#et dapres ce que jai vu
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la motion de censure a été votée démocratiquement que ça vous plaise ou non, et oui c’est une réforme de merde, mais casser va pas arranger les choses en fait. juste comme ça
Il faudrait que tu révises un peu et revois la différence entre le légal et le légitime. C'est pas parce que quelque chose est légal que c'est légitime. Et se battre contre l'illégitimité, est largement défendable, en particulier quand ceux en face ne comprennent que ça.
Mais ce qui est vraiment drôle, c'est que même avant tout ça, quand les manifs étaient largement plus calmes, dans la tête des macronistes les français qui étaient dans la rue en toute légalité n'étaient pas légitimes parce qu'Emmanuel premier nous l'a décrété au 13h00 de TF1 pendant que tous les travailleurs étaient au taf (cf les déclarations lunaires de Veran à deux doigts de nous prometre les 10 plaies d'Egypte si les méchants grévistes n'arrêtaient pas de bloquer le pays), mais par contre sa réforme, elle, est tout à fait légitime puisqu'elle est légale, et ce malgré le passage en force, l'arrêt des débats et le refus de rencontrer les syndicats (et non arrêtez de faire semblant de croire qu'ils ont attendu qu'on crame une mairie pour le dire, ayez un peu d'honnêteté intellectuelle).
Comme je l'ai dis précédemment: si tu es le mec qui allume la dynamite, à un moment donné, arrêtes de faire ta vierge effarouchée quand ça explose. Vos sophismes a répétitions ne convainquent plus personne si ce n'est les zélés de la République Emmerde.
Franchement si vous aviez un iota de la sus-mentionnée honnêteté intellectuelle, vous eûtes au moins admis que la 5eme est sous respirateur artificiel et qu'il est grand temps d'y mettre fin. Elle a été créée pour un homme mort il y a maintenant plus de 50 ans et n'a rien à foutre entre les mains des macronistes. Mais bon comme je l'ai dis... légitimité et légalité, deux concepts extrêmement obscures, un peu comme égalité et équité.
"quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs" - Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, 1789.
A bon entendeur salut, je vais pas perdre mon temps plus longtemps.
#french stuffs#France#r��ponse a tes autres messages#et dapres ce que jai vu#t'es pas français#tu sais pas ce que cest de vivre sois ce connard
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Le premier post- pour les rares qui l’ont commenté ( hors site WordPress) – a suscité les réactions attendues : certains n’évoquent rien que le texte, d’autres paraissent avoir apprécié surtout les “voisines de clavier”, le plus cher ( et lointain) des amis me tape sur les doigts au sujet des nus- naturellement pas le nu, mais l’irrespect du genre féminin, et “ça” ne passe que parce que c’est moi.
sinon :
J’avoue que j’ai un peu exagéré la provocation, sur la conviction que l’érotisme et la culture vont de pair. Beaucoup de sociétés “intégristes” ( dont notre si vieille culture occidentale) l’ont prouvé ou le montrent encore, a contrario.
Donc, je vais simplement tenter de trouver un équilibre. Bientôt 70 ans que je m’entraine! Bon, c’est vrai, au tout début, l’image de la femme, c’était mère et grands mères. Je me suis rattrapé.
Ce matin ( publié ce soir) : Avez-vous vu Guy?
Après cette excellente Nancy (“Lèvres de pierre“), l’autre jour, j’ai continué un peu à errer dans le bonheur du soleil, quartier Saint Germain.
Désolé pour les copains, une joyeuse qui court, une visiteuse qui s’étonne du paysage parisien,
ça m’émeut toujours, même après 50 ans de footing.
Ce quartier, Paris centre plus si chic,
D’accord, il y a 75 % de touristes, dont 75 % anglo-saxons, dont 75% de grands buveurs, mais aussi 24,5 % qui sont là pour l’ambiance : serveurs, vendeurs, passantes acharnées à marcher avec des shorts plus courts qu’elles mêmes,
et …moi.
Tout cela finit au cinéma, en soirée : le film de LUTZ : “GUY”. Le comédien y est superbe, entré dans son rôle de chanteur vieillissant qui vit un ” come back” assez imprévisible, après des années plus ” noires” . Parti-pris : un jeune documentariste fait un reportage ” live et vérité, suivant partout la chanteur, y compris chez lui. Le suspense( léger) tient à ce que le reporter est un fils ( inconnu) de la vedette : se tisse lentement une amitié vraie, posée sur une base fausse. Dans la série philosophie de trottoir : ce ne sont pas les plus fragiles !
Mais on sent que chacun vit une relation qu’il aurait aimé voir exister entre père et fils. On a (presque tous) eu des pères, et parfois des fils. Thème de cinéma banal.Ici, l’émotion vient de ce que le fils caché filme le père se découvrant. On ne saura jamais si le fils annonce ce qu’il est. Entre temps, alors que la relation se construit, discrète, toute une série de scènes attendrissantes ou cocasses : concerts du “vieux beau”, dîners d’après scène, répétitions ( avec Julien Clerc, autre vieux beau attachant) , voyages de la troupe en car, signatures, moments de dialogue documentariste/chanteur, échanges rudes entre les deux « héros »,et beaucoup d’instant saisis dans le cabanon” de Provence où vit le chanteur , avec une comédienne…et ses chevaux. Trois parodies, aussi ( mais légères, amicales) d’émissions de “promo”…En fait, entre Buci et ciné, je suis passé devant la vitrine d’un tatoueur BCBG : on a bavardé, il se disait spécialisé en fleurs sur fleurs. Langage archaîque, et pas tant que tellement respectueux du genre féminin, passons, d’autant que le travail est superbe. C’est parce qu’il n’à pas voulu m’engager comme apprenti préparateur de champ opératoire que j’ai finalement opté pour »GUY » !
Tout cela est juste, bien fait, jamais lourd. Je parle de « Guy » ! Mais l’intérêt du film, outre la relation indicible quasi père/fils , tient dans l’approfondissement progressif de la ” personnalité” du chanteur : beaucoup moins superficiel qu’il y paraît, pas du tout si con, et même très lucide sur la vie, et sur ses propres limites, faiblesses, petitesses…Travail del’âge : on court moins vite et on pense plus profond…Je vous tiendrai au courant pour mon propre cas. Lui ne se fait pas d’illusions sur ce succès, il en use, et il tente de vivre au mieux ce qu’il sent être bientôt en train de disparaître : ses forces (scène où il est tombé de cheval, scène de fatigue après le concert), ses liens ( scène de rare déjeuner avec le vrai fils, scène d’engueulade violente avec sa compagne), ses bases ( « Tous des connards » hurle t-il en parlant de son producteur). Il aime les femmes et l’alcool, banal, et joliment ( tendrement) mis en image dans les scènes finales, où il partage avec son documentariste de fils clandestin.
Touchant, et idée banale pour une type de mon âge animé de sentiments fraternels pour son prochain : oui, derrière chaque vitrine publique, il y a un comptoir privé, mais surtout, en-dessous du comptoir : les méandres complexes mais attachants d’une personne. Avec humour et légéreté , voila ce que dit aussi le film ( qui n’est pas une démonstration, c’est drôle et rapide) : on gagne à creuser l’autre ( mis à part quelques uns méritant …Mmm).
Ensuite on est allés dîner à une terrasse à trois ( lui, à trois et à Paris, hihihi). Ah, la langue !
Si vous avez un ciné à porté de regard, allez-y ( faut se dépêcher, de moins en moins de films réussissent à durer sur l’écran ciné). Sinon, notez pour un soir VOD: ” Guy”, de et avec A.LUTZ, 101 mn garanties de grande qualité.
Bon, la prochaine fois, je reviens avec un livre.
Bizot et les horreurs des Kmers rouges?
»14 juillet », un tout petit et superbe roman ?
Ma collection préférée de photos de femmes nues ? ( oui, je sais « femmes nues » ça fait ado ou prolo, je ne suis plus aucun des deux. « Voisines de clavier »alors.
Bon, je vais pas me faire des amies!
Et si vous êtes bonne lectrice bon lecteur , envoyez moi vos témoignages d’émotion.
François-louise Toffin
Vous avez pas vu Guy ? La Tourneuse 2 Le premier post- pour les rares qui l'ont commenté ( hors site WordPress) - a suscité les réactions attendues : certains n'évoquent rien que le texte, d'autres paraissent avoir apprécié surtout les "voisines de clavier", le plus cher ( et lointain) des amis me tape sur les doigts au sujet des…
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Maladies / hygiene
Jai encore mal a la gorge et je ne sais pas comment mais jai du me cogner le pied et maintenant il est un peu gonflé. Avec de libuprophen il va mieux. Mais cest chiant jai limpression davoir tout le temps mal quelque part depuis que je suis partie! Dabord les oreilles, puis la gorge, les poumons, le bidou, le pied... Mine de rien je ne men sors pas trop mal, car dapres les dires des habitants de l'île, les gens tombent de plus en plus malade et quand jy reflechis, depuis 20jours, toutes les personnes que je rencontre tombent malade (soit le ventre, soit une plaie qui sinfecte, des furoncles, une otite....). Ici cest pas facile de savoir ce que tu attrapes ni vomment ni pourquoi... et les gens font beaucoup moins attention a leur santé, quand a lhygiene je nen parle meme pas!!! Ce serait du a ces histoires de canalisation (l'ile accueille trop de monde pour ces canalisations ridicules), mais aussi a lhumidite (les plaies guerissent vraiment mal avec ce climat), ainsi que la chaine du froid qui nest absolument pas respectée (transport de la viande dans des caisses en polystyrene durant 6h de bateau +le temps avant + le temps après. Aussi, j'ai vu un jour dans un resto une nana couper le congelateur pour brancher le ŕefrigérateur, puis eteindre le frigo pour brancher le congelo.... economies obligent!), et l'hygiene en cuisine est ce que jen parle? Si Gordon Ramsay etait la il mettrait l'île a feu!!! Franchement cest degoutant.. je ne chipote pas, je mange, mais tres sincerement des fois cest limite a vomir. Quand tu ouvres les frigos de viande (morceaux pas dans des barquettes mais posés les uns sur les autres en vrac) des dizaines de mouches en sortent et lodeur fais plus penser à du zombi pourri qua de la chaire fraiche. Tu peux voir des fourmis faire la chaine a linterieur des frigo, et meme des araignées qui ont tissé leur toile. Les gens te vendent ca sans probleme! Des mouches se collent sur leur front quand tu leur parles et te ils te disent "500baths, kapunkaaaaah" (12euros merciii)" cest vraiment pas cher pour le festin que lon va preparer...mais punaise qu'est ce que c'est crade!!! Hygiene zero. Faut pas etre regardant sinon tu ne manges rien. Et ne pas croire que dans les restaux cest mieux... non, non, non! J'observais la mamita chez laquelle jaime manger ma soupe de nouilles... sa gamelle cuit juste en dessous un nid de poussiere. Et quand jai voulu aller aux wc, ni savon, ni serviette, le sol grasseux er noir, les murs crasseux et noirs... Un peu ca ne me derange pas, peut etre quon en fait trop en France, mais bon... si les gens tombent malade, faut peut etre se poser des questions! Et commencer par lhygiene des mains deja ce serait pas mal!
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Les dérives d’une pratique marginale :
Territoire propice à la dépression :
Les réseaux sociaux sont reconnus pour normaliser les comportements à risque. Tumblr en ai le parfait exemple. De part sa liberté d’expression et son environnement propice à l’écriture personnelle il a ainsi mis en valeur la dépression chez les adolescents. On note notamment une tendance à “glamouriser” la dépression sur la plateforme à travers des images de suicide, de mutilations…
Du 16 avril au 10 mai 2014, 17 comptes Tumblr populaires liés à la dépression ont été contrôlés par la plateforme. Un total de 3 360 posts ont été sélectionnés de manière aléatoire parmi tous les messages historiques de ces comptes.
Parmis ces 3 360 posts, les 17 comptes Tumblr ont affiché un nombre de 185 messages populaires reblogués environ 1 677 362 fois.
2 739 (82%) étaient liés à la dépression, au suicide ou à l'automutilation. Les thèmes communs étaient la haine de soi, la solitude / le sentiment de ne pas être aimé, l'automutilation et le suicide.
On comprend bien ici l’aspect dangereux du blogging. À partir du moment où le blog est populaire il obtient plus de visibilité et est mis automatiquement en avant. C’est pourquoi, lorsque ce blog à pour thème principal la mise en avant du suicide, de nombreux blogueurs dédramatiseront cette dépression qui touche les jeunes.
De plus, la nouvelle pratique de reblogging de Tumblr, permet donc une diffusion rapide et majeure de ces posts. Nous imaginons alors qu’un adolescent qui se trouve face à ce post se dit alors qu’il n’est pas le seul à ressentir ce mal être et que de ce fait, parce qu’ils sont nombreux, le problème n’est pas si grave. Par ailleurs, la possibilité de créer des comptes sous un pseudonyme ou un nom d'utilisateur sépare les utilisateurs de leur véritable identité et peut faciliter un sens de l’anonymat qui permet la divulgation d’informations sensibles.
Comme nous l’avons dit précédemment dans les caractéristiques de Tumblr, la plateforme est unique : au lieu d'utiliser le blog pour communiquer avec la famille, les amis et les collègues, beaucoup d’utilisateurs choisissent de se connecter avec des membres de la communauté Tumblr qu’ils ne connaissent peut-être pas personnellement, mais avec qui ils partagent des intérêts communs. Il est alors possible qu’une communauté d’utilisateurs de Tumblr partagent la dépression comme “centre d’intérêt” commun.
D’après l’étude “An Analysis of Depression, Self-Harm, and Suicidal Ideation Content on Tumblr” par Patricia A. Cavazos-Rehg, Melissa J. Krauss et Shaina J. Sowles, il est important de chercher à comprendre s'il y a un impact sur les individus qui publient ce type de contenu ainsi que ceux qui le regardent. Les posts de ce type sont liés à un important public, comme en témoigne le grand nombre de réponses d'autres utilisateurs de Tumblr (par exemple, re-blogs et durée de vie des notes) accumulées par ces blogs. Compte tenu de la propagation importante des posts observés, on en déduit que de nombreux utilisateurs de Tumblr ont un intérêt pour ce type de publication et ont probablement cherché ce genre de contenu dans la barre de recherche de Tumblr. Les interactions directes par message entre les utilisateurs sur la dépression, le suicide et / ou les comportements d'automutilation sur Tumblr sont d’environ 9%. Les conversations se présentent comme des échanges en ligne dans lesquels les individus offrent un soutien émotionnel et / ou des suggestions sur la façon d’y faire face. On note de cette façon des échanges positifs.
Dans les rares comptes qui contiennent des détails d'âge, on trouve majoritairement des jeunes et jeunes adultes âgés de 14 à 20 ans.
Pour contrer ces pratiques à risque qui ont mis en valeur Tumblr pour de mauvaises raisons, la plateforme a alors décidé de revoir ses règles d’utilisation en 2016. Tumblr a ainsi décidé de mettre un message préventif pour chaque recherche en lien avec la dépression et les pensées suicidaires.
Cependant, même si la plateforme a tenté de prévenir les comportements à risque, cela n’a pas été suffisant et en 2018 elle s’est retrouvée face à un problème de plus grande ampleur.
De nouvelles règles en vigueur, vers une fin de la liberté d’expression ? :
En juin 2017, la plateforme a revu une nouvelle fois ses fonctionnalités pour permettre à ses utilisateurs d’avoir « plus de contrôle sur ce qu’ils voient et sur ce qu’ils ne voient pas » : le Safe mode. Grâce à cette fonctionnalité, les utilisateurs peuvent masquer automatiquement les images sensibles, notamment la nudité, ou les posts suicidaires publiés sur la plateforme.
Lors de la création de la plateforme, le Safe Mode existait déjà mais restait facultatif. Tumblr a cependant imposé ce mode par défaut à tout le monde.
Évidemment, cette fonctionnalité n’a pas plu aux blogueurs postant de la nudité ou travaillant dans l’industrie pornographique.
TechCrunch indique que les publications de contenu pour adulte représentent plus de 20% des vues des internautes du site Tumblr. Nous imaginons donc que cette nouvelle fonctionnalité fera perdre en popularité la plateforme qui vantait auparavant la liberté d’expression. Finalement, il est difficile pour une plateforme aussi populaire que Tumblr, d’exister sans contraintes d’utilisation car elle entraîne évidemment des dérives importantes. Tumblr s’est alors retrouvé dans une situation plutôt difficile. Sa popularité vient des adolescents qui utilisent la plateforme comme un journal intime sans contrainte. Alors nous imaginons qu'imposer des règles qui vont à l’encontre de cette liberté d’expression fera perdre un grand nombre d’utilisateurs à la plateforme.
Nous comprenons alors pourquoi Tumblr ne s’est alors jusqu’ici pas trop prononcé alors que le site est fortement critiquée par les adultes.
Un évènement va cependant faire radicalement changer Tumblr :
Le 20 septembre 2018, Tumblr a été retiré de l'AppStore en raison de contenus pédopornographiques partagés sur la plateforme.
Dans une déclaration, Tumblr a expliqué qu'il travaillait en étroite collaboration avec des partenaires tels que le National Center for Missing and Exploited -Centre National pour les Disparus et les Exploités- pour surveiller activement le contenu téléchargé sur sa plate-forme.
« Nous sommes déterminés à contribuer à la création d’un environnement en ligne sûr pour tous les utilisateurs et nous appliquons une politique de tolérance zéro en matière de médias traitant de l’exploitation et des abus sexuels d’enfants. »
Aujourd’hui, les choses semblent s'être arrangées ou, tout du moins, les garanties apportées à Apple semblent suffisantes, puisque l’app est de retour sur le magasin. Outre quelques fonctionnalités d’usage, c’est surtout l’engagement pris de supprimer dès le 17 décembre 2018 tout contenu pour adulte.
Cette version tient compte des “modifications apportées aux Règles communautaires de Tumblr, qui interdisent la publication de certains types de contenus sur la plateforme”. Mais cette affaire soulève d’autres soucis, comme la gestion des contenus et les outils de contrôle ou la liberté d'expression.
Ainsi, en plus de la suppression de tout contenu à caractère explicite, la plateforme à également supprimé de nombreux blogs. Beaucoup d’adolescents qui bloguaient et rebloguaient des images de suicide, de dépression ou de nudité ont également vu leurs Tumblr supprimés.
De plus, si certaines images ne laissent aucun doute sur leur nature indésirable (voir illégale), d'autres - comme des œuvres d'art ou campagnes médicales- ont été censurées pour d'obscures raisons. Certains soulèveraient le bien fondé / clarté des CGU d’Apple et le poids de son pouvoir décisionnaire.
Pistes bibliographiques :
Histoire du blog →
HOFFMANN Jay, «The evolution of blogging» , The History of the Web URL : https://thehistoryoftheweb.com/the-evolution-of-blogging/
Nouvelle forme d’expression pour les ado par les blogs →
DESEILLIGNY Oriane, « Pratiques d'écriture adolescentes : l'exemple des Skyblogs », Le Journal des psychologues, 2009/9 (n° 272), p. 30-35. URL: https://www-cairn-info-s.fennec.u-pem.fr/revue-le-journal-des-psychologues-2009-9-page-30.htm
ORBAN Anne-Claire, « La blog'attitude : rester dans le vent ! », Pensée plurielle, 2007/1 (n° 14), p. 45-51. URL: https://www-cairn-info-s.fennec.u-pem.fr/revue-pensee-plurielle-2007-1-page-45.htm
REEVE Elspeth, “The secret lives of tumblr teens”, newrepublic.com, February 17, 2016. URL: https://newrepublic.com/article/129002/secret-lives-tumblr-teens
HENAFF Nolwenn, « Blog : un journal intime pour exister, voir et être vu », Nicole Aubert éd., Les tyrannies de la visibilité. Être visible pour exister ? Toulouse, ERES, « Sociologie clinique », 2011, p. 145-170. URL : https://www-cairn-info-s.fennec.u-pem.fr/les-tyrannies-de-la-visibilite--9782749213507.htm-page-145.htm
Imaginaire commun et Patrimoine →
ROJON Sarah, « Images numériques et pratiques amateurs dans la révélation des friches industrielles : un phénomène de connectivité patrimoniale », Études de communication, 2015/2 (n° 45), p. 15-34. URL: https://www-cairn-info-s.fennec.u-pem.fr/revue-etudes-de-communication-2015-2-page-15.htm
Rapport pensée et image →
AMADEO López. « Le réel et l'imaginaire » América : Cahiers du CRICCAL, n°12, 1993. Histoire et imaginaire dans le roman latino-américain contemporain, v1. pp. 41-53. URL: https://www.persee.fr/doc/ameri_0982-9237_1993_num_12_1_1116
WANG LUN-YUE Frédéric. « L'image et l'imaginaire chez Maurice Blanchot. » Littérature, n°97, 1995. Le récit médusé. pp. 52-59. URL: www.persee.fr/doc/litt_0047-4800_1995_num_97_1_2361
PETITAT André, « Échange symbolique et historicité », Le réel et le virtuel. Genèse de la compréhension. Genèse de l'action, Genève, Librairie Droz, « Travaux de Sciences Sociales », 2009, p. 57-66. URL: https://www.cairn.info/le-reel-et-le-virtuel--9782600013147-page-57.htm?contenu=plan
Les déviances du blog →
A CAVAZOS-REHG Patricia, J.KRAUSS Melissa, « An Analysis of Depression, Self-Harm, and Suicidal Ideation Content on Tumblr » Crisis, Hogrefe Publishing, 2017, 38, pp. 44-52.
GUORUN Alma Einarsdóttir, « Social Network Site Usage Among Adolescents: Effects on Mental and Physical Well being » BSc in Psychology, Department of Psychology School of Business, 2015. URL: https://skemman.is/bitstream/1946/22550/1/BSc_Thesis_Gu%C3%B0r%C3%BAn_Alma.pdf
PATTON Wendy, NOLLER Patricia, « The Offer Self-Image Questionnaire for adolescents: Psychometric properties and factor structure » Journal of Youth and Adolescence, Kluwer Academic Publishers-Plenum Publishers, 22 April 1993, Volume 23, Issue 1, pp 19–41 URL: https://link.springer.com/article/10.1007%2FBF01537140#citeas
Statistique →
GORDON Kyle, « Tumblr - Statistics & Facts » Social Media & User-Generated Content », statista.com. URL: https://www.statista.com/topics/2463/tumblr/
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L’avocat et écrivain, proche de Macron, lance un réquisitoire contre la loi anti-casseurs.
François Sureau est avocat aux conseils, écrivain, auteur de notamment Le chemin des morts (Gallimard, 2013) et de L’obéissance (Gallimard, 2007). Ses plaidoiries devant le Conseil constitutionnel contre l’état d’urgence ont été publiées sous le titre de Pour la liberté. Proche du président de la République Emmanuel Macron, il lance ici un vibrant réquisitoire contre la loi anti-casseurs du gouvernement.
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Que vous inspire la loi « visant à prévenir les violences lors des manifestations » qui doit être votée mardi 5 février par les députés ?
Ce texte n’a pas pour objet de mieux réprimer les auteurs d’actes violents après qu’ils les aient commis. Il établit en revanche un véritable contrôle administratif du droit de manifester. Si l’on est attaché aux libertés, on ne peut pas l’admettre.
Cette « loi de la peur », comme il y a eu une loi du « sacrilège » sous la Restauration, vise à prévenir en réalité le retour du sacrilège commis contre les institutions. Mais la démocratie ne tient pas à des objets matériels, une statue sous l’Arc de triomphe, une porte de ministère. Elle tient à des choses plus invisibles, et c’est à celles-là que le gouvernement s’attaque.
Il est porté dans cette entreprise par un fort courant hostile aux libertés, et qui s’appuie sur chaque débordement particulier pour demander la suppression d’une liberté en général. Ce courant est ancien, Chateaubriand en parlait devant Napoléon lui-même, disant en 1811 : « La mode est aujourd’hui d’accueillir la liberté d’un rire sardonique, de la regarder comme une vieillerie tombée en désuétude. »
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Loi anticasseurs : « L’interdiction administrative de manifester est attentatoire aux libertés »
Plus précisément, quelles dispositions de ce texte vous paraît contestable ?
L’un des premiers articles du texte, dans sa version initiale, qui prévoit que le préfet peut interdire de prendre part à une manifestation a toute personne « à l’égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser » que son comportement constitue une menace pour l’ordre public et qui soit s’est rendu coupable de faits répréhensibles soit « appartient à un groupe » ou « entre en relation de manière régulière » avec des individus incitant à la commission de ces faits. On voit se profiler les notes blanches, les ragots de police, les éléments de fait qu’aucun juge n’est jamais en état de discuter sérieusement.
Et qui sera maître de la restriction ? Le gouvernement lui-même, par ses représentants qu’en général la manifestation a pour but de critiquer. On ne dit pas qu’il est interdit de manifester. On dit qu’un employé du gouvernement peut l’interdire s’il existe « des raisons sérieuses de penser ». Et l’on ajoute qu’un juge, saisi en référé, pourra y faire obstacle. Passez muscade.
Une liberté fondamentale a disparu. Il n’y aurait aucune raison d’ailleurs de ne pas étendre ce beau système et sans doute y viendra-t-on un jour. Les digues ont sauté. Tout est désormais possible.
Ce qui est inquiétant, c’est que personne ne voit que le préfet ne « pense » pas par lui-même. Il pense ce que le gouvernement lui dit de penser. Il pensait hier du mal des « veilleurs » ou des gens de la Manif pour tous. Il pense aujourd’hui du mal des « gilets jaunes ». Il pensera demain du mal des macronistes, des juppéistes, des socialistes, que sais-je encore, quand l’extrême droite sera au pouvoir. Mais il sera alors trop tard pour s’en plaindre.
Mais si le Parlement substituait au préfet l’autorité judiciaire, gardienne des libertés selon la Constitution, en l’espèce le procureur ?
C’est en effet, d’après ce que je comprends, la proposition de la commission des lois, qui a été votée mercredi 30 janvier, sans qu’on sache aujourd’hui quelle sera la rédaction finalement retenue. Elle consiste à « blanchir » un dispositif inacceptable en y introduisant un gadget judiciaire. Cette proposition est tout à fait ubuesque. Comment peut-on confier au procureur le pouvoir de se livrer à des contrôles en vue de poursuivre des infractions qui par hypothèse n’ont pas encore eu lieu au moment des contrôles ? Ces improvisations en disent long sur le degré de confusion mentale où nous sommes.
Une action de terreur engagée contre la société de liberté peut parfois justifier de prendre des mesures exceptionnelles, comme c’est le cas avec les textes anti-terroristes… N’est-ce pas la même chose ici ?
Je ne le pense pas. Ici, c’est à la société de liberté elle-même que l’on s’attaque en restreignant le droit de manifester. Au temps des lois antiterroristes, nous avions d’ailleurs été plusieurs à faire remarquer qu’aucun gouvernement ne s’était jamais arrêté en chemin lorsqu’on lui avait donné licence de réduire les libertés. Nous avions prévenu qu’un jour on s’attaquerait aux droits fondamentaux de l’ensemble de la population. Nous y sommes.
Aujourd’hui, on vise les « gilets jaunes » sous prétexte de réprimer des casseurs que le droit pénal ordinaire permet tout à fait de réprimer. Ce sont les manifestations qu’on veut limiter, pas les actes violents. C’est le citoyen qu’on intimide et pas le délinquant.
Je ne sais pas où est le « progressisme » dans cette majorité ou dans ce gouvernement, mais il n’est sûrement pas dans le domaine des libertés publiques. Ces gens osent des choses venues tout droit du XIXe siècle répressif. Que personne ne voie la contradiction politique entre la lutte revendiquée contre le « populisme » et ce genre de législation est proprement stupéfiant.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi « La volonté de criminaliser les “gilets jaunes” est la même qu’en Mai 68 »
Le député centriste de la Marne Charles-Amédée de Courson s’est opposé à cette loi en invoquant le souvenir de ses aïeux résistants. Il a dénoncé un texte digne du « régime de Vichy »…
J’ai eu un serrement de cœur, je l’avoue, en voyant cinquante nains de jardin ricaner en entendant M. de Courson les mettre en garde. Un abîme se creusait entre deux mondes, non pas l’ancien opposé au nouveau, mais celui de la conscience opposé à celui de l’inconscience. J’espère au moins qu’on avait promis des places aux siffleurs, sans cela ce serait trop triste. Un moment fugitif, dans cette assemblée de suce-pieds, la liberté a pris le visage de ce vieil enfant têtu qui parlait d’honneur, un visage venu d’un autre temps, d’une autre France peut-être. Au diable ceux qui y verront de la littérature, il leur reste encore du chemin à faire pour aimer la liberté.
Le gouvernement a été confronté à un déchaînement de violence de la part d’individus prêts à en découdre… Comment y répondre ?
Je n’aime pas les désordres. J’ai vu dans les rues, un samedi ou l’autre, des gens animés d’un pur désir de destruction. Celui-ci est tout aussi répréhensible que le fait de limiter une liberté d’aller et de venir qui est aussi l’une de nos grandes libertés constitutionnelles.
Mais on ne peut juger du droit de manifester seulement en fonction des débordements auquel il peut entraîner. Sans cela on pourrait aussi remettre en cause le droit d’association ou la liberté de la presse. Notez qu’on voit d’ailleurs des tentations apparaître en ce sens. Les délits et les crimes doivent être punis, mais il n’y a plus de démocratie si on les présume possibles pour interdire l’exercice des libertés. Car qui présume ? Le gouvernement, que l’exercice des libertés a précisément pour objet de limiter.
Parfois aussi, le gouvernement donne l’impression d’être devenu l’otage de sa propre police. Sa vérité a été donnée par le ministre de l’intérieur Christophe Castaner, lorsqu’il a expliqué qu’il était à cent pour cent derrière les forces de l’ordre. Nous étions plusieurs à croire naïvement qu’un ministre était plutôt fait pour les commander, au besoin les contrôler, que pour les suivre. Il n’en est rien. Le gouvernement les suit en effet. Il est devenu leur employé jusqu’au sein des assemblées parlementaires.
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D’après les sondages, une majorité de Français continue d’approuver les manifestations, même après les violences. Comment l’expliquez-vous ?
Cela en dit long. Je me demande même si une majorité de Français ne serait pas prête à considérer que la République est davantage menacée par la loi de la panique que par les palettes qui ont enfoncé la porte de je ne sais plus quel ministère.
Je crois que la grande majorité des Français pense que ce quelque chose d’insaisissable qui fait, comme on dit, descendre dans la rue doit être respecté. Au prix même des débordements. Parce que c’est de l’air de la démocratie dont il s’agit. Le gouvernement veut le raréfier parce que ça l’arrange. Mais la démocratie n’existe pas pour arranger le gouvernement.
On voit bien que le pouvoir préférerait des manifestants propres sur eux et agréés par le préfet de police. Peut-être un jour devra-t-on passer un permis de manifester qui ne sera délivré qu’à ceux qui auront fait la preuve de l’innocuité de leurs opinions et de l’excellence de ce « comportement » dont parle le projet de loi. Alors oui, c’est sûr, nous serons au bord de l’insurrection véritable.
Je soupçonne le ministre de l’intérieur d’être conscient de ce danger lorsqu’il présente sa loi comme étant une loi de défense du droit de manifester. Hélas, la ficelle est un peu grosse et a souvent été utilisée, depuis la « loi de justice et d’amour » sous la Restauration. Nul doute que si le gouvernement rétablissait la peine de mort, un ministre saurait la défendre en l’intitulant : « loi de défense de la vie prise dans l’intérêt des victimes ». Croit-on vraiment que le public soit si bête ?
On vous dit proche du président de la République. Lui avez-vous fait part de votre position sur ce texte ?
Je lui ai donné mon avis lorsqu’il me l’a demandé. J’espère qu’usant de sa prérogative, il saisira le Conseil constitutionnel de ce texte une fois voté. Nous sommes me semble-t-il à un tournant en matière de libertés, peut-être plus encore qu’au moment des lois de sortie de l’état d’urgence.
Comment analysez-vous ce mouvement des « gilets jaunes » ?
Personne n’est vraiment capable d’en donner les causes. La maladresse du gouvernement, le langage même du pouvoir, des mesures contestables en sont les causes immédiates. Et aussi le fait que la France paraît vivre depuis longtemps dans une sorte de déni de la vérité des faits, vérité ignorée du large public et camouflée par des institutions qui rusent. Mais il y a autre chose, qui fait que cette révolte, moins qu’une révolution, plus qu’une émeute, ne ressemble pas à la jacquerie ou aux maillotins.
C’est une révolte de notre temps. Ce n’est pas une simple protestation contre la pauvreté ou la dureté des conditions d’existence, c’est une protestation contre l’imposture d’une société où le discours moral est omniprésent mais qui ne semble révérer que l’argent, la réussite, la compétition, organisés par des pouvoirs dont les grands mots ne dissimulent plus leur incapacité d’agir sur les choses.
De là d’ailleurs le complotisme, y compris le plus abject, parce qu’il faut bien trouver une raison à ce qui n’en a pas. C’est un sentiment de dépossession qui atteint d’abord les plus vulnérables, mais qui au fond nous concerne tous. Ce qui compte à nos yeux, la gratuité, la générosité, est pratiquement dévalorisé par les puissances établies de ce temps. On ne s’en tirera pas simplement en distribuant un argent que collectivement nous n’avons plus.
Ce mouvement ne se tarit pas. Comment l’expliquez-vous ?
Par ses causes profondes. Après ce mouvement en viendront d’autres de même nature. Nous ne sommes plus guidés par l’idée du salut religieux. Mais nous ne le sommes plus non plus par l’idée de ce « salut laïc » dont Sartre parle si magnifiquement à la fin des Mots, cette idée que nous pourrions progresser collectivement vers le meilleur.
Le progressisme se réduit à l’acquiescement aux mœurs contradictoires de l’époque, quand il ne reflète pas simplement un nietzschéisme de Bourse et de bazar. Le conservatisme nous propose l’avenir d’un passé imaginaire. Soit la liberté nomade des seuls riches, soit l’utopie d’une tradition sans liberté. Et, au-dessus, il y a comme un nuage de malheur au travers duquel nous ne pouvons plus voir. C’est facile de le dire, mais il faudra bien un jour reposer la simple question de l’homme, de sa dignité intrinsèque, et de celle de la justice. Et là non plus, on ne s’en tirera pas seulement en tripotant le système fiscal.
A quelles conditions Emmanuel Macron peut-il sortir par le haut de cette crise sociale et politique ? Un référendum peut-il être une issue ?
Le référendum est une procédure prévue par la Constitution. Il ne peut pas se substituer à la définition d’une politique par un système représentatif. Une politique est par nature complexe et ne se décline pas en une sorte de questionnaire à choix multiple.
En réalité, pour moi, un seul référendum est nécessaire : celui qui refondrait notre Constitution en séparant les durées de mandat du président et de l’Assemblée nationale. C’est malheureusement impossible si le Parlement ne le souhaite pas, et tout indique qu’il ne le souhaiterait pas. Le peuple constituant a été dépossédé de son pouvoir. C’est cela à mes yeux l’essentiel, et qui est inacceptable.
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C'est lundi que lisez-vous ? #107
Rendez-vous initié par Mallou qui s’est inspirée de It’s Monday, What are you reading?par One Person’s Journey Through a World of Book et repris par Galleane. En quoi consiste ce rendez-vous ? C’est très simple il suffit de répondre à 3 questions : Qu’avez-vous lu la semaine passée ? Qu’êtes-vous en train de lire ? Qu’allez-vous lire ensuite ?
Les lectures de Bidib
J'ai lu
Lundi dernier il n'y pas eu de c'est lundi puisque je venais tout juste de publier mon bilan mensuel. Voici donc mes lectures depuis le premier septembre. Un album tout mignon, un excellent roman jeunesse et une jolie bd. Je lis
Les contes et légendes sont enfin au menu de mes lectures. Il n'y a que ça d'ailleurs. :) Des contes russes en audiolivre (voir ma sélection ici). Un roman qui s'inspire du conte de la princesse au petit pois (et que je ne finirais probablement jamais puisque le premier chapitre est une véritable torture). Le feuilleton d'Hérmes que je lis avec Mimiko. Et les Contes et légendes d'Irlande (ou je pioche des idée pour le mois prochain et le challenge Halloween). Je lirais
Les lectures de Mimiko
J'ai lu
Je lis
Et vous, que lisez-vous ?
C'est lundi, on fait le point
La semaine dernière sur le blog Aliénor Mandragor, tome 4 : le chant des Korrigans Top Ten Tuesday #39 - les 10 romans de la rentrée automnale qui vous font rêver Elio – Virginie Bégaudeau et Claire Bohn Quelques contes sur audible TBTL 2018-36 - La rentrée Le prince et la couturière - un conte moderne Trace, experts en science médico-légales, tome 1 le cake de la rentrée Le top ten des articles les plus vus SAO – Alicization beginning (tome 5) Devils Line In These Words – le tueur, le psychiatre et le sexe Light-novel ~ les éditions françaises C’est le 2, je balance tout – Septembre 2018 Sword Art Online vs Log Horizon D’un t-shirt je fais un tapis Des yôkai et des manga Des yôkai et des anime Yôkai, ces créatures sorties du folklore japonais qui peuplent les manga Les années précédentes nous parlions de 2017 http://mapetitemediatheque.fr/2017/09/cest-lundi-que-lisez-vous-76/ http://mapetitemediatheque.fr/2017/09/nouveau-mooc-biodiversite-et-changements-globaux/ http://mapetitemediatheque.fr/2017/09/barbe-bleue-dapres-perrault/ http://mapetitemediatheque.fr/2017/09/matin-des-arbres-sur-ulule/ http://mapetitemediatheque.fr/2017/09/encyclopedie-des-revenants-et-des-non-morts-sur-ulule/ 2016 http://mapetitemediatheque.fr/2016/09/projet-52-2016-semaine-35-bouteille/ http://mapetitemediatheque.fr/2016/09/cest-lundi-que-lisez-vous-49/ http://mapetitemediatheque.fr/2016/09/challenge-1-la-rentree-2016/ http://mapetitemediatheque.fr/2016/09/le-sixieme-dalai-lama-tome-1/ http://mapetitemediatheque.fr/2016/09/sentiment-26-by-yomu-chan/ 2015 http://mapetitemediatheque.fr/2015/09/nouveautes-manga-8-la-rentree-litteraire-2015/ http://mapetitemediatheque.fr/2015/09/les-oiseaux-de-lespoir/ http://mapetitemediatheque.fr/2015/09/sword-art-online/ http://mapetitemediatheque.fr/2015/09/cest-lundi-que-lisez-vous-6/ http://mapetitemediatheque.fr/2015/09/petit-panier-de-manga-14-2/ 2014 http://mapetitemediatheque.fr/2014/09/vinland-saga/ http://mapetitemediatheque.fr/2014/09/rentree-litteraire-liste-denvie-cote-manga/ http://mapetitemediatheque.fr/2014/09/service-solja-krapu/ http://mapetitemediatheque.fr/2014/09/rentree-litteraire-liste-denvie-cote-roman/ http://mapetitemediatheque.fr/2014/09/jveux-pas-y-aller/ http://mapetitemediatheque.fr/2014/09/bisogna-morire/ 2013 http://mapetitemediatheque.fr/2013/09/totto-chan-la-petite-fille-a-la-fenetre/ 2012 http://mapetitemediatheque.fr/2012/09/perdue-dans-la-campagne-gatinaise-jai-decouvert-saint-generoux/ http://mapetitemediatheque.fr/2012/09/light-novel-en-france/ Read the full article
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