#et elle avait 5 langues sur le cv
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Je lis des anecdotes d’entretiens d’embauche et je viens de me rappeler du pire entretien de stagiaire que j’ai jamais fait - jamais compris pourquoi la RH avait retenu son profil - avec une nana qui est arrivée en jean + un t-shirt à paillettes très très décolleté et qui avait complètement pipeauté son cv.
La demi heure la plus longue de ma vie.
#elle avait écrit anglais courant sur son cv#et quand je lui demande si elle peut travailler en anglais sur des tâches simples#type envoyer des mails et prendre des appels#elle me dit ´ah bah pour ça j’aurai b’soin d’aide’#et elle avait 5 langues sur le cv#cinq#elle en maîtrisait aucune 🙄
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Unité 10. Beau Travail !
FOIRE AUX QUESTIONS.
Erasmus, qu'est-ce que c'est ?
C'est un programme de la Commission européenne ouvert à tous. Il encourage la mobilité des jeunes et des professionnels dans les domaines de l'éducation, la formation, la jeunesse et le sport. C'est aussi un programme d'échange pour les étudiants.
Qui propose Erasmus ?
Les établissements d'enseignement supérieur : universités, grandes écoles, instituts d'études politiques, écoles d'art, etc.
Est-ce que je peux partir avec Erasmus si je ne suis pas étudiant en Europe ?
Oui. Erasmus est un programme international d'études.
Si vous êtes inscrit dans une université partenaire, vous pouvez partir avec Erasmus.
On peut faire quels cursus avec Erasmus ?
De nombreux parcours universitaires sont possibles (diplómes de licence, master, doctorat...) dans les disciplines de votre choix: langues, lettres, droit, économie, physique, mathématiques, médecine, sociologie…
Où est-ce qu'on peut partir ?
Dans les pays de l'Union européenne (Allemagne, Espagne, France, Grèce, Roumanie, Slovaquie...) et dans les pays partenaires (Albanie, Arménie, Islande, Liban, Russie, Turquie...).
Comment partir avec Erasmus ?
Renseignez-vous sur le site Internet et cherchez votre discipline.
Quand vous avez trouvé une université d'accueil, préparez votre dossier et surveillez le calendrier:
vous devez déposer votre dossier de candidature complet avec votre CV avant la date limite!
Quelles sont les aides financières ?
Si vous participez au programme Erasmus, vous recevez une bourse de l'Union européenne pour le logement, le voyage et la vie de tous les jours.
Au fait ! CV est l'abréviation de curriculum vitae.
On présente ce document à des employeurs quand on cherche du travail.
Ils sont partis avec Erasmus.
Lucie Je m'appelle Lucie, je suis belge et je suis étudiante en master 1 de sciences politiques, en Suède, à Stockholm.
L'hiver, il fait très froid, mais c'est une ville merveilleuse.
Avec Erasmus, je vis une expérience formidable !
C'est une occasion unique de découvrir une nouvelle culture, une nouvelle langue et de rencontrer des étudiants de pays différents.
Maintenant, j'ai envie de m'intéresser aux questions européennes : ça me donne des idées pour la suite, pour ma future vie professionnelle...
Livia : Je m'appelle Livia, je suis italienne et j'étudie l'informatique à l'université de Madrid, en Espagne.
Je suis en 3 année de licence.
C'est une vraie chance de voyager comme ça à mon âge, c'est très enrichissant.
La bourse Erasmus me permet de vivre bien, d'avoir un petit logement dans le centre et de sortir de temps en temps.
Cette expérience m'aide à préciser mon projet professionnel.
En tout cas, je vais continuer à voyager... et je vais peut-être m'installer dans un pays étranger !
Piotr : Je m'appelle Piotr, je suis russe et je suis inscrit à l'université de Lisbonne, au Portugal. Je suis étudiant en architecture, en M2.
J'ai beaucoup de chance d'être ici : pour mon avenir professionnel, c'est un avantage de parler une nouvelle langue et de connaître d'autres méthodes de travail.
Pour décrire une expérience positive.
Je vis une expérience formidable.
C'est un avantage de parler espagnol.
J'ai beaucoup de chance de voyager.
C'est une occasion unique de m'enrichir.
Cette expérience me permet de progresser.
Pour parler de ses études.
Je suis étudiant en master 1 d'économie.
Je suis en (3e année de) licence.
J'étudie l'architecture.
Je suis inscrit à l'université de Lisbonne.
Découvrons le campus !
Chers étudiants, Bienvenue au campus de l'université Pierre et Marie Curie !
Notre université existe depuis 1934.
Elle a longtemps été réservée aux cursus scientifiques.
Aujourd'hui, elle est toujours renommée, et nous avons le plaisir d'ouvrir un département d'économie.
L'université Pierre et Marie Curie, c'est :
5 départements : biologie, informatique, mathématiques, physique-chimie, économie.
4 amphithéâtres pour étudier dans de bonnes conditions.
Plus de 100 salles de cours.
Des laboratoires équipés pour accueillir les enseignants-chercheurs.
Une bibliothèque avec plus de 50000 ouvrages et une bibliothèque numérique en ligne.
2 restaurants universitaires pour faire des repas complets, et une cafétéria.
5 Un gymnase, un stade et des espaces verts.
Pendant la semaine de la rentrée, n’oubliez pas d'aller au secrétariat pour obtenir votre carte d'étudiant, Profitez de votre année !
Christine Carambani, présidente de l'université
Pour exprimer le but.
J'apprends I'anglais pour le travail. (pour + nom).
Je vais au secrétariat pour obtenir ma carte d'étudiant. (pour + infinitif).
La condition avec si.
Si vous êtes inscrit dans une université partenaire vous pouvez partir avec Erasmus.
Si vous participez au programme Erasmus, vous recevez une bourse de l’Union européenne.
Si tu es étudiant, tu peux étudier à l’étranger avec Erasmus.
S’il étudie, il peut réussir.
Il faut bien dormir. Si vous mangez bien.
Il faut bien manger. Si vous mangez bien.
Il faut bien étudier. Si vous étudiez bien.
Si vous participez bien. Si vous vous entraînez.
Salut Clarissa ! Je suis Nora, nous avons été ensemble pendant deux ans en licence de mathématiques !
Salut Nora, alors, qu’est-ce que tu fais maintenant ?
J’étudie toujours les mathématiques. Et toi?
J’ai étudié l’économie pendant deux ans et j’ai passé un concours pour être professeur.
Ah! J’ai pensé longtemps à passer un concours. Mais pendant mon master, j’ai découvert le métier de chercheur.
Tu prépares toujours un diplôme ?
Oui, un doctorat.
J'ai étudié à Leipzig pendant deux ans.
Sam étudie toujours la philosophie.
Lya et Laure ont longtemps étudié à la bibliothèque.
Luc a travaillé dans un restaurant pendant ses études.
Nous ne cherchons pas de travail : nous sommes toujours étudiants.
Vous avez voyagé pendant votre année d'études en Italie.
Marianne. Licence de droit.
Objectif: devenir avocate.
Elle est en licence de droit.
Elle étudie pour devenir avocate.
Jonas est inscrit à l'université Jean Jaurès.
Il étudie pour le plaisir d'apprendre.
Lola est en master de chimie.
Elle étudie pour travailler en laboratoire.
Soraya est inscrite à l'université du Québec à Laval.
Elle étudie pour faire de la recherche.
Bacary étudie le chinois pour pour son travail.
Bonjour, je viens pour m’inscrire.
Bonjour ! Vous voulez préparer quel diplôme ?
Un masters
Dans quelle discipline ?
En sociologie.
Alors, je vous donne le dossier. Vous devez le remplir et le remettre au secrétariat de sciences sociales
Et quand est-ce que j’ai listé des professeurs ?
Après l’inscription administrative.
Où est-ce que je peux déjeuner le midi?
Tu peux déjeuner le midi au restaurant universitaire.
Où est-ce que je peux trouver des livres?
Tu peux trouver des livres à la bibliothèque.
Amélie étudie les langues, où est-ce que je peux la retrouver ?
Tu peux trouver Amélie au département de langues étrangères.
Où est-ce que je peux faire du sport?
Tu peux faire du sport au gymnase.
Quelle est la salle de cours a coûté du secrétariat ?
La salle de cours à côté du secrétariat est l'amphithéâtre.
Université 2.0.
Le FacLab de l'université de Cergy-Pontoise est un lieu ouvert à tous : il réunit des étudiants, des chercheurs, des enseignants, des designers, des artistes, des ingénieurs…
Créer.
Vous avez une idée d'objet et vous voulez le créer ? Le FacLab met à votre disposition les machines nécessaires à la réalisation de votre projet : imprimante 3D, outils de découpe (bois, tissu, etc.), machine à coudre... Des techniciens et des enseignants sont là pour vous accompagner.
Partager.
Ici, on apprend à plusieurs !
Les utilisateurs expérimentés partagent leurs connaissances.
Les plans de fabrication des objets sont accessibles en ligne à tous les utilisateurs de fablabs partout dans le monde.
Apprendre.
Dans le FacLab, vous prenez part aux projets de fabrication des autres membres. Vous pouvez aussi participer à des ateliers, à des formations…
« fablab », qu'est-ce que c'est ?
Les fablabs (« laboratoires de fabrication ») sont nés à la fin des années 1990 au Massachusetts Institute of Technology (MIT), aux États-Unis. Aujourd'hui, il existe de nombreux fablabs dans le monde, notamment dans plusieurs universités françaises (Bordeaux, Le Havre...) et francophones (Lausanne, Laval, Rabat, Tunis...).
On, le cliché !
« Le système éducatif français est un des meilleurs du monde. »
D'après le classement du Times Higher Education, l'École normale supérieure de Paris (54º) est la seule parmi les 100 meilleures universités dans le monde en 2015. L'année précédente, il y avait deux universités françaises dans ce classement.
Francophonie.
L'Agence universitaire de la Francophonie est une association pour développer l'enseignement supérieur en français. Elle propose aussi aux étudiants des bourses de mobilité et des cursus en ligne (FOAD, MOOC)...
Avant, j’étais très timide.
Pour guérir ma timidité, j’ai suivi un stage et j’ai appris à être sûr de moi.
Avant, il ne savait pas danser.
La danse ? Il s'est inscrit à un cours.
Maintenant, il danse parfaitement.
Avant, elle n'arrivaient pas à s’endormir.
Pour dormir plus facilement.
Elle a arrêté de boire du café.
Maintenant, elle dort au moins huit heures par nuit.
Il y a dix ans, je pesais 96 kilos.
Pour perdre des kilos, j’ai fait un régime strict: j’ai supprimé l’alcool, les bonbons et les pâtisseries.
Aujourd’hui, je ne fais que 65 kilos.
Avant, nous habitons un studio sinistre.
Dans notre studio: nous avons repeint les murs blanc, nous avons changé la moquette et nous avons mis des posters aux couleurs vives sur les murs.
Aujourd’hui, nous nous sentons bien chez nous.
Avant, je vivais seul.
Plus connaître de nouveaux amis, j’ai décidé de m’inscrire dans un club de natation et de randonnées.
Maintenant, je connais plein de monde et j’ai de nombreux amis.
IL A RENCONTRÉ SA FEMME À L'ALLIANCE FRANÇAISE PARIS ILE-DE-FRANCE.
Je m'appelle Matthew. Je suis arrivé à Paris à 24 ans pour mon travail. Avant, je vivais en Angleterre et je ne parlais pas français. Je me suis inscrit dans une école de langue française à Paris pour faciliter ma vie quotidienne et professionnelle. Au début de mon apprentissage, j'ai rencontré des gens de différentes nationalités et j'ai fait la connaissance de Cindy, une jeune femme américaine de 25 ans. Nous étions tous les deux débutants et nous nous aidions quand nous avions des difficultés. Nous avons fait des progrès en français et, aujourd'hui, nous travaillons tous les deux en France. Nous sommes mariés depuis trois ans.
L'histoire de Martina (situation initiale, événements importants, situation actuelle).
Il y a 5 ans, j'habitais à Zagreb. J'étais étudiante. Je n'avais pas d'enfant. Je sortais beaucoup.
Puis, j'ai fini mes études. J'ai déménagé à Paris. J'ai trouvé un travail de professeur à l'université. J'ai eu un enfant.
Aujourd'hui, j'habite et je travaille à Paris, je gagne plus d'argent qu'avant mais je sors moins qu'avant. Je suis très occupée par ma vie professionnelle et ma vie familiale.
Prof de FLE en Thaïlande Blog prof info.
Il y a 20 ans, j'ai réussi un master de FLE. Après mon master, je suis parti en Thaïlande et j'ai travaillé comme professeur de français. J'étais heureux : mon travail était intéressant et les étudiants m'aimaient beaucoup. Et puis, j'ai rencontré ma femme et nous avons eu un enfant. Nous avons décidé de rentrer en France. Maintenant, je travaille à Marseille.
Rosalie et Jules.
Quand Rosalie et Jules étaient jeunes mariés, ils vivaient dans un modeste appartement à Dunkerque, dans le Nord de la France. À l'époque, Jules était comptable dans une entreprise de plomberie et Rosalie était secrétaire dans un cabinet d'assurances. Ils n'avaient pas encore d'enfant, donc ils pouvaient partir en vacances assez librement. Le problème, c'est qu'ils n'avaient pas beaucoup d'argent. Comme ils aimaient beaucoup la campagne et le climat agréable du Sud-Ouest, ils s'installaient tous les ans dans un village du Périgord. Un fermier leur louait une petite chambre pendant deux semaines et ils passaient leurs journées à marcher, à pique-niquer et à rêver à leur futur château dans cette magnifique région. Ensuite, leur vie a changé. Ils ont eu trois enfants, Jules a ouvert son propre cabinet comptable, Rosalie est devenue assistante de direction. Quelques années plus tard, ils ont acheté une vieille maison dans le Périgord, à quelques kilomètres de Sarlat. Ils ont passé des années à la rénover eux-mêmes. Maintenant, ce n'est pas un château, mais c'est une très jolie maison, chaleureuse et couverte de fleurs, où toute la famille passe des vacances heureuses.
Nelly.
Avant, j’avais beaucoup de difficultés en cours d’allemand, je ne comprenais pas tout et je ne trouvais pas vraiment d’intérêt à apprendre une langue étrangère. Puis, j’ai participé à un échange.
Je suis allée dans une famille allemande pendant deux semaines et j’ai fait beaucoup de progrès.
Aujourd’hui, je peux écrire des méls en allemand à mon amie allemand et parfois je lui téléphone.
Avant, c'était une plage tranquille. Il y avait très peu de baigneurs. On trouvait toujours de la place.
Puis le tourisme s'est développé. Des hôtels et des restaurants se sont installés. Maintenant, la plage est très fréquentée. On peut à peine s'asseoir. L'endroit est devenu une station balnéaire.
Il y a quelques années, Stéphane était célibataire. Il vivait seul et n'était pas très heureux. Il trouvait la vie triste, il se sentait seul. Un jour, il a rencontré Marianne et est tombé amoureux. Après quelques années de vie commune, ils se sont mariés. Ils ont eu un enfant, puis deux, puis trois. Stéphane est maintenant un père heureux et un mari comblé.
Je voudrais partir en Turquie pour commencer un cursus de littérature et devenir professeure.
Mon frère est pâtissier mais il voudrait découvrir un nouveau métier : pourquoi pas boucher ?
Je reçois une aide financière pour étudier à l'étranger.
Quand ma bourse arrive, je coche le jour sur mon calendrier.
Mon parcours professionnel.
Dialogue 1.
L'avocate : Bonjour... Justin ? C'est ça ?
Justin : Oui c'est ça. Bonjour madame.
Vous êtes étudiant ?
Oui. Je suis en 3° année de licence de droit.
Mais je n'ai pas choisi ma spécialité.
C'est important pour votre future carrière.
Qu'est-ce que vous avez envie de faire comme métier ? J
Je rêve d'être avocat... Mais ce n'est pas facile. Vous êtes avocate ?
Oui. C'est vrai, les études sont sélectives, et vous devez passer un concours qui est difficile.
Ensuite, on travaille beaucoup, on étudie longtemps les dossiers, on fait beaucoup de recherches...
Parfois, le week-end, je prépare les dossiers qui sont urgents.
Il n'y a pas d'horaires fixes.
Est-ce que c'est un métier stressant ?
Un peu oui, parce qu'on a des responsabilités importantes.
Et puis aussi parce qu'au tribunal, il faut parler en public pendant le procès.
Mais c'est un métier magnifique !
C'est important de permettre aux gens de se défendre.
On est là pour eux, pour leur donner une voix.
C'est un très beau projet professionnel !
Oh oui, c'est sûr : je veux être avocat. Je suis motivé !...
Merci, madame. Bonne journée.
Dialogue 2.
Audrey : Bonjour, monsieur.
Le jardinier : Bonjour ! Comment vous vous appelez ?
Audrey. Je suis étudiante et je ne sais pas quel métier je veux faire...
J'espère que je vais trouver des idées ici.
Je vois... Qu'est-ce que vous étudiez ?
Je suis en L1 de biologie. Et aussi... je sais dessiner.
Je prends des cours de dessin en dehors de l'université, c'est ma passion.
J'aime beaucoup dessiner des fleurs.
Donc, vous vous intéressez aux plantes ?
Ah oui ! Chez mes parents, il y a un petit jardin.
Je connais bien les fleurs. Je suis douée pour ça, il paraît !
Vous avez pensé à être jardinière ?
Jardinière ?
Oui : dans les parcs, les châteaux, ou chez des gens... Ça vous plairait ?
Moi, c'est mon métier.
Vous pouvez m'en dire plus ?
Eh bien, c'est un métier qui est très varié : je dois bien connaître les fleurs que je plante mais il faut aussi être un peu artiste, avoir de l'imagination pour faire un beau jardin... Audrey : Et quelles sont les conditions de travail ? Vous travaillez dehors ?
Oui, on est tout le temps à l'extérieur, été comme hiver.
Mais j'ai beaucoup de liberté pour m'organiser : je choisis les commandes que je préfère et les horaires qui me conviennent... et je n'ai pas de chef !
C'est une super idée !
Merci du conseil !
Pour exprimer une capacité, une compétence.
Je sais dessiner.
Je peux porter des objets lourds.
Je connais (bien) les fleurs.
Je suis doué(e) pour la peinture/peindre.
Pour exprimer un souhait ou un projet professionnel.
J'espère que je vais réussir.
J'ai envie de défendre les gens.
Je rêve d'être architecte.
Ça me plairait (de travailler dehors).
Je suis motivé(e) (pour passer le concours).
C'est mon projet professionnel.
Les pronoms relatifs « qui » et « que ».
Vous devez passer un concours qui est difficile.
Le week-end, je prépare les dossiers qui sont urgents. Je dois bien connaître les fleurs que je plante.
Je choisis les commandes que je préfère et les horaires qui me conviennent.
Vous faites des études. Ces études sont difficiles.
Vous faites des études qui sont difficiles.
Je connais un avocat qui est excellent.
Jeanne travaille dans un quartier que j'adore.
C'est un travail qu'il aime.
Je fais un métier que j'aime.
J’aime parler avec des professionnels qui connaissent leur métier.
Le diplôme que je prépare permet d’être dentiste.
J’ai des horaires de travail qui sont pratiqués.
Les commandes qu’il reçoit sont très intéressantes.
Le médicine est un cursus qui est long.
Martin a le diplôme qui est nécessaire à son inscription en master.
C’est le dossier que je t’ai envoyé hier.
Voici le professeur qu’ Armelle adore.
Jean Nouvel est le secrétaire qui m’a aidé à m’inscrire.
Prends le livre que je t’ai donné.
J’ai choisi un cursus qui est court.
Je te présente Francisco que j’ai rencontré à la fac.
Elle suit des cours qui ont lieu le matin.
L’informatique est une spécialité qui est très demandée.
Quelles sont les matières que tu préfères ?
Je suis motivé par le droit du travail.
Je sais travailler en équipe.
J'ai envie d'apprendre de nouvelles choses.
Je connais bien les logiciels de comptabilité.
Je suis doué pour m'organiser.
Je peux faire un budget.
Ça me plairait de travailler dans un cabinet d'avocats.
Mon parcours.
Il y a 6 ans, j'habitais à Honduras. Je venais de terminer mon échange d'un an en Autriche.
J'étais au lycée. Là-bas, je vivais dans une famille autrichienne et appris à parler allemand.
Puis, j'ai fini mes études au lycée et j'ai reçu une aide financière pour étudier à l'étranger.
J'ai déménagé à Taiwan et j'ai commencé mes études d'ingénieur en aérospatiale.
J'y ai vécu pendant cinq ans et j'ai appris la langue très bien.
J'ai obtenu mon diplôme en 2019 et je suis ensuite revenu dans Honduras et j'ai commencé mon stage dans l'aviation civile.
Aujourd’hui, j'étudie le management de l'aérospatiale à Toulouse Business School et j'apprends aussi le français dans l'alliance française.
Si tu être un auteur de BD, tu peux apprendre à dessiner.
Si tu travailler le week-end, tu peux être cuisiner.
Si tu être cuisiner, tu peux travailler le week-end.
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D’olympiques jeux de dupes
Quand une compétition a pour but de faire toujours «plus vite, plus haut, plus fort», faut-il s’émouvoir du dopage ou changer la devise? Si dopés il y a, ne parlent-ils que le russe? Et pourquoi engage-t-on des sous-traitants de la CIA pour défendre la moralité du sport?
Par Fernand Le Pic
De nouveau la Russie fait la une, accusée d’avoir établi un «dopage d’État», notamment durant les Jeux de Sotchi. La recette est bien rodée. A ma droite les anti-Poutine, tenant du titre, qui n’ont aucun mal à faire passer la Russie pour une réincarnation terrifiante de l’URSS; à ma gauche, les challengers, les pro-poutine, à qui on ne la fait pas, criant au complot perpétuel antirusse. Au milieu, on retrouve un Monsieur loyal joué en duo par le Comité International Olympique (CIO) et l’Agence Mondiale Antidopage (AMA).
Petit rappel des origines
Qu’il y ait du dopage, plus de 120 ans après les premiers jeux olympiques modernes, quoi de plus normal, finalement, lorsque la devise du CIO appelle toujours au «plus vite, plus haut et plus fort» (citius, altius, fortius)? Certes, mais les limites de la performance sportive sont celles du corps humain, et celles-ci semblent atteintes dans bien des cas. Les 44 km/h du Jamaïcain Usain Bolt sur 100 mètres, en 2009, seront difficiles à dépasser. La première question est donc de savoir si le temps d’amender cette devise n’est pas venu. Oui mais par quoi? Vous imaginez un «Pas si vite, ni si haut et moins fort s’il vous plaît»? Pas très motivant. Et d’ailleurs, pas sûr que les sponsors apprécieraient beaucoup…
Prenez Nike par exemple, la marque la plus médaillée des JO de Rio (2016) en athlétisme: 89 médailles conquises en direct devant 5 milliards de clients et futurs clients (réseaux sociaux compris). Pas évident qu’elle laisse le CIO renoncer si facilement à son ADN du hors limites. Ou alors, ces marques ne tarderaient pas à prendre le contrôle direct des bureaux du château de Vidy, à l’image des ligues professionnelles américaines, de type NHL, qui n’ont que faire du CIO.
C’est le père dominicain Henri Didon qui inventa cette devise. Passionné de sport (et de politique), il avait participé à des jeux olympiques locaux, qui se tenaient depuis 1832 près de Grenoble, bien avant que son futur ami, Pierre de Coubertin, n’eût l’idée de les rétablir 62 ans plus tard. On parlait à l’époque de sortir les jeunes de leur paresse naturelle par le sport, de vertus éducatives et de prouesses exaltant «l’activité musculaire» et «l’émulation générale». «Le sport, c’est la liberté de l’excès» disait Coubertin. Il y voyait en outre la meilleure préparation à la guerre: «Les sports ont fait fleurir toutes les qualités qui servent à la guerre: insouciance, belle humeur, accoutumance a l’imprévu, notion exacte de l’effort à faire sans dépenser des forces inutiles» (in L’idée olympique, Carl-Diem Institut, Köln, 1966).
Dépassement des limites, préparation militaire: le dopage ne serait-il pas «immergé au plus profond» [1] des principes de l’olympisme moderne et dès lors admissible par principe, tant qu’il ne nuit pas à la santé du sportif?
Dans ce cas, n’y aurait-il que la Russie à pratiquer le dopage? Et si non, pourquoi serait-elle la seule à subir la vindicte? Avant que les affaires de Sotchi n’éclatent, aboutissant au bannissement que l’on sait, au moins pour les prochains jeux d’hiver de Pyeongchang en Corée du Sud, la gloire de ces mêmes jeux de Sotchi avait été déjà obscurcie par les soulèvements de Maidan en Ukraine. Or, ce coup d’État fut, comme on le sait, entièrement orchestré par les États-Unis et l’Union Européenne. L’hégémonisme occidental ne connaît pas la trêve olympique!
Pour autant, les statistiques antérieures au dopage de Sotchi démontrent que les États-Unis alignent plus d’athlètes dopés et sanctionnés (652) que la Russie (632), suivie par l’Inde (551). La grande absente reste néanmoins la Chine.
Même si des témoignages accablants ont été transmis à toutes les entités de contrôle qui officient dans le sport, rien n’y fait: la Chine reste miraculeusement pure de tout gros souci de dopage!
Une galerie de barbouzes
Donc c’est la Russie qui s’y colle. Tout est fait pour en ternir l’image, tant que son président ne changera pas. En revanche, personne ne se demande quelle en serait la perception globale si, d’aventure, les États-Unis décidaient de laisser ce pays tranquille. Est-ce dès lors un hasard si les investigations relatives au dopage russe furent menées par d’anciens agents fédéraux américains et d’anciennes barbouzes de leurs alliés britanniques? Si on lit les rapports de l’AMA sur le sujet, on ne peut que s’étonner que la coordinatrice canado-serbe de ce travail, l’avocate du sport Djana Tecic, fut embauchée explicitement pour sa connaissance de la langue russe. En revanche, aucun expert en mandarin ni en hindi n’a été approché!
Les enquêteurs américains sont tous d’anciens médaillés de la Drug Enforcement Administration (DEA), au premier rang desquels Jack Robertson, tombeur du cycliste Lance Amstrong et qui ne fait toujours pas de différence entre un sportif et un narcotrafiquant. Est-ce une simple coïncidence qu’il ait donné son interview la plus longue, la plus détaillée mais surtout la plus vindicative au média Propublica, financé par George Soros? A ses côtés, il a recruté deux de ses anciens collègues: Dave Tinsley et Brian Talay, respectivement patron fondateur et directeur des opérations de la société privée de sécurité et de renseignement 5 Stones Intelligence, basée à Miami. Une entreprise qui se flatte de travailler pour la CIA et le Pentagone.
Côté britannique, on trouve Nicholas (Nick) Connon, patron et fondateur de la société privée de renseignement Quintel, basée à Londres. Son capital fut notamment détenu par une société écran (Munlochy Holding Ltd) installée dans le paradis fiscal des Iles Vierges britanniques, plus précisément à Woodbourne Hall, Tortola. Quoi de plus normal pour une entreprise qui est mandatée pour combattre la corruption et les trafics occultes en tous genres? Nick est un ancien des services de sa Majesté, plutôt spécialisé dans l’antiterrorisme et les financements illicites. On ne sera pas surpris de le voir régulièrement prodiguer ses conseils d’expert à telle administration ukrainienne dans son combat contre l’invasion militaire russe.
Le CV de son collègue Martin Dubbey est à l’avenant. Ancien du renseignement douanier puis de la Serious Organised Crime Agency (SOCA), devenue aujourd’hui la National Crime Agency (NCA), il fut officier de liaison avec la DEA et la CIA. Cette SOCA mérite qu’on s’y attarde. Un autre membre de l’équipe d’enquête de l’AMA, Greg Kitsell, en fit partie. Il fit parler de lui en 2006, en Afghanistan, ce paradis mondial de la culture du pavot. Il fut cité par la presse anglaise pour avoir désarmé un garde du corps du ministre de la défense britannique de l’époque (John Reid), en visite de contrôle à Kandahar, afin de démontrer audit gorille qu’il n’était pas assez vigilant.
Au-delà de la mauvaise blague entre services, qui lui valut des poursuites disciplinaires, c’est toute la SOCA qui fut mise sur la sellette pour avoir, en fait, servi de marqueur de cibles à l’armée américaine qui avait subitement décidé de se débarrasser au F-16 de quelques barons locaux de la drogue. Or, selon la loi britannique, si l’armée a le droit d’attrition, ce n’est pas le cas des forces non militaires de la SOCA. Encore une transgression dans le monde sanctifié de l’inquisition sportive.
En bref, l’AMA a recruté comme enquêteurs au-dessus de tout soupçon: une juriste du sport spécialement russophone et des sous-traitants actifs de la CIA et du renseignement britannique, politiquement orientés ou compromis.
Leur enrôlement dans cette affaire accrédite évidemment la thèse d’une partialité antirusse, alors même qu’il y a eu effectivement du dopage, seul moyen sérieux de se conformer à la devise olympique et de satisfaire aux exigences des sponsors. Au-delà de la «belle humeur» que cela suscite à Washington ou Londres, on peut tout de même se demander si les jeux olympiques ne mériteraient pas une petite réforme? Un reset, comme on dit dans les états-majors militaires…
NOTE
« doper», de l’anglais dope, qui provient d’une racine indo-européenne dʰewb (immerger) laquelle donne également «deep» (profond).
Article paru dans la rubrique «Angle mort» de l’Antipresse n° 106 du 10/12/2017.
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Personnalités inspirantes : on vous présente Ingrid Ulrich, aventurière hors-norme.
Les histoires hors du commun sont faites pour être racontées.
Chez Agorapulse, nous avons eu la chance de découvrir quelques histoires extraordinaires, de personnes passionnées, inspirantes ou engagées… Et nous nous devions de vous les partager. Voici donc une nouvelle série d’articles, qui vous présentera ces personnes aux existences hors du commun, que nous avons décidé de soutenir…
On commence aujourd’hui avec l’histoire d’Ingrid Ulrich, une lyonnaise passionnée et passionnante !
Ingrid Ulrich : Victime de violence conjugale, combattante du cancer et extraordinaire aventurière
Petite, Ingrid rêvait déjà d’aventures et d’expéditions qui sortent de l’ordinaire. Elle s’imaginait exploratrice, parcourant le monde en large et en travers. Mais ce rêve lui paraissait bien trop grand et surtout hors de portée :
“J’ai toujours pensé que c’était uniquement réservé aux autres”
L’appel de l’aventure et de l’exploration était en elle, cependant elle du patienter un long moment avant de pouvoir l’exprimer pleinement.
Victime et survivante de violences conjugales
Rêver d’aventure est difficile quand on essaie de survivre chaque jour. La vie d’Ingrid n’est pas un long fleuve tranquille. Et pour cause… Engagée dans un mariage avec un homme violent, Ingrid n’avait aucune confiance, ni aucune croyance en sa propre force physique, seulement une faible estime d’elle-même.
Durant cette période déjà difficile, Ingrid fait une chute violente à cheval et se retrouve dans un fauteuil roulant.
Cependant, malgré tous ces défis accablants, elle a pu trouvé sa force intérieure et forger son esprit de persévérance :
“La chute à cheval, l’année en fauteuil roulant et la crainte de ne pas pouvoir remarcher normalement un jour, m’ont permis de suivre la devise : ne jamais, jamais abandonner.”
Enseignante en éco-gestion dans un lycée, Ingrid a rapidement ajouté une nouvelle ligne à son CV : athlète !
Non seulement Ingrid a appris à remarcher normalement, mais elle a aussi mis fin à la relation violente avec son mari qu’elle entretenait depuis dix ans.
Son travail a rapidement consisté à venir en aide aux autres femmes bloquées dans des relations de couples violentes pour les libérer de l’horreur qu’est la violence conjugale. Ceci pour leur permettre d’accéder à une vie plus saine et plus agréable pour elles-mêmes et pour leurs enfants.
Ingrid commence alors ses expéditions et apprend à se connaitre :
“C’est au cours de mes expéditions en solitaire que j’ai repris confiance. Je ne pouvais compter que sur moi-même, que ce soit en mer, en pleine forêt ou au sommet d’une montagne.”
Le cancer comme ennemi
Alors qu’Ingrid profite à fond de sa vie d’aventurière, on lui diagnostique un cancer du sein.
Une fois encore, la survie reprend le dessus sur la vie. Entre chimiothérapies, rayons, perte de cheveux, ablation mammaire, il lui fallu un mental d’acier pour tout endurer.
Mais la femme qui est maintenant confrontée au cancer a enduré d’autres épreuves et connaissait sa force intérieure. Elle avait les armes, mentalement et physiquement, pour mener cette nouvelle bataille.
“Je suis revenue encore plus forte et encore plus déterminée à réaliser mes rêves “, dit Ingrid. “Même mes rêves les plus fous.”
Stand-Up Paddle dans l’Arctique
Aventurière dans l’âme
La combativité, la passion et la force d’Ingrid ne l’ont pas laissé abandonner ses rêves d’aventure.
“Partir à l’aventure est un concentré d’émotions, dit Ingrid. “Il y a de la peur, de la déception, de la joie, de l’euphorie, de l’espoir et du bonheur avec une intensité énorme. Ça nous apprend que les erreurs sont indispensables à toute trajectoire et a revoir notre sens des priorités. Chaque jour, on apprend quelque chose.”
C’est ainsi qu’elle se lance à nouveau dans ses explorations, malgré tout ce qu’elle a enduré.
“Ce que j’ai vécu m’a permis de devenir ce que je suis aujourd’hui et finalement… moi-même “, dit Ingrid.
“Parfois, je me dis même que j’ai eu de la chance d’avoir vécu cette vie. Sinon, j’aurais peut-être attendu que ma vie passe, me disant que je n’étais pas capable de réaliser mes rêves.”
Voici un aperçu de quelques-une des nombreuses aventures d’Ingrid :
Relier la mer Méditerranée à l’Océan Atlantique en Stand Up Paddle (SUP). 600km à la force des bras en 10 jours.
Traversée de la Méditerranée en SUP. Fréjus/Calvi. 190 km en 39h.
Traversée de la mer Egée et des îles du Dodécanèses en SUP. 250km et 12 jours de rame.
Présence sur de nombreux podiums en compétition de SUP : Dordogne Intégrale, Marathon Internationale de l’Ardèche, Alpine Lake Tour…
“Ce qui me fascine dans la nature, c’est que, par de telles surprises, elle nous fait sentir sa force, sa capacité à nous dominer et notre insignifiance face à un environnement hostile “, écrit Ingrid sur son blog.
“La nature nous oblige à être humbles, à admettre que nous ne pouvons pas toujours la contrôler, malgré nos efforts. C’est lorsque les conditions se compliquent que la notion de persévérance et de confiance prend tout son sens.”
“En expédition, quand vous êtes livrée à vous-même, vous revenez différente”, explique Ingrid. “Après chaque voyage, je suis revenue un peu plus heureuse de vivre avec moi-même et avec les autres.”
Départ pour l’aventure !
Au moment où nous écrivons ces lignes, Ingrid a quitté la France pour une nouvelle expédition qui l’a emmené dans “l’une des parties les plus sauvages et les plus hostiles de la planète”.
Sa destination : Ilulissat, Groenland.
“Sur la banquise et au milieu des icebergs, j’atteindrai le village de pêcheurs d’Oquaatsut, avant de me diriger vers la baie de Quervain, où se trouve la cabane des premières expéditions polaires de Paul Emile Victor” a déclaré Ingrid dans un récent entretien.
Il fait vraiment froid à Ilulissat ? A vrai dire, son nom signifie “icebergs” dans la langue groenlandaise occidentale, si ça peut vous donner une idée.
Mais ce n’est pas le froid qui peut effrayer Ingrid ! Nous avons reçu un message de son téléphone satellite après son atterrissage et après avoir emprunté quatre avions.
“Je suis à Ilulissat !” a-t-elle écrit. “C’est à 350 km du cercle arctique, là où il y a plus de chiens que d’hommes.”
(Elle n’exagère pas : 3 000 personnes vivent dans ce siège municipal du Groenland, et 5 000 chiens.)
“Je ne pourrai pas vous contacter jusqu’à mon retour !”
Vous pourrez suivre nos prochains articles pour vous tenir informés du périple d’Ingrid, ses défis et ses réflexions.
Bon voyage et bon courage Ingrid !
Chez Agorapulse nous considérons Ingrid comme une formidable source d’inspiration. Elle est la preuve vivante que vous n’avez pas besoin de beaucoup d’argent pour faire des choses incroyables, et que les difficultés rencontrées doivent constituer une force. Il vous suffit d’un rêve, d’un plan pour le réaliser et de beaucoup de passion et de ténacité… et Ingrid coche toutes ces cases ! En tant que start-up boostrapée cela nous parle énormément !
Source https://feeds.feedblitz.com/~/601100976/0/visibiliteweb sur http://visibiliteweb.blogspot.com/ Chaine Youtube : https://www.youtube.com/channel/UC6oA6_t1R6Wqm6sPmKtZnkw
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