#gars tu viens juste de dire que c'est ce qu'il faut faire genre.
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#c trop drôle parce qu'il dit en gros: le droit positif est ce qui doit être sans cesse amélioré par notre conscience morale pour atteindre#un idéal de justice. et 2 secondes après il est comme RECEMMENT JAI NOTE UNE TENDANCE CHEZ CES CONS DE GAUCHISTES: ILS SE PLAIGNENT DE#L'INJUSTICE DES LOIS AU NOM DE LA MORALE................. KILL THESE CLOWNS#gars tu viens juste de dire que c'est ce qu'il faut faire genre.
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La Reine du Carnaval ☆ Fais ton choix avec le jeu du Roi!
Audio: SoundCloud
Yuma: … Vous savez… manger avec ces gars… sans parler dans le château de Karlheinz dans le Monde Démoniaque… peu importe comment on le regarde, c’est pas un peu bizarre?
Hmm!? C’est délicieux! Ce goût est vraiment bon!!
Reiji: Bon sang… Pourrais-tu s’il-te-plaît t’abstenir de parler la bouche pleine? C’est impoli.
Ayato: Hé, Reiji. Tu vas pas manger ce morceau de viande? Si tu le manges pas, donne-le-moi! … Hop-là!
*Ayato se penche pour voler le morceau de viande de Reiji*
Reiji: …!? Attends, Ayato!
Ayato: *mâche mâche* Hmm! Cette viande est vraiment délicieuse!
Kanato: … Ayato! Ne t’assois pas avec les jambes croisées sur ta chaise! Tu es dans mon chemin! Tu n’arrêtes pas de me frapper avec tes genoux …!
*Kanato pousse Ayato heurtant Laito aussi*
Laito: … Que―!? *tousse tousse* A-Ayato! Sérieusement… Regarde ce que tu as fait! À cause de toi, ma chemise est sale…
Ayato: Hein!? C’est parce que Kanato m’a poussé!
Kanato: Kh…! Alors tu me blâmes!?
Subaru: Tss… Aaarghh! Silence! Vous, les triplés, essayez d’être sage au moins quand on mange…!
*Subaru frappe son poing sur la table*
Azusa: …!
Kou: … Ah―! Hé! Subaru, ma fourchette et mon couteau sont tombés par terre à cause que tu as frappé sur la table…! Hein―? Ouaah…!?
Subaru: Quoi!? Élève pas ta voix comme ça… C’est si pire que ça―? Ah!
Azusa: Ça… Ça fait mal. Fufufu…
Kou: Attends… Azusa!? Est-ce que ça va…? Ta main saigne… Est-ce que tu t’es coupé accidentellement la main?
Azusa: Mmh. Mais… ça va. Ça fait mal, mais… Aah~. C’est… agréable… Nfufufu~.
Shu: … C’est quoi cette farce? Je suis dans un zoo ou quoi?
Ruki: Ha. Je suis entièrement d'accord. Et dire qu'ils ne peuvent même pas manger un seul repas proprement.
Reiji: … Je te signale que ça vaut aussi pour tes jeunes frères.
Ruki: Pardon. Nous n’avons pas reçu la meilleure éducation. Cependant, vous avez le titre de noblesse depuis votre naissance. Malgré cela, ce résultat… Heh.
Reiji: J'espère que tu t’en rends que ces mots insultent indirectement l’éducation de Père?
Ruki: D’après ce que j'ai entendu, vos mères respectives se sont vu confier de s’occuper de votre éducation, je me trompe?
Reiji: C’est…
Kou: Arrêtez, arrêtez! On n’en veut pas de ça aujourd’hui! … Écoutez, M-Neko-chan vous demande d’arrêter aussi!
*Yui hoche la tête*
Ayato: Hein!? S'entendre avec tout le monde!? Je me suis retenu et j'ai essayé de m’entendre avec les autres pendant tout ce temps. Tu vas encore te plaindre?
Laito: Exactement. ce n’est pas bien d’être avide, Bitch-chan! Garde ça lorsque tu es au lit avec moi, d'accord~? Nfu~!
Subaru: … Haah. Fais chier…
Shu: … De toute façon, arrêtez de faire des histoires. Asseyez-vous et mangez votre assiette. Après ça, il est censé se passer quelque chose concernant le Roi et la Reine du Carnaval. Haah… Je suis fatigué.
Kanato: Tu as dit quelque chose concernant le Roi et la Reine du Carnaval? Ce qui veut dire?
Shu: Aucune idée. Je viens de répéter le message que j'ai reçu du familier envoyé de Père.
Ruki: Je n’en ai pas entendu non plus.
Yuma: Hein? Il y en a encore autre chose? Ce banquet m’a déjà épuisé…
Kou: … Quoi qu’il en soit, M-Neko-chan est sûrement la Reine du Carnaval, non?
Ayato: On dirait que oui. Quelque chose ne va pas avec ça?
Kou: Hm… J’étais juste en train de me demander… Qui est le Roi du Carnaval, dans ce cas?
Ruki: Maintenant que tu le dis, tu as raison sur ce point. Si elle est Ève, alors nous avons dix Adam, y compris moi, rassemblés ici.
Reiji: Shu, est-ce que le familier de Père t’a dit qui était le Roi du Carnaval?
Shu: Non. Le Roi du carnaval… on m’a rien dit à propos de ça.
Ayato: Dans ce cas, si on réfléchit logiquement, ça doit être Ore-sama.
Kanato: Quoi? Pourquoi Ayato? Ça ne semble pas du tout raisonnable.
Subaru: … Hé. Est-ce que tu as entendu quelque chose à propos de ça?
*Yui secoue la tête*
Reiji: Bon sang… Toi non plus, hein?
Laito: Nfu~! Nous avons un problème! Il n’y a rien qu’on puisse faire alors pourquoi ne pas tous être les amoureux de Bitch-chan?
Azusa: Ce n’est pas… « amoureux »… c’est… « Roi du Carnaval »…
Laito: Mais ça veut dire essentiellement amoureux, non? Nfu~!
Ruki: Ne dis pas quelque chose d'aussi ordinaire qu’« amoureux »… Il ne peut y avoir qu'un seul Adam pour être avec Ève.
Shu: … Haah. N'importe qui fera l'affaire, décidez-vous. Hé, toi. Tu es la Reine, non? Dans ce cas, tu es la seule à pouvoir choisir le Roi. Fais vite. Tu sais mieux que quiconque que plus cette situation s'éternise, plus elle deviendra compliquée.
*Yui hésite*
Ayato: Hé, Chichinashi! Ça doit évidemment être moi! Pas besoin d'hésiter!
Kanato: Ayato…! Ce n’est pas bien de la menacer pour te choisir! Même si elle voulait vraiment me choisir, maintenant tu lui as rendu la tâche difficile.
*Yui secoue la tête*
Ruki: Ce n’est pas ça? Dans ce cas, dépêche-toi et choisis une seule personne. Je suis sûr que tu ne veux pas non plus qu’il y ait inutilement un bain de sang.
*Yui essaie de se décider*
Azusa: Ève… Il y a un problème…?
Subaru: … C’est pas vraiment quelque chose dont tu dois te casser la tête, non?
Kou: Tu crois? C’est pas plutôt normal pour elle de se sentir sous pression quand tout le monde la regarde avec ces yeux qui crient « choisis-moi! »…?
Laito: Nfu~! Alors pourquoi ne pas décider de façon juste et honnête avec le jeu du Roi?
Yuma: Hein? Le jeu du Roi?
Laito: Bitch-chan est la Reine, non? Elle donnera à nous, dix vampires essayant être le Roi, des ordres déraisonnables. Si la personne ne peut pas le faire, elle est éliminée.
Reiji: Donc, il faut vraiment qu’on décide avec le jeu du Roi?
Laito: Heeiiinn~? Nous voulons décider qui est le Roi, non? Dans ce cas, il faut que nous le fassions avec le jeu du Roi… Et puis, nous avons du temps avant l'arrivée du dessert, alors pourquoi ne pas le faire à ce moment-là? Pas vrai, Bitch-chan?
Yuma: J’ai vraiment un mauvais pressentiment…
Kou: C’est vrai… Surtout si c’est Laito qui le suggère…
Ruki: Cela dit, la personne qui jouera le Roi est Kachiku. Je suis sûr que ses ordres ne seront pas trop déraisonnables. Ce n'est pas grand chose.
Shu: Haah… Peu importe. Choisissez déjà.
Reiji: Eh bien, commençons par donner un numéro à tout le monde. J'ai le 1.
Subaru: Donc, j'ai le 2.
Laito: Numéro 3 pour moi~.
Yuma: J'ai le 4.
Azusa: Je vais me contenter du… 5.
Ruki: 6 pour moi.
Ayato: Alors je prendrai 7.
Kanato: J'ai le 8.
Kou: Je vais prendre le 9 alors~.
Shu: Je suis le dernier, hein?
Laito: Eh bien, notre chère Reine, veuillez donner vos ordres à vos serviteurs. Nfu~!
Ayato: C’est quoi ça, Laito? T’apprécies carrément ça.
Subaru: … D’ailleurs, ce serait pas son intention dès le début?
Laito: Parce queeee~! Vous devez profiter de ce genre de trucs ou vous manquez quelque chose. Nfu~!
Subaru: … Tss!
Reiji: Quant au tirage au sort, j'ai apporté ceci de la salle de jeux. Eh bien, vas-y et pioche les nombres de cette façon.
Ruki: Je vais le faire.
… Numéros 3 et 9.
Laito: Nfu~! Il semble que c’est Kou et moi.
Kou: Hm… Alors, qu’est-ce qu’on doit faire?
Reiji: Si nous devons attendre pour qu'elle décide chaque ordre, le Carnaval prendra fin. Alors, utilisons cette loterie(?) qui a été laissée dans la salle de jeux.
Bien, choisis une feuille de papier à ta guise.
Ruki: Tu sembles habitué à ce genre de choses.
Reiji: Vraiment? J’aimerais croire que j’étais tout simplement attentionné.
*Yui pioche le premier ordre*
Ruki: Kachiku, montre-le-moi.
Les numéros 3 et 9 doivent… faire de la gymnastique ensemble.
Laito: … Hein!?
Kou: De la gymnastique…!?
Laito: Heiin? Pourquoi la gymnastique avec Kou et moi!?
Shu: Heh. Dépêchez-vous et faites-le.
Laito: Hé, Reiji! Ce n’est pas du tout amusant…!
Reiji: Cela ne devrait pas avoir d’importance. Si vous ne le faites pas, vous êtes tous les deux éliminés. C'est tout.
Kou: Nnnh…
Laito: Hein? Mais la gymnastique… Rien me vient à l'esprit… Et puis, le faire avec un mec c’est un peu…
Kou: On dirait qu’on a pas le choix… Je vais utiliser la formation que j’ai apprise lors de l’émission de télévision le « Festival de Sports des idoles »… Laito! Tu es prêt?
Laito: Hein?
Kou: Je vais courir vers toi alors attrape-moi avec tes deux mains et jette-moi en l'air, d'accord? J'arrive…!
*Kou commence à courir vers Laito*
Laito: Heiin!? Attends… Une sec―!
*Crash*
Laito & Kou: Aaaaaah!? … Aïe.
Ruki: Un échec, hein?
Reiji: On dirait bien. Bon, éliminons les numéros 3 et 9.
Shu: Hé, attends.
Reiji: Qu’y a-t-il?
Shu: Ne me dis pas que les autres ordres seront également sur la gymnastique.
Reiji: Comment suis-je censé le savoir?
Shu: … Tss. J'ai un mauvais pressentiment.
Ruki: Allez, il reste encore huit personnes. Dépêche-toi et choisis les suivants.
Subaru: Hm? Numéros 1 et 2, donc… Reiji et moi?
Yuma: Ensuite, il reste à piocher l’ordre. Hé, Mesubuta, choisis-en un.
*Yui pioche le deuxième ordre*
Ruki: Qu'est-ce que nous avons ici?
« Dessine une forme de cœur en l'air avec tes fesses. »
Subaru: Quoi!?
Reiji: Il est hors de question que je fasse quelque chose d'aussi vulgaire.
Subaru: … Agh!
*Subaru se lève soudainement de sa chaise*
Yuma: Hein? Qu’est-ce qu’il y a, hikikomori? Tu es debout comme ça tout d'un coup… Tu vas vraiment le faire?
Subaru: Agh… M-Meeeerde… …! Je peux pas le faire après tout…!
*Crash*
Subaru: Hein…? Hé― … Ouaaaah!?
Reiji: Que―!? Subaru!?
Ayato: Wow… Il s'est carrément auto-détruit(?).
Kanato: Haah… Je suis sûr qu'il va bien. C'est un vampire, après tout.
Ayato: T’as raison. Et toi, Reiji? Tu vas le faire?
Reiji: Faire une telle chose… Bien sûr que non. C’est impossible que quelqu'un d'aussi fier que moi s’abaisse peu importe les circonstances.
Yuma: Eeettt un autre abandonne.
Reiji: … Agh. C'est dommage.
Ayato: Eh bien, c’est l’heure pour moi de me présenter? Hé, Chichinashi. Pioche déjà les numéros suivants.
Laito: Nfu~! Les prochains sont… Tiens, donne-les moi, Bitch-chan.
Reiji: Laito, tu t’es donc réveillé.
Laito: Kou a mal atterri et il est toujours inconscient.
… Oh! C'est les numéros 4 et 7. Yuma et Ayato.
Yuma: Allez, c’est parti! Dépêche-toi et pioche l’ordre.
*Yui pioche le prochain ordre*
Ayato: Hm? Qu'est-ce que c'est? Ça dit que les numéros 4 et 7 doivent jouer au… Pocky?
Kanato: Qu'est-ce que c'est? Le jeu du Pocky?
Ruki: C'est un jeu où les deux joueurs commencent à chaque extrémité d'une collation en forme de bâton couverte de chocolat et mangent vers le milieu jusqu'à ce qu'il n'en reste presque plus. C’est tout.
Ayato: Te fous pas de moi! Comme si je pouvais faire ça!
Yuma: … Arrête de te plaindre à chaque petite chose… C’est pas comme si on nous demandait d’embrasser l’autre. Ne fais pas d’histoires juste parce qu’on doit manger une collation de proches, c'est flippant.
Allez. Mmh.
*Yuma tient le Pocky entre ses dents et attend*
Ayato: … Argh.
Reiji: Yuma te jette un regard mauvais, je suppose que ces yeux disent « Qu'est-ce qui lui prend tant de temps? ».
Ayato: … Merde… Même si tu dis que c’est pas un baiser… t’en demandes trop!
*Ayato frappe Yuma*
Yuma: Mwah―!?
Ruki: Hé. Ce n’est pas contre les règles, ça?
Ayato: Tais-toi! Il y avait un visage dégoûtant près du mien alors je l'ai frappé, c'est tout.
Azusa: Yuma… Si seulement j'avais… pris ta place… n’est-ce pas?
Ruki: Hé, Yuma!
Azusa: Inutile… Il ne… se réveille pas…
Reiji: Bon sang… Avec ça, on dirait que les numéros 4 et 7 sont éliminés?
Ayato: Hé, minute! Pourquoi je suis éliminé aussi!?
Azusa: Tu l’as frappé et… au final… tu ne l’a pas fait… non?
Ayato: Je m’en fiche! Il s'est juste effondré et ne se réveillera pas!
Shu: … La ferme. Continuons. Hé, Reiji.
Reiji: S'il-te-plaît, ne me donne pas d’ordres! … Allez, s'il-te-plaît, pioche les prochains numéros.
Ruki: Les numéros 8 et 10, c’est-à-dire Kanato Sakamaki et Shu Sakamaki?
Shu: Kanato et moi?
Kanato: Fufu… Shu, hein? Cependant, je ne perdrai pas.
Shu: Je pense que ce n’est pas une question de gagner ou de perdre, mais… peu importe. Décide l’ordre.
*Yui pioche le troisième ordre*
Ayato: Chichinashi, je vais le lire pour toi. Voyons voir… Les numéros 8 et 10 doivent dévoiler leur passé sombre.
Kanato: Quoi!?
Shu: Dévoiler notre passé, hein? Eh bien… Nous sommes frères, après tout. Je sais plein de choses.
Kanato: Shu… Si tu en parles, tu sais ce qui va se passer, non?
Shu: Haha… Mais si je ne le dis pas, je perdrai, non?
Kanato: D-Dans ce cas… je vais parler! À propos de ça.
Shu: … « Ça »?
Kanato: …
Reiji: Kanato, vas-y et dis-nous-le. Je suis sûr que tout le monde t’attende pour t’entendre parler de la sombre histoire de Gokutsubushi*. Haha.
Shu: Kanato, Tu peux leur dire, mais en retour… Tu vois ce que je veux dire, non?
Kanato: …!
Shu: Je vais parler de ça à tout le monde sans problème. Même si tu es gêné, je n'aurai aucune pitié.
Kanato: Agh… C'est pas juste!!
Ruki: Hé, vous allez prendre encore combien de temps? À ce rythme-là, ça nous mènera nul part.
Kanato: … Je passe.
Shu: Hahaha… Alors, je passe aussi.
Azusa: Êtes-vous… sûr…?
Kanato: Je n’ai pas le choix…! Si Shu m'expose ici-même… je… je…
Shu: Eh bien, c’est comme ça. Kanato et moi abandonnons.
Ayato: … Vous savez, j’y pense depuis quelques temps que Shu est peut-être le plus grand salaud de nous tous.
Laito: Je suis d’accord…
Shu: Dites ce que vous voulez. Je vais faire une sieste. *Bâille*
Kanato: Agh… Pour moi… perdre comme ça! … Hé, Teddy? Nous nous vengerons un jour contre lui, d'accord…?
Reiji: Mais quel genre de secret connaît-il de toi? … Eh bien, est-ce que les prochains sont les derniers?
Ruki: Ceux qui restent sont… Azusa et moi, hein?
Laito: Nfu~! Ces deux-là me donnent un mauvais pressentiment.
Kou: Aah… Qu’est-ce que…? Mais qu’est-ce qui se passe en ce moment?
Ayato: … Oh? Tu es enfin réveillé?
Azusa: L’ordre final… sera entre Ruki et… moi.
Ruki: Eh bien, commençons. C'est un duel sérieux, Azusa.
Azusa: Pour… Ève… je ne… perdrai pas.
Reiji: Bon sang… Toi, choisis l’ordre final.
*Yui pioche l’ordre final*
Kou: Bien, M-Neko-chan~. Donne-le moi… Je vais lire ce qui est écrit… Hm… C’est quoi ça~? L’ordre de Ruki et Azusa est… Ça dit de jeter quelque chose qui est extrêmement précieux pour vous au feu.
Laito: Quelque chose de précieux? Hm… On dirait que l’ordre le plus simple a duré jusqu'à la fin.
Ayato: Hé, Ruki, Azusa, qu'est-ce qui est précieux pour vous?
Ruki: La… chose la plus précieuse à mes yeux?
Azusa: Hm…
Laito: Eh biieen~? Vous êtes tous les deux en train de fixer Bitch-chan avec des yeux si passionnés… Serait-ce possible… qu'elle soit ce qui est le plus précieux pour vous~? Nfu~!
Reiji: Vous deux, de quoi s’agit-il? Ne restez pas silencieux et répondez-nous.
Ruki: Jeter ce qui m’est… le plus précieux…? Je ne peux pas faire ça…!
Azusa: …
*Azusa marche en direction de Yui*
Ayato: Hein? Azusa, tu vas où? … Hé!
Azusa: Dis… Ève. Je pense que tu… le sais déjà, mais… pour moi… tu es plus précieuse que tout…
*Il saisit Yui*
Azusa: On m'a juste dit que… je devais me débarrasser de… ce qui m'est le plus précieux… Cependant, je… ne peux pas te sacrifier.
Laito: Hé, est-ce que c’est correct?
Reiji: Je ne sais pas, ne demande pas ça à moi.
Azusa: Mais… J'ai… réalisé… Hé? Tu aimes aussi… être blessée et… ressentir la douleur, non?
J'adore ça aussi… Cela dit… nous deux… nous nous ressemblons comme deux gouttes d’eau… Bref, cela signifie que nous sommes pareils… non?
Dans ce cas, si je… me débarrasse tout simplement de… moi-même… ce serait comme si je… me débarrassais de toi, non?
*Azusa sort un couteau*
Ruki: Hé! Azusa!
Azusa: Fufu… Avec ça… je serai le Roi du Carnaval… n’est-ce pas?
Ruki: Arrête!
Kou: A-Attends…! Azusa! Se poignarder en plein cœur est dangereux! Ayato! Dépêche-toi et retiens-le!
Ayato: Quoi? Pourquoi moi?
Kou: …Fais-le!
Ayato: …Merde! C’est quoi, ça!?
Azusa: Fufufufu… Hahaha…! Ève… Maintenant, je suis le… Roi, non?
Laito: Sérieusement, Azusa! Arrête ça― Ouah!?
*Azusa se débat*
Reiji: Bon sang… Kanato! Prends le couteau de sa main!
Kanato: … Pourquoi je― Ah! Hé… …! C'est dangereux!
*Azusa se débat encore*
Azusa: Haa… Haa… Pourquoi… Pourquoi tout le monde… essaie de… m’empêcher…!?
Laito: Azusa! Calme-toi!
Azusa: Haa… Pourquoi… essayez-vous de… m'arrêter? J’y étais… presque…!
Ayato: Arrête ça…! Ouah…!
*Les triplés essaient d'arrêter Azusa*
Ruki: Mon dieu… Au final, nous devons tous gérer ce problème avec Azusa.
Yuma: Aah… Merde… Je me sens encore étourdi…
Ruki: Yuma? Tu es réveillé? Tu vas bien?
Yuma: Ouais… Minute, qu'est-ce que ceux-là ensemble font contre Azusa?
Ruki: Qui sait… Si je devais expliquer ce qui se passe, je dirais qu’ils essaient d’empêcher Azusa de devenir le Roi du Carnaval.
Yuma: Hein?
Ruki: Hé, Kachiku. Tout ça est de ta faute pour ne pas avoir décider qui est le Roi du Carnaval.
Yuma: Bon sang… Exactement.
Subaru: Agh… je… suis tout à fait d'accord…
Ruki: Subaru Sakamaki. Alors tu es réveillé?
Subaru: Hein!? Pourquoi t’as l’air si calme!? Ce gars-là n’est pas l’un des vôtres!? Arrête-le aussi!
Shu: … Silence. Ça n’a pas d’importance. Déjà, essayez de régler ça. Hé, toi. Dépêche-toi. Si tu ne peux toujours pas choisir une seule personne… tu sais ce qui va se passer, n'est-ce pas?
- FIN -
*Bon à rien
#Otome#Otomate#Rejet#Diabolik Lovers#Dialovers#DL#Drama CD#Vandead Carnival#Yui Komori#Ayato Sakamaki#Kanato Sakamaki#Laito Sakamaki#Shu Sakamaki#Reiji Sakamaki#subaru#Famille Sakamaki#Ruki Mukami#Kou Mukami#Yuma Mukami#Azusa Mukami#Famille Mukami
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Okay, j'avais ton âge y a à peu près ton âge Le passage à l'âge adulte est glissant dans les virages Devenir un homme y a pas d'stage, pas d'rattrapage Maintenant, t'es dans l'grand bain, devine comment on nage T'auras toujours une espèce de rage, envie d'prendre le large D'éclater les types qui jouent d'la guitare sur la plage Comme à chaque fois qu'tu déménages, c'est un monde qui s'écroule Écoute, l'histoire s'écrit en tournant les pages Écoute J'ai pris quelques notes Si t'as l'impression qu'personne te comprend, c'est parce que personne te comprend C'est plus facile à vivre une fois qu't'en es conscient Comment tu peux leur en vouloir? Tu t'comprends pas toi-même Souvent seul avec tes problèmes, souvent, c'est toi l'problème La plupart des conseils d'adultes sont des clichés d'merde Parce qu'ils ont pas compris l'jeu mais ils suivent les règles Alors écoute pas trop tes parents, fais semblant Ils ont pas la science infuse, t'es leur premier enfant Tu perdrais tellement d'temps à batailler Y a des combats qu'tu peux pas gagner, surtout quand tu paies pas l'loyer Fais-toi une raison, y a très peu d'raisons d'foutre la merde Dans sa propre maison, même quand t'as raison Si y a une chose que tu dois pas remettre en question T'es plus intelligent qu'avant mais t'es toujours très con T'es trop sensible, tu vis tout comme une agression Demande à un fou s'il est fou et tu verras c'qu'il t'répond Autre chose que tu dois savoir, tu baiseras pas, c'soir Une fois qu't'auras compris ça, ça t'enlèvera un poids Parce que t'as beaucoup trop la dalle et ça va s'voir Parce que t'es beaucoup trop timide, tu vas beaucoup trop boire Apprends à la fermer, t'auras l'air mystérieux Apprends à t'vendre un peu mieux, tu baiseras dans un mois ou deux C'est toujours le même style de fille dont tu tombes amoureux Tu sais, le style de fille qui t'rend malheureux Donc fais pas la pleureuse le jour où elle t'brise le cœur Sur la longueur, t'économises des pleurs Ensuite, t'auras peur de t'investir, tu t'diras qu'c'est mieux ailleurs qu'chez toi Tu vas rater l'meilleur de c'que t'as déjà En gros, tu couches avec ta meuf en pensant à une autre T'as pas kiffé Tu penses à elle quand tu couches avec l'autre une fois qu'elle t'a quittée Okay T'empêcheras jamais les gens d'parler Et, comme t'es chelou, y a p't-être moyen qu'les gens veuillent te frapper Tu peux faire des pompes, tu peux apprendre à t'battre Mais même musclé, ça fait toujours mal de prendre une droite Ton cerveau et ton ego fonctionnent à l'envers Plus tu cherches à prouver quelque chose, plus ça fait l'contraire Quand tu dis qu't'as pas peur, c'est qu't'as peur Quand tu dis qu't'as pas mal, c'est qu'tu commences à sentir la douleur Connais ta hauteur, va pas t'surclasser Tu verras, des fois, tu perdras contre des gars qu'tu trouvais nuls à chier Bien sûr, la vie est injuste Si t'aimes pas les lois, sois pas un putain d'juge Ne crois pas les insultes, y a pas d'race pour être un bâtard Pour être un fils de pute, pas besoin d'avoir une daronne sur un trottoir Y a pas d'sexualité pour être un enculé Plus tu réagis, plus on dirait qu'tu t'sens visé, laisse glisser Les meilleures blagues sont les plus méchantes ou les plus bêtes Mais les pires êtres humains sont des losers cruels T'en prends jamais au plus faible, garde les vannes dans un coin d'ta tête Ça rentrera dans un texte, dans un film ou dans un sketch L'école est un calvaire, y a pas grand-chose à faire Arrêter, c'est partir trop tôt dans une autre galère Tèj' ton sac-à-dos en l'air, t'auras l'poids d'la société sur les épaules Un patron, ton père et ta mère Trois-quarts des cours servent à rien Mais les actrices de boule en soient témoins, rien branler fait qu'éloigner la fin Tu dis qu'on verra bien, tu fais l'malin mais t'es fragile Comme le dépistage, tu regrettes à l'examen L'école est un filtre qui rend tout très chiant Comme les films en noir et blanc, le plus dur, c'est d'rentrer dedans C'est plus dur quand t'appréhendes, comme ta première fois J'fais des métaphores sexuelles depuis tout à l'heure parce que tu penses qu'à ça Dis-toi qu'les latinas sont les plus bonnes du monde Écoute en espagnol, dis-toi qu'en chimie tu pourrais faire d'la drogue Arrête d'apprendre par cœur des trucs que t'as pas compris Et, en philo, t'étais pas censé raconter ta vie Ah oui, personne t'oblige à fumer d'la weed En fait, ça marche mieux sur les hyperactifs Être défoncé, c'est même pas la partie qu'tu préfères Quand t'es déchiré, tout c'que tu fais, c'est faire semblant d'être clair La partie qu'tu préfères, c'est partir en bande à Jardiland Voler du bambou et fabriquer un bong T'as juste besoin d'une passion Donc écoute bien les conseillers d'orientation et fais l'opposé d'c'qu'ils diront En gros, tous les trucs où les gens disent "tu perds ton temps" Faut qu'tu t'mettes à fond d'dans et qu'tu t'accroches longtemps Si tu veux faire des films, t'as juste besoin d'un truc qui filme Dire "j'ai pas d'matos ou pas d'contacts", c'est un truc de victime On t'dira d'être premier, jamais d'être heureux Premier, c'est pour ceux qu'ont besoin d'une note, qu'ont pas confiance en eux T'es au moment d'ta vie où tu peux devenir c'que tu veux Le même moment où c'est l'plus dur de savoir c'que tu veux À part traîner avec ta bande Surtout pas rater la dernière rumeur, le dernier truc marrant Honnêtement, tu raterais pas grand-chose si tu partais quatre ans Quoi que, c'est important, fais d'la merde tant qu'il est encore temps Pour pas qu'un jour tu te réveilles à quarante ans Genre "putain, j'vais crever mais j'ai jamais kiffé Ma famille m'empêche de vivre, j'vais devoir les quitter Pour sniffer en boîte de nuit, trouver des gamines à vampiriser" J'en vois plein, donc, petit terroriste, va t'éclater Sors en soirée même si, j'avoue, tu vas t'faire recaler Tu rentreras la semaine prochaine ou l'année d'après D't'façons, t'allais pas baiser, c'soir, si j'dois t'le rappeler Si tu rentres, prends ton ticket d'vestiaire en photo Rends-toi compte que tu sais pas boire, t'es mort trop tôt Quand ça devient une fierté d'te mettre des grandes doses C'est qu'tu t'attaches à pas grand-chose Arrête de flipper, si tu veux, va danser La seule règle sur la piste, c'est fais pas des trucs que t'as jamais tenté Si jamais tu t'endors en premier dans une soirée S'regarder dans la glace, c'est la base dès qu'tu viens d'te lever Au cas où Ça t'évitera d'passer les repas d'famille avec une bite dessinée sur la joue Ces repas d'famille où tu t'ennuies, où on parle très fort Pour dire des choses très banales, déjà, on s'parle et c'est pas mal Les vérités sont compliquées, les clichés sont stables Désolé si y a pas que des experts à ta table Tu bloques sur les défauts des autres, et c'est ton pire défaut La vie, c'est des cycles, c'est pour ça qu'j'retombe sur les mêmes mots Sois pas parano sur qui sont tes vrais amis Y a qu'un seul moyen d'le savoir, laisse le temps faire le tri J'ai jamais regretté d'demander conseil ni d'appeler quelqu'un Souvent, tu crois qu'ils sont chelous, c'est juste qu'ça capte pas très bien La même histoire a plein d'versions La meilleure façon d'sortir d'une embrouille, c'est d'poser des questions Arrête de passer ta vie à fuir, angoissé par l'avenir Parce qu'y a rien à faire pour s'préparer au pire Comme les attentats, les mauvaises nouvelles frappent quand tu t'y attends pas Des proches un peu pressés partiront avant toi Tu verras des gens heureux prendre un appel Leur visage se décompose et rien n'est plus jamais pareil Y a rien à faire, à part être présent Panser les plaies, changer les pansements, le seul remède, c'est l'temps
Orelsan, Notes pour trop tard
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teenager
[Intro] Ok, j'avais ton âge y'a à peu près ton âge Le passage à l'âge adulte est glissant dans les virages Devenir un homme : y'a pas d'stage, pas d'rattrapage Maintenant, t'es dans l'grand bain, devine comment on nage T'auras toujours une espèce de rage, envie d'prendre le large D'éclater les types qui jouent d'la guitare sur la plage Comme à chaque fois qu'tu déménages, c'est un monde qui s'écroule Écoute, l'histoire s'écrit en tournant les pages Écoute J'ai pris quelques notes
ok, 지금 니 나이만큼을 빼면 난 니 나이쯤이었지. 커브길을 막 미끄러져 어른이 되가는 과정. 어른이 되는데엔 인턴쉽이 없어, 다시하기도 없어. 이제 넌 큰 욕조속에 있어 우리가 어떻게 헤엄치나 예상해봐 넌 여전히 분노같은게 있을거야, 더 큰 공간이 있었으면 하겠지 해변가에서 기타나 치는 새키들을 헤쳐놓고 싶겠지 매번 네가 이사를 갈때, 그때마다 좌절하는거 처럼. 들어봐. 이야기는 페이지를 넘기면서 쓰여지는거야. 들어봐. 내가 메모를 좀 해봤어.
[Couplet unique] Si t'as l'impression qu'personne te comprend, c'est parce que personne te comprend C'est plus facile à vivre une fois qu't'en es conscient Comment tu peux leur en vouloir ? Tu t'comprends pas toi-même Souvent seul avec tes problèmes, souvent, c'est toi l'problème La plupart des conseils d'adultes sont des clichés d'merde Parce qu'ils ont pas compris l'jeu mais ils suivent les règles Alors écoute pas trop tes parents, fais semblant Ils ont pas la science infuse, t'es leur premier enfant Tu perdrais tellement d'temps à batailler Y'a des combats qu'tu peux pas gagner, surtout quand tu paies pas l'loyer
단한명도 너를 이해하는이가 없는거 같지? 그건 왜냐면 널 이해하는사람이 단한명도 없기때문이야. 스스로를 좀 자각할 수 있을때 사는게 더 쉬워져. 너도 널 이해 못하는데 왜 괜히 남을 탓해? 네가 문제가 있을때 넌 자주 혼자겠지, 그런데 사실 자주, 문제는 니 자체야. 어른들이 하는 대부분의 충고들이 뻔한 똥같은 말이겠지 왜냐하면 걔들은 게임을 이해도 못하고 규칙만 따르기 때문이지 그니까 니 부모말은 너무 듣지마, 듣는 척만 해 걔네도 사실 아는거 없어, 애를 키워보는게 걔들도 니가 첨이거든. 싸워봤자 시간만 존나 잃는거야. 니가 집세를 내지 않는 한 싸워봤자 못이겨
Fais-toi une raison, y'a très peu d'raisons d'foutre la merde Dans sa propre maison, même quand t'as raison Si y'a une chose que tu dois pas remettre en question T'es plus intelligent qu'avant mais t'es toujours très con T'es trop sensible, tu vis tout comme une agression Demande à un fou s'il est fou et tu verras c'qu'il t'répond Autre chose que tu dois savoir : tu baiseras pas, c'soir
하나씩만 생각해 좆같은일들에 다 답을 찾긴 힘들어. 심지어 너 스스로 자립해서 산다고 해도 만약 한가지 너 스스로 해결한게 있다고 해도, 넌 좀 더 똑똑해진 기분이겠지만 여전히 너무 멍청하지. 넌 너무 섬세하고 넌 모든걸 널 향한 화살로 느끼지. 미친놈한테 당신 미쳤냐고 물어봐. 글고 걔가 너한테 뭐라고 답하는지 들어봐. 또 하나 니가 알아야될거 : 오늘밤도 넌 떡 못 쳐
Une fois qu't'auras compris ça, ça t'enlèvera un poids Parce que t'as beaucoup trop la dalle et ça va s'voir Parce que t'es beaucoup trop timide, tu vas beaucoup trop boire Apprends à la fermer, t'auras l'air mystérieux Apprends à t'vendre un peu mieux, tu baiseras dans un mois ou deux C'est toujours le même style de fille dont tu tombes amoureux Tu sais, le style de fille qui t'rend malheureux
니가 이런걸 이해할때마다 조금씩 가벼워 질거야 왜냐면 넌 너무 굶주려있고 그래보일거야 왜냐면 넌 너무 소극적이라 존나 마시겠지 떨 피우는걸 시작하면서 넌 존나 미스테리해 보이겠지 너를 �� 포장하기 시작하면, 한달 어쩌면 두달이내 떡을 치는데 성공할꺼야 니가 좋아하는 여자스타일은 매번 비슷하겠지 왜 있잖아, 널 불행하게 하는 여자스타일.
Donc fais pas la pleureuse le jour où elle t'brise le cœur Sur la longueur, t'économises des pleurs Ensuite, t'auras peur de t'investir, tu t'diras qu'c'est mieux ailleurs Qu'chez toi, tu vas rater l'meilleur de c'que t'as déjà En gros, tu couches avec ta meuf en pensant à une autre T'as pas kiffé Tu penses à elle quand tu couches avec l'autre une fois qu'elle t'a quitté
그니까 걔들이 니 심장을 후벼판다고 개집애처럼 짜지마. 그때마다 질질짜면 눈물을 졸라게 낭비하는 꼴이지 그러고 나면 모든게 아깝기 시작할거야. 지금 니가 있는곳보다 다른곳이 나을거란 생각이 들겠지. 니가 이미 가진것들 중 최고인걸 못보게 될거야 그건 마치, 넌 어떤 여자랑 떡치면서 다른년을 떠올려 그리고 그 여자가 떠나고 나서야 다른년이랑 떡치면서 그 여잘 떠올리겠지
Okay T'empêcheras jamais les gens d'parler Et, comme t'es chelou, y'a p't-être moyen qu'les gens veuillent te frapper Tu peux faire des pompes, tu peux apprendre à t'battre Mais même musclé, ça fait toujours mal de prendre une droite Ton cerveau et ton ego fonctionnent à l'envers Plus tu cherches à prouver quelque chose, plus ça fait l'contraire Quand tu dis qu't'as pas peur, c'est qu't'as peur Quand tu dis qu't'as pas mal, c'est qu'tu commences à sentir la douleur Connais ta hauteur, va pas t'surclasser Tu verras, des fois, tu perdras contre des gars qu'tu trouvais nuls à chier Bien sûr, la vie est injuste Si t'aimes pas les lois, sois pas un putain d'juge
그래. 사람들이 말하는데 괜히 훼방놓는건 하지마 니가 졸라 자꾸 훼방놓으면 사람들이 널 패고싶게 만들지 모르거든. 너도 싸우면 되겠지, 싸우는걸 배울수도 있겠지 근데 니가 졸라 근육쟁이라도 맞으면 아파 니 뇌랑 자아는 자꾸 반대로 작용하겠지 니가 뭔가를 자꾸 증명하려 해도, 점점 더 반대가 되버리겠지 니가 안두렵다고 말하면, 그건 존나 무서운거겠지 니가 안아프다고 말하면, 그건 고통이 뭔지 알거같단 이야기지 니 주제를 좀 알아야되, 자꾸 널 뛰어넘으려고 하지마 너도 겪겠지만, 가끔은, 너보다 개 하찮은새끼들 한테 지게될꺼야. 물론 세상 졸라 불공평하지. 그런 세상 법과 규칙이 싫다면 니가 남들을 판단하는 판사짓도 하지마.
Ne crois pas les insultes, y'a pas d'race pour être un bâtard Pour être un fils de pute, pas besoin d'avoir une daronne sur un trottoir Y'a pas d'sexualité pour être un enculé Plus tu réagis, plus on dirait qu'tu t'sens visé, laisse glisser Les meilleures blagues sont les plus méchantes ou les plus bêtes Mais les pires êtres humains sont des losers cruels T'en prends jamais au plus faible, garde les vannes dans un coin d'ta tête Ça rentrera dans un texte, dans un film ou dans un sketch
괜한 모욕들에 욱하지마. 꼰대가 되는데는 인종이 없어 개새끼가 되는데에는 따로 경계가 있는게 아니야 쓰레기가 되는데엔 성별도 없어 니가 말려들수록 넌 더 걔들한테 밥이될거야. 걍 지나쳐 젤 재밌는 유머들은 젤 못됐거나 젤 멍청한것들이지. 인간들중 최악들은 잔인한 루저들이야. 쓸데없이 널 드러내지말고 니 머리속에 잘 간직해둬. 그것들이 글속에 혹은 영화속에 혹은 그림속에 다시 나올거야.
L'école est un calvaire, y'a pas grand-chose à faire Arrêter, c'est partir trop tôt dans une autre galère Tèj' ton sac-à-dos en l'air, t'auras l'poids d'la société sur les épaules Un patron, ton père et ta mère Trois-quarts des cours servent à rien Mais les actrices de boule en soient témoins : rien branler fait qu'éloigner la fin Tu dis qu'on verra bien, tu fais l'malin mais t'es fragile Comme le dépistage, tu regrettes à l'examen L'école est un filtre qui rend tout très chiant Comme les films en noir et blanc : le plus dur, c'est d'rentrer dedans C'est plus dur quand t'appréhendes, comme ta première fois
학교는 고역이지. 어쩔수가없어. 그만두는거? 그건 다른 고역으로 더 빨리 뛰어드는 샘이지. 가방을 집어던지고 사회의 무게를 짊어지겠지 사장 아님 니 애비와 애미. 4분의 3정도의 수업이 졸라 쓸데없는 거지. 싸는데 존나 오래걸리게 하는 포르노 여배우들 처럼. 뭐 까짓거 해보자 맘먹어도 넌 넘 약하지. 그러다 시험날 후회하겠지. 학교는 참 모든게 지겹고 귀찮은 필터같은거야. 흑백영화처럼. 시작하는게 제일 어려워. 그 시스템�� 역할을 이해하는게 제일 어려워, 니 첫경험 처럼.
J'fais des métaphores sexuelles depuis tout à l'heure parce que tu penses qu'à ça Dis-toi qu'les latinas sont les plus bonnes du monde Écoute en espagnol, dis-toi qu'en chimie tu pourrais faire d'la drogue Arrête d'apprendre par cœur des trucs que t'as pas compris
내가 아까부터 섹드립을 치는데 왜냐면 니가 이생각만 할때거든. 넌 라티노들이 젤 맛있다면서 스페인어를 듣고 마약좀 하고 떡치겠다 말하겠지. 아직 이해 못하는것들을 다 아는척 하는건 집어쳐.
Et, en philo, t'étais pas censé raconter ta vie Ah oui, personne t'oblige à fumer d'la weed En fait, ça marche mieux sur les hyperactifs Être défoncé, c'est même pas la partie qu'tu préfères Quand t'es déchiré, tout c'que tu fais, c'est faire semblant d'être clair La partie qu'tu préfères, c'est partir en bande à Jardiland Voler du bambou et fabriquer un bang
글고 철학, 니 삶에대해 모두에게 다 말할 필욘 없지? 아 그리고, 아무도 너한테 떨피우라고 강요하지도 않았어. 사실 그건 과도하게 활동적인 사람들한테나 도움이 되지. 존나 취한 상태가 사실 엄청 좋은 기분은 아니잖아? 니가 하이됐을때, 니가 하는건 걍 졸라 솔직한 척 하는거겠지. 떨 피우는거 보다 사실 니가 좋아하는건 친구들하고 정원에 모여 대나무를 꺾어다 파이프를 만드는거 자체가 좋은거겠지.
T'as juste besoin d'une passion Donc écoute bien les conseillers d'orientation et fais l'opposé d'c'qu'ils diront En gros, tous les trucs où les gens disent : "Tu perds ton temps" Faut qu'tu t'mettes à fond d'dans et qu'tu t'accroches longtemps Si tu veux faire des films, t'as juste besoin d'un truc qui filme Dire : "J'ai pas d'matos ou pas d'contact", c'est un truc de victime On t'dira d'être premier, jamais d'être heureux Premier, c'est pour ceux qu'ont besoin d'une note, qu'ont pas confiance en eux T'es au moment d'ta vie où tu peux devenir c'que tu veux Le même moment où c'est l'plus dur de savoir c'que tu veux
네게 필요한건 사실, 뭔가에 열정을 쏟는거야. 그니까 오리엔테이션에서 충고들 잘 듣고 그들이 하는말의 정 반대로 해. 그니까, 사람들이 '시간낭비하고있네' 라고 할만한 것들을 졸라 열심히 해봐. 예를들어 니가 영화를 찍고싶잖아? 그럼 걍 녹화되는거 하나를 구해서 하면되. '아 장비가없어. 커뮤니티가 없어' 같은말은 희생자들이나 하는말이야. 너한테 최고가 되라고, 절대 행복할 수 없을거란 말을 하는것들은 첫째로, 걔네는 존나 점수가 중요하거나 둘째, 지들 스스로를 못믿기 때문이지. 지금 네 삶을 사는데 니가 되고싶은것이 너스스로 될 수 있느냐 없느냐 결정짓는 시기지. 역시, 니가 원하는게 뭔지 아는게 아주 어려운 시기이기도 하지.
À part traîner avec ta bande Surtout pas rater la dernière rumeur, le dernier truc marrant Honnêtement, tu raterais pas grand-chose si tu partais quatre ans Quoi que, c'est important, fais d'la merde tant qu'il est encore temps Pour pas qu'un jour tu te réveilles à quarante ans Genre : "Putain, j'vais crever mais j'ai jamais kiffé Ma famille m'empêche de vivre, j'vais devoir les quitter Pour sniffer en boîte de nuit, trouver des gamines à vampiriser" J'en vois plein, donc, petit terroriste, va t'éclater Sors en soirée même si, j'avoue, tu vas t'faire recaler Tu rentreras la semaine prochaine ou l'année d'après D't'façons, t'allais pas baiser, c'soir, si j'dois t'le rappeler Si tu rentres, prends ton ticket d'vestiaire en photo Rends-toi compte que tu sais pas boire, t'es mort trop tôt Quand ça devient une fierté d'te mettre des grandes doses C'est qu'tu t'attaches à pas grand-chose Arrête de flipper, si tu veux, va danser La seule règle sur la piste, c'est : fais pas des trucs que t'as jamais tenté Si jamais tu t'endors en premier dans une soirée S'regarder dans la glace, c'est la base dès qu'tu viens d'te lever Au cas où Ça t'évitera d'passer les repas d'famille avec une bite dessinée sur la joue Ces repas d'famille où tu t'ennuies, où on parle très fort Pour dire des choses très banales, déjà, on s'parle et c'est pas mal Les vérités sont compliquées, les clichés sont stables Désolé si y'a pas que des experts à ta table Tu bloques sur les défauts des autres, et c'est ton pire défaut La vie, c'est des cycles, c'est pour ça qu'j'retombe sur les mêmes mots Sois pas parano sur qui sont tes vrais amis Y'a qu'un seul moyen d'le savoir : laisse le temps faire le tri J'ai jamais regretté d'demander conseil ni d'appeler quelqu'un Souvent, tu crois qu'ils sont chelous, c'est juste qu'ça capte pas très bien La même histoire a plein d'versions La meilleure façon d'sortir d'une embrouille, c'est d'poser des questions Arrête de passer ta vie à fuir, angoissé par l'avenir Parce qu'y'a rien à faire pour s'préparer au pire Comme les attentats, les mauvaises nouvelles frappent quand tu t'y attends pas Des proches un peu pressés partiront avant toi Tu verras des gens heureux prendre un appel Leur visage se décompose et rien n'est plus jamais pareil Y'a rien à faire, à part être présent Panser les plaies, changer les pansements, le seul remède, c'est l'temps
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Notes pour trop tard.
J'avais ton âge, il y a, à peu près ton âge. Le passage à l'âge adulte est glissant dans les virages. Devenir un Homme : il n'y a pas de stage, pas de rattrapage. Maintenant t'es dans l'grand bain, devine comment on nage. T'aura toujours une espèce de rage, envie de prendre le large, d'éclater les types qui jouent de la guitare sur la plage. Comme à chaque fois que tu déménages, c'est un monde qui s'écroule. Ecoute, l'histoire s'écrit en tournant les pages, écoute. J'ai pris quelques notes : si t'as l'impression que personne ne te comprend, c'est parce que personne ne te comprend. C'est plus facile à vivre une fois qu't'en est conscient. Comment tu peux leur en vouloir, tu t'comprend pas toi-même, souvent seul avec tes problèmes, souvent c'est toi l'problème. La plupart des conseils d'adultes sont des clichés d'merde parce qu'ils n'ont pas compris l'jeu mais ils suivent les règles. Alors écoute pas trop tes parents, fait semblant, ils n'ont pas la science infuse : t'es leur premier enfant. Tu perdrais tellement de temps à batailler, il y a des combats qu'tu peux pas gagner surtout quand tu ne payes pas l'loyer. Fais-toi une raison, il y'a très peu de raisons de foutre la merde dans sa propre maison, même quand t'as raison. S'il y a une chose que tu n'dois pas remettre en question, t'es plus intelligent qu'avant mais t'es toujours très con, t'es trop sensible : tu vis tout comme une agression. Demande à un fou s'il est fou, et tu verras c'qu'il t'répond. Autre chose que tu dois savoir : tu ne baisera pas c'soir, une fois qu'ta compris ça, ça t'enlèvera un poids. Parce que ta beaucoup trop la dalle et ça va se voir, parce que t'es beaucoup trop timide tu vas beaucoup trop boire. Apprend à la fermer, t'aura l'air mystérieux, apprend à t'vendre un peu mieux, tu baiseras dans un mois ou deux. C'est toujours le même style de fille dont tu tombes amoureux, tu sais, le style de fille qui t'rend malheureux. Donc fais pas la pleureuse le jour où elle t'brise le cœur, sur la longueur, t'économise des pleurs. Ensuite t'aura peur de t'investir, tu t'dira qu'c'est mieux ailleurs qu'chez toi. Tu vas rater l'meilleur de c'que t'as déjà. En gros tu couches avec ta meuf en pensant à une autre, tu n'as pas kiffer. Tu penses à elle quand tu couches avec l'autre, une fois qu'elle ta quitté. Tu n'empêcheras jamais les gens d'parler et comme t'es che-lou y'a peut-être moyen qu'les gens veuillent te frapper. Tu peux faire des pompes, tu peux apprendre à te battre, mais même musclé ça fait toujours mal de prendre une droite. Ton cerveau et ton égo fonctionnent à l'envers, plus tu cherches à prouver quelque chose plus ça fait l'contraire. Quand tu dis qu'ta pas peur c'est qu'ta peur, quand tu dis que t'as pas mal c'est que tu commences à sentir la douleur. Tu connais ta hauteur, vas pas t'surclasser, tu verras des fois tu perdras contre des gars qu'tu croyais nul à chier. Bien sûr la vie est injuste, si tu n'aimes pas les lois soit pas un putain d'juge, ne croit pas les insultes : il n'y a pas de race pour être un bâtard, pour être un fils de pute pas b'soin d'avoir une daronne sur un trottoir. Il n'y a pas de sexualité pour être un enculé, plus tu réagis, plus on dirait qu'tu t'sens visé : laisse glisser. Les meilleures blagues sont les plus méchantes ou les plus bêtes mais les pires êtres humains sont les loosers cruels : ne t'en prend jamais aux plus faibles garde les vannes dans un coin d'ta tête : sa rentrera dans un texte, dans un fils ou dans un sketch. L'école est un calvaire, y'a pas grand-chose à faire. Arrêtez c'est partir trop tôt dans une autre galère, -tej ton sac à dos en l'air t'aura le poids de la société sur les épaules, un patron, ton père et ta mère. Trois quarts des cours servent à rien mais qu'les actrice de boule en soient témoins : rien branler ne fais qu'éloigner la fin. Tu dis qu'on verra bien, tu fais l'malin mais t'es fragile comme le dépistage tu regrettes qu'à l'examen. L'école est un filtre qui rend tout très chiant comme les films en noir et blanc : le plus dur c'est d'rentrer d'dans, c'est plus dur quand t'appréhende comme ta première fois. J'fais des métaphores sexuelles depuis tout à l'heure parce que tu penses qu'à ça. Dis-toi qu'les Latinas sont les plus bonnes du monde, écoute un Espagnol, dit toi qu'en chimie tu pourrais fabriquer d'la drogue. Arrête d'apprendre par cœur des trucs que tu n'as pas compris, et en philo' t'étais pas censé raconter ta vie. Ah oui : personne t'oblige à fumer d'la weed, en fait ça marche mieux sur les hyperactifs. Etre défoncé c'est même pas la partie qu'tu préfères, quand t'es déchiré tout ce que tu fais c'est faire semblant d'être clair. La partie qu'tu préfères c'est partir en bande à Jardiland, voler du bambou et fabriquer un bang. T'as juste besoin d'une passion, donc écoute bien les conseillers d'orientation et fait l'opposé de c'qui diront. En gros, tu les trucs ou les gens disent que tu perds ton temps : faut qu'tu te mette a fond d'dans et faut qu'tu t'accroche longtemps. Si tu veux faire des films t'as juste besoin d'un truc qui filme : dire "je n'ai pas d'matos" ou "pas d'contacts c'est un truc de victime. On t'dira d'être premier jamais d'être heureux : premier c'est pour ceux qu'on b'soin d'une note, qu'on pas confiance en eux. T'es au moment d'ta vie ou tu peux devenir c'que tu veux, le même moment ou c'est l'plus dur de savoir c'que tu veux. A part traîner avec ta bande, surtout pas rater la dernière rueur, l'dernier truc marrant, honnêtement tu ne raterais pas grand-chose si tu partais 4 ans, quoi que c'est important. Fait d'la merde tant qu'il est encore temps, pour pas qu'un jour tu t'réveilles à 40 ans genre : "putain, j'vais crever mais je n'ai jamais kiffé, ma famille m'empêche de vivre j'vais d'voir les quitter pour sniffer en boite de nuit, trouver des gamines à vampiriser.", j'en vois plein donc petit terroriste vas t'éclater, sort en soirée même si j'avoue, tu vas t'faire recaler. Tu rentreras la semaine prochaine ou l'année d'après, t'façons tu n'allais pas baiser c'soir si j'dois t'le rappeler. Si tu rentres, prend ton ticket d'vestiaire en photo, rends-toi compte que tu ne sais pas boire, t'es mort trop tôt. Quand ça d'viens une fierté d'mettre des grandes doses, c'est qu'tu t'attaches à pas grand-chose. Arrête de flipper si tu veux va danser, la seule règle sur la piste c'est : fait pas des trucs que tu n'as jamais tenté. Si jamais tu t'endors en premier dans une soirée, c'regarder dans la glace c'est la base dès qu'tu viens d'te lever. Au cas où, ça t'évitera d'passer l'repas de famille avec une bite dessiner sur la joue. Ces repas d'famille ou tu t'ennuies, ou parle très fort pour dire des choses très banales : déjà, on s'parle et ce n'est pas mal. Les vérités sont compliquées, les clichés sont stables. Désolé si y'a pas que des experts à ta table, tu bloque sur les défauts des autres et c'est ton pire défaut. La vie c'est des cycles c'est pour ça que j'retombe sur les mêmes mots. Soit pas parano sur qui sont tes vrais amis, y'a qu'un seul moyen d'le savoir : laisse le temps faire le tri. Je n'ai jamais regretté de d'mander conseil et d'appeler quelqu'un. Souvent tu crois qu'ils sont che-lous c'est juste qu'ça capte pas très bien. La même histoire à plein de versions, la meilleure façon d'sortir d'une embrouille c'est poser des questions. Arrête de passer ta vie à fuir angoissé par l'avenir parce qu'il n'y a rien a faire pour s'préparer au pire. Comme les attentats, les mauvaises nouvelles frappent que tu t'y attend pas. Des proches un peu pressés partiront avant toi, tu verras des gens heureux prendre un appel, leur visage se décompose et rien n'est plus jamais pareil. Y'a rien à faire à part être présent : panser les plaies et changer les pansements, le seul remède c'est l'temps.
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Pékin c'est pas comme on dirait. C'est pas si blindé. Pas si dépressif. Les gens sont pas si aigris, ils sont même cools. C'est un peu la même chose que je m'étais dit pour New York quand j'y étais allée. En France en partant on avait rencontré un autre autostoppeur qui avait l'air de déjà avoir tout appris de la vie et il nous avait sorti "T'façon Paris, New York, Pékin, Rio, capitale c'est capitale." Et là avec Matis on s'est dit que capitale c'est pas toujours capitale.
J'ai expérimenté plein de trucs. Du genre faire pipi dans des toilettes où la porte arrive au torse, alors que j'ai une combi short et que je dois enlever le haut pour pisser. Du coup tout le monde me voit à poil c'est sensationnel.
On a testé plein de fois la bouffe chinoise, rien à voir avec le buffet à volonté de Barentin (bien que je l'ai toujours aimé). C'est assez -tres- épicé pour moi. Tellement que la première fois j'ai dû avoir l'air d'une meuf au bout de sa vie donc la serveuse est revenue pour nous proposer un bol de riz pour adoucir.
En Chine, les véhicules ont la priorité sur les piétons. La vraie. Celle sans concession. Limite c'est un droit de vie ou de mort ce truc. Du coup les chinois sont experts en traversage. Faut tellement faire gaffe à tout, entre les voitures, les deux roues, les charettes-vélos-bizarre...
Aussi la première journée on avait pas l'impression que c'était si pollué. Et du jour au lendemain, bim, la vue super grise, et l'odeur... l'odeur de la pollution je la connaissais pas jusqu'ici. Bah c'est bien dégueu. D'ailleurs contrairement à ce qu'on pourrait croire les Pékinois ne portent presque pas de masque à particule fine.
Les gens s'en foutent de tout, ils crachent TOUT LE TEMPS des gros molards par terre. Dans le train, au beau milieu de la nuit, le gars assis en face de nous sort sa tondeuse électrique et se met à se raser comme ça, sans pression, à 30cm de mon visage et ses poils qui tombent sur lui.
Ça c'est les anecdotes mignonnes sur Pékin. Après, y'a la réalité du contrôle de l'État chinois. Et là c'est une autre affaire. Gardes de sécurité à chaque début et fin d'escalier dans le métro, militaires à chaque coin de rue, parfois sur des petits promontoirs, un peu ridicules, parfois avec du matériel de sécurité genre boucliers juste devant eux, dans la rue. La police est partout, très très apparente. Cametars énormes, buldozer anti-émeute oklm dans la rue. Ç'a été percutant, dès notre arrivée à la gare, une porte était grande ouverte sur une pièce dans laquelle était tranquillement entreposés de grands boucliers avec casques et bâtons style pince, pour tenir des gens à distance en cas de mouvement de foule ou j'sais pas quoi. Bien en évidence, prêts à être empoignés dans la seconde.
La pub est partout. Sur tous les murs. Jusqu'à être projetée sur les vitres des rames de métro, on a pas une seule seconde de répit. Après dans les métros y'a aussi des télés qui passent des gags animaliers. Je déconne pas. Style un pigeon qui fait caca sur un autre et qui se barre.
On avait réussi à trouver une bombonne de gaz pour continuer notre périple dans le Nord en itinérance et en stop et pouvoir faire la bouffe au réchaud. Elle était passée dans la gare à l'aller et évidemment, au moment de reprendre le train pour quitter Pékin, on nous arrête à la fouille. Je tente de faire chier la contrôleuse 15 minutes, parce qu'on sait jamais et que c'est méga dur à trouver dans un pays où tu parles pas la langue. Elle finit par appeler la sécurité et nous demander nos papiers d'identité, peut être pour nous ficher en quelques sortes. Elle commence à écrire nos noms sur une feuille à colonne. Maintenant vous pouvez m'appeler "Mont Saint Aignan" et Matis "Saint Nazaire". J'en pouvais plus.
L'arrivée à Baotou, ville (énorme, s'il y à besoin de spécifier) de Mongolie intérieure (province de Chine, au Nord, pas de Mongolie, hein les filous) s'annonçait un peu périlleuse étant donné que 1) semi nuit blanche dans le train au compteur 2) on sait pas trop où on va, sinon approximativement, et on doit traverser la ville -15km- pour faire du stop 3) on doit trouver une bombone de gaz, dans une ville où on sait même pas si ça existe, et dans un pays où pour nous "magasin de loisirs en plein air" pourrait s'écrire "boutique de fer à repasser en zinc" que ce serait pareil.
Mais youloulouloula est apparu notre sauveur, Mei Rien Xiang, un pékinois en voyage ici qui nous à sauvé de la panade. Il à passé une heure voire plus à alpaguer les gens dans la rue avec notre réchaud pour demander où on pouvait trouver du gaz, cherché sur internet, appelé et envoyé des SMS aux magasins de la ville pour savoir s'il en avait. Et halleluyah on à déniché la mini boutique qui avait des vieilles bombones (du coup on s'est rapprovisionné en très grosse quantité). Il y avait des petits vieux chillant dans la boutique qui en revenait pas de la situation, au point qu'ils ont demandé à prendre une photo. C'est d'ailleurs assez fou de voir à quel point on suscite un étonnement très marqué dans cette ville. Sincèrement, 2 personne sur 3 se retourne en nous voyant passer. Alors c'est quitte ou double, soit c'est l'expression de la curiosité la plus sincère, et du coup ça vire à la découverte de l'altérité, sourire aux lèvres, comme avec les petits vieux, soit ce sont des regards suspicieux ou une vraie tempête se regards chelous, comme lorsqu'on est arrivé plus tard la gare routière, et qu'une quinzaine de types, pseudo taxi nous on collé et observé comme si on était clairement des animaux (ou des porte monnaie sur pattes?). On est ensuite allé dans des halles où on à pu acheter pour 4 jours de bouffe (et pas d'la merde, produits frais, épices, huile de sésame etc) pour 7€. Saucé jacky! Et puis un fameux gourmet resto que Mei réglera avant de nous dire au revoir.
On est ensuite sorti de Baotou en prenant un bus pour avancer jusqu'à une ville où on à fait du stop (ça marrrrrrche) dans des paysages déjà très intriguants : une grande vallée entourant de deux grosses arrêtes de montagnes aux courbes si étranges et prononcées qu'elles donnaient l'impression d'être immense et lointaines, jusqu'au moment où t'arrive à leur pied et que tu te rends compte qu'elles ñ'étaient qu'à 2km, et non 30. Drôle d'effet d'optique que ces formations géologiques dans le style modèle réduit. Et puis tu regardes à gauche par la fenêtre et puis "oh bah tiens y'à des dunes là bas, c'est le début du désert ça". Tu as l'impression d'être le reve-délire géographique d'un enfant de 7 ans qui veut mettre tous ses paysages préférés dans son dessin sans se dire que tout ça ñ'est pas très cohérent. Eh bah gamin viens en Mongolie intérieure, par chez nous, et ça fermera le clapet de tous ces rageux !
A la fin de notre stop, alors qu'on commençait à galèrer à trouver un coin pour mettre la tente, on se fait déposer dans une sorte de ferme. On montre notre papier où on à inscrit "peut on planter la tente ici ?" en désignant le jardin, et on nous répond oui. Mais juste après on nous montre la yourte juste derrière nous puis nous écrit le prix (12 boules - avec pension complète de morfale, genre plâtrée de 1kg de mouton et nouilles), donc ça fait deux jours qu'on se pavane comme des petits princes dans notre yourte ossature grille de fer à l'arrache et on est bien saucés.
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Notes pour trop tard..
[Intro] Ok, j'avais ton âge y'a à peu près ton âge Le passage à l'âge adulte est glissant dans les virages Devenir un homme : y'a pas d'stage, pas d'rattrapage Maintenant, t'es dans l'grand bain, devine comment on nage T'auras toujours une espèce de rage, envie d'prendre le large D'éclater les types qui jouent d'la guitare sur la plage Comme à chaque fois qu'tu déménages, c'est un monde qui s'écroule Écoute, l'histoire s'écrit en tournant les pages Écoute J'ai pris quelques notes [Couplet unique] Si t'as l'impression qu'personne te comprend, c'est parce que personne te comprend C'est plus facile à vivre une fois qu't'en es conscient Comment tu peux leur en vouloir ? Tu t'comprends pas toi-même Souvent seul avec tes problèmes, souvent, c'est toi l'problème La plupart des conseils d'adultes sont des clichés d'merde Parce qu'ils ont pas compris l'jeu mais ils suivent les règles Alors écoute pas trop tes parents, fais semblant Ils ont pas la science infuse, t'es leur premier enfant Tu perdrais tellement d'temps à batailler Y'a des combats qu'tu peux pas gagner, surtout quand tu paies pas l'loyer Fais-toi une raison, y'a très peu d'raisons d'foutre la merde Dans sa propre maison, même quand t'as raison Si y'a une chose que tu dois pas remettre en question T'es plus intelligent qu'avant mais t'es toujours très con T'es trop sensible, tu vis tout comme une agression Demande à un fou s'il est fou et tu verras c'qu'il t'répond Autre chose que tu dois savoir : tu baiseras pas, c'soir Une fois qu't'auras compris ça, ça t'enlèvera un poids Parce que t'as beaucoup trop la dalle et ça va s'voir Parce que t'es beaucoup trop timide, tu vas beaucoup trop boire Apprends à la fermer, t'auras l'air mystérieux Apprends à t'vendre un peu mieux, tu baiseras dans un mois ou deux C'est toujours le même style de fille dont tu tombes amoureux Tu sais, le style de fille qui t'rend malheureux Donc fais pas la pleureuse le jour où elle t'brise le cœur Sur la longueur, t'économises des pleurs Ensuite, t'auras peur de t'investir, tu t'diras qu'c'est mieux ailleurs Qu'chez toi, tu vas rater l'meilleur de c'que t'as déjà En gros, tu couches avec ta meuf en pensant à une autre T'as pas kiffé Tu penses à elle quand tu couches avec l'autre une fois qu'elle t'a quitté Okay T'empêcheras jamais les gens d'parler Et, comme t'es chelou, y'a p't-être moyen qu'les gens veuillent te frapper Tu peux faire des pompes, tu peux apprendre à t'battre Mais même musclé, ça fait toujours mal de prendre une droite Ton cerveau et ton ego fonctionnent à l'envers Plus tu cherches à prouver quelque chose, plus ça fait l'contraire Quand tu dis qu't'as pas peur, c'est qu't'as peur Quand tu dis qu't'as pas mal, c'est qu'tu commences à sentir la douleur Connais ta hauteur, va pas t'surclasser Tu verras, des fois, tu perdras contre des gars qu'tu trouvais nuls à chier Bien sûr, la vie est injuste Si t'aimes pas les lois, sois pas un putain d'juge Ne crois pas les insultes, y'a pas d'race pour être un bâtard Pour être un fils de pute, pas besoin d'avoir une daronne sur un trottoir Y'a pas d'sexualité pour être un enculé Plus tu réagis, plus on dirait qu'tu t'sens visé, laisse glisser Les meilleures blagues sont les plus méchantes ou les plus bêtes Mais les pires êtres humains sont des losers cruels T'en prends jamais au plus faible, garde les vannes dans un coin d'ta tête Ça rentrera dans un texte, dans un film ou dans un sketch L'école est un calvaire, y'a pas grand-chose à faire Arrêter, c'est partir trop tôt dans une autre galère Tèj' ton sac-à-dos en l'air, t'auras l'poids d'la société sur les épaules Un patron, ton père et ta mère Trois-quarts des cours servent à rien Mais les actrices de boule en soient témoins : rien branler fait qu'éloigner la fin Tu dis qu'on verra bien, tu fais l'malin mais t'es fragile Comme le dépistage, tu regrettes à l'examen L'école est un filtre qui rend tout très chiant Comme les films en noir et blanc : le plus dur, c'est d'rentrer dedans C'est plus dur quand t'appréhendes, comme ta première fois J'fais des métaphores sexuelles depuis tout à l'heure parce que tu penses qu'à ça Dis-toi qu'les latinas sont les plus bonnes du monde Écoute en espagnol, dis-toi qu'en chimie tu pourrais faire d'la drogue Arrête d'apprendre par cœur des trucs que t'as pas compris Et, en philo, t'étais pas censé raconter ta vie Ah oui, personne t'oblige à fumer d'la weed En fait, ça marche mieux sur les hyperactifs Être défoncé, c'est même pas la partie qu'tu préfères Quand t'es déchiré, tout c'que tu fais, c'est faire semblant d'être clair La partie qu'tu préfères, c'est partir en bande à Jardiland Voler du bambou et fabriquer un bang T'as juste besoin d'une passion Donc écoute bien les conseillers d'orientation et fais l'opposé d'c'qu'ils diront En gros, tous les trucs où les gens disent : "Tu perds ton temps" Faut qu'tu t'mettes à fond d'dans et qu'tu t'accroches longtemps Si tu veux faire des films, t'as juste besoin d'un truc qui filme Dire : "J'ai pas d'matos ou pas d'contact", c'est un truc de victime On t'dira d'être premier, jamais d'être heureux Premier, c'est pour ceux qu'ont besoin d'une note, qu'ont pas confiance en eux T'es au moment d'ta vie où tu peux devenir c'que tu veux Le même moment où c'est l'plus dur de savoir c'que tu veux À part traîner avec ta bande Surtout pas rater la dernière rumeur, le dernier truc marrant Honnêtement, tu raterais pas grand-chose si tu partais quatre ans Quoi que, c'est important, fais d'la merde tant qu'il est encore temps Pour pas qu'un jour tu te réveilles à quarante ans Genre : "Putain, j'vais crever mais j'ai jamais kiffé Ma famille m'empêche de vivre, j'vais devoir les quitter Pour sniffer en boîte de nuit, trouver des gamines à vampiriser" J'en vois plein, donc, petit terroriste, va t'éclater Sors en soirée même si, j'avoue, tu vas t'faire recaler Tu rentreras la semaine prochaine ou l'année d'après D't'façons, t'allais pas baiser, c'soir, si j'dois t'le rappeler Si tu rentres, prends ton ticket d'vestiaire en photo Rends-toi compte que tu sais pas boire, t'es mort trop tôt Quand ça devient une fierté d'te mettre des grandes doses C'est qu'tu t'attaches à pas grand-chose Arrête de flipper, si tu veux, va danser La seule règle sur la piste, c'est : fais pas des trucs que t'as jamais tenté Si jamais tu t'endors en premier dans une soirée S'regarder dans la glace, c'est la base dès qu'tu viens d'te lever Au cas où Ça t'évitera d'passer les repas d'famille avec une bite dessinée sur la joue Ces repas d'famille où tu t'ennuies, où on parle très fort Pour dire des choses très banales, déjà, on s'parle et c'est pas mal Les vérités sont compliquées, les clichés sont stables Désolé si y'a pas que des experts à ta table Tu bloques sur les défauts des autres, et c'est ton pire défaut La vie, c'est des cycles, c'est pour ça qu'j'retombe sur les mêmes mots Sois pas parano sur qui sont tes vrais amis Y'a qu'un seul moyen d'le savoir : laisse le temps faire le tri J'ai jamais regretté d'demander conseil ni d'appeler quelqu'un Souvent, tu crois qu'ils sont chelous, c'est juste qu'ça capte pas très bien La même histoire a plein d'versions La meilleure façon d'sortir d'une embrouille, c'est d'poser des questions Arrête de passer ta vie à fuir, angoissé par l'avenir Parce qu'y'a rien à faire pour s'préparer au pire Comme les attentats, les mauvaises nouvelles frappent quand tu t'y attends pas Des proches un peu pressés partiront avant toi Tu verras des gens heureux prendre un appel Leur visage se décompose et rien n'est plus jamais pareil Y'a rien à faire, à part être présent Panser les plaies, changer les pansements, le seul remède, c'est l'temps
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The Horrors - V (Wolf Tone Limited, 2017)
Je me lance. Ce disque a l'air très musclé, bon gros son de musique mainstream avec des synthés, un mec qui chante comme si c'était un curé : c'est la messe du dimanche à la fête foraine. Dans son sermon il se demande si on ne serait pas des hologrammes (?). Culte non identifié, mais si il avait lu les Védas il saurait que nous ne sommes que l'ombre portée du Brahman infini et immuable. Visiblement, la question de notre réalité ne l’angoisse pas plus que ça étant donné qu'il enrobe son questionnement dans une musique de fête foraine, avec des piou piou laser, des grosses batteries stéroïdées, c'est un peu trop pour moi, d'autant qu’au final on suit juste une autoroute bien pépère, juste deux notes, un début une fin, rien d'extraordinaire.
Un peu de piano ensuite, en guise d'introduction, ambiance mystère, mais vraiment très brièvement, puisque tout ça est balayé par un son de fête foraine, encore, et retour de la batterie surgonflée, dans un style un peu différent cette fois. On se situe dans un registre easy listening cool vintage chiant, le genre de truc qu'on peut entendre à longueur de journée sur Radio Nova (quoique, je dois avouer que je n'ai pas écouté cette station depuis plusieurs années. J'imagine que ce n'est pas allé en s’arrangeant, peut-être qu'ils passent la même daube que sur Virgin Radio aujourd’hui ? Je sais pas). Objectivement, c'est pas nul : c'est juste que ça arrive trop tard. Tu aurais mis ce disque il y a 15 ans, je t'aurais fait un bisou. Tous ces petits bruits marrants, cette batterie monster truck, cette ambiance psychédélique de fête foraine indie cool, c'est de là que je viens non ? Sauf que de nos jours, on entend ça partout, peut-être pas aussi chiadé, mais les pubs, les retransmissions sportives, les défilés de mode, les playlists de supermarché, radio nova... C'est quoi l'intérêt ?
Le morceau suivant c'est pareil, il est plaisant, mais tellement vain, il me rappelle un peu U2. U2 contre Fatboy Slim. Toujours ce chant de curé, individualité totalement effacée pour faire place à la musique, juste un instrument parmi d'autres. Ce troisième morceau est quand même plus entrainant que les autres, un peu plus. Il est euphorique et champignonesque, il me rappelle vraiment ce sentiment de dissolution de l’ego que je ressens en festival, lorsque je suis un peu saoul et coincé au milieu d’une foule immense. Autrement dit : c'est de la musique de festival. Une grosse machine de festival, voire de stade, comme U2. Quand c'est bien fait, je n'ai rien contre, parce qu'en tant qu'homo sapiens, j’ai besoin de ce genre de communion et de célébration d'un truc plus grand que moi. On a besoin de se sentir tout petit face au cosmos, c'est à ça que servent les festivals et autres grands raouts estivaux (dans leurs meilleurs moments).
Le morceau suivant est censé être plus calme, mais c'est tellement compressé de partout que ça fait presque autant de bruit. Il y a un orgue, une boite à rythme un peu cheap, mais Faris chante de la même manière, c'est à dire sans trop de nuance, comme un routier du rock de stade. Le morceau finit par exploser en un million de petits confettis brillants, ambiance euphorie triste, éléphant avec des lunettes de soleil, poids lourd rempli de bonbons, direction la côte, le soleil, l'espace.
Point of no reply : démarre avec une guitare à l'envers, puis batterie Schwarzenegger, basse claquante, on dirait Empire Of The Sun, le chant un peu en retrait, la star ici c'est le gars qui fait les bruitages de fête foraine. C'est du beau boulot de studio, dommage qu'ils aient été un peu trop gourmands en volume sonore : on a l'impression d'écouter la radio tellement c'est compressé, désespérément aplati, comme si ils avaient peur qu'on ne les écoute pas. C'est aussi mon défaut quand je fais de la musique, mais moi je sais que mes craintes sont justifiées : on ne m'écoute vraiment pas ! Eux, se sont les fucking Horrors, c'est à dire les nouveaux U2, ils n'ont pas besoin d'en faire des tonnes pour que les filles leur balancent leur culotte. C'est dommage mais après, c'est une véritable esthétique, le festival. Le jeune en manque de Primavera sera heureux de retrouver le son typique des grandes scènes de plein air sur ce disque.
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On est à la moitié du disque. Le morceau s'appelle Weighed Down. Les paroles sont du genre divagations de drogué. Elles me font un peu rigoler au départ, quand il dit : “A silent melody, how could I know? / A silent lullaby, to your soul / Caught in a slow decline / And it gonna fall / When you don't know the way at all. Ça me fait rire parce que la musique c'est loin d'être silencieuse, elle est légèrement plus calme, mais ça bastonne bien quand même. Sinon, c'est toujours cette idée de dissolution qui domine. Je deviens plus léger parce que mon corps petit à petit s'efface, mon corps associé à mon individualité, mon âme se détache lentement pour rejoindre l'éternité immuable. Tant mieux.
Puis vient Gathering, un morceau avec de la guitare sèche, bien plus pop, on entend vaguement les Beatles ou Oasis. Mais aussi Duran Duran et un peu William Sheller. C'est presque raffiné. Comme si les gros bras du ciné d'action des années 80 prenaient le thé ensemble chez Elton John : Arnold, Sylvester, Jean-Claude, Bruce, tous assis les jambes croisées, en train de déguster un délicieux Earl Grey dans des tasses en porcelaine. Ça vous fait rire ? Ben ouai, ce disque me fait un peu rire. Ceci dit, j'aime beaucoup les acteurs sus-cités. Ils sont tous adorables et j'aimerais être leur ami.
Le morceau suivant s'appelle World Below et plus que jamais c'est U2 Vs Fatboy Slim. Je crois que je préfère la voix de Bono. Un peu plus expressive. Non sérieusement Faris tu m'ennuie un peu. Sinon les paroles, c'est toujours ce truc de drogué qui vient de voir Dieu. Bref.
Plus que deux et c'est fini. Donc, voici It's A Good Life. Déjà le titre il m'énerve. Le contenu : pas de batterie, synthé qui trémollote, du piano, mélancolie à la Trent Reznor, paroles incompréhensibles mais "cool". Puis arrive une sorte de batterie disco, et c'est le climax de la chanson, dont les paroles sont "It's a good life, a good life, until it's gone". Ce piano et tout, ça me rappelle le style The Fragile de Nine Inch Nails. Oui vraiment, c'est une grosse machine les Horreurs.
Enfin, il y a Something to remember me by. Paroles de drogué qui voit Dieu, gros synthé EDM, tempo enlevé, ambiance cool triste, cotonneuse, encore une fois l'impression d'écouter Empire Of The Sun, c'est doux et confortable comme un PQ triple épaisseur parfumé à la lavande. La fin, c'est pas compliqué, c’est Colplay, oui vous savez, le Coldplay nouvelle formule, le Coldplay EDM. En mieux évidemment, faut pas exagérer. Mais je dois dire que je préfère aussi la voix de Chris Martin. Faris n'est pas un très bon chanteur, il a le timbre plat, il n'est pas assez expressif, il ferait mieux de reprendre quelques champis.
Bon voilà c'est tout.
Ah si : j'adore la pochette.
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Une femme trans
Ma première arrestation a été pour possession de marijuana. Je conduisais avec un ami par Farmers Branch, qui est une banlieue de Dallas qui est connue pour le profilage racial. C'est vraiment raciste là-bas. Je suis hispanique et mon ami est Afro-américain, et nous nous sommes arrêtés. Quand j'ai demandé aux flics pourquoi ils m'ont tiré, ils ne m'ont pas donné de raison. Mais ils ont demandé fouiller la voiture. Nous revenions de ramasser de la nourriture chinoise et nous avait deux petits sacs de marijuana que nous venions de ramasser. Les sacs étaient fermé, nous n'avions même pas fumé. Mon ami les a mis sous un lo mein nouilles dans la nourriture. Mais les flics ont fouillé si profondément qu'ils ont même creusé des boîtes de nourriture et j'ai trouvé l'herbe, et j'ai été arrêté. Je ne savais pas à quoi m'attendre. Je n'avais jamais été en prison. Même si je je viens de commencer la transition, j'avais le plus peur de ce qui pourrait arriver moi parce que je suis trans. Quand je suis arrivé à la prison de Lew Sterrett, les officiers du la prison m'a demandé si j'étais gay. Ils avaient un tank homosexuel », et c'est là ils m'ont mis. J'étais en prison pendant environ dix ou quinze jours. J'ai eu la chance d'être le réservoir homosexuel avec une fille qui était en transition. Elle avait été arrêtée pour la prostitution, et elle m'a en quelque sorte pris sous son aile et m'a montré comment y être, quoi faire et quoi ne pas faire. Donc ma première fois en prison n'était pas si mal, mais c'était quand même assez effrayant de ne pas savoir à quoi s'attendre. À la fin de mon adolescence, au début de la vingtaine, j'ai continué la transition. Autre que les hormones, j'ai commencé à subir des modifications corporelles à vingt et vingt et un ans. Quand je sortais dans des clubs, je rencontrais des personnes transsexuelles plus âgées, et c'est là que j'ai rencontré ma marraine, Nikki Calico. Elle m'a regardé et était comme, il y a quelque chose en toi que j'aime, et j'ai toujours voulait une fille. " Nous étions compatibles - je pouvais dire qu'elle était quelqu'un comme moi, qui n'avait tout simplement pas beaucoup d'amis en grandissant. Et elle a aidé moi avec des modifications corporelles, comment féminiser mon visage avec des charges, genre de chose. J'ai pris son nom, Calico, en souvenir d'elle et en appréciation pour tout ce qu'elle m'a appris et fait pour moi. Tu sais gay les gens, nous considérons nos amis comme notre famille. J'ai pris son nom juste pour continuez. Une chose au sujet de la transition est que dans le temps, si vous étiez un transsexuel et est allé postuler pour un emploi régulier et ils savaient qui vous étiez, ils se moquaient de vous. Il y avait donc beaucoup de pression pour se tourner vers escorter. C'était juste quelque chose qui faisait partie du style de vie. Je me suis donc tourné vers ça, et j'en gagnais ma vie. J'étais resté en contact avec la fille que j'avais rencontré en prison, et elle m'a montré comment cela fonctionnait. À cette époque, en 2005, l'ouragan Katrina a frappé. Puis en 2006 le complexe d'appartements où je restais a été utilisé comme maison pour beaucoup de les gens qui ont été expulsés par Katrina. J'ai rencontré un homme qui a été victime de l'ouragan. J'ai commencé à sortir avec lui, en fait. Et il était comme toi nous pourrions gagner de l'argent parce que je connais toutes les réponses les questions qu'ils vous posent lorsque vous appelez pour demander des prestations FEMA. » Il m'a montré comment le faire et j'ai commencé à recevoir des avantages, comme 2 500 $. Je me suis lié avec un de mes amis et je lui en ai parlé. À d'abord, c'était juste censé être, on va avoir une certaine quantité de l'argent ", mais mon ami est devenu gourmand et il a continué et va et il a été pris. Quand il s'est fait prendre, il m'a sniffé. C'est moi qui lui ai montré comment obtenir ces avantages, et j'ai fini par aller en prison pour cela. La police m'a en fait arrêté chez mes parents, quand j'étais avec ma mère. C'était juste après Thanksgiving. L'officier était une femme en civil qui avait une vieille photo de moi et ne savait pas que j'avais fait la transition d'ici là. Elle a dit à ma mère que je lui avais donné mes coordonnées dans un bar! Dit-elle, J'ai essayé de l'appeler, mais pas de réponse », et mon maman est comme, euh, ça n'a aucun sens. Mais elle m'a appelé à la porte, et c'est là que tous ces autres officiers sont entrés et m'ont arrêté. Alors je me suis arrêté et j'ai fini par me lier puis en avoir cinq ans de probation. Mais j'ai continué à fumer de la marijuana, et mes tests arrivaient dos sale. Mon agent de probation m'a prévenu que le prochain sale test, Je retournerais en prison. J'ai donc décidé de courir. Je suis resté à Dallas et je me suis juste arrêté se rapportant à mon agent de libération conditionnelle, ce qui signifiait que j'avais un mandat d'arrestation. J'ai pensé qu'ils finiraient par me rattraper, mais j'ai couru pendant trois ans, et je vraiment tourné vers l'escorte, puis pour subvenir à mes besoins. JE VAIS BATTRE LA BAISE DE VOUS ” J'ai finalement été récupéré à Oklahoma City dans une piqûre fin 2011. J'ai été arrêté pour prostitution. La prison d'Oklahoma La ville était différente de la prison du comté de Dallas. Ils ne savaient pas où pour me mettre - ils n'avaient rien comme le réservoir homosexuel. Ça a pris les six heures pour comprendre s'il faut me mettre du côté masculin ou féminin côté. J'ai été amené à 2 heures du matin et ils ont dû attendre le sergent à 8 heures, 9 heures du matin. Il a demandé: "Avez-vous déjà subi la chirurgie complète?" Et pour faire une longue histoire, ils ont finalement décidé de me mettre cellule unique, en ségrégation. Du côté des hommes. La façon dont les cellules d'isolement sont installées à Oklahoma City, les pods avoir deux étages de cellules, puis au rez-de-chaussée est une sorte de central espace avec tables et chaises pour le coin repas. J'étais au dernier étage, derrière une porte pleine avec une petite fenêtre. Je pourrais regarder par la fenêtre et voir les autres cellules et la salle à manger, mais je n'avais qu'une heure par jour que je pourrais sortir. J'utiliserais ce temps pour prendre une douche. Certaines personnes iraient regarder les cellules des autres à travers leurs fenêtres et leur parler et des trucs comme ça. J'avais beaucoup de gars qui venaient à ma fenêtre juste parce qu'ils étaient si curieux. Ils venaient et disaient: Montre-moi vos seins. " Juste tout ça. Il y avait beaucoup de gars qui venaient ma fenêtre et sois genre, putain de garce de pédé. Si vous sortez du en même temps quand je serai sorti, je te vaincrai. » Mais au moins à Oklahoma City, on pouvait voir d'autres personnes à travers votre fenêtre cellulaire, donc vous n'étiez pas complètement seul. Tu pourrais parler à les gens, et ils n'étaient pas tous effrayants. J'avais même un garde cool. Il a utilisé pour viens à ma fenêtre. C'était un jeune garde. Je suppose que c'était un nouveau employé. Il venait à ma fenêtre et me parlait. Il ne se souciait pas que j'étais transsexuel. Peut-être qu'il avait des parents transsexuels ou peut-être était-il attiré par les transsexuels. Je ne sais pas. Il n'est jamais venu à moi comme ça, mais il était toujours vraiment cool. Il ferait en sorte que chaque fois qu'il était en service, il venait me parler pendant trente, quarante-cinq minutes. Je lisais des livres. Voilà ma chose principale. Mais je lisais, et ne resterait pas dans ma tête. Je lisais tout ce que je pouvais obtenir et je lirait juste pour faire quelque chose. Je lirais le début du journal pour finir, faites les mots croisés, et même lisez tous les encarts. Les inserts étaient comment je me mettrais dans le monde. Voilà comment je garderais mon esprit sain parce que je devenais vraiment fou là-dedans. La Bible a été offerte pour moi là aussi. Je n'avais que le temps de m'asseoir et de dans la Bible. Quand j'allais dans la Bible et lisais, j'étais comme, Non, ce n'est pas moi. Je crois en Dieu, mais je ne crois pas en la Bible. J'ai été seule dans une cellule unique pendant six semaines avant la date du procès. je était en fait en mesure de sortir de cette accusation de prostitution parce que l'arrestation l'officier a fait des choses qu'il n'aurait pas dû - jouer avec mes seins, mettre mon la main sur ses parties intimes. J'ai dit au juge que je pouvais décrire ses soldats. Il était censé se présenter au tribunal, mais avec tout ce qui se passait, il n'a pas montré, donc les accusations ont été abandonnées. TOUT CE QUE VOUS POUVEZ AVOIR SUR VOS BOXERS ET VOS CHAUSSETTES Après que mes charges en Oklahoma aient été abandonnées, j'avais toujours un mandat d'arrêt à Dallas. Les autorités du Texas sont venues et m'ont enchaîné pour me ramener à Dallas pour purger une peine pour mon arrestation pour fraude. J'ai été envoyé à Lew Sterrett pour servir mon temps. J'étais dans le réservoir homosexuel »pendant les trois premiers mois. Puis ils eu un shakedown. C'est là qu'ils entrent et ordonnent à tout le monde de prendre leurs uniformes, pour se déshabiller jusqu'à leurs boxeurs. Tout ce que vous pouvez avoir, c'est vos boxers et vos chaussettes. Mais moi ayant des seins et tout ça, j'ai demandé à l'un des sergents, monsieur, puis-je garder ma chemise? " Parce qu'après vous avoir fait tout enlever, ils vous font sortir de votre réservoir et entrer dans le hall où le les hommes dans tous les autres chars sont. Je ne vais pas sortir, marcher avec mes seins dehors et tout ça. Le sergent m'a dit, ouais, tu peut garder votre chemise. " Lorsque nous sortions en ligne du char, le sergent principal était une femme, une femme afro-américaine. Elle attendait, inspectant tout le monde alors que nous sortions du réservoir. Quand je suis sortie, elle était comme, pourquoi avez-vous une chemise? " J'ai dit, madame, j'ai déjà parlé au autre sergent. J'ai des seins. " Elle était comme, Sortir de la ligne et se lever ici par le mur. " Elle a attendu que tout le monde sorte. Dit-elle, Venez ici." Elle m'a mis dans une pièce avec juste elle. Elle a dit: Prends ton chemise. " J'étais genre, d'accord, mais je veux toujours pouvoir garder ma chemise après vous être assuré que je n'ai rien sur moi, non? " Dit-elle, Laisse-moi te dire quelque chose, salope. Elle a mis son doigt sur mon front. Si vous n'enlevez pas votre chemise de pute, vous êtes toujours un homme. Tu es va toujours être un homme. Tout le monde doit passer sans chemise, ce n'est pas différent pour vous. " Je lui ai dit que je voulais juste mettre ma chemise avant de passer les autres chars, et elle a dit: "Enlevez-le avant Je te masse. " J'ai enlevé ma chemise. Je n'essayais pas de me faire macher. Puis elle a dit, d'accord. Remets ta chemise. Vous devez y aller, saisir votre merde, et foutre le camp. " J'ai demandé, madame, où vais-je? " Elle a dit, ne t'inquiète pas cette." J'ai dit, madame, si vous ne me dites pas où je vais, alors je ne vais pas de ne rien faire parce que j'ai le droit de savoir ce qui se passe. » Elle m'a attrapé et m'a jeté contre le mur. Elle a dit, salope, j'ai dit à ton fagot ass, tu vas suivre mes règles. " Puis elle m'a claqué le mur, et j'ai effacé. Ma première réaction a été de la repousser. J'ai poussé son dos, et elle tomba en arrière et glissa sur le sol. C'est alors que les gardes est venu et m'a attrapé et m'a jeté par terre. Puis ils sont venus me chercher, m'a fait aller chercher mes affaires, puis ils m'ont mis à l'isolement. RED KEPT ME SANE Ils m'ont mise à l'isolement parce que je l'ai poussée, mais elle a réussi il semble que ce soit une garde à vue. Elle sentait que depuis que je ressemblais à une fille et j'avais des seins que je n'appartenais pas dans le réservoir. Attention, le tank est un réservoir homosexuel. Le sergent d'étage a dit: C'est pour votre protection », mais elle disait juste cela pour donner une raison de me mettre en prison. Quand je essayé de faire appel, il a été refusé parce qu'elle a dit que la raison était protectrice garde." Qu'en est-il de ma protection les trois mois que j'ai déjà été là-dedans? Je n'ai eu aucun problème pendant trois mois, alors pourquoi devrais-je avez un problème maintenant? C'est tout l'intérêt du char homosexuel. Ils ne me laissaient pas sortir de l'isolement. j'étais dedans il devient fou. Solitaire à Lew Sterrett était différent de l'Oklahoma Ville. À Oklahoma City, au moins quand vous avez regardé par la fenêtre, vous pourrait voir d'autres personnes, leur parler. Mais à Dallas, la vue sur le la fenêtre de ma porte n'était qu'un mur blanc. En isolement cellulaire à Lew Sterrett, vous avez votre propre douche. C'est ton lit superposé, ta douche, ta petite table. Ils vous apportent un plateau de nourriture à votre porte. Vous êtes donc complètement isolé des autres. La seule chose qui m'a gardé sain d'esprit, c'est que chaque cellule a un évent que le A / C sort par. Chaque évent est connecté à toutes les autres cellules. Le détenu qui était dans la cellule à côté de moi, il avait essentiellement le béguin pour moi parce qu'il m'avait vu y entrer. Il était genre, bébé, je sais ce que tu es. Je sais que tu es transsexuel, mais je vais aider ton séjour ici mieux, et je suis sûr que vous me parlerez rendra le mien meilleur. " Tout ce que je savais, c'était son surnom, Red. Il était en isolement parce qu'il avait beaucoup de tatouages, certains avec des affiliations supposées à des gangs, séminaire Toulouse et donc il a gardé entrer dans des combats de poings et tout ça. Il est allé volontairement à l'isolement donc il ne se battrait pas. Il était donc lui aussi en garde à vue. Je bougeais mon lit, mon tapis par l'évent, et on parlait à travers l'évent. Nous prétendions que nous étions dans le monde libre. Le rouge était comme, d'accord, c'est ce que nous allons faire. Mettez juste dans votre esprit que nous sommes réellement là-bas, et ceci est notre téléphone portable. " Il serait comme, Ring ring ring. " J'étais comme, Bonjour, "comme si je répondais à ma téléphone parce que j'ai commencé à me parler d'être là-dedans. Vingt-trois heures ou peu importe, j'étais là à me questionner même vivre ma vie comme je vis, comme si j'avais vraiment commencé à en douter. Quand Je sors, dois-je essayer d'être un homme? Pourquoi dois-je passer par là? Pourquoi? Pourquoi suis-je en train de vivre ça? Je n'ai rien fait pour mériter ce genre de traitement. je sais que j'ai fait quelque chose d'illégal, mais je suis déjà en prison. Pourquoi suis-je traité encore pire? C'était juste ce type. Si ce n'était pas pour lui, j'aurais devenu complètement fou. J'ai demandé un psychiatre. La seule chose que les psychiatres ont faite quand ils sont venus me parler m'a mis sur Celexa pour la dépression et une autre pilule dont j'oublie le nom. Je ne voulais pas prendre ça médicaments tous les jours parce que je ne voulais pas que mon corps s'y habitue et puis quand je serais sorti, je devrais aussi le prendre tous les jours. J'étais dans cette cellule solitaire pour le reste de mon année à Lew Sterrett, donc neuf mois d'isolement. J'ai continué à faire appel, mais ils ne m'ont pas laissé sortir. Je me parlais beaucoup. Je n'ai pas halluciné, mais j'aurais des conversations avec moi-même. Je me posais des questions et j'y répondais. Alors je revenir en arrière et être comme, non. Red m'entendrait parler à moi-même. Il avait soyez comme, Sonya, à qui êtes-vous là-bas pour parler? " D'un autre côté il y a un autre gars, mais je ne parlerais jamais à l'autre gars. L'autre gars en fait, son esprit était parti. Il pensait qu'il était une personne de la Bible. Chaque jour, je me réveillais et il disait des écritures bibliques. Ouais. Il savait que j'étais transsexuel, donc parfois il prenait sur lui-même d'être comme, vous allez en enfer. Tu vas brûler enfer." Je devrais m'occuper de ça tous les jours. J'ai pensé, oh mon dieu. C'est quand Red disait: n'écoutez pas. Venez ici. Viens me parler." J'avais déjà une routine. Je ferais de l'exercice avant de prendre une douche parce que au moment où je faisais de l'exercice, je transpirais, alors d'accord, L'heure de la douche. J'entendais l'infirmière passer pour apporter les pilules des gens. Je prendrais mes pilules. Quinze minutes plus tard, je suis assommé. Je me réveille à quatre heures du matin. Il y a le petit déjeuner. Obtenez mon plateau de petit déjeuner. Mangez mon petit déjeuner. Retourne te coucher. Réveillez-vous. Je serai dans mon sommeil profond de quatre à 11h, 11h30. Ensuite, ils apportaient le déjeuner. L'heure du déjeuner Je mange mon sandwich. Ils l'appelaient un plateau froid. Chaque jour tu mangerais bologne, pain, fromage, gelée et parfois salade de pâtes. C'est tout journée. La seule fois qu'il change, c'est le dîner. Vous obtenez un repas chaud. Tout là-dedans est fait de soja, donc ce sont des trucs faux. Vous le regardez, et vous pourriez penser, Oh, c'est de la nourriture pour chiens. C'était bruyant. Les gens criaient, donnaient des coups de pied tout le temps. Et je me souviens avoir eu peur quand il était temps de dormir, inquiet que n'importe qui pouvait ouvrir ma porte et venir à moi à tout moment. Ils pourraient ouvrir la porte et appelez-moi pour une infirmière, puis un détenu pourrait marcher par et essayez de me blesser ou quelque chose. Je me sentais comme si je dormais avec un œil ouvert et un œil fermé. Je lis tous les jours le Dallas Morning News d'avant en arrière. A fait le mots croisés. C'était mon seul divertissement. Je pourrais aussi aller dans un gymnase en moi-même pendant une heure par jour. Je me souviens d'avoir été libéré et de descendre le salle, et les gens crachaient par leurs fenêtres, salissant leur propre merde sur eux-mêmes. Ils me verraient et ça pourrait être, putain de pédé. » Ces gens avaient perdu la raison. Je me souviens avoir regardé par les fenêtres et les voir là-dedans, et peut-être qu'ils auraient fait un swing de leur draps et étaient juste enveloppés en se balançant. J'avais peur de devenir comme ça. C'est ce dont j'avais peur, que je finirais par devenir ça. Mais Red m'a gardé sain d'esprit. Il avait lu les listes de restaurants dans le journal. Puis il m'appelait par l'évent. Il était genre, bébé, où allons-nous aller? Nous allons vérifier l'endroit. Ce que tu veux manger? S'habiller. Je vais venir te chercher à sept heures. » alors à sept heures, je l'appellerais - Hé. Il est sept heures. Viens-tu?" Il avait être comme, ouais, je suis sur mon chemin. " Pendant ce temps, le gars dans la cellule de l'autre côté de lui pouvait nous entendre et se moquerait de Red. Tu es un nègre du cul pédé. Tu parles cette chienne. " Le rouge serait comme, je me fiche de ce que vous dites. Je m'en fiche. " Et il me disait: ne les écoute pas. Il suffit de les effacer. " Puis le gars qui ferait toute la Bible, il serait comme, Oh mon Dieu, ce et Dieu que. " Nous avons dû les effacer et continuer. C'ÉTAIT DE LA DISCRIMINATION Ma mère est venue me faire sortir quand j'ai été libérée en 2012, et je suis allée vivre avec elle pendant un certain temps. J'ai été bouleversé lorsque je suis sorti. Il a pris un mois pour que je puisse briser la pensée que les gens étaient me regarder ou qu'ils allaient m'attaquer. Alors je commencerais à me sentir nauséeux comme je veux vomir. Un jour, ma marraine Nikki a pris moi à un endroit appelé Traders Village, qui est comme un marché aux puces, où ils ont des vendeurs à l'extérieur en plein air. Le dimanche, ça devient vraiment super emballé à un point où vous ne pouvez pas vous retourner ou bouger. J'y suis arrivé, et dès que je suis arrivé, j'ai eu l'impression que quelque chose s'est cassé à l'intérieur moi. Nikki a demandé, qu'est-ce qui ne va pas? " Je me sentais vraiment étourdi. J'étais comme, Maman, je ne me sens pas bien »et j'ai commencé à vomir. Elle a dit: faux?" J'ai dit, maman, tu sais que je ne peux pas être avec beaucoup de gens comme cette." J'ai dit: Donnez-moi vos clés. " Je devais aller à la voiture et m'allonger dans le siège avant et assis juste parce que je ne pouvais pas être avec les gens. Ça m'a pris un longtemps pour rompre cela. Quand je vivais avec ma mère, je passais tout mon temps dans mon chambre, juste regarder la télévision. Ma maman serait venue là-haut et aurait dit: Vous devez descendre pour manger. " Je dirais, d'accord, je serai là. " Même alors j'attendrais que tout le monde quitte la table. Ensuite, j'allais manger seul et dépêchez-vous et remontez à l'étage. J'étais comme ça pendant un moment. Et depuis que j'ai quitté la prison, je n'ai jamais lu le journal maintenant parce qu'il rappelle moi trop d'être là-dedans. J'ai rencontré Mlle Nell par mon meilleur ami, Pocahontas. Pocahontas, elle est une avocate transsexuelle à Dallas. Elle m'a fait venir discuter tenue une fois par mois, et Mlle Nell était le conférencier invité. Pocahontas avait je viens au chat parce que je ne voulais pas être avec les gens. Après Je suis sorti de prison, nous avions traîné avec des amis chez elle appartement et je ne pouvais pas être autour d'eux. J'avais une mauvaise anxiété. J'ai commencé vomir parce que je n'avais pas l'habitude d'être encore autour des gens parce que je venait de sortir. Mlle Nell dirige l'Initiative Trans Pride. Après la rencontre Mlle Nell était là et Pocahontas a dit, Mlle Nell, voici mon ami, Sonya, à qui je vous ai dit, a traversé l'isolement cellulaire. Elle vient de sortir sa petite coquille. " Mlle Nell a dit, bébé, j'ai été vouloir vous rencontrer. " Elle a dit, j'ai fait avancer ce truc. » Mlle Nell m'a dit qu'elle travaille beaucoup avec les personnes transgenres incarcérées et leur droits. Qu'elle se bat pour les gens qui sont là-bas, les gens qui ont été victime de discrimination en prison. Ils lui écrivent des lettres, et elle se bat pour eux. Mlle Nell a dit, j'ai cette réunion à venir avec le chef de la prison. Voulez-vous parler devant eux? » J'ai dit, Ouais, "Quand la réunion a eu lieu, je n'ai pas réussi là, mais elle leur a raconté toute mon histoire. En prison, il semblait qu'ils avaient une règle selon laquelle chaque fois que quelqu'un qui est les transgenres entrent, s'ils ont du travail corporel, ils vont automatiquement directement à solitaire. C'était de la discrimination. Les gens ne comprennent pas ça l'isolement cellulaire dérange vraiment la tête des gens. C'est vraiment le cas. j'étais juste assez chanceux pour en sortir quand je suis sorti, mais certaines personnes ne le font pas reprendre ses esprits. Ils restent coincés dans la la land. Apparemment, les chefs des prisons de Dallas ne savaient pas vraiment ce qui se passait. Mais Miss Nell leur a apporté mon histoire et elle a joué un rôle pour faire changer les choses. Mlle Nell est quelqu'un qui fait avancer les choses. Ils ont pu trouver une solution. Maintenant en tant que femme transgenre dans une prison pour hommes, vous avez une option: vous pouvez aller au réservoir homosexuel ou aller à l'isolement. C'est votre choix maintenant. Tu n'as pas besoin d'être traité comme un animal.
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26/03/2020
Notes pour trop tard - Orelsan
Okay, j'avais ton âge y a à peu près ton âge Le passage à l'âge adulte est glissant dans les virages Devenir un homme y a pas d'stage, pas d'rattrapage Maintenant, t'es dans l'grand bain, devine comment on nage T'auras toujours une espèce de rage, envie d'prendre le large D'éclater les types qui jouent d'la guitare sur la plage Comme à chaque fois qu'tu déménages, c'est un monde qui s'écroule Écoute, l'histoire s'écrit en tournant les pages Écoute J'ai pris quelques notesSi t'as l'impression qu'personne te comprend, c'est parce que personne te comprend C'est plus facile à vivre une fois qu't'en es conscient Comment tu peux leur en vouloir? Tu t'comprends pas toi-même Souvent seul avec tes problèmes, souvent, c'est toi l'problème La plupart des conseils d'adultes sont des clichés d'merde Parce qu'ils ont pas compris l'jeu mais ils suivent les règles Alors écoute pas trop tes parents, fais semblant Ils ont pas la science infuse, t'es leur premier enfant Tu perdrais tellement d'temps à batailler Y a des combats qu'tu peux pas gagner, surtout quand tu paies pas l'loyer Fais-toi une raison, y a très peu d'raisons d'foutre la merde Dans sa propre maison, même quand t'as raison Si y a une chose que tu dois pas remettre en question T'es plus intelligent qu'avant mais t'es toujours très con T'es trop sensible, tu vis tout comme une agression Demande à un fou s'il est fou et tu verras c'qu'il t'répond Autre chose que tu dois savoir, tu baiseras pas, c'soir Une fois qu't'auras compris ça, ça t'enlèvera un poids Parce que t'as beaucoup trop la dalle et ça va s'voir Parce que t'es beaucoup trop timide, tu vas beaucoup trop boire Apprends à la fermer, t'auras l'air mystérieux Apprends à t'vendre un peu mieux, tu baiseras dans un mois ou deux C'est toujours le même style de fille dont tu tombes amoureux Tu sais, le style de fille qui t'rend malheureux Donc fais pas la pleureuse le jour où elle t'brise le cœur Sur la longueur, t'économises des pleurs Ensuite, t'auras peur de t'investir, tu t'diras qu'c'est mieux ailleurs qu'chez toi Tu vas rater l'meilleur de c'que t'as déjà En gros, tu couches avec ta meuf en pensant à une autre T'as pas kiffé Tu penses à elle quand tu couches avec l'autre une fois qu'elle t'a quittéeOkay T'empêcheras jamais les gens d'parler Et, comme t'es chelou, y a p't-être moyen qu'les gens veuillent te frapper Tu peux faire des pompes, tu peux apprendre à t'battre Mais même musclé, ça fait toujours mal de prendre une droite Ton cerveau et ton ego fonctionnent à l'envers Plus tu cherches à prouver quelque chose, plus ça fait l'contraire Quand tu dis qu't'as pas peur, c'est qu't'as peur Quand tu dis qu't'as pas mal, c'est qu'tu commences à sentir la douleur Connais ta hauteur, va pas t'surclasser Tu verras, des fois, tu perdras contre des gars qu'tu trouvais nuls à chier Bien sûr, la vie est injuste Si t'aimes pas les lois, sois pas un putain d'juge Ne crois pas les insultes, y a pas d'race pour être un bâtard Pour être un fils de pute, pas besoin d'avoir une daronne sur un trottoir Y a pas d'sexualité pour être un enculé Plus tu réagis, plus on dirait qu'tu t'sens visé, laisse glisser Les meilleures blagues sont les plus méchantes ou les plus bêtes Mais les pires êtres humains sont des losers cruels T'en prends jamais au plus faible, garde les vannes dans un coin d'ta tête Ça rentrera dans un texte, dans un film ou dans un sketch L'école est un calvaire, y a pas grand-chose à faire Arrêter, c'est partir trop tôt dans une autre galère Tèj' ton sac-à-dos en l'air, t'auras l'poids d'la société sur les épaules Un patron, ton père et ta mère Trois-quarts des cours servent à rien Mais les actrices de boule en soient témoins, rien branler fait qu'éloigner la fin Tu dis qu'on verra bien, tu fais l'malin mais t'es fragile Comme le dépistage, tu regrettes à l'examen L'école est un filtre qui rend tout très chiant Comme les films en noir et blanc, le plus dur, c'est d'rentrer dedans C'est plus dur quand t'appréhendes, comme ta première fois J'fais des métaphores sexuelles depuis tout à l'heure parce que tu penses qu'à ça Dis-toi qu'les latinas sont les plus bonnes du monde Écoute en espagnol, dis-toi qu'en chimie tu pourrais faire d'la drogue Arrête d'apprendre par cœur des trucs que t'as pas compris Et, en philo, t'étais pas censé raconter ta vie Ah oui, personne t'oblige à fumer d'la weed En fait, ça marche mieux sur les hyperactifs Être défoncé, c'est même pas la partie qu'tu préfères Quand t'es déchiré, tout c'que tu fais, c'est faire semblant d'être clair La partie qu'tu préfères, c'est partir en bande à Jardiland Voler du bambou et fabriquer un bong T'as juste besoin d'une passion Donc écoute bien les conseillers d'orientation et fais l'opposé d'c'qu'ils diront En gros, tous les trucs où les gens disent "tu perds ton temps" Faut qu'tu t'mettes à fond d'dans et qu'tu t'accroches longtemps Si tu veux faire des films, t'as juste besoin d'un truc qui filme Dire "j'ai pas d'matos ou pas d'contacts", c'est un truc de victime On t'dira d'être premier, jamais d'être heureux Premier, c'est pour ceux qu'ont besoin d'une note, qu'ont pas confiance en eux T'es au moment d'ta vie où tu peux devenir c'que tu veux Le même moment où c'est l'plus dur de savoir c'que tu veux À part traîner avec ta bande Surtout pas rater la dernière rumeur, le dernier truc marrant Honnêtement, tu raterais pas grand-chose si tu partais quatre ans Quoi que, c'est important, fais d'la merde tant qu'il est encore temps Pour pas qu'un jour tu te réveilles à quarante ans Genre "putain, j'vais crever mais j'ai jamais kiffé Ma famille m'empêche de vivre, j'vais devoir les quitter Pour sniffer en boîte de nuit, trouver des gamines à vampiriser" J'en vois plein, donc, petit terroriste, va t'éclater Sors en soirée même si, j'avoue, tu vas t'faire recaler Tu rentreras la semaine prochaine ou l'année d'après D't'façons, t'allais pas baiser, c'soir, si j'dois t'le rappeler Si tu rentres, prends ton ticket d'vestiaire en photo Rends-toi compte que tu sais pas boire, t'es mort trop tôt Quand ça devient une fierté d'te mettre des grandes doses C'est qu'tu t'attaches à pas grand-chose Arrête de flipper, si tu veux, va danser La seule règle sur la piste, c'est fais pas des trucs que t'as jamais tenté Si jamais tu t'endors en premier dans une soirée S'regarder dans la glace, c'est la base dès qu'tu viens d'te leverAu cas où Ça t'évitera d'passer les repas d'famille avec une bite dessinée sur la joue Ces repas d'famille où tu t'ennuies, où on parle très fort Pour dire des choses très banales, déjà, on s'parle et c'est pas mal Les vérités sont compliquées, les clichés sont stables Désolé si y a pas que des experts à ta table Tu bloques sur les défauts des autres, et c'est ton pire défaut La vie, c'est des cycles, c'est pour ça qu'j'retombe sur les mêmes mots Sois pas parano sur qui sont tes vrais amis Y a qu'un seul moyen d'le savoir, laisse le temps faire le tri J'ai jamais regretté d'demander conseil ni d'appeler quelqu'un Souvent, tu crois qu'ils sont chelous, c'est juste qu'ça capte pas très bien La même histoire a plein d'versions La meilleure façon d'sortir d'une embrouille, c'est d'poser des questions Arrête de passer ta vie à fuir, angoissé par l'avenir Parce qu'y a rien à faire pour s'préparer au pire Comme les attentats, les mauvaises nouvelles frappent quand tu t'y attends pas Des proches un peu pressés partiront avant toi Tu verras des gens heureux prendre un appel Leur visage se décompose et rien n'est plus jamais pareil Y a rien à faire, à part être présent Panser les plaies, changer les pansements, le seul remède, c'est l'temps
https://www.youtube.com/watch?v=eUyxCuyxnqo
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PANDÉMIA WALKS - 1
PROLOGUE
J'm'appelle Justine pis je suis sincèrement une marde.
Je sais, j'ai un prénom de bonne tite fille qui a grandi dans la ouate. Pis j'ai 2 noms de famille, bingo - feu d'artifice, l'étiquette 'gosse de riche' me colle à la peau avant même que tu ailles eu le temps de jeter un oeil au CELI de mon père.
Je te les dis pas mes deux noms de famille, t'as rien que ça à faire, aller les taper dans google. Je préfère demeurer une marde anonyme.
Mon but icitte c'est pas de faire un appel à l'aide, guys, je vais bien, je vais semi-bien, je vais correct. J'aurais pu écrire mon journal à la main dans un petit cahier - ma mère aimait don ça m'offrir des tits cahiers, exprime - toi c'est important, qu'elle me répétait tout le temps. Elle avait pas vu venu venir qu'aujourd'hui, tout le monde s'exprimerait sans cesse, à longueur de journée, dans un immense journal collectif rempli de photos que t'as même pas besoin de découper pis coller. Je suis trop lazy pour le scrapbooking, mom. J'aime mieux la société du spectacle.
Je vous le rappelle, parce que ça va être important que vous reteniez cette information-là tout au long de votre lecture : je suis un déchet. Un déchet sympathique, mais un déchet quand même.
Je suis cute, je suis même mangeable - à plusieurs niveaux, plusieurs personnes ont dit ça - j'ai des beaux petits yeux, des beaux petits cheveux. Mes vêtements sont trendy, mes amis sont trendy. Ma job est simili-trendy - en temps normal, là je viens de tomber à zéro revenu comme tout le monde, je travaille comme coordonnatrice dans une boîte qui fait du multimédia. En fait je sais même pas exactement ce que tout le monde fait, au bureau, pis on en parle jamais tellement, parce que c'pas sexe de parler de la job, même à la job. En gros, je travaille avec des informaticiens qui font du code pour créer des événements rassembleurs et technologiquement époustouflants. Autrement dit : je prends les téléphones à l'entrée, parce que j'ai un cousin qui est sur le CA de la boîte.
Ce qui est important de retenir avec ma job, c'est que je vis de paies en paies. Autrement dit, sur le crédit.
Faque Justine, enchanté, pis si j'ai décidé d'écrire un journal c'parce que j'ai de la pression dans le chest depuis 2 semaines, pis que j'ai pas l'ombre d'un début de rhume. Faque je dois ben stresser pour quelque chose.
Ce qui est cool avec la pandémie, c'est que ça te met face à toi-même hein. Je lisais un article sur mon blogue santé préféré ce matin - c'est la seule chose de santé qu'il me reste, j'ai commencé la journée avec un shot de vodka café citron, semi-bon pour la peau, semi-bon pour le foie - qui disait que la pandémie allait redéfinir nos standards pour ce qui est des rencontres amoureuses. Qu'on allait apprendre à mettre nos limites.
Je me suis étouffée dans mon liquide. Wow. Mettre des limites ? J'ai aucune intention de me mettre des limites whatsoever. Faut dire que depuis que je suis célibataire, je rencontre beaucoup de monde, je fais la fête, j'ai du sexe incroyable, pas mal plus incroyable que la meilleure baise que j'aurais pu tirer avec mon ex Hugo, un comptable gentil mais germophobe. (Asti qu'il doit pas tripper en ce moment). J'ai trompé Hugo avec son frère Nico. On est pas dans des bons termes, alors je réfrenne mes élans à prendre contact avec lui. Anyway, faut que je me gère le chest, j'ai des choses à faire, avant de me dédier à sauver les autres, faut que je me sauve moi-même. Le petit masque à oxygène and shit ... comme dans l'avion ...
Anyway. Mon célibat, c'est tout ce qui me restait. Moi je trouve que les apps c'est du génie. Je suis quand même poche et bizarre dans la communication un à un, alors que pour l'écriture, God que je suis sur mon X. Si tu me donnes un cell, je pourrais même séduire une poignée de porte - à condition qu'elle me ghoste pas.
Faque bref, ouin : apprendre à mettre des limites. C't'un peu comme me donner un dare. La situation présente fait que j'ai zéro envie de me mettre des limites. Toutes mes grand-mères sont mortes avant les événements- Dieu ait leur âme, mais c'était pas des belles personnes - fait que là, je suis face à moi-même en maudit. J'ai pas de rêves précis, j'ai pas d'avenir tant que ça, je suis pas tellement une bonne amie non plus. J'ai de la misère à écouter les gens me raconter leur vie, souvent ils finissent par se rendre compte que je me suis parti un petit Netflix pendant qu'ils me jasaient. Je fais super bien à semblant, mais à un moment donné le temps c'est de l'argent.
Ouin. Peut-être pas là, là. Aujourd'hui, demain, la semaine prochaine. Le temps est suspendu, pis ma vie en même temps. Pis en plus de ça, faut que j'apprenne à me mettre des limites ?
Cette idée-là me travaille au corps, à peu près autant que l'envie de me douner. Je vous reviens dans 12 minutes
...
Ok, c'est bon, je suis là, je suis revenue, salut. De quoi on parlait ? Ah oui les limites.
Confession : la semaine passée j'ai volé la boîte Good Food de mes voisins. C'était juste avant les mesures extrêmes du gouvernement. Crisse que j'ai ben mangé ce soir-là. J'entendais la petite brailler à travers le mur, je me suis sentie mal. J'ai réfrigéré les restants, j'ai été sonné à la porte, et j'ai offert du réconfort à Nadine et Fabrice, qui travaillent pu eux autres non plus. J'ai joué 21 minutes aux Playmobils avec Camomille (Camomille !? a braille sans cesse), ce soir-là je me suis couchée avec le sentiment du devoir accompli. Faut dire que, si on revient 2 secondes à ma face, je suis le genre de fille à qui on donnerait le bon Dieu sans confession. Le problème c'est que je le revendrais au Pound Shop pour aller en revirer une avec des gars pas clairs qui se nourrissent à la IPA.
En gros, la limite, dans mon livre à moi, c'est pas à moi de la poser, c'est aux éléments. Par exemple, l'an dernier j'ai été 2 semaines sur le carreau à cause d'une ITSS qui a dégénéré. J'avais quand même le goût de voir du monde. Mais la vie a frappé : bronchite amydalite. Boum. Je crachais et pissais du sang. Je suis donc restée gentiment à la maison en espérant mourir dans cette grande hémorragie. Ce qui n'est pas arrivé, tant pis pour vous.
Je trouve que les gens en général sont tout le temps en train de s'enfarger dans leurs propres limites qu'ils se mettent eux-mêmes. Mes 'amies' de fille - je garde une couple d'amies dans ma garde rapprochée, on sait jamais quand est-ce qu'on pourrait avoir besoin d'une wingwoman - sont tellement engoncées dans les propres limites qu'elles ont placé elles-mêmes partout autour de leur vie, ça me fait halluciner. Ce que je peux manger, ce que je peux lire, ce que je peux boire, ce que je peux dire ou ne pas dire, and so on. Elles sont constamment en train de négocier avec elles-mêmes ce qu'elles peuvent faire ou pas. Tabarnak que c'est plate.
Moi j'ai aucune volonté. J'ai aucune envie d'en avoir non plus. En ce moment, j'ai personne à protéger ou à prendre soin de, mes parents sont en Estrie, pis sont en estie après moi depuis que j'ai manqué Noël. Je leur ai dit pourtant mille fois que je pouvais pas prendre le volant, que oui y'était midi, mais que j'avais déjà trop bu pour ça. Sacrament, mom, quand est-ce que tu vas me le dire que je prends les bonnes décisions ?
Anyhow, aujourd'hui, je contemple l'idée (!) d'aller prendre une marche. C'est la grosse main sur mon chest qui me suggère ça, j'ai aussi un trois et demie fait en carré dans lequel je tourne en rond, pis j'haïs le yoga, partez-moi pas là-dessus. La vie m'a donné une belle petite shape qui s'auto-régule malgré mon mode de vie de vieille ivrogne, faque je me mettrai pas à namaster comme une débile juste parce que y'a UNE PANDÉMIE QUI S'ABAT SUR LA PLANÈTE. Regarde, je suis bonne, j'en place une, limite, icitte, drette là.
Bref, je mets mon coat vintage pis ma tuque rose fluo, je me maquille un brin - on sait jamais quel badeau on pourrait croiser - pis je sors 'prendre l'air'. (autrement dit, chercher le trouble).
.…
Ça fait pas 2 minutes que je descends ma rue que je croise un gars. Quand il me voit je lui souris, y'é quand même cute. Il traverse la rue comme une balle pis y sprinte jusqu'au coin. Super.
Je continue d'avancer. C'est vrai que ça fait du bien de marcher. J'ai mal aux ischions à force d'avoir été assise depuis 10 jours. J'ai presque fini Netflix - je pourrais écouter Tou.Tv, mais je veux finir Netflix pis Crave avant - pis j'ai étiré les restants de la boîte Good Food.
Je tourne le coin et je vois une aînée assise sur un banc. La maudite folle. Juste en la voyant là, j'ai peur pour elle. Pis en même temps, je me dis qu'elle est peut-être comme moi, peut-être elle cherche le trouble.
Je me glisse sur le banc à ses côtés. Elle bouge pas. Elle sourit, et elle a la face face au soleil, les mains sur le ventre. Elle a l'air vraiment bien. Je me prends une petite gorgée - ben non pas d'eau, je me suis fait un petit flasque avant de partir de la maison, rhum and coke.
Le coeur me débat. J'ai pas parlé à personne en vrai depuis un bout - en excluant les caissières de l'épicerie, de la SAQ pis de la SQDC - pis je trouve qu'elle a une bonne vibe, la madame.
- Ça vous dérange-tu si je m'assois à moins d'un mètre de distance ?
- Non.
Bon. J'aurais espéré un peu plus, une jasette quelque chose. À la limite qu'elle m'emmerde avec ses souvenirs d'enfance, de peste pis grippe espagnole, go madame, parlez-moi sti !
Juste au moment ou je pense ça, elle me dit 'J'ai pas le goût de parler'.
Ok. Ça c'est space.
Je me dis que c'est pas la peine d'être bête, que je voulais juste être fine.
'Je suis pas bête, je suis ferme. Pis non, tu voulais pas être fine, t'es pas fine, toi.'
Je me lève d'un bon, le coeur me débat. Comment ça se peut ?
La vieille dame ouvre un oeil. Juste un oeil. As-tu déjà essayé d'ouvrir juste un oeil ? Moi, je trouve ça tof, personnellement. En tout-cas. Là, en ce moment, la moitié de son visage est détendu et méditatif, et l'autre est tendu vers moi.
- Je sais qui tu es.
- Ah bon ?
- Ouin. (elle ferme l'oeil pis elle fait des nons avec sa tête, ben découragée)
- Vous me niaisez. Vous riez de moi vous là.
- Avoue-le, que tu veux me contaminer. M'exterminer.
Là, je recule d'un pas.
- C'est vraiment des accusations gratuites. Je l'ai même pas, le virus.
- Viens me dire que t'es venue t'asseoir là pour une autre raison.
- Bon, j'vas faire un boutte.
- C'est ça ! C'est ça. Fuis encore.
Là, je me sens le rouge qui me monte dans les joues.
- Heille, ça va faire. Si je voulais vous exterminer j'aurais juste à vous donner un petit coup de pied, pis vous seriez faite. Je vous pousse dans la bouette pis je pars en courant. Pis le pire, c'est que c'est vrai que je suis pas fine, je vais ressentir aucun remord. Votre fin approche anyway, vous, pis moi, ma vie commence.
Elle se lève. Debout elle est environ de la même grandeur que moi. J'avais pas bien évalué ça.
Elle siffle, et de derrière un des buildings du Vieux Port, un cheval blanc arrive.
Je te jure.
Une bête hallucinante, comme celui de Gandalf dans Lord of The Rings.
La mâchoire me tombe.
La vieille dame défait son chignon, ses cheveux blancs sont vraiment longs, comme ceux d'un elfe. (Je te jure.)
Elle enfourche sa monture comme si elle avait aucun problème d'arthrite et le cheval se met à tourner autour de moi, de plus en plus vite. J'ai le goût de rire parce que je suis pompette, mais je suis toute seule, y'a vraiment personne pour voir ce qui se passe ou pour me sauver si jamais cette situation très étrange tourne mal. Alors, je ne ris pas, j'essaie juste de me retenir de roter, j'ai le tournis.
La vieille dame a pas l'air si vieille, maintenant que je la regarde comme il faut. Elle a peut-être 45 ans, je sais pas, ça tourne trop vite. Elle se met à rire, et le cheval fonce directement ... sur moi.
...
Je rampe jusqu'à l'appart, en essayant d'éponger le sang qui me coule de la tempe avec ma tuque rose. Assez simple de ne pas croiser de voisins ces jours-ci, mais disons que le coeur me bat dans la tête jusqu'à ce que je mette le pied dans mon appartement. La chance me sourit quand même ... y'a de l'eau chaude, pis j'ai pu me couler un bain, avec un vieux restant de sel d'Epsom. Je suis une personne de piètre qualité, qui oui, possède un bucket de sel d'Espom, c'est pas parce qu'on est des mauvais humains qu'on prend pas soin de nous, même au contraire.
Une fois dans le bain, petit gin tonic à la main, j'essaie de repasser dans ma tête ce qui s'est passé. Depuis le début du confinement, j'ai pris ça pas mal mollo, la life. Là, ce qui vient d'arriver dépasse mon entendement à tellement de niveaux.
Faudrait, j'imagine, que j'entende là un signe. Reste chez toi, Justine, comme tout le monde.
Que je mette la limite.
Criss, je me suis faite piétiner par un cheval, dans Griffintown, je veux dire. Y'a quelque chose dans l'air du temps qui a changé.
C'est pas parce qu'un cheval est blanc qu'il te fait moins mal quand y te piétine tsé. Je me dis que je prendrai plus jamais de marches.
Je m'endors dans le bain, en douleurs ... en me disant que c'est peut-être ben la seule résolution de ma vie que je vais réussir à tenir.
Mais j'en doute. J'ai vraiment mal. Mais quelque chose en moi me dit qu'il faut que je vais devoir retourner prendre des marches. Ma vie est en danger, certes, mais ma curiosité est vraiment triggered.
....
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Chaos Lineage Ruki Chapitre 03
- Flashback du manoir Mukami -
???: Hé! Ne change pas de chaîne tout d’un coup!
???: Mais le spectacle dans lequel je suis sera bientôt. Ah, allez!
???: Hé hé…… Je suis heureux que nous puissions tous regarder ensemble.
Ève?: Je sais, n’est-ce pas? Ah te voilà!
???: Vous n'avez pas vu ça tout à l'heure, n'est-ce pas? Arrêtez de regarder ailleurs!
???: Ah! T’es vraiment énervant!
Ruki: Vous êtes tous si bruyants. Je n'arrive pas à lire comme ça……
- Fin du flashback du manoir Mukami -
- Chambre de Ruki -
Ruki: ……!?
Un rêve……? Pourquoi Ève…… Et qui étaient ces autres gars……?
- Monologue -
Plusieurs jours se sont écoulés depuis mon arrivée au manoir Orange.
Il y a eu un jour où j'ai essayé de me comporter aussi peu que possible hors de l'ordinaire.
Je me suis réveillée et ce que Ruki vient juste de me dire était choquant.
- Fin du monologue -
- Chambre de Yui -
Ruki: À partir de maintenant, tu resteras dans ma chambre.
Yui: H…… Heeeiiin!?
(Qu'il me dise ça tout à coup, alors que je pensais qu'il voulait parler……)
Ruki: Y a-t-il un problème? C’est simplement que tu sera transférée dans la chambre de ton maître.
Yui: Pourquoi cela tout d'un coup……?
Ruki: …… Tu n’as pas besoin de savoir. Allons-y.
*Ruki s’éloigne*
Yui: Ah, attends!
- Chambre de Ruki -
Yui: (Je suis venue ici comme on me l'a demandée, mais son silence me met mal à l'aise……)
(Il a probablement pensé à m'emmener dans sa chambre comme ça, mais il ne m'a pas regardée depuis.)
(Est-ce que garder Ève près de lui signifie qu’il s’équipe contre l’ennemi?)
(Ou plutôt pour me tenir à l’écart d’Ayato et des autres, dont il ne sait pas quand ils pourraient essayer de me sucer?)
(…… Ça pourrait être les deux.)
Ruki: …………
Yui: (Il lit ce livre depuis quelque temps déjà…… Quel genre de livre ça pourrait être?)
(Je pourrais me faire gronder, mais j'ai quelque chose à lui demander……)
Euh…… Ruki?
Ruki: …… Quoi?
Yui: (Bien, il m'a répondu!)
Dis, si ça continue comme ça, tu finiras par te battre avec les autres maisons, non?
Ruki: Plutôt que de nous battre, nous allons nous tuer.
Yui: T-Tuer!?
Ruki: Quoi? Tu penses que nous nous disputerions comme amis?
Il n’y a qu’un seul trône. Lorsqu'il s'agit de se battre pour le trône, cela ne peut que finir dans un bain de sang.
Yui: C’est…… Tuer tes frères, ce n’est pas bien!
Tu ne comprends pas pourquoi il n’est pas nécessaire de se battre avec Kou et les autres si tu me laissais bien t’aider à retrouver tes souvenirs……!
Ruki: Cette histoire à nouveau.
Je suis vraiment mécontent.
Yui: Euh……
*Ruki attrape Yui*
Yui: Kya……!
Ruki: Ton histoire sans valeur est-elle si importante que tu l’as laissée perturber ma lecture?
Yui: (Ah…… cette voix glaçante…… c’est mauvais, mon corps tremble……)
(Si c’est Ruki, il comprendrait, mais on dirait une personne totalement différente……)
Ruki: Qu’y a-t-il? Tu vas jusqu’à être une nuisance pour ton maître, mais tu ne peux pas trouver une excuse? À quoi sert cette bouche, alors?
Yui: (Euh, il me tient la mâchoire……)
Je-Je suis désolée……
Ruki: Il n’est pas nécessaire de s’excuser. Lorsque ton maître te le demande, réponds immédiatement.
Ton histoire a-t-elle une valeur?
Yui: B-Bien……
(Je dois dire que non, sinon il va me faire des choses cruelles! Mais……)
B-Bien sûr…… Il n’est pas nécessaire de…… combattre Kou et les autres.
Ruki: …… Une bouche si sale.
Ah, en parlant de ça…… je ne t’ai pas encore assez discipliné, non?
Yui: …… Hein?
Ruki: Je vais t’apprendre à répondre correctement aux demandes de ton maître.
Yui: C-C'est……! Dire que j'ai commis une erreur——
(…… Ça ne marchera pas, il sera encore plus cruel si je vais contre lui…… )
Ruki: Eh bien. On dirait que tu t’es un peu calmée. Alors, tiens ceci.
Yui: C'est le livre que tu lisais……
Ruki: Essaye de lire à voix haute ce qui est écrit sur la page de gauche. Si tu peux le faire, je te laisserai partir.
Jusque-là, ce sera ta séance de discipline.
Yui: Il y a tellement de lettres……!?
Ruki: Alors, dépêche-toi et fais-le. Si tu ne veux pas que je te vide complètement.
…… *suce*…… Mn ……
Yui: Aah…… Nn ……!
(Il n’y a aucun moyen que je sois capable de lire à voix haute pendant que je me fais sucer……)
Ruki: Qu'est-ce qui ne va pas? Tu n’as même pas lu une ligne.
Yui: L’éradication(?) de ce que nous appelons des « souvenirs » n’existe pas……
En donnant des stimuli aux cellules du cerveau, on peut se souvenir……
Ruki: C’est ça. Continue à lire comme ça. Si tu ne prononces pas les mots comme il faut, tu recommenceras du début.
Yui: Ah……!?
(Il trace ses doigts le long de ma nuque…… et de mes clavicules……)
Mmh……!
Ruki: Quelle expression d'extase! Même si tu te trompes, ne salis pas le livre.
Eh bien, tu as bégayé, il semble donc que tu devras recommencer depuis le début.
Yui: M-Mais…… Ah.
Ruki: De plus, c'est ta punition——
…… Ah …… Mmh …… [Mon dieu, j’ai l’impression d’écrire un texte érotique… O_O’]
Yui: …… Aah……!
(Un livre si difficile…… C’est impossible pour moi de lire doucement……)
(Mais…… ça…… Pourquoi Ruki lit-il un livre à ce sujet……?)
*Un familier arrive*
Yui: (...… Ce son, c’est une chauve-souris?)
Ruki: …… Si ça ce n’est pas échappée belle de la mort. Ce sera tout pour le moment.
Ruki: Oui. Merci pour ton travail.
Yui: Un familier……? Que faisait-il?
Ruki: Recueillir des informations sur les autres manoirs. Comme arrangements préliminaires pour commencer une attaque nous-mêmes, bien sûr.
Yui: (Une attaque, c’est juste……)
*Le familier explique à Ruki que se passe-t-il*
Ruki: …… Je vois. Donc, les deux autres maisons ont également planifié des choses.
Si tel est le cas, procédons en embusquant par l’arrière.
Yui: (Le combat? Il va commencer……?)
(C'est……!)
- Salon/Salle à manger -
*Shin arrive dans le salon/la salle à manger*
Shin: Qu'est-ce qu'il y a, Nii-san?
Ruki: Qu’en est-il d’Ayato et Kanato?
Shin: Ah…… je suis désolé. On dirait qu'ils sont sortis eux-mêmes et, quand j'ai remarqué, ils étaient déjà partis.
Ruki: Alors ils l’ont refait. Bien que je leur ai spécifiquement dit de ne pas……
Shin: C’est correct si nous ne pouvons pas compter sur leurs forces. Parce que je suis ici, ça suffira.
Ruki: Ne surestime pas tes capacités. La fierté ne fera que t’attirer des problèmes. Combien de fois je te l'ai dit? [… Ruki, tu es toi-même arrogant -_-’]
Shin: Oui, je comprends. Et maintenant quoi? Dans ce genre de choses, quelque chose a dû se passer, non?
Ruki: Oui. Les autres maisons ont soudainement commencé à bouger. Grâce à ce qu’un familier m’a raconté, j’ai réussi à obtenir une grande partie de leurs stratégies de guerre.
Cependant, je veux confirmer directement la force physique de nos adversaires.
Shin: Je vois, tu veux éclairer ça. Ce serait dommage qu’on puisse pas se battre, mais si ce sont tes ordres, Nii-san, je t’obéirai.
Yui: (Je suis soulagée…… je pensais qu'ils allaient attaquer, mais ils veulent juste observer.)
Shin: Nii-san, si tu viens avec moi, qu’est-ce qu’on fait avec elle?
Yui: Hein? Moi?
Ruki: …… Ce serait dangereux de la laisser dans le manoir.
Nous n'avons pas le choix, viens avec nous. Mais vraiment, ne fais pas n’importe quoi.
Yui: D-D’accord……
(C’est comme s’ils apportaient avec eux des bagages……)
(Pour ce Ruki, je ne suis qu’un outil——)
(Mais c'est…… triste.)
- Monologue -
Lorsque nous sommes allés dans la forêt, nous avons été divisés en deux groupes.
Les demeures des ennemis étaient proches et la plupart des tâches dangereuses étaient laissées à Shin.
Ruki, me prenant avec lui, s’est dirigé vers l’endroit mentionné par le familier.
Dans la forêt, qui était plongée dans un silence avec une obscurité menaçante, seul le son de nos pas pouvait être entendu.
- Fin du monologue -
- Forêt -
Yui: Euh…… Ruki. Vers quel endroit nous nous dirigeons?
Ruki: D’après les informations du familier, c’est l’endroit où nos adversaires flânent.
Yui: …… Alors, tu dis que quelqu'un pourrait être quelque part par là……?
Ruki: C’est ce que je dis. Arrête la conversation maintenant.
Yui: (Je me demande qui diable pourrait être ici. Peut-être, si c'est Yuma et les autres……)
(Non, ils ne peuvent pas avoir été dans une forêt comme celle-là tout ce temps, pas vrai? De toute façon, nous devons nous assurer que nous ne les croisons pas……)
Ah…… ce son……
Ruki: Garde ton silence…… Il semble qu'il y ait encore des gens ici. Sont-ils venus patrouiller ici juste pour être sûr?
Yui: Ah……
(Ce n’est pas possible…… c'est……!)
Yuma: Hé, hé! Où est-ce que cette force est allée?
Kou: Ugh……!!
Azusa: C’est mauvais…… C’est dangereux de continuer… Kou, allons-y……!
Yui: (C'est……!! Pourquoi, parmi tout ce qui aurait pu arriver, ces trois-là s’affrontent-ils!?)
♝Dire à Ruki de les arrêter [Roses noires]♝
Yui: Ruki, nous devons aller les arrêter!
Ruki: Aller les arrêter? Pourquoi? Tu veux les interrompre entre eux seulement pour te faire tuer?
Yui: Bien sûr que non, mais……
♗Fin des choix♝
Ruki: Bien qu’ils se rapprochent secrètement du manoir Orange, cela semble être un endroit pratique. Nous avons pu observer les deux maisons après tout.
Et à ce moment-là, ils se sont croisés et ont fini par se battre.
Cependant, dans le meilleur des cas, ils se tueront à notre place. C’est ce que nous observerons(?) s’ils continuent comme ça.
Yui: S'ils continuent comme ça? Pour combien de temps?
Ruki: Soit jusque-là…… ou quand ils ne pourront plus bouger. Je veux porter le coup de grâce de mes propres mains.
Yui: Le coup de grâce, c’est……!
Ruki: Bien que nos ennemis s’épuisent entre eux, tu ne penses pas qu’il n’y a aucune autre chance de ce genre?
Yui: …… Nos ennemis, Ruki……
Ruki: Quoi?
Yui: Ruki, même quand tu regardes ça, tu ne ressens rien……?
Yuma, Kou et Azusa se battent avec des épées,…… se blessent……
Même ça, ça ne te rappelle rien……?
Ruki: Ce n'est pas le moment de discuter de tes histoires sans importance.
Yui: (…… Ce n’est pas vrai.)
Yui: ……! Ce son……
Kou: Agh……! C’est quoi, ce pouvoir absurde!?
Azusa: Kou……!!
Yuuma: Hah! Quelle attaque nulle à chier. Pense même pas que tu peux gagner contre moi!
Kou: Ah! Non……!
Yuma: Tu es le premier…… et ensuite on passera au reste.
Azusa: Yuma……! Tu ne peux pas le tuer……!
Yuma: Ah? Tu le protèges? Un lien entre frères, hein? Tu me fais rire.
Azusa: ……!
Yuma: Ça m’importe peu. Que ce soit moi contre un ou deux, ce que je ferai ne changera pas.
Préparez-vous à ce que je vous tue tous les deux à la fois.
*Yuma sort son épée*
Yui: (Ils seront…… tous les deux tués par Yuma!)
Désolé, Ruki. Je ne peux pas rester et regarder malgré tout!
…… Ruki?
Ruki: *Gémissement*……
Yui: Q-Qu'est-ce qui se passe!? Ressaisis-toi!
Ruki: …… Ne fais pas de bruit. C’est juste un vertige.
Yui: M-Mais……
(Cette fois aussi, il a eu le vertige après m’avoir sucée. En quelque sorte, son état semble mauvais……)
Ruki: On dirait que le combat touche à sa fin, n’est-ce pas…… Yuma de la maison Écarlate semble être le gagnant.
Yui: ……!
(Kou et les autres se font lentement coincer! Si l'épée se rabat sur eux, ils vont……)
Ruki: Si Yuma se débarrasse de Kou et d'Azusa, cela nous épargnera du travail……
C'est un développement des plus pratiques pour nous.
Yui: (Cette façon de parler——!)
(…… Hein?)
Ruki……?
Ruki: …… Quoi?
Yui: Je-Je ne fais que dire…… Ruki, pourquoi fais-tu……
(Pourquoi fait-il ce visage tourmenté?)
*Flash rouge*
Ruki: ……!
Yui: ……!
Azusa: Ugh……
Yuma: Je dois admettre que j'admire votre courage de mettre les pieds ici. Alors, eh bien, je suppose que ce sera la fin pour vous.
Azusa: Yuma……
Kou: Même si c’est juste toi, Azusa, cours! Vite!
Azusa: Je ne peux pas faire ça…… je ne peux pas abandonner mon frère……
Kou: Azusa……
Yuma: Dis pas des conneries! Je vais vous tuer tous les deux, ici-même!
Yui: Ah……!
(Ce…… Ce n'est pas bon——!!)
*Ruki protège Azusa et Kou*
Ruki: Ugh!!
Kou: Euh…… Pourquoi……
Yui: (Hein……?)
(Ru…… Ruki!?)
Yuma: Qu… Ruki de la maison Orange!?
Yui: (Ruki a protégé Azusa et les autres……!?)
Yuma: Tu es donc soudainement apparu de nulle part. Quoi qu'il en soit, pourquoi les défends-tu. Hein?
Ruki: …………
Yuma: Hé, ne m'ignore pas. Réponds!
Yui: (Ce n’est pas comme s’il ne répondait pas. Il ne peut pas répondre……)
(Ruki, est-il abasourdi……?)
Ruki: ...… Ne me comprenez pas mal. Ce n’est pas comme si j’étais venu ici pour vous arrêter.
En fait, je pensais que vous vous battiez à la gorge les uns des autres au bon moment(?).
Yuma: C’est donc parce que tu regardais de l’ombre et que tu veux porter le coup de grâce toi-même. Tu me rends malade……
Azusa: ……! Kou, courons maintenant, tant que nous pouvons……
Kou: O-Ouais, faisons-le…… Si Ruki nous attaque aussi, nous aurons encore plus de problèmes. Allons-y!
Azusa: Oui……!
*Azusa et Kou s’enfuient*
Yuma: Ah, attendez! Tch…… Même si j'étais en bonne position.
Ruki: Tu sembles être déçu que je sois ton adversaire.
Yuma: Tu penses ça? Je souhaitais justement pouvoir botter ton cul.
Par contre, à mon dérangement, j'ai été arrêté. On a pas combattu tous les Oranges, je veux dire.
Ruki: …… Je vois. C’est donc l’un des ordres de Reiji de la maison Écarlate. Ça ne te ressemble pas de respecter les règles.
Yuma: Je suis pas comme tes frères. Je ferai ce que mon frère me dit.
Les frères doivent se soutenir, non?
Ruki: …… Frères……
Yuma: Ruki, la prochaine fois que je te vois, je vais te botter le cul. Et puis……
T’es là, n’est-ce pas? Ève!
Yui: (Que……! Il m'a vue!?)
Yuma: Je la prendrai et ramènerai ta tête à la maison avec moi, compris? À plus!
*Yuma s’enfuit*
Yui: (…… Il est parti? Est-ce qu'il vient de nous laisser partir……?)
(Je suis tellement contente…… Nous avons réussi à ce que personne ne soit tuée……)
Ruki: …… *halètement*…… Kh……
Yui: ……! Ruki……!?
*Yui se dirige vers Ruki en courant*
Yui: As-tu encore la tête qui tourne? Hé, je vais te soutenir, mets ton bras autour de mon épaule!
Ruki: Ne fais rien d’inutile…… Tu as l’intention de refuser à nouveau les ordres de ton maître……?
Yui: Mais je ne peux pas te laisser dans cet état!
Et aussi…… pourquoi as-tu sauté devant Yuma comme ça……?
Ruki: …… C'est……
…… *Gémissement*……
Yui: (Pour le moment, je ne devrais pas aller lui poser des questions inutiles. De toute façon, nous devrions rentrer au manoir d’une façon ou d’une autre……)
*Shin apparaît*
Shin: Ah, vous êtes là.
Yui: Shin……!
Shin: J’ai essayé d’aller à des places pour vous rejoindre, mais je n’ai trouvé personne. Vous êtes allés si loin.
Ah, Nii-san, qu’est-ce qui se passe!? T’as pas l’air bien du tout!
*Shin se dirige vers Ruki en courant*
Shin: Pour le moment, je vais te transporter sur mon dos. Dépêchons-nous et retournons au manoir.
Ruki: …… Agh, je suis désolé.
Shin: Et toi, suis de près, d'accord? Si tu t’enfuies, je te pardonnerai pas.
Yui: C’est bon. Je ne ferai rien comme fuir……
(Ruki se sent étourdi…… et, en un instant, il a sauté pour protéger Kou et les autres aussi……)
(Est-il possible que les souvenirs de Ruki reviennent lentement, même s’il s’agit d’un tout petit peu?)
- Monologue -
Ruki, soutenu par Shin, et moi sommes finalement revenus au manoir.
Le vertige de Ruki semblait s’être aggravé plus que je ne le pensais.
Même s’il essayait, je n’obtiendrais pas une expression de lui autre que celle de l’épuisement.
Ayato et Kanato, qui étaient de retour avant que je le sache, ont également été choqués par son état.
Afin de laisser Ruki seul après avoir dit qu'il irait dormir dans sa chambre, je suis retourné dans ma propre chambre ce jour-là.
Mon esprit, devenu chaotique à cause de mon inquiétude et du peu d’anticipation, m’empêchait de bien dormir la nuit.
- Fin du monologue -
♗Fin♝
Le début du chapitre me rappelle de cette fanfiction écrite par @mythicamagic ( ͡° ͜ʖ ͡°)
#Otome#Rejet#Diabolik Lovers#Dialovers#DL#Chaos Lineage#Diabolik Lovers Chaos Lineage Translation#Diabolik Lovers Translation#Chapitre 3#Yui Komori#Ruki Mukami#Shin Tsukinami#Famille Orange#Azusa Mukami#Kou Mukami#Famille Violette#Yuma Mukami#Famille Écarlate
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Ok, j'avais ton âge y'a à peu près ton âge Le passage à l'âge adulte est glissant dans les virages Devenir un homme : y'a pas d'stage, pas d'rattrapage Maintenant, t'es dans l'grand bain, devine comment on nage T'auras toujours une espèce de rage, envie d'prendre le large D'éclater les types qui jouent d'la guitare sur la plage Comme à chaque fois qu'tu déménages, c'est un monde qui s'écroule Écoute, l'histoire s'écrit en tournant les pages Écoute J'ai pris quelques notes Si t'as l'impression qu'personne te comprend, c'est parce que personne te comprend C'est plus facile à vivre une fois qu't'en es conscient Comment tu peux leur en vouloir ? Tu t'comprends pas toi-même Souvent seul avec tes problèmes, souvent, c'est toi l'problème La plupart des conseils d'adultes sont des clichés d'merde Parce qu'ils ont pas compris l'jeu mais ils suivent les règles Alors écoute pas trop tes parents, fais semblant Ils ont pas la science infuse, t'es leur premier enfant Tu perdrais tellement d'temps à batailler Y'a des combats qu'tu peux pas gagner, surtout quand tu paies pas l'loyer Fais-toi une raison, y'a très peu d'raisons d'foutre la merde Dans sa propre maison, même quand t'as raison Si y'a une chose que tu dois pas remettre en question T'es plus intelligent qu'avant mais t'es toujours très con T'es trop sensible, tu vis tout comme une agression Demande à un fou s'il est fou et tu verras c'qu'il t'répond Autre chose que tu dois savoir : tu baiseras pas, c'soir Une fois qu't'auras compris ça, ça t'enlèvera un poids Parce que t'as beaucoup trop la dalle et ça va s'voir Parce que t'es beaucoup trop timide, tu vas beaucoup trop boire Apprends à la fermer, t'auras l'air mystérieux Apprends à t'vendre un peu mieux, tu baiseras dans un mois ou deux C'est toujours le même style de fille dont tu tombes amoureux Tu sais, le style de fille qui t'rend malheureux Donc fais pas la pleureuse le jour où elle t'brise le cœur Sur la longueur, t'économises des pleurs Ensuite, t'auras peur de t'investir, tu t'diras qu'c'est mieux ailleurs Qu'chez toi, tu vas rater l'meilleur de c'que t'as déjà En gros, tu couches avec ta meuf en pensant à une autre T'as pas kiffé Tu penses à elle quand tu couches avec l'autre une fois qu'elle t'a quitté Okay T'empêcheras jamais les gens d'parler Et, comme t'es chelou, y'a p't-être moyen qu'les gens veuillent te frapper Tu peux faire des pompes, tu peux apprendre à t'battre Mais même musclé, ça fait toujours mal de prendre une droite Ton cerveau et ton ego fonctionnent à l'envers Plus tu cherches à prouver quelque chose, plus ça fait l'contraire Quand tu dis qu't'as pas peur, c'est qu't'as peur Quand tu dis qu't'as pas mal, c'est qu'tu commences à sentir la douleur Connais ta hauteur, va pas t'surclasser Tu verras, des fois, tu perdras contre des gars qu'tu trouvais nuls à chier Bien sûr, la vie est injuste Si t'aimes pas les lois, sois pas un putain d'juge Ne crois pas les insultes, y'a pas d'race pour être un bâtard Pour être un fils de pute, pas besoin d'avoir une daronne sur un trottoir Y'a pas d'sexualité pour être un enculé Plus tu réagis, plus on dirait qu'tu t'sens visé, laisse glisser Les meilleures blagues sont les plus méchantes ou les plus bêtes Mais les pires êtres humains sont des losers cruels T'en prends jamais au plus faible, garde les vannes dans un coin d'ta tête Ça rentrera dans un texte, dans un film ou dans un sketch L'école est un calvaire, y'a pas grand-chose à faire Arrêter, c'est partir trop tôt dans une autre galère Tèj' ton sac-à-dos en l'air, t'auras l'poids d'la société sur les épaules Un patron, ton père et ta mère Trois-quarts des cours servent à rien Mais les actrices de boule en soient témoins : rien branler fait qu'éloigner la fin Tu dis qu'on verra bien, tu fais l'malin mais t'es fragile Comme le dépistage, tu regrettes à l'examen L'école est un filtre qui rend tout très chiant Comme les films en noir et blanc : le plus dur, c'est d'rentrer dedans C'est plus dur quand t'appréhendes, comme ta première fois J'fais des métaphores sexuelles depuis tout à l'heure parce que tu penses qu'à ça Dis-toi qu'les latinas sont les plus bonnes du monde Écoute en espagnol, dis-toi qu'en chimie tu pourrais faire d'la drogue Arrête d'apprendre par cœur des trucs que t'as pas compris Et, en philo, t'étais pas censé raconter ta vie Ah oui, personne t'oblige à fumer d'la weed En fait, ça marche mieux sur les hyperactifs Être défoncé, c'est même pas la partie qu'tu préfères Quand t'es déchiré, tout c'que tu fais, c'est faire semblant d'être clair La partie qu'tu préfères, c'est partir en bande à Jardiland Voler du bambou et fabriquer un bang T'as juste besoin d'une passion Donc écoute bien les conseillers d'orientation et fais l'opposé d'c'qu'ils diront En gros, tous les trucs où les gens disent : "Tu perds ton temps" Faut qu'tu t'mettes à fond d'dans et qu'tu t'accroches longtemps Si tu veux faire des films, t'as juste besoin d'un truc qui filme Dire : "J'ai pas d'matos ou pas d'contact", c'est un truc de victime On t'dira d'être premier, jamais d'être heureux Premier, c'est pour ceux qu'ont besoin d'une note, qu'ont pas confiance en eux T'es au moment d'ta vie où tu peux devenir c'que tu veux Le même moment où c'est l'plus dur de savoir c'que tu veux À part traîner avec ta bande Surtout pas rater la dernière rumeur, le dernier truc marrant Honnêtement, tu raterais pas grand-chose si tu partais quatre ans Quoi que, c'est important, fais d'la merde tant qu'il est encore temps Pour pas qu'un jour tu te réveilles à quarante ans Genre : "Putain, j'vais crever mais j'ai jamais kiffé Ma famille m'empêche de vivre, j'vais devoir les quitter Pour sniffer en boîte de nuit, trouver des gamines à vampiriser" J'en vois plein, donc, petit terroriste, va t'éclater Sors en soirée même si, j'avoue, tu vas t'faire recaler Tu rentreras la semaine prochaine ou l'année d'après D't'façons, t'allais pas baiser, c'soir, si j'dois t'le rappeler Si tu rentres, prends ton ticket d'vestiaire en photo Rends-toi compte que tu sais pas boire, t'es mort trop tôt Quand ça devient une fierté d'te mettre des grandes doses C'est qu'tu t'attaches à pas grand-chose Arrête de flipper, si tu veux, va danser La seule règle sur la piste, c'est : fais pas des trucs que t'as jamais tenté Si jamais tu t'endors en premier dans une soirée S'regarder dans la glace, c'est la base dès qu'tu viens d'te lever Au cas où Ça t'évitera d'passer les repas d'famille avec une bite dessinée sur la joue Ces repas d'famille où tu t'ennuies, où on parle très fort Pour dire des choses très banales, déjà, on s'parle et c'est pas mal Les vérités sont compliquées, les clichés sont stables Désolé si y'a pas que des experts à ta table Tu bloques sur les défauts des autres, et c'est ton pire défaut La vie, c'est des cycles, c'est pour ça qu'j'retombe sur les mêmes mots Sois pas parano sur qui sont tes vrais amis Y'a qu'un seul moyen d'le savoir : laisse le temps faire le tri J'ai jamais regretté d'demander conseil ni d'appeler quelqu'un Souvent, tu crois qu'ils sont chelous, c'est juste qu'ça capte pas très bien La même histoire a plein d'versions La meilleure façon d'sortir d'une embrouille, c'est d'poser des questions Arrête de passer ta vie à fuir, angoissé par l'avenir Parce qu'y'a rien à faire pour s'préparer au pire Comme les attentats, les mauvaises nouvelles frappent quand tu t'y attends pas Des proches un peu pressés partiront avant toi Tu verras des gens heureux prendre un appel Leur visage se décompose et rien n'est plus jamais pareil Y'a rien à faire, à part être présent Panser les plaies, changer les pansements, le seul remède, c'est l'temps
Notes pour trop tard - Orelsan
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redour
170319
C'est pas centré, t'es pas centré, centre, sinon t'y vois rien!
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Peur qu'il n'y ait pas de prochaine étape, peur que l'étape présente soit insignifiante, bye bye!
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Le vol
Un Gérard sur son canapé, la porte entrouverte sur le côté ; des voitures à sirènes qui glissent dans les rues ; Gérard de sert du jus de la bouteille qu'il avait apportée et posée par terre; les portières claquent, les portes cèdent ; Gérard ne sait pas parler chinois ; troupeau d'escaliers, souvent filmé mais peu de détails documentés ; une petite pirouette pour s'extirper du canapé parce qu'il est seul, et Gérard va se mettre à la fenêtre ; des cris ; des cris ; on arrive ; il ne les voit pas arriver, il ne voulait pas et il a réussi ; grande pièce déserte ouverte au vent, silence mêlé au son de la télé, un film chinois sois-titré en anglais.
*
Si j'appelais mon père "mon père", je lui manquerais de respect...
190319
Comment obtenir l'horizontalité d'un homme?
Alexis sur le canapé, Robert debout à côté et Salomon devant, plus près de la télé, occupé à rembobiner un cassette avec l'ongle de son index.
210319
Parlé avec Kerman d'un malaise entre nous: ça aide mais je parle encore trop. Parler dans une juste mesure, ne dire que ce qu'il faut, encore un art, tant d'arts à découvrir et à exercer!
*
Les collines de son bras, visibles à la travers la brume gris chiné de son sweat-shirt à capuche quand il se tourne un peu vers l'arrière...
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Alcool, tu ne préviens pas mais tu expliques!
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Lunettes petites lunes
Toilette petite toile
Annette petite Anne
Squelette grand reste.
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Au Z Bar, des néons dehors et dedans et dedans de la fumée des cigarettes et des e-cigarettes, et des nez qui expirent, créent des idées à voir, sur des couleurs à boire; sur les tabourets, des derrières délaissés, la face est allumée et tout passe par là.
220319
Cœur cœur
Peur peur
Sœur meurt
Père et mère
Peur et meurt
Beurre cœur d'heure fleur girl heur jure likör meurt nerf peur queue erreur sœur TER rêveur word qui sort des heures.
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J'ai la grève qui s'assèche, la mer qui se retire et la vague toujours puissante devenant intouchable.
Et si on regarde à côté :
J'ai la bouteille qui monte en flèche, le succès qui m'attire et l'envie maintenant puissante d'être enfin follement stable.
230319
C'est la détresse
Dans mon district
Tu peux pas savoir l'angoisse exacte que je dépicte
La peur me freine
Au fond ça pique
Je peux pas m'asseoir sans un coussin c'est maléfique
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Je lui ai dit " Avec moi tu peux être toi-même, je ne te veux pas de mal " , et j'ai compris que je voulais l'affaiblir. Double erreur: c'est me faire petit et l'entraîner avec moi, alors que son assurance est une avancée que moi-même je lui envie.
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Je voudrais que ma peau réduise pour mon for intérieur l'effet de la gravité.
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Dans les rues ce soir beaucoup de gens crient, et j'ai vu, je viens de voir une petite souris!
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Je fais, j'ai fait, je crois que j'ai fait une bêtise.
Je parle, j'ai parlé, je crois que j'ai parlé un peu trop vite.
Demain je sors, je sortirai, je sortirais bien.
Ce soir je veux, je voudrai, je voudrais bien dormir tôt.
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Je pense donc qu'il y a cette discipline à gagner, celle-là-même qu'avant d'avoir on dénigre. À dire mieux.Jahd et le polyamour, etc.
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Tenter de trouver et de sentir en moi la force répugnante du concombre que certains lui trouvent.
240319
Être à l'article de la mort, c'est être encore un peu là. Bof...
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Je suis un buvard, soit, mais je peux m'exposer activement aux influences au lieu de ne faire que les subir.
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Possiblement méchantes choses pliables et dépliables!
260319
On présente lestement le pied aux marches, puis on les dévale.
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Raté l'avion ce matin, réservé un place pour demain matin. Résultat : une journée de fantôme ici à Berlin!
270319
Un 2 à l'envers dans le miroir me paraît pointu comme un 3.
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La bombe Maman explose lentement... La bombe papa n'explosera pas.
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Une grand-mère russe joue à la mitraillette avec une poignée de valise amovible pour amuser sa petite-fille.
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Jaune sécurité
280319
Une ombre est toute aussi fluide qu'un reflet.
290319
Mon enfance sur les pierres basses et les sols inégaux.
Aigues-Mortes, placette à gauche de la porte côté lycée.
300319
Ce n'est pas parce que la nuit s'étend qu'il faut dormir, qu'il faut dormir plus longtemps.
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Au four ouvert la peau brûle et s'ouvre à taille humaine, tant d'humains les yeux mi-clos à la terrasse du restaurant de l'aéroport, nul autre animal, nul autre animal mort que des poulets frits. Il y a des bouts d'attitude, rien de bien grand et les beautés ne peuvent resplendir, à cause de la masse de gens. Des désirs de voisin voyeur, des haines en combustion spontanée, des absences discrètement fatales. On attend l'heure ou l'appel, qui d'autre nous prendra la place au soleil.
*
Les bébés et les grands enfants qui jouent aux adultes.
Arrête de pleurer, laisse-moi jouer ! Ah bin si, pleure, fais-moi jouer !
*
Le garçon que je regarde se touche lentement le visage, du front jusqu'au dessus de la pommette, et en suivant ce geste des yeux, je comprends comme ce relief m'est étranger, le sentiment d'étrangeté que je ressentirais si c'était mon doigt qui touchait son squelette très-galbé et lisse sous sa peau blanche et très-blonde.
310319
Je ne sais ce qu'est une prairie, ce mot fait partie de ceux que j'ai appris en phrases figées. Emmène un enfant sur le champ à tout ce qu'il ne comprend encore.
*
Pour écrire ces pensées - que j'en aie une au bord de l'esprit ou non - , j'ouvre l'application "Notes" et j'essore une certaine poche pleine et trempée d'idées.
*
Le petit saut dans le vide, après la présentation du skate, des rollers ou de la trottinette au bord du pool.
*
Tu as le goût du chocolat
Dans la bouche
Tu as le sel sur la peau
Depuis que je couche avec toi
Je deviens gros
Je veux manger tout ce que je touche
*
Si mon temps est une ligne, elle est tracée au brushpen de Pentel. Ennuyeuse et régulière mais avec de belles traînées qui l'ouvrent à tout grain. C'est moi qui tiens le stylo et fort d'une maîtrise et d'une inspiration nouvelles je l'ai chargé d'une nouvelle cartouche.
*
Il fait nuit de nouveau. Je n'ai bougé ni parlé, j'ai laissé tomber les ombres maintenant plaquées au sol jusqu'au retour de la lumière naturelle.
*
La prochaine étape: synthétiser encore mieux la poésie (laisser les explications, épurer les phrases), pas pour plaire à Cohen ;-) Voilà le va, et le vient sera (grande prose, pour te plaire, Albert ! ).
020419
Dans le rêve de la nuit passée, un bonbon est une chose multicolore et peut être comestible mais aussi un jouet.
*
Ça y est, il fait jour, il est temps d'apprendre à conduire.
* Je crois que pour l'écriture je m'embourbe dans la création d'un style qui s'envolera bien.
*
Nous manquent les histoires et les chants pour seul autre monde. Pour seules autres dimensions. Pour seules autres limbes.
*
Il fallait redémarrer l'ordinateur
Abandonner les efforts
Ne pas chercher trop loin l'erreur
Pour faire re-fonctionner le port
Saluons les auteurs
De cet article ils sont trop forts
Pour mon genre d'amateur
Vivent les gars du support
Techniques de geeks magiques installateurs
Vous êtes des dieux vos neurones sont de l'or
Je vous avoue que j'ai vraiment eu peur
De ne plus pouvoir brancher mon chargeur !
*
Les phrases que j'dirais jamais si j'les disais pas maintenant: "Si j'avais un gosse, je l'appellerais Anis."
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Caractère
G A M I N. "He said poop ahah!"
James aime ses peluches, se faire entretenir et chouchouter. Bien sûr, c'est parce que ses parents ne lui ont pas donné une enfance heureuse. Alors James rattrape tout, il a du mal. Il va vous spammer de gifs de petit chats et disney pour avoir votre attention. Votre attention, il en a faim. Bordez le avec une peluche dans son kigurumi, chantez lui une berçeuse et il ne râlera pas une seule fois. Il se peut même qu'il sourie en grand. N'initiez pas une partie de chat ou de cache cache pour rire, lui , il dira oui en étant tout à fait sérieux. Batailles de chatouilles, châteaux forts avec des couettes et des coussins, dessins animés, make a happy James.
S E N S I B L E. "Ouch, that hurt."
Il se vexe facilement, avec son besoin d'attention constant. Qu'il ai fait une bêtise, ou blessé quelqu'un, que quelqu'un lui ai dit "je ne t'aime pas", et voilà qu'il sent son petit coeur se briser. James fait semblant d'être un gros dur, mais son coeur est fait de mousse. N'importe qui peut glisser sa main pour le serrer et jouer avec comme une yoga ball. Il a facilement des crush à cause de ça. Et il a la larme facile. On l'appelle Cry Baby ? Bien fait pour lui. C'est plutôt vrai. Relâcher la pression. Parfois il en a besoin quand ça lui fait trop mal au ventre. C'est le genre de gars qui va mal prendre un truc, pleurer, et parfois en vomir. Dans ces cas là, une petite incision derrière son genoux en haut du mollet avec un objet tranchant, et il soupire. La douleur s'en va. Il n'y va pas profond en général, mais ça lui arrive. Quand ça a cicatriser, il dit aux gens que c'est dû à un accident de vélo.
C O L E R I Q U E. "I don't even like you, anyways."
Vexé ? Insulté ? James peut rapidement s'énerver, et quand le flot d'insultes se libère, c'est l'hécatombe. C'est qu'il est inventif, le jeune homme. Et surtout très cru. Il sait où taper pour faire mal, comme il est attentif à ce qu'on lui raconte. Ca ne lui plaît pas ? Il bloque, il ignore, il boude, il crie, il mord, il insulte. Il faut vraiment le pousser pour arriver aux extrêmes, car il garde tout pour lui, mais quand la tempête éclate, éloignez vous. C'est le genre de coléreux qui peut vous lancer une assiette en pleine figure.
C A P R I C I E U X. "Can I have a macaron?"
Il demande, on lui donne. On ne lui donne pas ? Voyez la catégorie précedente. Cela ne viens pas du fait que son père le gâtait, au contraire, mais plutôt les hommes plus vieux, depuis qu'il sort et fréquente le monde de la nuit, à ses 15 ans. Oh la belle petite bouille! Il fait ronron comme un chat, demande avec ses grands yeux bleus, on lui offre. Il est content, ah soyez en sûrs, et reconnaissant. Mais voilà, après il va faire des petits caprices. Donnez lui un doigt, il va vous prendre un bras. Il vous bouffera si vous dîtes oui à tout, et prendra de plus en plus ses aises, comme un gros chat.
L I B I D I N E U X. "You turned the slut switch on."
Boh, il a l'air plutôt innocent avec sa bouille d'enfant, non ? Vous vous êtes trompés. James est vraiment un obsédé. Il accumule les kink, un simple baiser dans le cou peut suffir à le chauffer. La moitié du temps, il pense au cul. Non si vraiment, ça ne se voit qu'en dernière minute. Vous le pensiez vanilla ? Que neni! Et puis il parle vraiment sale quand il a la trique, c'est comme deux personnes différentes lorsqu'il laisse sortir ses pulsions animales. Daddy Kink, Daddy Issues, soumis bdsm, dirty talk, spanking, blood kink. Si on ne le brusque pas au moins une fois, il assume que ce n'était pas un bon coup. Ouvrez la boîte de Pandore à vos risques et périls, car il reviendra chercher son fix si vous êtes à son goût. Attention, il envoie des nudes sans prévenir!
I N T E L L E C T U E L. "But tell me more about it!"
James adore apprendre, mais seulement sur ce qui l'intéresse. Et il s'intéresse à la littérature, au cinéma, à la nature, à la cuisine, aux sérial killers et aux autres cultures. Mais surtout, il s'intéresse à quelques personnes. Les personnes qu'il apprécie. Il voudra tout savoir, petit à petit. S'il vous écoute parler de quelque chose, c'est qu'il n'en sait rien sur le sujet, et vous aime bien. Il se nourris d'informations, sur les sujets qu'il aime, sur les gens qu'il porte dans son coeur, des fun facts, aussi. Ca l'amuse, il adore vraiment ça. Mais si vous lui parlez de quelque chose et refusez de continuer à en parler alors qu'il s'intéresse, il va se frustrer et se fâcher. Come on guys, ça ne se fait pas, dîtes!
P A S S I O N N E. "I love to cook and I love serial killers! And I love you, too."
Quand James aime quelque chose, il peut passer des heures à en parler ou à pratiquer la chose. C'est un passionné. Passionné de quoi ? De pleins de choses! Lancez le sur un sujet qu'il aime et il parle, encore et encore, et ça peut le faire passer pour quelqu'un qui ne parle que de lui, alors qu'en fait, il ne parle que de ce qu'il aime. Et il aime beaucoup, beaucoup. Alors, quand il s'entiche de quelqu'un, il risque d'en parler énormément à son ou sa confidente. Y penser, encore et encore, s'en rendre fou, tout graviter autour de cette personne. Parfois pour rien parce que ça lui passe quand il s'intéresse à autre chose. Mais il aime, il aime énormément, ce James.
C O Q U E T. "Brush my hair, do I look pretty?"
James aime les belles choses, et encore plus sur lui. Autant, pour aller en cours, il porte des vêtements simples, parfois même ample, autant seul chez lui, il va enfiler ses jolis collants, ses sous vêtements en dentelle, ses bijoux, fumer des cigarettes colorées juste parce que c'est beau. Il collectionne les belles choses, aime se maquiller juste pour décorer son joli visage, se vernir les ongles. James se fait souvent des masques, et il est très exigeant sur ses produits: ça sent la rose, ou la framboise, ou rien. Il embaume donc de cette odeur chacuns de ses passages, il se trouve beau, et veux que les autres le voient aussi ainsi.
S O C I A L Y A W K W A R D. "I don't know how to engage the conversation."
Bah, James n'a pas eu beaucoup d'amis pendant son adolescence. Il laissait une distance pour se protéger lui même, ne faisant confiance à personne. Alors, il ne sait pas trop comment se faire des amis. C'est le genre de gars à gêner en demandant cash "tu veux être mon ami?". Imaginez le donc essayer de draguer autrement qu'avec des nudes. Tragique! Il fait des boulettes, s'excuse, pose des questions bêtes, ne sait plus quoi répondre. Une catastrophe! Mais parfois, il n'a besoin d'aucuns efforts pour que le courant passe. Et là, dans ces moments là, il est heureux. Il n'angoisse pas.
O R G U E U I L L E U X :
“Remember when you said I was a slut one month ago? Yeah. Fuck you bitch.”
James peut accorder sa confiance aux gens facilement, seulement, lorsqu'il juge que cette personne est étrange, qu'elle cache quelque chose, ou qu'on la lui fait à l'envers, il devient un vrai petit con. Froid, vous ne remarquerez pas tout de suite qu'il ne vous porte plus dans votre coeur. Il continue de voir ces personnes, étant très sociables, mais aura tendance à ne jamais leurs confier quoi que ce soit, et même parfois se servir d'eux pour parvenir à ses fins. Vous l'avez balancé à quelqu'un, trahis sa confiance, raconté ses confidences ? Vous serez donc maintenant son messager sans le savoir. Il se venge rarement, il voit surtout le côté pratique de la chose et s'en sert à son avantage. Attention cependant à sa vengeance. Rare, elle est puissante, parfois longue, et il arrive toujours à ses fins. Demandez à son père. Il vous le diras..oh.. wait, il est mort en prison!
J U S T I C I E R :
“How can you eat your fucking turkey when the natives aren’t pleased with your thank you? Fucking moron.”
C'est comme ça. James a bon coeur. Et il aime que les gens soient corrects, respectent les autres. Déjà en primaire, il s'était disputé avec son professeur lorsqu'il avait appris les origines de Thanksgiving. Depuis, il refuse catégoriquement de le fêter. Depuis qu'il est out, et qu'il n'as plus à craindre son père, le jeune homme défend aussi avec tout son coeur la cause LGBTQ+ , voulant se rattraper de ses bêtises et surtout, que personne ne vive des expériences similaires à la sienne. Il est contre toutes formes d'injustices, de discrimination, et se fera entendre sans vous laisser parler. Ouvert au débat ? Oui. Mais pas sur ça. Tu as tord, c'est tout, et James te le fais comprendre avec son petit air supérieur et ses grands mots. Parfois, il va trop loin. Et il s'en fiche.
C A L C U L A T E U R :
“Yeah no, go on, I’m listening. Even if I already know what you have to confess.”
James aime énormément tout analyser. Les livres, les films, les enquêtes criminelles, les autres... Croyez le : si James vous fixe longuement et que vous avez l'impression qu'il vois dans votre cerveau et sait tout, les chances sont que oui. Qu'il a deviné quelque chose, et fait le calcul de tout ce qu'il s'est passé pour savoir si il a mis le doigt sur le bon truc ou non. Il n'as pas forcément besoin de ragots, il sait lire entre les lignes. S'il ne dit rien, même s'il vous juge, c'est simplement parce qu'il est blasé de votre attitude, ou bien qu'il attend d'avoir une preuve ou que vous craquiez pour qu'il vous regarde avec un grand sourire froid, vous disant que vous n'êtes qu'une sous merde. Gentil , James ? Avec qui il veut, en vérité. Il est difficile, de plus, pauvre de vous, de savoir s'il fait vraiment attention. Il s'amuse souvent, fait l'idiot, il a l'air de tout prendre à la légère, mais que nenni. Vous avez fait un lapsus révélateur et il a juste ri? Cachez vous, faites attention, parce qu'il l'a noté, et peut le ressortir pour mettre en relation tous vos dires s'il vous soupçonne de quoi que ce soit. James voit tout, et il vous juge. Si vous avez quelque chose à vous reprocher, sachez qu'il vous le reproche depuis longtemps en silence.
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Podcast 5 " Episode 1 Les membres fantômes 1er partie"
Résumé:
Je tien à vous préciser que les personnages appartient à leur propriétaire sauf de Jean, Marc et Alice
Texte du chapitre
Chapitre 1
Arc I Heroes And Stockman! Episode 1
"Episode 1 Les membres fantômes 1er partie"
C'était un samedi après-midi, dans la maison des Pines. Lily fait la vaisselle, Henry lis son journal et Jean regarde sa vidéo sur internet.
Dans la chambre des jumeaux, Mabel jouait avec Dandinou et Sasha, et Dipper lis son livre d’aventure.
« Mabel, tu sais que toi tu as de la chance d’avoir des amis dans cette ville. Alors que moi… » Dit-il quand sa sœur lui coupe la parole.
« Tu as aussi des amis, Dipper »
« Moi ! Des amis ?! Tu plaisante ?! » Dit Dipper en colère « moi avant, je n’ai pas d’amis ! Toi, tu as ton petit cochon, ton petit chat et des amis de notre âge. Alors que moi, j’ai que Jean et ses amis » il ouvrir la porte et le claqua.
Dipper descendit les escaliers et il vit Jean, sa mère et son père qu’ils le regardent.
« Ça va Dip, tu fais une drôle de tête. Est-ce que tu es malade ? » Demanda Jean.
« Je ne suis pas malade, j’ai discuté avec ma sœur c’est tout » dit Dipper à Jean.
Lily s'approcha de son fils « Mason, mon fils. Tu t’es mal comporté à l’école aujourd’hui ? » Demanda-t-elle.
« Non maman je… je n'ai pas fait de bêtise hier » dit Dipper à sa mère « C’est juste une dispute entre moi et Mabel »
« Quel dispute ? » demanda son père.
« Et bien vous voyez… » Il se fait interrompre par un bruit de la porte d’entrée. Lily ouvris
« Oh, bonjour les enfants »
« Bonjour Mme Pines ! » dirent les enfants.
« Est-ce que Mabel est là ? » demanda Brad à Lily.
Dipper regarda sa petite amie April : « Salue Dipper, quoi de neuf »
« Salut Wendy, je veux dire April » dit Dipper à April.
« Tu es sûr que ça va Dip ? » demanda Jean.
« Hé les gars, Dipper à une fiancer » dit Brad. Et tous les autres sauf Mabel qui est descendue les escaliers, ses parent les Podcast et les animaux des Pines se moquèrent de Dipper. Dipper en revanche, se fiche complètement des autres. Mabel interrompis :
« Oh, tu vois Dipper, April est comme Wendy »
« C'est Qui Wendy ? » Demanda April.
« La petite amie de Dip… » Mais Dipper lui met sa main sur sa bouche pour la faire taire.
« Ne l'écoute pas April, c'est des bêtises c’qu’elle dit » dit Dipper à April.
« Alors, tu travail dans la pizzéria ce soir ? » demanda Taketa.
« Non, non non pas aujourd'hui je vais aller chez moi pour regarder des news »
« Ouais ouais tu parles. Les gars, regardez ce que j’ai acheté dans le journal » dit Squeezie.
« Très bien, pendant que vous faites votre cinéma, votre mère et moi on va dans le jardin » dit Henry.
Les parents Pines sortirent dans le jardin pour prendre l’aire.
Tandis que les parents sont dans le jardin, Squeezie ouvris le journal « concours de Chasse aux monstres à Piedmont, qui stipule que quiconque peut trouver des monstres remporte une récompense de 100 000 $ »
« Des monstres en Californie ! » cria Mabel.
« Une récompense de 100 000 $ ! » dit à son tour Brad.
Tous les enfants avaient l'air excités d'entendre ça, sauf April, qui avait l'air inquiet pour une raison quelconque. « Vous n'envisagez pas vraiment de participer à ce concours de monstres, n'est-ce pas ? »
Takeda regarda April « j’ai comme l’impression que tu nous cache quelque chose April »
« Pitié je te l'ai dit, je ne cache rien Takeda » dit April à Takeda.
« Dis Dipper, si tu gagnes 1 000 $, tu vas faire quoi retourner à Gravity Falls ou devenir un aventurier et apprécier April ? » demanda Mabel.
« Hé, si je gagne 1 000$, je pourrais acheter des matériels pour ma chaine youtube ! Ahhhh ! » cria Jean.
« Ouaf, Ouaf ! » cria le chien. Il leur montra quelque chose. Une photo des tortues géante. Ils regardèrent Sara sauf April.
« Ben, comment vous l'expliquer… je les est pris en photo c’est quatre monstres » dit Sara les enfants sourie « mais l’image était floue »
Ils ont râlé.
« Alors, quel genre de plan, quelqu'un ? Sauf Sara » demanda Marc.
Sara sortie dans le jardin pour prendre l'air.
« Voici mon plan, nous allons à pied ce soir pour que nous puissions errer dans la ville à la recherche des monstres. nous porteront une caméra jetable à chaque fois que nous les repérerons, et Jean utilisera sa caméra vidéo » prévit Cassie.
« Moi ! Avec ma caméra ?! » Cria Jean.
« Tu veux rester là et perdre tes 1 000 $ ? » demanda Cassie à Jean.
« Putain ta gagner, Cassie. Je viens avec ma caméscope » dit Jean
Mabel interrompit, « Attendez, j'ai une idée. April, pourquoi n'invites-tu pas tes quatre amis ninjas dont tu nous à parler ? Je pense qu'il est temps que nous rencontrions tes amis pour nous aider dans notre recherche ! »
Dipper, ses amis et les amis de sa sœur supplièrent April d'inviter ses « amis ninjas » pour les aider dans leur recherche.
« mh, euh désolé, ils sont avec leur père pour un tournoi d'arts martiaux, ils seront partis pendant la majeure d’un mois » dit April aux autres tout en transpirant légèrement.
"Mais, ça fait déjà 3 mois, April et nous ne les avons pas encore rencontrés. Qu'est-ce qu’ils font?! » Dit Thomas avec irritation.
« Ils ne sont tout simplement pas très à l'aise de rencontrer de nouvelles personnes ou de se faire de nouveaux amis » dit-elle.
« Alors, tu veux dire qu'ils sont reclus ? » demanda Irving.
"Très bien, mais un de ces jours April, tu vas devoir nous les présenter" Dit Albert avec la légère suspicion. April se calme un peu mais reste inquiet de ce qui les attend.
Mais Thomas se souvient de quelque chose « vous savez, j’ai entendu des rumeurs que ces créatures sortaient la plupart du temps pendant la nuit »
« Vraiment, ça doit être des monstres nocturnes, » dit Brad.
Dans la cuisine, Cassie vit Jean qui prend une canette de coca cola « Tu vas faire quoi ? » demanda Cassie.
« Je vais prendre ma canette et allé dans le jardin avec Sara Murphy » dit Jean.
Plus tard ce soir-là dans les égouts de Piedmont, les tortues examiner les étranges disparitions des personnes.
« Alors, il y avait des mort et des gens changer en mutant, n’est-ce pas ? » Dit Leo au cerveau du groupe.
« Oui » dit Donnie.
« Et alors, qu'est-ce qu'on fait. On ne va pas laissez c’est mutant tuer et kidnappée des gens ! » Dit le leader.
« Franchement, on n’a deux option, soie le baron est malin pour changer les gens en monstres, soie lui et ses sbire foot essayes de volé des matériaux pour les ooze »
Raph et Leo réfléchirent, mais ils choisirent l’option n°1. Car, le baron avait des projets pour transformer des gens en monstres.
« Intéressant » dit Raph en regardant l'écran de son frère le cerveau « attendez, pourquoi je n’ai pas vue ça !? »
« Quoi ! » crièrent Leo et Donnie.
Mikey, quand il avait entendu des cris de ses frère, entra dans le labo de Donnie.
« Qu’es ce qu'il se passe ? » demanda Mikey.
« Les dragons noir ont coopéré avec le clan des foots depuis le début ! » cria Raph.
« Mon dieu mais c'est terrible ! Il faut qu'on appelle April ! » Dit Mikey.
« Non Mikey, elle est avec ses amis pour jouer ou faire leur devoir »
Quelque minute plus tard, les tortues tournaient en rond. Heureusement, Raph avait une idée.
« Les gars j’ai une idée. Ce soir, on va allez tous les trois pour trouver des informations et April va nous enregistré les conversations des dragons noir et des foots. Quant à Donnie, il va rester dans le repère pour examiner le point de rendez-vous »
« Oui c'est une bonne idée, frangin ! » cria Mikey.
« Ok, alors allons’y les ninjas ! »
« Salut les gars » tout de suite, April entra dans la pièce avec un regard inquiet sur son visage.
« April l?! » dit les tortues.
« Qu'est-ce qui ne va pas April ? Pourquoi tu n’es pas avec tes amis ? » demanda Leo.
April soupira, « Les gars, nous avons un problème. Il s'agit en fait de mes amis » dit-elle. April sort alors un journal de son sac à dos et le montre aux tortues.
« Oh mon dieu » dit Léo.
« Oh crotte. » Dit Raph choqué.
« Eh bien, c'est mauvais signe. » Dit Donnie inquiet.
« Cool, il va y avoir une nouvelle pizzeria ! » Mikey excité.
Chacun des frères a levé les yeux au ciel, mais ils sont inquiets du fait qu'il y a maintenant une prime de 100 000 $ sur la tête et que la plupart des gens de Piedmont les chercheront.
April continua « Et apparemment, mes amis participent aussi au concours. »
« Eh bien, cela met un frein au plan. » Raph supposé.
« Je pense que peut-être que vous devriez rester en bas pendant un moment jusqu'à ce que tout cela se termine, suggéra April.
Les Tortues ont considéré que les options de choix étaient faibles et attendaient que la chaleur diminue, mais si elles le faisaient, de plus en plus de gens se feront voler, ou sortirent et risqué de se faire prendre par des caméra ou dans un piège.
« Raph, que tu penses ça devrait être une bonne approche ? » Demanda Léo en espérant demander à son frère.
Hm, même si je crois que la sécurité de la ville devrait être une priorité importante, mais être comme la vipère, restez à l'écart jusqu'à ce que vous devez frapper vos ennemis." Suggéra Raph.
« Donc en gros, faites le contraire de ce que fait Mikey » plaisanta Donnie.
"En termes grossiers oui"
"hé ! " Mikey a dit offensé.
Leo pensa à une autre idée: "hé April, peut-être que tu pourras éloigner tes amis des endroits où nous sommes."
"D'accord, je vais essayer. mais la plupart d'entre eux, sont déterminés à vous trouver, les gars."
Raph intervient, "Alors donne leur de fausses informations sur nos emplacements, et sinon, appeles-nous sur ton portable s'ils sont dans notre région."
"D'accord."
"Super, maintenant bougeons les ninjas !" ordonna Léo.
Les Tortues vont rassembler leurs armes et commencèrent à s'en aller jusqu'à ce que Maître Splinter les arrête.
"Oui, je sens que mes fils peuvent être vus, mais il peut devenir des alliée. »
"Ne vous inquiétez pas maitre, on ne va pas être vu !" dit Mikey sans aucun souci.
"Très bien, maintenant on y va!" Ils traversent l'un des tunnels et commencent à naviguer sur l'une des sorties cachées.
Deux heures plus tard dans la maison des Pines, Mabel prépare son appareil jetable, son cochon, et son chat pour aller à la chasse au monstre. Tandis que Dipper, parla à ses parents.
« Maman je me demandé que moi Dandinou, Mabel, Sasha et moi on va allez dans une pizzeria pour acheter des pizzas et allé dans le parc avec nos amis » mentit Dipper à ses parent.
« Oui pourquoi pas » dit sa mère méfiant.
« Si tu veux mon fils, mais pas 10h du soir et vous est tous à l’heure » dit son père.
Mabel et ses deux animaux descendirent les escaliers et se préparent pour partir à la chasse au monstre.
Dipper, Mabel, Dandinou et Sasha quittèrent la maison pour rejoindre les autres à pied.
Au loin d’eux, ils virent les Podcast, Brad, April et Thomas. Ils coururent vers leur direction.
« Tient » dit Dipper « ou est Kirb ? »
« Il ne vient pas avec nous » dit Jean « il a dit qu’il est un adulte »
« Ah. Ben, ce n'est pas grave, mais bon. On va partir au parc » dit Mabel.
« Et la casserole vient avec nous aussi ? » demanda Brad.
« Ta gueule, putain » dit Squeezie.
Les enfants marchèrent pour aller au parc « Il faut que je vous surveilles pour vous accompagner. J’ai peur que votre parent raconte ce qui s’est passé » dit Jean.
Quelque minute plus tard, ils sont arrivés. « Ok et maintenant ? » demanda Jean.
« Je croie qu’il faut attendre encore un peu » dit April.
« Dis-moi April. Que va tu faire avec cet argent quand tu auras filmé c’est monstres ? » Demanda Thomas.
« Et bien, je vais probablement les apporté à mes amis, enfin ma famille, pour payer un restaurant » dit April.
« Laisse-moi deviner : Pizzeria avec tes amis ninjas ? » demanda Irving.
« Non arrête ! C’est juste… attendez » elle regarda son portable « Oh non »
« Ça va April ? » Demanda Takeda.
« Oui c’est juste… je reviens toute suite » April parti est laissa les autres pour quelque chose « Raph fait toujours l’imbécile. Il faut que je les rejoigne avant que je me fasse griller par les autres » dit April en courant.
Pendant ce temps dans le parc, Raph est tombé dans le toit de la maison.
« Franchement, je suis tombé comme une plaquette de fromage » dit-il.
Donnie s'approcha de lui « Raph, franchement tu devrais aller voir Splinter pour ça.
Dans le parc, Dipper regarda le jetable d'April.
« Les gars ! April avait oublié sa jetable ! » Cria Dipper.
« Je suppose qu'elle avait perdue en route » dit Jean.
« Alors, je devais l’apporté et lui donner sa jetable »
« Et l’embrassé aussi » ajouta Brad.
« Non Brad, tu te trompes. Je vais lui apporter sa jetable et on va piéger les monstre, montrer aux gens et on va devenir très riche » et il partit seul.
« Ne te heurte pas trop, Dipper ! » cria Cassie.
« T'inquiète, il y a April de tout façon ! »
« Et les gars, et si nous l’abandonnerait ? » dit Brad.
« On peut pas abandonner Dipper. Tu imagines s'il ne revient pas, il va se faire manger par des monstres géants » dit Marc.
« Il ne va pas se faire manger, et puis, il y a April pour le protéger » dit Sara.
Soudain, ils entendirent des bruits venant du terrain de jeux.
Ils coururent devant l’entrée et ils virent des créatures avec des dents, qui porter des lames sur leur bras. Ils ne sont pas humains. Ils sont accompagnaient par des humains habiller en noir avec des masque sur la tête.
« Qu'est-ce que c'est que ces créatures ? » demanda Brad.
« Des Tarkatans ? Je ne comprends pas. Pourquoi ils attaquent un cochon géant dans le terrain ? » Demanda Cassie.
Mais ils ne savaient pas encore, qu’ils virent une femme avec un homme qui avait le pouvoir de la pluies.
« Rain et Tanya ?! Mais qu'est-ce qu'ils font ici ? Et pourquoi ils attaquent à un cochon géant qu’il les attaque avec une Canne » pensa Takeda.
« C’est fini Meat Sweat, tu as perdu. Maintenant, suie nous sans faire d’histoire » dit l’homme mystère cacher derrière les hommes aux masque noir. Se dernier marcha devant lui « parles, cochon mutant. Dit-moi comment tu t’es transformé en monstre géant ? »
« Je te le répète : je ne sais pas ! » Cria Meat Sweat.
« Pyronica, à toi de jouer » dit Jean. La créatures apparait derrière un des Tarkatans et lança sa flamme devant lui. Le cochon géant cria de douleur. Mais Mabel, avait vue se visage cette créatures quelque part.
« Mais c'est l'une des amis de Bill Crypto ! » cria Mabel « mais comment elle est arrivée là ?! »
« Tu connais cette créature ? » demanda Brad.
« C'était une créature maléfique ! Elle était avec Bill pendant la bizzarapocalipse ! Je vais m’approchait d’elle ! »
« Mabel non ! Tu vas te faire tuer ! » Cria Alice.
Mais cette dernière ne l’écoute pas. Elle préfère régler cette femme de flamme rose, plutôt de d’attaquer les autres.
« Elle va se faire tuer par les gens si on ne fait rien. Sarah, Alice, Albert et Moketo surveillez les autres. Tandis que Jean, Takeda et moi on va sauver Mabel » expliqua Cassie.
Mabel courue vers Pyronica et elle lui donna le coup de grâce « aie ! Mais qu’est-ce que… » Elle se retourna et vit Mabel « encore toi ? Je te rappelle de toi ! Tu nous as empêchés de faire un monde fou ! Et à cause de ce stupide frère et tes idiots de grand-oncle, j’ai quitté la terre à cause de ton oncle Stan ! Et maintenant, tu vas mourir ici ! » Elle commença à attaquer avec ses poings de flammes, mais Jean barra l’attaque.
« Laissez cette petite fille tranquille ! » et Pyronica leva sa tête et vit Cassie et Takeda attaquer les Tarkatans et les hommes au masque noir. Alors qu’ils attaquèrent les autres pour sauver Meat Sweat, Jean discuta avec la femme pyro « nous devrions, discutait un peu. On est venue vous aidez »
« Jamais ! » et il donna un coup de poing vers le visage de Jean « Les gars, on se barre ! » et elle sauta vers la grille du terrain de jeu. Les autres la suivirent.
Mabel aida Jean a se relever « ça va, Jean ? » demanda-elle.
« Oui, merci » dit-il « c'était qui cette femme rose avec un œil ? »
« Elle était à Gravity Falls »
« Ouah ! Alors, était avec ton oncle pour travailler dans le mysterick shack ? »
« Non tu dis n’importe quoi. En fait, elle était avec Bill Crypto »
« Et c’est qui Bill ? »
« On dirait que ça va prendre trop de temps à expliquer à Jean » pensa Mabel.
Dans la salle de jeux, April arriva enfin au point de RDV « les gars c’est moi, il y a personnes qui me suive ! »
Raph et Mikey sorti de leur cachette « eh bien, April. On dirait que personnes ne ta suivie » dit Raph.
« Bon et maintenant, on fait quoi ? » questionna Léo.
« Je ne sais pas, il faut juste que je trouve un moyen de volé un des jetables des autres avant que quelqu'un vous prend en photo » dit April au tortues.
Mais malheureusement lorsqu’elle à dit, Dipper arriva derrière eux prit de panique « des tortues géantes, il faut que je les prend en photo sans que cette créatures me repère » pensa Dipper. Mais malheureusement quand il les prit en photo, un flash apparait et les tortus ne bougeaient plus.
« C’était quoi » demanda Raph.
« Un flash d’un appareil jetable » dit Léo.
« À votre avis, qui à déclencher le flash ? » demanda Mikey.
« D’après mes calcule, il y a un garçon » dit Donnie.
Dipper prit de panique, courue prévenir les autres. Mais il vit sur son chemin, des personnes avec des habits gris « au secours ! Aidez-moi ! Il y a des tortues géantes qu’ils veulent me manger ! » Mais sans le savoir, c’était les membres des dragons noirs.
Ce dernier avait vu un jetable. Ils sortirent leur couteau « ne t’approche pas de nous, gamin ! » cria l’un des voyous.
Dipper s'arrêta « c'est un vrai cauchemar je dois me réveiller ! »
« Attrapez-le ! Il ne faut surtout pas qu’ils nous prend en photo » dit le chef. Ils coururent devant lui. Dipper prit de panique et ferma les yeux. L’un des voyou essaya de l’agressé, mais il se fait attaquer par Donnie « encore c’est créature. vite ! Pas de cartier tuez-le ! »
« Vous voulez dirent : tuez-les ! » cria ensuite Raph.
Lui et ses frère on commencer à battre con les brute. Une fois leur combat fini, Dipper ouvrit ses yeux et virent quatre ombre « merci beaucoup, vous m’avez sauvé la vie » dit Dipper. Mais quand ces dernières s’approchèrent de lui, Dipper fur paniquait « Vous n’est pas des humain, vous est… DES TORTUS !!! » Cria Dipper.
Dipper commença à courir pour qu’il essaye de sortie du parc. Mais Raph l’empêche de sortir « écoute petit, si tu veux t’en aller chez toi, il faut que tu nous donnes la jetable » dit-il.
« Il, il, il, il, il, il parle la tortue géante » dit Dipper.
Dipper recula pour ne pas se faire manger. Mais Donnie le stoppa « Raph, arrêtes. Excuse le, petit, il va juste prendre la jetable et effacer la photo » dit Donnie.
Je… je…je, je suis perdue » dit Dipper jusqu’à qu’il s’évanouie.
April Arriva à son tour et elle vit que Dipper perd inconscience. « Oh non » dit-elle.
À suivre…
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