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#gili mestres
elarafritzenwalden · 5 years
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The face of the architect ~ J. Gili Mestres
Apartment building with 10 apartments at Urbanitzacio el Pla Prats i Sansor, Lleida, Catalonia, Spain; 1970's
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viajandocomgabi · 2 years
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𝟸 𝙼𝙴𝚂𝙴𝚂 𝙼𝙾𝚁𝙰𝙽𝙳𝙾 𝙴𝙼 𝙱𝙰𝙻𝙸, 𝚒𝚗𝚏𝚘𝚜 𝚒𝚖𝚘𝚙𝚘𝚛𝚝𝚊𝚗𝚝𝚎𝚜: 🇬🇧 2 months since I moved to Bali and I can’t wait for many months more! I’ve been trying to move here since 2017, but I guess life has its own way to work things out and 5 years later, here I am 🤎 🇧🇷 O tempo demora a passar quando a gente tá na luta pra algo acontecer né? Aí a gente consegue e o tempo faz o que? Começa a voar! Já tem mais de 2 meses que me mudei pra Bali e preciso contar que tô escrevendo esse post de um destino diferente e que vcs não tem neeeem ideia 🙊 Mas aqui vão algumas infos importantes pra quem quer vir morar em Bali, assim como eu… 📑 DOCUMENTOS QUE NÃO PODEM FALTAR: passaporte, seguro viagem ( o meu é @segurospromo e tem desconto pra seguimor, só chamar no direct), comprovante vacinação 2 doses, PID ( se a polícia parar é bom ter), cartão internacional 💰 CUSTO DE VIDA MENSAL: primeiro mês foi R$3199. Segundo mês reduzi pra R$1566,21 pq não tive custo com acomodação e sou mestre em economizar. Pra uma pessoa sozinha acredito que o custo mensal ficando em Homestay seja em torno de R$5.000. 🪪 PRECISA DE VISTO: os dois mais comuns pra quem quer morar aqui são o VOA ( Visa On Arrival) e o B211a ( se quiserem um post só sobre visto e indicação da agência que fiz o meu, comenta aqui)… 👉🏽 E ai, meus posts tão te ajudando a planejar sua trip ou sua aventura nômade em Bali? Se sim, comenta aqui! 🤎 👙 Biquíni @lipbeachwear 📷 Foto @life.sessions 📲 edição: @viajandocomgabipresets 🏡 Hotel @lepiratebeachclub 🚤 Agência @onmywaytobali (at Gili islands) https://www.instagram.com/p/CgFMqRRpEQ3/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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remykolpakopoul · 6 years
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RKK Klik Klak ► Salut, Rachid Taha !
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► Il revient à nos mémoires des souvenirs familiers... On revoit ces deux lascars en train de s’acoquiner... La nuit du mardi 11 au mercredi 12 septembre 2018, Rachid Taha s’en allé retrouver son vieux complice Rémy Kolpa Kopoul du côté de l’Éternité. S’il laisse la France un peu moins douce, aucun renouvellement de Carte de Séjour ne sera nécessaire Là-Haut... Depuis fort longtemps, entre le rocker et le ConneXionneur, le courant passait : ce “Coran alternatif” sur lequel se branchait brillamment le chanteur. ▼
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Lorsqu’en 1999, RKK célébra son Mi-Centenaire à Paris, salle Confluences, son ami Rachid était bien sûr de la party. (Lire RKK’nniversaire ► 23 février) ▲ Photos © Bill Akwa Bétotè
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À l’antenne de Radio Nova, leur conversation se poursuivait inlassablement (▲ Photo © Marc Melki)...
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Au cours d’un Contrôle Discal diffusé le dimanche 12 janvier 2014, Rachid Taha explora avec délice la discothèque de l’Inspecteur La Galette. Tous deux exercèrent l’honorable activité de DJ et chacun possédait une impressionnante collection de vinyles. (Écouter Habibi Rachid : l’hommage de Radio Nova à Rachid Taha)
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Aux rendez-vous que lui donnait Rémy Kolpa Kopoul, Rachid Taha répondait présent : pour un festival en pleine garrigue (Les Vidourlades de Quissac) ou pour une pétillante nuit parisienne... Lorsqu’en 2015 fut célébré l’ultime anniversaire du ConneXionneur dans le cadre d’un Lundi c’est Rémy au Comedy Club, il interpréta avec Rodolphe Burger, Hakim Hamadouche, Imed Alibi et Fred Soul “Walk On The Wild Side” de Lou Reed... (Lire Reportage ► Surpreeez Night : RKK'nniversaire - Lundi c’est Rémy @ Comedy Club, Paris [ 23/02/15 ])
▼ Vidéo © Régis Mestre
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▼ Vidéo © Alejandro Rumolino
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Parmi une flopée d’invités, un étonnant numéro d’équilibriste avec canne conclut cette inoubliable soirée. ▲▼ Photos © Laurent Lafont-Battesti
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▼ Photos © Alexandre Olah
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▼ Photos © Régis Mestre
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Au même endroit, quelques mois plus tard, le lendemain de la disparition de RKK survenue le 3 mai 2015, ses fidèles se retrouvèrent pour y improviser un hommage. Avec Mirabelle Gilis et Hakim Hamadouche, Rachid Taha salua la mémoire de son camarade à bretelles. ▼ Vidéo © Laurent Lafont-Battesti
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▼ Photos © Alexandre Olah
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▼ Photos © Rodolphe Gonzalez
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Le 13 septembre 2015, Radio Nova et la famille Kolpa organisèrent un grand concert en l’honneur de Rémy (Lire Reportage ► Rémy Kolpa Kopoul : Un Dernier Voyage Improbable @ Cabaret Sauvage [ 13/09/15 ]). Sur scène, Rachid Taha engagea un dialogue virtuel et spirituel avec son regretté ami en introduction de “Rock El Casbah”, sa reprise de “Rock The Casbah”, morceau qu’il aurait lui-même inspiré au groupe The Clash. Punk pour toujours ! LL
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Rachid Taha ► Wikipédia ● Facebook ● Twitter ● Discogs ● AllMusic ● YouTube ● Deezer ● Spotify ● Apple Music
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▼ RACHID TAHA PAR RÉMY KOLPA KOPOUL
En deux exemples, voici ce que le ConneXionneur pouvait écrire à propos du rocker. D’’abord, lors de la sortie de l’album “Made In Medina” (2000, Barclay Records) : ▼
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Le cru Rachid Taha 2000 est arrivé. Suivez le guide, en onze plages, il vous pilote dans «sa» Medina, grande comme la terre, construite entre Paris, Londres, Marrakech et la Nouvelle Orléans. Un disque tout neuf et rien qu’à lui, en ce sens, le premier depuis «Olé Olé» il y a déjà cinq ans. Et pourtant, elles ont été plus que fertiles en rebondissements, pour lui, ces dernières années.
Pensez donc, «Diwan», une sorte de «best of Taha» restauré avec échappées technoïdes, paru en 97, fait bingo (et disque d’or) avec «Ya rayah». La reprise plutôt trad’ sortie par Rachid quatre ans plus tôt en toute confidentialité, est revendiquée et bastonnée à retardement par les DJs sur les dancefloors, jusqu’à devenir la première chanson en arabe à faire le bonheur des balloches hexagonaux du samedi soir. Histoire quasi-patrimoniale…
Et dans la foulée, il fait soleil, oui, lui, Rachid. Trublion, boutefeu en embuscade de la raï-connection, avec King Khaled et son dauphin Faudel. Taha apporte une touche rocker limite destroy, salutaire pour taquiner le consensus raï : Niagara de cordes moyen-orientales, Bercy en feu, double album commémoratif deux fois platiné (600 000 copies), c’est un sacré coup de soleil. Il était temps, car Rachid Taha aurait pu rester dans l’ombre. Pas celle, noire, des maudits, une autre, plus insidieuse, underground. En somme un objet de culte, attention, plus façon rock que Mahomet, mais prophète à sa manière !
Millésime Oran 58 devenu ado métropolitain, Rachid a, dès 82 (bien avant la raïmania), ouvert la voix au «chanter arabe» version urbaine électrique. Carte de Séjour, un groupe au nom sulfureux, à la gouaille méditerranéenne frondeuse et à la discographie en pointillé (deux albums… et demi en cinq ans), c’était, ne l’oublions pas, le Rachid d’avant Taha. Et, pourtant, le vrai Rachid Taha.
Celui qui allait se mettre à son compte : d'abord "Barbès" (91), puis "Rachid Taha" (93), emmené par un "Voila Voilà" avec emballage techno hardi et BPM leste et recélant le fameux "Ya Rayah" , enfin «Olé Olé» (96), une frénésie davantage tournée vers une pop européenne pimentée harissa, Rachid Taha a jusqu’à ces dernières années toujours fait référence, même auprès des plus sourcilleux, sans pour autant sortir du cénacle des initiés. Ceux qui savent, ceux qui suivent.
Nouveaux enjeux, donc… et même Rachid Taha. La tignasse est en friche et la barbe d’avant-hier. Sanglé dans un perfecto bravache ou le manteau élimé jeté en drapeau sur les épaules, il a la démarche précaire et le pas ostensiblement dé-synchrone. Cette silhouette bohème estampillée perturbe certains esprits qui, au demeurant auraient tort d’y voir les effets d’excès : Rachid, à l’eau plate ou au scotch, est comme ça tous les jours, tous les soirs. Et en plus, disponible à tous ceux qui l’abordent, taquin et modérateur, à la fois ado-pote et grand frère. Agitateur public depuis 82, c’est son tempérament…
Sans doute a t’il gagné en sérénité. Ado-quadra, tout de même… «Made in Medina» s’est mûri dans un zigzag tri-continental étalé sur un an ou presque. Dans l’ordre, maturation à Paris, gros œuvre à Londres, suppléments d’âme à Marrakech et New Orleans. Ces deux dernières villes ont en commun des esprits qui échappent à la raison pour mener jusqu’à la transe. Les rituels des gnawas du Maroc et du vaudou de Louisiane ont poussé sur racines voisines d’Afrique noire. Cette recherche d’une certaine spiritualité, d’une redécouverte de soi, affleure par petites touches dans ce disque. De groove «gris-gris» néo-orléanais en choeur féminin débridé (celui de Bnet’ Marrakech, une sorte de gospel chérifien), Rachid touche plus au jubilatoire qu’à l’ethnologique, voire au mystique.
C’est que dans ce voyage à rebondissements, notre homme a retrouvé son compagnon de (presque) toujours, Steve Hillage. Le grand échalas, pilote d’essai du rock underground des seventies aux commandes de Gong, retrouve périodiquement Rachid depuis 84. Un savoir-faire avec le tout-technologique, une culture qui ratisse large (les orchestrations pharaoniques de “1, 2, 3 Soleils”, c’était lui) et surtout une complicité au-delà des décennies… et des errances. Entre eux, d’interminables palabres, pour le plaisir et éventuellement trouver la demi-teinte adéquate… qu’ils ne cherchaient plus ! Et un postulat commun contre une démarche world bien pensante : pas de condescendance face au folklore ni de posture globe-trotter, aucun son n’est intouchable ni sacré.
À partir de là, vous avez les clés de «Made in Medina», son puissant avec escapades intimistes. Pour draper, cet album, une cohorte de musiciens, d’ici, d’orient, du grand ouest et de tous les suds. Un unique invité de marque, Femi Kuti, cette autre Afrique que Rachid (qui jadis a souvent cotoyé Fela), a voulu vocalement présente. Une chanson en francarabe, «Oh Chérie», à la manière des Cheikhs du raï des années 40, où les mots tout simples («Je t’aime tu es ma vie, en français, c’est joli») se lovent sur de poignants violons en boucles. Des chocs climatiques de sentiments contraires, où «Foqt Goqt», coup de gueule contre mensonge et duperie, précède «Aï Aï Aï», ode à l’insouciance. Et en clôture, une incitation à la transe avec orbite en spirale bienheureusement oublieuse des formats,
Tout ça et bien autre chose, c’est Rachid Taha. Le désabusé, le candide, celui qui finalement aime se fondre dans sa propre medina : «En ville, je m’égare, je perds mon âme, je suis un étranger, je suis groggy». Suivez-le jusqu’à la dernière note. Et tapez «replay». Vous y découvrirez d’autres fioritures… essentielles.
Ensuite, à propos du disque “Tékitoi” (2004, Wrasse, Barclay Records) : ▼
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La question claque, impérieuse, dès l’attaque du disque. Quasi tout en francaoui dans le texte. Chez Rachid, ça n’est pas si courant. Dans le genre on se rappelle l’entêtant “Voilà voilà, qu’ça r’commence”, réplique uppercut aux sirènes de Le Pen. Et, pour le clin d’oeil, il y a des lunes (et des législatures) le “Douce France” patrimonial relooké. Sinon, depuis Carte de Séjour, groupe de ses (plutôt) jeunes années, Rachid Taha n’en démord pas, il reste un rocker d’ici (français) né là-bas (à Oran) qui chante en arabe. Ce qui demeure pour l’essentiel vrai avec cet album, Une bonne occasion pour tenter de répondre à cette question existentielle, Tékitoi ?, pour une fois, à travers ses textes… en arabe.
UN SON DRU
Auparavant, petite escapade sur “Tékitoi”, le CD, le cinquième de Rachid sous son nom en quinze ans. Le gaillard n’a jamais affiché une production pléthorique, il n’est pas adepte des cadences infernales. Il est plutôt du genre parcimonieux, C’est qu’il prend son temps pour accoucher d’un disque, deux ans cette fois. D’abord, il cogite, il rumine, chez lui, au petit matin il remplit des cahiers. Et de temps à  autre, il file une semaine ou un mois à Londres retrouver son inoxydable complice, Steve Hillage. 
L’ancien pilier de Gong est bien plus que son styliste musical : ils en sont à vingt ans en quasi-continu (moins l’album “Barbès”) de ping pong créatif, sans turbulences mais avec patience, c’est une conception à quatre mains et deux têtes. Pour la phase active, toujours à Londres, ils mettent en musique, souvent ensemble, une bonne quarantaine de textes, les chansons sont toutes mises grosso modo en boite. Là, on élague, on tranche dans le vif, toujours en tandem et… à l’unanimité ! Cette fois, il en reste douze, qu’on bricole et fignole entre Londres, toujours (guest surprise, un autre English cador du son, l’éminent Brian Eno), Paris (la mandole de son compagnon Hakim Hamadouche) et l’Égypte (ah ! les arabesques des violons cairotes !). 
Au final, un son tranchant, houleux, voire effilé qui se balade entre, disons, Led Zepp et Radiohead, où les riffs de guitares tranchent leur chemin, à la limite du sauvage, entre les volutes orientales. C’est net, Rachid reste dans le camp du rock. La preuve, cette reprise couillue du “Rockin’ The Casbah” de The Clash. Trop évident, pense d’abord Rachid, réticent, il se dit qu’on l’attendra au tournant. Et puis… A force de triturer les mots, en s’extrayant du littéral sans pour autant perdre le mordant de l’original, il incarne vraiment la bombe pimentée du gang à Strummer. Merci Rabah Mezouane, l’ami-traducteur, merci Brian Eno pour les retouches. 
DES MOTS CRUS
Bon, alors, et Tékitoi ? Plus tard, attendez. Parce que les autres, les dix autres… Rachid Taha est parti d’une remarque, persistante, de certains de ses proches  : on ne comprend pas toujours ce qu’il veut dire. Trop métaphorique et pas assez rigoureux ? Il a, cette fois, travaillé avec un dictionnaire… et une linguiste. Un casse-tête d’une extrême minutie mais délibérément ludique (ce n’est pas contradictoire). Après tout, plus on pèse ses mots, mieux on est armé pour… parler juste. En canardant ou en suggérant l’espoir, et parfois les deux dans la même chanson. Des mots répétés, des images martelées comme si elles ne devaient plus sortir des têtes.
Il y a les chansons qui tirent à vue : 
► Demandez-leur des comptes, les menteurs, les voleurs, les humiliateurs, les assassins, les oppresseurs, les traîtres, les envieux, les pourris (”H’asbu-hum”, Demandez leur des comptes). Rachid : « Là, j’éructe plus que je ne chante, j’ai capté les mots dans les manifs en Algérie. C’est ma façon à moi de secouer cette léthargie, j’ai la haine de ces haineux ». 
► Si tu allais où je vais, tu deviendrais boiteux, si tu aimais qui j’ai aimé, ils te haïraient, si tu lisais ce que j’ai lu, ils te persécuteraient, si tu écrivais ce que j’ai écrit, ils te brûleraient (…) Toujours, je me pose des questions sur moi-même (”Dima”, Toujours). Rachid : «  Quoi que tu fasses, tu es muselé. Mais ce n’est pas seulement une dénonciation, c’est un questionnement sur soi, comme une auto-médication, presque une thérapie ».
► Ils en ont eu assez, ils n’ont pas trouvé, aujourd’hui mes yeux se sont ouverts. Pourquoi avez-vous fait des choses honteuses, comment avez-vous oublié la loi ? (…) Moi, mon cœur est pur, j’aime l’amour festif (”Safi”, Pur). Rachid : « C’est comme un édito bazooka. Il faut dire leur fait aux gouvernants, c’est trop facile de mettre tout sur le dos de l’occident… et des barbus. Je suis prêt à chanter ça en Algérie… si on m’y invite. C’est une autre histoire ! ».
Il y a d’autres thèmes moins noirs, plus porteurs d’espoir, mais tout aussi travaillés.
► Ne faire aucune peine, ne jalouser personne, écouter les sages et être modeste, tourner les pages , partager la tendresse (…) rester soi même et de la vie faire un poème (Lli fat mat, Ce qui est passé est passé). Rachid : « Il faut se tourner délibérément vers le futur, ignorer la condescendance et ne pas cultiver le passé, sinon, ça devient politiquement correct… ».
► J’ai appris à prendre des raccourcis sans perdre mon chemin, j’ai appris aussi le sens de la vie au hasard des rencontres, de l’illusion  je suis guéri (”Mamachi”). Rachid : « C’est cette sérénité plutôt philosophique qui vient essentiellement d’Afrique et en même temps quasi chamanique. Finalement, entre colère noire et harmonie, c’est une sorte de sagesse qui m’a appris à avancer ».
► Patiente, le paradis va s’ouvrir, tu as rencontré l’amour mais ça n’a pas suffi, tu bois des verres, tu as cru que c’était un lit (”Stenna”, Attends). Rachid : « C’est le résumé de tout, la patience. Ce n’est pas toujours en s’obstinant qu’on arrive à ses fins. Presque un happy end du disque ».
Il y a encore deux enivrantes chansons d’amour, “Shuf” (Regarde) et “Meftuh’” (Ouvert). Une rencontre avec un énigmatique Géorgien, le temps de  “Winta”. Et, bien sûr, “Tékitoi ?”, Un truc qui vous rentre dans… la tête (pas raide !), fruit d’un trafic sonore de mots en duo bilingue avec le vieux pote de Rachid, Christian Olivier . Celui-ci vous en cause par ailleurs. 
Voilà, maintenant que vous êtes mieux armé pour savoir, à propos de Rachid…. C’est qui, lui  ? (Paris, le 27/08/04)
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camradioblog-blog · 7 years
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CARNISSERIA DEL PAULO, REP UNA MENCIÓ ESPECIAL AL 3r CONCURS DE BOTIFARRA D'OU ARTESANA DE CATALUNYA.
Aquest dimecres 31 s'ha celebrat l'entrega de premis de la 3a edició del Concurs de Botifarra d'Ou Artesana, antesala de Dijous Gras i la setmana de Carnaval. Un certamen que vol reforçar el valor dels productes artesanals i del comerç de proximitat i a més, impulsar la tradició i creativitat en la producció d'aquest embotit. Com en totes les edicions, el concurs organitzat per la Fundació Oficis de la Carn i amb el suport de la Federació Catalana de Carnissers i Cansaladers–Xarcuters s'han premiat dos tipus de botifarres: "Millor Botifarra d'Ou Artesana Tradicional" i "Millor Botifarra d'Ou Artesana Innovadora". Les 54 botifarres participants han competit en les dues categories: Botifarra d'Ou Artesana Tradicional (29 inscrites) i Botifarra d'Ou Artesana Innovadora (25 inscrites). Els Carnissers-Xarcuters han aportat 1,5 quilos del seu producte a la seu de la Federació dels Oficis de la carn i, durant el dia 24, el jurat va fer el tast per tal d'escollir els guardonats. Mestres Artesans de La Confraria Gras i Magre, Joan Estapé com a president, Ada Parellada, Pròsper Puig, Pep Nogué, Andreu Boher, Josep Grau, Ricard Julià, Enric Torrent, Josep M. Dalmau i Marc Farràs juntament amb Valentí Fàbregas i Josep Terradellas (els dos guanyadors de l'any passat), han estat els encarregats de fer dues rondes de tast per cada categoria, així com les respectives mencions especials. Els experts han puntuat les botifarres pel seu aspecte extern i intern, i ha estat el president de cada taula que ha ofert un tall de 2-3 cm de gruix a cada membre del jurat. Les 10 botifarres més puntuades han estat les finalistes i van passar a la segona ronda, on es van escollir als 5 premiats per cada categoria: 1 guanyador, 1 finalista i 3 mencions especials. El secretari del jurat, Josep Dolcet, ha explicat que en aquesta edició "el nivell ha estat lleugerament superior a les edicions anteriors". EN LA CATEGORIA DE MILLOR BOTIFARRA D'OU ARTESANA TRADICIONAL Botifarra finalista: Joan Riera Capdevila – Can Vilada de Vic Mencions especials: Armando Curto Salvadó – Carns Curto de Carmarles Francesc Vilardell Dalmau – Guillem Sala Vilardell de Moià Jordi Vivet Martínez – Cal Vivet de Sentmenat EN LA CATEGORIA DE MILLOR BOTIFARRA D'OU ARTESANA INNOVADORA Botifarra finalista: Núria Querol Pocurull - Can Pocurull de Vilassar de Mar [botifarra amb carxofes i llardons] Mencions especials: Anton Benito Llenas – Embotits Can Suriol de Pla de Manlleu Enric Rosell Gili – Embotits d'Autor de l'Ordal - Subirats Josep Margarit Mallafré – Xarcuteries Margarit de Barcelona Informació extreta de: http://concursbotifarradou.gremicarn.cat/
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elarafritzenwalden · 6 years
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The face of the architect ~ J. Gili Mestres
Single family house at Carrer de Can Basseda Vallvidrera - Barcelona, Catalonia, Spain; 1970's
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