#garde de Sa Majesté
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Mouseys - Royal eyes to eye audience
Rejoice! You've been granted an audience with his Majesty.
Uh… What th…? Mouses in my walls!?
At last dear guest, we finally meet.
How… they're clothed!? And all this stuff!
You ruffian, show some respect to the King Rodent!
At ease. Let's talk about rent. I think you're overdue, dear guest.
/* Pencil doodle on A6 Sketchbook - Porte-mine sur carnet A6 */
Réjouissez-vous! Sa Majesté vous accorde la grace d'une audience.
Euh… Qu'est ce que…? Des souris ? Dans mes murs !?
Cher locataire, nous nous rencontrons enfin.
Que… sont toutes habillées !? C'est quoi ce bazar !?
Rustre ! Faites preuves de respect envers notre Roi des Rongeurs !
Repos, garde. Parlons loyer cher locataire, j'ai peur que vous ne soyez un brin en retard de plusieurs échéances.
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Emperor Napoléon V reviews the National Guard and then receives at the Salon des Cerfs
Press Release - His Imperial Majesty, Emperor Napoléon V, received this afternoon the visit of the Mayor of Pierrefonds and the Mayor of Ourscamp. His Majesty discussed many subjects such as culture and education. The Emperor took note of files such as the closing of the school of Ourscamp wanted by the prefect of the region, and promised the mayor his intervention.
L'Empereur Napoléon V passe en revue la Garde Nationale puis reçoit au Salon des Cerfs
Communiqué - Sa Majesté Impériale, l'Empereur Napoléon V, a reçu cet après-midi la visite du maire de Pierrefonds et le maire d'Ourscamp. Sa Majesté s'est entretenue sur de multiples sujets comme la culture ou encore l'éducation. L'Empereur prend connaissance de dossiers tels que la fermeture de l'école d'Ourscamp voulue par le préfet de la région, et promet au maire son intervention.
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Sur Le Misanthrope : Adaptations
Une première mise en scène, datant de 1977, par Pierre Dux (classique)
Casting : Alceste - Georges Descrières, Oronte - Bernard Dheran, Philinte - Michel Duchaussoy, Dubois - Gérard Caillaud, Clitandre - Philippe Rondest, Acaste - Guy Michel, Arsinoé - Bérangère Dautun, Eliante - Dominique Constanza, Célimène - Béatrice Agenin
Costume tout noir pour Descrières, quelques rubans verts qui garnissent l’épaule ; il sera intéressant de noter comment chaque metteur en scène habille son Alceste. Chose étrange, la vue donnée par les fenêtres de chez Célimène ressemble à une vue d’un jardin de Versailles (carrément pas fait au hasard, on vous fait confiance m’sieur Dux). Ô diction naturelle d’un texte classique, mon amour ! J’ai l’impression d’entendre une vraie conversation, c’est magnifique. Un Alceste déjà bien énervé, dans les starting blocks dès le début (j’aime beaucoup le jeu de Descrières), mais qui a une certaine noblesse, une certaine majesté. Intéressant de voir que le costume de Philinte est le même que celui d’Alceste, mais son opposé complet en termes de couleur (rouge vif). On dirait que ce Philinte est le psy d’Alceste, c’est marrant. Psy un peu ferme, car le petit côté misanthrope de Philinte semble ici plus utilisé pour souligner les excès d’Alceste. Pour l’instant je vois l’amitié Alceste/Philinte like two old queens, c’est jouissif pour moi. Bon excusez-moi, les costumes masculins sont tous les mêmes, juste de couleur différentes et plus ou moins ornés. Un Oronte précieux et pétasse à souhait (excellent Bernard Dheran). Philinte qui donne des petits coups de tête approbateurs quand Alceste réussit l’interaction sociale, my autistic king. Potescore à la lecture du sonnet, vraiment mon moment préféré, eux qui se prennent le bec à voix basse mais dont la resting bitch face ressurgit immédiatement telles les fleurs au printemps. Philinte a l’air constamment atterré par son pote, je trouve ça hilarant. Une Célimène MAGNIFIQUE (Béatrice Agenin, quelle belle femme mon dieu), tout en noir, absolument charmante (et qui n’hésite pas à embrasser Alceste dans sa première apparition pour lui donner une preuve de son amour), très ironique, et médisante pétillante. Alceste l’aime, bon dieu, au début d’un amour grognon mais qui garde une certaine tendresse ; sa colère dans l’Acte III après la “trahison” de Célimène est bouillante, mais en sous-main, pas vraiment de grands éclats de voix, une rage plutôt contenue (malgré un poing qui aurait pu partir). Mais ils s’aiment quand même. La grande folle tout en rose c’est bien sûr Acaste (Guy Michel qui ne ménage aucun ridicule), et son acolyte en jaune poussin, Clitandre, plus soft (très bon Philippe Rondest). Eliante (jolie Dominique Constanza) semble prendre un peu après sa cousine dans le ton, mais reste mimi (par contre, un peu plus d’émotion que diable, à certains moments j’avais l’impression de voir jouer une carpe. Avec tout le respect que je lui dois.). Bérangère Dautun est une Arsinoé très méprisante, la voix posée, j’adore. All by myself joue bien fort dans ma tête à la dernière sortie de notre asocial préféré. Je retiens de cette pièce un Alceste assez désillusionné pour garder un certain calme, qui lui confère une aura noble, mais pas assez pour ne pas s’énerver de temps à autre.
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Deuxième version, de 1959, mise en scène (bien sûr classique) de Jean Kerchbron
Casting : Alceste - Renaud Mary, Philinte - Bernard Dheran, Oronte - Jean Le Poulain, Célimène - Françoise Christophe, Eliante - Evelyne Dandry, Acaste - Jacques Ciron, Clitandre - Alain Feydeau, Arsinoé - Malka Ribovska
Caméra qui est le point de vue d’Alceste ??? Innovative ! Surprise de retrouver l’Oronte de la version de 77 en Philinte. Diction pas très naturelle, pet peeve. Perruque ridicule pour Renaud Mary, mais c’est pas sa faute. Mise en scène hyper minimaliste, je suis surpris (agréablement je le concède). Turbopétasse de Le Poulain en Oronte, parfait. Je suis furieusement bisexuel pour la Célimène de Françoise Christophe, hautaine et au rire méprisant jouissif. Turbopétasses derechef avec Clitandre et Acaste, les années 60 n’étaient-elles donc faites que de cela ? Je suis également furieusement bisexuel pour l’Eliante d’Evelyne Dandry, Philinte je vais te piquer ta femme. Même Arsinoé (Malka Ribovska) est MAGNIFIQUE, un joli filon pour les fans de Molière lesbiennes. Dheran est super en Philinte tout doux, monsieur flirtez avec moi svp pour le 14 février. Une bonne vieille interprétation tout ce qu’il y a de plus classique.
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Troisième version, de 2000, mise en scène de Jean-Pierre Miquel (classico-moderne ?)
Casting : Arsinoé - Alberte Aveline, Oronte - Michel Favory, Eliante - Isabelle Gardien, Alceste - Denis Podalydès, Clitandre - Laurent d’Olce, Célimène - Clotilde de Bayser, Philinte - Laurent Natrella, Acaste - Christian Gonon, Le Garde / Dubois - Guillaume Gallienne
Wow, Podalydès avec les cheveux encore très très bruns. Un tout tout petit ruban vert en guise de collier, c’est un Alceste bien mélancolique, comme Podalydès sait faire ce genre de personnage. Je compare avec une autre version dont je parlerais après celle-ci, je sais, mais j’ai l’impression de voir la mise en scène d’Hervieu-Léger en moins bien, les personnages sont placés pareils et rient même parfois aux mêmes moments…Mais il manque la petite étincelle que donnent Corbery et Génovèse dans l’autre version. Non vraiment Podalydès est hyper calme en début de pièce, c’est très bizarre. Guys pick up the fucking pace, ça a pas l’air naturel ni dans l’esprit de la pièce, qu’est-ce que vous faites ??? Et bordel, Natrella, un peu d’émotion merde, j’ai l’impression de voir un ragondin à qui on a filé un texte et un costume de dentelle. Favory, pareil, le ridicule d’Oronte est où ??? Clotilde de Bayser à vingt ans MADAME je suis à vos genoux. Elle est belle, pétillante, souriante, drôle, bref, ma femme. Aussi, serait-ce un lieu commun de foutre Acaste et Clitandre en jaune poussin et rose pétant ? Alceste se réveille un peu à l’Acte II, merci, on attendait que ça. Un tout petit pitchoune Gallienne. Est-ce que c’est aussi un lieu commun de foutre Alceste enserrant de ses bras la taille de Célimène et poser la tête sur ses genoux ? (ça ne me dérange pas, les hommes désespérés on aime ça ici). Un Alceste bien cheum aussi, dont la déclaration “je voudrais qu’aucun ne vous trouvasses aimable” est assez creepy. Wow, Philinte qui fume (*transpose immédiatement ça avec Génovèse et décède promptement par excès de horniness*). Les costumes deviennent hyper sombres à la fin, pas mal. Et Célimène qui reste seule sur scène avant le tomber de rideau ? (dieu quelle femme magnifiquement belle.). Je me suis quand même assez emmerdé, la mise en scène aurait tellement pu être mieux mise en valeur, et les comédiens étaient pas trop au rendez-vous…
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Quatrième et dernière version, de 2019, mise en scène de Clément Hervieu-Léger (une moderne, pour changer)
Casting : Alceste - Loïc Corbery, Philinte - Eric Génovèse, Célimène - Adeline d’Hermy, Eliante - Jennifer Decker (mais j’ai aussi vu Claire de La Rue du Caën), Oronte - Serge Bagdassarian, Arsinoé - Florence Viala, Acaste - Christophe Montenez (mais j’ai aussi vu Clément Hervieu-Léger), Clitandre - Pierre Hancisse (mais j’ai aussi vu Birane Ba), Dubois - Gilles David (mais j’ai aussi vu Christian Gonon)
Comme d’hab je vous ai réservé ma version favorite pour la fin et…j’adore cette mise en scène. Depuis je fais totalement confiance à Hervieu-Léger en matière de direction artistique. Transposée dans un salon d’un appartement haussmannien en emménagement, la pièce reprend un peu de vigueur avec une mise en scène plus contemporaine. Des jeux de lumière, de musique de fond contribuent à l’ambiance et surtout rappellent que la pièce se déroule sur une journée. Mais ce sont d’abord les acteurs qui donnent un nouvel éclairage. C’est la seule fois jusqu’ici où j’ai vu la misanthropie d’Alceste traitée comme une véritable maladie, qui lui fait autant de mal qu’il en fait aux autres. C’est Loïc Corbery (pour moi, un des meilleurs acteurs de sa génération) qui porte cet Alceste blessé, à l’aura de chat mouillé, qui alterne périodes de calme ressentiment avec des explosions de colère stupéfiantes. Je compare avec la reprise de la pièce en 2023 (que j’ai vue hihihi), il a rendu son personnage plus calme par endroits, mais cela fait ressortir toute la violence de ses éclats. Philinte est campé par Eric Génovèse qui donne une douceur indicible à ce personnage ; qui garde cependant une bonne couche de rire devant Alceste et son ridicule, sans pour autant cesser d’agir comme un véritable ami (des petites attentions, l’aide à l’interaction sociale, sa présence presque constante auprès de lui, son inquiétude pour lui, la scène du câlin…LA SCÈNE DU CÂLIN PUTAIN), sans oublier la petite touche de misanthropie inhérente au personnage (et qui le rend complexe). Mention reprise 2023 : il est plus abrasif, plus triste peut-être, plus misanthrope, mais ça relève encore plus les moments de douceur. Célimène (Adeline d’Hermy je vous AIME) est si belle, si pleine de vie, et amoureuse en plus…Le duo qu’elle forme avec Corbery (bouleversants dans l’Acte III) permet de nous rappeler en nous mettant un gros coup de couteau dans le cœur que leur amour restera impossible. Eliante est choupinette outre commune mesure, Philinte sans déconner un jour je vais te piquer ta femme (ou eux deux ? vive la bisexualité). Serge Bagdassarian est un Oronte jouissif par l’interprétation typique et personnelle qu’il donne de ce personnage ; même chose pour Florence Viala en Arsinoé particulièrement âpre ; Acaste et Clitandre, peu importe les interprètes, sont parfaits et confinent aux petits-maîtres quelquefois (même si Hervieu-Léger en Acaste a été la plus pétasse to have ever pétassed). Si les moments de comédie sont là, on oublie surtout pas de nous rappeler que c’est aussi une tragédie, et la fin de la pièce est tellement douce amère…Enfin bref, je pourrais passer des heures à parler de cette mise en scène là, mais mon compte principal est un assez vibrant témoin de mon admiration pour celle-ci.
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Le Royaume de Brièra
Quelques faits sur le Royaume de Brièra
Brièra est une vaste monarchie établie depuis des décennies et l'un des pays les plus développés du monde.
Capitale : Tarrin où se trouve le palais de Willow Creek
Population : 640,064 habitants
Langue : Français
Religion : Catholique
Les couleurs de Brièra sont le rouge et l'or, ses symboles sont l'épis de blé et la fourche. Ces éléments sont présents sur les armureries de la maison Willow et du Royaume.
Gouvernement
Forme de gouvernement : Monarchie moderne, le monarque est désigné de façon héréditaire et partage les pouvoirs avec un conseiller choisi par le peuple.
Chef d'état : Sa majesté le Roi Martin Willow Ier De Brièra.
La maison Willow gouverne Brièra depuis plus d'un siècle.
Brièra est une région verdoyante où se multiplient les lacs, les étangs ainsi que les plantations. Brièra est un mélange de traditions, de grandeur et de discrétion, particulièrement reconnue pour son hospitalité.
Plus grandes villes :
- Tarrin
- Véritas
- Cirrane
Exportations : Brièra est une puissance agricole. C'est le premier exportateur de blé de Simlandia, mais le royaume est surtout célèbre pour son café et son sucre d'une qualité exceptionnelle.
L'histoire de Brièra
Le Royaume de Brièra était très bien établi dans l'ancien monde malgré ses modestes fortunes. Cela n'a pas empêché la terrible épidémie de peste de décimer le peuple comme pour tout les états de Simlandia. La maison Willow était cependant assez respectée pour rester admirée du peuple. Après la mort du Roi Henri VI, qui a succombé à la peste comme une grande partie de son peuple, son fils, le Prince Martin Ier a fait son possible pour limiter l'expansion de la maladie. Brièra a même été le premier Royaume de Simlandia à être débarrassé de ce fléau grâce aux efforts du Prince Martin et de la Garde Royale qui ont interdit les voyages à l'intérieur du pays. Aujourd'hui, le Royaume semble avoir retrouvé la paix, mais est toujours en deuil après la perte de milliers de citoyens. La maison Willow fut elle aussi décimée. Le Prince Martin Ier est le dernier survivant de sa lignée et il porte sur ses épaules le devoir de faire propérer Brièra à nouveau.
Titres et Noblesse :
Roi / Reine : Souverain du Royaume de Brièra, accédant au pouvoir de façon héréditaire.
Roi / Reine Consort : Époux ou épouse du/de la souverain(e) actuel(le), iel ne possède aucun pouvoir mais représente la famille royale et le royaume.
Prince Royal / Princesse Royal : premier enfant né du roi, héritier(e) légitime de la couronne.
Prince / Princesse Consort : Époux ou épouse de l'héritier(e) légitime de la couronne
Prince / Princesse : fils ou fille du roi
Duc / Duchesse : Souverain représentant un des deux duchers de Brièra, généralement un des enfants du Roi et son(sa) conjoint(e)
Marquis / Marquise : Souverain représentant une province de Brièra, généralement un des enfants du Duc et son (sa) conjoint(e)
Comte / Comtesse : Souverain représentant un compté de Brièra, généralement un enfant du Marquis et son/sa conjoint(e).
Baron / Baronne : Souverain représentant une ville de Brièra, généralement un enfant du Comte et son/ sa conjoint(e).
Le Viduc, la Viduchesse, le Vimarquis, la Vimarquise, le Vicomte, la Vicomtesse, le Vibaron et la Vibaronne sont les héritiers légitimes de leurs parents.
Chaque Brièrien ne peut avoir qu'un seul titre de Noblesse, en cas d'union le titre le plus élevé est obtenu, l'ancien titre est accordé au second héritier légitime.
Les terres de Brièra :
Brièra se compose de 2 duchers :
- Merton au nord
- Arkney au sud
Ces duchers se composent de provinces.
Les deux provinces de Merton sont :
- Cappadocia
- Blencalgo
Les deux provinces d'Arkney sont :
- Rochdale
- Sarton
Les provinces sont composés de comté. Vous trouverez à côté des noms des différents comté, la liste de leur villes.
Les comtés de Cappadocia sont :
- Lybster (Starrynesse, Maplelea, Orland, Lornesse, Eastfox, Esterwyn)
- Dalry (Tempiaca, Tarrin, Orton, Vertmere, Morpond, Courtlyn, Elflake, Bridgemarsh, Orbourne)
- Norbury (Greylyn, Deerston, Foxview, Esterdell, Ostcrest, Courtwald, Dorlake, Byrock, Faircliff)
- Kincardine (Esteredge, Dovelirt, Nolden, Durlan, Fardedo, Liros, Pemarlin)
- Mossley (Tyrialia, Rochelle, Dizier, Briancon, Plessis, Saran, Hautmont, Aignan, Robinson, Montmagny, MontBrie)
- Guthram (Cirrane, Soyaux, Haubourdin, Parthenay, Audemer, Gravigny)
Les comtés de Blencalgo sont :
- Limesvilles (Tempiaca, Chevigny, Harnes, Bonneuil, Saverne, Tarascon, Montargis, Longwy, Haubourdin)
- Wimborne (Laon, Férus, Migennes, Brieuc, Brignais, Fosses, Limeil, Brevannes, Tholon)
- Glanchester (Vallons, Colmar, Gennevilliers, Vendôme, Chateaubriant, Lannoy, Torcy, Valreas, Vence, Beauvais)
Les Comtés de Rochdale sont :
- Warcester (Golita, Dole, Bailleul, Marolles, Bicetre, Claye, Biganos, Landiras)
- Azmarin (Véritas, Blois, Chablais, Arnouville, Longeville, Athis, Castelnau, Amilly)
Les compté de Sarton sont :
- Newsham (Fresnes, Bressuire, Courcouronnes, Toulouse, Chimilin, Grasse)
- Transmere (Clanton, Alliance, Ezerton, Hopevale, Glale, Tura, Alomont, Catanzaro, Slison, Alamos, Uvlirie)
- Carningsby (Ninaros, Cornwall, Siena, Avreah, Lourdes, Ginas)
- Kelna (Dothan, Echesa, Granada, Huesca, Luarca, Galena, Ockwood, Faunard)
- Calchester (Kherton, Noyon, Urivale, Compiegnes, Asino, Acedo, Belfort, Relay)
- Narthwich (Hutchinson, Darwin, Onapus, Ashburton, Clihross, Icralo, Mellila, Vracton, Alowood)
#Brièra#Willow House#Maison Willow#sims 4 royalty#sims 4 royal simblr#sims 4 royal legacy#sims 4 royal family#sims 4 royal#sims 4 royal story#sims royal family#sims royal legacy#sims royalty
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Camp NaNo 3
Shirin entra par le fond de la salle, drapée dans un somptueux caftan noir et doré, un shamshir à la ceinture. Une pluie de perles illuminait la nuit de ses tresses et les ailes de la dame de la victoire ornaient sa tiare. Les flammes éclairaient sa peau hâlée, la changeant en statue de bronze. Les femmes gardes à ses côtés portaient des cuirasses rutilantes. Cette garce débordait de vitalité. Tiana n’en revenait toujours pas. Comment avait-elle pu grandir autant ? Elle égalait son père en taille, dépassait Khalid ! Les mauvaises herbes étaient toujours les plus difficiles à éliminer. Puissante et pleine d’assurance, Shirin s’était nourrie de l’adversité. Les rejets, les brimades, les machinations et les tentatives d’assassinat n’avaient fait que la renforcer.
Le roi se leva alors et invita la princesse à le rejoindre, les bras généreusement ouverts.
- Bienvenue à ma fille victorieuse, la fierté de ma lignée, rugit-il alors. Elle a ramené la paix dans les provinces de l’Est et tout Almyra est témoin de sa gloire. Qui ose encore douter qu’elle soit de mon sang ? Que nul ne cherche plus à la calomnier ! La princesse Shirin est une véritable lionne et tous les guerriers ici présents doivent prendre exemple sur elle !
Un tonnerre d’acclamations remonta de l’assemblée. Shirin eut un sourire goguenard. Tiana résista à la tentation de le lui faire passer en s’agrippant de toutes ses forces aux accoudoirs.
-En récompense pour son mérite, je lui confère le titre de “princesse-commandeure” et lui confie un régiment supplémentaire d’immortels.
-Merci Votre Majesté. Vos ennemis tomberont sous ma lame et mes flèches. Buvons tous à la paix retrouvée ! Proclama Shirin.
La princesse prit place à leurs côtés, dissimulant ses vrais sentiments sous son masque. Jouer la fille dévouée lui répugnait. Cet homme avait rejeté sa mère comme une moins que rien après avoir joué avec elle. Elle n’avait pas oublié la négligence, la solitude et les punitions. Il ne l’avait gardée que pour avoir un autre hériter sous la main et la mettre en compétition avec son fils. Maintenant que Khalid était parti, il daignait enfin se souvenir de son existence. Shirin était soudain devenue sa fille préférée.
C’était grotesque, comme toute cette famille. Des poignards se dissimulaient derrière chaque sourire, les murs du palais dégoulinaient de venin. Shirin contempla le trône et se promit de s’y asseoir un jour. Bientôt, elle n’aurait plus à ramper. Sa marâtre fulminait de son côté sans parvenir à se dissimuler. Voilà qui était au moins divertissant au milieu de cette comédie ridicule.
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D.ieu Extraordinaire
Extraordinaire univers 26/11/2024
Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains… Psaume 8.4
En regardant un ciel étoilé, que ressentez-vous ? David, roi d’Israël et auteur de plusieurs psaumes, s’émerveillait : Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, la lune et les étoiles que tu as créés, qu’est-ce que l’homme pour que tu te souviennes de lui ?
Pour lui, l’univers avait bien un Créateur ; tout ce qui existe n’était pas le fruit du hasard. Il savait que sa vie ne pouvait venir que de Dieu. C’est pourquoi il affirme : Éternel, c’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère…¹ Et dans un autre psaume : Dès le sein maternel, tu as été mon Dieu ².
David reconnaît aussi que l’être humain a un statut exceptionnel, ayant été fait de peu inférieur à Dieu qui l’a créé à son image³. Voilà l’extraordinaire révélation que nous donne la Bible. Dieu ne nous abandonne pas à notre sort. Qu’est-ce que l’homme pour que tu te souviennes de lui ? Dieu s’intéresse à nous, personnellement. Si nous lui faisons confiance, il prendra soin de nous. David fut conscient de la présence de Dieu tout au long de sa vie.
Comme lui, reconnaissons notre Créateur pour être au bénéfice de sa grâce et du salut qu’il nous a acquis en Jésus-Christ.
Yves Perrier
¹ Psaume 139.13 ² Psaume 22.10-11 ³ Genèse 1.27
__________________ Lecture proposée : Psaume 8.
La gloire de Dieu dans la création
1 Au chef des chantres. Sur la guitthith. Psaume de David. 2 Éternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Ta majesté s’élève au-dessus des cieux. 3 Par la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle Tu as fondé ta gloire, pour confondre tes adversaires, Pour imposer silence à l’ennemi et au vindicatif. 4 Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, La lune et les étoiles que tu as créées : 5 Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? 6 Tu l’as fait de peu inférieur à Dieu, Et tu l’as couronné de gloire et de magnificence. 7 Tu lui as donné la domination sur les œuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds, 8 Les brebis comme les bœufs, Et les animaux des champs, 9 Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, Tout ce qui parcourt les sentiers des mers. 10 Éternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre !
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La Gare de Metz, un chef-d'œuvre néo-roman de l'époque allemande
Située Place du Général de Gaulle à Metz, la gare ferroviaire se dresse comme l'élément central et le bâtiment le plus représentatif du côté "Nouvelle Ville allemande" de la cité. Construite entre 1904 et 1908, cette majestueuse bâtisse a été conçue dans le style néo-roman rhénan, évoquant l'héritage architectural du Saint-Empire romain germanique.
Commandée sous le règne de l'Empereur Guillaume II, la Gare de Metz n'a pas été envisagée comme un simple pôle de transport fonctionnel, mais aussi comme un grand monument à l'ambition impériale allemande. Les volumes dissymétriques de la gare et ses éléments décoratifs ornés - de la nef-like de la concession des voyageurs à l'amalgame d'horloge et d'architecture défensive médiévale de la tour - servent tous à projeter un sens de la puissance teutonne et de la continuité culturelle.
Les fondations de la gare, renforcées par plus de 3000 pieux en béton armé, témoignent du savoir-faire technique de l'époque. Des innovations comme l'électricité, le chauffage central et les systèmes de ventilation ont également été intégrées dans la conception. Sur le plan esthétique, la structure s'inspire largement du style néo-roman, avec des bossages, des arcades en plein cintre et des chapiteaux cubiques évoquant le langage architectural du Saint-Empire romain germanique.
Les allégories symboliques abondent, des figures d'Alsace et de Lorraine aux représentations des forces armées et de la puissance industrielle. Le grand Salon Impérial, avec son plafond voûté en bois et sa fenêtre de Charlemagne, a été conçu pour impressionner les visiteurs par la majesté de l'État allemand. Même la tour de l'horloge de la gare, évoquant à la fois des motifs ecclésiastiques et défensifs, servait de déclaration visuelle de précision, de puissance et de modernité.
Aujourd'hui, la Gare de Metz continue de se dresser comme un remarquable monument du passé allemand de la ville. Sa grandeur néo-romane perdure comme un lien tangible avec l'ère des ambitions impériales de Guillaume II et les ambitieux projets de renouvellement urbain qui ont remodelé Metz pendant la période de l'annexion allemande.
La gare est l'élément-clé de la Nouvelle Ville allemande. Elle en constitue le point central et l'édifice le plus représentatif. Elle est construite entre 1904 et 1908 dans le style néo-roman rhénan, afin de rappeler le style roman qui eut un grand succès dans le Saint-Empire romain germanique. Elle apparaît comme le seul grand exemple de ce style en France.
Elle est édifiée pour le transport des marchandises et des civils mais également, dans un but stratégique, pour déplacer le plus de soldats possible en un minimum de temps. Un concours est lancé en 1901 et remporté par l'architecte allemand Jürgen Kröger. Il est assisté de Jürgen Bachmann et de Peter Jürgensen. Toutes les techniques d'avant-garde de ce début de XXe siècle sont employées : électricité, chauffage central, ventilation et béton armé. La gare se situant sur un terrain meuble, à l'emplacement d'une partie des anciens remparts et fossés de la ville, ses fondations sont renforcées par plus de 3 000 pieux en béton armé. Comme toutes ses contemporaines, elle est équipée de charpentes métalliques.
La gare est un immense édifice, qui s'étend sur plus de trois cents mètres. Les dissymétries et les nombreux décrochements permettent de distinguer les différentes structures. Situé en avant, le bâtiment de départ des voyageurs attire le regard. Son plan, son ornementation et sa tour rappellent une nef d'église. La tour fait à la fois penser à un clocher et à un ouvrage défensif. Par son horloge, elle évoque la puissance, la rapidité, la ponctualité, et est le symbole des gares de la fin du XIXe siècle. Mais elle est relativement massive et possède un chemin de ronde, faisant alors penser aux tours médiévales. Elle est ornée d'une statue d'angle dont le personnage a changé d'identité et d'attributs au fil des rattachements à l'Allemagne et à la France. Sur l'ensemble de la gare, tout le répertoire décoratif et architectonique de l'époque médiévale est utilisé, en étant revu par le romantisme du XIXe siècle : bossages et arcatures rampantes, arcs en plein cintre, chapiteaux cubiques. L'ornementation évoque à de nombreuses reprises le Saint-Empire romain germanique, Charlemagne et les peuples germains, le but étant d'inscrire l'empire de Guillaume II dans la continuité de cette histoire. Sur les côtés du hall des départs se trouvent deux allégories de l'Alsace et de la Lorraine, rappelant leur récente réunion au Reich.
À droite, un ensemble de cinq petits bâtiments, constitués par des couloirs et des buffets, relie le hall des départs à celui des arrivées. La structure d'arrivée se détache et ressemble à un palais, avec son balcon, son salon d'honneur et sa galerie ajourée ornée de colonnes. Des allégories de la Force armée et de la Force pacifique, représentées respectivement par un homme armé et par une femme tissant de la laine, sont adossées au blason de la ville, qui remplace l'aigle impériale autrefois représenté. Deux allégories de la Mine et de la Sidérurgie montrent la puissance économique de la Lorraine tandis que des chapiteaux montrent, par différents moyens de transports, la politique expansionniste de l'Empire allemand. De nombreuses silhouettes représentent toutes les classes de personnes et les différents métiers de la gare.
L'intérieur de la gare possède lui aussi une riche ornementation, médiévale et germanique. Le hall des départs est couvert d'une immense voûte en berceau décorée de motifs floraux et de rubans en stuc. Les murs sont animés d'arcades et de baies géminées comportant des chapiteaux cubiques au décor varié. Son plan suit un objectif fonctionnel puisque la grande travée centrale regroupe tous les services, disposés de part et d'autre. On trouve également des salles d'attentes, différenciées selon les classes des voyageurs. Celle de la première et de la seconde classe est décorée d'une fresque représentant une vue de Metz. Dans le hall des arrivées, l'accès au salon impérial est scénographié de façon théâtrale : on passe d'un espace relativement sombre et aux voûtes basses à un espace haut et clair. Un fronton sculpté en bas-relief représente la porte des Allemands.
Le salon impérial, enfin, est une vaste salle, éclairée par de larges baies. Au fond, un vitrail représente Charlemagne assis en majesté, tel que peuvent l'être Dieu ou Jésus dans une représentation médiévale. Le vitrail qui lui fait face comportait à l'origine l'aigle impériale. La salle possède un plafond de bois en bateau renversé ainsi qu'une cheminée de style médiéval. Une petite antichambre jouxte le salon, dans une ambiance plus intimiste. Son balcon donne sur la place du général de Gaulle et permet une vue sur le triangle impérial.
La gare, construite sous la volonté de Guillaume II, est un édifice majestueux. Édifiée pendant l'Annexion, elle a un rôle utilitaire mais également de propagande, qui ressort dans le style architectural employé et dans son ornementation. Aujourd'hui encore, elle est le symbole de cette période historique et des grands travaux urbanistiques réalisés par les Allemands.
Houda BELABD
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L'amie protectrice
Vous ne croyez pas que je puisse être la vraie patronne dans cette maison ? Vous pensez que le maitre est nécessairement l’homme ou, à défaut, une femme. Eh bien! Venez chez moi. Nous allons revoir votre éducation.
D’accord. Le lieu est assez modeste. On n’est plus à l’époque des châteaux. Il faut être de son temps. Cela dit, nous habitons tout de même une maison ancienne. Sombre et isolée à souhait. Elle est cachée derrière un épais massif d’arbres matures. Les grands arbres nous protègent autant des regards des curieux que du soleil. Ils m’offrent aussi d’excellents postes de guet. De là, ou de la rambarde de la véranda, je veille sur le domaine. Personne n’entre dans ma maison sans que je le sache.
Légalement, le proprio ici c’est Ténébrius. Ce n’est peut-être pas le nom qu’il a reçu à la naissance, mais c’est comme ça que je l’appelle. Et ça lui va bien. C’est un grand mince qui ne sort que la nuit, toujours vêtu en noir, avec, quelques fois, une tache de rouge sur la poitrine. Moi, j’ai une vraie robe noire naturelle. C’est pour cela que je m’appelle Ténébra. En fait, c’est le nom que je me suis choisi. À tout le moins, c’est à ce nom-là que j’accepte de répondre. Voilà pour les présentations. C’est moi qui ai décidé de nos noms et Ténébrius n’a eu d’autre choix que d’y consentir. C’est comme cela. Vivre avec moi vient avec certaines exigences.
Ténébrius est timide, solitaire et il manque de confiance en lui-même. Avec son allure néogothique, il essaie de se sonner de la prestance. Il répète souvent qu’il est un descendant d’un comte qui fut célèbre en son temps. Mais c’était il y a longtemps. Malheureusement, on doit croire qu’il ne reste plus grand chose des gènes anciens. Mon Ténébrius il n’a rien d’imposant. À peine réussit-il à gagner sa vie grâce à un petit emploi à temps partiel à la Croix-Rouge. Au final, je dois dire qu’il est un peu blême, un peu ennuyant et un peu nigaud. Malgré tout, je l’aime bien. Sa maladresse naturelle m’attendrit.
Ses vêtements noirs ne sont qu’une parure superficielle. Il espère en acquérir la prestance aristocratique de son lointain ancêtre de Transylvanie. On dit que celui-là mariait l’amour, la gloire et l’élégance dans une communion mortelle. C’est l’idéal qu’il voudrait reproduire. Malgré ses laborieux efforts, il ne réussit à afficher ni esthétisme dans la démarche ni majesté dans la posture.
Par contre, il est tellement serviable ! Quand je veux sortir, il ouvre la porte. Quand je suis prête à rentrer, je miaule et il ouvre la porte. Il me sert mes repas et je me sers dans les siens. Il nettoie ma litière, m’achète des jouets, me brosse et ramasse mes poils, me conduit à mes rendez-vous de santé, me caresse si j’en sens le besoin. En fait, c’est mon homme à tout faire.
Encore hier, j’ai attrapé une souris dans la véranda. Je n’avais pas faim alors je l’ai laissée bien en vue au milieu d’un carré éclairé par la lune. Je n’ai eu qu’à appeler et, docilement, mon Ténébrius est venu récupérer la petite carcasse. Pour le service, il n’y a pas mieux.
Par pure générosité à son égard, Je lui prépare une fête pour l’Halloween. Depuis des semaines, je lui réserve une famille de souris qui se croit bien cachée au fond du garde-manger. Je compte aller chercher les bestioles une par une et les disposer dans chaque pièce de la maison. D’abord une dans sa chambre, camouflée au fond de ses pantoufles qu’il garde au pied de son lit. Il ne pourra la manquer. J’en déposerai une autre dans la pièce de rangement. Ça devait être une chambre d’amis, mais mon Ténébrius n’a pas d’amis. Enfin, pas d’autres que moi.
Je mettrai aussi la dépouille d’une des souris dans le salon, je l’étalerai devant le foyer. On dit que c’est l’endroit le plus romantique. Et je garderai la plus dodue pour la cuisine, je la mettrai sur la table, juste devant son assiette. Je vais m’assurer d’attendrir et de réchauffer un peu la chaire car mon pauvre Ténébrius souffre de sensibilité dentaire.
J’imagine son visage quand il réveillera au début de la nuit et qu’il verra la table sous le reflet de la lune. Ténébrius vénère l’astre et sa lumière. Il dit même que la lune est une sorcière. Que, comme lui, elle ne sort que la nuit et garde sa face cachée. Bien sûr, la lune est une sorcière. Et, depuis toujours, elle est ma complice. À deux, nous le contrôlons. C’est notre façon de l’aimer et de le protéger.
Benoit Bolduc/octobre 2024
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Whumptober 01 : Race Against The Clock
Course contre la montre, Sherlock Holmes 2009
Le docteur John Watson avait commencé sa journée hilare.
Son humeur ne constituait certes pas un hapax : depuis qu'il partageait l'appartement du 221 bis Baker Street avec Mr Sherlock Holmes, détective notoire, il passait plus de temps à rire qu'il ne s'en serait jamais cru capable à son retour d'une campagne d'Afghanistan qui l'avait laissé invalide et fourbu. Il s'était esclaffé des reparties insolentes par lesquelles son colocataire éconduisait ses clients trop prétentieux, il s'était gaussé avec Holmes de la stupidité des agents du Yard et il s'était bidonné à s'en tenir les côtes les nombreuses fois où son ami avait payé d'une gifle vigoureuse son incorrigible impolitesse.
Mais cette matinée n'apportait pas une réjouissance ordinaire, au contraire : servi sur un plateau d'argent en même temps que le petit-déjeuner confectionné par Mrs Hudson se savourait un mets de choix, aussi rare que les perles en vinaigrette de Cléopâtre, sans qu'aucun signe avant-coureur ne fût venu l'annoncer, ce qui n'en rendait la dégustation que plus délicieuse.
Sherlock Holmes, mesdames et messieurs, Sherlock Holmes avait été battu. À plates coutures. Par une femme, qu'il avait largement sous-estimée.
Irene Adler, puisque tel était son nom, non seulement avait conservé les lettres du roi de B***, de nature, osons le dire, assez compromettantes pour avoir incité Sa Très Fière Majesté à recourir aux services d'un détective aussi connu pour son efficacité que pour son mépris des convenances, mais encore elle s'était payé le luxe de narguer Holmes en lui abandonnant sa photographie dans la cachette où il croyait retrouver les imprudents courriers. Non seulement le détective s'était laissé distraire par ses charmes comme un écolier par sa première infirmière en chasuble ajustée, mais encore il avait entraîné dans son erreur l'inspecteur Lestrade et ses troupes de Scotland Yard, devant lesquelles il avait dû exprimer un mea culpa très public – rareté des raretés !
Aussi, depuis que John avait observé, penché à la fenêtre de son cabinet, où il attendait sa première consultation de la journée, la maréchaussée furieuse qui raccompagnait le détective à son domicile comme on dépose dans la rue, en le tenant par la peau du cou, un chat de gouttière trempé qui s'est infiltré dans le garde-manger pour en dévorer le bacon (Holmes avait certes la mine aussi piteuse et le poil aussi dépenaillé), le brave docteur se sentait d'excellente humeur.
Cette joyeuse disposition s'était encore accrue quand Lestrade (lequel, moins dépourvu du sens de l'observation qu'Holmes ne le suggérait, avait aperçu John à sa fenêtre) lui avait fait le compte rendu de la déroute, tandis que le détective filait à l'étage lécher ses plaies. Il boitait de la jambe droite, en raison d'une morsure de chien qui, à rebours du proverbe, ajoutait la blessure à la vexation.
John avait eu le plus grand mal à reprendre un visage sérieux pour accueillir Mrs O'Hara, qui se présenta avec un air traumatisé et dix minutes d'avance sur Mrs Stravinski, le premier rendez-vous prévu de la matinée.
« Ah, docteur, pardonnez mon état ! J'ai été attaquée par la bête la plus horrible ! Un molosse écumant, au poil roux comme le diable ! Des mâchoires grosses, grosses comme, comme... comme toute ma tête ! Et tellement de bave ! »
John passa son bras sous le coude de sa patiente pour la guider vers un siège. Éprouvée mais dotée d'un souffle de coureuse, Mrs O'Hara retrouva son aplomb dès qu'elle eut posé ses fesses sur un coussin. Elle résuma alors son malheur au médecin avec davantage de cohérence.
Elle avait été mordue par un genre de gros mâtin à poil roux tandis qu'elle sortait sur son perron pour récupérer le lait et les journaux (au pluriel car sa fille, Magda, avait des lettres et aspirait à devenir gouvernante). Elle n'était parvenue à desserrer l'emprise des mâchoires du molosse qu'en lui éclatant une bouteille de lait sur la t��te. Elle s'était alors réfugiée en catastrophe dans sa maison en claquant le battant de bois sur la patte avant du chien, et n'en était pas ressortie tant qu'elle n'avait pas été assurée, l’œil collé au judas, que la bête s’était choisie une nouvelle victime :
« Je l'ai vue qui s'élançait après Mr Holmes, le pauvre homme ! Il l'a bien assommée avec le bâton de l'un des policiers qui sortaient du fiacre avec lui, mais je crois que lui aussi a perdu un bon morceau de jambe dans l'histoire ! Alors quand j'ai vu qu'il n'y avait plus de risque, je suis tout de suite venue vous voir, docteur, parce que ce chien avait une grosse quantité de bave qui lui sortait de la bouche ! »
Il était donc à peine neuf heures passées lorsque l'euphorie de John Watson prit fin. Sa préoccupation ne lui laissa pas le loisir de consulter la pendule ; seule Mrs Hudson aurait pu marquer l'heure exacte de ce changement, mais l'excellente femme n'ayant plus éprouvé d'hilarité depuis l'attentat de Roderick McLean en 1882, elle manquait de référentiel.
La rage, voyez-vous, impose la plus terrifiante des courses contre la montre.
Pour peu que vous vous trouviez à trop grande distance de la ligne d'arrivée – si vous gardez des moutons à John O'Groats, par exemple, et que vous êtes mordu par un setter, ou bien si vous venez de vous retirer comme postulante au couvent de la Sainte-Trinité de Limerick et qu'un renard tapi dans le garde-manger vous arrache un quignon de pain et l'index gauche au passage – vous n'avez plus qu'à recommander votre âme à Dieu, car l'affaire est perdue d'avance.
Habitez dans une grande ville mais sans sou en poche, comme les allumetières de l’East End ou les chaudronniers de Glasgow, et vos chances ne seront guère meilleures.
Car les hôpitaux qui conservent les vaccins sont rares : même à Londres, John n'en connaît que trois. Barts est du nombre, heureusement, ainsi que Saint-Thomas, où il a cultivé quelques accointances.
Les deux se trouvaient à une trentaine de minutes de fiacre de l’appartement, mais le trajet vers Saint-Bartholomew était plus fréquenté par les chauffeurs, et c’était donc dans cette direction que John s’élançait déjà mentalement, tandis qu’il nettoyait avec force alcool la plaie de sa patiente. Le temps de poser un bandage, de rassurer Mrs O’Hara autant qu’il le pouvait, de fourrer le nécessaire dans sa serviette, et il grimpait les escaliers aussi vite que sa jambe, rendue grincheuse par les pluies de ces derniers jours, le lui permettait.
« Holmes ! s’écria-t-il une fois arrivé en haut, avant même d’avoir ouvert la porte. Holmes, il nous faut partir de toute urgence ! Avez-vous au moins bandé votre jambe ? Venez que je… »
Mais Holmes n’était pas dans le salon. Holmes n’était pas dans sa chambre, il n’était pas non plus dans celle de John, ni même à la salle de bains.
« Il est ressorti, Docteur Watson, expliqua Mrs Hudson, en scrutant le visage décomposé de son meilleur locataire sans parvenir à comprendre les raisons de sa détresse. Il a dit à l’inspecteur que la partie n’était pas terminée, et il a détalé comme à son habitude – enfin, sauf qu’il a failli déraper dans une flaque, avec sa jambe blessée… »
La tête de John lui tournait sans qu’il pût trouver les mots.
« Oh, attendez ! poursuivit la logeuse. Il m’a laissé ça pour vous. »
Et, de l’air vaguement exaspéré qui lui était si coutumier, elle glissa dans la main de John une lanière de raphia.
La suite de la matinée ne fut pour John qu’un long roulement de tonnerre entrecoupé d’éclairs terrifiants. De ses lèvres s’écoulait un flot continu de jurons paniqués, psalmodie reprise en canon par Mrs O’Hara, qui faisait écho à la frénésie de ses pensées.
Si le gardien de Barts est en pause, on entrera directement par la porte de service…
S’il est là, je lui demanderai de prévenir Stamford, pour qu’il reste auprès de Mrs O’Hara pendant que je porterai le vaccin à Sherlock…
Plusieurs cas ont montré que le vaccin était encore efficace après plusieurs heures…
Mais il y a aussi eu des fois où il n’a pas fonctionné…
Mais le préparateur de Barts est excellent, tu le connais, c’est Daniel Eichman, on ne fait pas plus consciencieux…
Mais statistiquement il faut bien qu’il se trompe un jour, et s’il ne s’est jamais trompé jusqu’à présent…
Exactement comme Sherlock...
« Plus vite, cocher ! C’est une question de vie ou de mort ! »
Ou de mort… Ne pense pas à ça. Pense au raphia… Qu’est-ce qu’il peut bien évoquer ? Une fleuriste ? Un marché ? Réfléchis réfléchis réfléchis…
Et s’ils n’ont plus de vaccin à la pharmacie de l’hôpital, on fait quoi ? Combien de temps est-ce qu’il faudra pour aller jusqu’à Saint-Thomas depuis King Edward Street ?
Mais non, ils en ont toujours en stock.
Mais s’il n’y en a plus qu’un, et qu’il faut choisir entre Sherlock et Mrs O’Hara ?
Je ne pourrai pas en priver Mrs O’Hara…
Mais je ne peux pas laisser mourir Sherlock…
Pourtant c’est ce qui va se passer si je ne comprends pas ce p**** d’indice…
Pourquoi du raphia ? Du raphia du raphia du raphia…
« Vous allez voir que ça va très bien se passer, Mrs O’Hara. Saint-Bartholomew est un hôpital très moderne aujourd’hui, malgré ses bâtiments historiques, et très bien aménagé. Grâce au vaccin, ce sera comme si vous n’aviez jamais été mordue ! Vous pourrez retrouver votre fille dès ce soir. »
John n’aurait pas su dire comment il était rentré à Baker Street (le cocher de l’aller l’avait pris en pitié, et avait patiemment attendu devant l’hôpital le retour de ce médecin boiteux à la moustache propre qu’il avait vu déployer tant d’énergie pour sauver la vie d’une matrone irlandaise désargentée), ni à qui il avait confié Mrs O’Hara (Stamford ne travaillait pas ce jour-là, mais son collègue Listz, grand amateur de feuilletons policiers, avait offert son assistance avec d’autant plus de zèle qu’il croyait faciliter ainsi une enquête du brillant Sherlock Holmes), mais il savait que la demie de dix heures venait de sonner à l’église Saint-Marylebone.
À chaque battement de son cœur correspondait, quelque part dans Londres, un battement du cœur de Holmes qui rependait un peu plus dans les artères de celui-ci la terrible maladie…
À chaque inspiration…
Inspiration.
N’était-ce pas le nom si prétentieux du parfum à la mode en ce moment ? Celui dont Holmes, qui revenait d’une soirée passée à espionner un diplomate corrompu dans le jardin d’hiver du Midland Grand, avait dit en s’écroulant dans un fauteuil devant la cheminée, face à John :
« Si j’avais dû respirer une seule minute de plus ce bouquet infect de chèvrefeuille à la marmelade d’orange, je vous assure, Watson, que j’aurais eu des vapeurs. »
Et John avait évidemment répliqué :
« Si vous aviez eu besoin de sels, Holmes, il aurait plutôt fallu blâmer votre pipe, dont la puanteur est incomparablement plus ignoble. Vous oubliez que nous sommes déjà allé ensemble au Midland Grand, et je sais que l’odeur des fleurs séchées y est plus forte que celle... »
Des fleurs séchées. Des bouquets de lavande, précisément, que John aimait bien parce qu’elle lui rappelait les linges rangés par sa gouvernante française, qui venait de Provence et qui glissait partout des sachets remplis de ces tiges violacées, au grand désespoir de la mère de John, qui n’en raffolait guère… Toutes réminiscences que John avait savourées lorsqu’une enquête précédente les avait conduits pour la première fois dans cet hôtel, et que Holmes avait devinées avec sa facilité si déroutante.
Holmes savait que John avait remarqué les bouquets de lavande, qu’il en avait été frappé, presqu’ému.
Il savait que John se souviendrait de leur disposition sur les tables basses.
Du raphia vert pâle qui liait les gerbes.
Pareil en tous points au morceau qu’il tenait à la main.
De l’appartement jusqu’à l’hôtel, il y avait presque deux milles. John les avala en cinq minutes, juché sur le dos d’un cheval qu’il avait détaché de son fourgon de livraison.
Ignorant la douleur de son genou, auquel tant d’exercice ne plaisait pas, il sauta à terre dès qu’il fut parvenu à destination, abandonnant sa monture à la générosité publique, traversa au pas de course le hall de réception sans même s’excuser auprès de la jeune femme qu’il bouscula par mégarde, et se dirigea à toute allure vers le jardin d’hiver.
Il y était presque quand une voix travaillée retentit dans son dos :
« Docteur Watson, il me semble que vous oubliez quelque chose ? »
Le cœur dans les talons, John pivota alors pour découvrir Irene Adler, qui se tenait juste derrière lui, un sourire triomphal aux lèvres et une fiole pleine de vaccin à la main. Un coup d’œil suffit à confirmer que la serviette que John serrait dans sa main droite avait été ouverte par un habile tour de main dans la bousculade de l’entrée.
À l’horloge de la gare sonnaient onze heures.
#whumptober 2024#no.1#race against the clock#sherlock holmes 2009#fanfic#bite#serious illness#john watson#irene adler#mrs hudson#sherlock holmes
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𝐋𝐎𝐑𝐒𝐐𝐔𝐄 𝐋𝐄 𝐓𝐄𝐌𝐏𝐒 𝐃𝐔 𝐏𝐋𝐀𝐍 𝐃𝐄 𝐃𝐈𝐄𝐔 𝐀𝐑𝐑𝐈𝐕𝐄𝐑𝐀, DIEU UTILISERA AUSSI DES HOMMES/FEMMES ANONYMES OU INATTENDUS POUR QUE TU RENTRES DANS TA DESTINÉE OU TON APPEL.
Certains de ces hommes/femmes seront sur ta route comme par "hasarD". ..
𝐍𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞 𝐚𝐮𝐜𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐧𝐞 𝐜𝐫𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐩𝐚𝐬 𝐥𝐞 𝐦𝐚𝐧𝐪𝐮𝐞 𝐨𝐮 𝐥𝐚 𝐩𝐞𝐫𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬, 𝐃𝐈𝐄𝐔 𝐋𝐔𝐈 𝐌𝐄̂𝐌𝐄 𝐂𝐎𝐍𝐓𝐑𝐎̂𝐋𝐄 𝐒𝐎𝐍 𝐏𝐋𝐀𝐍 𝐏𝐎𝐔𝐑 𝐓𝐎𝐈 ! 𝐒𝐎𝐈𝐒 𝐄𝐍 𝐏𝐀𝐈𝐗 !
ET C'EST AINSI QUE 𝐒𝐀𝐔𝐋 𝐃𝐄𝐕𝐈𝐍𝐓 𝐑𝐎𝐈: Le serviteur
«Quand ils arrivèrent dans la région de Souf, Saül dit à son serviteur: « Rentrons à la maison, sinon mon père oubliera les ânesses pour ne plus s’inquiéter que de nous. » LE SERVITEUR RÉPONDIT: « Je sais que dans cette ville, là, devant nous, il y a un prophète, un homme réputé: tout ce qu’il annonce arrive à coup sûr. Allons donc le voir maintenant; il nous indiquera peut-être de quel côté nous devons poursuivre nos recherches. » – « Mais, si nous y allons, dit Saül, qu’apporterons-nous à ce prophète? Nous n’avons plus de pain dans nos sacs, nous n’avons aucun cadeau à lui offrir, il ne nous reste rien. » – « J’ai avec moi une petite pièce d’argent, REPRIT LE SERVITEUR; nous la lui donnerons pour qu’il nous indique le chemin à prendre. »»
Premier livre de Samuel 9:5-8 FRC97
ET 𝐉𝐎𝐒𝐄𝐏𝐇 𝐄𝐍𝐓𝐑𝐀 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐒𝐀 𝐃𝐄𝐒𝐓𝐈𝐍𝐄́𝐄:
Genèse 37:15-17 «UN HOMME l’y rencontra, alors qu’il errait dans la campagne. Il lui demanda : Que cherches-tu ? – Je cherche mes frères, lui dit-il, peux-tu me dire où ils font paître leurs troupeaux ? – Ils sont partis d’ici, lui répondit l’homme, et je les ai entendus dire : « Allons vers Dotân. » Joseph partit donc à la recherche de ses frères et les trouva à Dotân.»
Genèse 41:8-9, 11-14 « Dès qu’il fit jour, le Pharaon tout inquiet fit appeler tous les devins et les sages d’Égypte. Il leur raconta ce qu’il avait rêvé, mais personne ne put lui dire ce que cela signifiait. Alors LE CHEF DES ÉCHANSONS déclara: « Majesté, je vais rappeler mes fautes passées.
Nous avons fait tous les deux un rêve la même nuit, chaque rêve ayant son propre sens. Dans la prison se trouvait avec nous un jeune esclave hébreu, qui était au service du chef de la garde. Nous lui avons raconté nos rêves,...Le Pharaon donna l’ordre d’aller chercher Joseph. On courut donc le tirer de sa prison, on le rasa, puis il changea de vêtements et vint se présenter devant le roi.»
Genèse 41:8-9, 11-14 FRC97
𝐃𝐈𝐄𝐔 𝐄𝐒𝐓 𝐀𝐔 𝐂𝐎𝐍𝐓𝐑𝐎̂𝐋𝐄 𝐄𝐓 𝐄𝐍 𝐒𝐎𝐍 𝐓𝐄𝐌𝐏𝐒 𝐋𝐄𝐒 𝐇𝐎𝐌𝐌𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐂𝐈𝐑𝐂𝐎𝐍𝐒𝐓𝐀𝐍𝐂𝐄𝐒 𝐒𝐄 𝐌𝐄𝐓𝐓𝐄𝐍𝐓 𝐄𝐍 𝐌𝐀𝐑𝐂𝐇𝐄 𝐏𝐎𝐔𝐑 𝐍𝐎𝐓𝐑𝐄 𝐁𝐄́𝐍𝐄́𝐃𝐈𝐂𝐓𝐈𝐎𝐍 !
KIMIA !!!
Bonne journée !
Guy Rémi Pambou
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Brilliant Time-Lapse of Alaska’s Northern Lights | Short Film Showcase
“Technicolour Alaska” by Alexis Coram, photographe, vidéaste et créateur de time-lapse basé à San Francisco.
Music : Out Of The Darkness / Hors de l’obscurité by James Everingham
♥ ♥ ♥
Un instant suspendu entre la terre et le ciel. Il y a les couleurs du Trône de YHWH dans les aurores boréales.
“ Aussitôt je fus ravi en esprit. Et voici, il y avait un trône dans le ciel, et sur ce trône quelqu'un était assis. Celui qui était assis avait l'aspect d'une pierre de jaspe et de sardoine ; et le trône était environné d'un arc-en-ciel semblable à de l'émeraude. ” (Apocalypse 4:3)
“ Eternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Ta majesté s'élève au-dessus des cieux. Par la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle, Tu as fondé ta gloire, pour confondre tes adversaires, Pour imposer silence à l'ennemi et au vindicatif. Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, La lune et les étoiles que tu as créées : Qu'est-ce que l'homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l'homme, pour que tu prennes garde à lui ? Tu l'as fait de peu inférieur à Dieu, Et tu l'as couronné de gloire et de magnificence. Tu lui as donné la domination sur les oeuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds, Les brebis comme les boeufs, et les animaux des champs, Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, Tout ce qui parcourt les sentiers des mers. Eternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! “ (Psaume 8)
“ Louez l'Eternel ! Louez Dieu dans son sanctuaire ! Louez-le dans l'étendue, où éclate sa puissance ! Louez-le pour ses hauts faits ! Louez-le selon l'immensité de sa grandeur ! Louez-le au son de la trompette ! Louez-le avec le luth et la harpe ! Louez-le avec le tambourin et avec des danses ! Louez-le avec les instruments à cordes et le chalumeau ! Louez-le avec les cymbales sonores ! Louez-le avec les cymbales retentissantes ! Que tout ce qui respire loue l'Eternel ! Louez l'Eternel ! “ (Psaume 150)
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"Lord Bessborough rend honneur aux Victoria Rifles," La Presse. June 19, 1933. Page 13. ---- Le gouverneur général pose la première pierre de leur nouvel arsenal.
Belle cérémonie --- En présence d'une fort belle assistance militaire et civile, S. E. le comte de Bessborough, gouverneur général du Canada, a scellé samedi après-midi la pierre angulaire du nouvel arsenal des Victoria Rifles rue Cathcart, près de la rue Université, arsenal qui va doter ce grand régiment d'un établissement digne de ses fastes car jusqu'ici il ne possédait qu'un arsenal fort rudimentaire.
D’ailleurs le lieutenant-colonel Stuart-A. Rolland, commandant du régiment, en souhaitant la bienvenue au représentant de Sa Majesté, souligna cet état de choses et indiqua comment les Vics ont dû se contenter jusqu'à maintenant d'un arsenal tout à fait insuffisant et ce depuis nombre d'années.
Malgré la pluie qui commença de tomber peu après l'arrivée du gouverneur général revenu en train special de Shawbridge où il s’était rendu le cérémonie se déroula en présence d'une grande foule.
Le scellage de la pierre Une garde d'honneur de cent hommes, en grand uniforme, cet élégant uniforme vert, avec le bonnet de police en astrakan, que portent les Victoria Rifles, sous le commandement du major I.-H. Eakin, assisté du lieutenant M.-M. Allan et du second lieutenant C.-P. Decary, massée dans la rue Cathcart, face à l'édifice en construction, ajoutait au pittoresque de la manifestation que le cinéma et la photographie prirent sous tous les angles.
Le gouverneur général passa en revue la garde d'honneur et après avoir serre in main au lieutenant-colonel Rolland, se rangea à la tête des invités d'honneur au nombre de plus d'une centaine.
Après les quelques mots de présentation du lieutenant-colonel Rolland, qui remercia aussi le ministère de la défense nationale, le gouverneur général procéda au scellage de la pierre angulaire.
Le passé et l'avenir des Victoria Rifles Le gouverneur général, avant deprendre la truelle d'argent que lui présentait le lieutenant-colonel Rolland, prononça une courte allocution au cours de laquelle il rappela surtout les services rendus par les Victoria Rifles à l'empire britannique et affirma sa conviction que leur nouvel arsenal permettrait des hauts faits encore plus glorieux que jadis.
Immédiatement après le scellage de la pierre, l'évêque J.-C. Farthing la bénit avec tout le cérémonial d'usage.
Parmi l'assistance nombreuse, on connaissait sir Arthur Currie, le major general A.-C.-L. McNaughton, chef d'état-major; le brigadier général W-W-P. Gibsone; le brigadier général E. de B. Panel, le brigadier général T.-L. Tremblay, de Québec; le brigadier général John-A. Gunn, de Toronto; et le lieutenant-colonel Birtwhistle, d'Ottawa.
Le nouvel arsenal est construit sur l'emplacement de l'ancien arsenal érige en 1886 et devrait être terminé en décembre prochain.
Caption: Appelé à sceller la pierre angulaire du nouvel arsenal des Victoria Rifles, rue Cathcart près de la rue Université, S. E. le comte de Bessborough, gouverneur général du Canada, a rendu hommage, samedi dernier, an dévouement et au courage des "Vics", en présence d'une grande assis tance civile et militaire. En haut, l'on voit le gouverneur général passant en revue la tarde d'honneur, sous le commandement du major L.-H. Eakin. En bas, lord Bessborough sourit aux photographes tout en maniant la truelle d'argent avec laquelle il scella la pierre angulaire du nouvel édifice. (Cliches la Presse)
#montreal#victoria rifles of canada#canadian militia#arsenal#military arsenal#cornerstone laying#governor general of canada#opening ceremony#lord bessborough#canadian army#great depression in canada
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Tout James Bond dans une montre
La montre de James Bond, un phantasme devenu réalité. Mais quelle montre porte donc James Bond ? Tout a été dit et écrit sur les montres de Bond. Je vais quand même rédiger un petit topo pour celles et ceux qui seraient passé à côté des innombrables recensions web ou papier des garde-temps du plus célèbre des agents secrets de sa Majesté. La genèse. Aux origines, il y a l’imprécision, le hasard,…
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-·=»◆ Les loups ◆«=·-
Sur le forum Les Chroniques de Paris, il vous sera possible d'incarner un vampire en rejoignant le groupe des vampires divisés en trois factions différentes.
Bien que l'espèce ait été mise à mal à cause de l'Eglise, elle a réussi à se redresser et certains d'entre eux semblent être revenus sur Paris, essayant au maximum de se fondre parmi les humains afin d'éviter les scandales.
Malheureusement, les derniers événements qui ont ébranlé la cité dernièrement ont éveillé la méfiance et forcé les vampires à faire d'avantage attention à eux.
♛ La Congrégation Rubis
Elle a été fondée par le prince héritier Aloysius Renathal, descendant de l'un des tout premiers vampires à avoir été découvert en France. Il s'agit d'une organisation suprémaciste qui considère la race humaine inférieure et qui ne rêve d'une chose : renverser la situation. Composée en majorité de la noblesse vampire, elle n'hésite toutefois pas à recruter ceux qui désirent rejoindre sa cause. Bien sûr elle n'accueille pas n'importe qui, demandant une fidélité sans faille et de une détermination à toute épreuve. Leur but actuel est de mettre la main sur ce qui cause la décadence de leurs confrères afin de pouvoir l'exploiter en leur faveur. Ils sont en conflits constant avec la Cour des Repentis qu'ils considèrent comme des renégats et n'hésitent pas à se battre contre eux lorsque la situation l'éxige.
✾ Les Repentis
Ancien noble au service de sa majesté, le Comte Werner Orlok originaire de Transylvanie et déchu de ses fonctions s'est toujours opposé au Prince et ses rêves anarchiques. Avec quelques âmes qui partagent sa vision des choses, il fonde la Cour des Repentis, regroupant des vampires pacifistes. Leur but est de trouver un accord avec l'Eglise afin de permettre aux siens de vivre en paix que, quitte à ce qu'ils l'aident à combattre les vampires malades et à arrêter la Congrégation Rubis. Elle garde espoir quant à un renouveau pour la race et rêve d'un monde ou humains et vampires peuvent vivre en harmonie.
✗ Les Sans Factions
Elle regroupe tout simplement les vampires qui ne veulent pas se retrouver mêlés au conflit et vivent leur vie dans leur coin sans embêter personne. On y trouve toute sorte de vampire, que ce soit des nobles, des familles ou des âmes perdues se contentant de vivre parmi la peuplade prenant bien gare à ne pas attirer l'attention sur eux.
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Les 100 fréquences d’un seul atome
Les 100 fréquences d’un seul atome 23/08/2024
Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? Psaume 8.5
Il y a des années déjà, j’ai lu qu’un seul atome d’hydrogène émet environ cent fréquences là où même un piano n’en produit que 88.
Mais sommes-nous capables de les entendre et de jouir de leurs harmonies ? Ma seule oreille qui fonctionne encore déforme aujourd’hui à tel point les fréquences que je ne puis plus écouter la musique sans avoir l’impression d’être victime de la pire cacophonie. Bien sûr, j’en suis profondément déçu. Mais par l’esprit, je jouis à l’avance de ce que seront les divines mélodies. L’Apocalypse mentionne¹ un ‘cantique nouveau’ et celui ‘de Moïse’ unissant, je pense, les multitudes célestes2.
Dans le divin séjour, tous les sons de la nature pour nous maintenant inaudibles, nous seront enfin accessibles comme la mélodie la plus grandiose, la plus sublime de l’univers entier. Oui, les psalmistes ont raison d’inviter les cieux, la mer, les arbres des forêts, les montagnes et les astres à louer l’Éternel en un cantique nouveau.
Comme il me presse de les entendre enfin avec des oreilles neuves dans les accords dès lors parfaits !
C’est là l’attente ultime de quiconque s’est abandonné avec confiance à Jésus-Christ. Comment pourrais-je ne pas l’en louer dès ici-bas ?
Richard Doulière
¹ Apocalypse 5.9 ; 14.3 et 15.3 2 Ce cantique nouveau sera un chœur de 144.000 choristes !
__________________ Lectures proposées : Psaumes 96
Hymne à la grandeur et à la gloire de Dieu
1 Chantez à l’Éternel un cantique nouveau ! Chantez à l’Éternel, vous tous, habitants de la terre ! 2 Chantez à l’Éternel, bénissez son nom, Annoncez de jour en jour son salut ! 3 Racontez parmi les nations sa gloire, Parmi tous les peuples ses merveilles ! 4 Car l’Éternel est grand et très digne de louange, Il est redoutable par-dessus tous les dieux ; 5 Car tous les dieux des peuples sont des idoles, Et l’Éternel a fait les cieux. 6 La splendeur et la magnificence sont devant sa face, La gloire et la majesté sont dans son sanctuaire. 7 Familles des peuples, rendez à l’Éternel, Rendez à l’Éternel gloire et honneur ! 8 Rendez à l’Éternel gloire pour son nom ! Apportez des offrandes, et entrez dans ses parvis ! 9 Prosternez-vous devant l’Éternel avec des ornements sacrés. Tremblez devant lui, vous tous, habitants de la terre ! 10 Dites parmi les nations : L’Éternel règne ; Aussi le monde est ferme, il ne chancelle pas ; L’Éternel juge les peuples avec droiture. 11 Que les cieux se réjouissent, et que la terre soit dans l’allégresse, Que la mer retentisse avec tout ce qu’elle contient, 12 Que la campagne s’égaie avec tout ce qu’elle renferme, Que tous les arbres des forêts poussent des cris de joie, 13 Devant l’Éternel ! Car il vient, Car il vient pour juger la terre ; Il jugera le monde avec justice, Et les peuples selon sa fidélité.
et 148
Louange universelle de la création
1 Louez l’Éternel ! Louez l’Éternel du haut des cieux ! Louez-le dans les lieux élevés ! 2 Louez-le, vous tous ses anges ! Louez-le, vous toutes ses armées ! 3 Louez-le, soleil et lune ! Louez-le, vous toutes, étoiles lumineuses ! 4 Louez-le, cieux des cieux, Et vous, eaux qui êtes au-dessus des cieux ! 5 Qu’ils louent le nom de l’Éternel ! Car il a commandé, et ils ont été créés. 6 Il les a affermis pour toujours et à perpétuité ; Il a donné des lois, et il ne les violera point. 7 Louez l’Éternel du bas de la terre, Monstres marins, et vous tous, abîmes, 8 Feu et grêle, neige et brouillards. Vents impétueux, qui exécutez ses ordres, 9 Montagnes et toutes les collines, Arbres fruitiers et tous les cèdres, 10 Animaux et tout le bétail, Reptiles et oiseaux ailés, 11 Rois de la terre et tous les peuples, Princes et tous les juges de la terre, 12 Jeunes hommes et jeunes filles, Vieillards et enfants ! 13 Qu’ils louent le nom de l’Éternel ! Car son nom seul est élevé ; Sa majesté est au-dessus de la terre et des cieux. 14 Il a relevé la force de son peuple : Sujet de louange pour tous ses fidèles, Pour les enfants d’Israël, du peuple qui est près de lui. Louez l’Éternel !
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ussi loin qu'on remonte dans notre histoire, on trouve toujours, dans nos armées, des officiers étrangers au service de la France. Contraints de quitter leur sol natal, ils ont choisi la France comme seconde patrie et combattu vaillamment sous notre drapeau. Certains d'entre eux servirent le premier et deuxième Etranger de Cavalerie, notamment des russes, géorgiens, anciens officiers tzaristes, qui avaient tout perdu dans les debâcles successives de la contre révolution. Parmi les plus connus :
L'ex-général de brigade de l'armée impériale Boris Rostislavovitch KHRESTCHATISKY, né le 11 juillet 1885 à Taganrog. En terminant le Corps des Pages, il entre comme officier du Leib-Garde du Régiment des Cosaques de Sa Majesté l'Empereur (Podesaoul=capitaine en second, en 1910). Il y servit jusqu'à la Grande Guerre, le quittant temporairement pendant la guerre Russo-Japonnaise, où il participa en tant qu'officier subalterne. Lors de l'avis de mobilisation en 1914, le Colonel Khrestchatisky est nommé au commandement du 53 Régiment de Cosaque du Don,le 16 aout 1914* (date ancien calendrier). A la tête de ce régiment composé de cosaques servant dans les unités des Gardes du Don, il est décoré d'une série de décorations militaires et de la Croix de Saint-Georges. Il est nommé Général-Major le 25 juin 1915*. A l'age de 35 ans, il est promu Général. Au début de l'époque bolchévique, il se trouve à la tête d'une Division Cosaque qu'il conduit vers la région de la Transbaikalie d'après le plan de regroupement des unités cosaques dispersées. C'est là qu'elle fut démobilisée. Ensuite, il se rend à Kharbin (Harbin, ville du nord-est de la Chine) où il travaille sous le commandement du Général KHORVAT; Puis il est nommé par l'Amiral Koltchak, Commandant du Corps spécial de Réserve avec toutes les responsabilités d'un Commandant d'Armée. Après une longue série d'incidents tragiques, le Général Khrestchatisky émigre en France, à Paris. Ne croyant pas qu'il pourra bientot avoir un role à jouer dans le mouvement anti-bolchévique, il préfère gagner sa vie au service militaire et s'engage comme simple soldat dans la Légion Etrangère. Dans sa lettre d'adieu à l'un de ses amis, il écrit qu'il s'engage non pas parce qu'il ne peut plus aller ailleurs,mais qu'il a décidé de gagner ses galons d'officiers. Ainsi, il est au service de la Légion.
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