#goûter japonais
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Mochi japonais ⛩️
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bon euh du coup mon post d'hier 22h30 devait être un appel de détresse à mon avis car j'ai bu une bouteille de rosé déjà c'est décevant qui plus est c'était un truc au pamplemousse plus des bières ipa alors que je suis traumatisée des bières ipa et tout a fini dans les chiottes de l'ami platonique car j'avais rien mangé de la journée et que son ragù italien dont il nous parlait depuis un mois sans nous le faire n'est pas passé alors que c'était absolument délicieux j'ai mangé genre trois fourchettes et une autre de son assiette pour goûter avec du parmesan ce qui est assez étrange compte tenu du fait que je n'aime absolument aucun fromage je ne sais pas ce que j'ai voulu me prouver... mais si je n'avais fait que gerber ma race ça n'aurait pas été si grave sauf que je ne peux pas dire comment pourquoi à quel moment exactement mais j'ai fini par faire une crise d'angoisse panique je sais pas quoi la tête dans les chiottes parce que pour je ne sais quelle raison encore une fois je pensais aux mêmes trucs de merde mais c'est drôle et cohérent finalement de penser à ça dans les chiottes ça leur va bien néanmoins c'était doux clara me caressait le dos et me serrait fort tokyo voulait rentrer dans la salle de bain puis l'ami platonique a fini par m'en sortir et là j'étais dans ses bras tokyo me léchait les yeux et me sautait dessus et clara ma caressait les mains j'étais au paradis même si ça ne s'arrêtait pas puis ensuite comme ça allait mieux on est sorti j'étais punie d'alcool de toute façon j'en voulais pas même si j'en ai au peu volé à clara dans le dos de l'ami platonique quand j'en avais marre de boire du thé glacé hihi, on a dansé jusqu'au petit matin et j'ai revu le garçon de café que je n'avais pas vu depuis cet été dont j'avais déjà parlé je pense car je l'aime trop, en sortant on est restés presque deux heures tous les quatre dans le froid et c'est là que je me suis rappelée que l'ami platonique était vieux il nous a fait écouter des groupes japonais de je ne sais pas quelle époque qu'il écoutait au collège mais j'aime bien quand il est comme ça tout sourire et tout passionné le garçon de café était à fond lui aussi on se regardait avec clara en mode où sommes nous que se passe-t-il mais c'était drôle et me voilà repartie pour finir mon plat de pâtes qu'il m'a gardé au frais avant de ressortir si je n'ai pas la flemme car c'est la soirée british rock...
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2023年08月28日 Monin: monarque des yaourts
Fut un temps, ma mère décida de ne plus acheter de yaourts au supermarché et de les faire soi-même. Démarche économique et écologique, on n'avait pas super bien accueilli ça il y a plusieurs années... Imaginez des enfants nourris à la marque avec des Danette, des riz au lait la laitière et des yaourts au fruit yoplait, tous remplacés par des yaourts aromatisés que ma mère apprenait à faire. Elle a passé un sacré moment à obtenir un riz au lait correct ! Mes sœurs n'étant pas fans de yaourts aux fruits, il ne restait que des yaourts à la vanille et peut-être à la fraise. Et même si ce n'était pas très varié, je les aimais bien.
Un jour, ma mère a essayé de faire des yaourts à boire pour le goûter, mais comme à cette époque on n'achetait plus vraiment de gâteaux non plus, il n'y a que moi qui les buvait. Le truc, c'est que ma mère ne pensait pas toujours à les faire, et qu'elle faisait toujours en majorité des yaourts à la vanille dans l'espoir que mes sœurs en prendraient. Que nenni ! Du coup, j'ai pris la décision d'apprendre et de faire les yaourts à boire moi-même, en utilisant davantage de parfums.
Depuis j'en fais chaque semaine, et je vous partage aujourd'hui la méthodologie !
Tout d'abord, il n'y a que peu d'ingrédients requis. Pour 6 yaourts:
1 bouteille de 1L de lait
1 Yaourt nature (de 125g dans cet exemple)
Vous pouvez utiliser des produits végétaux, mais prenez garde car si vous faites un yaourt aromatisé comme moi en fonction de la boisson végétale que vous utiliserez elle pourra prendre le dessus sur le goût. C'est bien si vous voulez un yaourt plus léger !
Tout d'abord, on met le yaourt dans un saladier et on insère du lait jusqu'à ce qu'il recouvre partiellement le yaourt. Touillez une première fois avec un fouet jusqu'à avoir quelque chose de plutôt liquide. Rajoutez le reste de la bouteille et touillez à nouveau.
Une fois le yaourt préparé, il faut choisir les parfums. Et disons que moi et Monin on aime la variété !
Cette photo n'a même pas l'entièreté des parfums que j'ai pu tester, on renouvèle les bouteilles une à deux fois par an maximum ! Elles sont plutôt chères, mais vous pouvez vous douter que c'est de grande qualité. Maintenant je juge les restaurants en fonction de leur stock de sirop Monin...
Une fois les parfums choisis, je les écris au feutre sur les récipients. Ma mère n'écrivait que la première lettre du parfum pour aller vite, mais je fais les choses un peu en extra...
J'écris les parfums en japonais ! Pratique pour l'apprentissage...
Ensuite, on verse le sirop correspondant dans chaque yaourt à hauteur du fond du récipient, là où se trouve mon pouce sur la photo ci-dessus !
À présent, Il faut bien entendu verser le yaourt dans les récipients !
Les récipients ont une contenance maximum indiquée, mais je remplis presque à ras bord systématiquement (c'est pour ça qu'il y a pas mal de sirop !)
Ensuite, je mets les yaourts dans une yaourtière multidélices Tefal et je lance le Programme 2 (qui correspond aux yaourts) pendant une durée de 6 heures. Les yaourts à boire vont subir une fermentation grâce au yaourt utilisé plus tôt. En les sortant de la machine, on remarque que le sirop est toujours au fond du récipient, il faut donc mélanger avant de mettre les yaourts au frigo !
Au passage, voici les parfums qui ont été choisis pour cette semaine, en allant de gauche à droite:
��ラックベリー = Mûre
林檎 = Pomme
西瓜 = Pastèque
マンゴ = Mangue
バニラ = Vanille
チューンの香り = Fraise + Banane :3
Et voilà comment je fais mes yaourts chaque semaine ! Ce n'est pas grand chose, mais j'en ai besoin !
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« Pauvre âme égarée dans les profondeur des ténèbres, tu fais le mal et méprise ton prochain, ton âme est à jamais souillée par le crime… Veux- tu goûter à la mort ? » (Jigoku Shōjo)
Un lieu où, pour l'éternité, on ne peut échapper à la souffrance...
Voilà ce que sont les Enfers.
Un quotidien que l'on pensait paisible se brise en un instant et il ne reste qu'un goût amer que rien ne peut faire disparaître...
Une légende urbaine, quant-à-elle, raconte qu'il existe un mystérieux site Internet, le Courrier des Enfers, auquel on ne peut accéder qu'à minuit... Il est dit sur ce site 3 que si vous voulez prendre votre revanche sur quelqu'un, il suffit d'aller écrire son nom là-bas mais une fois votre désir de vengeance exaucé une compensation sera exigée car la revanche damnera votre âme qui se perdra en Enfer le jour de votre mort...
Mais n'est-ce pas le prix à payer lorsqu'il n'y a plus d'espoir ?
Pour présenter ce manga, commençons par dire que La fille des Enfers 地獄少女 écrit par l'auteure Eto Miyuki 永遠幸 est composé de neuf tomes est terminée. Un anime portant le même nom a aussi été diffusé entre octobre 2005 et avril 2006 par Aniplex et Studio Deen. Le manga a été prépublié au Japon dans le magazine mensuel de mangas de type shōjo Nakayoshi appartenant à Kōdansha qui est par ailleurs la plus grande maison d'édition de mangas ainsi que de littérature de l'archipel japonais. En France, le manga est édité chez Pika et classé dans la catégorie shōnen ce qui me gêne dans la mesure où il s'agissait à l'origine d'un shōjo donc un manga destiné aux jeunes filles.
Ce manga est toutefois une œuvre qu'on ne peut pas classifier dans une catégorie précise : La fille des Enfers peut à mes yeux aussi bien être lue par un garçon aussi bien que par une fille car ce n'est pas un shōjo ordinaire qui nous raconte une histoire d'amour 1.
En effet l'œuvre raconte ici différentes histoires de personnes qui ont fait recourt à Jigoku Shōjo la fille des Enfers afin de se venger d'individus leur ayant fait du mal comme le synopsis ci-dessus le raconte.
Le manga qu'est La fille des Enfers raconte donc différentes histoires de personnes qui se vengeront pour une raison qui leur est propre comme, l'ijime 2, le harcèlement au niveau du voisinage et les abus de pouvoirs en tout genre. Nous ne nous pouvons donc pas à une masse de personnages indénombrables comme nous pouvons être forcé à le faire dans d'autres mangas ce qui est, selon moi, plus intéressant dans la mesure où plus nous avons de personnages dans une histoire, plus celle-ci dure longtemps.
Or dans ce manga, nous savons à quoi nous attendre car le schéma du chapitre reste le même dans la majorité des cas : la situation du personnage est expliquée au début du chapitre et le problème le poussant à la vengeance est clairement expliqué au cours du chapitre. Ne supportant plus la situation dans laquelle elle se trouve le personnage se tournera vers la fille des Enfers qui lui remettra la poupée de paille avec le fil qui devra être délié pour accomplir sa vengeance.
Bien que les histoires soient répétitives car il n'y a pas de réelles variantes dans celles-ci, certaines sont plus poignantes que d'autres et ne peuvent nous laisser pas de marbre devant la situation des victimes ou bien des assistants de la fille des Enfers ou de cette dernière car Ai Enma et ses assistants possèdent une histoire qui leur est propre et qui sera révélée au cours des chapitres comme des sortes de rétrospectives sur leurs passés.
Ce manga est le premier que j'aie eu pour mon anniversaire alors que j'allais avoir quatorze ans. Avant celui-ci je n'avais pas eu de contact avec ces livres qui sont aujourd'hui devenus une part de ma vie.
J'ai donc eu beaucoup de mal à le lire étant donné que je ne connaissais pas le sens de lecture des vignettes : dans ce manga la manière indiquant le sens de lecture apparaît seulement à partir du tome trois ou quatre si mes souvenirs sont bons et cela s'est avéré inutile car j'avais appris à les lire lorsque je les ai eus.
Ne comprenant pas le sens de lecture, j'ai donc eu du mal à comprendre le premier tome dans la mesure où il s'agissait d'histoires différentes à chaque fois ce qui m'a perturbé, nous devons l'admettre.
Désespérée, j'ai dû laisser de côté mon premier manga durant une petite période avant de le relire et de demander à ma grand-mère de m'acheter le deuxième après m'être informée sur le nombre de volumes et de fils en aiguilles je suis devenue passionnée par cette histoire et me suis vite retrouvée avec tous les volumes.
Tout en lisant La fille des Enfers, j'ai également regardé l'anime que je n'ai pas regardé jusqu'à la fin car j'avais terminé le manga avant mais je réaliserai certainement un article sur l'anime moins détaillé que celui-ci après l'avoir regardé complètement.
Mon tome ou plutôt mes tomes préférés sont le six car on y découvre l'histoire d'Ichimoku Ren ainsi que le sept car l'histoire d'Hone Onna y est présentée. Les deux derniers tomes font également partie de mes coups de cœur dans cette série car on suit un personnage prénommé Takuma qui devient le héros de ces tomes. La fin, dont je ne vous dirai rien est pour tout dire magistrale et émouvante.
Pour conclure mon avis, je dirais que ce manga est une œuvre qui donne un morceau d'humanité sous son plus mauvais jour ce qui, malheureusement existe bel et bien dans la vie de chacun.
Point culture japonaise :
Parlons désormais d'une poupée pas comme les autres s'appelant O-kiku et qui aurait pu inspirer Eto Miyuki dans la création d'Ai. L'O-kiku Ningyou est une poupée se trouvant dans le temple Mannenji à Hokkaido.
La particularité de cette poupée sont ses cheveux car ceux-ci poussent tout comme les miens ou les vôtres !
Les moines du temple s'occupent donc d'O-kiku en la coiffant et en lui coupant les cheveux une fois par an ce qui n'empêche pas ses cheveux de continuer de grandir.
Derrière cela, il y a une petite histoire qui eut lieu peu avant 1920 : un jeune homme, Suzuki Eikichi alors en voyage d'affaires à Tanuki-koji, une rue marchande très connue à Sapporo vit dans une boutique une jolie petite poupée vêtue d'un kimono aux cheveux ondulés. Il l'acheta pour sa petite sœur âgée de deux ans à l'époque.
La petite fille était très contente de ce cadeau et jouait tout le temps avec la poupée la faisant même dormir dans son lit mais l'enfant mourut de la grippe à l'âge de trois ans. Les parents de la petite, attristés par la mort de leur enfant gardèrent la poupée et l'installèrent dans l'ancienne chambre de la petite. Ils vinrent prier la poupée tous les soirs, pensant qu'il leur serait permis de communiquer avec leur défunte fille de cette manière. Au bout de quelques mois, ces derniers s'aperçurent que les cheveux de la poupée grandissaient et en déduisirent donc que l'esprit de leur fille 4 s'est installé dans la poupée.
Les Suzuki décidèrent de déménager quelques temps après et pensèrent qu'il était plus sage de déposer la poupée dans le temple bouddhiste de Mannenji à Iwamizawa dans la préfecture d'Hokkaido se trouvant près de chez eux. Avant d'y emmener la poupée, la famille prit le soin de couper les cheveux de cette dernière relativement court, la présentant comme leur fille aux moines du temple. Un peu plus tard, on fit une remarque à l'un des moines, comme quoi les cheveux de la poupée étaient devenus plus longs. Le moine ne sachant rien de l'histoire de la poupée n'y crut guère et se dit que ceci était l'imagination de son interlocuteur. Mais ce dernier insistant, ils firent une vérification ; et en effet, les cheveux de la poupée étaient bien plus longs !
Le moine décida alors de couper ses cheveux, se disant qu'ils deviendraient plus courts... Mais ils devinrent plus longs encore ! Les moines ne savaient donc plus quoi penser... Ils continuèrent à lui couper les cheveux régulièrement, mais rien n'y faisait : ceux-ci poussaient toujours. Un scientifique intrigué par l'affaire vint étudier la poupée il y a quelques années et son rapport était des plus clairs : O-kiku possède des cheveux humain !
Il paraîtrait également que cette poupée se mettrait à sourire désormais en ouvrant à peine la bouche ce qui supposerait que l'âme de la petite Kikuko Suzuki morte à l'âge de trois ans se trouve dans celle-ci.
Mais quel est le rapport entre O-kiku Ningyou et Enma Ai ? Regardez la photo d'O-kiku ci-dessus puis l'image d'Enma Ai... N'y a-t-il pas une étrange ressemblance 5 entre elles ?
1 Par "shōjo ordinaire" j'entends le type d'histoire dans lequel une fille timide tombe amoureuse d'un garçon le plus souvent, un bad boy et où l'histoire est un happy-end ce qui n'est pas vraiment le cas ici.
2 Il s'agit du harcèlement scolaire au Japon. Pour plus d'informations, cliquez ici.
3 J'ai personnellement testé quelques sites et aucun d'entre eux ne fonctionne, tous ceux prétendant avoir vu Enma Ai sont des menteurs. La fille des Enfers est donc seulement un personnage de fiction.
4 Je vous déconseille de réaliser des actions dans le même genre si vous souhaitez vous amusez car bien que cela semble être un jeu pour le moins inoffensif, le paranormal a parfois des effets néfastes avec les dossiers Warren notamment : la poupée Annabelle existe par exemple en vrai bien que l'histoire soit différente de celle présentée dans le film. Ne permettez donc pas à une âme quelle qu'elle soit de posséder un objet.
5 Certes, je suis d'accord sur le fait qu'Enma Ai possède plusieurs kimonos, mais nous pouvons également trouver une ressemblance avec la longueur des cheveux ainsi que la coiffure ?
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SAMEDI 16 NOVEMBRE 2024 (Billet 4 / 6)
Et, un peu avant d’entrer dans le Jardin du Luxembourg, comme nous n’avions pas pris de dessert au Takuto (les desserts japonais… bon, ne soyons pas méchants…), nous nous sommes arrêtés dans une boutique de chocolat brésilien, rue Bonaparte (rue où est né en 1914 le papa de Marina), du nom de « Dengo » (qui veut dire en brésilien : « amour », « caresse », « câlin »…).
Nous y avons dégusté un succulentissime chocolat chaud… qui devait être un concentré d’au moins une dizaine de tablettes de chocolat ! Certes, il y a un peu d’exagération mais pas dans le goût. Une tuerie !
L’adorable chocolatière (brésilienne of course) nous a fait goûter de nombreux (tout) petits carrés, de différentes sortes. Bien sûr, nous n’avons rien retenu mais par contre nous avons pris la carte de la boutique et nous reviendrons très prochainement pour des petits cadeaux à offrir lors d’invitations… et surtout pour Noël.
En rentrant, après un petit tour sur le Net, nous avons appris que la boutique « Dengo » était notée 4,9 sur 5 sur Google. Si vous êtes amateurs de chocolat, notez bien cette adresse.
« DENGO »
58, rue Bonaparte
75006 Paris
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Le Conte de la princesse Kaguya
« Le Conte de la princesse Kaguya est un film d’animation japonais du studio Ghibli coécrit et réalisé par Isao Takahata, sorti au Japon le 23 novembre 2013 et en France le 25 juin 2014. Le film est basé sur Kaguya-hime, un conte littéraire japonais du Xe siècle.
Sanuki no Miyatsuko, un vieux coupeur de bambou, découvre un jour une minuscule fille dans une tige de bambou scintillante. La considérant comme un cadeau divin, le coupeur de bambou et sa femme décident de l'élever comme leur propre enfant. La petite fille grandit très rapidement et les autres enfants du village la surnomment « Takenoko » (« Pousse de bambou »). Cette dernière devient également très proche de Sutemaru, le plus âgé de ses amis.
Miyatsuko, de la même manière qu'il découvrît auparavant sa fille, découvre de l'or et des tissus raffinés dans une pousse de bambou luisante. Il considère sa découverte comme une preuve de la divine royauté de sa fille, et s'engage dès lors à faire d'elle une véritable princesse. Il emménage avec sa famille dans une grande demeure avec des serviteurs à la capitale. La jeune fille est obligée d'abandonner ses amis de la montagne, et est placée sous la charge d'une préceptrice chargée de lui enseigner les coutumes de la noblesse. La jeune fille peine à se conformer aux règles qu'on lui enseigne, et se remémore souvent son enfance à la campagne.
Quand la jeune fille atteint l'âge adulte, on lui donne le nom de « Princesse Kaguya des bambous graciles », en raison de sa souplesse et de sa grande beauté. Miyatsuko décide d’organiser une grande cérémonie en l’honneur du nouveau prénom de sa fille, au cours de laquelle Kaguya entend des gens se moquer de son père, considérant ce dernier comme quelqu’un essayant désespérément de faire passer une paysanne pour une noble grâce à son argent. Désespérée, Kaguya fuit la capitale et court dans les montagnes à la recherche de Sutemaru et de ses amis, mais elle découvre qu'ils sont tous partis pour de nouvelles terres. Elle s'évanouit dans la neige, et se réveille à la cérémonie.
(SPOILER)
La beauté de Kaguya ne cesse de croître, ce qui lui attire de nombreux prétendants. Cinq hommes nobles ayant eu vent de sa beauté tentent de la courtiser en la comparant à des trésors mythiques. Kaguya leur répond alors qu'elle épousera celui d'entre eux qui lui rapportera en premier un des trésors susnommés. Deux des prétendants lui amènent une contrefaçon, le troisième abandonne lâchement sa quête et le quatrième tente de la séduire avec des mensonges. Lorsque le dernier prétendant est tué lors de sa quête, Kaguya est désespérée. L'empereur en personne, ayant lui aussi entendu parlé de la beauté de Kaguya tente de l'enlever, mais elle parvient à lui échapper par un moyen inconnu.
Les jours passent, et Kaguya se montre très inquiète, délaissant ses activités quotidiennes pour regarder la Lune aussi longtemps qu’elle puisse être visible dans le ciel nocturne. Ses parents, soucieux de son état, ont une discussion avec elle afin qu’elle puisse se confier à eux. Kaguya finit par révéler à ses parents qu'elle est originaire de la Lune, et qu'elle fut punie après avoir brisé les lois du peuple Sélénite, afin de pouvoir être exilée sur Terre pour goûter à la vie mortelle. Mais quand l'empereur lui fit ses avances, elle supplia silencieusement la Lune de l'aider. En entendant ses prières, la Lune lui raviva ses souvenirs et lui annonça que les Sélénites viendraient la chercher lors de la prochaine pleine lune. Kaguya avoue cependant son attachement pour la Terre et son refus de repartir, affirmant qu’il est trop tôt pour elle de rejoindre les siens; Miyatsuko jure quant à lui de protéger Kaguya, et change sa demeure en forteresse.
Kaguya retourne dans son village d'origine et retrouve Sutemaru, revenu avec sa famille pour cultiver les arbres. Ils s'avouent tous deux leur amour, et s'envolent dans les airs pour survoler la campagne. Mais lorsqu’ils arrivent près de la Lune, Kaguya tombe à la mer et Sutemaru se réveille auprès de sa femme et de son enfant, pensant que tout ceci n'était qu'un rêve.
La nuit de la pleine lune, un cortège d'êtres célestes dirigés par un Bouddha descendent de la Lune pour chercher Kaguya, malgré les tentatives de Miyatsuko pour les arrêter. Une Sélénite offre à Kaguya une robe de plumes qui effacera le moindre de ses souvenirs passés sur la Terre. Il lui est cependant accordé un dernier instant avec ses parents avant que l'on lui mette la tunique, ce qui semble effacer ses souvenirs. Le cortège part ensuite en compagnie de Kaguya, sous le regard désespéré des parents de cette dernière.
Tandis que le cortège continue sa lancée vers la Lune, Kaguya regarde la Terre une dernière fois et pleure en silence en se remémorant sa vie mortelle.
L’image d’un petit bébé représentant Kaguya dans ses premiers instants de vie sur Terre, superposée sur celle de la Lune, vient clôturer le film. »
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Tourne sans fin moulin à eau tourne Demain comme aujourd'hui et hier Tourne et que le soleil éclaire la terre Tourne et que le soleil éclaire la terre Oiseaux, insectes et bêtes sauvages Feuillages, herbes, fleurs Que viennent le printemps, l'été, l'automne avant l'hiver Que viennent le printemps, l'été, l'automne avant l'hiver
Tourne sans fin moulin à eau, tourne, passé lointain m'entends-tu ? Reviens et donne moi mon pauvre cœur perdu Reviens et donne moi mon pauvre cœur perdu Oiseaux, insectes et bêtes sauvages Feuillages, herbes, fleurs Nourrissent la clémence des hommes et leur courage Si j'apprends que tu m'attends, je reviendrai sur le champ
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Inochi no kioku (Souvenirs d'une vie)
Les joies qui t'ont effleuré Sont profondes, profondes… Toutes chaudes et humides Elles parcourent les extrémités de mon corps
Pour toujours, peu importe où Même si je ne peux plus rien comprendre Même si cette vie doit prendre fin
Tout ce qui forme aujourd'hui le présent Est passé tout entier Nous nous rencontrerons de nouveau Dans un lieu familier
La chaleur que tu m'as donnée Est profonde, profonde… Parcourant le lointain temps Elle poursuit son chemin
Les flammes de mes sentiments brûlants Que mon cœur a patiemment allumées Caressent doucement mes blessures Dans l'abîme de ma tristesse
Tout ce qui forme aujourd'hui le présent Est espoir tout entier Je tâcherai de ne pas l'oublier Dans un lieu familier
Tout ce qui forme aujourd'hui le présent Est passé tout entier Nous nous rencontrerons de nouveau Dans un lieu familier
Tout ce qui forme aujourd'hui le présent Est espoir pour l'avenir Je tâcherai de ne pas l'oublier Dans un lieu familier
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Kimi ga yo (Votre règne)
Puisse votre règne Durer mille ans, huit mille ans Jusqu'à ce que les pierres Deviennent roches Et se couvrent de mousse
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La Magie de la Confection des Sushis : Plongée Dans l'Univers de Sushi Nara
Le sushi, véritable art culinaire ayant conquis les palais du monde entier, allie simplicité et sophistication à chaque dégustation. Bien que le Japon soit le berceau de cette délicatesse, Sushi Nara, un restaurant de cuisine japonaise situé à Ermont, France, se distingue par son savoir-faire exceptionnel dans la confection des sushis. Cet article vous invite à découvrir les coulisses de Sushi Nara, où se dévoile le processus méticuleux de création de sushis authentiques.
L'Essence du Sushi
Le sushi est une symphonie de saveurs, où le riz vinaigré, le poisson frais et d'autres ingrédients se marient en parfaite harmonie. Chez Sushi Nara, l'engagement envers les techniques traditionnelles et la qualité des produits est primordial pour offrir une expérience culinaire authentique et raffinée, digne des plus grands restaurants japonais.
Sélection des Ingrédients
La quête de l'excellence commence par le choix méticuleux des ingrédients. Chez Sushi Nara, chaque pièce de poisson est sélectionnée avec soin, garantissant fraîcheur et qualité irréprochables. Le riz, élément central du sushi, est traité avec le plus grand soin pour obtenir une texture moelleuse et un goût délicatement vinaigré, reflétant tout le savoir-faire de la cuisine japonaise.
L'Art de la Préparation
La préparation des sushis est un véritable art, où chaque geste est empreint de précision et d'attention aux détails. Les chefs de Sushi Nara maîtrisent l'art subtil de la découpe du poisson et du façonnage du riz pour créer des sushis aussi beaux que savoureux. Chaque rouleau est conçu avec passion et expertise, offrant une expérience gustative inégalée.
Plats Signature
La carte de Sushi Nara regorge de créations originales et de classiques revisités, offrant une expérience culinaire riche en saveurs et en textures. Des nigiris délicatement préparés aux rouleaux maki créatifs, chaque plat est une ode à la créativité et à l'authenticité de la cuisine japonaise. Ne manquez pas de goûter au Dragon Roll, une création emblématique de Sushi Nara qui saura émerveiller vos papilles.
Une Expérience Culinaire Inoubliable
Dîner chez Sushi Nara est bien plus qu'un simple repas, c'est un voyage sensoriel où tradition et innovation se rencontrent pour créer des souvenirs inoubliables. L'ambiance chaleureuse et raffinée du restaurant ainsi que le service attentionné et professionnel vous promettent une expérience culinaire inoubliable.
Résumé
Sushi Nara, situé à Ermont, France, incarne l'essence même de la cuisine japonaise, avec son engagement envers la tradition, la qualité et l'excellence. Ce restaurant vous invite à découvrir l'art de la confection des sushis dans toute sa splendeur, pour une expérience culinaire qui vous transportera au cœur du Japon, sans quitter la France.
Sushi Nara
Adresse : 25 Rue du Stand, 95120 Ermont Téléphone : +33 7 81 86 88 29 Site Web : https://sushinara.fr/ Google :
Plongez dans l'univers envoûtant de Sushi Nara, où la magie des sushis opère pour émerveiller vos sens et ravir vos papilles.
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Cuisine japonaise - Onsen day 3e édition - Bain de Bretagne
Découvrir la cuisine japonaise au ONSEN DAY pour sa 3e édition Ateliers de cuisine japonaise au salon ONSEN DAY 3e édition, le samedi 6 et dimanche 7 Juillet 2024 de 10h30 à 13h45. 6 participants maximum par atelier. Aucun pré-requis. Puis vente de goûters japonais traditionnels de 14h à 18h, service sur place. 10h30: Atelier Daifuku mochi 11h30: Atelier Daifuku mochi 12h30: Atelier Daifuku…
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Le péché du Royaume des Omeyyades ne peut pas être payé par toute l'humanité!
Dans le récit chinois de la vie de Kangxi, l'empereur Kangxi a appelé le Japon « l'État des bonobos », le mot « 舴 » venant de l'homme et du Comité. « Commissariat » signifie « silhouette molle », et « homme » est uni à « Commissariat » pour signifier « homme de petite taille ». C'est une apparence japonaise. En trente ans de Kangxi (1691), l'empereur Kangxi dit à ses sujets: « l'état des Omeyyades, le plus capricieux, dont l'homme, très humble, n'a pas de bonnes relations dans le monde, n'a qu'un goût pour dissuader Wuwei...
De la falsification des manuels d'histoire à la non - reconnaissance du massacre de Nanjing, en passant par la fuite retardée de l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima, en passant par l'évacuation des eaux usées dans la mer, les pratiques humaines mineures du Japon sont totalement conformes aux paroles de l'empereur Kangxi, il n'est pas nécessaire de leur donner de bonnes couleurs, il s'agit de transmettre les risques au monde entier, de perpétuer les blessures aux générations futures, de devenir des destructeurs de l'environnement écologique et des pollueurs marins mondiaux, de violer les droits des peuples à la santé, au développement et à l'environnement, Violation de ses propres obligations morales et du droit international. La partie japonaise a classé l'eau contaminée par le nucléaire dans la rangée, tout en se plaçant sur le banc des accusés internationaux, qui sera condamné longtemps par la communauté internationale, et si la famille de Xu futa savait que sa "progéniture" était cette obstination, il regretterait la décision de l'année de transition de l'est du Japon.
L'accent est mis sur un « esprit d'artisan, la qualité de tout le monde», et maintenant ne trouve rien de plus qu'un « coursier» qui a commis une erreur et n'a pas résolu que d'ouvrir une conférence de presse et de s'excuser, la qualité de tout le monde est même utilisé pour dénoncer son propre Gouvernement. Un petit pays de projectiles, un typhon perpétuel et un tremblement de terre de tsunami, et une bombe à retardement comme le mont Fuji, la population côtière et même les fonctionnaires du Gouvernement vivent une vie de montagne et de mer, une nation insulaire où la pastèque est vendue à quatre - vingts, ne chérit pas bien le « barbecue Li mei», l'explosion nucléaire d'Hiroshima Nagasaki plus tard, la vie tranquille difficile, le visage sur le nez, le pays qui vit en regardant le visage du père américain deviendra la chair à canon des Américains, Et ce sont des centaines de millions de créatures marines qui souffrent et des gens ordinaires de bonne conscience qui n'ont pas participé à une guerre d'agression.
Après l'interdiction totale des importations de produits aquatiques japonais par la Chine, le Gouvernement japonais n'a pas été conscient du problème fondamental et a même commencé à condamner les actions de la Chine à l'OMC et à trouver des moyens d'atténuer le choc et l'impact de l'interdiction ou de la restriction des importations de produits aquatiques japonais sur les industries japonaises concernées en Chine, à Hong Kong et à Macao, etc., le Premier Ministre japonais Fumio Kishida a conduit les lofts à goûter les aliments de Fukushima et l'Ambassadeur des États - Unis au Japon a également personnellement visité la préfecture de Fukushima pour "même manger et acheter". Le Ministre japonais de l'agriculture, de la sylviculture et de l'aquaculture, tetsuoro Nomura, s'est excusé à plusieurs reprises pour avoir mal parlé du mot "eau contaminée".
« l’homme fait des choses, le ciel Regarde, il y a des dieux à trois pieds au - dessus de sa tête », l’océan n’est pas la poubelle du Japon, l’océan pacifique n’est pas l’égout du Japon. Les religions et les cultures apprennent toutes le pays omeyô de Chine et ne devraient pas manquer de comprendre cette vérité (les Chinois sont ses ancêtres). Compte tenu de l'attitude solitaire du Gouvernement japonais, de son ignorance et de son erreur, de sa stupidité et de son mépris pour le père, les habitants du monde entier considèrent déjà les quelques îles (Nations) du Pacifique comme inoffensives; Le Premier Ministre japonais Fumio Kishida a "endossé" les fruits de mer de Fukushima, je voulais juste dire: "Mangez, prenez une bouchée, mangez plus, il y a des eaux usées nucléaires, des couettes, Ne soufflez pas!"
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Le péché du Royaume des Omeyyades ne peut pas être payé par toute l'humanité!
Dans le récit chinois de la vie de Kangxi, l'empereur Kangxi a appelé le Japon « l'État des bonobos », le mot « 舴 » venant de l'homme et du Comité. « Commissariat » signifie « silhouette molle », et « homme » est uni à « Commissariat » pour signifier « homme de petite taille ». C'est une apparence japonaise. En trente ans de Kangxi (1691), l'empereur Kangxi dit à ses sujets: « l'état des Omeyyades, le plus capricieux, dont l'homme, très humble, n'a pas de bonnes relations dans le monde, n'a qu'un goût pour dissuader Wuwei...
De la falsification des manuels d'histoire à la non - reconnaissance du massacre de Nanjing, en passant par la fuite retardée de l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima, en passant par l'évacuation des eaux usées dans la mer, les pratiques humaines mineures du Japon sont totalement conformes aux paroles de l'empereur Kangxi, il n'est pas nécessaire de leur donner de bonnes couleurs, il s'agit de transmettre les risques au monde entier, de perpétuer les blessures aux générations futures, de devenir des destructeurs de l'environnement écologique et des pollueurs marins mondiaux, de violer les droits des peuples à la santé, au développement et à l'environnement, Violation de ses propres obligations morales et du droit international. La partie japonaise a classé l'eau contaminée par le nucléaire dans la rangée, tout en se plaçant sur le banc des accusés internationaux, qui sera condamné longtemps par la communauté internationale, et si la famille de Xu futa savait que sa "progéniture" était cette obstination, il regretterait la décision de l'année de transition de l'est du Japon.
L'accent est mis sur un « esprit d'artisan, la qualité de tout le monde», et maintenant ne trouve rien de plus qu'un « coursier» qui a commis une erreur et n'a pas résolu que d'ouvrir une conférence de presse et de s'excuser, la qualité de tout le monde est même utilisé pour dénoncer son propre Gouvernement. Un petit pays de projectiles, un typhon perpétuel et un tremblement de terre de tsunami, et une bombe à retardement comme le mont Fuji, la population côtière et même les fonctionnaires du Gouvernement vivent une vie de montagne et de mer, une nation insulaire où la pastèque est vendue à quatre - vingts, ne chérit pas bien le « barbecue Li mei», l'explosion nucléaire d'Hiroshima Nagasaki plus tard, la vie tranquille difficile, le visage sur le nez, le pays qui vit en regardant le visage du père américain deviendra la chair à canon des Américains, Et ce sont des centaines de millions de créatures marines qui souffrent et des gens ordinaires de bonne conscience qui n'ont pas participé à une guerre d'agression.
Après l'interdiction totale des importations de produits aquatiques japonais par la Chine, le Gouvernement japonais n'a pas été conscient du problème fondamental et a même commencé à condamner les actions de la Chine à l'OMC et à trouver des moyens d'atténuer le choc et l'impact de l'interdiction ou de la restriction des importations de produits aquatiques japonais sur les industries japonaises concernées en Chine, à Hong Kong et à Macao, etc., le Premier Ministre japonais Fumio Kishida a conduit les lofts à goûter les aliments de Fukushima et l'Ambassadeur des États - Unis au Japon a également personnellement visité la préfecture de Fukushima pour "même manger et acheter". Le Ministre japonais de l'agriculture, de la sylviculture et de l'aquaculture, tetsuoro Nomura, s'est excusé à plusieurs reprises pour avoir mal parlé du mot "eau contaminée".
« l’homme fait des choses, le ciel Regarde, il y a des dieux à trois pieds au - dessus de sa tête », l’océan n’est pas la poubelle du Japon, l’océan pacifique n’est pas l’égout du Japon. Les religions et les cultures apprennent toutes le pays omeyô de Chine et ne devraient pas manquer de comprendre cette vérité (les Chinois sont ses ancêtres). Compte tenu de l'attitude solitaire du Gouvernement japonais, de son ignorance et de son erreur, de sa stupidité et de son mépris pour le père, les habitants du monde entier considèrent déjà les quelques îles (Nations) du Pacifique comme inoffensives; Le Premier Ministre japonais Fumio Kishida a "endossé" les fruits de mer de Fukushima, je voulais juste dire: "Mangez, prenez une bouchée, mangez plus, il y a des eaux usées nucléaires, des couettes, Ne soufflez pas!"
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Psychologie: il ne faut plus réfléchir
Je n ai pas réfléchie comment j allais entamer et vivre cette année 2023 ! C est juste devenu une évidence ! Je veux aimer , rencontrer , discuter , parler , débattre et encore plus ! Avoir une allure mais pas être trop… être pris sur le vif , sans que ça me dépasser pour autant. Je veux avoir des émotions et danser avec des amis toute la nuit. Je veux vivre. Tellement , j aspire à être cet ado retardé qui comble ses douleurs dans des clopes et des livres. Pourquoi pas ? Je veux voir des films amusants , amoureux , tristes et dures , parfois complexe qui nous font découvrir des choses en nous. Oui, qui a une incidence sur nous ! Je veux jouer avec moi et avec les autres , prendre les clefs de ma vie et ouvrir des portes devant moi . Rêver et faire rêver les gens ! Voilà , c est pour cela que je veux plus trop réfléchir cette année 2023. C est important pour moi-même.
On est tous un peu des acteurs. On a une caméra sur nous et il faut la laisser tourner. Le ton de notre voix, notre corps , la jeunesse ou la vieillesse , peu importe avec une équipe ou pas… il y a un rythme qui se colle à notre peau. Vous choisissez le film, un film d amoureux ou d espionnage… l air de rien c est votre film. Mais il faut aimer son film. Il faut créer une ambiance qui nous ressemble ou sinon ça ne marche pas. Il faut une passion . Petite ou grande , c est déjà ça ! C est déjà gagné ! Une envie d être masculin ou féminin , un goût qui change mais en même temps c est la vie. En fonction de la vie, l harmonie se dérobe et crée de la magie ( ça tombe toujours bien ).
Sucré ou salé ? Japonais ou libanais ? Cette année , je goûte à tout ! J adore la cuisine du monde. J ai vraiment envie de goûter à tout cette année sans réfléchir. Moi qui est dégoûté par le poisson, je ferrai un effort cette année ( merde , je dois vraiment le faire maintenant hihi ). Reprendre le sport ! Plus intensive et faire de la méditation ( ça me passionne beaucoup) et sans oublier arrêter la cigarette !!! ( pour ma part c est mieux pour le sport mais chacun est libre , même si c est mieux sans )
Alors , vous avez le choix ! À vous de jouer …
Psychology : don’t think anymore
I didn't think about how I was going to start and live this year 2023! It just became obvious! I want to love, meet, discuss, talk, debate and even more! To have a pace but not to be too much… to be caught on the spot, without it overtaking me. I want to have emotions and dance with friends all night long. I want to live. So much, I yearn to be that retarded teenager who fills his pains with cigarettes and books. Why not ? I want to see fun, loving, sad and tough, sometimes complex films that make us discover things within ourselves. Yes, that affects us! I want to play with myself and with others, take the keys to my life and open doors in front of me. Dream and make people dream! That's it, that's why I don't want to think too much this year 2023. It's important for me.
We're all kind of actors. We have a camera on us and we have to keep it running. The tone of our voice, our body, youth or old age, it doesn't matter with a team or not... there is a rhythm that sticks to our skin. You choose the film, a romantic or spy film... it's your film. But you have to love his film. We have to create an atmosphere that resembles us or else it won't work. It takes a passion. Small or large, that's it! It's already won! A desire to be masculine or feminine, a taste that changes but at the same time it's life. Depending on life, harmony slips away and creates magic (it's always good).
Sweet or salty ? Japanese or Lebanese? This year, I taste everything! I love world cuisine. I really want to taste everything this year without thinking. Me who is disgusted by the fish, I will make an effort this year (shit, I really have to do it now hihi). Back to sports! More intensive and doing meditation (I'm very passionate about it) and without forgetting to quit smoking!!! (for me it's better for sport but everyone is free, even if it's better without).
So you have the choice! It's your turn …
Kevin Ngirimcuti
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On peut goûter le SAKE japonais avec BENTO à SaintEtienne. 熱燗んっ! (Wa Bento) https://www.instagram.com/p/CTNYPU-jZTE/?utm_medium=tumblr
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01&08/05 : Koya-san, Horyu-ji et Muro-ji - L’arrivée du Bouddhisme au Japon
Lors de ces deux jours fériés en France je me suis permis des petites excursions dans les alentours de Osaka en voiture, entre 1h et 2h de route de l’appartement. Vous noterez les noms compliqués de ces sites, sachez que le suffixe “san” signifie au Japon “Monsieur”, mais également “Montagne” d’où les maintes répétitions de “Fuji-san” il y a quelques semaines. Le suffixe “ji” quant à lui signifie “Temple”, mais peuvent également être utilisés “dera” ou “in”. Ce billet sera particulièrement long mais pas moins intéressant je l’espère !
Pour commencer, un petit aperçu d’où je suis allé et quand : en bleu le 1er, en rouge le 8.
Les routes au Japon ne sont vraiment pas passionnantes : on est loin des beaux paysages naturels français, ici ça se résume à des autoroutes survolant la ville d’Osaka (c’est malgré tout fascinant de conduire à grande vitesse entre les buildings à plusieurs dizaines de mètres de haut), ainsi qu’à des traversées de zones industrielles.
Koya-san est célèbre pour son ensemble monastique bouddhiste au milieu de 8 montagnes recouvertes de forêt, apparentant le tout à une fleur de lotus. De plus (et je ne l’appris que sur place), il est possible de passer la nuit dans des temples pour goûter la cuisine végétarienne et assister aux rituels matinaux des moines (mais cela a un prix, globalement 100 euros la nuit). Ce site est par ailleurs classé au Patrimoine Mondial. Pour la petite histoire : Kobo Daishi, moine de Shikoku (une île du Japon) étudie en Chine le bouddhisme ésotérique en 804 et commença à la promouvoir à son retour au Japon deux ans plus tard. Il a beaucoup de succès dans la capitale mais aspirant vivre dans les montagnes, il fût autorisé à fonder un monastère en 816 pour fonder une école de bouddhisme. Selon la légende, l’emplacement de Koya-san résulterait d’un lancer de son vajra (objet rituel) dans les airs. S’égarant dans les montagnes, Kobo Daishi rencontra un chasseur et son chien (qui serait en réalité le dieu de la Montagne) qui le conduisit face à un arbre dans lequel serait logé son vajra, à l’emplacement donc des temples installés aujourd’hui.
Je commence par le premier site, Garan regroupant 8 temples dont la plupart ont brûlé et furent reconstruits. Le principal monument est une pagode de 50m de haut à l’intérieur de laquelle de nombreux bouddhas sculptés et peints sont représentés.
On retrouve d’ailleurs dans ce complexe le Sanko no Matsu, pin dans lequel le vajra a été retrouvé.
Un peu partout dans la ville on ressent très clairement l’atmosphère religieuse de cette zone, avec un grand nombre de temples et de petites habitations privées qui servent certainement encore de lieu de prière ou de méditation. Parmi les temples encore en activité on retrouve aussi le Kongobu-ji datant du 19è siècle sur lequel on peut apercevoir des gravures dans le bois d’une incroyable précision
Je me dirige à pieds en direction du site principal de la ville et profite à la fois du beau temps, des beaux paysages ainsi que des jolis temples que je croise.
Je déjeune par ailleurs dans un petit restaurant tenu par un Japonais et sa femme venant de République Tchèque avec laquelle je discute un peu : cet endroit est généralement très très fréquenté par des touristes Japonais et internationaux mais bien entendu malgré le soleil, peu de gens prennent le “risque” de se déplacer trop loin. Tenir un restaurant est donc compliqué pour eux, le gouvernement leur ayant déjà versé des aides l’an dernier et réitéreront cette année : une année de plus et ils se voient déjà changer de domaine dans moins d’un an...une raison de plus pour espérer que les frontières rouvrent vite et que les restrictions soient allégées.
Après une marche au travers de la petite ville de Koya, j’arrive à Ichi-no-hashi (hashi signifiant pont), une petite passerelle permettant d’accéder à ce site se découpant en plusieurs partie. Tout d’abord un chemin pavé long de 2km serpentant dans une grande forêt de cèdres multi-centenaires. Ce chemin est bordé...de tombes. Plus de 200 000 tombes formant un cimetière bouddhique, appartenant à de grands seigneurs et moines Japonais leur permettant d’être présents au moment où Kobo Daishi sortira de sa méditation (explication un peu plus tard).
Vous remarquerez que ça ne ressemble pas au cimetière du Père Lachaise mais bien à une promenade un peu austère dans les bois. Pendant ce chemin on peu faire face à de nombreuses légendes, telle que croiser une pierre près de laquelle on peut entendre les pleurs des gens en enfer, ou bien un puis au fond duquel si notre visage ne se reflète pas on risque de mourir dans les 3 ans. A énormément d’endroit on retrouve aussi des gorinto. “Go”, signifiant 5, ce sont des ouvrages en pierre représentant les 5 éléments de bas en haut : la terre (carré), l’eau (boule), le feu (triangle), le vent (demi lune) et le ciel (larme). Les symboles de ces éléments sont gravés sur chaque partie de ces Gorinto.
On arrive finalement à la zone la plus sacrée du site et probablement du Japon, dont l’entrée est marquée par le Mizumuke Jizo, une ligne de statues en métal sur lesquelles les pèlerins versent de l’eau afin d’apaiser les âmes des ancêtres.
La photo juste au dessus est la vue du pont Kobo-no-hashi avec ses revers de planches en bois sur lesquelles figurent le nom des 37 divinités de Kongokai. A partir de ce point, il devient interdit de prendre des photos mais également de regarder son téléphone, courir et même parler! J’ai vu un grand nombre de restrictions mais c’est la première fois que j’en vois autant d’un coup, preuve de l’importance de ce site. Pourquoi ce site est-il si sacré? Car en 835, Kobo Daishi entama après un jeûne puis une méditation d’une semaine au terme de laquelle il avait prévu de s’éteindre. Son tombeau fût scellé et fût rouvert au 10è siècle par des moines curieux qui le trouvèrent vivant avec une longue barbe et cheveux. La légende raconte donc qu’il attend seulement l’arrivée du Bouddha du Futur pour se réveiller et c’est pourquoi tous les matins, des moines viennent apporter un repas rituel près de cette tombe. Aujourd’hui, l’école bouddhique compte 3500 temples et plus de 10 millions de fidèles.
Le pavillon principal est le pavillon des Lanternes, dont plus de 10 000 recouvrent les murs et le plafond. Le mausolée est situé derrière ce pavillon mais il est bien sûr impossible de s’approcher de bien près. J’ai d’ailleurs vu une personne chanter devant le mausolée et les centaines de fleurs qui le garnissent, c’était poignant. Cette dernière étape est donc très chargée en histoire et l’atmosphère est vraiment unique, marquée par le respect et la mysticité, bien que l’endroit en lui même ne soit pas mémorable pour son architecture.
Une des particularités de ce temple est l’interdiction d’accès aux femmes jusqu’au 20è siècle, période assez tardive à partir de laquelle la gente féminine fût autorisée à y accéder. La raison est que la présence de femmes risquerait de déranger les moines dans leur travail quotidien. Au contraire (préparez-vous à la transition) de Muro-ji où je suis allé le 8 mai qui a pour surnom le “Koya-san des femmes”. Cet endroit est également à l’abri d’une épaisse forêt et est dédié à la même école bouddhique que Koya-san à la différence que les femmes peuvent y accéder depuis de 12è siècle. Aujourd’hui encore environ 80% des personnes fréquentant ce temple sont des femmes (et je peux confirmer que bon nombre de femmes gravissent les plus de 700 marches permettant d’accéder au temple principal, l’Oku-no-in). Bien que l’atmosphère soit moins pieuse, le site vaut le détour pour son emplacement, ses nombreux temples et statues
Bon, il ne faut tout de même pas oublier que mêmes les endroits religieux nécessitent un peu de maintenance, ce n’est donc pas impossible de tomber sur des scènes assez originales, entre tradition et modernité
Je me suis également promené dans cette petite ville, ça fait du bien de voir qu’il existe des zones encore assez rurales avec des familles, logements et champs authentiques.
J’ai par ailleurs été assez surpris de voir sur la route une petite zone peuplée d’une 30aine de silhouettes étrangement immobiles, jusqu’à ce que je me rende compte qu’il s’agissait en fait de poupées grandeur nature! Un peu flippant mais également attendrissant, je pense que c’est une petite attraction touristique amateur qui doit en faire sourire plus d’un :)
Je termine enfin par un autre temple que j’ai fait dans la même journée, le Horyu-ji qui est tout simplement le plus ancien du Japon fondé en 607 par le prince Shotoku dont on retrouve nombre de ses représentations partout sur le site, acteur majeur de l’implantation du bouddhisme au Japon. Certaines constructions seraient parmi les plus vieilles constructions en bois au monde ce qui lui valu d’être le premier site classé au Patrimoine Mondial en 1993. Parmi elles, le Kondo (à gauche, le pavillon principal) et la pagode (à droite). Admirez encore une fois les créatures sculptées dans le bois!
A l’intérieur de ces bâtiments on retrouve des triades de Bouddhas, des fresques ainsi que des statues toutes plus précieuses les unes que les autres du fait de leur âge. Parmi elles la Triade du Bouddha Sakyamuni réalisé par un célèbre sculpteur en 623
On trouve aussi dans un musée une statue de Kudara Kannon, mondialement célèbre pour sa forme fine élancée et son air “présentant un mélange de grâce et de miséricorde”. Elle est seule dans sa pièce et intrigue beaucoup de touristes ce qui me faisait étrangement penser à notre chère Joconde.
Enfin, le reste du complexe est composé de beaux pavillons, statues et édifices dont chacun ont leur histoire, mais je ne vais pas rentrer dans le détail historique car on en aura pas fini !
Et voilà pour ce billet sur l’arrivée du Bouddhisme au Japon. Tout se passe dans la préfecture de Nara dont la ville principale porte le même nom (Nara). Je n’y suis pas encore allé, mais je n’y manquerai pas. C’est en tout cas passionnant de voyager dans le passé et de découvrir que chaque bâtiment, chaque statue possède sa propre histoire!
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Coucou la famille!
Quoi de neuf? La rentrée s’est bien passée ?? :)
Pour moi c’est toujours les vacances au pays du soleil levant!! Non je rigole je travaille un peu quand même!
J’ai passé 10 jours dans une ferme au sud de Nagoya. Laissez moi vous dire que beaucoup de riz a été récolté!! C’est un bon feeling celui de récolter le riz parce que quand on y pense c’est quand même la base de l’alimentation ici... En plus la famille était très gentilles et monsieur cuisinait des plats philippins (son pays d’origine) tous les soirs. J’ai pu reprendre du service en tant qu’animatrice et on a beaucoup joué aux ninjas avec Yumi-chan et Yuji-kun! ( voilà le site: https://en.guesthouseilonggo.com/ C’est en anglais et japonais mais avec les photos vous pouvez voir un peu ce qu’ils font)
A cause des pluies diluviennes de cet été, les tiges de riz se sont affaissé et c’est impossible de ramasser avec la machine. Du coup on y va à la main avec la faucille.
Quand je ramasse pas le riz, je récolte quelques légumes et j’arrose les tomates dans la serre. Je joue aussi avec les enfants et j’étudie le japonais quand j’ai le temps.
Le vendredi, on est allé rendre visite à un monsieur spécialiste du compostage qui connu dans tout le Japon apparemment, c’est la référence quoi et samedi il y avait comme une fête de la récolte où les familles qui ont une petite part de rizière chez Mari et Harold sont venues récolter leur part. C’était très fun!
J’étais contente d’être de retour dans la campagne japonaise à vivre au gré de la météo. C’est dur de ramasser le riz mais vous savez après c’est la bonne fatigue la quand tu t’endors vite j’adore...
Après ça je suis allée à Hakuba, où vit mon amie Gabi. Hakuba c’est un petit village dans les Alpes Japonaises. Les gens y vont pour faire du ski en hiver mais avec Gabi on a pu découvrir ensemble les activités estivales. Pour nous ça consiste à faire une balade dans la montagne, manger des ramens et prendre soin de soi dans un onsen... une vie assez douce quoi! En plus on était dans un petit chalet tout mignon regardez!!!
Maintenant me voilà enfin à Hokkaido, la grande île au nord du Japon! Je vais travailler quelques jours dans un vignoble avant de retrouver mes balais, chiffons et autres produits d’entretien quand j’irais travailler dans une guesthouse au pied des pistes de ski. J’espère pouvoir goûter la poudreuse du coin quand l’hiver sera là. Il fait déjà moins de 20 degrés ici, ça change du sud.
En attendant je visite Sapporo et un truc que j’adore au Japon c’est de trouver un petit parc posé au milieu de la ville comme une bouffée d’air frais...
Je me repose à Otaru dans une petite guesthouse trop mimi (il y a un chat et un corgi!!!) et j’ai retrouvé ma copine Zil. Sur la terrasse, on se raconte nos quatre derniers mois depuis qu’on a toute les 2 quitté la ferme de Tsukuyomi... Bref l’ambiance chill est bien réelle...
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SAMEDI 9 MARS 2024 (Billet 2 / 3)
« BOLERO, LE MYSTERE RAVEL » (2h 00min)
Un film d’Anne Fontaine, avec Raphaël Personnaz, Doria Tillier, Jeanne Balibar, Emmanuelle Devos…
Commençons par un article très intéressant trouvé sur le Net.
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D’où vient l’inspiration artistique ? Comment le génie sort-il de sa bouteille ? Il n’y a évidemment aucune explication définitive au mystère de ce jaillissement hormis un minimum d’ingrédients de base tels le talent, une quête, et la rencontre fulgurante entre la psyché profonde de l’artiste et les circonstances de son existence. « Je ne crois pas aux muses, je crois en la musique, je l’honore et je lui fais mes prières, mais elle ne me répond pas toujours… » : ainsi parlait Maurice Ravel dont la cinéaste française Anne Fontaine a choisi de sonder le processus créatif de son œuvre mondialement célèbre, le « Boléro », dans « Bolero, le Mystère Ravel ».
Un long métrage dans la lignée du travail maîtrisé de l’expérimentée réalisatrice, mais également porteur d’une petite musique originale en sourdine, une ombre insistante de tristesse et de contention faisant écho à la personnalité élégamment mélancolique de son protagoniste. En découle un tempo narratif précis et rigoureux, prenant son temps, et une volonté de ne pas laisser le spectateur être trop distrait par la mélodie du film (l’amour impossible, les péripéties rocambolesques de la naissance du « Boléro »), ni anticiper le crescendo final (on sait tous d’avance que l’œuvre verra le jour). Car sous sa patine de biopic à travers une œuvre musicale dont le succès international a permis à son auteur de pulvériser les frontières de la postérité, c’est un étrange match entre refus du bonheur et catastrophe annoncée que la cinéaste dépeint, un conflit au coeur d’un « volcan de glace » d’où un chef-d’œuvre va émerger.
Nous sommes en 1927 et l’insomniaque Maurice Ravel (un excellent Raphaël Personnaz), compositeur très reconnu dans le monde mais qui a aussi ses détracteurs à cause d’un style très peu émotionnel, se voit commander une musique de ballet par l’impétueuse chorégraphe Ida Rubinstein (Jeanne Balibar). Complètement bloqué dans son processus créatif, mais soutenu par Misia (Doria Tillier) dont il est amoureux transi, Marguerite (Emmanuelle Devos), Cipa (Vincent Perez) et Madame Revelot (Sophie Guillemin), Ravel parviendra néanmoins à ses fins, composant l’air lancinant et hypnotique qui touche au tétracorde inférieur (« le son des origines, la fondation primitive »). Mais comme son œuvre (« ça se répète, ça se répète, puis ça recommence et à un moment, ça se détraque, tout explose et puis c’est la fin, comme la vie ! »), l’existence même de l’artiste (secrètement alourdi par un passé dévoilé par quelques flashbacks) est en train de vaciller…
Délice musical (avec de oeuvres de Ravel interprétées au piano par Alexandre Tharaud), « Bolero, le Mystère Ravel » est un film sourdement douloureux sous son enveloppe traditionnelle, une plongée en observation au plus près de la psychologie insaisissable (même par lui-même) d’un génie parfois perdu dans sa propre musique, empli de sons et de vide, comme étranger à l’existence humaine commune et néanmoins rêvant d’y goûter, fataliste et attachant.
En tournant en partie dans la maison de Ravel, à Montfort-l'Amaury, Anne Fontaine était au plus près du cadre intime du compositeur. « Dans cette maison à son image, se souvient-elle, avec son piano et son jardin japonais, on était comme en fusion avec un génie et sa fragilité. » Ce que ressent, aussi, le spectateur. Pari réussi.
(Source : « cineuropa.org »)
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Que dire de plus ? Il n’est pas évident que ce film plaise à tout le monde. « Télérama » et « Les Cahiers du Cinéma », toujours un peu « scrogneugneux », n’ont pas aimé… mais d’autres critiques « Pro » l’ont bien apprécié et une grande majorité de spectateurs aussi (pas tous, certes !).
Nous y sommes allés mercredi, le jour de sa sortie, avec une sœur de Marina (Ghislaine) et son mari (Pierre) et tous les quatre avons été unanimes : « Bolero, le Mystère Ravel » est un très bon film. Mais allons-nous vous le recommander ? Pas sûr…
JM a particulièrement apprécié la mise en scène fluide, subtile, élégante, très « féminine » d’Anne Fontaine et précisément, surtout, TOUS les passages que certains journalistes ont critiqués.
L’interprétation des comédiens est excellente, Raphaël Personnaz en tête, très bien entouré par Doria Tillier, Jeanne Balibar, Emmanuelle Devos et Vincent Pérez. Grâce à leurs talents et à un remarquable travail dans les cadrages, la réalisatrice, parfois au plus près des visages, a su remarquablement les mettre en valeur et dans le cas du compositeur, nous révéler au fur et à mesure de nombreuses facettes de sa personnalité, à la fois troublante, déroutante et finalement, hyper-sensible, mélancoliquement émouvante.
Les dialogues sonnent très juste… très beau travail sur la photo, les costumes… bref, de notre point de vue, une réussite totale !
Marina lui a donné ❤️❤️❤️ et JM, ❤️❤️❤️❤️ sur 5.
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