elle avait accepté avec un certain soulagement.
Ray affichait un air désinvolte en apparence, il portait son costume bleu en laine et une chemise mauve , il servit deux verre de whisky puis déposa un baiser sur le front de Ginette.
- t'inquiète pas Ginette lui dit Ray
- d'accord murmura t-elle les yeux inondés de larmes
Ray la serra très fort et l'embrassa encore une fois.
Ray pilla de la glace dans sa cuisine pour mettre les huîtres au frais , il entreprit de les ouvrir , ça lui occupait l'esprit .
Ginette debout contre un mur le regardait.
- c'est en quel honneur les huîtres ? demanda t-elle
- c'est juste pour le plaisir
Ginette sourit .
Plus tard assis sur le canapé, ils regardaient l'écran ou défilait un film d'art et d'essai dont le titre était inconnu.
Minuit Ray aime ce moment où la nuit bleue transforme les vitres en miroir.
Ginette avait des mains très fines et souples comme une araignée, elle déboutonna son pantalon et fourra la mzin dans son caleçon. Elle commença à caresser Ray.
Dans la chambre, beaucoup plus tard, Ray regardait par la fenêtre ouverte le ciel sombre. Ginette écrasa sa cigarette dans un vieux cendrier placé sur la table de nuit. Elle se leva pour se rendre dans la salle de bain . Elle remercia Ray :
- je te remercie Ray
- de quoi ?
- de t'occuper de moi
- c'est rien! lui dit Ray
Revenant de la salle de bain elle lui dit :
- Tu bandes ?
- Oui...
Lacsive, cuisses ouvertes elle s'offrit à Ray le laissant s'agiter avec frénésie en elle. Ils finirent la nuit enlacés.
Fin
3 notes
·
View notes
Text
On a regardé pour réserver une maison de vacance pour partir avec mes copains, on serait 5, c'est à dire 2 couples + moi. Sauf que du coup, les maisons qu'on trouvait c'était genre avec 2 lits doubles et 1 lit simple (ou 1 lit superposé, ou le canapé du salon), et ça me saoule parce que j'ai pas envie d'avoir un petit lit sous prétexte que je suis seule ? Mais en même temps j'ai pas envie qu'on paye un truc plus chère, genre pour 6 "vrais" personnes, parce que du coup on va tous payer un peu plus chère pour rien : je pourrais prendre à ma charge la place supplémentaire pour pas pénaliser mes copains, mais ça me saoule un peu (mais ca me semble le truc le plus logique a faire). Bref encore une fois mon célibat qui m'est renvoyé dans la gueule, tout ça parce que je suis pas capable de garder un gonz ou une gonzesse plus de 2 mois. Vous en pensez quoi ? Ça m'intéresse d'avoir des avis 🤗
#je fais un caprice parce que je veux un lit double mdr#vraiment un probleme de riche...#j'ai un peu honte
4 notes
·
View notes
Text
Vieux Piano endormi
Attention Fête | 2021
1. Grimper l’escalier, en s’agrippant tant bien que mal à la rampe. Est-ce la lumière du matin déjà ? Qui filtre derrière les persiennes… Il y a du tangage, inutile de le préciser. Et des pensées complètement décousues qui me traversent. Question de magie, d’énergie cosmique… Même pas vraiment dans ma langue maternelle. J’aurai vite fait de manquer une marche, si je ne me concentre pas. La connasse… Et l’autre connard dans le bar. Qu’est-ce qu’il m’a dit, déjà ? J'aurais mieux fait de lui casser la gueule ! Voilà la veilleuse ; et mes paupières lourdes, ma vision trouble. Bien sûr que non, il ne fait pas déjà jour. Voilà la porte. Le front en appui contre le judas, je cherche le trou de la serrure. D’habitude, je fais ça à l’horizontale. Connasse toutes portes ouvertes, mon œil ! Je vois double, c'est le troisième œil. Ça y est, ça rentre… Je peux me prendre les pieds dans le tapis, me taper les épaules dans le couloir et me jeter sur le lit, tout habillé. Oh là… Tu le sens, le passage dans un trou noir ? Effet spaghetti… J’aurais dû prendre une bouteille d’eau. J’aurais dû prendre la peine de pisser avant… C'est bien au-dessus de mes forces désormais. Je suis juste bon à ravaler cette colère — et cette nausée. Pour me sentir minable, j’aurai bien assez de demain, toute la journée.
2. Non, je ne deviens pas religieux. Je suis beaucoup trop pessimiste pour ça. Il n’empêche que je peux mieux faire le break ici, dans ce monastère, que dans l’une de ces cliniques de merde, en cure de désintox avec d’autres gros cons matérialistes. Je vois bien tout l’intérêt qu’ils y trouvent, les frères : une vie reculée, rituelle, avec un peu de vin, un peu de bière, beaucoup de prière, aucune gonzesse. En camarades. Ils s’opposent à la magie, ils se fichent de l’énergie cosmique, ils se fichent des connasses et des connards. Ils s’en tiennent à leur horloge… Ils s’occupent bien de moi. J’épluche les patates, je fais la vaisselle, j’assiste aux offices, je dors seul comme eux tous, dans un petit lit. Le reste du monde n’existe pas, c’est beaucoup plus paisible comme ça. La journée passe sans qu’on y pense. C’est finalement festif, justement grâce au renoncement. Je me surprends à aimer contempler une assiette, un prie-Dieu, à apprécier l’odeur de la naphtaline, le gris bouloché de leurs chaussettes, le brillant des flageolets.
3. Travail au potager. Frère Bernard me montre comment se débarrasser des pucerons, comment faire obstacle aux limaces avec des coquilles d’œuf. Il fait chaud. Je le vois suer dans sa bure distendue. Il a vraiment des mains de jardinier, frère Bernard, des mains brunes et cornues, avec le tour des ongles bien noir, comme un carrossier. Je vais chercher l’arrosoir. Frère Matthieu est en joie, planté sans rien faire devant le rosier. Il chantonne, du bout des lèvres, d’une voix haut perchée, androgyne, blanche comme un angelot peint par un pompier. Il est tout extatique, comme comblé par sa propre virginité. Je continue d’avancer, j’ouvre le robinet. Derrière le mur du cloître, il y a une chatte qui n’arrête pas de miauler. De détresse, il me semble. Ça se répète. Ce n’est pas mon problème. Frère Matthieu sait s’en soucier. Il revient un peu plus tard avec la chatte amaigrie et sa portée de chatons à moitié morts, dans un panier en osier. J’aurais laissé tout ça crever, jusqu’au dernier. Je suis une mauvaise personne. Je suis loin d’avoir guéri. Je ferais bien de prolonger cette retraite d’une semaine ou deux, voire même de toute une vie.
4 notes
·
View notes
Text
omg lucien said he saw my ex with a gonzesse looool
#he said that she gave off the vibe of someone who likes bars and clubs#looks like B found the perfect match for his alcohol problem god bless im so happy for him 🙏#tbh it is kind of sad bc i still cry about him every now and then :/#meanwhile he's fucking some else already#great!
11 notes
·
View notes
Text
Je classe les chevaliers du moins aro-ace au plus aro-ace
Parce que mine de rien la plupart des persos ont de grosses vibes aro-ace je trouve, donc voilà
ARTHUR
La plupart des merdes qui se passent à Kaamelott, on les doit au fait que not' bon roi pense 83% du temps avec son coeur (et son épée). Bi-king, peut-être. Mais clairement pas aro ou ace.
CALOGRENANT
De tous ceux qui ont une femme, c'est le seul que j'arrive à imaginer vraiment aimer consommer son mariage. Pis bon le coup de la ceinture de chasteté, ça fait très hétéro je trouve.
BOHORT
Bohort est si gay. En tous cas, il est pas aro. Ace, je pourrais le voir quelque part sur le spectre. Mais je l'imagine plus à réfréner son attirance pour les mecs qu'à ne pas (ou peu) ressentir d'attirance. (On sait toutes et tous ce qu'il pense de Léodagan hein)
LÉODAGAN
Bon là on commence déjà à aborder les persos que je pourrais voir sur le spectre aroace. Oui Léo est marrié. Oui il a 2 enfants. Mais pour un gars qui est censé être le stéréotype du chevalier bourrin, il est quand même pas hyper porté sur la chose. Il est à priori fidèle à Séli alors qu'il ne doivent pas s'éclater souvent au lit, et il le dit lui-même, les gonzesses qui dansent à moitié à poil, c'est pas son truc.
YVAIN
Yvain aime Gauvain. Que Gauvain. Ça fait très demiromanrique. Je le mets avant Gauvain parce qu'il a quand même tenu à avoir une maîtresse, même si je pense que c'est plus pour faire genre que parce qu'il est attiré par Démétra.
GAUVAIN
Gauvain aime Yvain. Que Yvain. Personne d'autre. Demi demi demi.
GALESSIN
Galessin, lui, n'aime personne. L'amour ça l'interesse pas des masses, le sexe non plus, mais bon il dit pas non à l'occasion s'il rencontre la bonne personne, peu importe son genre. Sûrement quelque part sur le spectre aroace, lui-même ne sait pas exactement où.
LANCELOT
Bon là c'est canon que Lancelot n'aime et n'a aimé QUE Guenièvre. Mais il avait pas l'air hyper demandant niveau joyeusetés quand il l'a eue que pour lui. Demiromantique, ace.
HERVÉ
???? Pour tomber amoureux ou plus si affinités, faudrait déjà qu'il ait conscience un minimum de son environnement, et c'est pas gagné. Il a déjà dû se retrouver dans une ou deux situations comprométantes suite à des malentendus, mais jamais de sa propre volonté. Après, il dit pas non. Il s'en fout, en fait.
KARADOC
Là encore c'est assez canon qu'il voit pas l'interêt de faire des cochonneries sous les draps. 100% ace, peut-être demi romantique...et encore la bouffe passera toujours au premier plan. Cake Ace.
PERCEVAL
Notre aro-ace king par excellence. L'amour platonique est le plus important, et pour lui, la meilleure éclate qu'on peut avoir au lit c'est une discussion philosophique sur les étoiles avec ses amis les plus proches. Space Ace.
41 notes
·
View notes
Text
GRosse crise
Mega stress !
L'anogigse... L'angoisse. Absolue, tu sais, celle qu'est devant le vide, l'affreux trou noir envers inverse de la galaxie. Tu vois. Je flippe du retournement de moi en soi ?
Tu sais quoi, le vide, ben faut pas faut pas pas le voir, sauf à y renvoyer le noir, tout sombre, l'obscure inverse de soi, là-bas. je te JETTE !
Catharsis, peut-être.
Ruisselant, le truc, j'allume la télé. Rugby.
" Tu sais quoi ?
On a eu chaud ?
Punaise oui, sacrément !
On est passé à un doigt...
Un cheveux tu veux dire ! Un doigt...
... de Whisky ?
Quoi ?
Un doigt de whisky ?
Je bois pas, j'ai déjà mal au crâne.
Tu fais quoi ce soir ?
Je sais pas... je découvre... Qu'il n'y a comme bouée de sauvetage que... De voir la simplicité des petites choses.
Gonzesse !
C'est pas gender friendly, ça. Tu discrimine mes fellings, là.
Gonzesse ! On t'a pas élevé comme une gonzesse !
Ben p't'èete que si, à force de me casser les couilles, peut-être ?! Alors maintenant, TA GUEULE !"
Ca fait un peu schizophrénie dans mon crâne.
7 notes
·
View notes
Text
"La Cité future pour Popu c’est son pavillon personnel avec 500 mètres de terrain, clos soigneusement sur quatre faces, canalisé si possible, et que personne vienne l’emmerder. Tout ça enregistré devant notaire. C’est un rêve de ménagère, un rêve de peuple décadent, un rêve de femme. Quand les femmes dominent à ce point, que tous les hommes rêvent comme elles, on peut dire que les jeux sont faits, que grandeur est morte, que ce pays tourné gonzesse, dans la guerre comme dans la paix, peut plus se défendre qu’en petites manières, que les mâles ont plus qu’à entrer faire leur office de casseurs, saillir toutes ces mièvreries, abolir toutes ces prévoyances. Ça sera-t-y des jaunes ? des blancs ? des noirs ? des purs ? des compliqués ? Est-ce qu’on périra dans la noce ? C’est bien possible, c’est même probable. Toujours est-il que ça sera des hommes et des butors, des dominants qu’iront pas demander aux grand’mères comment faut rêver dans la vie, qui seront disposés comme des ours."
Louis-Ferdinand Céline
5 notes
·
View notes