#et un épisode en fait généralement au moins 1600
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Ouaiiiis je suis enfin à jour dans les épisodes d'Amour Sucré New Gen !!
... Je suis sûre que le prochain épisode sort dans les jours qui viennent, c'est ça ? :')
Also du coup je sais maintenant ce qui a causé la controverse de l'épisode 7 et mon avis est : rien n'excuse un tel acte si ce n'est pas quelque chose qui a été discuté en amont entre les personnes concernées. Pas besoin d'impliquer le discernement entre la fiction et la réalité, ça n'entre pas en ligne de compte, surtout quand dans la réalité, ce genre d'actes est aussi fréquent et aussi minimisé et ignoré alors qu'il peut provoquer de la simple gêne comme du traumatisme.
#amour sucré#amour sucré new gen#beemoov#amour sucré new gen episode 7#amour sucré new gen thomas#concernant le temps d'attente entre deux épisodes il est : injuste#le calendrier donne 1500 PA en 30 jours de mémoire#et un épisode en fait généralement au moins 1600
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L'histoire de la musique classique, contée par Aissa Hamada
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La musique classique est (surtout pour les jeunes) une musique de vieux, qui ne doit s’écouter que pendant la lecture ! C’est d’ailleurs totalement agréé par les chercheurs puisqu’une musique soi-disant « classique » n’existe pas. Son adjectif ne désigne qu’une partie de l’histoire musicale occidentale. Elle reflète ainsi une période prédéfinie par les spécialistes. En effet, la musique classique a été composée il y a bien longtemps et l’accord et la façon de la jouer ne sont plus définis tels que les compositeurs l’avaient écrit.
Le Moyen-âge
La musique du Moyen-âge n’est pas définie par les experts ! précise Aissa Hamada sur son compte Twitter. C’est par ailleurs une période bien longue où coexistent les manières de chanter héritées des religions chrétiennes antiques et les œuvres portant en germe le développement ultérieur du chant classique.
La musique médiévale a généralement un lien avec la liturgie chrétienne. Les peuples de cette époque emploient en général le mot « sacré » pour désigner un chant « religieux ». Ils utilisent parfois le terme �� musique profane » pour les autres versions de la musique médiévale : instrumentale, chanson, etc.
Le chant grégorien
Ce type de chant est toujours pratiqué dans les églises (plus précisément les églises catholiques) à l’heure actuelle ! C’est principalement un air monodique, c'est-à-dire qui utilise une seule voix et tout le monde chante la même mélodie.
Chaque chanson possède une couleur uniforme et bien déterminée puisqu’elle est basée sur un seul mode comme la musique d’origine indienne. Les experts ont classé le chant grégorien comme étant une musique modale par opposition à la musique tonale utilisant à la fois le mineur et le majeur jusqu’à la fin du XIXe siècle.
Toutes les œuvres tonales ne possèdent pas cette coloration qui est uniforme puisque la réduction à seulement deux modes est complétée par une succession d’accords de couleurs diversifiées (superpositions de notes).
Les premières polyphonies
Aissa Hamada décrit la polyphonie comme étant une « marque de fabrique » de la musique classique venant de l’Occident au XIIe siècle. Elle comprend principalement de nombreuses voix, notamment plusieurs mélodies en simultanée.
L’interprétation du récital médiéval est l’affaire des professionnels, des musicologues et des artistes. Le système de notation peut varier d’un pays et d’une époque à l’autre et tout interprète est tenu de faire preuve d’esprit scientifique, d’imagination et de goût pour pouvoir faire revivre le chant de cette époque.
Les grandes écoles
La Flandre et surtout la France ont dominé la production de la musique savante. Les Français ont utilisé quelques divisions (Saint-Martial, Notre Dame, Ars Antiqua, Ars Nova, Ars Subtilitor) pour la caractérisation des époques et des écoles qui se sont succédées dans le pays, particulièrement dans le nord.
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La Renaissance
La Renaissance est une ère de transition pour la musique quand elle a mis en place une tonalité. Les polyphonies sacrées somptueuses et d’une grande complexité ont été découvert durant cette période.
Les chants instrumentaux qui sont auparavant improvisés deviennent semi-écrits grâce à des tablatures qui peuvent guider l’improvisation. Ces dernières sont écrites à la fin du XVIe siècle comme pour les virginalistes anglais.
La musique sacrée s’est déplacée de la France jusqu’en Italie durant la Renaissance et l’école franco-flamande dominant au XVe siècle a cédé la prééminence aux écoles vénitiennes et romaines au cours du XVIe siècle.
Le luth
C’est un instrument musical ressemblant de près à la guitare moderne, ayant une forme de poire qui provient de la Perse. Le luth accompagne les chanteurs de cette époque et il est expressif d’un répertoire bien distinct.
Le virginal
A l’époque de Byrd, il n’y avait pas encore de piano et son invention n’a même pas été envisagée. Il a vécu durant le règne de la reine Elisabeth 1ère et c’est ainsi que les chercheurs l’ont classé comme étant un compositeur élisabéthain.
Il n’a pas joué du piano, mais il fait partie des virginalistes anglais selon les musicologues.
Cet instrument fascine particulièrement Aissa Hamada.
L’époque baroque
Elle se situe entre 1600 et 1750. Le genre baroque n’est pas vraiment baroque comme on le prétend disent les spécialistes de la musique. Ce terme est emprunté à l’historique de l’art puisque à cette époque les églises et tout l’ensemble de l’architecture sont « baroques ».
Les grandes constructions ont des formes bizarres et leurs ornements sont très compliqués par rapport aux ornements apportés aux structures durant la Renaissance. Cela signifie que le terme baroque désigne le côté architecturale mais pas musicale de l’époque.
L’influence de la musique d’origine italienne est immense au début de cette période puisqu’elle va donner une grande unité à celle de l’Europe continentale et atteindre la Pologne.
Cette période a choisi une tendance très expressive. Elle s’est développée du début du XVIIe siècle jusqu’à la moitié du XVIIIe siècle avec une multitude de formes toutes aussi admirables les unes que les autres.
L’opéra et la musique classique dramatique
Les années 1600 ont vu naitre les premières constitutions de musique classique dramatique ayant donné naissance au fameux Opéra.
Le Moyen-âge et la renaissance ont tous deux participé à l’avènement de cette tendance selon les spécialistes. Il faut noter que le terme « musique classique dramatique » est né au XVIIe siècle.
Le contrepoint
Le genre de musique classique durant l’époque baroque s’affirme avec la conceptualisation et la continuité de la basse. Elle fait preuve d’une grande expressivité et s’agrémente des plus beaux ornements.
Ce type de chant s’enrichit d’un contrepoint élaboré et se pare d’harmonies raffinées chatoyantes qu’Aissa Hamada admire particulièrement.
Baroque italienne
L’Italie est le berceau de l’Opéra selon les chercheurs puisque c’est le pays qui l’a vu éclore dans les années 1600 plus précisément à Florence. Claudio Monteverdi (1567-1643) a conçu pour la première fois le style baroque italien.
Ce style a connu un succès phénoménal et s’est répandu rapidement comme une tache d’huile dans toute l’Europe.
Baroque française
La tendance musicale venant de l’Italie s’est bloquée en France sous l’influence du compositeur et violoniste Jean-Baptiste Lully et du claveciniste et organiste François Couperin (le Grand).
Elle prend par la suite une forme spécifique dans tous les pays, accompagnée d’une création d’écoles distinctes les unes des autres.
Baroque anglaise
Georges Friedrich Haendel est un compositeur allemand devenu par la suite un citoyen anglais. Il s’est rendu en Italie où il a été influencé par la musique classique italienne. C’est suite à cela qu’il a décidé de résider en Angleterre pour le restant de sa vie. C’est également dans ce pays qu’il a fondé une académie royale de musique avant de se faire naturaliser anglais.
Il a composé des œuvres religieuses et dramatiques qui font partie jusqu’à aujourd’hui des grandes œuvres classiques baroques. Il a fusionné ses inspirations à l’image du compositeur allemand Sébastien Bach et est parvenu à une tout autre dimension esthétique très puissante.
Cette ère a fécondé plusieurs expressions musicales adoptées par les amateurs de classique comme Aissa Hamada : le choral, la toccata, la cantate, la sonate, l’oratorio, le concerto grosso, la passion, le motet, etc.
Baroque allemande
Le compositeur allemand Jean-Sébastien Bach a démontré dans ses chefs-d’œuvre la possibilité d’utilisation d’un tempérament égal. Cela est dû au théoricien allemand Wreckmeister. Parmi ses œuvres, les plus connus sont « le Clavier Tempéré », « Variations Goldberg », « L’Art de la fugue », « Passion selon Matthieu », etc.
Qu’est-ce que le tempérament égal ?
Le « tempérament égal » est la méthode théorique consistant à partitionner une octave pour obtenir douze intervalles chromatiques égaux. Ce moyen ne donne aucun intervalle pur, à part l’octave, mais il fait pourtant partie des fondements de la musique classique de l’Ouest.
Cette innovation a permis de moduler la pièce, c'est-à-dire de passer par des tonalités différentes durant le même morceau, de transposer la mélodie dans différentes tonalités et de jouer dans les tons majeurs.
Les instruments utilisés durant la période baroque
Les instruments se sont perfectionnés durant cette ère. Le violon a atteint la perfection technique avec le luthier Stradivarius.
Le violoncelle s’est étoffé, le luth s’est estompé et l’épinette a été remplacée par le clavecin. Entre autres, la trompette baroque ou trompette en ré a été l’instrument caractéristique de l’époque.
L’époque classique
La musique classique a été constituée durant la période classique. Bien que Mozart, prénommé Wolfgang Amadeus, ne soit pas l’initiateur de cette ère, il fait partie de son illustre représentant.
La musique dite « classique » est reconnaissable à l’oreille et on peut déterminer sa période centrale. Elle procure une impression de simplicité et de clarté comparée à celle de l’époque baroque et la théorie du contrepoint n’est plus présente.
La musique de cette période est classée art d’une civilisation bourgeoise, policée et urbaine, d’une religiosité moins tragique et moins affirmée que celle de toutes les époques antérieures.
Certains genres s’affirment durant à ce moment (la symphonie et la sonate) après leur apparition en Italie. L’orchestre moderne et le piano sont également apparus durant l’ère classique. Elle a ensuite connu un épisode préromantique au début de l’année 1768 (mouvement « Sturm und Drang »).
La symphonie
Le discours musical est articulé par l’orchestre entier dans la symphonie et ne dialogue pas avec le soliste comme dans un concerto.
Mozart a composé la symphonie numéro 25 à l’âge de 18 ans. Une tonalité de sol mineur donne à cette dernière une couleur tragique. La réalisation aérée de tous les baroques d’Amsterdam a mis en valeur cet art apprécié par Aissa Hamada.
Le quatuor à cordes
Il est apparu au XVIIIe siècle et c’est une formation regroupant deux instruments, le violoncelle et l’alto. Cette composition est généralement destinée à être jouée par des amateurs de musique de bon niveau mais seulement en privé.
Composer un quatuor n’est pas un exercice facile, il est destiné aux grands compositeurs. La ligne mélodique ressort particulièrement bien. La clarté caractérisant cette variété a besoin de la maîtrise du contrepoint.
L’orchestre s’efface la plupart du temps devant le son mélodique joué à la main droite tandis que la main gauche se contente de quelques trémolos dans le « concerto pour piano » numéro 21 de Mozart.
Il a un don unique qui a charmé les auditoires avec une musique gracieuse typique de cette époque.
Le XIXe siècle
Le XIXe siècle est marqué notamment par le romantisme allemand, influence qui se fait sentir jusqu’au début du XXe siècle. Des courants nationaux se sont émergé pendant la mi-XIXe siècle et qui se sont positionnés pour la continuité du romantisme.
Le vent de révolution
Le XIXe siècle a été classique en ce qui concerne la forme mais il a été plutôt révolutionnaire dans l’esprit. Le commencement du 4ème mouvement de la Symphonie numéro 5 de Beethoven a été plein d’enthousiasme juvénile.
La transition du classicisme vers le romantisme a été marquée par Carl-Maria Von Weber dont la composition de Freischütz a eu une influence sur Wagner.
Les romantiques
Franz Schubert (terminal des classiques et premier des romantiques) et les compositeurs de la génération 1810 (Schumann, Chopin, etc.) ont exploré les circonvolutions de l’âme avec le langage harmonique subtil qui fait rêver Aissa Hamada.
Les œuvres de Mozart ou Haydn ont évolué dans les pays germanophones sous la plume des musiciens et poètes romantiques pour devenir un brin élitiste, un genre majeur de la musique classique.
Le Polonais dans le monde parisien
Fryderyk Chopin, ou Frédéric Chopin pour les Français, est apparu en Europe avec un tout autre langage musical. Il a stupéfié ses contemporains comme Robert Schumann avec une couleur de musique inimitable en raison de l’influence du folklore polonais.
L’influence de la musique dite populaire dans celle qui est savante a fait de Chopin un précurseur.
Le romantisme tardif
Le plus illustre représentant du romantisme tardif est Johannes Brahms. Il a marqué ses compositions par le respect des anciens musiciens et les formes très classiques venant de Beethoven. Il a réussi à insuffler la mélancolie, la noblesse et surtout la vigueur dans ses chefs-d’œuvre.
Il a composé sa toute première symphonie en 1876 tout en se dressant insensiblement dans cette époque tourmentée.
Liszt, le témoin
Ferenc (Franz) Liszt est né à Hongrie en 1811 et appartient à la génération 1810. Il a composé ses ouvrages en 1850 comme la « Sonate en si mineur » ou « Dante-Symphonie », etc. Il n’a pas cessé d’évoluer son langage musical durant sa vie. Ses dernières œuvres ont annoncé la venue du XXe siècle (« Lugubre Gondole » et « Nuages gris »).
Liszt est un musicien généreux et visionnaire ayant beaucoup influencé et soutenu Richard Wagner.
Wagner
Richard Wagner est né en 1813 et constitue le puissant pôle de répulsion ou d’attraction dans le monde de la musique classique. C’est un artiste total et complet qui a su révolutionner le type de l’opéra tout en réalisant une synthèse organique orchestrale, musicale et textuelle.
Son œuvre inspirée de la légende germanique, de la mythologie, du mythe du Graal et du christianisme est complètement spirituelle confirme Aïssa Hamada. Il incarne le génie musical allemand dans sa démesure et sa grandeur.
La mère patrie
Les musiciens nordiques tels que Grieg et Sibelius ou Smetana et Dvorak de l’Europe Centrale ont été célèbres après Chopin. La mère patrie correspond au mouvement de redécouverte du folklore et des racines ayant une liaison avec les aspirations politiques.
Le poème symphonique « Finlandia » composé par Jean Sibelius a évoqué la nature de la Finlande ainsi que la résistance contre l’oppression russe.
Le cas des compositeurs russes (Moussorgski, Rimski-Korsakov, Borodine, Glinka) est différent de celui des musiciens finlandais. Le tout premier conservatoire n’a été fondé dans le territoire de la Russie qu’en 1862. Les musiciens russes n’ont pas ainsi été formés dans une académie et leur folklore est consubstantiel à la musique locale.
La fin de siècle
Le langage harmonique a évolué de nouveau à la fin du XIXe siècle. Cette évolution a pris diverses directions tout en préfigurant l’éclatement de la composition musicale du XXe siècle.
Le XIXe siècle ne s’est pas achevé en 1900 puisque des musiciens du XXe siècle tel que Rachmaninov ou Richard Strauss ont témoigné de la persévérance des esthétiques nées durant cette époque.
Un extrait de la dernière œuvre de Franz Liszt (La Lugubre Gondole II) possède une tonalité qui se brouille. Il annonce l’avenir de la musique classique occidentale.
L’enchanteur Debussy
Claude Debussy s’est inscrit dans le vaste mouvement d’enchantement du monde entier en réaction à la mécanisation et à l’industrialisation. Sa musique est qualifiée par les chercheurs et les amateurs d’impressionniste, mais il aime plutôt les poètes symbolistes et les peintres ainsi que les préraphaélites anglais.
Il n’y a aucun romantisme dans les compositions de Debussy, mais elles possèdent la capacité étonnante d’évoquer tous les mystères de la nature de façon extraordinaire.
Le XXe siècle musical
Le XXe siècle a vu un évènement stupéfiant : les recherches des experts et des théoriciens musicaux remontant à l’époque baroque tout en se basant sur la tonalité. C’est le début de la période où il n’y a plus de nouveaux progrès possibles puisque tout a été inventé affirme Aïssa Hamada.
Il n’y a plus une unité stylistique au XXe siècle puisque c’est une époque où la recherche technologique et la crise se sont installées. De nombreuses possibilités se sont ouvertes aux compositeurs et aux musiciens du XXe siècle.
- L’utilisation du langage musical à partir du ton (Rachmaninov, Mahler, Richard Strauss, Ravel, etc.) - L’utilisation des tendances grégoriennes ou des modes exotiques qui sont nouvelles chez Messiaen et Debussy - L’utilisation des musicalités populaires - La recherche d’une toute nouvelle sonorité : musique électronique, musique concrète - La possibilité la plus radicale est de tout détruire et de recommencer à zéro
Le Sacre
Le « Sacre du Printemps » en 1913 a été considéré comme l’œuvre de la musique moderne. Igor Stravinski l’a superposé de tonalités et de rythmes différents tout en créant un chef-d’œuvre profondément original.
Le « Sacre » raconte le déroulement d’une fête ou d’une cérémonie sacrificielle en Russie païenne imaginaire. La musique a été qualifiée de « sauvage » par les détracteurs et le ballet de Nijinski a scandalisé le public parisien lors de sa première interprétation.
Le dodécaphonisme
Anton Webern fait partie des premiers sortants de l’Ecole de musique à Vienne. Il est l’élève d’Arnold Schönberg et a repris la technique dodécaphonique (les œuvres sont caractérisées par la série de douzaine de sons).
Le matériau originel a été travaillé en fonction des règles complexes et strictes qui renouent avec l’âme des contrapuntistes de l’ère baroque. Un de ses ouvrages les plus aboutis a été les « variations pour piano op.27 ». Ce chef-d’œuvre est difficilement accessible à cause de sa sécheresse émotionnelle, de sa complexité et de l’utilisation des séries dissonantes.
Les modes colorés
Olivier Messiaen utilise les modes à transpositions limitées qui possèdent chacun une signification et une couleur particulière dans son œuvre « Vingt regards sur l’enfant Jésus ». Le mode 2 domine dans son ouvrage « Regard du père ».
La particularité des compositions de Messiaen est qu’il aperçoit réellement les couleurs quand il entend de la musique, c’est le cas unique de synesthésie.
La notation musicale
L’improvisation musicale très présente n’a cessé d’évoluer et a donné naissance à de nouvelles notations musicales. L’écriture a engendré des façons de conduire, de diriger et de penser la musique autrement.
Ces expansions ont provoqué la rupture momentanée avec les musiques traditionnelles et les airs de cours puisque de nombreux grands compositeurs musiciens ont continué à les utiliser.
La notation musicale a permis à des œuvres d’être plus conséquentes. Le problème en liaison à la mémorisation a été repoussé grâce à ce système qui a également poussé plusieurs compositeurs à créer des projets encore plus ambitieux.
La musique notée a permis de lutter contre l’oubli en devenant utile dans son enseignement selon Aïssa Hamada.
Conclusion
La « musique savante » a hérité de la civilisation juive et grecque en Occident. Les deux traditions ont coexisté pendant le millénaire précédant la période chrétienne. Ce sont les Grecs qui ont posé le fondement de toute la relation entre les mathématiques et la musique tout en imaginant le système de la musique notée.
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