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#faut pas croire tout ce qu'on écrit
claudehenrion · 6 months
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De l'âme
Une surprise : plusieurs lecteurs, sans doute ébranlés par le vide abyssal qui caractérise notre temps –et avec une inquiétante tendance à l'aggravation– m'ont demandé récemment de “parler de l'âme”. Mais si je me sens très capable de donner un avis –qui n'est que le mien, corrigé par nombre de lectures et d'emprunts– … je tiens à préciser que je suis évidemment tout-à-fait incapable de répondre à la question multiple “Existe-telle ? Quelle est-elle ? Que recouvre-t-elle –ou pas ?”, et surtout de me livrer à cet exercice… en une page “A4’‘ ! Mais quel meilleur moment qu'une Semaine Sainte pour esquisser un début de réponse 
Le mot ’'âme” lui-même, tiré du latin (“anima = l'air, le souffle, la vie”), recouvre tant de notions différentes que “ne pas y croire” ne peut avoir aucun sens : qui parle de “croire” à l'air, au ciel bleu, au chocolat… ? S'agit-il de l'Ame des peuples (André Siegfried) ? de l'Ame des choses (Auguste Blondel) ? des “objets inanimés” de Lamartine ? de l'Ame du monde (Frédéric Lenoir) ? (NB : je pourrais continuer longtemps). Ecoutons plutôt Camus : “Ne pas croire à l'âme est une absurdité”.
A ce moment où l'humanité semble “flirter” avec sa chute dans des abîmes qu'on peut craindre définitifs, l'âme –qui était un peu sortie de nos préoccupations consumérisées– semble faire un retour sur le devant de la scène, et nos lecteurs ne s'y sont pas trompés, en m'en parlant. Il faut reconnaître que sa définition a bien varié à travers les siècles : dans l'Antiquité, les grecs en avaient une vision bipartite (“corps et âme”)… alors que pour la tradition biblique, la vision était tripartite (“corps, esprit –pneuma en grec et spiritus en latin–, et âme –psychè, en grec et anima en latin, ce dernier mot animant la vie intérieure et la personnalité, mais aussi ce qui donne vie au corps. Ne ’‘rend-on pas son âme”, au moment du grand départ ? Mais n'allons pas trop vite : avant de la “rendre”, il faut la définir.
Pour les philosophes, l'âme est souvent une notion qui permet de parler de l'être humain dans sa totalité. Pour Platon, l'âme est en conflit avec le corps qui l'emprisonne, alors qu'Aristote insiste sur une conception non dualiste entre “âme” et “corps”, chacun étant plus ou moins indépendant de l'autre. Plus tard, pour le christianisme, qui tient un rôle de toute première importance dans cette “dissertatio” (que je voudrais tellement ne pas être une “disputatio”!), le mot “Ame” veut décrire comment est formé un être humain dans et par ses expériences fondamentales : la vie, l'amour, le désir, la maladie et la souffrance, le questionnement sur “après la vie –ou après la mort”, et l'âme se définit donc comme “autre” que l'esprit : d'un côté, un principe de vie, “ce qui anime le corps”, siège des émotions et des passions, et de l'autre, vie intérieure, et personnalité. On peut dire : raison, ici et liberté, là…
Mais en 1621, Descartes introduit une rupture dans la conception traditionnelle, en traduisant “âme” par “mens” : l'homme est d'abord un être pensant, et le mens latin, qui désigne d'abord le cerveau, l'intelligence, la raison, l'esprit… va peu à peu replacer l'ancienne “âme” au profit de ce nouvel arrivant, le “cogito’' . Une nouvelle logique bipartite est née, le corps et la pensée, séparés mais liés : ’'Cogito, ergo sum”.
Le mouvement phénoménologique, qui se targue d'appréhender la réalité telle qu'elle se donne ou se montre, considère que le corps, seul, joue un rôle (“Le monde n’est pas pour moi autre chose que ce qui existe et vaut pour ma conscience”, écrit Husserl en 1937), ce contre quoi réagit la grande Edith Stern, juive devenue carmélite et morte à Dachau : “On ne peut vivre sans âme, c'est-à dire avec une âme paralysée ou en sommeil’’… phrase où nous retrouvons ce qui est visible tout autour de nous… et ce dont l'humanité est en train de crever
Il fallut attendre 1953 pour que Crick, Watson et Rosalind Franklin, découvrent l'ADN, cette part d'éternité qui est en chacun de nous. Inséparable de nous, elle nous contient tout entiers et nous résume, tout en nous rattachant à nos origines… Question jamais posée mais qui me taraude depuis longtemps : ’'Se pourrait-il que cet acronyme, l'ADN, soit, en fin de compte, le support matériel de notre âme ? Son caractère ’'iso-éternel’'et son identité parfaite avec notre ’'être”, notre “avoir été” mais aussi notre “devoir être”, en font une parfaite réponse à ce que pourrait être ce “Corps glorieux” si difficile à imaginer mais sous lequel, disent les chrétiens, nous entrerons un jour dans notre éternité
En 1979, Joseph Rätzinger, grand théologien et futur grand Pape Benoît XVI, posa (“La Mort et l'au-delà” )que “il n'y a aucune raison sérieuse de rejeter le mot âme , cet outil verbal indispensable dans la foi des chrétiens… ce qui se vérifie à travers la prise de conscience actuelle… que une conscience, justement, ne peut exister sans objet pour la percevoir et sans sujet pour la traduire et l'expliquer”. Et voilà l’ “âme” qui fait à nouveau partie du vocabulaire de la philosophie, le besoin de cet éditorial en étant un début de preuve en soi.
Un dernier point, peut-être : en 2016, l'académicien François Cheng avait écrit un fort beau “De l'Ame” (Albin Michel) où il écrivait “A part le bouddhisme dans sa version la plus extrême, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle : l'âme de chaque être est reliée au souffle primordial qui est le secret de la vie-même. Animée par un authentique désir d'être, elle nous rappelle donc, quelle que soit notre croyance –ou notre non-croyance– combien notre vie participe d'une aventure unique, le Tao –la Voie– qui ne connaît pas de fin, contrairement à la vie”.
J'admets que tout cela n'est pas simple… Mais le moyen, s'il vous plaît, de parler de sujets eschatologiques avec nos seuls mots humains, et en un temps et un espace si réduits ? Par prudence, je vais donc demander à d'autres que moi de conclure. D'abord George Meredith : ’ L'âme est tout, ici-bas; le reste n'est qu'illusio'n’’… Puis Rivarol : “Sans le corps, l'âme n'aurait pas de sensations, mais sans l'âme, le corps n'aurait pas de sentiment”... Libre à ceux qui ont décidé de ne pas y croire, de vivre “sans”. Mais qu'ils ne comptent pas sur moi : je suis si bien, “avec”, surtout en cette Semaine, qui est Sainte pour un bon tiers de l'Humanité.
H-Cl.
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journaldenimportequi · 11 months
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Jeudi 16 novembre 2023
Escapade parisienne
Les jours passent et je trouve toujours une bonne raison de remettre au lendemain le moment d'écrire ces lignes mais ce soir je suis motivé alors me voilà.
Je suis plutôt influencé par mes lectures du moments, à savoir les mémoires de Paul Bowles et le journal de Paul Léautaud.
Voilà des gens qui savaient écrire !
Quand je lis les écrits de Paul Bowles, je ne peux que regretter amèrement de ne pas mener une vie d'aventurier, explorateur du monde, toujours parti quelque par autour du globe, avec une prédilection pour les endroits exotiques.
Ah c'est sûr qu'il en avait des choses à raconter !
Ne devrais je pas faire pareil ?
Me forcer à bouger pour avoir des choses à raconter ?
Mais je ne suis pas un aventurier, moi je suis trop attaché à mon confort pour courir dans le désert et dans la jungle.
Cependant, il est certain que si j'avais les moyens financiers, je voyagerais régulièrement.
J'ai gardé notamment cette envie persistante de revoir New York City.
Je n'abandonne pas l'idée.
En attendant, je vais à Paris puisque Paris est à 3 heures et demi de train de chez moi.
Ainsi, j'y suis retourné l'autre jour.
Le week-end d'avant, j'ai retrouvé mes amis Justine, Canel et Arthur et nous sommes allé manger au restaurant japonais, puis nous avons filés, Canel en moins, direction la bourse aux disques de Clermont-Ferrand pendant quelques heures et nous sommes ressortis enrichis de quelques galettes plus ou moins intéressantes (j'ai acheté des cds que je possédais déjà en vinyles).
Et puis donc, le lundi suivant, je suis parti à Paris.
Le prétexte de ce séjour court (juste un peu plus de 24 heures) fut la visite d'une exposition au musée d'Orsay consacrée à Van Gogh.
C'est une bonne raison de monter à la capitale, vous en conviendrez.
Je suis donc arrivé à la gare de Bercy après un voyage en train toujours agréable (j'aime les voyages en train) et je suis allé acheter des tickets de métro puis je me suis rendu à mon hôtel habituel, dans le 18ème.
La gérante m'a reconnue, il faut croire que j'ai une gueule qu'on oublie pas (à mon grand désarroi, je rêve de ressemble à monsieur tout le monde).
Il faut dire que ça doit faire la troisième ou la quatrième fois que je séjourne dans cet établissement.
J'ai déposé mes affaire et j'ai filé au boulevard Saint Michel pour me rendre dans le magasin Gibert consacré à la musique et j'ai passé du temps à éplucher les bacs de cds en cherchant la bonne affaire.
J'ai été très raisonnable puisque je suis ressorti avec deux cds d'occasion (un Bob Dylan, « Blonde On Blonde », et un Kanye West, « Late Registration »).
Encore une fois, je possédais déjà ces albums en vinyle.
Après ça j'ai remonté le boulevard et j'ai marché sans but précis.
Je suis passé devant La Closerie Des Lilas, j'ai pensé à Hemingway mais je ne suis pas rentré, trop impressionné par l'histoire de ce lieu, « je ne suis pas digne », j'ai pensé.
Et puis le coca devait coûter une blinde, en plus !
J'ai continué à marcher et le temps s'est gâté, il a finit par pleuvoir et j'ai dû me réfugier dans une brasserie où, unique client, j'ai profité des happy hours pour déguster une pinte de blonde à 5€.
A ce moment là, j'étais plutôt content de moi.
Seul, mais content, je n'aurais pas voulu être autre part.
J'ai fini par rentrer à l'hôtel, en Uber, parce qu'il pleuvait trop et je n'avais pas le courage de me taper tout le chemin inverse jusqu'au métro.
Le trajet m'a coûté près de 27 balles et il a duré presque une bonne heure.
Pendant tout le trajet, le chauffeur n'a pas dit un mot et c'était très bien comme ça.
J'ai observé Paris sous la pluie et c'était presque romantique, il ne manquait plus qu'une compagne à mes côtés.
Je suis rentré, j'ai avalé un sandwich triangle sans saveur en me félicitant de ne pas avoir dépensé de l'argent pour un repas et puis je suis parti, toujours en Uber, il faisait nuit, rejoindre Mathieu, Nina et leurs amis dans un bar à Belleville.
Cette fois ci, le chauffeur n'était pas muet, bien au contraire, il passait son temps à invectiver les autres automobilistes qui avaient le toupet de partager sa route.
Encore une fois je me suis plu à observer Paris et ce soir il y avait une ambiance apocalyptique, des gens criaient, il y avait une tension causée par l'actualité (conflit israélo-palestinien, une manifestation pro palestinienne avait eu lieu quelques heures avant).
J'ai fini par arriver devant le bar non sans un certain trac : j'ai toujours un peu peur de rencontrer des gens nouveaux, je connaissais déjà Mathieu et Nina mais il n'empêche que c'est dur de sortir de ma zone de confort.
Finalement, tout s'est bien passé.
Je n'ai absolument rien bu pendant toute la soirée, et mon côté pingre s'en est félicité.
La soirée était une soirée blind test et c'était très amusant.
Tout s'est terminé à une heure raisonnable et je suis rentré en Uber.
Je me suis endormi facilement, en essayant de ne pas trop songer aux punaises de lits dont les médias n'avaient de cesse de nous parler depuis un bon mois.
Je me suis levé tôt, puisque j'avais commandé un petit déjeuner servi dans ma chambre à 7 heures et demi.
Entre temps, j'ai contacté mon cousin Jimmy qui habite dans le coin pour lui proposer qu'on se voit pour manger à midi avant mon départ.
Il m'a dit que j'étais dingue de dépenser 110€ pour une nuit à l'hôtel, que la prochaine fois je ferais mieux de le prévenir pour qu'il m'héberge.
Nous avons convenus de nous voir à midi.
J'ai rassemblé mes affaires et j'ai quitté mon hôtel pour aller au musée d'Orsay où avait lieu l'exposition.
Et puis, je suis rentré, et j'en ai pris plein les yeux.
Il faut dire que ça fait plusieurs mois que je suis plongé dans une biographie consacrée à Van Gogh et qu'il m'accompagne donc au quotidien, j'ai l'impression qu'il est un de mes proches, presque un ami.
Ce fut vraiment très émouvant de pouvoir observer sa peinture en vrai et de près.
Car sa peinture, il faut la voir en vrai, en 3d, je vous jure, c'est autre chose que de regarder de simples photographies.
Quelle émotion c'était de voir sa palette et ses tubes de peintures, d'observer ses coups de pinceau, ses épaisses couches de peintures recouvrant ses toiles !
Il faut préciser que l'exposition était consacrée à ses deux derniers mois de vie.
J'ai été étonné par le format de ses peintures que je n'imaginais pas si imposant.
J'ai aussi remarqué qu'il ne signait là presque jamais ses toiles.
Et puis encore une fois, beaucoup d'émotion en observant « champ de blé aux corbeaux » qui est une toile qui m'a beaucoup marquée et très tôt puisqu'elle était dans mon bouquin d'école en primaire, au CE2.
Je suis ressorti de là avec une furieuse envie de peintre en me demandant si il était possible d'en être autrement.
Et puis j'ai quitté le musée, pour quelque temps, puisqu'il est évident que j'y reviendrais un jour prochain.
J'ai pris le métro et je me suis rendu au lieu de rendez vous pour attendre mon cousin qui était là pile à l'heure.
Ca me fait toujours quelque chose de le voir, mon cousin, car il est très lié à mon enfance et je suis toujours très nostalgique.
Je suis le seul cousin à le fréquenter encore, aussi.
Je suis très heureux d'avoir conservé un lien avec lui.
Nous avons mangés et j'ai réussi à lui payer le repas (les fois précédentes il avait toujours réussi à me payer la note).
Nous sommes allés nous promener, sommes entrés dans une Fnac et nous avons parlé musique (Cypress Hill), série télé (Miami Vice) et jeux vidéos (Dragon Ball Kakarot).
Et puis nous nous sommes quittés et j'ai filé à la gare de Bercy prendre mon train après une petite journée qui s'est déroulée très vite, finalement, mais je n'étais pas mécontent de cette escapade, il est toujours bon de changer d'air et malgré tout, Paris sera toujours magique à mes yeux.
Voici une poignée de réflexions posées en vrac ces dernières semaines dans le bloc note de mon téléphone :
Plus je me cultive, plus j'ai honte de savoir aussi peu de choses.
Je suis un esthète laid, quelle ironie, tout de même !
J'ai de préjugés à propos des belges et des homosexuels qui ont toujours ma sympathie immédiate, ce qui est plutôt stupide, je m'en rend bien compte.
Je termine ce récit en saluant celles qui me lisent toujours : fidèles lectrices (il semblerait qu'aucun homme ne me lis désormais), c'est un honneur d'être lu par vous : coucou Glady, coucou Kalina !
Bande son : Teenager Of The Year, Frank Black
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rown-cheese · 11 days
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LECTURES DE 2024 : La cuisinière de Castamar - Fernando J. Muñez
Lecture terminée 16 septembre 2024 (76/80)
Nombre de pages : 608 pages
Ma 76ème lecture de l'année a été le roman La cuisinière de Castamar, écrit par Fernando J. Muñez, c'est son premier roman, qui a été adapté par Netflix ! (Pas que j'ai vu l'adaptation, mais je sais qu'elle existe)
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Résumé: Quand Clara Belmonte arrive au domaine de Castamar, les cuisines sont organisées d'une façon atroce, image du domaine en deuil depuis une décennie, après le décès de la maîtresse de maison dans un accident plus qu'étrange. Alors quand la jeune femme apporte à table des plats de sa concoction, son amour pour l'art culinaire permet à toute la maisonnée de se réveiller à son tour de son sommeil de presque dix ans.
CW/TW (y'en a beaucoup) :
Grossophobie/Comparaison avec des animaux
Putophobie
Traffic d'enfants (mentions)
Sexisme/Misogynie
Relation sexuelles
Viols et complicité de viol
Agression sexuelle
Racisme/N-Word et comparaisons animales/Tortures et tentatives de meurtres sur personne noire en raison de sa couleur de peau/Meurtres de personnes noires en raison de leur couleur de peau
Violences conjugales
Tentatives de meurtre/Meurtres
Mépris de classe
Manipulation/Chantage/Abus de pouvoir
Handicap lourd
Négligence sur personne avec un handicap lourd
Mort d'un personnage handicapé
Clichés discriminatoires et dangereux sur les troubles mentaux
Homophobie/Violences homophobes/tentative de meurtre homophobe/fétichisme de l'homosexualité féminine/Association homosexualité masculine=pédophilie
Violence physique sur enfant/pédophilie
Déni de consentement
Alors déjà, je vais commencer par dire qu'absolument aucun des trigger que je viens d'évoquer n'est remis en question, sauf vaguement le racisme, et j'insiste sur le terme "vaguement" (dans le sens où les personnages apprécient UNE personne noire parce que "membre de la famille/love interest"). Donc n'espérez pas une évolution dans leur comportement
Quand j'ai commencé le roman, j'ai été agréablement surpris de découvrir que l'auteur, alors qu'il s'agit de son premier roman, sait comment nous introduire ses personnages. Clara, premier personnage qu'on découvre, est en quelques mots décrite comme il faut pour la comprendre : orpheline, de très bonne éducation, bonne cuisinière, terrifiée par les espaces extérieurs, n'a pas de croyance naïve en l'amour mais espère trouver quelqu'un qui la respectera. Franchement, ça m'a fait grave plaisir. Puis on a introduit la cuisinière en chef de Castamar (celle que Clara va remplacer vu le titre, on le sait) et vient le premier problème : La cuisinière est grosse donc elle est moche et méchante et c'est un porc. Voilà comment le roman nous la présente. Je suis moi-même gros, alors quand j'ai eu cette description du premier personnage en surpoids présenté, j'ai grincé des dents. Bien sûr, j'avais l'espoir que tous les personnages gros, si on avait d'autres qui étaient présentés, ne soient pas présentés de façon aussi négative, mais celle-ci déjà suffisait à montrer la grossophobie de l'auteur et ça ne me plaisait pas du tout.
Avec tout ça, on a la putophobie où tous les personnages parlent mal de la prostitution et considère les prostituées comme des écervelées, on a la misogynie qui fait que toutes les femmes sont soit des mégères soit des débiles qui ne sont là que pour répondre aux besoins des hommes et dont le consentement n'a aucune valeur... et je pourrais continuer avec tous les TW mais vous avez l'idée, je pense.
Quand ma grand-mère m'a offert ce livre, elle m'a parlé de la relation homosexuelle à l'intérieur, et j'aime ma grand-mère, mais je ne comprends pas qu'elle ait pu croire que j'apprécierais ce genre de représentations...
De manière générale, tout le roman a été douloureux à lire, et je ne l'ai fini que parce qu'au début, je trouvais qu'au moins, la plume était sympa (et parce que quand j'ai commencé à noter les TW, j'ai décidé d'y aller jusqu'au bout)... Seulement, en plus de tous ces TW jamais remis en question, toujours acceptés par tous, il y a aussi énormément d'incohérences scénaristiques! Vers les chapitres 40~, Clara dit qu'elle se rend compte pour la première fois de ses sentiments pour don Diego. MAIS, dans les chapitres 30~, elle lui avoue son amour quand elle croit qu'elle va mourir en disant qu'elle vient de le réaliser. CEPENDANT, dans les chapitres 20~, elle panique en s'inquiétant que les sentiments de plus en plus forts en elle pour son maître la fassent être virée du domaine (car la gouvernante a été très claire sur l'interdiction de la moindre relation au sein du domaine). POUR AUTANT, dans les 20 premiers chapitres, lors de leur première rencontre, Clara sent son cœur battre et elle se sent déjà tomber en amour pour don Diego. Bref, ça c'est pour UN point d'intrigue de l'histoire, je vous laisse imaginer quand ça se multiplie à tous les points d'intrigue. Rien n'est cohérent, tout finit par se contredire, parfois d'UNE PAGE À L'AUTRE.
Bref, c'est pourri.
Ensuite, on me parle de ce roman comme d'une romance et d'un roman d'intrigues à la cour. La romance, en fait, est gérée n'importe comment, sans évolution, tout est brutal et soudain, et ça sort de nulle part et ça ne va pas évoluer pendant des chapitres entiers puis la relation aura changée d'un coup sans que l'auteur ne juge nécessaire de nous en parler. Quant aux intrigues de la cour... Don Diego est un ami proche du roi. D'ailleurs, sa femme vient à l'un des premiers repas qu'il ouvre au public depuis le décès de sa femme. Sauf qu'en fait, la reine n'est pas du tout présentée comme étant la femme du roi jusqu'à la fin du livre, et le roi n'apparaît que comme facilité scénaristique pour que l'histoire d'amour se fasse avec le MOINS de tension possible. Et pourtant on a des enlèvements, des meurtres, des agressions, des viols, de la manipulation... mais rien n'a d'importance et même les thèmes justifiant le GENRE LITTERAIRE du livre n'en ont pas.
Donc, sans aucune surprise, je déconseille fortement ce livre. Si vous êtes une femme, homosexuel·le, noir·e, gros·se, victime de viol, travailleur·e du sexe, pauvre,... ce roman ne s'adresse pas à vous et vous crache d'ailleurs ouvertement au visage. C'est mauvais, c'est mal écrit et c'est insultant.
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yes-bernie-stuff · 2 months
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Samedi 10 Août Croire en sa vision
« Écris une vision, grave-la sur les tablettes, afin qu'on la lise couramment » Habacuc 2.2
Dieu a un plan pour chaque vie. La Bible l’appelle parfois « vision ». C’est comme une boussole qui indique toujours la bonne direction et une ancre pour résister aux tempêtes de la vie. Pourquoi Dieu a-t-il dit : « Écris une vision, grave-la sur les tablettes, afin qu'on la lise couramment » ? Parce qu’il m’arrive d’enfouir ma vision au plus profond de mon cœur pour me protéger des critiques des autres. La peur me pousse à la cacher pour ne pas avoir à y penser. Parfois, j’y renonce parce que c’est douloureux et coûte trop cher de la suivre. Que faire ? Tout d’abord, je dois avoir une vision claire et crédible. Ensuite je ne dois jamais la perdre de vue. Après avoir été rejeté par sa famille et accusé à tort par la femme de son patron, ce qui lui a valu treize ans de prison injustifiée, la Bible dit : « Joseph se souvint des rêves qu'il avait faits à leur sujet » (Ge 42.9). Enfin je dois me souvenir que Dieu a prévu un temps pour l’accomplir : « Car c'est une vision dont l'échéance est fixée […] Si elle tarde, attends-la, car elle s'accomplira certainement » (Ha 2.3). Il me faut trouver un équilibre entre contentement et ambition. Paul écrit : « J'ai appris à me contenter de l'état où je me trouve » (Ph 4.11). Paul ne s'est jamais plaint des situations dans lesquelles il se trouvait ; il savait que Dieu était avec lui à tout moment et il attendait toujours avec impatience l'endroit où Dieu l'emmènerait. Alors profitez de cette journée, sachant que Dieu a planifié votre avenir en toute sécurité.
B365 — Plan de lecture 1 Chroniques 7
Prière du jour Je te remercie Jésus car tu as un plan pour ma vie.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024 PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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automata-pi · 2 months
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Combien vaut une bonne mémoire ? Il y a cent ans, ça valait le prix d'une encyclopédie. Maintenant, avec internet & l'IA, ça vaut zéro. Certains vont me dire (probablement des boomers*) "il ne faut pas croire tout ce qui est écrit sur l'internet". Parce qu'il faudrait plus faire confiance à la mémoire de quelqu'un ? Rechercher sur internet est plus fiable, quoi qu'on en dise. À propos de la recherche, Einstein disait : "Ne mémorisez jamais quelque chose que vous pouvez rechercher." Il croyait que la capacité à poser des questions et à penser de manière critique était plus importante que d'accumuler des informations factuelles. Ce qui a de la valeur dans le monde actuel et le monde de demain : Le courage. S'intéresser aux gens. Savoir résoudre des problèmes. Comprendre profondément un sujet. L'imagination et la capacité à la réaliser. Alors si un jour vous avez déjà culpabilisé de votre faible mémoire des faits, ne culpabilisez plus car ce n'est pas important. Savoir réfléchir & comprendre > Mémoriser des faits. *Aux anti-âgistes. Boomer n'est pas une insulte. C'est le nom d'une génération. --- Si tu me découvres grâce à ce post, je parle le plus souvent d'IA. Si ce sujet t'intéresse, abonne-toi ;)
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christophe76460 · 4 months
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Theme : Les vérités bibliques sur Marie mère de Jésus Christ homme :
1ère vérité : Marie n'a pas connu l'assomption.
L'assomption est une doctrine catholique qui dit que le corps de Marie a été enlevé, cette doctrine affirme que le corps qui a enfanté Jésus ne peut pas mourir. Ce n'est pas la Bible qui le dit mais eux-mêmes par leur supposition intellectuelle. Il est écrit dans 2 Rois chapitre 2 verset 11 que le prophète Élie est monté au ciel sans passer par la mort physique. Et dans Hébreux chapitre 11 verset 5 il est écrit que Henoc est monté au ciel sans passer par la mort physique. Mais il n'est écrit nulle part dans la Bible que Marie est montée au ciel sans passer par la mort. Si Marie était montée au ciel sans passer par la mort physique, la Bible l'aurait précisé aussi clairement. Car Dieu ne nous cache pas la Vérité.
Que dit la Parole de Dieu ? Le dernier verset de la bible qui parle de Marie est Acte 1 Verset 14 qui ne montre pas du tout que Marie a été enlevée. Dans ce verset, il est affirmé que Marie était entrain aussi d'attendre le Saint Esprit comme les disciples de Jésus. Nulle part dans la Bible il est dit que Marie a été enlevée. Après Acte 1 verset 14, la Bible n'a plus parlé de Marie, car elle avait achevé sa mission. Dans la Bible, quand on ne parle pas de manière claire sur la fin de la vie de quelqu'un, c'est qu'il est mort comme tous les autres hommes et son corps a été enterré. Faites des recherches et allez vers Israël labas et vous verrez la tombe de Marie je vous le promets. La tombe de Marie existe bel et bien, c'est la vérité. Marie est donc morte. La bible nous interdit de parler aux morts dans Deutéronome chapitre 18 verset 10 - 11 et dans Lévitiques chapitre 20.
Marie n'a pas été enlevée c'est-à-dire l'assomption est un mensonge de Satan, Marie n'a donc pas connu l'assomption. L'assomption est juste une doctrine qui a été inventée. "Tu es poussière et tu retourneras à la poussière ", cela concerne aussi Marie. Marie est morte et son corps a été enterré.
2 eme vérité biblique : Marie n'est pas restée vierge après la naissance de Jésus. Matthieu 1 verset 25 : Elle n'avait pas connu d'homme, mais Jésus Christ homme avait pris la virginité de Marie en sortant de Marie par l'action du Saint Esprit. L'église catholique maintient la virginité de Marie juste pour pousser les gens à la vénérer et à l'adorer. Vous savez, ce n'est pas parce qu'on prie qu'il faut être bête et croire à n'importe quoi. Matthieu 13 verset 55 : Jésus Christ homme avait des démi-frères ( Jacques, Joseph, Simon et Jude ). Le catholicisme n'a jamais dit aux gens qu'il avait des démis frères, juste pour pousser les gens à vénérer et à adorer Marie.
3 eme vérité biblique : Marie n'était pas parfaite. Dans Luc 1 verset 46 Marie reconnaît Jésus comme son Sauveur. Dans Luc Chapitre 1 V 28, l'ange Gabriel dans sa salutation lui disait qu'elle a trouvé grâce auprès de Dieu. Qu'est ce que la grâce ? La grâce est une faveur imméritée. Donc Marie n'avait pas mérité d'accoucher Jésus Christ homme. Et elle le sait. Si Marie avait mérité d'accoucher Jésus Christ homme, elle n'allait pas être troublée suite à la salutation de l'ange Gabriel. Cela pouvait tomber sur n'importe quelle autre femme. Marie n'était pas plus spéciale que les autres. Elle avait juste trouvé grâce c'est tout. Celui ou celle qui trouve grâce ne peut pas être adoré ni vénéré. Pour être adoré et vénéré, il faut être digne. Jésus n'a pas trouvé grâce, il est plutôt digne, il est Dieu et c'est pour cela qu'il a droit d'être adoré, et beaucoup de personnes ont adoré Jésus dans la bible ouvertement devant Jésus. Si Marie n'avait pas cru en Jésus, elle serait allée tout droit en enfer. La Bible dit que celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, cette parole concernait aussi Marie.
4 eme vérité biblique : Marie n'est ni l'égale de Jésus ni son supérieure. Jean 19 Verset 26 : Sur la croix, Jésus voyait Marie et lui dit : Femme, voici ton fils ". " Jean voici ta mère " Jésus voulait juste fait comprendre à Jean qu'il doit aimer Marie et prendre soin d'elle, et non la vénérer, ni l'adorer ni la prier. Si Jésus a toujours appelé Marie " Femme " et non "mère ", c'est parce qu'il n'a pas de Mère dans la dimension spirituelle. C'est aussi ce qui fait qu'on ne peut pas prier Marie. Jésus à l'âge de 12 Ans, quand Marie et Joseph l'avaient amené au temple et qu'ils l'avaient oublié, Jésus leur dit : " Laissez moi m'occuper des affaires de mon Père ". Son père spirituel c'est Dieu et non Joseph. Et il n'a pas de mère dans la dimension spirituelle. Quelque part dans la Bible, les gens ont dit à Jésus : " Ta mère et tes frères te cherchent ". En tendant la main vers ses disciples et non vers Marie, Jésus leur répondit : " Ma mère et mes frères sont seulement ceux qui obéissent à la Parole de Dieu. Pourquoi Jésus Christ disait ça ? C'est pour ne pas qu'on puisse donner à Marie la place spirituelle qu'elle n'a pas.
5 eme vérité biblique : Marie n'a jamais été établie médiatrice entre Dieu et les Hommes. 1 Timothée 2 Verset 5 : " Il y a un seul Dieu, et donc il y a un seul médiateur entre Dieu et les Hommes : Jésus Christ homme. Jésus Christ homme est le seul et unique médiateur entre Dieu et les hommes". Pourquoi Jésus est le seul médiateur ? C'est tout simplement parce qu'il est le Seul qui s'est offert lui-même en Rançon pour tous. Marie ne s'est pas offerte. Et parallèlement la Bible dit que Jésus Christ est le seul qui intercède pour nous auprès du Père.
6 eme vérité biblique : Marie n'exhauce aucune prière car elle est morte. Dans Esaie 8 Verset 19, Dieu nous interdit de prier les morts en faveur des vivants. Prier les morts est une très grande abomination devant Dieu. Mais comment est-ce qu'il y a des gens qui témoignent qu'ils ont vécu des miracles après avoir prié Marie ? C'est tout simplement parce que quand les gens prient dans l'erreur, ils ouvrent la porte à des esprits impurs qui vont venir accomplir des miracles dans leur vie afin de les garder dans la malédiction. Ce n'est pas parce qu'il y a une réponse à ce que tu fais que tu es dans la vérité. Le diable aussi fait des miracles. Quand tu as la foi dans les choses fausses, tu finiras par vivre ces fausses choses. Pourquoi les gens ont des apparitions de Marie ? C'est parce que ces gens y croient, et un démon va prendre une forme pour se déguiser en Ange de Lumière pour leur apparaître, Sache que tout ce qui n'est pas biblique est dans la fausseté. Il est écrit dans 2 corinthiens chapitre 11 verset 14 que Satan se déguise en ange de lumière, et c'est exactement ce qu'il fait dans les soi-disant apparitions de Marie dans l'église catholique pour tromper les gens afin que ces gens soient toujours captifs des ruses sataniques consciemment et inconsciemment. Prier Marie, c'est de l’idolâtrie. Marie est morte, et la bible nous interdit plusieurs fois de prier les morts. Et la Bible dit que si tu meurs dans l’idolâtrie, c'est l'enfer qui t'attend ( Apocalypse 21 v 8..). Hebreux 9 verset 27 : " Il est réservé aux êtres humains de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement ". Le purgatoire n'existe donc pas.
7 eme vérité biblique : Marie n'est pas digne de recevoir un culte ou un service spirituel. Jean 2 verset 3 : Pendant les Noces de Cana, lorsque le vin a manqué, Marie s'est dirigé vers Jésus Christ et lui a dit : Le vin manque. Jésus lui répondit ceci : " Femme, qu'y a t-il entre toi et moi ?, mon heure n'a pas encore sonné.". Jésus voulait faire comprendre par là que Marie n'est pas sa mère dans le domaine spirituel et qu'il n'y a aucun rapport entre marie et lui. Par la suite, Marie elle-même a reconnu la Seigneurie de Jésus Christ, c'est pour cela qu'elle a dit aux disciples de Jésus ceci : " Faites tout ce qu'il vous dira ". Par la suite, Jésus a fait le miracle en changeant l'eau en vin parce que Marie s'est soumise à son autorité, et elle s'est fait disciple de Jésus. Dirigez votre vie vers Jésus seul et non Marie.
Autre vérité biblique : Jésus n'a pas toujours fait ce que Marie lui demandait. C'est pour cela que lorsque les gens disaient à Jésus que sa mère et ses frères le cherchent, il leur répondit ceci : " Ma mère et mes frères sont ceux qui font la volonté de Dieu.".
Autre vérité biblique : Jésus Christ ( Dieu ) n'a jamais établi Marie comme Chef de l'Eglise. Acte Chapitre 2 Verset 14 : " C'était Pierre qui avait parlé le jour de la Pentecôte et non Marie ". Marie avait laissé Pierre parler le jour de la pentécôte. La pentécôte c'est la naissance de l'Eglise. Jésus n'était même pas apparu à Marie le jour de sa résurrection. Jésus était apparu seulement à Marie de Magdala.
L'ange Gabriel n'avait jamais prié Marie, c'était plutôt une annonciation d'un message de Dieu à Marie. L'ange ne l'avait pas aussi vouvoyer.
Autre vérité biblique : La Marie que les catholiques vénèrent n'est même pas la vraie Marie. C'est plutôt les petits dieux sataniques ( Isis, Arstaté, Sémiramis). Sémiramis est une déesse païenne féminine derrière laquelle se trouve un démon qui exige le célibat des prêtres. Dans Juges Chapitre 2 verset 13, Dieu nous parle de la Marie que prient les catholiques. Juges Chapitre 2 Verset 13 : " Ils abandonnèrent l’Éternel et servir Baal et les Arstatés ". Arstaté c'était une divinité féminine satanique. Lorsque le peuple d’Israël abandonnait Dieu, il allait vers Baal et une divinité féminine derrière laquelle se cache un démon. Et derrière le culte des divinités féminines il y a toujours un principe. Ce principe est que les prêtres de cette divinité féminine doivent être dans le célibat car ils ont épousé cette divinité. C'est pour ça que les prêtres catholiques doivent être célibataires, car ils ont épousé la divinité féminine satanique sans le savoir. C'est la raison pour laquelle les occultistes sont à l'aise dans le catholicisme. Ils s'enfoncent dans des prisons sataniques sans s'en rendre compte.
Autre vérité : La prière avec les chapelets, c'est recommandé où dans la Bible ? Nulle part. Les chapelets c'est de la sorcellerie religieuse. Au dernier jour, le jour du jugement, Marie serait très surprise d'entendre que sur la terre les gens la vénéraient ou l'adoraient, et sont allés en enfer à cause d'elle. L'Eglise catholique est une salle d'attente pour aller en enfer. Si tu demeures dans cette secte catholique, même si tu parles de Dieu, sache que tu n'es pas encore converti, c'est ce que dit la Bible. Vous savez, Dieu est un Dieu d'ordre et non de désordre. il n'est pas dans une dénomination religieuse. Esaie 42 V 8 : " Je suis l’Éternel, c'est là mon nom, et je ne donnerai pas ma gloire à un autre ni mon honneur aux idoles ". Si tu es catholique, et si tu lis ce message, sors de cette secte catholique. Car la Bible dit : " Sortez du milieu d'eux, et séparez-vous, dit le Seigneur, Ne touchez pas à ce qui est impur et je vous accueillerai ". 2 Corinthien 6 verset 17. Tu as beau parlé de Dieu avec un français académique, mais si tu meurs en étant dans cette secte catholique, c'est en enfer que tu partiras éternellement. Accroche toi à Jésus seul en Esprit et en vérité sans y associer Marie, les statuts et images ni les soi-disant saints. Jean 4 verset 24 : " Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en Esprit et en vérité ". Et Dieu nous dit dans Exode Chapitre 20 qu'on ne doit pas le représenter par des statuts et images, on ne doit pas représenter les choses d'en haut et d'en bas par des statues et des images. Ni les choses qui sont sous la terre.
Dieu n'a jamais établi Marie comme mère de l'Eglise. Dans Acte Chapitre 4 Verset 12, Dieu te dit que le Salut ( le Paradis) de ton âme se trouve en Jésus SEUL. PAS EN MARIE NI AILLEURS. Dans Jean Ch 14, Jésus dit : " Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne va au Père que par moi ". Dieu est un Dieu d'ordre et non de désordre, ni de mélange. Nous sommes tous de la descendance d'Adam, sauf Jésus Christ qui est Dieu. Jésus Christ est Dieu le Père ( ESAIE chapitre 9 verset 5 à 6). Nous avons tous la nature du péché en nous, même Marie. Quand vous vénérez et adorez Marie, vous êtes entrain de vénérer et d'adorer un démon sans vous en rendre compte. C'est démontré clairement dans la Bible. Je ne sais même pas pourquoi je publie ces messages de l'évangile. Surement c'est parce que le Seigneur veut te sauver, mais c'est comme si tu endurcis trop ton cœur.
Je préfère te faire mal avec la VÉRITÉ, que de te faire plaisir avec des mensonges.
Actes chapitre 2 verset 38 : Changez d'attitude et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint Esprit.
Actes chapitre 22 verset 16 : Et maintenant, pourquoi tarder ? Lève - toi, sois baptisé et sois lavé de tes péchés en faisant appel au nom du Seigneur Jésus.
Romains chapitre 9 verset 5 : Jésus Christ est Dieu au-dessus de tout. C'est lui SEUL que tu dois invoquer sans le mélanger à d'autres personnes.
1 Jean chapitre 5 verset 20 : Jésus Christ est le Vrai Dieu et la Vie éternelle.
Sortez du catholicisme avant qu'il soit trop tard pour vous, car la mort ne prévient pas. Selon l'histoire et la Bible, le catholicisme n'est pas et n'a jamais été de Dieu. LE Saint ESPRIT n'est pas dans l'église catholique, voilà pourquoi cette église fait tout le contraire de ce que la Bible demande. Fuyez cette secte COMPLÈTEMENT DÉMONIAQUE !!!
Les catholiques à qui Satan a menti en leur disant que Marie n'a jamais péché, voici un verset dans lequel Marie un parent de Jésus a péché en insultant Jésus : 👉 Marc 3 verset 21 : Les parents de Jésus, ayant appris ce qui se passait, vinrent pour se saisir de lui; car ils disaient : Il ( Jésus) est hors de sens.
" Hors de sens " signifie " bête ". Seul Jésus n'a jamais péché ( 1 Pierre chapitre 2 verset 22).
Catholiques, arrêtez d'invoquer Marie. Invoquer Marie ce n'est pas biblique.
La Bible dit : Celui qui invoquera le Nom du Seigneur Jésus sera sauvé.
Invoque uniquement Jésus Christ le SAINT.
Marie n'est pas l'immaculée conception. Le Seul immaculé conception c'est Jésus Christ.
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lanuitlennuie · 7 months
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Remarques générales
Le symptôme manifeste se passe à Montréal. Ça n’est pas anodin, disons que ça a ses effets. « Se passe » est par ailleurs un bien grand mot, en réalité le rapport à l’action est très ténu, et même et surtout plutôt intériorisé au point que ce texte, qui est un script, ne sait pas quelles images convoquer.
Des images de ciel au petit matin ou de roches en gros plan dans une main. Des images du goudron graisseux à la sortie d'un bar, sa luisance belle et dégoûtante. Des images comme une chanson de Brigitte Fontaine, comme E assis abandonné qui me regarde regarder la main flattant une surface d’herbe, comme la banane que petite B fait tomber dans le bac à sable et dont j'égraine la chair un à un parce que le fruit est généreux et qu'il faut l'être en retour, l'image d'une maille tirée dans l'arrière du genou, le bas est neuf mais ça ne l’empêchera pas de se défaire tout entier dans ce trou.🕳️ . Si seulement quelque chose de la vie ou la ville, les deux confondues, perdait de son glacis transparent permanent. Des images opaques au pire. Cap au pire a écrit S, oui, pire au moins, au moins au pire on entend quelque chose. Pierre ou pire, *jean-pierre j’empire*, dit de lui au club en blague Jipi. L’empire ne rigole pas lui, il bat plutôt et c’est le cœur de pierre même son naturel. Quoi faire? Gueuler je n’y crois pas quel embarras. Déchoir tomber au plus bas peut-être, se râper la peau que quelque chose coule comme la musique peut faire croire que ça aiderait - pas toutes les musiques mais celle qu'on fait quand on est trop proche d’une capitale. À un moment de ma vie, je l’ai cru, parce que je suis littérale, que ce serait ça qu’il faudrait, le plus bas : je vous écris du pont poisseux d’une vie au plus bas. J’ai voulu, sans en avoir la folie, la pureté qui me verrait incompromise. Je regarde par la fenêtre, dehors est une boite grise, une neige molle tombe, je sais que je ne tiendrais pas deux secondes sur le trottoir de l’avenue Mont-Royal, assise avec elleux qui probablement m’accepteraient, assise sur un carton ou juste étendue directement la tête dans une main ou dans le pli d’un coude qui fait le plus sûr abri des désespérés. Je ne tiendrais pas deux secondes, je ne tiens même pas dans l’idée de ça, je ne tiens pas quand la neige, elle, tombe comme les bombes d’Israël dont on ne peut pas dire d'elles qu’elles tombent pour détruire la vie palestinienne - comme on pourrait dire que la mer est immense ou que l'eau coule - et qu’Israël est un enfer, le pire empire, un des empires du pire. Cap au pire je l’ai oublié dans mon casier métallique à la job, je l’ouvre en pensée et sa porte tremble dans ma main, lui transmet sa vibration cheapette et gossante, elle tremble de quelque chose de mal vissé ou d’un manque de tenue quelque part dans ce métal dont je ne sais rien et qui pourtant se referme sur mes effets. Les petits effets à protéger d’une femme qui a largement sa vie derrière elle mais qui relance encore la poque et loin du centre encore.
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claudehenrion · 2 years
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Une fois les flon-flons envolés, il reste quoi ?
 Les dernières notes joyeuses des chants de Noël se sont envolées dans le vent, et il a fallu ranger, plier, replier, remettre en place, puis tout remonter tout en haut de l'armoire. J'ai raconté il y a peu le difficile retour dans leur boite de centaines de Santons dont personne ne peut garantir qu'ils ne s'ennuient pas énormément, là haut. Et il y a quelques jours, Carême oblige, j'ai supprimé le décor artificiel des cartes de vœux qui, il y a quelques années encore, recouvraient tout le piano à queue et débordaient, drues, serrées sur une crédence et une console voisines.
Petit pincement au cœur, cette année : il y en a beaucoup moins, de ces jolies cartes de vœux, et même encore moins que ne me le fait croire mon impression de “moins”. Est-ce dû à mon âge (mes amis m'oublient… ou oublient tout, peut-être, pour quelques uns)…  à l'éloignement progressif du monde du travail (où j'étais plus “cajolé” –titre ronflant oblige, même non-mérité)… à l'impact des nouvelles technologies sur les manifestations de la pensée  –car il est vrai que je reçois 100 % de mails de plus qu'il y a 20 ans…  Si c'est ça, c'est une perte et un regret de plus à ajouter à la longue litanie de toutes les jolies choses perdues, sans doute à jamais : la “carte de vœux” était une belle occasion annuelle d'écrire à la main quelques mots –rarement géniaux, mais bon… passons…–  au verso d'une jolie image, religieuse ou profane mais choisie, pour se rapprocher les uns des autres.
Un ami, tout de même, a dérogé à cette nouvelle (et mauvaise, comme beaucoup des nouveautés auxquelles on finit par s'habituer) habitude : il m'a envoyé une belle lettre pleine de remarques intelligentes, où il me confiait le désenchantement que lui inspirent l'actualité, le monde qui en découle et celui, pire encore, qui semble s'annoncer pour “après”. “Je ne sais pas comment tu fais, écrit-il, pour entretenir ta foi dans un monde dont Dieu –s'il existe– a fichu le camp sans demander son reste, trop content de s'être sorti vivant de cette expérience ratée… Il fait si noir, sur Terre, que si tu connais un endroit où une petite lumière brille encore, dis-moi où il est…”.
Cette lettre me taraudait, lorsque, par miracle (car il faut croire aux miracles, même s'ils n'arrivent jamais : “un miracle”, c'est un autre nom, plus poétique, pour désigner une bonne nouvelle, un clin d’œil du destin, un sourire de la vie. Vous voyez, que ça existe ! ), une lecture est venue illuminer la grisaille à laquelle nous sommes si habitués qu'on la voit presque moins grise qu'elle n'est en réalité. C'est un livre, recommandé par Frank Ferrand, écrit par un Marocain, Driss Ghali –qui n'est pas “R'bati”, mais “Bédaoui”, c'est-à-dire casablancais. “Nobody’s perfect”? Lui l'est presque : couvert de vrais diplômes (ni sciences-pipo ni éna, mais Centrale et Edhec !), voyageur polyglotte, bosseur, sérieux, profond… et vraiment intelligent. Son titre “Français, ouvrez les yeux” a, vous vous en doutez, tout pour séduire.
Car s'il ne nous épargne pas, c'est avec honnêteté et tendresse… qui sont deux denrées devenues “absentes sur les rayons” des magasins à cause des pénuries fabriquées artificiellement par nos Nuls, sans vraies raisons, sauf leur impéritie ou (à en croire ceux qu'ils disent complotistes’ –qui se trompent rarement) une volonté de nous préparer à un monde où les permissions (chichement données par eux, bien sûr) remplaceront la liberté que nous aimions tant.  Dans une langue élégante qu'il doit à sa mère, française, il s'efforce de tirer de sa léthargie un grand peuple dont il admire le passé et l'Histoire mais qu'il voit se précipiter, de son propre chef pas si propre que ça en l'espèce, vers sa perte –qu’il estime facilement évitable.
Son diagnostic, en partie vu de l'extérieur, est intéressant et original, puisqu'il attribue notre effacement actuel en tant que nation à trois grands renoncements : notre puissance nationale, notre souveraineté populaire et, le plus grave, notre “génie français” lui-même… c'est-à-dire à trois des composants de notre superbe “culture française”, à laquelle nos dirigeants sont tellement étrangers qu'ils prennent leur méconnaissance abyssale pour son inexistence à elle ! Seul ennui, la nature ayant horreur du vide, “les populations ainsi devenues orphelines en sont réduites à se tourner vers  les Etats-Unis et leur anti-culture consumériste (’‘Je consomme, donc je suis !”), quand ce n'est pas –phénomène nouveau– vers un islam qui nous envahit et prolifère’’ sur les ruines de ce à quoi nous tournons le dos sans raison… Ne sachant plus que copier les autres, nous avons perdu tout amour-propre, “notre seule fierté commune et partagée semblant relever d'une victoire en Coupe du monde de foot  ou d'un premier prix au concours de Miss Monde… ce qui est peu, pour galvaniser les âmes autour du rêve d'un destin commun… ”. Il parle d’or.
Son diagnostic, parfois “rude”, peut faire mal, mais nous contraint à nous remettre en cause tant cette douleur reflète et annonce une maladie plus profonde… Jugez-en plutôt : “Des places fortes autonomes se sont retranchées de la communauté nationale qui leur doit cependant le ravitaillement, le droit de passage et souvent de cuissage”. Ou encore, cette “pépite” : En l'espace d'un siècle, on est passés du Maréchal Lyautey à Gabriel Attal… en moins de cinquante ans, de Marie-France Garaud à Marlène Schiappa… [et j’ose ajouter : '’ou de De Gaulle à Macron, via Hollande’’], et en moins de vingt ans, de Philippe Séguin à Olivier Véran : il y a de quoi avoir le vertige, devant la vitesse et la profondeur de notre chute’’. Recopions encore cette forte analyse : “Les français veulent juste qu'on les laisse tranquilles, pour jouir de quelques minutes supplémentaires de plaisir (?)… Ils veulent que la fête continue, alors qu'elle a pour principal résultat de brouiller les sens et les repères, le son trop élevé et les lumières saccadées cachant la réalité de notre déclassement national  et de notre ensauvagement en voie de généralisation”.
Driss Ghali conclut sur le “mélange de lâcheté, de prébendes et de mimétisme ” qu'il voit être érigé comme nos soi-disant “valeurs républicaines”, les dernières avant la fin de notre fin… Merci, cher Driss, de vous joindre à tous mes efforts désespérés –mais qu'ils soient maltraités et ignorés ne suffira pas à ralentir mon effort– pour hurler dans la tempête : “Français, ouvrez les yeux”, comme vous le dites si bien. Courage : le pire ne peut pas être éternel, puisque le sujet qui y est soumis disparaît…   Vous me direz : “Quel rapport en une carte de vœux et ce beau livre”? Celui qui existe entre deux jolies choses qui préfèrent la douceur du temps qui passe à l'horreur du temps qu'on nous prépare ! N'abandonnons pas, surtout !
H-Cl.
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LES GENS SE DISENT SUIVRE DIEU BASÉ SUR LEUR COMPRÉHENSION HUMAINE DES SAINTES ÉCRITURES ET NON BASÉ SUR LE FAIT QUE LE CRÉATEUR LEUR ACCORDE UNE VIE DE SAINTETÉ SURNATURELLE ET DES MIRACLES EXTRAORDINAIRES TOUT AU LONG DE LEUR VIE SUR TERRE, COMME LE CHRIST.
En réalité, n'importe qui peut dire qu'il suit Dieu.
Mais est-ce que le Créateur le confirme par le fait qu'il t'accorde une sainteté surnaturelle et le fait qu'il intervienne lui-même divinement dans tout ce que tu fais ?
Je suis choqué parce que beaucoup de religieux ou de personnes disent suivre Dieu, alors que leur vie de péché démontre le contraire.
Car s'il est écrit que celui qui suit Dieu ne marche pas dans les ténèbres.
Et s'il est aussi écrit que celui qui suit Dieu fera autant de miracles que le Christ et des miracles encore plus grand que lui.
En quoi peux-tu démontrer que tu suis Dieu si tu n'as pas ces choses dans ta vie personnelle, cher ami(e) ?
AS-TU L'AMOUR DE LA VÉRITÉ ?
OU TON RÔLE EST DE SIMPLEMENT DÉFENDRE TA COMPRÉHENSION DES SAINTES ÉCRITURES OU TA COMPRÉHENSION DE LA VIE ?
CAR CE N'EST PAS LA MÊME CHOSE, MES CHERS AMIS ?
L'amour de la vérité fait qu'on ne peut jamais croire qu'on a compris de la bonne façon ou que l'on a raison.
L'amour de la vérité est un synonyme de vivre en se remettant tout le temps en question, car on n'aura jamais réellement la vérité, car elle est divine, tout simplement.
Jésus qui est la vérité, a averti ses disciples qu'ils ne l'auront pas toujours.
Preuve que dire que tu suis le Christ est une erreur, car Dieu seul peut dire si tu le suis, cher ami(e).
ON EST CENSÉ PLUTÔT ÊTRE UN PAUVRE EN ESPRIT.
C'est-à-dire, que l'on se considère être insignifiant et que l'on dépend désormais en permanence de Dieu, de son aide et de sa force pour la moindre chose.
Tel que le Christ qui ne faisait que ce que Dieu lui disait, à chaque instant, dans son propre cœur.
En effet, seul le Créateur comprend de la bonne façon et lui seul a raison.
ON N'EST PAS CENSÉ ÊTRE UNE PERSONNE QUI CROIT AVOIR COMPRIS.
Celui qui croit qu'il agit bien, celui qui croit qu'il a compris comme il le faut et celui qui croit avoir raison, est en réalité un orgueilleux, un arrogant, un hypocrite qui cache ses péchés, car il veut faire croire quelque part qu'il est comme Dieu lui-même, en réalité.
En effet, seul Dieu agit parfaitement bien, seul le Créateur comprend comme il le faut et lui seul a ou aura raison pour l'éternité.
Et seul Dieu connaît tout parfaitement, donc lui seul a le droit d'avoir des avis définitifs.
Car à la fin, le Créateur nous jugera.
Donc laissons-le nous enseigner à travers nos propres cœurs, tout au long de nos vies sur terre, mes chers amis.
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12-edition · 1 year
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Conversations V : Part III
4/08
A : Sauf qu'il était même pas "quelconque" c'était un pauvre type, menteur et qui s'invente une vie qu'il ne fait que rêver! Physiquement il était même pas mon genre donc nan, je crois que c'est l'intérêt qu'il m'a porté qui m'a fait du bien sur le moment et a occulté tout les défauts évidents! Pour ça je m'en veux encore Alors qu'au fond, tout n'est pas ma faute, mais j'aurai voulu être plus forte à ce moment Aujourd'hui ça m'a apporté bcp donc finalement, peut être qu'il fallait que ça arrive🤷‍♀ -Peut-être ouais A : Enfin j'aurai préféré me couper une guibole quand même je crois! -C'est peut être pas encore trop tard 😅 Ça m'aurait étonné 😅 A : 😄 -Pour terminer mon propos, à ce moment on se parlait déjà plus, et t'avais aucunes raisons de m'écouter. De plus, je pense que personne ne peut te faire changer d'avis, surtout pas moi. A : Tu as raison Mais sur le moment, je crois que j'aurais aimé entendre que c'était un sale con mytho, j'aurai peut être pensé différemment J'étais seule avec une envie d'être avec la mauvaise personne Peut être que j'aurai pensé différemment même si tu as clairement raison, j'ai du mal à écouter les autres Mais toi, quand on s'entendait encore et que tu as vu ce qu'il se passait, j'aurai aimé t'entendre, ou te lire Je sais ce que tu devais penser à l'époque -Je pense pas non A : J'aurai eu besoin de l'entendre je crois Ça n'aurait peut être rien changé, mais ça l'aurait mis en porte à faux et peut être que je l'aurais vu tel qu'il était Je suis même dégoûtée qu'il t'ait écrit ce bâtard, pour s'excuser en + mais quelle merde humaine! -Je pourrais dire que j'avais tout compris dès le départ, mais c'est le cas, j'ai rien vu venir, à ce moment c'est mon égo qui parlait, parce que j'ai compris que je tenais à toi au moment où je t'ai perdu, par ma faute, tu parles d'un génie. Pour ses excuses, j'ai savouré je l'ai mérité. A : Tu m'as pas perdu par ta faute -Si, peut être pas entièrement mais si Moi aussi je me suis comporté comme un connard, j'ai mérité ce que j'ai eu A : Le vrai connard Alex, c'est celui qui a menti, trahi, disparu, qui nous a pris pour des cons! Ce fils de chien de mérite pas que tu t'en prenne à toi -Non ça il mérite pas A : Il mérite que la vie de merde qu'il doit avoir Avec sûrement une ptite femme qui pense avoir trouvé l'homme idéal Sûrement une débile 🤦‍♀ -Ce genre de personnes trouve des gens suffisamment influençable pour croire à leurs histoires. De toute façon dans la vie, plus tu fais de bruit plus tu racontes de conneries plus les gens te remarque, je comprendrais jamais ça. A : Mais au final, tu finis entouré de connards dans ton genre ou de gens faibles On a vite vu qui il était Ma dernière conversation avec lui reste en mémoire, grillé il a préféré fuir comme un lâche qu'il est! -J'imagine A : C'était moche -Presque aussi moche qu'on en viennent à parler de lui quand on taille le bout de gras. A : Je sais Mais ça me fait du bien de me défouler 😄 -Je sais bien A : Mais je sais que t'aime pas ça Dsl -J'ai pas dit que j'aimais pas ça A : Tu sais le pire! C'est que j'aurai aimé être bcp plus virulente à l'époque avec ce con! -Ça aussi je sais 😅 Tu t'es rattrapée depuis A : Oui mais j'ai pas pu lui dire toute la merde que je pensais de lui🤦‍♀ Alex: On pourrait lui changer son nom, simple proposition 😅
Tumblr media
A : 🤣🤣🤣 Excellent ça!!!! -Mike Hannigan l'un des dix personnages les plus sous-estimé de l'histoire A : C'est certain!!! -Ouais nan Paul Rudd carrément tiens A : Ah bah lui c'est toute la filmo qui est bonne!!! Sa série avec son double est géniale!!! -Ze note A : Living with yourself Excellent!!! -Ouep j'avais trouvé 😄 Merci de m'avoir accordé un peu de ton temps A, j'apprécie A : Ah beh quand on peut rendre service hein🤦‍♀ 😅 Mauvais smiley! Je suis une misérable 🤣🤣🤣 -Elle non plus c'est pas une flèche 😅 A : 🤣🤣🤣 Ça a un rapport avec le tir à l'arc?? -Bah il faut dire que quand vous m'avez appris c'était tellement clair 😅 A : Mais vous savez tirer à l'arc depuis? -J'ai pas réessayer depuis mais y a pas de raisons x) C'est marrant cette conversation me rappelle un truc 😅 A : Ah oui?? 😄 -Nah je me disais que on pourrait remplacer le tir à l'arc par autre chose et mes réponses serait pareil 😅 suis fatigué 😅 A : Ah mais merde 🤣 -Ça colle parfaitement, mes excuses pour cet écart de comportement 😅 A : 😄😄😄 T'en fais pas! -Y a un minimum de dignité 😅
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exutoiredepenser · 1 year
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" En fait, ça fait un moment que se croisent dans ma tête
Des mots et des douceurs qui pourraient faire un texte
Un truc un peu différent, je crois que ça parlerait d'elle
Faut avouer que dans mon quotidien, elle a mis un beau bordel
Mais j'ai un gros souci et j'ai peur que mes potes se marrent
Qu'ils me disent que je m'affiche, qu'ils me traitent de canard
C'est cette pudeur misogyne, croire que la fierté part en fumée
Quand t'ouvres un peu ton coeur, mais moi cette fois je veux assumer
J'ai un autre problème, il est peut-être encore plus lourd
C'est que t'as pas droit à l'erreur quand t'écris un texte d'amour
Moi, les trois prochains, je voudrais que ça soit des bombes
Si j'écris un texte sur elle, je voudrais que ça soit le plus beau du monde
Elle mérite pas un texte moyen, j'ai la pression, ça craint
Fini de faire l'intéressant, avec mes voyages en train
Là c'est loin d'être évident, moi je sais pas comment on fait
Pour décrire ses sentiments, quand on vit avec une fée
Il faut avouer qu'elle a des yeux, ils sont même pas homologués
Des fois ils sont verts, des fois jaunes
J'crois même qu'la nuit ils sont violets
Quand je m'enfonce dans son regard, je perds le "la" je touche plus le sol
Je me perds profondément, et j'oublie exprès ma boussole
Depuis que je la connais, je ressens des trucs hallucinants
Et je me dis souvent que j'ai eu de la chance de lui avoir plu, sinon
J'aurais jamais su qu'un rire pouvait arrêter la Terre tourner
J'aurais jamais su qu'un regard pouvait habiller mes journées
Je comprends pas tout ce qui se passe, y'a pleins de trucs incohérents
Depuis qu'elle est là rien a changé, mais tout est différent
Elle m'apporte trop de désordre, et tellement de stabilité
Ce que je préfère c'est sa force, mais le mieux c'est sa fragilité
Ce n'est pas un texte de plus, ce n'est pas juste un poème
Parfois elle aime mes mots, mais cette fois c'est elle que mes mots aiment
Je l'ai dans la tête comme une mélodie, alors mes envies dansent
Dans notre histoire rien est écrit, mais tout sonne comme une évidence
J'ai redécouvert comme ça réchauffe d'avoir des sentiments
Et si tu me dis que c'est beaucoup mieux de vivre sans, tu mens
Alors je les mets en mots et tant pis si mes potes me chambrent
Moi je m'en fous, chez moi y'a une sirène qui dort dans ma chambre
J'avais une vie de chat sauvage, elle l'a réduite en cendres
J'ai découvert un bonheur tout simple, c'est juste qu'on aime être ensemble
On ne calcule pas les démons du passé, on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux
Y'a des sourires et des soupires, y'a des fou rires à en mourir
On peut s'ouvrir et sans rougir, déjà se nourrir de nos souvenirs
Les pièges de l'avenir nous attendent, mais on n'a pas peur d'eux
Moi si un jour j'suis un couple, je voudrais être nous deux "
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unmotde · 1 year
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Samedi Il est arrivé une chose qui ne s'était pas produite depuis... depuis. Depuis M. et la pagaille qu'elle a mise dans notre couple avec l'aide de LeChat, depuis les blessures. Nous avons réparé autrement. Il n'y avait plus - on l'a bousculé seulement pour nos anniversaires respectifs. C'est arrivé comme ça, par la force des choses, parce qu'un besoin de temps, parce que l'habitude qu'on pourrait nommer routine, parce qu'une maison à construire ça fait ça sans doute - prendre le temps l'arracher et le rendre épuisé - parce que les enfants la vie la fatigue ma santé : il n'y avait plus de temps à deux. Ça a fini par manquer, ce temps de couple. Après les différents achats qui nous ont fait courir un peu partout, il s'est arrêté à une terrasse et autour d'un verre nous avons discuté juste lui et moi, pas d'enfants de soucis d'interférences, juste lui juste moi. Je me suis remise à respirer, à croire que j'étais en apnée. En repartant nous sommes passés devant chez une fleuriste et il est arrivé une chose étonnante : mon regard s'est accroché sur une succulente. Je n'apprécie que moyennement les succulentes. Il faut bien comprendre que c'est piquant et que je ne m'approche jamais volontairement de ce qui peut me blesser - principe de vie. Ce sont des plantes tout en retenue, elles coincent l'eau dans leurs feuilles pour survivre aux sècheresses. Je devrais à tout le moins me sentir solidaire - nous pratiquons à haut niveau, l'une et l'autre, la survie - mais ma nature profonde est plongée dans les montagnes et l'eau ruisselante, je suis loin des zones désertiques.
J'ai donc un bout d'Afrique du Sud sur mon bureau, je n'ai pas très bien compris comment c'est arrivé.
Je ne suis pas certaine d'avoir choisi la plante, j'ai plus la sensation que c'est elle qui m'a choisie. Un appel qui a fait tourner ma tête. Lorsque je l'ai eue en main, je me suis aperçue qu'elle avait une petite hampe florale et que c'était la seule à en avoir une, j'ai souri de cette chance. Le plus amusant étant sans doute que cette Haworthia fasciata est surnommée Haworthia zebre - de circonstance, ailleurs.
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Samedi, prise de conscience Une conversation - ailleurs donc - a dévié ma route. Sur ce que je pensais de moi. Sur ma capacité à me jeter dans un domaine et apprendre "facilement". Toute ma vie, je me suis sentie pire que nulle, ma mère m'a toujours dit que je n'arriverais à rien et je lui ai donné raison. Je lui ai accordé ce pouvoir-là. J'ai raté mes études, raté la musique, raté tout ce que j'ai entrepris. Avoir touché un peu à tous les domaines n'a fait que confirmer ce fait, je n'arrive à rien, je ne suis nulle part, je ne fais rien de mes savoirs. Il y a également le poids familial, puisque mon grand-père était affligé du même sentiment de n'avoir aucun don, de ne rien valoir, d'être rien.
Sur cette conversation, quelque chose a cranté : j'y arrive à ce quelque part, seulement je n'approfondis pas, par peur sans doute de l'échec annoncé. Et j'y arrive rapidement, surtout. La phase "débutante" n'excède pas quelques semaines, j'obtiens des résultats - puis je claque la porte. La moindre difficulté de parcours me fait reculer, "je ne suis pas capable de le dépasser".
Je ne sais pas encore ce que je vais faire de cette prise de conscience, que j'apprends rapidement et que "je pourrais" aller plus loin. On n'efface pas quarante-six années de tête sous l'eau avec un boulet au pied sur lequel il est écrit "tu es nulle en tout". Je vais commencer par prendre le temps de savourer ce fait, j'apprends plus vite que la moyenne, particulièrement dans les arts. Un pas après l'autre.
Lundi Je me suis réveillée au cri étrange d'un oiseau assez proche de ma fenêtre encore ouverte, à la limite de la corneille sans être du tout ça. Je me suis demandé si c'était un corvidé inconnu de moi. Après recherche il s'est avéré qu'il s'agissait d'un Loriot d'Europe, un passereau… africain. Il n'est par ici que pour la reproduction, dans très peu de jours, semaines, il va repartir vivre en Afrique (centre et sud). Je me demande s'il est bilingue.
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Vendredi 4 novembre 2022
Good mood
Ce soir (j'écris ces lignes passé minuit) je suis d'une relative bonne humeur, allez savoir pourquoi : je suis toujours misérable, célibataire, sans job, pourtant, mais là, tout de suite, je le vis bien. Il faut croire que mes antidépresseurs fonctionnent à merveille. Pour être honnête, en général, je vais bien. Je ne connais que deux, trois jours maximums de blues dans un mois, c'est plutôt pas mal, non ?
Et donc, j'ai eu envie d'écrire, je me suis dis qu'il valait mieux écrire lorsque j'étais dans un bon mood sinon ça finit par deux pages de complaintes et je suis jamais très fier quand je relis ce genre de jérémiades dont je suis trop souvent coupable.
J'ai noté quelques trucs, en vrac, sur mon bloc note. Donc ça risque de sembler décousu, le texte d'aujourd'hui, mais vous comprenez, ce sont des choses qui me passent par la tête et dont je me dis qu'elles pourraient peut être intéresser un ou deux lecteurs (lectrices, plutôt, je crois toujours avoir surtout des lectrices).
Les femmes sont une porte d'entrée vers l'infini. Chacune d'elle a le pouvoir de potentiellement faire de moi un roi, il suffit juste qu'elle m'aiment et le tour est joué !
Je suis à une femme du bonheur !
J'ai désormais l'âge de Rimbaud à sa mort.
Lui avait tout écrit à 20 ans, moi je n'ai rien accompli à 37 ans.
Bon, si je me compare à des génies, c'est sûr que je ne risque pas d'en sortir grandi.
Je suis victime d'une permanente boulimie culturelle.
J'ai du mal à suivre mes envies. J'achète, j'empile les livres et je ne lis pas assez vite pour tenir le rythme, résultats, ils s'accumulent sur ma table de nuit.
Il m'arrive d'être déçu et de ne pas les terminer, je dirais que c'est le cas de...10% de mes lectures.
Je lis actuellement l'autobiographie de Pierre Lescure. Voilà un homme intéressant, je pense que lui et moi nous pourrions nous entendre pour une chose, au moins : la musique. Les disques de ses 20 ans sont les mêmes que les miens (oui, les Beatles sont une partie de la bande originale de ma jeunesse, sauf que, si Lescure les a vécus en temps réel, moi je les ai découvert 40 ans après).
Sans transition aucune, j'ai aussi eu envie de me renseigner sur les nazis plus particulièrement sur leur fin. En effet, je suis tombé sur la page wikipedia dédiée au procès de Nuremberg et j'ai pris un plaisir fou (et morbide) à lire comment ces gens ont terminés leur vie, le plus souvent victimes (légitimes) de la peine capitale, lorsqu'ils ne se sont pas lâchement suicidés avant.
Donc, après avoir lu cette page je n'avais qu'une idée en tête, celle de dénicher un bouquin sur ce thème de la fin des chefs nazis. Et comme il existe toute sortes d'ouvrage sur le nazisme, j'ai réussi à tomber sur le bouquin exact qu'il me fallait, alors voilà que m'attendra bientôt dans ma boîte aux lettres un ouvrage appelé « Les derniers jours des chefs nazis ». Espérons qu'il soit au moins aussi passionnant que ce que j'ai pu lire sur wikipedia.
Le saviez-vous ? Le nazi haut placé Göring fut capturé et présenté comme l'un des accusés au procès Nuremberg. Il lui fut donné la sentence fatales : peine de mort.
Mais à la surprise de tous, il réussit à se suicider avant d'être pendu, à l'aide d'une pilule de cyanure. Pendant des décennies il y eu plusieurs théories sur comment a t il pu bien se procurer une pilule de cyanure en prison, jusqu'en 2005 où un vieillard originaire des USA finisse par avouer qu'il était la personne qui aurait fait passer le poison à l'immonde Göring, poison qui lui fut fournit par une jeune allemande qui a réussit son coup en faisant du charme au jeune soldat américain. Ah, qu'est ce qu'on ne ferait pas pour les beaux yeux d'une femme !
En tout cas, je trouve ça un peu ridicule et même un peu comique, de se suicider pour éviter d'être exécuté: « haha vous ne m'aurez pas car je vais me suicider juste avant, afin d'échapper à la mort en mourant !», non mais, quelle absurdité !
Je me demande ce qui me pousse à écrire... j'aime bien être lu. C'est un truc très lié à l'ego. C'est la même chose qui me pousse à chanter et jouer de la guitare. Des tentatives d'attirer l'attention : « regardez moi ! J'existe ! Ecoutez moi! »
J'ai vu Bob Dylan chanter Like A Rolling Stone, Paul McCartney chanter Yesterday, Lou Reed chanter Sweet Jane, Neil Young chanter Heart Of Gold, Brian Wilson chanter God Only Knows et les Who chanter Baba O'Riley, le tout en live devant moi, alors, si je meurs, aucun regret !
Je passe toujours beaucoup trop de temps sur Tinder.
Que voulez vous, je suis irrécupérable.
J'ai même payé pour bénéficier de « Tinder Gold », ce qui me permet de ne pas matcher avec des filles du monde entier. Et laissez moi vous dire que je me prend des vents venus de tous le continents, grâce à cette fonction, je me fait snober par les filles les plus magnifiques du monde !
Quelle aubaine !
J'ai lu quelques extraits du journal de Kafka, aujourd'hui, eh bien, son journal, c'est autre chose que le mien. Lui écrit de si belles choses, plus je le lis plus j'ai honte de me relire. Mais là, encore, c'est normal, si je me compare à un auteur génial je ne peux qu'en ressortir tout petit. En attendant, il faut que je lise et relise Kafka. Pas la pire des influences à avoir, n'est-ce pas !
Mon mal être est très lié à ma personnalité : sans lui, je ne serai pas tout à fait moi même.
Bande son : Playlist fourre tout sur Spotify (avec les pubs car j'ai pas payé mon abonnement ce mois ci)
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christophe76460 · 8 months
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En vérité je vous le dis : "Alors Philippe, ouvrant la bouche et commençant par ce passage, LUI ANNONÇA LA BONNE NOUVELLE DE JÉSUS. Comme ils continuaient leur chemin, ils rencontrèrent de l'eau. Et l'eunuque dit: Voici de l'eau; qu'est-ce qui empêche que je ne sois baptisé? Philippe dit: SI TU CROIS DE TOUT TON COEUR, CELA EST POSSIBLE. L'eunuque répondit: JE CROIS QUE JÉSUS CHRIST EST LE FILS DE DIEU. Il fit arrêter le char; Philippe et l'eunuque descendirent tous deux dans l'eau, et Philippe baptisa l'eunuque." Actes 8v35-38.
Lorsque Philippe l'évangelisateur fut conduit par l'Esprit-Saint vers l'eunuque Ethiopien, il lui annonça la bonne nouvelle de Jésus. Mais quel Jésus Philippe révéla t-il à l'eunuque ? C'est Jésus Christ, le fils de Dieu venu mourir sur terre pour le pardon des péchés des hommes qui croient en lui. L'évangile Véritable est résumé en jean 3v16."Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a DONNÉ SON FILS UNIQUE, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle." Le Seigneur Jésus-Christ est le Fils du Dieu vivant. Mathieu 16v16. C'est sur la révélation divine du Jésus Fils de Dieu que le croyant doit prendre le baptême. L'apôtre Jean a écrit en résumé de son évangile que "ces choses ont été écrites afin que vous croyiez que JÉSUS EST LE CHRIST, LE FILS DE DIEU, ET QU'EN CROYANT VOUS AYEZ LA VIE EN SON NOM." Jean 20v31. Tél est l'évangile authentique, base de la saine doctrine du Christ. Les faux prophètes qui pullulent aujourd'hui dans l'univers chrétien enseignent qu'il faut obligatoirement croire que Jésus Christ est lui-même Dieu le Père avant de se faire baptiser. Cette doctrine qui fait de Jésus Christ Dieu le Suprême est une doctrine démoniaque. Elle s'oppose à L'évangile authentique que Jésus Christ et ses apôtres ont proclamé à l'humanité. En vérité, le Jésus Christ qui est lui-même Dieu le Père Céleste n'existe pas. C'est un faux Jésus inspiré par les demons. Par conséquent, tous ceux qui se font baptiser par immersion en croyant en ce faux Jésus Dieu Suprême ne seront pas sauvés s'ils ne se repentent pas en croyant en l'évangile authentique. Tous les baptêmes qui n'ont pas été fait par immersion totale au nom de Jésus Christ fils de Dieu ne sont pas valides aux yeux de YHWH Dieu. Ces baptêmes doivent être repris. Et avant son baptême par immersion totale dans l'eau, chaque croyant doit obligatoirement confesser à haute voix de sa bouche que Jésus Christ est le fils du Dieu vivant venu mourir en chair pour son salut personnel. La bible affirme que c'est sur la simple confession de Jésus Christ Fils de Dieu qu'on se fait baptiser et qu'on reçoit la bénédiction divine. ceci : "CELUI QUI CONFESSERA QUE JÉSUS EST LE FILS DE DIEU, DIEU DEMEURE EN LUI, ET LUI EN DIEU." 1jean4v15. Que celui qui peut comprendre comprenne. Amen. Abonnez-vous à ma page Facebook intitulée LE PROPHÈTE DES TEMPS APOCALYPTIQUES pour plus d'informations. Amen.
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claudehenrion · 3 years
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L'Islamo-gauchisme - ( II ) : les idiots utiles du djihad...
  Le gauchisme ''à la papa'' a bien changé : de peuple, de cible, de recrutement (j'allais écrire : de victimes). Ayant perdu ''le vrai peuple'' (qu'il n'a jamais eu. Mais il croyait l'avoir !) par sa bêtise, ses errements et ses dévoiements, par la vacuité de ses analyses et la perversité des solutions qu'il ne proposait pas, par son déni du réel et de l'évolution du monde, il s'est ''rattrapé aux branches'' en catastrophe, en racontant qu'il avait trouvé dans l'islam un prolétariat de substitution qui, espéraient les idéologues de cette erreur qui se rêve Terreur, allait voter pour lui et lui assurer la continuité de son pouvoir et la continuation de ses prébendes. Ah ! les cons !…
Il n'y a pas besoin d'être ''voyant  extra-lucide'' pour constater qu'une religion, quelle qu'elle soit, n'est ni un lieu de compromis, ni un terrain d'entente idéal, ni une variable d'ajustement éventuelle, mais qu'elle est une force qui peut soulever tout un peuple, contre son souverain et sa police, contre un régime, un mode de vie, un monde. Les djihadistes sont donc prêts à tolérer un temps des compagnons de route et même à leur faire croire qu'une alliance est envisageable, pour et avec eux. Cet (anti)raisonnement a, par exemple, amené le syndicat étudiant Unef à se rapprocher des Étudiants musulmans de France qualifié de bras armé des Frères musulmans par Mohamed Louizi (Pourquoi j'ai quitté les frères musulmans -Ed. Michalon). En croyant sauver quelques  meubles lors des élections, elle se fait bouffer par plus vicieux qu'elle ! Résultat : l'Unef n'est plus écoutée sur les sujets sérieux, comme la précarité étudiante en temps de covid. Et... c’est bien fait !
Cette énorme faute de jugement, presque un crime contre la pensée, ne date pas d'hier : on se souvient de ces militants de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), devenue le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) qui faisaient alliance avec des islamistes radicaux obnubilés par ''l’américano-sionisme'' et prônaient, au nom de la ''lutte contre l’impérialisme'', l'élimination de l'État d'Israël. J'ai en mémoire le Forum social européen accueillant en grande pompe le faux prédicateur-vrai violeur Tarik Ramadan à Saint-Denis, invité (on croit rêver !) comme ''leader religieux, représentatif d’une partie du prolétariat'' ! Même le Nouvel Obs avait titré une Une digne du Figaro : ''Confusion au Forum social européen : Les gauchistes d’Allah''.
Des bribes de vérité apparaissent dans les feuilles de chou les plus contaminées, même si, dans Libération, une Clémentine Autain revendique le titre d'islamo-gauchiste... que ce quotidien classe dans les ''insultes policées et intellectuelles'' (NDLR - ce qui n'a aucun sens !). Elle précise même, comme pour s'assurer que personne ne peut savoir de quoi elle parle : ''Je ne comprends pas exactement ce que veut dire le mot, mais si ça désigne l’intersectionnalité des luttes, alors oui, c’est ça qui me préoccupe. Je suis de gauche, et je me bats contre le rejet des musulmans en France'' (sic !)... Mais a l’opposé, on lit sous la plume de Pierre-André Taguieff, que ‘‘entre les islamo-gauchistes du Parti des indigènes de la république (en lutte contre la domination blanche et le peuple blanc) et les islamo-fascistes qui massacrent des infidèles au nom du Djihad, la différence est mince''. 
De son côté, Franz-Olivier Giesberg évoque la ''décomposition intellectuelle d'une certaine gauche française''. Et même Bernard-Henri Lévy (qui ne fait pas partie des gens que je lis ni ne respecte mais dont je sais citer un court extrait lorsqu'il a une brève crise d'intelligence) écrit : ''il suffit de lire Foucault pour prendre la mesure de la tentation identitaire, racialiste et, au fond, darwinienne qui n’a jamais cessé de hanter la gauche française, et de la longue généalogie de cette façon d’assigner les opprimés à leur origine, de les enfermer dans leur couleur de peau et leur ethnie''.
La Presse française sortirait-elle de son rituel aveuglement coupable ? Dans une enquête du Figaro Magazine sur ''les agents d’influence de l’islam'', les journalistes Judith Weintraub et Vincent Nouzille dénoncent ''les relais intellectuels de l'islamo-gauchisme, responsables politiques ou acteurs associatifs'’ qui, écrivent-ils, ''investissent l'espace médiatique''. Dans cette enquête, on croise, sous des formes et à des degrés divers, les sociologues Edgar Morin, Geoffroy de Lagasnerie et Raphaël Liogier, l'islamologue (?) Tarik Ramadan, l'historien Jean Baubérot, le démographe Emmanuel Todd, le géopolitologue Pascal Boniface, les journalistes Alain Gresch et  Edwy Plénel (qu'on est certain de retrouver dans tous les ''mauvais plans’’), les politiques  Jean-Louis Bianco, Caroline de Haas, Clémentine Autain, Benoît Hamon et Danièle Obono  ou encore des personnalités associatives telles que Marwan Muhammad, Houria Bouteldja et Rokhaya Diallo. Il ne manque à leur liste que Benjamin Stora, qui a entrepris d’inventer une nouvelle histoire réécrite de l'Algérie, de lecture très macronienne, c'est tout dire ! On en reparle bientôt, promis.
Mais s'il n'y avait que les islamistes comme groupe organisé coupable de volonté de conquête ! Ce serait oublier le climat de complicité intellectuelle et morale dans lequel les soldats d'Allah poussent leur avantage dans la sphère médiatique, intellectuelle et universitaire, qui se résume en deux mots : domination, d'un côté et pour les uns, et trahison de l'autre, pour les autres... sur tout ce qui touche au capitalisme, au christianisme, à l'Occident et à son histoire, et à Israël... (qui est intrinsèquement coupable, et son adversaire, même agressif, même radical, même terroriste, bénéficie donc de la bienveillance que l'on doit aux damnés de la terre). Il faut trouver une soif de justice dans la violence, la trace d'une faute dans celui qui la subit. En fin de compte, la question à 10 balles est : qui, du gauchisme ou de l'islamisme a pollué l'autre, et lequel sortira vainqueur de ce mano a mano ?
Mais quand, soi-disant au nom d'une minorité, d'une cause ou d'un mensonge historique, de beaux esprits très vilains veulent déboulonner les plus belles figures du patrimoine artistique, musical, littéraire, historique et militaire ou à arracher les plaques de rues au nom de grands hommes... on n'a même plus besoin de talibans pour dynamiter les statues ! Pourquoi donc les fous d'Allah s'épuiseraient-ils à faire taire nos cloches quand ils peuvent compter sur nos élus, en guerre contre le ''séparatisme catholique'' ? Et quand un Florent Boudié, rapporteur général du texte de loi sur ce qui aurait dû être ''Séparatisme'' et qui n'est plus que... rien du tout, établit un parallèle entre les enfants qui font leur première communion  et un viol incestueux, ou quand le pitoyable Eric Coquerel (LFI) affirme que le voile d’une mariée est le symbole de la soumission de la femme à son époux, que faut-il penser, sinon qu'ils sont idiots ? Ce sont des maniaques de la diversité qui traquent toute infraction à leur code d'effroyable ''bonne conduite'' et qui terrorisent ceux dont la plume, le dessin ou le verbe défendent la liberté d'expression. Tendez l'oreille ! Pour les ''idiots utiles du djihad'', la seule vraie menace qui pèserait sur nos institutions, ce serait la première communion des petites filles... alors qu'ils donnent la main à ceux qui rêvent d'abattre la République.  Mon Dieu, qu'ils sont cons !
Un dernier point doit inquiéter ceux qui ne sont pas encore contaminés ou ''porteurs malsains'' : l'accès de courage de notre ministre inconnue a vite été réorienté vers des terrains contrôlés par la bien-pensance : charger le CNRS d'une enquête, c'est assurer une fois de plus le parfait suivi de l'intenable et mortel ''et en même temps'' macronien : un coup à droite (’’Tremblez, canailles ! On lance une enquête...’’), et un coup à gauche (’’... mais on l'oriente vers un  organe qui va la classer’’). ''Je suis oiseau, voyez mes ailes... Je suis souris, vive le chats''. On sait dans quel état d'esprit sera abordée la demande de Frédérique Vidal : le CNRS est à la pointe des faux travaux de fausse recherche sur la prétendue écriture dite inclusive, sur la ''race'' en tant qu'arme de guerre, ou sur ''Sexualités, identités & corps colonisés''  (sic !), dans Ed CNRS-2019. C’est tout un programme !). Il faut tendre encore l'oreille... ‘’Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines....’’ ?
H-Cl.
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SI C'EST QUELQUE CHOSE OU C'EST QUELQU'UN DE TOUT-PUISSANT ET D'INTEMPOREL QUI A TOUT CRÉÉ, COMMENT PEUX-TU AVOIR POUR RÉFÉRENCE CE QUE TU AS POUR RÉFÉRENCE, CHER AMI(E) ?
EN EFFET, NUL NE CONNAÎT RÉELLEMENT LE CRÉATEUR.
ÊTRE SÛR DE QUOI QUE CE SOIT EST DE LA FOLIE, CAR DIEU SEUL SAIT QUI IL EST RÉELLEMENT.
NON ?
Si tu te dis sûr de quoi que ce soit, peux-tu mettre ta vie en jeu, concernant ce que tu crois être sûr et certains ?
Car affirmer ses certitudes doit être suivi d'un engagement jusqu'à la mort.
Non ?
Sans engager toute ton existence dans ce que tu dis croire être vrai, sache que tu ne crois pas encore.
Tel que les disciples du Christ qui ont finalement vendu le Seigneur, renié Jésus ou qui ont tous fui lors de l'arrestation du Christ.
Si tu n'es pas prêt à tout, pour ce en quoi tu dis croire, tu révèles ne pas croire en réalité.
C'est un vœu pieux ou un souhait, mais ce n'est pas une vraie conviction comme celle qui a poussé le Christ à se laisser maltraiter par l'humanité en perdition.
Car à la fin, ce qui restera de nous après notre mort, est notre caractère, nos valeurs, nos convictions personnelles, intimes et profondes.
Es-tu sincère ?
Es-tu intègres ?
Autrement dit, es-tu fidèle jusqu'à la mort à tout ce que tu crois au plus profond de toi, cher ami(e) ?
---
Je suis en train de comprendre que la vie sur terre est une préparation à devenir sincère, intègre et fidèle à ce que l'on croit au fond de nous.
Dieu, apparemment, n'aime pas du tout les peureux et les lâches.
Apparemment, la vie sur terre sert à faire un tri.
Dieu continuera l'aventure au ciel, qu'avec ceux qui s'en seront montré digne, en étant prêt à mourir pour ce qu'ils croyaient être juste.
Regarde le comportement de Jésus sur terre, et tu remarqueras qu'il considérait que la peur et la lâcheté humaine étaient ses ennemies.
Donc si tu veux fâcher Dieu soit un lâche ou un peureux, cher ami(e).
Ne pas perdre la lâcheté ou la peur ne sera pas à ton avantage après la mort.
Jésus n'a pas supporté ou n'a pas du tout apprécié que ses disciples aient peur ou aient paniquer, durant la très forte tempête sur un bateau dans un lac.
Dieu ne pense pas comme nous, mes chers amis.
Je crois que Dieu se connaît et il a donc préféré nous former sur terre, avant de vivre au ciel avec lui.
Car Dieu s'avait dès le départ qu'on allait pécher et qu'il devait nous récupérer au ciel avec lui.
Et apparemment Dieu ne peut supporter les lâches.
Regarde la vie d'Abraham.
Abraham a fait preuve de lâcheté en laissant sa femme être prise par des rois.
Et ce n'est pas écrit dans les livres saints, mais sachez que Dieu a traité la lâcheté d'Abraham.
Au point, qu'un jour Abraham a été capable de tuer son fils en obéissance à un ordre donné par le Créateur.
Bien sûr Dieu n'a pas laissé Abraham tué son fils, mais cela nous montre que Dieu ne peut tolérer nos faiblesse, si on veut être proche de lui.
Tu dois changer si tu veux aller au ciel avec Dieu, cher ami(e).
Rester faible, lâche ou peureux, n'est pas possible si on veut rester avec Dieu ou si on veut être proche du Créaeur.
Jésus était tellement connu pour sa sévérité parmi ses disciples, qu'une grande majorité de ses disciples on préféré le fuir.
"Après l’avoir entendu, plusieurs de ses disciples dirent : Ce langage est bien difficile à accepter ! Qui peut continuer à l’écouter ?"
"À partir de ce moment-là, beaucoup de ses disciples l’abandonnèrent et cessèrent de l’accompagner."
Suivre Dieu est uniquement pour ceux qui sont prêts à tout.
CAR IL Y A TROP DE LÂCHES ET DE PEUREUX PARMI NOUS, MES CHERS AMIS.
Je n'arrive pas à comprendre qu'on ait peur de son dirigeant spirituel (pasteurs, prophètes ou autres), de son patron, de son conjoint, de ses enfants, de la police, du gouvernement, du manque d'argent, du manque de logement, du manque de travail, des maladies, de la mort ou de quoi que ce soit, autre que le Créateur.
En effet, si tu as peur, c'est que tu ne sais pas encore qui est la seule personne qu'il faut craindre, cher ami(e).
Même le diable a une certaine sagesse, car il a peur de Dieu.
Et il a raison d'avoir peur de cet être infini, redoutable et que personne ne connaît réellement.
Les être humains sont fous de ne pas craindre celui qui ne sait pas ce que c'est que la peur ou la crainte.
Dieu est le seul à ne craindre rien, ni personne.
Car tout vient de lui et tout lui est soumis.
Tout dépend de lui pour exister.
Donc connaître le Créateur, ne devrait-il pas être la poursuite de ta vie ?
Car c'est à cause de ton manque de révélation personnelle que tu as peur, cher ami(e).
Plus tu connaîtras Dieu, plus tu auras une véritable amitié avec le Créateur, plus tu deviendras fort et plus la peur ne fera plus partie de ta vie.
Tant que tu as peur, sache que Dieu t'annonce par tes peurs, que l'enfer sera ton partage.
Le jour où tu connaîtras Dieu au point de ne plus rien craindre du tout, tu seras sauvé après ta mort, si tu persévères à suivre Dieu par l'intermédiaire de ta conscience.
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LE RÉSUMÉ DE LA VIE DU CHRIST EST QUE DIEU EST SA SEULE RÉFÉRENCE.
EST-CE TON CAS AUSSI, CHER AMI(E) ?
Si c'est le cas, comment connais-tu le Créateur ?
L'as-tu rencontré ?
Sait-il manifesté à toi ?
As-tu des preuves du fait que ce ne soit pas le diable que tu suis, en réalité, sans le savoir ?
Si le Créateur est ta seule référence, pourquoi considères-tu :
les Livres Saints (la Bible ou autres),
la religion et ses rituels,
les dirigeants spirituels (prophètes, pasteurs ou autres),
les assemblés de croyants (églises ou autres),
la science et ses démonstrations,
l'archéologie et ses démonstrations,
l'histoire et ses démonstrations,
les lois humaines,
les gens,
le temps,
l'argent, les richesses et les possessions matériels,
la santé,
etc. …
JE RÉALISE QUE L'ON NE PEUT AVOIR DIEU COMME RÉFÉRENCE, EN RÉALITÉ, CAR NUL NE PEUT RÉELLEMENT LE DÉFINIR.
LE CRÉATEUR SEUL PEUT SE DÉFINIR.
ON NE PEUT RIEN DIRE, EN RÉALITÉ, ON DÉPEND DE SON ACTION DIVINE.
LUI SEUL EST INDISPENSABLE.
CAR EN RÉALITÉ, ON A DU MAL À L'ADMETTRE, MAIS ON NE VIT QUE DE SUPPOSITIONS HUMAINES.
LA SCIENCE EST BASÉE SUR LE FONDEMENT SUIVANT : "CE QUI EST DIT EST VRAI, JUSQU'À PREUVE DU CONTRAIRE".
C'EST UN MOYEN DÉTOURNÉ POUR NOUS DIRE QU'ELLE NE SAIT RIEN, EN RÉALITÉ.
CAR DEMAIN, ON PEUT FAIRE UNE DÉCOUVERTE QUI DÉTRUIT OU REMET EN QUESTION, TOUT CE QUE L'ON CROYAIT ÊTRE SÛR.
VIVRE BASÉ SUR LA SCIENCE, C'EST VIVRE SUR DU SABLE MOUVANT.
À CHACUN DONC DE TROUVER LA VÉRITÉ.
Qu'est-ce que tu considères être ta référence, cher ami(e) ?
Autrement dit, quels sont tes mobiles ou les raisons profondes qui t'animent ?
Qu'est-ce qui t'influence à croire une information ?
Qu'est-ce qui t'influence à vouloir quelque chose ?
Qu'est-ce qui t'influence à penser, à parler et à agir, cher ami(e) ?
Jésus par sa vie nous a introduit le fait de ne vivre que pour faire ce que le Créateur nous dit à chaque instant.
Jésus nous a parlé, en réalité, d'avoir une relation avec Dieu, directement, sans passer par aucun intermédiaire.
Jésus a vécu ce qu'il a prévu qu'on vive ou qu'on expérimente, mes chers amis.
Jésus a dit, en réalité, que lui et le créateur sont la même personne.
Et il est venu physiquement, afin de nous donner l'exemple de vie qu'il attend de chacun de nous, tout simplement.
Et on réalise dans la vie humaine du Christ, que Dieu est bon, qu'il nous aime et qu'il nous a laissé le maltraiter, afin qu'un jour, nous réalisions que nous avons besoin de son aide.
Comme l'histoire du Fils Prodigue nous suggère, que ce n'est qu'un cheminement douloureux qui nous emmènera à genoux devant le Créateur.
Et que l'on se rendra compte du fait que le Tout-Puissant est indispensable et qu'il est l'unique référence fiable, pour chacun de nous, à jamais.
***
MES TEXTES PARLENT, EN RÉALITÉ, DE MON PROPRE ÉVEIL À CE QUE JE CROIS ÊTRE LA VÉRITÉ.
MAINTENANT, LA VÉRITABLE VÉRITÉ, QUI EST LE CRÉATEUR LUI-MÊME, NE PEUT ÊTRE RÉVÉLÉ QUE DE FAÇON PERSONNELLE, INDIVIDUELLE, PAR DIEU LUI-MÊME.
NUL ÊTRE HUMAIN NE PEUT DONNER LA VÉRITABLE VÉRITÉ À UN AUTRE.
DIEU SEUL PEUT SE PRÉSENTER LUI-MÊME, À CHACUN DE NOUS, EN PARTICULIER.
AUCUN ÊTRE HUMAIN NE PEUT DONNER DE RÉVÉLATION DIVINE À PERSONNE.
CAR LE CRÉATEUR EST LE DIEU DE LA RELATION PERSONNELLE.
Le Créateur regarde au cœur et aux désirs profonds de chacun.
On ne peut tromper le Créateur.
Lui seul sait qui est qui.
À chacun donc de trouver Dieu dans son propre cheminement de vie individuel.
Personnellement, je crois véritablement avoir trouvé le Créateur.
Et je dis aujourd'hui que tout ce qui nous arrive, est une bonne chose, qu'on le comprenne aujourd’hui ou pas.
Et que la vie est belle qu'importe ce qui s'y passe.
Comprendre que Dieu est bon, ne peut se réaliser que dans les difficultés.
Les difficultés humaines ont pour unique objectif de nous faire grandir, nous faire évoluer selon nos choix personnels.
La vie est façonnée de telle façon avec des besoins physiques, que nous avons des obligations ou des contraintes physiques, qui nous oblige à vivre d'une certaine façon.
Dieu a choisi ce mode de vie pour nous les êtres humains, car c'est le moyen qu'il a mis en place pour nous enseigner l'humilité, la dépendance envers lui et beaucoup d'autre choses.
Nous sommes fortifiés par les problèmes, si nous faisons le choix de suivre uniquement notre conscience personnelle.
Arrêter de résister à sa conscience est la clé du véritable basculement de la vie, qui nous change réellement pour vivre désormais dans un cheminement divin, merveilleux, où tout devient désormais possible, comme la vie du Christ.
Jésus est doux et humble de cœur, ce qui signifie que devenir doux et humble de cœur envers Dieu, est l'objectif de notre apprentissage terrestre, mes chers amis.
Comme le Fils Prodigue, tu trouves Dieu quand tout en toi arrête de résister au Créateur ou à ta conscience.
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CAR À LA FIN, TOUT EST EN NOUS, EN RÉALITÉ, MES CHERS AMIS.
EN EFFET, S'IL EST ÉCRIT :
"ALORS L'ÉTERNEL DIT : MON ESPRIT NE RESTERA PAS À TOUJOURS DANS L'HOMME, CAR L'HOMME N'EST QUE CHAIR, ET SES JOURS SERONT DE CENT VINGT ANS."
COMPRENONS QUE DIEU SE CONSIDÈRE ÊTRE EN NOUS JUSQU'À NOTRE MORT PHYSIQUE.
ET APRÈS LA MORT, LE CRÉATEUR NOUS JUGERA.
LE JUGEMENT CONSISTERA À DÉTERMINER COMMENT CHACUN DE NOUS, A TRAITÉ DIEU, DANS SA VIE PERSONNELLE.
OUI, JE LE RÉPÈTE LE CRÉATEUR SE CONSIDÈRE ÊTRE EN CHAQUE ÊTRE HUMAIN, DURANT SON SÉJOUR SUR TERRE.
ON PEUT PLUS OU MOINS AFFIRMER QUE NOTRE CONSCIENCE REPRÉSENTE DIEU, DANS NOS VIES INDIVIDUELLES, MES CHERS AMIS.
C'EST UN MYSTÈRE DIVIN QUE SEUL LE CRÉATEUR PEUT EXPLIQUER.
DONC DIEU REGARDE COMMENT TU TE COMPORTES AVEC LUI, CAR IL EST EN TOI, EN RÉALITÉ.
ET IL REGARDE AUSSI, À COMMENT TU TE COMPORTES AVEC LUI DANS LA VIE DE TON PROCHAIN, CAR LE CRÉATEUR EST AUSSI DANS LA VIE DE TES SEMBLABLES, CHER AM(E).
Je comprends, en réalité, que le Saint-Esprit, qui est, en réalité, le Seigneur Jésus, sous sa forme invisible, et donc qui est Dieu.
Donc je reprends, le Saint-Esprit est déjà dans nos vies depuis le commencement.
JÉSUS EN NOUS PARLANT DU SAINT-ESPRIT, NOUS RÉVÈLE CE QUI A TOUJOURS ÉTÉ, MAIS QUE NOUS N'ÉTIONS PAS CONSCIENT, TOUT SIMPLEMENT.
DONC LE SEIGNEUR NOUS PARLE JUSTE, EN RÉALITÉ, DE MATURITÉ SPIRITUELLE.
Car si l'apôtre Pierre a été hypocrite, en arrêtant de manger avec les non-juifs, à cause du fait que les apôtres n'auraient pas approuvé son geste.
Alors que le Saint-Esprit lui avait dit de ne pas considérer les non-juifs de la mauvaise façon, mais de les considérer comme s'ils étaient juifs, comme lui-même.
Mais l'amour de Pierre pour la gloire des hommes, a fait que Pierre renie sa propre conviction du Saint-Esprit sur ce sujet.
Et tout cela après que Pierre ait reçu le Saint-Esprit à la Pentecôte.
C'est bien la preuve qu'avoir Dieu dans notre vie nous laisse libres de faire tout ce que l'on veut, en réalité.
N'oublie pas que Jésus par sa vie, nous a montré que Dieu parle en paraboles.
Ce qui signifie que seul le Créateur se comprend, en réalité.
Donc sans rechercher Dieu jusqu'à le trouver ou jusqu'à ce qu'il te révèle sa volonté spécifique pour toi, à chaque instant de ta vie personnelle, sache que tu ne comprendras rien aux Saintes Écritures, cher ami(e).
Car Dieu est mystère, en réalité.
Et le trouver est un effort de chaque instant.
On peut facilement perdre Dieu de vue, car Jésus nous a dit que la vie consiste à être fidèle dans les moindres choses.
Ce qui signifie que tout est important pour Dieu.
ET LE SECRET DU CHRIST, POUR RÉUSSIR SA VIE SUR TERRE, A ÉTÉ DE FAIRE QUE CE QUE DIEU LUI DISAIT À CHAQUE INSTANT.
"JÉSUS DIT : "JE VOUS DIS LA VÉRITÉ ÉTERNELLE. LE FILS NE PEUT RIEN FAIRE DE LUI-MÊME NI DE SA PROPRE INITIATIVE. JE NE FAIS QUE LES ŒUVRES QUE JE VOIS FAIRE AU PÈRE, CAR LE FILS FAIT LES MÊMES ŒUVRES QUE SON PÈRE."
Tu peux donc maintenant comprendre les deux commandements principaux de la loi de Moïse qui sont, d'aimer Dieu et d'aimer son prochain comme soi-même.
Dieu en réalité ne parle que de lui en nous donnant ces commandements.
Oui, seul le Créateur est important, le reste ne compte pour rien, en réalité.
Dieu parle en réalité de l'obéissance à Dieu, donc de l'obéissance à sa propre conscience.
Aimer pour le Créateur consiste à obéir à Dieu, donc c'est suivre sa conscience, tout simplement.
En suivant ta conscience, tu aimeras Dieu, tu t'aimeras toi-même et tu aimeras ton prochain.
Autrement dit, en obéissant au Créateur, tu aimeras Dieu, tu t'aimeras toi-même et tu aimeras ton prochain.
La vie humaine est résumée en ceci, mes chers amis.
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ON A BESOIN DONC QUE DE SUIVRE CE QUE TOUT EN NOUS, NOUS POUSSE À FAIRE.
C'est sûr que l'on fera des bêtises, des erreurs et des péchés, tout comme le Fils Prodique dans son cheminement personnel.
Mais n'oublie pas, que ton point de départ est ton niveau humain qui est médiocre, faible et ridicule.
Et que ta destination est de devenir comme notre véritable Père, qui est Dieu lui-même.
C'est donc ceux qui persévéreront jusqu'à la fin à suivre leur propre conscience, qu'importe leur fautes durant leur parcours terrestre, qui seront sauvés par le Créateur, après leur mort.
Dieu ne recherche donc pas des personnes déjà parfaites, mais il veut juste des personnes qui veulent apprendre à le suivre, jusqu'à la fin de leur vie sur terre, tout simplement.
CAR N'OUBLIE PAS QUE LA RÉBELLION DE LUCIFER, NOUS RÉVÈLE QUE L'ON EST LIBRE AU CIEL.
Ce qui signifie qu'aller au ciel ne te changera pas, en réalité.
Si tu étais rebelle à Dieu sur terre, tu continueras à l'être au ciel.
C'est pour cela que la vie sur terre représente l'examen pour accéder au ciel.
Donc c'est sur terre que tu dois évoluer pour arriver à devenir humble.
C'est-à-dire, tu dois arriver à ne plus résister à Dieu, à la fin de ta vie sur terre, comme le voleur sur la croix a su le faire, bien avant nous, mes chers amis.
Il est a remarqué que Jésus a promis le paradis au voleur repentant.
Mais Jésus n'a pas promis le paradis au voleur arrogant et orgueilleux qui méprisait le Christ.
De même, le Seigneur ne voudra pas au ciel avec lui, les personnes qui ne lui ont pas été soumises durant leur séjour terrestre.
Si obéir à ta conscience te dégoûte, ou ne t'intéresse pas, comprends que pour le moment le ciel n'est pas pour toi, cher ami(e).
Je te recommande donc de grandir et d'évoluer par tes expériences personnelles terrestres, jusqu'à ce que tu ne puisses plus résister à ta propre conscience.
Les difficultés sont tes amies, ton aide, en réalité, que tu les aimes ou pas.
CAR AUCUN ÊTRE HUMAIN N'ARRÊTE DE RÉSISTER À SA CONSCIENCE PERSONNELLE, SANS PASSER PAR DE TRÈS GRANDES SOUFFRANCES, L'HISTOIRE DE JOB NOUS LE RAPPELLE.
Tel que les chevaux que l'on dompte, Dieu a créé les conditions de la vie humaine, afin de nous dompter.
Car à la fin, Dieu aura toujours le dernier mot.
Lui seul a raison, mes chers amis.
Maintenant, la décision finale qui déterminera, où on passera l'éternité nous appartiens, en réalité.
Car Dieu nous veut au ciel avec lui.
Mais c'est nous qui décidons si nous voulons de lui, par notre soumission au Créateur, donc notre soumission à notre propre conscience.
Car à la fin, le changement humain est volontaire et il consiste en une capitulation devant les reproches de notre propre conscience.
Donc si tu ne veux pas changer, c'est que tu es content comme tu es, tout simplement.
Si Dieu te fait des reproches, afin que tu lui fasses plaisir, mais que tu es content comme tu es.
Libre à toi de rester comme tu es, et de faire la sourde oreille aux reproches de ta conscience, cher ami(e).
Si ton imperfection humaine ne te gêne pas, c'est que tu as décidé que le ciel n'est pas fait pour toi, cher ami(e).
Si tu es complètement heureux avec ce que la vie terrestre a à offrir, c'est que le ciel, n'est pas dans ton cœur.
Jésus avait hâte de finir son test terrestre ou le Seigneur ne considérait pas que son séjour sur terre était la finalité de sa vie.
Jésus avait hâte de se sacrifier pour nous, afin de reprendre tous ses pouvoirs divins et de jouer son rôle de Saint-Esprit.
CAR LE PÈRE, LE FILS ET LE SAINT-ESPRIT, ON PEUT AUSSI LES VOIR SUR L'ANGLE DES FONCTIONS OU DES RÔLES JOUER PAR DIEU.
LE PÈRE, LE FILS ET LE SAINT-ESPRIT SONT 3 FONCTIONS OU 3 RÔLES, JOUER PAR LA MÊME PERSONNE, QUI EST DIEU OU LE CRÉATEUR.
SACHANT QUE DIEU PEUT AUSSI JOUER LES 3 RÔLES EN MÊME TEMPS, C'EST EN CELA QU'IL EST TOUT-PUISSANT.
ON VOIT D'AILLEURS, LE CRÉATEUR JOUER LES 3 RÔLES EN MÊME TEMPS, LE JOUR DE LA PRÉSENTATION DU CHRIST À ISRAËL, PAR L'INTERMÉDIAIRE DE JEAN-BAPTISTE, LE JOUR DE SON BAPTÊME PUBLIC.
ON VOIT DONC JÉSUS QUI SE BAPTISE, LA COLOMBE QUI REPRÉSENTE LE SAINT-ESPRIT VENIR SUR LUI ET LA VOIX DU PÈRE QUI ANNONCE QUI EST JÉSUS POUR LUI.
DIEU A AUSSI UNE MULTITUDE DE NOMS QU'IL A PRIS AU COURS DES SIÈCLES, DANS LE BUT DE SE FAIRE DÉCOUVRIR, SELON SES PLANS DIVINS.
Quand tu es tout-puissant, vivre dans les conditions de vie humaine, n'est pas agréable.
Subir la faim, la soif, etc. ….
Se laisser tenter par une personne aussi faible que le diable, pour le Créateur, c'était un supplice, si je puis m'exprimer ainsi.
Car avec un mot de la part du Seigneur, et tout change comme il le décide.
Comme le fait que Jésus pouvait avoir 12 légions d'anges à sa disposition, s'il décidait finalement, de ne pas aller à la croix.
Mais il ne les a pas réclamés.
Jésus n'est pas un être humain normal.
Il a choisi de naître sur terre.
Aucun de nous n'a fait le choix de naître, il nous a été imposé par le Créateur.
C'EST POURQUOI LA PERSONNE QUI A LE PLUS SOUFFERT EST JÉSUS, CAR IL N'Y ÉTAIT PAS OBLIGÉ.
QUI RESTE À SOUFFRIR DANS UNE SITUATION, QUAND IL PEUT L'ÉVITER ?
COMPRENDS DONC QUE DIEU NE PENSE COMME AUCUN DE NOUS, MES CHERS AMIS.
PLUS JE RÉALISE QUI EST LE CRÉATEUR, PLUS JE ME RENDS COMPTE QUE JE NE SAIS RIEN ENCORE.
CAR QUELQU'UN QUI EST INFINI, RESTERA À JAMAIS UN MYSTÈRE, TOUT SIMPLEMENT.
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Car le ciel est pour ceux qui veulent davantage que ce que le monde visible a à offrir.
Je parle de ceux qui ont compris qu'il y a longtemps plus que ce que nous voyons avec nos yeux physiques.
Et le ciel est pour ceux qui ont réalisé, que Dieu est le véritable trésor caché de la vie.
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