#fallois
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OG MY GOOGNESS
put me out of my misery
#YES MAN HI. HI#BABY YES MAN BOY IS SO SMALL FIG IN TWO HANDS#IM STIMMING. REALLY HSRD RN.#help girl!!!#Help!#HHHF F G G. ACK#OGH#Y. YES MAN. HELP#HEHDHDJEHE EHHEE AHHEHAHEH#YES MANNNNNN#HHEHSHEHRHRJHRHR#YES MAN FALLOI#NEW VEGA#HHEHEHAHHE
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Sur l'immigration, le Général de Gaulle reçoit le président algérien Ben Bella, en mars 1964, et lui dit : « Cessez de nous envoyer des travailleurs migrants. Vous avez voulu l’indépendance, vous l’avez. Vous êtes devenu un pays étranger. Tous les Algériens disposaient d’un an pour opter pour la nationalité française. Ce délai est largement passé. Nous n’en admettrons plus. Débrouillez-vous pour les faire vivre sur votre sol. »
Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, tome 2, Editions de Fallois-Fayard, 1997.
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Falloy
get it fall and aloy haha im so funny
but fr this outfit, her hair, the trees is just perfect fall vibes!
#aloy horizon#horizon photomode#horizon#video game photography#aloy#videogame landscape#video games#digital landscape#digital photography#horizon forbidden west#fall#autumn aesthetic#autumn#fall vibes#fall aesthetic#horizon forbidden west aloy#forbidden west#trees#hfw photomode#aloy photomode
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Message for March 14th
Archangel Uriel: "Beloved ones, let your guidance be stronger than your goals - and not the other way around!
Very often we see you human beings extremely attached to your goals - even if lots of signs on your way show you that it is time to let go.
Instead of saying "I want to...", start asking us:
"Where am I meant to be?"
"Where am I needed?"
"Whom shall I serve?"
"What shall I learn?"
When you repeat one or more of these questions again and again, you will receive the answers."
Wishing you the awareness to follow the divine guidance and not the Ego 💛
Isabelle von Fallois
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"...I am, I am begging you, pleading for you to believe this, that I am sorry for all I've done to you."
"I don't expect your forgiveness, I just..."
"...I'm so fucking sorry, Lamb. I mean it, and I doubt you'll believe me, but please. I'm sorry, I'm sorry, I'm sorry. I will scream it until I'm out of breath, and I..."
(Through tears, their begging grows more and more desperate.)
"Lamb, I am so, so fucking sorry."
(The radio whirrs to life, a cascade of static pouring out.)
"...Laamb..."
"...I miss you..."
"We should.... we should see eachother more!"
(They slur their words in their short moment of clarity, before mumbling some indecipherable gibberish.)
(They're drunk.)
- ( @askthe-littlepoet )
(The sound of static startles them, they had completely forgotten about the thing.)
"... Now isn't this interesting?"
(The Lamb briefly considers smashing the walkie talkie to pieces before pressing the button to speak.)
"Awwww, you miss me?"
#rp#normalest person award goes to you!!! 🏅#< ID LIKE TO THANK THE ACADEMY AND AM FROM THE THING AND RATAU BC HES A BAD BITCH#AND FALLOY BC THATS ALL THAT GOT KE TO THE NORMALCY IM AT MHMM YESSIR o7
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AD INFINITUM Surprise with Explosive New Song + Official Music Video 'Outer Space'
[photo credit: Vincent de Fallois] Fast-rising modern metal unit AD INFINITUM sets the stage for a brand-new chapter in the band’s history with their new single, “Outer Space”, out now on all streaming services worldwide. “Outer Space” arrives with a visually palpable music video that opens the gates to an exciting and unexpected universe begging to be discovered! After undoubtedly raising…
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Tous les courriers et circulaires internes commençaient par le mot « Amis » écrit avec une majuscule. Il n’y a pas si longtemps, j’ai retrouvé un ancien de la FEN que je n’avais pas vu depuis plus de quarante ans. La première chose qu’il m’a dite a été : « Bonjour, ami. » Il n’est pas surprenant que nous ayons ensuite, à l’époque d’Europe-Action, ouvert une Librairie de l’Amitié. La vertu d’amitié, fondatrice d’une solidarité active, n’est pas réservée à la droite, mais il me semble qu’elle compte beaucoup plus qu’à gauche. A gauche, les divergences idéologiques peuvent mettre fin à une amitié, ce qui est plus rarement le cas à droite : même si l’on n’est pas d’accord, on reste convaincu d’appartenir à la même « famille » -un réflexe qui s’est souvent révélé désastreux.
Alain de Benoist. Mémoire vive . Editions de Fallois.
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La carta de maria magdalena, #libro
La primera novela de Isabelle von Fallois revela un legado que puede cambiar el mundo. Tras la muerte de su padre, el famoso director de orquesta Jean Chevalier, Marie debe darse cuenta de que el mundo no es lo que parece.
#libreriaofican #lecturas #ofican
#libreriaofican#libros#recomendamoslibros#libreriaofican.com#librerías#libro#libreriascanaria#lectura#comerciolocal
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À dire vrai, je ne sais pas très bien qui je prie et pourquoi. Je ne prie pas avec des mots. Je ne sais pas les prières que l'on récite habituellement. Je les ai oubliées depuis longtemps et quand j'ai voulu les réapprendre, je me suis aperçu qu'elles me gênaient. Tandis que silencieusement, sans prononcer la moindre parole, simplement comme ça, en marchant dans la forêt, l'hiver, j'ai l'impression d'être moi-même une prière où se mélangent des sentiments qui d'ordinaire ne m'effleurent pas et que je ne saurais même pas exprimer. J'en suis le premier surpris. Des choses qui en toute autre circonstance me sembleraient bêtes et convenues, comme l'appartenance à une famille, à une religion, à un pays, à une race, le respect de la parole donnée, l'exaltation d'un engagement, l'amour d'une mère pour son enfant, la pitié envers les morts, l'honneur de soi, la fidélité à un maître…
Sire, Jean Raspail, éd. éditions de Fallois, 1990 (ISBN 2-87706-130-2), p. 182
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Une suite pour le personnage de Marcus!
Joël Dicker.
Le livre des Baltimore. 475 pages.
Éditions de Fallois.
Jusqu'au jour du drame, il y avait deux familles Goldman. Les Goldman-de Baltimore et les Goldman-de-Montclair. Les Goldman-de-Montclair, dont est issu Marcus Goldman, l'auteur de La vérité sur l'Affaire Harry Quebert, sont une famille de la classe moyenne, habitant une petite maison à Montclair, dans le New Jersey. Les Goldman-de-Baltimore sont une famille prospère à qui tout sourit, vivant dans une luxueuse maison d'une banlieue riche de Baltimore, à qui Marcus vouait une admiration sans borne. Huit ans après le Drame, c'est l'histoire de sa famille que Marcus Goldman décide cette fois de raconter, lorsqu'en février 2012 il quitte l'hiver new-yorkais pour la chaleur tropicale de Boca Raton, en Floride, où il vient s'atteler à son prochain roman. Au gré des souvenirs de sa jeunesse, Marcus revient sur la vie et le destin des Goldman-de-Baltimore et la fascination qu'il éprouva jadis pour cette famille de l'Amérique huppée, entre les vacances à Miami, la maison de vacances dans les Hamptons et les frasques dans les écoles privées. Mais les années passent et le vernis des Baltimore s'effrite à mesure que le Drame se profile. Jusqu'au jour où tout bascule. Et cette question qui hante Marcus depuis: qu'est-il vraiment arrivé aux Goldman-de-Baltimore?
Mon avis:
Un roman un peu différend que « La vérité sur l'affaire Harry Quebert », mais tout aussi intéressant à lire. Dans ce roman, il est moins question d'enquête malgré le fait qu'on prend sur la famille de l'écrivain. Marcus Goldman, l'écrivain qui enquêtait sur le passé d'Harry Quebert est de retour dans ce roman. On apprend a quel point qu'il était en admiration sur la famille de son oncle étant jeune jusqu'aux questionnements rendus adultes de certains comportements de cette famille. Haut en émotions et intrigues. On passe souvent du passé au présent dans un même chapitre, limite un peu mélangeante, mais tout aussi bonne pour les méninges!
Excellent roman! L'avez-vous lu?
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- Tu pleures ?
- Non, juste une poussière dans l’œil.
- C’est une réponse de roman, fit-il remarquer. Les poussières n’ont jamais fait pleurer personne.
- Les poussières de souvenirs, si.
Joël Dicker, L'Énigme de la Chambre 622
#joël dicker#l’énigme de la chambre 622#éditions de fallois#la disparition de stephanie mailer#la vérité sur l’affaire harry quebert#harry quebert#marcus goldman#nola kellergan#genève#suisse#switzerland#geneva#palace de verbier#littérature#polar
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Composées à l’époque des Plaisirs et les Jours , les nouvelles publiées aujourd’hui montrent un écrivain en herbe, en quête de perfection, déjà préoccupé par l’idée de tout transformer en littérature. Le Figaro mène l’enquête et vous propose un extrait inédit.
Le contexte
Quoi de mieux pour fêter le centenaire du prix Goncourt reçu pour À l’ombre des jeunes filles en fleurs que ce recueil de neuf nouvelles de jeunesse inédites du grand Marcel? Ses innombrables lecteurs vont se régaler en découvrant les premiers pas d’un auteur majeur du XXe siècle. Quelques formes qu’ils prennent - récit fantastique, nouvelle à énigme, dialogue des morts -, ces textes tournent tous autour du sujet qui obsède alors l’auteur: son homosexualité et la manière d’en parler en littérature.
» LIRE AUSSI - L’incroyable récit de la découverte des inédits de Marcel Proust, trésor enfoui dans la poussière
Dans sa thèse (inachevée), récemment publiée sous le titre Proust avant Proust, Bernard de Fallois étudiant la genèse de la Recherche du temps perdu fait référence à plusieurs reprises à des textes inédits de l’écrivain et en cite des extraits. Pauline de S. Souvenir d’un capitaine , ou Le Mystérieux correspondant, autant de nouvelles que Proust n’avait pas gardées dans l’édition des Plaisirs et les jours. La plupart traitent d’homosexualité. «La femme aura Gomorrhe et l’homme aura Sodome», écrit le jeune écrivain, paraphrasant Vigny. Déjà son secret le hante. Mais, surtout, et principalement, il pressent qu’il ne l’a pas assez parfaitement incorporé à son univers littéraire encore en construction. «Or, écrit Fallois, la création littéraire a déjà pour but chez lui d’exprimer l’essence de sa vie, dans sa vérité.» La littérature est déjà chez Proust préférée à la confession.
- Crédits photo : Editions de Fallois
Qui est ce mystérieux correspondant, dont il est question dans la principale nouvelle, qui donne son titre au recueil (lire l’extrait ci-dessous)? Françoise de Lucques reçoit par courrier des déclarations enflammées dont elle ignore la provenance. Elle découvrira que l’auteur de ces messages brûlants n’est autre que son amie Christiane, gravement malade, qui vient d’arriver en séjour chez elle. Les tourments de l’auteur sont déjà délicatement dissimulés dans l’âme féminine.
Ces sujets, écrit encore Fallois, «provisoirement écartés, reparaîtront un jour avec plus de force». Il parlait de l’homosexualité dans la Recherche. Le propos s’applique aux textes eux-mêmes: portées disparues, en réalité enfouies dans la documentation de Fallois (après ses travaux décisifs qui permirent l’édition de Jean Santeuil, et de Contre Sainte-Beuve, il devint un des grands éditeurs de sa génération), ces nouvelles viennent de réapparaître à la faveur de l’ouverture des archives du défunt (Fallois est mort en janvier 2018).
«Laboratoires»
On y découvre, saisi d’une grande émotion, un jeune écrivain tâtonnant et déjà virtuose ; on y cueille des allusions à ses études, à ses lectures, on observe des personnages en germe. «Des laboratoires», dit Luc Fraisse, qui assure l’édition du volume. La fusion n’est pas encore portée à température. Proust est en cours de formation, son phrasé se cherche, cet appel puissant à la mémoire pour recréer une réalité: «Or ces moments dont l’attente avait fasciné une de ses années, qui ne semblaient jamais qu’approchés et qu’il aurait voulu posséder jusqu’au-delà de la mort, il n’en retrouvait pas plus la trace l’année d’après dans son souvenir que les enfants ne retrouvent les traces de leurs châteaux défendus avec tant de passion à la marée suivante. Le temps comme la mer emporte tout, abolit tout…» Ces images, ce style: pour le lecteur, c’est le temps retrouvé.
» LIRE AUSSI - Inédits de Proust: «Ce n’est pas encore l’écrivain que nous connaissons»
Un extrait du Mystérieux Correspondant, l’une des neuf nouvelles inédites
(…) Françoise venait de finir cette lettre quand le domestique entra avec les lampes, donnant pour ainsi dire la sanction de la réalité à la lettre qu’elle avait lue comme dans un rêve, à la lueur mobile et incertaine des flammes.
Maintenant la lumière douce mais sûre et franche des lampes faisait sortir de la pénombre intermédiaire entre les faits de ce monde et les rêves de l’autre, notre monde intérieur, lui donnait comme la griffe de l’authenticité selon la matière et selon la vie. Françoise voulut d’abord montrer cette lettre à son mari. Mais elle pensa qu’il était plus généreux de lui épargner cette inquiétude et qu’elle devait au moins à l’inconnu à qui elle ne pouvait rien donner d’autre le silence, en attendant l’oubli. Mais le lendemain matin elle reçut une lettre de la même écriture contournée avec ces mots: «Ce soir à 9 heures je serai chez vous. Je veux au moins vous voir.» Alors Françoise eut peur. Christiane devait partir le lendemain pour aller passer quinze jours dans une campagne où l’air plus vif pouvait lui faire du bien. Elle écrivit à Christiane en la priant de venir dîner avec elle son mari sortant justement ce soir-là. Elle recommanda aux domestiques de ne laisser entrer personne d’autre et fit fermer solidement tous les volets.
Elle ne raconte rien à Christiane mais à 9 heures lui dit qu’elle avait la migraine la priant d’aller dans le salon à la porte qui commandait l’entrée de sa chambre et de ne laisser personne entrer. Elle se mit à genoux dans sa chambre et pria. À 9 heures un quart se sentant défaillir elle alla dans la salle à manger pour chercher un peu de rhum. Sur la table il y avait un grand papier blanc avec en lettres d’imprimerie ces mots: «Pourquoi ne voulez-vous pas me voir. Je vous aimerais si bien. Vous regretterez un jour les heures que je vous aurais fait passer. Je vous en supplie. Permettez que je vous voie mais si vous l’ordonnez je m’en irai immédiatement.» Françoise (fut) épouvantée. Elle pensa dire aux domestiques de venir avec des armes. Elle eut honte de cette idée et pensant qu’il n’y avait pas, pour voir prise sur l’inconnu, plus efficace autorité que la sienne elle écrivit en bas du papier: «Partez immédiatement je vous l’ordonne.» Et elle se précipita dans sa chambre, se jeta sur son prie-Dieu et ne pensant à rien d’autre elle pria la Sainte Vierge, avec ferveur. Au bout d’une demi-heure elle alla chercher Christiane qui lisait sur sa demande au salon. Elle voulait boire un peu et lui demanda de l’accompagner dans la salle à manger. Elle entra en tremblant soutenue par Christiane (et) défaillit presque en ouvrant la porte puis s’avança à pas lents, presque mourante. À chaque pas il ne semblait pas qu’elle eût la force d’en faire un de plus et qu’elle allait défaillir là. Tout à coup elle dut étouffer un cri. Sur la table un nouveau papier où elle lisait: «J’ai obéi. Je ne reviendrai plus. Vous ne me reverrez jamais.» Heureusement Christiane, tout occupée du malaise de son amie, n’avait pu le voir et Françoise eut le temps de le prendre vite mais d’un air indifférent et de le mettre dans sa poche. «Il faut que tu rentres de bonne heure, dit-elle bientôt à Christiane, puisque tu pars demain matin. Adieu ma chérie. Je ne pourrai peut-être pas aller te voir demain matin si tu ne me vois pas c’est que j’aurai dormi tard pour guérir ma migraine.» (Le médecin avait défendu les adieux pour éviter une trop vive émotion à Christiane). Mais Christiane consciente de son état comprenait bien pourquoi Françoise n’osait pas venir (et pourquoi) on avait défendu ces adieux et elle pleurait en disant adieu à Françoise qui surmonta son chagrin jusqu’au bout et resta calme pour rassurer Christiane. Françoise ne dormit pas. Dans le dernier mot de l’inconnu les mots: Vous ne me reverrez plus l’inquiétaient plus que tout. Puisqu’il disait revoir, elle l’avait donc vu. Elle fit examiner les fenêtres: pas un volet n’avait bougé. Il n’avait pu entrer par là. Il avait donc corrompu le concierge de l’hôtel. Elle voulut le renvoyer, puis incertaine attendit. (…)
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