#femme laide baise
Explore tagged Tumblr posts
evaspleen · 2 years ago
Text
Date: 2022/09/20
Title: soumise Ă  de laides et vicieuses brutes.
L'homme était laid, trapu et costaud son visage était monstrueux comme frappé de mille coups et cicatrices l'expression qu'il avait alors qu'il bourinait la fille qui hurlait le corps cambrés par les cheveux empoigne.etait rustre et violente.
"tu vois il baise une pute, sa laideur fait fuir les femmes et toi tu vas leur donner envie je vais te donner Ă  baiser Ă  ce monstre regardes bien."
La caméra filmait le cul travaillé par une queue énorme et longue
Il l'enfoncait jusqu'aux couilles et lui fourait de coup de reins violent.
la pute hurlait et bougeait son cul pour aller plus loin, elle mis sa tĂȘte au sol et Ă©carta bien sa fente pour y accueillir la queue qui la defoncait.
"c'est ça...couine salope.t'es.une.bonne pute, t'aime ça allez prends ça et dis le que t'aime la queue.
Oui oui j'aime la queue la tienne est bonne oooooh mets la moi bien dure.
Tu vas lecher mon cul elle sera plus dure encore  vazy lÚche mets bien la langue huuuuum ah chienne tu me fais bander je vais t'enfiler tu vas sucer salope allez
Tu vois comme elle est dure
Oooooh elle a grossis encore je ne l'avalerai jamais.
LĂšche lĂ  et suce je te paye pour la sucer tu suce."
"tu vois cette énorme queue ce visage immonde je lui offre ton corps de chienne. Tu mouillés salope ça t'excite et attend."
Il l'a prends par le cou et la force à le regarder dans les yeux les doigts fouillant sa chatte trempée.
" il ne sera pas seul ils seront trois Ă  te baiser."
La main profite d'ĂȘtre trempĂ©e pour lubrifier le cul offert par les jambes bien hautes et tenue bien Ă©cartĂ©es elle gĂ©mit il accĂ©lĂšre et glisse deux doigts de plus dans le trou serrĂ©.
L'un d'eux viens Ă vec sa chienne il sera notre esclave tu vas me voir me faire sucer par un homme en laisse lui baiser le cul en te regardant jouir.
Je te veux bien salope tout sera filmé et en direct tu dois donner envie de se faire baiser par ces types. On enverra des Copie à la poufiasse qui les méprise elle finira par les supplier de la baiser comme une putain.
Ça.commence ce soir.
Il se dégage et la laisse trempée folle d'envie de sexe .
Ne te fais pas jouir je veux que tu te jettes sur les bites ce soir.
Ils arrivÚrent tous ensemble tous laids l'un louchait l'autre était défiguré par un nez immense et un air de profonde perversite il appuya de son regard sur les seins et le cul que laisse deviner la robe noire moulante fluide et courte.
Le.troisiemes portait une caméra qu'il installe face au salon il sort un petit objectif qu'il pose sur la table.
La porte claque sur un homme laissé seul dehors,il est nu sous un peignoir noir, il a froid et porte un collier de chienne. Il attend.
Elle les acceuille par un verre et son maĂźtre s'installe comme au spectacle.
Le vicieux attaque les choses sans s'asseoir et saisi les seins qu'il ne cesse de matter le laid trapu soulĂšve la robe et Tate les fesses nues.
Elle ne porte pas de culotte la salope...
Il rùle et empoigne la.chatte lisse il y mets.de.suite.deux doigts épais. Il est derriÚre elle pendant que l'air pervers de autre file des frissons à celle qu'il regarde en lui torturant les tétons il se régale visiblement de la vue de la femme gémissant et le lui dit
Je te regarde te faire baiser depuis des mois tu m'en as fait gicler du sperme et ce soir il va gicler dans ton cul. Tu couinnes déjà presque putain t'es faßte pour ça.
Le troisiĂšme se branle debout et filme.
Le trapu grogne comme un animal et sort sa queue elle paraĂźt plus Ă©norme encore qu'Ă  l'Ă©cran.
Elle ne l'a voit pas encore mais la sens longue et lourde contre son cul le gland balancant sur le haut de sa cuisse l'exita immédiatement .
T'es trempée salope ta.chatte est gonflée viens nous la montrer.
Le maĂźtre lui ordonne de s'asseoir.
Fais ce qu'on te demande assied toi et Ă©carte les cuisses montre ta chatte montre ton cul bien ouvert qu'on filme de belles images.
Elle obĂ©i et s'assied sur le canapĂ© jambes Ă©cartĂ©es le rustre se mets Ă  genoux pour bien regarder le sexe trempĂ©, il Ă©carte les lĂšvres et y mets un grand coup de langue humide il la fourre Ă vec force dans le vagin de la fille qui commence Ă  s'agiter. l'autre la calme en lui donnant sa queue Ă  sucer , une queue trop longue Ă  avaler..il tient sa bite d'une main et de autre tire sur les cheveux pour maintenir sa tĂȘte.
il fini par petit Ă  petit bien lui baiser la bouche.
Son petit cul lui aussi est bien travaillé la langue qui lui fouillait la chatte l'encule à présent les deux mains immense de la brute écartant ses fesses.
Il pĂ©nĂštre le trou qu'il Ă©carte de grands coups avant d'y mettre les doigts et de relever la tĂȘte pour la regarder sucer.
T'es bonne avale cette bite pour moi tiens tu les sens mes doigts dans ton cul petite pute
Pute et salope d'aprÚs ce qu'elle a montré d'elle.
Il s'était contenté de filmer boire et fumer depuis son arrivée. Il était trÚs grand massif son sexe aussi . Il était trÚs impressionnant le rustre se retira pour lui laisser l'accÚs aux cuisses qu'il écarta bien grand l'homme la pénétra d'une coup franc et sans la prévenir se mit à lui limer la chatte avec énergie sortant les seins de la robe pour en tirer les pointes que la brute vßnt lécher en se branlant la queue raide.
Il avait envie s'enculer cette garce.
Il faut lui prendre le cul.
Haa il a raison vient t'asseoir sur moi rends ton cul bien disponible Ă©carte tes fesses salope qu'on en fasse un fourreaux Ă  queue..tu vas te faire bouriner le cul ma grosse queue te limant la chatte
Il faut ouvrir Ă  ma chienne il est temps d'utiliser ses orifices.
Le maĂźtre se leva et revient Ă vec l'homme en peignoir.
Elle est assise sur la bite qui la pilonne la brute lui ordonne d'écarter son cul il l'a léche encore bien profond avide du trou qu'il ouvre de ses doigts enarmes.
Le vicieux s'occupe des seins il y accroche des pinces elle hurle il lui enfonce une queue raide dans la bouche lui demande de tirer la langue et y frotte son gland.
Le maßtre se fait sucer par l'homme à qui on intime de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes il est clairement un objet.
Quand enfin la bite lui pĂ©nĂ©tra la fente baveuse et serrĂ©e elle cria de plaisir et de douleur le sexe Ă©tait Ă©normeuo aussi elle n'avait jamais eu la sensation d'ĂȘtre si prise.
6 notes · View notes
impossiblyholyparadise · 3 years ago
Text
Lettre(s) Ă  ma femme...
Lettre(s) philosophiques et parfois métaphoriques sur le libertinage et le candaulisme.
Parce que

Parce que ce n’est pas ĂȘtre fou que de vouloir ĂȘtre libre, que de vouloir vire pleinement, que de vouloir vivre pleinement libre
 !
 Ce que j’aimerais pour nous (tu pourras voir que j’ai mis des tirets pour te faciliter la lecture et correspondre plus à toi).
Du coup, c’est carrĂ©ment dans le dĂ©sordre et parfois redondant.
C’est aussi par Ă©crit, parce que pour moi plus facile (qu’est-ce qu’il est difficile de parler avec toi !) Rires, ou avec moi
 (Lieu, moment, autres activitĂ©s, 
).
Aussi :
-          Parce que je souhaite que l’on reste ensemble. Notre chemin n’a pas Ă©tĂ© si dĂ©sagrĂ©able ensemble jusqu’à prĂ©sent et paradoxalement mais aussi contrairement Ă  ce que tu dis « on n’a rien en commun », je crois que nos diffĂ©rences rĂ©elles sont aussi autant de chances de pouvoir vivre de maniĂšre complĂ©mentaire et nous porter vers un style de vie certes peu banal et commun mais intĂ©ressant et rĂ©alisable, la libertĂ© en couple. D’une difficultĂ©, faire une opportunité ! De plus, on n’est pas si laids et pas si idiots que ça pour un couple de cinquantenaires me semble-t-il, et si on peut espĂ©rer encore quelques annĂ©es douces Ă  vivre, c’est maintenant
 ;
-          Parce que je souhaiterais que l’on soit un couple moderne et libre. Selon moi c’est le genre de couple dorĂ©navant le plus adaptĂ© Ă  la sociĂ©tĂ© moderne
 ;
-          Parce que je trouve ridicule de tout casser pour aller vers la libertĂ© de chacun, c’est-Ă -dire prendre le mĂȘme chemin mais seul et chacun de son cĂŽtĂ© (sic
). Imposer et s’imposer des souffrances et des difficultĂ©s pour aller vers le mĂȘme rĂ©sultat
 Quels intĂ©rĂȘts, quels bĂ©nĂ©fices ? Dans ce style de vie libre il y a aussi de belles valeurs, crois-moi ! Et certainement des avantages.
-          Parce que je souhaite te revoir, belle, gaie dynamique, sexy et libre. Comme Ă  nos dĂ©buts. Libre en plus, ce que tu recherches et dis sans arrĂȘt me semble-t-il (« Si je redeviens cĂ©libataire je n’aurais que des amants  »)
-          Parce que je souhaite te voir ĂȘtre celle qu’au fond de toi tu es (en tout cas la partie que tu en donne visible) et ce pourquoi tu sembles le mieux manifestement adaptĂ©e : faire la fĂȘte, sortir, danser, rire, te faire belle, te sentir belle quand tu attires l’attention, vivre spontanĂ©ment et un peu dans l’insouciance, te sentir jeune, 

-          Parce que je souhaite qu’on ait une rĂ©elle complicitĂ©, une tendresse, un respect, une admiration rĂ©ciproque, une Ă©coute, une sexualitĂ© pleine et riche quand on est ensemble
 ;
-          Parce que je souhaite que l’on soit libre de sortir tout aussi bien ensemble que sĂ©parĂ©ment en fonction de nos agendas et/ou envies sans que cela provoque soit des frustrations, des inconforts ou des problĂšmes pour l’un ou l’autre (je peux ici te faire nĂ©anmoins une promesse : m’attacher Ă  trouver le moyen d’apprendre Ă  danser – internet ou cours
 ? - pour parfois t’accompagner et me sentir moins con et ridicule, tout en te laissant le choix de tes cavaliers et de me tolĂ©rer comme partenaire de danse;
-          Parce que je souhaite te refaire des cadeaux spontanĂ©s ou prĂ©parĂ©s dĂšs que l’occasion se prĂ©sente oĂč, et surtout que tu m’en laisse l’initiative (ici, par exemple, Ă  l’issue de cette lecture et si tu es en accord avec ces souhaits, t’offrir un beau bracelet de cheville que l’on pourrait aller choisir ensemble et exprimant et matĂ©rialisant cette libertĂ©) ;
-          Parce que je souhaite que l’on soit libertins (sans ĂȘtre jusqu’à aller obligatoirement dans les clubs – quoiqu’il faudrait, toi qui aime et a le sens de la fĂȘte, qu’un jour tu y ailles pour t’apercevoir que ce n’est pas que ce que tu en pense et surtout, te faire ta propre opinion sans penser que ce sont simplement ou partout des boites Ă  cul et baise et que les personnes qui les frĂ©quente ne sont que de dangereux pervers sexuels. Il y en a sĂ»rement mais il y a aussi certainement des gens trĂšs bien et trĂšs Ă©panouis
C’est aussi ce que j’y avais remarquĂ© quand j’y Ă©tais allĂ©. Certes il y a trĂšs longtemps et cela a forcĂ©ment dĂ» changer

-          Parce que, puisque je parle sexe, je souhaiterais que tous les jours oĂč l’on se retrouve dans le mĂȘme lit et oĂč est ensemble on puisse faire l’amour, ou a minima que l’on se fasse un cĂąlin, mĂȘme une simple gĂąterie, une pipe ou par exemple un simple bisou sur le sexe (toi et/ou moi) pour juste te faire mouiller ou me faire bander et nous faire penser l’un Ă  l’autre pour le reste de la journĂ©e 
 Rassures-toi, je veillerai Ă  ne pas toujours me placer en position de « confort » la tĂȘte sur l’oreiller

-          Parce que je souhaite qu’on ait de nouveau une vie sexuelle riche et intense comme tu semblais aussi l’apprĂ©cier
Celle dans « dehors » s’il y en a, devra se faire sous protection bien entendu (d’ailleurs il y a plus de chance qu’il y en ait pour toi que pour moi
 : mĂ©tier, facilitĂ© de contacts et d’opportunitĂ©s pour toi, timiditĂ© pour moi, vie plus casaniĂšre
. Pour ma part, j’aimerais aussi que tu me dises (certes pas tous les dĂ©tails...Quoique ?) lors de nos retrouvailles tes « sexploits » 
-          Parce que je souhaiterais que l’on puisse vivre pleinement et intensĂ©ment nos quelques futures annĂ©es Ă  venir

-          Parce que je souhaite que tu t’amuses et vive sans rĂąler et toujours te sentir frustrĂ©e et brimĂ©e

-          Parce que je souhaite que tu continues Ă  te faire belle, pour moi, pour d’autres, peu importe, te faire belle
Ou moi te ressentir comme telle lorsque j’entends tes remarques comparatives sur la vie des visible et/ou parfois seulement supposĂ©e des autres

-          Parce que je souhaite vivre en « artiste » et mes passions d’artiste, pour, mĂȘme si c’est sans succĂšs, l’avoir tentĂ© et ne rien regretter
Me permettre de crĂ©er sans crainte d’ĂȘtre jugĂ© ni blĂąmĂ© de ne pas faire autre chose

-          Parce que je souhaiterais que l’on ne casse pas tout alors qu’on a les moyens de bien et confortablement vivre cette liberté 
-          Parce que c’est un rĂ©el style de vie ne visant qu’à l’épanouissement de l’un et l’autre et pas l’un contre l’autre ou au dĂ©triment de l’autre

-          Parce que tu ne dois pas dire que c’est un style de vie de « salope » puisque tu es la premiĂšre, et tu as bien raison, Ă  les dĂ©fendre en disant, ce que je pense aussi, que ce n’est qu’elles que cela regarde et qu’il n’y a rien de condamnable aux yeux de la loi tant que cela procĂšde d’un choix libre, personnel et intime

-          Parce que je souhaite que l’on puisse ĂȘtre heureux toi et moi sans s’écorcher comme on l’a dĂ©jĂ  beaucoup trop fait. On ne mĂ©rite pas cela, ni toi, ni moi

-          Parce que je souhaiter ĂȘtre et rester ton mari mais aussi avoir le rĂŽle de ton amant numĂ©ro un, indĂ©boulonnable quoiqu’il arrive et vers celui vers qui tu reviens toujours

-          Parce que je souhaite que l’on continue ensemble Ă  s’occuper de nos enfants et rester Ă  leurs cĂŽtĂ©s pour les voir grandir
 De mĂȘme pour nos familles.
-          Parce que je crois qu’on en a les moyens, les possibilitĂ©s, encore le temps
Ayons-en l’intelligence !
-          Parce qu’il n’y a rien de plus rare, de plus beau, qu’une femme qui est elle-mĂȘme
A l’aise dans sa parfaite imperfection
Un homme Ă©galement

-          Parce qu’il est venu le temps que l’on puisse dĂ©couvrir et exprimer chacun de nous ce que l’on est rĂ©ellement

-          Parce que je souhaite vivre, te montrer et te dĂ©montrer mon amour inconditionnel

-          Parce que je t’aime

Ajout et complément au texte « Parce que »
-          Parce que cela offre (aux partenaires principaux, le couple) une telle confiance, une telle libertĂ©, une telle complicitĂ©, une telle sĂ©rĂ©nitĂ©, un tel affranchissement de tous les dogmes possibles, imaginĂ©s ou/et imaginables que cela a une puissance insoupçonnĂ©e et insoupçonnable

-          Parce que cela ouvre et Ă©claire le vrai chemin du bonheur, de la libertĂ©, de la tendresse et en vĂ©ritĂ© de l’Amour de l’autre, des autres
L’amour humain, dans toute son entiĂšretĂ©, dans tous ses possibles, dans toute son acceptation 
L’amour inconditionnel, le « pur » s’il existe
En tout cas, s’en approcher, s’en rapprocher
 Tout est, et/ou devient limpide, clair et Ă©clairé Il n’y a plus ou pas de contraintes, de sentiments perturbants, dĂ©rangeants, nĂ©fastes, « mauvais (jalousie, colĂšre, ressentiments, mensonges, « fausseries », tromperies, perversitĂ©s (mĂȘme si le cĂŽtĂ© « sexuel », d’ailleurs non obligatoire et libre lĂ  aussi 
) peut le faire croire ou l’assimiler. C’est d’ailleurs un des Ă©cueils, un des dangers du concept et du choix de ce chemin, mais surtout un des sophismes
Laisser croire ou faire croire qu’il ne mĂšne que dans une impasse (pensĂ©e souvent comme de nature addictive et/ou perverse et plutĂŽt « a priori » sexuelle) tandis que bien au contraire, il ouvre de multiples chemins et davantage de choix bien plus « grands » que le simple assouvissement d’envies ou de dĂ©sirs et /ou encore plus bassement Ă  mes yeux, de la simple et manichĂ©enne vengeance ou la matĂ©rialisation comptable d’une relation, qu’elle soit sexuelle ou pas. Pour l’heure, ainsi, je n’aurais pas en tĂȘte le souci de moi aussi te rendre la pareille de façon mathĂ©matique , cela ne serait d’ailleurs en rien une libertĂ© (tout au contraire, une contrainte, une obligation de plus
) si tu devais avoir ou avoir eu une relation sexuelle ou poussĂ©e avec un amant, mais plutĂŽt d’ĂȘtre heureux pour toi, heureux que tu aies pu vivre quelque chose d’intense, d’unique (ou pas
 !), et surtout de te savoir libre, heureuse, comblĂ©e (enfin il faut l’espĂ©rer  quoique, en est-il ou y en saura –t-il toujours la certitude physique absolue ?) Ainsi, l’image qui m’en vient Ă  l’esprit est celle-ci
L’image du phare, toujours prĂ©sent, solide, Ă©clairant, te laissant le choix du chemin, offrant le choix sur du retour Ă  bon port ou de la route sĂ©curisĂ©e, de l’aventure, de la libertĂ© 
                         PrĂ©sent et constant
Gratuit, libre lui aussi , mĂȘme si par dĂ©finition attachĂ© si solidement Ă  la terre, indĂ©racinable
Chacun doit peut ĂȘtre avoir et jouer son rĂŽle
 ? Les uns le phare (mais effectivement peu nombreux
) et les autres les bateaux, voyageant, voguant, partants, revenants, car qu’on le veuille ou non nĂ©cessairement attachĂ©s Ă  un port, une « terre », un refuge
Ce n’est pas le phare qui prend la mer
Ou alors, lorsqu’il la prend ce n’est que lors de tempĂȘte si intenses et si fortes, pas toujours voulues,  que cela en est majestueux
Le bateau s’en Ă©pargne et mĂȘme s’il sort plus souvent parce qu’il est fait pour cela, ses voyages et ses transports sont plus frĂ©quents et certainement plus joyeux, heureux, sĂ»rs et moins Ă©prouvants, protĂ©gĂ©, Ă©clairĂ© et guidĂ© vers le port d’attache par le phare dont il est certain de trouver l’amure (tiens, presque l’amour
)
-          Parce que je t’aime

62 notes · View notes
valeriehervo · 4 years ago
Link
Un vent nouveau semble souffler sur le plaisir fĂ©minin. La jouissance des femmes – avec ses infinies variations – est dĂ©sormais dĂ©crite et promue par celles qui la frĂ©quentent de plus prĂšs.
"J'ai commencé à écrire de la littérature érotique car je trouvais que le plaisir féminin était rarement mis en avant dans ce que je lisais. J'en avais marre des écrits misogynes et des récits mettant invariablement en scÚne une jeune pucelle découvrant les joies de la chair grùce à un homme forcément plus vieux et plus expert en la matiÚre", s'exclame Octavie Delvaux.
Comme nombre de ses congĂ©nĂšres ayant dĂ©cidĂ© de s'exprimer autour du plaisir fĂ©minin, l'Ă©crivaine trentenaire fait partie d'une classe d'Ăąge qui estime avoir Ă©tĂ© "privĂ©e de modĂšles sexuels" durant son enfance et son adolescence. "Pour tout vous dire, il y a une scĂšne, dans le film La leçon de piano, oĂč l'on voit Harvey Keitel se glisser entre les jambes de l'hĂ©roĂŻne pour caresser un minuscule bout de peau, accessible car son bas est trouĂ©. C'est trois fois rien
 mais c'est le truc le plus Ă©rotique et, surtout, le plus axĂ© sur le dĂ©sir fĂ©minin qu'il m'ait Ă©tĂ© donnĂ© de voir lorsque j'Ă©tais jeune."
Des propos qui n'Ă©tonnent pas Emmanuelle Julien, journaliste et auteure du blog Paris DerriĂšre, qui se souvient de son adolescence : "Dans les annĂ©es 90, Ă  part le Doc de l'Ă©mission “Lovin'Fun”, on n'avait accĂšs Ă  rien. Et quand je dis rien, je ne parle pas seulement des informations techniques. Il n'y avait pas de discours fĂ©minin sur notre rapport au plaisir, pas d'images le mettant en valeur."
L'alpha et l'oméga de la sexualité
Il fut un temps – pas lointain du tout – oĂč le sexe au cinĂ©ma se rĂ©sumait Ă  "la femme en dessous et l'homme au-dessus, avec orgasme Ă©videmment simultanĂ© signalant la fin du coĂŻt", se rappelle GĂ©raldine, qui a entamĂ© sa vie d'adulte "en imaginant que la position du missionnaire constituait l'alpha et l'omĂ©ga de la sexualitĂ©".
La vidéo du jour :
GĂ©raldine a dĂ» Ă©galement attendre d'avoir 20 ans avant d'entendre parler pour la premiĂšre fois du seul organe exclusivement dĂ©diĂ© au plaisir fĂ©minin : "C'est en lisant un magazine que j'ai dĂ©couvert l'existence du clitoris. Je sais que cela peut paraĂźtre dingue aujourd'hui, mais Ă  l'Ă©poque – il y a tout juste vingt ans – ce mot n'Ă©tait jamais employĂ©. Comme si le clitoris – et tout le plaisir qui en dĂ©coule – n'intĂ©ressait personne." Vingt ans plus tard, dans un Ă©pisode de sa premiĂšre saison, la sĂ©rie Broad City met en scĂšne une jeune femme en train de discuter sur Skype avec une copine tout en faisant l'amour avec son copain, sur qui elle est assise Ă  califourchon.
Mais la Toile a permis [...] l'émergence d'une parole de plus en plus libre et affirmée autour du plaisir féminin
Que s'est-il passĂ©, au cours de ces deux derniĂšres dĂ©cennies ? Internet, qui a tout changĂ©. "On rĂ©duit souvent le Web Ă  la pornographie, tant il a dĂ©multipliĂ© l'accĂšs Ă  ce type d'images. Mais la Toile a surtout permis la multiplication de forums oĂč les femmes pouvaient enfin Ă©changer autour de la sexualitĂ©, et l'Ă©mergence d'une parole de plus en plus libre et affirmĂ©e autour du plaisir fĂ©minin", explique Emmanuelle Julien. Aujourd'hui, il suffit d'ailleurs de taper "sexe" et "fĂ©minin" sur un moteur de recherche pour qu'apparaissent les pages personnelles de filles chaque jour moins effarouchĂ©es, dissertant sodomie, cunnilingus ou mĂ©rites comparĂ©s de tel ou tel sextoy.
Au fil des blogs et des témoignages a fini par éclater une évidence tue pendant des années : la sexualité des femmes est tout aussi exigeante, impérieuse et diverse que celle des hommes.
La polyphonie des désirs féminins
"Vous retroussez ma jupe et empoignez mes fesses pour m'attirer plus prĂšs de vous. Une pression sur mes reins me plaque contre votre braguette. Je sens votre Ă©rection battre contre mon sexe bouffi d'excitation. Mon clitoris palpite Ă  grands coups", Ă©crit ainsi Octavie Delvaux dans son recueil de nouvelles A cƓur pervers1.
"A l'image de celle qui parle dans cet extrait, la plupart de mes héroïnes sont des femmes fortes, volontiers dominatrices, qui n'ont pas peur de communiquer leur désir et d'affirmer ce qu'elles veulent." Et l'écrivaine d'ajouter : "Je ne sais pas s'il y a un plaisir typiquement féminin ou masculin. Mais ce dont je suis sûre c'est que la femme a, autant que l'homme, un univers érotique qui lui est propre, et rien à gagner d'attendre systématiquement de l'autre qu'il lui dicte ses désirs."
Affirmer ses envies et la polyphonie des désirs féminins : tel est l'objet de la plateforme américaine OMGYes, promue au printemps 2016 par l'actrice féministe Emma Watson. A ce jour, ce site est le seul au monde à proposer des vidéos en ligne dans lesquelles des femmes reproduisent les gestes qui les mÚnent à l'orgasme.
"Je stimule mon clitoris selon un mouvement de haut en bas, dans le sens des aiguilles d'une montre", confie ainsi Amber, tandis qu'un gros plan de son sexe – et de son doigt, parcourant mĂ©thodiquement ses lĂšvres, dans une scĂšne que l'on imagine mille fois vĂ©cue – complĂšte le propos. Si l'on peut dĂ©plorer que cette plateforme, vitrine d'une recherche amĂ©ricaine basĂ©e sur l'expĂ©rience sexuelle de plus de deux mille femmes ĂągĂ©es de 18 Ă  95 ans, ne soit pas entiĂšrement gratuite – l'accĂšs au pack complet de vidĂ©os y est facturĂ© 29 € –, la dĂ©marche constitue une premiĂšre.
Car, comme le dit Cerise, une célibataire de 38 ans qui a visionné quelques-unes de ces vidéos : "On a déjà toutes vu un sexe de femme en plan serré, dans un porno. Sauf que là il n'y a aucun pénis qui vient s'y introduire. Le plan est long, on a le temps de découvrir ce sexe en détail et c'est hyper-pédagogique."
Autant de façons de jouir que de femmes
Mais il est encore plus pédagogique de constater, au gré des vidéos, que ce qui plaßt à Amber ne parle pas forcément à sa voisine de plateforme, qui serait bien incapable de prendre du plaisir ainsi. Comme le résume la sexologue Catherine Blanc2 : "Il y a autant de façons de jouir que de femmes : chacune peut déployer son art personnel en la matiÚre et s'émerveiller à l'infini des capacités de son propre corps."
Car si, comme l'Ă©crivait la romanciĂšre amĂ©ricaine AnaĂŻs Nin, "l'Ă©rotisme est l'une des bases de la connaissance de soi, aussi indispensable que la poĂ©sie", il semblerait que les femmes françaises soient de plus en plus disposĂ©es Ă  se connaĂźtre. En tout cas, ChloĂ©, 31 ans, est formelle : "Moi, pour prendre mon pied, faut que le mec chope le rythme qui va me faire dĂ©coller. Ce rythme, je le connais – et parfois je les laisse chercher
 ou les aide Ă  trouver si le dĂ©sir se fait trop pressant."
Il faut se méfier de l'uniformisation des goûts en matiÚre sexuelle. Au lit, il ne peut y avoir d'autres rÚgles que celles que nous inventons
La jouissance de Céline, 35 ans, doit également assez peu au hasard : "Je me caresse systématiquement le clitoris lorsque je fais l'amour avec un homme. Comme ça, je suis aux manettes : libre de déclencher le point de non-retour au moment opportun."
Autant de techniques individuelles qui ne sauraient constituer un accĂšs au nirvana clĂ© en main, comme le rappelle la chanteuse, danseuse et Ă©crivaine Julia Palombe, qui a fait paraĂźtre un manifeste contre la sociĂ©tĂ© de la mal-baise3 : "Je pense qu'il faut se mĂ©fier de l'uniformisation des goĂ»ts en matiĂšre sexuelle. Au lit, il ne peut y avoir d'autres rĂšgles que celles que nous inventons chaque jour. Croire que le dĂ©sir est figĂ© et qu'il se manifeste toujours de la mĂȘme maniĂšre est un non-sens."
Contre le tout pornographique et ses diktats
En croisade contre le tout pornographique et ses diktats, Julia Palombe incite Ă  nous mĂ©fier des jouissances aussi systĂ©matiques qu'obligatoires. Et Catherine Blanc de rappeler : "La libĂ©ration ne doit pas devenir une nouvelle norme". Car si la jouissance n'Ă©tait qu'une affaire de gestes qui fonctionnent et de corps qui rĂ©pondent, invariablement dociles, aux mĂȘmes stimulations, cela se saurait. Pour beaucoup de femmes, le principal obstacle Ă  une vie sexuelle satisfaisante rĂ©side encore dans un manque de confiance – en elles comme en leur droit au plaisir.
"Je reçois chaque jour des appels d'auditrices qui se soucient moins de leur Ă©panouissement sexuel que de celui de leur partenaire, rappelle ainsi Brigitte Lahaie, qui anime sur Sud Radio une Ă©mission quotidienne consacrĂ©e au sexe. Il est vrai que la parole des femmes s'est libĂ©rĂ©e, mais ce qui se passe sous la couette est loin d'ĂȘtre au diapason. Nombreuses sont celles qui mĂ©connaissent encore leur propre corps, n'Ă©valuent leur vie sexuelle qu'Ă  l'aune de la satisfaction de leur partenaire
 ou attendent de lui qu'il les guide vers leur propre plaisir."
Contrairement aux idées reçues, la sexualité des couples au long cours est souvent plus satisfaisante que celle des amants débutants
Catherine Blanc poursuit : "Pour pouvoir lĂącher prise, il faut accepter le regard de l'autre sur un corps qui ne sera jamais parfait – et, qui plus est, risque de nous surprendre, soumis Ă  l'abandon du plaisir. Ce qui n'est pas toujours Ă©vident dans une sociĂ©tĂ© du contrĂŽle de l'image et du selfie gĂ©nĂ©ralisĂ©." "Peur d'ĂȘtre ridicule, peur d'ĂȘtre laide, peur d'ĂȘtre vulnĂ©rable, peur de s'attacher, dĂ©taille la journaliste scientifique Elisa Brune4 : on ne veut pas se mettre en danger, s'avouer faible, se montrer captive, on veut rester maĂźtre de soi."
Et face à ce regard de l'autre, il y a autant de femmes que de stratégies : quand Céline lùche plus facilement prise "avec des inconnus, qu'elle est sûre de ne jamais revoir", certaines ne parviennent à s'abandonner que dans le cadre confortable d'ébats intimes. "Contrairement aux idées reçues, la sexualité des couples au long cours est souvent plus satisfaisante que celle des amants débutants, note le sociologue Michel Bozon5. La connaissance mutuelle des fonctionnements sexuels comme la confiance entre les partenaires sont indéniablement propices à la jouissance. Mais il est évident que la sexualité s'enrichit aussi au fil des rencontres. Puisque chaque partenaire va dévoiler de nouvelles pratiques et transmettre sa conception singuliÚre de l'acte sexuel."
Emmanuelle se souvient : "Je venais de divorcer, j'avais deux enfants et pas mal de complexes quand j'ai rencontrĂ© Nicolas. Je ne suis plus avec cet homme, mais je me rappelle parfaitement la premiĂšre fois oĂč il m'a expliquĂ©, alors que je cachais mon visage sous la couette, qu'il n'y avait rien de plus jouissif pour lui que de m'observer lorsque je perdais le contrĂŽle."
Ce qu'elle avait peur de lui montrer, lui le considérait comme un cadeau. Ce jour-là, elle a appris la jouissance, s'autorisant à lùcher prise.
Les chants d’elles...
40 notes · View notes
ollymallory-blog · 6 years ago
Text
Chrysalide de souffrance
4 mois et 18 jours sous testostérone.
Chaque matin planté devant mon miroir, je scrute mon visage à la recherche de poils naissants, passant mes doigts sur ma peau devenue rugueuse, épaisse.
Ma mĂąchoire s’est Ă©largie, mon  implantation capillaire a changĂ©e elle aussi. Je suis Ă  la fois heureux et terrifiĂ©. Une boule d’angoisse roule dans ma gorge, et je remarque que mon coup aussi est diffĂ©rent. Il semble plus large et massif, comme mes Ă©paules robustes, dĂ©formĂ©s par les injections mensuelles.
J’aimerai pleurer mais je n’y arrive plus. Depuis que je suis sous testostĂ©rone, ma façon de gĂ©rer mes Ă©motions, ou plutĂŽt de me faire submerger par elles a radicalement changĂ©. Je ne m’attache plus aux personnes, je ne tombe plus amoureux, je me trouve distant et dĂ©tachĂ©.
Incapacité à pleurer ou à me morfondre.
J’aurais tout donnĂ© pour ressentir cette froideur Ă©motionnelle avant, mais aujourd’hui elle m’effraie.
La sonnerie de mon tĂ©lĂ©phone m’arrache Ă  mes pensĂ©es, affichant Ă  l’écran un numĂ©ro inconnu.
C’est un client, il veut me rencontrer chez lui ce soir, pour une heure. Il me demande si je peux me vĂȘtir d’une robe noir et d’une paire de talons. Je soupire. L’idĂ©e de porter une robe me met mal Ă  l’aise, mais j’ai besoin d’argent. J’ouvre mon placard et choisi une petite robe noir, un peu ample pour ne pas me sentir trop Ă  l’étroit. Je me trouve affreux, mes Ă©paules sont larges et massives, mon visage dĂ©formĂ©.
C’est comme si j’étais un imposteur dans cette petite robe, avec mon corps Ă©tranger. Un corps qui n’était pas encore mien, que j’allais devoir apprivoiser doucement.
Parfois, j’ai envie de balancer mes ampoules d’Androtardyl par la fenĂȘtre, de les Ă©clater au sol pour ne plus ĂȘtre tentĂ© de les injecter dans mes muscles. Retrouver cette silhouette dite fĂ©minine, que je trouvais pourtant repoussante Ă  l’époque, mais me manque dans les instants d’insĂ©curitĂ©s.
La vie me semblait plus facile quand j’étais perçu comme une femme cis, et pourtant, c’était loin d’ĂȘtre le cas, mais mon cerveau me joue des tours dans les moments de doutes.
J’ai grandi avec une Ă©ducation sexiste, qui m’a toujours appris que je devais ĂȘtre belle, fragile, drĂŽle mais sans ĂȘtre envahissante, salope pas trop. Mon rĂŽle Ă©tait d’ĂȘtre dĂ©vouĂ© aux hommes, de les craindre aussi, mais de toujours rĂ©pondre Ă  leurs besoins jugĂ©s plus importants que les miens.
Jusqu’à mes 15 ans, j’étais toujours fringuĂ© dans le rayon «homme ». Je cachais ma poitrine naissante avec des bandages, je trouvais les filles ennuyantes tout en les aimant secrĂštement. J’étais dans une petite bulle de confort, cachĂ© derriĂšre mes T-shirt XXL, protĂ©gĂ© de la rudesse et de la violence de cette sociĂ©tĂ© patriarcale.
C’est autour de mes 17 ans que j’ai compris les pseudo-avantages de porter des vĂȘtements prĂšs du corps. En sortant dans les bars le soir, j’avais droit Ă  des verres de vin et de l’attention. Beaucoup d’alcool et d’attention. Ce que je traduisais par de l’amour. J’avais besoin qu’on m’aime, profondĂ©ment, inconditionnellement. Alors je sortais toutes les nuits, toujours plus aguicheur, dans l’espoir d’apaiser mes carences affectives.
J’ai toujours vĂ©cu avec l’idĂ©e que plaire Ă©tait au centre de tout, et que ma « fĂ©minité » et toutes les injonctions et les standards qui vont avec Ă©taient comme un espĂšce d’enclos : Il prive d’une libertĂ© mais rassure et protĂšge ceuxelles qui restent Ă  l’intĂ©rieur.
En prenant de la testostĂ©rone, j’ai pris la dĂ©cision de quitter ce havre de violence par amour pour moi, en privilĂ©giant ce qui me semblait ĂȘtre juste et fluide.
Je travaille en tant que meuf cis pour des clients hĂ©tĂ©ros car c’est plus simple pour moi, la demande est plus forte et cela paye mieux. Je n’ai aucun problĂšme Ă  porter des robes ou du maquillage, mais voir son corps changer, se « masculiniser », s’épaissir, alors que tu es censĂ© reprĂ©senter une image fĂ©minine standardisĂ©e, c’est dĂ©stabilisant et j’ai peur que le client sente que je ne suis pas totalement une femme. C’est extrĂȘmement binaire comme discours, mais c’est volontaire, je ne cherche pas ici Ă  dĂ©construire le genre, mais Ă  exprimer un ressenti Ă©motionnelle qui ne concerne que moi, une personne assignĂ©e femme Ă  la naissance, ayant grandi avec une Ă©ducation rĂ©servĂ©e aux femmes.
Mon tĂ©lĂ©phone vibre deux fois. Un sms s’affiche et je commence alors Ă  paniquer. Mon client s’impatiente, il veut savoir si je vais la porter, cette foutue robe.
Je rĂ©ponds machinalement un oui avec un smiley content, pour montrer que je suis quelqu’un de sympathique ( connard ).
Il me rĂ©pond qu’il a hĂąte, et que je suis une trĂšs belle femme. Je suis pris d’une frisson de dĂ©goĂ»t . J’ai envie de pleurer, mais je ne peux plus, et puis j’ai du mascara plein les yeux alors ce n’est pas le moment.
La testostĂ©rone me donne une furieuse envie de baiser, j’en profite alors pour dĂ©brancher mon cerveau et me persuader qu’une bite pourrait me soulager.J’enfile mes baskets et je fourre mes talons dans mon sacs, histoire de ne pas souffrir inutilement dans le mĂ©tro mais de rester dĂ©sirable pour mon cher client hĂ©tĂ©ronormĂ©.
Je suis prĂȘt Ă  partir, mi angoissĂ© mi excitĂ©. Des images d’un porno matĂ© la veille dĂ©filent dans mon esprit, je crois qu’il s’agit d’une femme de plus de quarante ans, avec des faux seins Ă©normes qui suce un mec carrĂ©ment moche dans un bar. MĂȘme mes dĂ©sirs et mes fantasmes ne sont plus les mĂȘmes depuis la T.
Tant que ça me fait bander, c’est trùs bien, j’ai juste besoin de ça pour baiser avec mon client. Oui, car c’est moi qui le baise, il pense que je suis à son service, mais dans l’histoire, moi je me fait payer pour tirer mon coup. Et ça, c’est bandant.
Dans le mĂ©tro, je sens les regards posĂ©s sur moi, chose qui ne m’arrive plus depuis que mes jambes sont pleines de poils et que je binde mes seins. Aujourd’hui je suis en robe et maquillĂ©, alors c’est diffĂ©rent, je redeviens une femme baisable pour la sociĂ©tĂ©, un morceau de viande avec des trous pour fourrer sa queue dedans. Je dĂ©teste les hommes, je ne veux pas en devenir un, mais je ne veux pas non plus ĂȘtre une femme.
A cette milf blondes aux seins Ă©normes de resurgir dans ma tĂȘte, je me laisse vaguer dans mes pensĂ©es, loin des connards voyeurs souterrains. Je ne reconnais plus mes fantasmes, je me sens honteux d’avoir des dĂ©sirs aussi hĂ©tĂ©ronormĂ©s. J’évite de politiser ma vie sexuelle mais c’est plus fort que moi, je voudrais me branler Ă©thique, mais je n’y arrive plus depuis la T.
Pour m’éviter de sombrer dans ce cercle de culpabilitĂ©, je pense Ă  mon client, Ă  sa queue, Ă  la tune qu’il va me donner, je pense aux amandes bio hors de prix que je vais pouvoir me payer aprĂšs ça, et cette pensĂ©e me rĂ©chauffe le cƓur, et pas que.
ArrivĂ© devant chez lui, c’est la panique.
Je ne peux pas le faire, il va sentir la testostĂ©rone, c’est certain, il va cramer que je ne suis pas une fille, mais pas non plus un mec, jamais il ne voudra me payer ni me baiser. Putain, pourquoi est ce que je me suis embarquĂ© lĂ -dedans. C’est toujours la mĂȘme rengaine en arrivant devant chez les clients : panique, dĂ©couragement, peur, stress puis je monte et finalement je me calme.
 Je l’imagine se moquer, me dire que je suis laide et m’invalider. Lui, ce mec de plus de cinquante ans qui me paye pour  me baiser, il a se droit là, celui de me juger sur mon physique et de me faire me sentir nul.
Je déteste mon éducation.
Je déteste les hommes.
Je déteste mon conditionnement.
32 notes · View notes
lapstime · 6 years ago
Text
La fragilité;
Je vais te dire honnĂȘtement. Qui je suis en dedans. Je suis cette femme forte. Je suis cette femme blessĂ©e. Je suis cette femme qui encaisse, je suis cette femme qui pleure. Celle qui a ses dĂ©fauts, qui aimerait qu'on les accepte plus facilement. Celle qu'on a su dĂ©truire, celle qui s'est reconstruite grĂące Ă  eux. Sous le masque du rire, du sourire, ma tronche inerte et inexpressive. Les larmes en dedans les Ă©clats de rire en dehors. J'en ai assez de ma gĂ©nĂ©ration. Je peux le dire? Est-ce que je peux dire que le "toujours plus et toujours mieux" m'Ă©puise et me donne une gerbe qui vient des tripes? Peut-on dire Ă  quel point on trouve ça abject de partager quelques moments intenses pour tout niquer en l'espace de trois secondes? Pour te prouver Ă  quelle point tu peux ĂȘtre insignifiante? Virtuel de mes couilles. C'Ă©tait son cas Ă  lui mais j'ai vĂ©cu pire. Parfois j'ai envie d'Ă©voquer vraiment tout ce que j'ai vĂ©cu avec lui, mais j'ai mis du temps Ă  me rendre compte que certaines de nos baises Ă©taient simplement du viol. Il ne m'a jamais fait l'amour et je trouvais ça normal. Je trouvais qu'au final on pouvait se faire baiser tout le temps sans tendresse tant que l'autre te prouvait son amour aprĂšs mais j'avais salement tort. J'Ă©tais juste une poupĂ©e de chiffon sous l'emprise de son tortionnaire aux yeux d'amour. Une poigne de force et sa bouche en cƓur. J'ai chialĂ© comme une merde samedi soir, parce que j'avais mal en dedans. De cette soirĂ©e une semaine avant oĂč j'ai criĂ©, oĂč j'Ă©tais une vieille soularde de merde en pleine rue Ă  dĂ©baller des pensĂ©es qui me dĂ©passaient. J'avais mal en dedans de le voir se vendre quelques heures Ă  peine aprĂšs m'avoir fait l'amour,  notification, "A. a ajoutĂ© une nouvelle photo sur son compte Tinder" et moi il m'a enlevĂ© encore un peu de fiertĂ© et dĂ©foncĂ© mon Ă©go. Je les dĂ©teste Ă  agir comme ça, je me dĂ©teste Ă  plus ressentir les choses normalement, Ă  pleurer un jour et Ă  oublier le lendemain. Je les dĂ©teste Ă  revenir quelques mois plus tard, car j'Ă©tais une meuf gĂ©niale avec des principes mais ça bouffon il fallait s'en apercevoir avant. On me demande ce que je cherche, pourquoi je suis encore seule mais voyez-vous bande de cons, Ă  baiser Ă  tout va comme si rien n'avait d'importance que votre queue dans une chatte, que de baiser plusieurs meufs, de surtout rien montrer de vos sentiments car ça fait canard, mais y'a personne dans ta mare. Et puis je dis ça pour eux, mais on est tous touchĂ©s, j'ai du lire le SMS d'un pote Ă  qui la nana lui disait qu'elle Ă©tait pas attirĂ©e par lui, qu'elle le trouvait laid alors qu'ils avaient baisĂ© trois fois ensemble. GĂ©nĂ©ration de menteur, mais Ă  soi-mĂȘme avant tout. GĂ©nĂ©ration Kleenex qui m'embrouille le cerveau et me bousille le cƓur. GĂ©nĂ©ration consommation, avec de moins en moins de principes, de respect. Alors Ă©videmment qu'il y a des perles, des personnes biens, et j'en ai des preuves autour de moi. Mais par pitiĂ© Ă©pargnez-nous de votre mĂ©chancetĂ© gratuite, putain. Soyez honnĂȘtes avec vous mĂȘme ! Et peut-ĂȘtre que vous arriverez enfin Ă  l'ĂȘtre avec les autres...
4 notes · View notes
ipar-ekialde-blog · 6 years ago
Text
Oublier mes souvenirs Ă©gare mon corps Ă  corps avec la rĂ©alitĂ©. Le nom d’un bar dans le Sud, la vision d’un restaurant de mon enfance, puis ça monte terriblement, et terriblement suis-je immobile, rĂ©fractaire Ă  toute avancĂ©e : inspirer est une avancĂ©e quelconque. J’ai peur. 
Qu’en est-il d’oublier la victime du coupable ? Faire l’amour redonne la fumĂ©e Ă  la puissance. Avant de le faire, le corps Ă  corps avec la rĂ©alitĂ© parait insoluble et donc impĂ©rieux, le corps Ă  corps sexuel dĂ©fait et conjure l’esquisse d’un affrontement absent entre moi et le petit reste. Je ne suis pas sur-puissant, je ne suis pas ailleurs, je suis lĂ  oĂč j’ai mon sexe et lĂ  ou elle a le sien, je suis fait pour ça, et c’est vite essoufflant d’ĂȘtre-avec-l’autre-sexe, qu’aucun n’en sachent plus et de le savoir, qu’une case se dessine. La rĂ©volte, c’est l’abstinence. La rĂ©demption, c’est l’incontinence sexuelle. RĂ©duit Ă  la paix, aux sensations de tous, je vibre et tu vibres par moi. RĂ©union dans la paix : l’Accident fut peint. L’Accident fut peint. Le destin est devenu sexuel. Ou l’a-t’il toujours Ă©tĂ©, je ne connais rien Ă  l’Histoire. Peu importe au fond, le fond est faible, le fond faible s’appelle peau, ce qui s’appelle peau s’appelle destin, sexe, naturelle reprise de la jouissance en compagnie, naturelle jouissance Ă  sourde voix d’homme. Ceux qui se mirent n’ont pas de destin sexuel ou qu’il est difficile. Ce n’est pas l’image qui s’empĂȘtre en nous, c’est nous-mĂȘme qui sĂšche en sĂ©diments. LĂšche ta peau avec ta langue surtout, et tu y sentiras la tour. Le sexe accĂ©lĂšre le futur de la mort, mais il permet la vie humaine. Ta part sexuelle, c’est la douce part autrement tienne. Ta part d’interrogĂ© par ce qui se prĂ©sente, c’est la paralysie tienne. L’Accident fut peint par mon meilleur ami. Il aurait pu ĂȘtre par un autre. Importe que ce soit le mien. Vous pourrez en avoir d’autres, plusieurs peut-ĂȘtre. J’ai au moins le mien.
T’es dans le train  ? Oui, Maman, je suis dans le train, ils m’ont bien emmenĂ©, personne n’a parlĂ© de l’horreur de la mort, c’est pour cela qu’ils n’avaient de bagages. Merci pour noeud Ă  mon col ce matin, mes cheveux blonds, et mon chien. Je t’embrasse si fort que tu oublieras comment c’était que je l’avais pensĂ© faire. C’est dommage que nous ne pĂ»mes nous serrer mais il Ă©tait tĂŽt et tes yeux ensommeillĂ©s. Je comprends, je t’ai aimĂ© et je t’aime. J’ai Ă©tĂ© ton fils. LoĂŻs (qui ne su dire en son jamais, au revoir Ă  ses soeurs-amis-parents)
Exploitez-moi : regardez-le, il mettrait un cri obĂšse en branle. Sa peau, regardez sa peau, oh mon petit dieu de gloire, oh mon seigneur lumineux, regardez-lĂ , bonsoir bon sang ! Ça ce n’est pas rien, assurĂ©ment, c’est le moins que l’on puise, puisse oser dĂ©duire. Sacrerouge ! Ma parole blĂȘme ! Ses marques sur son visage, et il ne peut user du mot adĂ©quat, du mot correct, et il existe ce mot, en divers registres, selon les procĂ©dĂ©s employĂ©s on y a recourt sous ses appellations divergentes, mais non, malgrĂ© ces occurrences, il n’en fait qu’à son visage, cela n’a vraiment ni queue ni tĂȘte, oui c’est le cas de dire, cela en fait vraiment qu’à son corps. Mais alors, le corps, non, les pustules non. J’ai regardĂ©, ça va, franchement, avec franchise, je trouve ça normal. La graisse ? Pas outre-mesure. Du superflu, oui. Qui ne tiendra pas chaud non. Du superflu inconsĂ©quent. Du laisser-aller au milieu des muscles. De la tendance Ă  engloutir moi je dis, voilĂ  ce que c’est. Puis aussi, il faut dire, la peau molle, moelleuse. Mais ce qu’on retient le plus, enfin ce qui retint mon attention, et Ă  son apogĂ©e !, oui, oui sans enjoliver, je vous le dis et l’affirme et maintient cette affirmation, ce qui retint toute mon attention, et il faut le faire ah ça oui, ça n’arrive pas tous les soirs, prenez Madame Canard, enfin non, laissons-lĂ  de cĂŽtĂ© la bonne femme, j’en ai dĂ©jĂ  assez sur les pĂ©dales avec cette pauvre queue de cheval, quetsche qui gonfle et qui ronfle et qui gratte aux portes, oh Seigneur, y penser me donne le tournicoti du mĂ©nage, manĂšge, mais l’un ou l’autre, pas ma tasse de cafĂ©, je peux le dire moi, oui, Ă©coutez, ce qui retint ma parole, mon souffle, mon coeur jusqu’à la pile qui allonge la paix qui m’a Ă©tĂ© octroyĂ©, gentiment ?, eh oh je ne sais pas moi, pas moi de juger, jamais bon pour le jugement l’Antonio, je l’ai rĂ©pĂ©tĂ© mille fois par saccade de deux et ces bon vieux loups dĂ©guerpis m’en remettaient des couches de questions de problĂšmes de dĂ©lires puants infects comme la cuvette des cuvettes pour que j’y dise un mot moi, qu’ils disaient, comme ça, oui oui, comme ça, dis en un mot, et moi je finissais, finissais par dire quoi, ah quoi bon rĂ©sister, c’est qu’il est pas mordu l’Antonio, et pas foufou avec ça bande de rats frĂȘles de sauterelles mal baisĂ©es enfin bref je m’égare. Il avait des pustules sur la peau, et il se les infligeait, maintenant que le discours est ratĂ©, donc Ă©chouĂ©, je peux en reparler, j’ai fais taire le sĂ©rieux, j’ai cachĂ© la rĂ©vĂ©lation, l’emploi du mot, des mots-mĂȘme ne feront aucun mal, et donc ses pustules qu’il se confectionne, il les porte, il se dĂ©goĂ»te, il est dĂ©goutant, quelques pustules comme ça, rouges, sĂšches, pleines de vomis, pleines de pus du coeur, de coulis de fraise melba qui se mouche dans un bol de punaise encanaillĂ©es, Ă  la rue, volant, vidant leurs entrailles sur leurs congĂ©nĂšres tarĂ©s, les tapins, les lapins, les fous hurlants, les fouetteurs, les fouettĂ©s, les cageots, les minables, les strabismes, les enculĂ©s, les garces, les minutes qui obĂ©issent au doigt de l’oeil, qui ne connaissent ni l’autoritĂ©, ni la vraie saveur du commandement, et qui s’offrent qui s’offrent les dĂ©goutants les calvaires ah les calvaires. Sa peau au regard des autres, comme ça, mĂȘme la forĂȘt ça lui fait mal, ça la casse en deux je te parle mĂȘme pas, aprĂšs faut rameuter les bucherons qu’ils y viennent tailler les branches qui pĂštent les plombs et faut recoller les jointures des extrĂ©mitĂ©s des faons et des paons que leurs mĂąles puissent les culbuter ou bien les corbeaux quoi, les corbeaux toujours Ă  l’affut en nos forĂȘts, un coup Ă  tirer et c’est parti avec le petit kiki d’Antonio ! Faut pas se plaindre ni plaindre, on est tous dans le mĂȘme gueuleton et le journal est crade et je sais pas lire et l’abruti du coin, pilier de comptoirs salĂ© par la bave chaude de l’étĂ© et de l’hiver, mais c’est qu’il le suce ce comptoir le frelon gai, je lui dĂ©boiterais la mĂąchoire moi si je l’avais pas empĂȘtrĂ© dans le cul de ma femme la plupart du temps oĂč je me laisse aller Ă  faire chier les minettes en elles, toutes les minettes de la terre qui constituent le sol oĂč j’ai fais bĂątir ma maison, et oui je les encule, je les encule bien fort, j’arrache les ailes des mouches, je les transperce de cure-dents, mon poing doigt je l’ai appelĂ© cure-cul en souvenir de l’anus de ma femme qui ressemble Ă  une bouche plus qu’à une dent et la derniĂšre fois que je la cognais si fort, aprĂšs avoir enfiler mon cognac rasade aprĂšs rasade et liqueurs sur liqueurs, liqueurs Ă  la menthe, menthe parce-que j’ai la menthe qui pousse en bas de chez moi, Ă  cĂŽtĂ© du poteau Ă©lectrique, en face de chez Samy, et sa dent est partie Ă  la mioche, je lui ai calĂ© dans le fion et vraiment on Ă©tait pas loin de la bouche, un tour de rouge Ă  cul et c’était bon, une vraie petite parole que j’avais dĂ©nichĂ© lĂ , et pas comme les autres, ça je vous le dis, pas comme les autres. Enculer et transpercer je vois pas la diffĂ©rence, mouches, femmes, renards, poulettes, chiots, quelle diffĂ©rence ? Enfin ce gars, une de ces envies de l’enculer avec une lame, mon petit couteau suisse, je l’appelle mon petit bougnoul, en l’honneur des bougnouls du coin, ces suceurs de teub basanĂ©s qui viennent pleurnicher Ă  ma porte quand “il ne pleut plus”, c’est-Ă -dire le sperme ne coule plus dans leur estomac, ne dĂ©gouline plus dans leurs tuyaux bons marchĂ©s de mes deux, et alors vite fait bien fait j’en remets un coup, vite fait mal fait plutĂŽt car rien ne bon ne peut arriver Ă  ces corps-lĂ , attendez, vous avez dĂ©jĂ  touchĂ© un bougnoul, on peut rien en faire, mĂȘme le meilleur baiseur du monde peut rien y faire, tout est pourri, rĂŽti, depuis la nuit des culs lĂ -dedans. Si je me passais pas la teub dans la bouche de ma femme, Ă  l’arriĂšre ou Ă  l’avant, aprĂšs, croyez-moi elle n’aurait plus fais que pisser de la salive de taureau chez le boucher, si vous voyez ce que je veux dire. Enfin ce gars, je l’aurais enculĂ© en le poignardant, non pas en mĂȘme temps, suivez !, je l’aurais enculĂ© avec ma lame, sa peau, dĂ©figurĂ©e, pourtant belle gueule, traits de clown et disgracieux, je vous l’accorde, un triple-menton invisible dĂ©formait la tenue de son visage dĂ©gueulasse, surtout de profil, une gargouille qui imite une couille couverte de fiente, vous voyez le topo, et bien moi sa gueule je la retaperais bien contre la porte des chiottes, je rentre derriĂšre lui, j’enlĂšve ma ceinture, je lui fouette les seins tĂ©tĂ©s de sa mĂšre Ă  travers lui, je donne des grandes fessĂ©es que j’empile sur le cul nul blanc de son pĂšre Ă  travers son cul Ă  lui, et ses soeurs, je les baise Ă  en mourir d’envie de chier partout, et ses aĂŻeuls je les presse pour le jus macĂ©rĂ©, non je les fourre de mes chaussettes et avec leur salives sur mes sapes je sais plus ce que je fais j’ai oubliĂ©, ah oui chaussettes dans gorges, crachats oreilles, et je les presse pour le vin, bon vin rance, dĂ©confit et bouchonnĂ© Ă  coup sĂ»r, mais les meilleurs trous font les meilleurs jus, garanti, je suis un testeur de la vieille. Ce gars-lĂ , je comprends pas, pourquoi il est si moche, si laid le mec, un caneton, un vrai caneton, un dindon, un vrai dindon, et ce n’est que quelques pustules, ni des milliers, ni les pires, mais ce serait mieux Ă  vrai dire, ce serait juste un gros dĂ©gueulasse dans ce cas, mais non, c’est trois-quatre qu’il rĂ©vĂšle et dans son regard le regret le regret d’un gros dĂ©gueulasse qui se masturbe Ă  mĂȘme la peau qui dort en plein dans la rue dans la poubelle pour qu’apparaisse enfin sa vraie nature, sa vraie nature rouge d’üles. Il est ignoble et il sort ainsi, il ne peut se cacher, trop dur, ça se voit trop, il est malade, une maladie terrestre, ni pour l’enfer, ni pour le paradis, aucun des deux ne doit se divertir dans la fange en ruine des Ăąmes perverties jusqu’aux yaourts au miel que font leur spermes durs, non, il est trop malade, c’est un juif. Et les juifs croyez-le ou non ce sont les dĂ©lices.
0 notes
carpe-coitum · 8 years ago
Text
Littérature de Boudoir (1) : Contes de la folie ordinaire, C. Bukowski.
Salut, Tumblr.
Il y a quelques semaines, je te proposais une chronique rĂ©guliĂšre sur la littĂ©rature Ă©rotique. Tu as rĂ©pondu plutĂŽt trĂšs positivement ce qui m’a encouragĂ©e Ă  prendre la plume. Si j’arrive Ă  maintenir un bon rythme, j’en entamerai peut-ĂȘtre d’autres, sur la littĂ©rature horrifique par exemple. Nous verrons.
Dans l’espoir de servir ce noble projet, j’ai dressĂ© un rapide inventaire des Ɠuvres tendancieuses que contient ma chĂšre bibliothĂšque : on a de quoi faire. J’ai hĂ©sitĂ© quelques temps Ă  commencer par une Ɠuvre voilĂ©e de pudeur, par une sensualitĂ© de miel. Pour ne pas choquer tes chastes yeux. Et puis je me suis souvenue que tu Ă©tais un fifrelin sans Ăąme – oui, toi - alors, commençons avec du lourd de chez lourd : bienvenue chez Bukowski !
Si ton esthĂ©tique Ă©rotique se rapproche de la description Ă©thĂ©rĂ©e d’une nymphe blonde et pure sortant de l’écume
 Des sacs Ă  vomi seront distribuĂ©s dans les commentaires. Vous avez tous pris un Vogalib ? C’est parti !
 L’auteur du crime : Charles Bukowski.
 Bukowski, c’est avant tout une gueule :
Tumblr media
Une gueule toujours ouverte et avinĂ©e. Ce joli coeur est nĂ© en l’an de grĂące 1920 Ă  Andernach, en Allemagne. Alors qu’il Ă©tait Ă  peine capable d’aligner trois mots, ses parents dĂ©cident d’émigrer aux Etats-Unis. Charles grandit alors dans le contexte charmant de l’émigration des annĂ©es 20, en pleine crise Ă©conomique. Papa est violent, alcoolique et complexĂ© par son absence de rĂ©ussite sociale. Maman est soumise, discrĂšte et battue. Charles, lui, s’évaderait bien dans des relations amicales enfantines si elles ne lui Ă©taient pas interdites ; tout comme il se serait volontiers abandonnĂ© Ă  des amours adolescentes si une acnĂ© dĂ©vastatrice ne l’avait pas transformĂ© en monstre de foire. Incapable de se faire remarquer par autre chose que sa laideur, l’adolescent torturĂ© se tourne... Vers la littĂ©rature. Attention, il ne s’est pas contentĂ© d’ouvrir une page tumblr pour y dissĂ©miner des vers plats et prĂ©tendument profonds d’artiste-adolescent-incompris-qu’a-pas-eu-le-dernier-IPhone-p’tain-trop-injuste-la life. Non, d’une part parce que Tumblr n’existait pas, d’autre part parce que le Bukowski adolescent ne s’est pas tournĂ© vers la poĂ©sie pour ajouter la touche finale Ă  son look de hipster trop hype. C’est dans l’expĂ©rience de la laideur et de l’exclusion que se forme l’embryon de la littĂ©rature Bukowskienne et, tu le verras, c’est important pour la suite.
AprĂšs, son certificat d’étude, le jeune et pas si fringuant Bukowski dĂ©bute une vie d’errance Ă  travers les Etats-Unis. Il enchaĂźne les petits boulots, les femmes et les cuites au rythme de ses pĂ©rĂ©grinations. Papa et Maman sont tellement charmĂ©s par ce circuit formateur qu’ils annoncent aux voisins que leur fils est mort. (Le Prix des meilleurs parents d’auteur est attribuĂ© Ă Ă Ă Ă Ă Ă Ă ... M’sieur et M’dame Bukowski qui dĂ©passent de peu DostoĂŻevski PĂšre) Il faudra d’ailleurs attendre que Papa et Maman aient la dĂ©cence de trĂ©passer pour que la carriĂšre littĂ©raire du fils reniĂ© puisse dĂ©coller rĂ©ellement. EngagĂ© par la Poste, Charles s’installe quelque temps Ă  Los Angeles oĂč il commence Ă  se faire publier dans des revues. On l’invite dans le milieu littĂ©raire, Ă  des soirĂ©es : il fuit Ă  toutes jambes l’Intelligentsia amĂ©ricaine qui le rĂ©pugne (et qu’il rĂ©pugne d’ailleurs) pour se poser en ermite alcoolique et infrĂ©quentable.
Parmi ses plus grands succĂšs, on relĂšvera Journal d’un vieux dĂ©gueulasse (1967), Les jours s’en vont comme des chevaux sauvages dans les collines (1969) et Women (1978). Au milieu de tous ces ouvrages se niche celui sur lequel on va s’appesantir aujourd’hui, toi et moi : Contes de la folie ordinaire. T’es ready, baby ? Go. L’objet du crime : Contes de la folie ordinaire, 1972.
Ce recueil de vingt nouvelles a Ă©tĂ© publiĂ© sous le titre de Erections, Ejaculations, Exhibitions and General Tales of Ordinary Madness. L’unitĂ© du recueil tient dans la mise en scĂšne d’une sexualitĂ© dĂ©bridĂ©e, violente et tragique. Si nous devions rĂ©sumer l’oeuvre en trois mots : Baise, Cuite et Crasse. Le mouvement que soutient Bukowski, souvent nommĂ© “rĂ©alisme sale” -je ne suis pas d’accord avec cette appelation ceci dit- explore les abysses des rapports humains dans ce qu’ils ont de plus crades et bas. Le lecteur Ă©volue dans l’oeuvre comme on marcherait pieds nus sur une moquette noire de crasse, en slalomant entre les bouteilles vides et les capotes usagĂ©es.
Tumblr media
Avant de traiter l’oeuvre plus en profondeur, il convient de faire un petit rappel sĂ©mantique. Promis, Tumblr, ce sera pas long et puis en plus on parlera de techa.
Dis, Baba, c’est quoi la diffĂ©rence entre porno et Ă©rotique ?
Mais enfin, Jamie, c’est pas sorcier ! Voyons ce que nous en dit le TLFI (TrĂ©sor de la Langue Française InformatisĂ©e) : “PORNOGRAPHIE - Subst. FĂ©m. ReprĂ©sentation (sous forme d'Ă©crits, de dessins, de peintures, de photos, de spectacles, etc.) de choses obscĂšnes, sans prĂ©occupation artistique et avec l'intention dĂ©libĂ©rĂ©e de provoquer l'excitation sexuelle du public auquel elles sont destinĂ©es.” ; “EROTISME - Subst. Masc. CaractĂšre de ce qui a pour thĂšme, pour inspiration, l'amour charnel. Remarque : L'Ă©rotisme se distingue parfois mal de la pornographie, et il embarrasse ainsi les censeurs. Pourtant, il nuance le but commun, procurer le plaisir gĂ©nital, en l'enveloppant d'esthĂ©tique, en suggĂ©rant plus qu'il n'impose. Entre ce raffinement et la brutale obscĂ©nitĂ©, la diffĂ©rence est aussi grande, a-t-on pu Ă©crire, qu'entre un vin de grand cru et un autre trĂšs Ă©pais.” Pour faire simple, l’érotisme c’est ce qui fait glousser ta tante coincĂ©e lorsqu’elle a un coup dans le nez Ă  NoĂ«l et que les danseurs du Plus Grand Cabaret du Monde dĂ©barquent torse poil ; la pornographie c’est ce que tu caches dans le dossier “Discographie complĂšte de Dalida”, dans les trĂ©fonds de ton PC. L’érotisme suggĂšre, la pornographie exhibe. L’érotisme concerne l’ĂȘtre entier, la pornographie se focalise sur les techa et les tebi. Okay ? Des questions ? On continue.
Mais alors, les Contes de la folie ordinaire, c’est porno ?
Sans aucun doute, oui. Les nouvelles sont presque toutes obscĂšnes et la reprĂ©senta... Quoi ? Tu ne me crois pas ? Je vais vraiment ĂȘtre obligĂ©e de citer le texte ? Bon. Accroche toi Ă  slip, ma caille. Prenons pour exemple ce charmant passage du Petit Ramoneur  oĂč un homme subit un sort de la part de sa sorciĂšre de femme qui le fait rapetisser jusqu’à la taille ubuesque de vingt centimĂštres. Tu as peur ? Tu peux. Les sensibles, on prend son sac Ă  vomi et on pense Ă  autre chose : “J’ai fini ma biĂšre et l’horreur est arrivĂ©e, la pire des horreurs. Sarah m’a soulevĂ© et m’a posĂ© entre ses cuisses Ă  peine Ă©cartĂ©es. Je me suis retrouvĂ© nez Ă  nez avec une forĂȘt. J’ai bandĂ© mes muscles, me doutant de la suite. On m’a enfoncĂ© dans une nuit puante. J’ai entendu Sarah gĂ©mir. Puis Sarah a commencĂ© Ă  me faire subir un va-et-vient trĂšs lent. Je l’ai dĂ©jĂ  dit, la puanteur Ă©tait insupportable, c’était dur de respirer mais j’y arrivais quand mĂȘme - il y avait des poches d’oxygĂšne dans les plis.”
On est loin de la description tendre de la courbe d’un sein, hein ? Alors, oui, la majoritĂ© des contes est particuliĂšrement pornographique. Mais cela les prive-t-il d’érotisme ? Et bien non. Il y a tout de mĂȘme un Ă©rotisme troublant chez Bukowski, et cet Ă©rotisme vient du tragique. Prenez de la pornographie, ajoutez-y un peu de violence, pas mal de dĂ©sespoir, un soupçon de tragique et BAM ! ça fait - non, pas des Chocapic- de l’érotisme. Un Ă©rotisme dĂ©rangeant, un Ă©rotisme difficile. Un Ă©rotisme coupable.
Baba, t’as dit tout Ă  l’heure qu’on devait se rappeler que la naissance de l’esprit littĂ©raire de Charles s’était faite dans la laideur, tu comptes en parler oĂč tu nous as pris pour des cons ?
Calmos, Tumblr, oh. Oui, la laideur et son esthĂ©tique ont une place trĂšs importante dans les contes. Le recueil s’ouvre sur La Plus Jolie Fille de la Ville  oĂč le narrateur “l’homme le plus laid de la ville” tombe amoureux Ă©perdu de Cass, la plus jolie fille de la ville. Leur liaison est tumultueuse, jusqu’à ce que Cass ne se suicide. Ainsi, le recueil s’ouvre sur le suicide la beautĂ©. Bukowski annonce le ton, la beautĂ© n’a pas sa place ici, elle est remplacĂ©e par la laideur Ă©trange des femmes famĂ©liques et Ă©dentĂ©es, des hommes bedonnants et sales. Et c’est lĂ  qu’on touche au gĂ©nie de Bukowski. Le bonhomme arrive quand mĂȘme Ă  faire naĂźtre l’érotisme le plus bouleversant de la littĂ©rature de son Ă©poque sur une base de pornographie crade, en immolant la beautĂ© dĂšs les premiĂšres pages. Respect.
Seulement, faut-il rĂ©sumer l’intĂ©rĂȘt des contes Ă  cet Ă©rotisme troublant ?
Non, bien sĂ»r que non. Bukowski est un auteur plus complexe que cela. Cet Ă©rotisme dĂ©voile, par son incongruitĂ©, toute la violence et la misĂšre d’une sociĂ©tĂ© qu’on tente d’épurer, d’idĂ©aliser Ă  outrance. Son oeuvre ne dĂ©peint pas que la valse morbide d’alcooliques fornicateurs et injurieux, elle dĂ©voile au monde la profonde agonie des rapports humains que l’attrait de l’harmonie -esthĂ©tique et spirituelle- place perpĂ©tuellement en posture de frustrĂ© suppliciĂ©.
Alors, Tumblr, toujours entier ? Si tu as tout lu, bravo. Si tu n’as pas eu de haut-le-coeur, fĂ©licitations. Si ça t’a plu, dis-le. Si tu as des questions, propositions, idĂ©es, n’hĂ©site pas. C’est un premier essai que j’espĂšre concluant. En attendant, je te laisse entre les pages d’un bon bouquin et je t’embrasse. @quemajoiedemeure ; @biomorphisme ; @moodyshae ; @fleursarctiques ; @aliceaupaysdeladrogue : vous Ă©tiez pour, voilĂ  chose faite !
29 notes · View notes
evaspleen · 2 years ago
Text
Date: 2022/09/20
Title: soumise Ă  de laides et vicieuses brutes.
L'homme était laid, trapu et costaud son visage était monstrueux comme frappé de mille coups et cicatrices l'expression qu'il avait alors qu'il bourinait la fille qui hurlait le corps cambrés par les cheveux empoigne.etait rustre et violente.
"tu vois il baise une pute, sa laideur fait fuir les femmes et toi tu vas leur donner envie je vais te donner Ă  baiser Ă  ce monstre regardes bien."
La caméra filmait le cul travaillé par une queue énorme et longue
Il l'enfoncait jusqu'aux couilles et lui fourait de coup de reins violent.
la pute hurlait et bougeait son cul pour aller plus loin, elle mis sa tĂȘte au sol et Ă©carta bien sa fente pour y accueillir la queue qui la defoncait.
"c'est ça...couine salope.t'es.une.bonne pute, t'aime ça allez prends ça et dis le que t'aime la queue.
Oui oui j'aime la queue la tienne est bonne oooooh mets la moi bien dure.
Tu vas lecher mon cul elle sera plus dure encore  vazy lÚche mets bien la langue huuuuum ah chienne tu me fais bander je vais t'enfiler tu vas sucer salope allez
Tu vois comme elle est dure
Oooooh elle a grossis encore je ne l'avalerai jamais.
LĂšche lĂ  et suce je te paye pour la sucer tu suce."
"tu vois cette énorme queue ce visage immonde je lui offre ton corps de chienne. Tu mouillés salope ça t'excite et attend."
Il l'a prends par le cou et la force à le regarder dans les yeux les doigts fouillant sa chatte trempée.
" il ne sera pas seul ils seront trois Ă  te baiser."
La main profite d'ĂȘtre trempĂ©e pour lubrifier le cul offert par les jambes bien hautes et tenue bien Ă©cartĂ©es elle gĂ©mit il accĂ©lĂšre et glisse deux doigts de plus dans le trou serrĂ©.
L'un d'eux viens Ă vec sa chienne il sera notre esclave tu vas me voir me faire sucer par un homme en laisse lui baiser le cul en te regardant jouir.
Je te veux bien salope tout sera filmé et en direct tu dois donner envie de se faire baiser par ces types. On enverra des Copie à la poufiasse qui les méprise elle finira par les supplier de la baiser comme une putain.
Ça.commence ce soir.
Il se dégage et la laisse trempée folle d'envie de sexe .
Ne te fais pas jouir je veux que tu te jettes sur les bites ce soir.
Ils arrivÚrent tous ensemble tous laids l'un louchait l'autre était défiguré par un nez immense et un air de profonde perversite il appuya de son regard sur les seins et le cul que laisse deviner la robe noire moulante fluide et courte.
Le.troisiemes portait une caméra qu'il installe face au salon il sort un petit objectif qu'il pose sur la table.
La porte claque sur un homme laissé seul dehors,il est nu sous un peignoir noir, il a froid et porte un collier de chienne. Il attend.
Elle les acceuille par un verre et son maĂźtre s'installe comme au spectacle.
Le vicieux attaque les choses sans s'asseoir et saisi les seins qu'il ne cesse de matter le laid trapu soulĂšve la robe et Tate les fesses nues.
Elle ne porte pas de culotte la salope...
Il rùle et empoigne la.chatte lisse il y mets.de.suite.deux doigts épais. Il est derriÚre elle pendant que l'air pervers de autre file des frissons à celle qu'il regarde en lui torturant les tétons il se régale visiblement de la vue de la femme gémissant et le lui dit
Je te regarde te faire baiser depuis des mois tu m'en as fait gicler du sperme et ce soir il va gicler dans ton cul. Tu couinnes déjà presque putain t'es faßte pour ça.
Le troisiĂšme se branle debout et filme.
Le trapu grogne comme un animal et sort sa queue elle paraĂźt plus Ă©norme encore qu'Ă  l'Ă©cran.
Elle ne l'a voit pas encore mais la sens longue et lourde contre son cul le gland balancant sur le haut de sa cuisse l'exita immédiatement .
T'es trempée salope ta.chatte est gonflée viens nous la montrer.
Le maĂźtre lui ordonne de s'asseoir.
Fais ce qu'on te demande assied toi et Ă©carte les cuisses montre ta chatte montre ton cul bien ouvert qu'on filme de belles images.
Elle obĂ©i et s'assied sur le canapĂ© jambes Ă©cartĂ©es le rustre se mets Ă  genoux pour bien regarder le sexe trempĂ©, il Ă©carte les lĂšvres et y mets un grand coup de langue humide il la fourre Ă vec force dans le vagin de la fille qui commence Ă  s'agiter. l'autre la calme en lui donnant sa queue Ă  sucer , une queue trop longue Ă  avaler..il tient sa bite d'une main et de autre tire sur les cheveux pour maintenir sa tĂȘte.
il fini par petit Ă  petit bien lui baiser la bouche.
Son petit cul lui aussi est bien travaillé la langue qui lui fouillait la chatte l'encule à présent les deux mains immense de la brute écartant ses fesses.
Il pĂ©nĂštre le trou qu'il Ă©carte de grands coups avant d'y mettre les doigts et de relever la tĂȘte pour la regarder sucer.
T'es bonne avale cette bite pour moi tiens tu les sens mes doigts dans ton cul petite pute
Pute et salope d'aprÚs ce qu'elle a montré d'elle.
Il s'était contenté de filmer boire et fumer depuis son arrivée. Il était trÚs grand massif son sexe aussi . Il était trÚs impressionnant le rustre se retira pour lui laisser l'accÚs aux cuisses qu'il écarta bien grand l'homme la pénétra d'une coup franc et sans la prévenir se mit à lui limer la chatte avec énergie sortant les seins de la robe pour en tirer les pointes que la brute vßnt lécher en se branlant la queue raide.
Il avait envie s'enculer cette garce.
Il faut lui prendre le cul.
Haa il a raison vient t'asseoir sur moi rends ton cul bien disponible Ă©carte tes fesses salope qu'on en fasse un fourreaux Ă  queue..tu vas te faire bouriner le cul ma grosse queue te limant la chatte
Il faut ouvrir Ă  ma chienne il est temps d'utiliser ses orifices.
Le maĂźtre se leva et revient Ă vec l'homme en peignoir.
Elle est assise sur la bite qui la pilonne la brute lui ordonne d'écarter son cul il l'a léche encore bien profond avide du trou qu'il ouvre de ses doigts enarmes.
Le vicieux s'occupe des seins il y accroche des pinces elle hurle il lui enfonce une queue raide dans la bouche lui demande de tirer la langue et y frotte son gland.
Le maßtre se fait sucer par l'homme à qui on intime de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes il est clairement un objet.
Quand enfin la bite lui pĂ©nĂ©tra la fente baveuse et serrĂ©e elle cria de plaisir et de douleur le sexe Ă©tait Ă©normeuo aussi elle n'avait jamais eu la sensation d'ĂȘtre si prise.
2 notes · View notes
dubonsexegratuit · 6 years ago
Text
Du Sexe Gratuit - Véritable salope de Saint-Mandé pour une rencontre sexy
Du Sexe Gratuit – VĂ©ritable salope de Saint-MandĂ© pour une rencontre sexy
Du Sexe Gratuit –
J’ai 24 ans et je m’inscris sur ce site car mon mec m’a laissĂ©e tomber et je cherche une relation sexuelle. Je suis une femme coquine et je voudrais me faire un rdv baise Ă  Saint-MandĂ©. Mon ex Ă©tait vraiment trop laid alors je ne regrette pas qu’il soit parti. Comme le montre cette photo j’ai un physique de pin-up et pour ce qui est du sexe je suis une excellente amante donc

View On WordPress
0 notes
rencontreintime4x-blog · 6 years ago
Text
Rencontre Intime: Femme trĂšs chaude pour une fel profonde de Paris
Rencontre Intime: Femme trÚs chaude pour une fel profonde de Paris
Slt, je suis une bourgeoise d’1m60, pas laide du tout, avec de gros seins et malheureusement seule dans la vie, bref je suis peut-ĂȘtre celle que vous cherchez. je vous fais ma prĂ©sentation: je me prĂ©nomme Marjolaine et j’habite sur Paris. J’écris ce message sur ce site de plan baise pour une rencontre sans suite, je ne veux pas d’une relation durable et je veux trouver un homme car j’ai largué 
View On WordPress
0 notes
valeriehervo · 7 years ago
Link
« J'ai commencĂ© Ă  Ă©crire de la littĂ©rature Ă©rotique car je trouvais que le plaisir fĂ©minin Ă©tait rarement mis en avant dans ce que je lisais. J'en avais marre des Ă©crits misogynes et des rĂ©cits mettant invariablement en scĂšne une jeune pucelle dĂ©couvrant les joies de la chair grĂące Ă  un homme forcĂ©ment plus vieux et plus expert en la matiĂšre », s'exclame Octavie Delvaux. Comme nombre de ses congĂ©nĂšres ayant dĂ©cidĂ© de s'exprimer autour du plaisir fĂ©minin, l'Ă©crivaine trentenaire fait partie d'une classe d'Ăąge qui estime avoir Ă©tĂ© « privĂ©e de modĂšles sexuels » durant son enfance et son adolescence. « Pour tout vous dire, il y a une scĂšne, dans le film La leçon de piano, oĂč l'on voit Harvey Keitel se glisser entre les jambes de l'hĂ©roĂŻne pour caresser un minuscule bout de peau, accessible car son bas est trouĂ©. C'est trois fois rien
 mais c'est le truc le plus Ă©rotique et, surtout, le plus axĂ© sur le dĂ©sir fĂ©minin qu'il m'ait Ă©tĂ© donnĂ© de voir lorsque j'Ă©tais jeune. »
Des propos qui n'Ă©tonnent pas Emmanuelle Julien, journaliste et auteure du blog Paris DerriĂšre, qui se souvient de son adolescence : « Dans les annĂ©es 90, Ă  part le Doc de l'Ă©mission “Lovin'Fun”, on n'avait accĂšs Ă  rien. Et quand je dis rien, je ne parle pas seulement des informations techniques. Il n'y avait pas de discours fĂ©minin sur notre rapport au plaisir, pas d'images le mettant en valeur. » Il fut un temps – pas lointain du tout – oĂč le sexe au cinĂ©ma se rĂ©sumait Ă  « la femme en dessous et l'homme au-dessus, avec orgasme Ă©videmment simultanĂ© signalant la fin du coĂŻt », se rappelle GĂ©raldine, qui a entamĂ© sa vie d'adulte ïżœïżœ en imaginant que la position du missionnaire constituait l'alpha et l'omĂ©ga de la sexualitĂ© ».
GĂ©raldine a dĂ» Ă©galement attendre d'avoir 20 ans avant d'entendre parler pour la premiĂšre fois du seul organe exclusivement dĂ©diĂ© au plaisir fĂ©minin : « C'est en lisant un magazine que j'ai dĂ©couvert l'existence du clitoris. Je sais que cela peut paraĂźtre dingue aujourd'hui, mais Ă  l'Ă©poque – il y a tout juste vingt ans – ce mot n'Ă©tait jamais employĂ©. Comme si le clitoris – et tout le plaisir qui en dĂ©coule – n'intĂ©ressait personne. » Vingt ans plus tard, dans un Ă©pisode de sa premiĂšre saison, la sĂ©rie Broad City met en scĂšne une jeune femme en train de discuter sur Skype avec une copine tout en faisant l'amour avec son copain, sur qui elle est assise Ă  califourchon.
C'est en lisant un magazine que j'ai découvert l'existence du clitoris
Que s'est-il passĂ©, au cours de ces deux derniĂšres dĂ©cennies ? Internet, qui a tout changĂ©. « On rĂ©duit souvent le Web Ă  la pornographie, tant il a dĂ©multipliĂ© l'accĂšs Ă  ce type d'images. Mais la Toile a surtout permis la multiplication de forums oĂč les femmes pouvaient enfin Ă©changer autour de la sexualitĂ©, et l'Ă©mergence d'une parole de plus en plus libre et affirmĂ©e autour du plaisir fĂ©minin », explique Emmanuelle Julien. Aujourd'hui, il suffit d'ailleurs de taper « sexe » et « fĂ©minin » sur un moteur de recherche pour qu'apparaissent les pages personnelles de filles chaque jour moins effarouchĂ©es, dissertant sodomie, cunnilingus ou mĂ©rites comparĂ©s de tel ou tel sextoy. Au fil des blogs et des tĂ©moignages a fini par Ă©clater une Ă©vidence tue pendant des annĂ©es : la sexualitĂ© des femmes est tout aussi exigeante, impĂ©rieuse et diverse que celle des hommes.
Affirmer ses envies et la polyphonie des désirs féminins
« Vous retroussez ma jupe et empoignez mes fesses pour m'attirer plus prĂšs de vous. Une pression sur mes reins me plaque contre votre braguette. Je sens votre Ă©rection battre contre mon sexe bouffi d'excitation. Mon clitoris palpite Ă  grands coups », Ă©crit ainsi Octavie Delvaux dans son recueil de nouvelles A cƓur pervers (1).
« A l'image de celle qui parle dans cet extrait, la plupart de mes hĂ©roĂŻnes sont des femmes fortes, volontiers dominatrices, qui n'ont pas peur de communiquer leur dĂ©sir et d'affirmer ce qu'elles veulent. » Et l'Ă©crivaine d'ajouter : « Je ne sais pas s'il y a un plaisir typiquement fĂ©minin ou masculin. Mais ce dont je suis sĂ»re c'est que la femme a, autant que l'homme, un univers Ă©rotique qui lui est propre, et rien Ă  gagner d'attendre systĂ©matiquement de l'autre qu'il lui dicte ses dĂ©sirs. » Affirmer ses envies et la polyphonie des dĂ©sirs fĂ©minins : tel est l'objet de la plateforme amĂ©ricaine OMGYes, promue au printemps dernier par l'actrice fĂ©ministe Emma Watson. A ce jour, ce site est le seul au monde Ă  proposer des vidĂ©os en ligne dans lesquelles des femmes reproduisent les gestes qui les mĂšnent Ă  l'orgasme. « Je stimule mon clitoris selon un mouvement de haut en bas, dans le sens des aiguilles d'une montre », confie ainsi Amber, tandis qu'un gros plan de son sexe – et de son doigt, parcourant mĂ©thodiquement ses lĂšvres, dans une scĂšne que l'on imagine mille fois vĂ©cue – complĂšte le propos. Si l'on peut dĂ©plorer que cette plateforme, vitrine d'une recherche amĂ©ricaine basĂ©e sur l'expĂ©rience sexuelle de plus de deux mille femmes ĂągĂ©es de 18 Ă  95 ans, ne soit pas entiĂšrement gratuite – l'accĂšs au pack complet de vidĂ©os y est facturĂ© 29 € –, la dĂ©marche constitue une premiĂšre. Car, comme le dit Cerise, une cĂ©libataire de 38 ans qui a visionnĂ© quelques-unes de ces vidĂ©os : « On a dĂ©jĂ  toutes vu un sexe de femme en plan serrĂ©, dans un porno. Sauf que lĂ  il n'y a aucun pĂ©nis qui vient s'y introduire. Le plan est long, on a le temps de dĂ©couvrir ce sexe en dĂ©tail et c'est hyper-pĂ©dagogique. »
Mais il est encore plus pédagogique de constater, au gré des vidéos, que ce qui plaßt à Amber ne parle pas forcément à sa voisine de plateforme, qui serait bien incapable de prendre du plaisir ainsi. Comme le résume la sexologue Catherine Blanc(2) : « Il y a autant de façons de jouir que de femmes : chacune peut déployer son art personnel en la matiÚre et s'émerveiller à l'infini des capacités de son propre corps. »
Car si, comme l'Ă©crivait la romanciĂšre amĂ©ricaine AnaĂŻs Nin, « l'Ă©rotisme est l'une des bases de la connaissance de soi, aussi indispensable que la poĂ©sie », il semblerait que les femmes françaises soient de plus en plus disposĂ©es Ă  se connaĂźtre. En tout cas, ChloĂ©, 31 ans, est formelle : « Moi, pour prendre mon pied, faut que le mec chope le rythme qui va me faire dĂ©coller. Ce rythme, je le connais – et parfois je les laisse chercher
 ou les aide Ă  trouver si le dĂ©sir se fait trop pressant. » La jouissance de CĂ©line, 35 ans, doit Ă©galement assez peu au hasard : « Je me caresse systĂ©matiquement le clitoris lorsque je fais l'amour avec un homme. Comme ça, je suis aux manettes : libre de dĂ©clencher le point de non-retour au moment opportun. »
La Toile a surtout permis l'émergence d'une parole de plus en plus libre et affirmée autour du plaisir féminin
Autant de techniques individuelles qui ne sauraient constituer un accĂšs au nirvana clĂ© en main, comme le rappelle la chanteuse, danseuse et Ă©crivaine Julia Palombe, qui vient de faire paraĂźtre un « manifeste contre la sociĂ©tĂ© de la mal-baise »(3) : « Je pense qu'il faut se mĂ©fier de l'uniformisation des goĂ»ts en matiĂšre sexuelle. Au lit, il ne peut y avoir d'autres rĂšgles que celles que nous inventons chaque jour. Croire que le dĂ©sir est figĂ© et qu'il se manifeste toujours de la mĂȘme maniĂšre est un non-sens. » En croisade contre le tout pornographique et ses diktats, Julia Palombe incite Ă  nous mĂ©fier des jouissances aussi systĂ©matiques qu'obligatoires. Et Catherine Blanc de rappeler : « La libĂ©ration ne doit pas devenir une nouvelle norme. » Car si la jouissance n'Ă©tait qu'une affaire de gestes qui fonctionnent et de corps qui rĂ©pondent, invariablement dociles, aux mĂȘmes stimulations, cela se saurait. Pour beaucoup de femmes, le principal obstacle Ă  une vie sexuelle satisfaisante rĂ©side encore dans un manque de confiance – en elles comme en leur droit au plaisir. « Je reçois chaque jour des appels d'auditrices qui se soucient moins de leur Ă©panouissement sexuel que de celui de leur partenaire, rappelle ainsi Brigitte Lahaie, qui anime sur Sud Radio une Ă©mission quotidienne consacrĂ©e au sexe. Il est vrai que la parole des femmes s'est libĂ©rĂ©e, mais ce qui se passe sous la couette est loin d'ĂȘtre au diapason. Nombreuses sont celles qui mĂ©connaissent encore leur propre corps, n'Ă©valuent leur vie sexuelle qu'Ă  l'aune de la satisfaction de leur partenaire
 ou attendent de lui qu'il les guide vers leur propre plaisir. »
Catherine Blanc poursuit : « Pour pouvoir lĂącher prise, il faut accepter le regard de l'autre sur un corps qui ne sera jamais parfait – et, qui plus est, risque de nous surprendre, soumis Ă  l'abandon du plaisir. Ce qui n'est pas toujours Ă©vident dans une sociĂ©tĂ© du contrĂŽle de l'image et du selfie gĂ©nĂ©ralisĂ©. » « Peur d'ĂȘtre ridicule, peur d'ĂȘtre laide, peur d'ĂȘtre vulnĂ©rable, peur de s'attacher, dĂ©taille la journaliste scientifique Elisa Brune(4) : on ne veut pas se mettre en danger, s'avouer faible, se montrer captive, on veut rester maĂźtre de soi. »
Et face à ce regard de l'autre, il y a autant de femmes que de stratégies : quand Céline lùche plus facilement prise « avec des inconnus, qu'elle est sûre de ne jamais revoir », certaines ne parviennent à s'abandonner que dans le cadre confortable d'ébats intimes. « Contrairement aux idées reçues, la sexualité des couples au long cours est souvent plus satisfaisante que celle des amants débutants, note le sociologue Michel Bozon(5). La connaissance mutuelle des fonctionnements sexuels comme la confiance entre les partenaires sont indéniablement propices à la jouissance. Mais il est évident que la sexualité s'enrichit aussi au fil des rencontres. Puisque chaque partenaire va dévoiler de nouvelles pratiques et transmettre sa conception singuliÚre de l'acte sexuel. »
Emmanuelle se souvient : « Je venais de divorcer, j'avais deux enfants et pas mal de complexes quand j'ai rencontrĂ© Nicolas. Je ne suis plus avec cet homme, mais je me rappelle parfaitement la premiĂšre fois oĂč il m'a expliquĂ©, alors que je cachais mon visage sous la couette, qu'il n'y avait rien de plus jouissif pour lui que de m'observer lorsque je perdais le contrĂŽle. » Ce qu'elle avait peur de lui montrer, lui le considĂ©rait comme un cadeau. Ce jour-lĂ , elle a appris la jouissance, s'autorisant Ă  lĂącher prise.
Le plaisir au féminin...
6 notes · View notes
Text
Femme trĂšs chaude pour une fel profonde de Paris - Site De Rencontre Gratuit
Femme trùs chaude pour une fel profonde de Paris – Site De Rencontre Gratuit
Site De Rencontre Gratuit –
Slt, je suis une bourgeoise d’1m60, pas laide du tout, avec de gros seins et malheureusement seule dans la vie, bref je suis peut-ĂȘtre celle que vous cherchez. je vous fais ma prĂ©sentation: je me prĂ©nomme Marjolaine et j’habite sur Paris. J’écris ce message sur ce site de plan baise pour une rencontre sans suite, je ne veux pas d’une relation durable et je veux

View On WordPress
0 notes
tchatcamhot57-blog · 6 years ago
Text
Tchat Cam Hot - Annonce d’une femme bien coquine
Tchat Cam Hot – Annonce d’une femme bien coquine
Tchat Cam Hot –
Je cherche un homme sans tabou sur Paris rien que pour me faire un plan d’un soir. J’ai 25 ans, je suis une salope plutot canon, et avec une Ă©norme poitrine. Je suis vicieuse par nature cependant je ne baiserai pas avec un mec trop laid, je cherche juste un homme ayant un physique superbe. Je suis intĂ©ressĂ©e par une rencontre baise pour faire l’amour toute la soirĂ©e ou si

View On WordPress
0 notes
rencontresexy2-blog · 6 years ago
Text
Je recherche un homme Ă  Paris pour une pipe - Rencontre Sexy
Je recherche un homme à Paris pour une pipe – Rencontre Sexy
Bonsoir les gars, je suis une ravissante jeune femme motivĂ©e pour une rencontre q et j’aimerais faire la connaissance d’un homme bien membrĂ© ayant trĂšs envie de baiser et qui veut se faire un plan q en dĂ©but de soirĂ©e. J’habite Ă  Paris, on peut se voir dans mon petit studio pour une bonne baise. J’aurai prochainement 25 ans, je ne suis pas du tout laide et j’ai des fesses trĂšs jolies alors si je

View On WordPress
0 notes
amatricespoursexe · 6 years ago
Text
Rencontre Sexe: Femme trÚs perverse à Saint-Denis pour un plan régulier
Rencontre Sexe: Femme trÚs perverse à Saint-Denis pour un plan régulier
Salut, je suis une belle coquine de 1m65, pas du tout laide, avec une poitrine opulente et sans petit copain, alors sautez vite sur l’occasion ! Je voudrais rencontrer rapidement un jeune beur avec un corps sexy et un visage agrĂ©able pour un plan q ce samedi. J’ai envie d’une partie de baise pour une nuit ou si ça vous dit, un plan cul suivi, enfin si vous me plaisez. Je souhaite tester de

View On WordPress
0 notes
webcamrencontrex-blog · 6 years ago
Text
Webcam Rencontre: Je recherche un homme Ă  Paris pour une pipe
Webcam Rencontre: Je recherche un homme à Paris pour une pipe
Webcam Rencontre –
Bonsoir les gars, je suis une ravissante jeune femme motivĂ©e pour une rencontre q et j’aimerais faire la connaissance d’un homme bien membrĂ© ayant trĂšs envie de baiser et qui veut se faire un plan q en dĂ©but de soirĂ©e. J’habite Ă  Paris, on peut se voir dans mon petit studio pour une bonne baise. J’aurai prochainement 25 ans, je ne suis pas du tout laide et j’ai des fesses trĂšs

View On WordPress
0 notes