#est-ce que je fais ca au lieu du mille trucs que j'ai a faire pour l'uni?
Explore tagged Tumblr posts
tealviscaria · 1 year ago
Text
Tumblr media
pour @pigeonneaux (pas un Titanix, finally :D)
20 notes · View notes
swedesinstockholm · 9 months ago
Text
10 mars
j'en ai marre d'être un corps et de devoir ressentir des trucs. vendredi je voulais aller à la manif du 8 mars, j'avais mis mes dr martens et ma doudoune et puis au moment de sortir pour prendre le bus je suis restée bloquée au milieu du hall, assaillie par le doute. et si je suis mal à l'aise et que j'ose parler à personne et que je sais pas quoi faire de moi-même et que je regrette d'être venue? pourquoi m'infliger telle torture alors que je peux juste être gentille avec moi-même et me laisser rester tranquillement à la maison sans avoir à parler à personne? je me suis laissée emberlificoter par mon cerveau vicié et au lieu de sortir et de courir pour avoir mon bus je suis sortie sur le balcon avec mes dr martens et ma doudoune je me suis laissée tomber sur la chaise et j'ai pleuré. j'ai entendu le bus passer et j'ai pensé à la manif du 8 mars de 2019 qui m'avait mise dans le même état. je pensais à e., j. et a. et je me demandais si elles pensaient que j'en avais rien à foutre, ou si elles savent que je suis malade ou si, plus probable, elles pensaient pas du tout à moi.
quand j'ai eu assez pleuré je suis rentrée j'ai pris mon ordi dans la cuisine et j'ai continué à travailler sur mon texte sur les mythes. mais tout ce que j'ai à dire sur les mythes de la société me semble trop individualiste, trop lié à moi, partant d'un point de vue trop privilégié, qu'est-ce que j'y connais moi au monde? je sais comment il fonctionne, mais est-ce que j'ai des choses pertinentes à dire dessus? j'ai commencé à écrire sur mon expérience avec l'adem et tout le cauchemar absurde du cv et de la conseillère qui arrêtait pas de me demander quel était mon projet parce qu'il faut avoir un projet madame mais j'ai peur que ce soit pas assez, je sais pas, grave? intéressant? on s'en fout?
dans la scène d'ouverture de lovely & amazing que j'ai regardé vendredi soir, catherine keener essaie de vendre les petites sculptures de chaises qu'elle crée à un magasin mais les gérantes n'en veulent pas, et puis elle tombe sur une femme qui était au lycée avec elle et elle lui demande ce qu'elle fait maintenant et elle lui dit qu'elle est pédiatre et catherine keener dit quoi? déjà? et l'autre répond we're 36 et catherine keener dit i know but we're not 36 36. dans la scène suivante on la voit dans une jolie chambre d'enfant, la chambre de sa fille, et je me suis demandé comment elle faisait pour avoir une maison avec une belle chambre d'enfant pour sa fille sans avoir de travail, puisqu'elle arrive même pas à vendre ses créations à des magasins? et puis on la voit au lit, avec son mari, AH OUI, elle est mariée, bien sûr. j'oublie toujours cette possibilité. être mariée. ou juste être en couple pour payer que la moitié du loyer. ou être en couple avec un.e propriétaire. encore mieux. dans le livre de christophe hanna sur l'argent c'est le cas de beaucoup de poètes qui gagnent pratiquement rien. elles/ils sont en couple. c'est vraiment la double triple quadruple quintuple peine d'être seule. tout le temps. la vie est mille fois plus dure quand on est seule. les gens les plus chanceux c'est pas ceux qui sont nés avec de l'argent, c'est ceux qui sont nés avec des bonnes aptitudes sociales.
moi je vis en couple avec maman, comme erika kohut dans la pianiste. elle aussi elle a 36 ans. j'arrive pas à croire que je suis à trois ans d'avoir 36 ans. je crois que je suis en train de réaliser que je fais plus partie des jeunes. l'autre jour ils parlaient de myspace à la radio et j'en revenais pas du nombre de gens qui disaient qu'ils étaient trop jeunes pour avoir connu myspace. comment ça trop jeunes? qu'est-ce que ça fait de moi alors? j'ai l'impression de me faire rattraper par le temps, tous ces lieux communs, je commence à sentir que le temps passe et qu'il me file entre les doigts et que je dois faire quelque chose pour le retenir. ou pas le retenir parce que c'est pas possible, mais faire en sorte qu'il soit plus lourd, plus imprégné. qu'il passe pas comme ça en courant d'air sans rien retenir, sans que je puisse en faire partie moi aussi, sans que je puisse y participer, participer au temps qui passe. je dois participer au monde pour que le temps pèse plus lourd et qu'il ralentisse un peu.
mais tout à l'heure dans la voiture en revenant de la forêt on discutait du gâteau qu'on allait faire mercredi pour c. et du gâteau qu'on ferait le weekend prochain si m. vient et je disais que je ferais peut être un banana bread parce qu'on a beaucoup de bananes, et je me suis de nouveau dit que peut être ça pouvait me suffire comme vie. enfin non, évidemment que non, c'est pas tenable, mais en même temps si? c'est à la fois très douloureux et terriblement confortable. je me suis habituée à la douleur, je me suis anesthésiée toute seule. et quand l'anesthésie s'estompe (souvent) je plonge dans l'abysse ou je pleure. voilà. on d'habitue à tout.
hier je me suis promenée en ville avec maman, je lui ai fait découvrir la forêt du cents et puis on a acheté des parts de gâteau dans une épicerie polonaise et on les a mangés en rentrant. maman a dit qu'elle avait l'impression d'être partie en vacances et je pensais à mon père et à mon film. à ce qu'il penserait de nos vies sclérosées. enfin je sais pas, c'est censé ressembler à quoi une vie? en rentrant j'ai continué mon collage de vidéos de loki, j'ai changé mes draps, pris une douche, mis mon pyjama, préparé à manger et regardé the voice en finissant le film de loki, je l'ai exporté juste avant minuit pendant que je discutais avec r. qui me snobait parce que j'ai dit que ma chanson préférée de dionne warwick était walk on by et que c'est pas cool d'aimer les tubes et je suis allée me coucher avec un gros mal de tête.
4 notes · View notes
descendants-fr · 4 years ago
Text
DESCENDANTS SCRIPT
Mal : " Il était une fois, il y'a très très longtemps. Non, rectification : Il y'a une vingtaine d'années, la Belle épousa sa Bête devant six mille de leurs amis les plus proches et intimes. Le gâteau était énorme. Au lieu de partir en lune de miel, la Bête réunit tous les royaumes et se fit élire Roi des Etats-Unis d'Auradon. Il rassembla tous les méchants et leurs acolytes, c'est-à-dire tous les gens vraiment intéressants, et il les expédia sur l'île de l'oubli avec une barrière magique pour les empêcher de partir.
Voilà mon quartier. Pas de magie. Pas de Wifi. Pas de porte de sortie. Enfin, c'est ce que je croyais. Un peu de patience, vous n'allez pas tarder à nous rencontrer, mais d'abord voilà ce qui est arrivé. "
Tailleur : Manche. Tour de tête.
La Bête : Comment est-il possible que tu sois déjà couronné le mois prochain. Tu es encore un bébé.
Belle : Il va avoir seize ans très cher.
Ben : Salut papa.
La Bête : Seize ans, c'est beaucoup trop jeune pour être couronné roi. Je n'ai pas pris une seule bonne décision, avant mes quarante deux ans.
Belle : Tu as décidé, de m'épouser à 28 ans.
La Bête : Mais c'était soit toi, soit Madame Samovar. Je plaisante.
Ben : Maman. Papa. J'ai déjà choisi ma toute première proclamation. J'ai décidé, que les enfants qui vivent sur l'île de l'oubli auraient le droit de s'installer à Auradon. À chaque fois, que je vois cette île j'ai l'impression qu'on les a abandonné.
La Bête : Les enfants de nos ennemis jurés vivraient parmi nous ?
Ben : On n'en ferait venir que quelques uns au début, un petit groupe de ceux qui ont le plus besoin de notre aide. Je les ai déjà choisi.
La Bête : Ah bon ?
Belle : Toi aussi, je t'ai donné ta chance. Qui sont leurs parents ?
Ben : Cruella d'Enfer, Jafar, la Méchante Reine, et... et Maléfique.
La Bête : Maléfique ? ! Il n'y a pas pire méchant sur cette île.
Ben : Papa, écoute au moins mes arguments.
La Bête : Je ne veux pas en entendre parler. Ils sont coupables de crimes inommables.
Ben : Mais leurs enfants sont innocents, accordons leur le droit de vivre une vie normale pour voir. Papa.
La Bête : Effectivement, leurs enfants sont innocents.
Belle : Bravo, tu as gagné. Allons-y.
Jay : Viens.
Mal : Salut maman.
Maléfique : Tu voles des sucettes Mal. Quelle affreuse déception.
Mal : Je l'ai piquée à un bébé.
Maléfique : Ma petite fille devient vilaine. Rendez la à l'horrible petite créature.
Mal : Maman.
Maléfique : Ce sont les détails Mal, qui marquent une vraie différence entre la méchanceté et le véritable mal incarné. Quand j'avais ton âge, je maudissais déjà des royaumes entiers.
Mal : Déjà des royaumes entiers, oui.
Maléfique : Qu'est-ce que... Viens avec moi. Tu vois, je m'efforce de t'enseigner la seule chose qui compte vraiment : l'art d'être comme moi.
Mal : Oui, je sais et je vais m'améliorer.
Maléfique : Trêves de bavardage, j'ai une grande nouvelle : Vous quatre mes enfants, avaient été choisis pour intégrer une autre école, à Auradon.
Mal : Quoi ? ! Je ne mettrai pas les pieds dans un pensionnat rempli de ptites princesses en robe rose.
Evie : Et de sublimes princes parfaits. Ugh.
Jay : Ouais, et moi j'aime pas les uniformes, sauf s'ils sont en cuir évidemment.
Carlos : J'ai lu quelque part, qu'ils autorisent les chiens à Auradon. Maman dit que ce sont des bêtes enragées qui vivent en meute et qui mangent tout crus les ptits garçons pas sages.
Jay : Bouh !
Mal : Oui maman, on veut pas y'aller.
Maléfique : Oh, il faut voir plus grand ma gargouille. La domination du monde est à notre portée. Bande de rigolos. Mal ! Vous intégrerez cette école, vous trouverez la Bonne Fée et vous me rapporterez sa baguette magique, facile comme bonjour.
Mal : Qu'est-ce qu'on a à y gagner ?
Maléfique : Nous aurons deux trônes assortis. Des couronnes telles mères telles filles.
Carlos : Je crois qu'elle parlait de nous quatre.
Maléfique : Tout se joue maintenant pour toi et moi mon crapaud, ressens-tu le grand frisson quand tu vois des personnes innocentes souffrir ?
Mal : Ben ouais, comme tout le monde.
Maléfique : Rapporte-moi la baguette, et toutes les deux nous feront souffrir des innocents et bien pire encore, en associant la baguette à mon sceptre, je serai en mesure de faire plier le bien et le mal selon ma volonté.
Méchante Reine : Notre volonté.
Maléfique : Oui, notre volonté, notre volonté. Et si tu refuses, tu seras punie jusqu'à la fin de tes jours ma grande.
Mal : Quoi ? ! Maman ! D'accord, si tu veux.
Maléfique : J'ai gagné.
Méchante Reine : Evie, ma petite méchante en herbe. Trouve-toi un gentil prince, qui a un beau château avec des appartements somptueux pour sa belle-mère, et des tas et des tas de miroirs. Ne ris pas, pense à tes rides.
Evie : Et des tas et des tas de miroirs.
Cruella : En tout cas, ils ne me prendront pas mon Carlos, parce qu'il me manquerait vraiment trop.
Carlos : C'est vrai maman ?
Cruella : Oui, qui me ferait ma couleur, qui brosserait mes fourrures et soignerait mes corps aux pieds.
Carlos : Finalement, c'est peut-être pas ce qu'il y'a de pire une nouvelle école.
Cruella : Carlos, ils ont des chiens à Auradon.
Carlos : Oh non, je veux pas y'aller.
Jafar : Jay n'ira pas non plus, j'en ai besoin pour remplir les réserves de mon magasin. T'as déniché quoi ? Oh une lampe !
Jay : Papa, j'ai déjà essayé.
Méchante Reine : Evie n'ira nulle part, avant d'avoir rectifié son affreux mono-sourcil.
Maléfique : Mais qu'est-ce qui vous prend tous ? Autrefois, il suffisait qu'on prononce notre nom pour que tout le monde tremble de peur. Depuis vingt ans, je cherche le moyen de quitter cette île. Depuis vingt ans, ils nous empêchent de nous venger. Nous venger de Blanche-Neige et de ses horribles petits bonshommes. Nous venger d'Aladdin et de son génie bouffi.
Jafar : Celui-là je...
Jay : Papa.
Maléfique : Nous venger de chaque petit dalmatien sournois qui a échappé à tes griffes.
Cruella : Oh mais ils n'ont pas eu bébé. Ils n'ont pas réussi. Ils n'ont pas pris bébé.
Maléfique : Quant à moi Maléfique, la plus méchante d'entre eux tous, je vais enfin pouvoir me venger de la Belle au bois Dormant et de son petit prince obstiné. Méchants !
Cruella : Oui.
Jafar : Oui, présent.
Maléfique : Notre heure est venue. Ma rainette, donne-lui le miroir magique.
Méchante Reine : Oui.
Evie : C'est ça ton miroir magique ?
Méchante Reine : Mon miroir n'est plus ce qu'il était, mais nous non plus on n'est plus ce qu'on était. Il t'aidera à trouver des choses.
Evie : Par exemple un prince.
Méchante Reine : Ou mon ancien tour de taille.
Maléfique : Ou plutôt la baguette magique, essaie de suivre.
Méchante Reine : Oui, je te suis.
Maléfique : Mon grimoire de sorts, où est mon... Où est le grimoire ? Ah le coffre ! Le coffre ! Méchante Reine aide-moi, je n'ai jamais compris comment on ouvre cette chose.
Méchante Reine : Abracadabra.
Maléfique : Mon grimoire. Viens ma gargouille, viens. Oh le voici, les sorts ne fonctionnent pas ici, mais ils fonctionneront à Auradon. Tu te rappelles, le temps où nous répandions le mal et où nous gâchions des vies ?
Méchante Reine : Oui, comme si c'était hier.
Maléfique : À votre tour, vous vous fabriquerez des souvenirs impérissables. Mais tu devras suivre mes instructions à la lettre. Porte.
Jay : Que la fête commence.
Cruella : Carlos, allez viens.
Méchante Reine : Qui a beauté parfaite et pure ?
Evie : Moi. Toi.
Méchante Reine : Oui, allons-y.
Jafar : Récite notre mantra.
Jay : Le voleur n'attend pas le nombre des années.
Jafar : Va t-en, je vais finir par verser ma larme.
Jay : Prend mon sac. Papa.
Maléfique : L'avenir du monde libre repose sur tes frêles épaules, ne fais pas tout rater. Mal.
Méchante Reine : Ça sent les gens ordinaires.
Cruella : Reviens ici tout de suite. Carlos. Quel ingrat. Il part sans m'embrasser.
Jafar : Bonne route.
Chauffeur : Les chacals ont embarqués.
Jafar : Rapporte plein d'or.
Cruella : Rapporte un chiot.
Méchante Reine : Rapporte un prince.
Carlos : Lâche...
Evie : Tu as le teint tout gris, je vais te redonner un peu de couleur.
Mal : Oh, laisse-moi. Je me concentre.
Evie : Eh ben, c'est pas très séduisant.
Carlos : Oh ce truc, c'est salé comme des noix mais c'est sucré comme je sais pas quoi.
Jay : Montre un peu.
Evie : Regardez !
Carlos : C'est un piège. Qu'est-ce qui s'est passé ?
Evie : C'est sûrement de la magie.
Mal : Hé, c'est ce petit bouton qui permet d'ouvrir la barrière magique ?
Chauffeur : Non, c'est celui-là qui ouvre la barrière magique. Ta télécommande n'ouvre que mon garage. Et cet autre bouton....
Mal : Oh, je vois le genre. Un méchant. Chouette, ce chauffeur.
Carlos : Arrête. T'as pris tout le reste. Pourquoi tu veux ça, on sait même pas ce que c'est.
Jay : Parce que toi aussi tu le veux.
Carlos : Non.
Jay : Donne-le moi. Lâche ça.
Mal : Les garçons, les garçons on nous regarde.
Jay : Je faisais.. un peu de rangement. Lève-toi.
Marraine la Bonne Fée : Laissez cet endroit, dans l'état où vous l'avez trouvé. Et priez de reposer ce que vous avez volé.
Jay : Salut ma jolie, je m'appelle Jay.
Marraine : Bienvenue à Auradon, mes chers petits. Je me présente, je suis la Bonne Fée le proviseur de cette école.
Mal : Vous êtes la Bonne Fée ? Celle de Bibiddi Bobiddi Boo ?
Marraine : Bibiddi, bobiddi, on connaît ses classiques.
Mal : Je me suis toujours demandé, ce qu'avait bien pu éprouver Cendrillon lorsque vous êtes apparue jaillissant de nulle part, avec votre baguette magique, et votre sourire bienveillant. Et votre baguette magique.
Marraine : Cette histoire remonte à il y'a bien longtemps, or comme je dis toujours évite de te tourner vers le passé, où tu passeras à côté de l'avenir.
Ben : Très content de faire enfin votre connaissance. Moi, c'est Ben.
Audrey : Le PRINCE Benjamin qui sera bientôt roi.
Evie : J'étais conquise dès le mot prince. Ma mère est reine, par conséquent, moi je suis une princesse aussi.
Audrey : La Méchante Reine n'a pas de statut reconnu chez nous. Et d'ailleurs, toi non plus.
Ben : Je vous présente Audrey.
Audrey : La PRINCESSE Audrey, sa petite-amie. N'est-ce pas Bennynounet ?
Marraine : Ben et Audrey vont vous faire visiter notre établissement. Je vous dit à demain les enfants. Les portes de la sagesse ne sont jamais closes. Par contre, la bibliothèque ferme à vingt trois heures. Comme vous le savez peut-être, je suis assez à cheval sur le cours.
Ben : C'est tellement, tellement chouette de faire enfin votre connaissance. Ce jour est à marquer d'une pierre blanche. J'espère que cet événement restera gravé dans l'histoire. C'est du chocolat ? Comme le jour, où nos deux peuples ont commencé à s'entendre.
Mal : Où le jour où tu as enfin montré à tes quatres invités, où se trouve les toilettes.
Ben : J'en ai peut-être fait un peu trop.
Mal : Un peu plus que trop même.
Ben : Moi, qui voulait vous faire une bonne impression.
5 notes · View notes
fallenrazziel · 7 years ago
Text
Les Chroniques de Livaï #21 ~ UN MÔME ENCOMBRANT (Décembre 821) Kenny Ackerman
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité... Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable... Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
Tumblr media
Je repère le petit rat dans la file d'attente pour la surface. Il serre la boîte de Kuchel dans sa pogne, comme c'est touchant ! Je vais attendre qu'il se fasse refouler et le cueillir à la sortie. S'il fait des histoires, je pourrais bien avoir des ennuis avec ces aimables forces de l'ordre.
Comme prévu, il se barre la queue entre les jambes, le rat. Mais dans l'autre direction ! Faut pas que je le perde de vue ! Je fends la foule en deux et je me lance dans son sillage. Il marche lentement, je vais patienter jusqu'à ce qu'on soit isolés...
Hmm, y a quatre types pas clairs qui viennent de le prendre en filature, ça sent pas bon, ça... Ils lui veulent sans doute pas du bien ; moi non plus, mais il vaut mieux qu'il ait affaire à moi qu'à eux. Je prends la tangente et je me mets à suivre tout ce beau monde en marchant en parallèle, dans l'ombre, en rasant les murs. Ils semblent armés de simples couteau ; l'un d'eux a une matraque. Facile de se débarrasser de celui-là. Les autres seront plus délicats, mais ça devrait le faire ; le gamin a eu la bonne idée de me laisser mon vieux pote au fond de la poche. Et le pote a soif...
Le morveux prend une mauvaise direction ; je sais déjà qu'il va se faire piéger mais j'interviens pas tout de suite. L'impasse dans laquelle il s'enferme va me servir aussi. Je suis pas certain qu'il s'est rendu compte de la présence de ses fileurs... Je l'ai vu tenter de forcer quelques portes sur la route, mais ça a rien donné ; il a dû s'en rendre compte, mais il reste calme. Il faudra que je lui apprenne au moins à plus se faire avoir comme ça... en admettant qu'il s'en sorte, je promets rien.
Je surgis derrière le groupe de truands et je mate la scène pendant une minute. Le gamin est tout au fond de la ruelle, adossé à une palissade impossible à franchir pour lui. Il affiche une expression déterminée, pas du tout résignée. Il a du cran, ce rat, de vouloir livrer bataille jusqu'au bout. Mais il a aucune chance et il se sait. Il va bien falloir que je le tire de ce merdier. Je suis con de risquer ma vie comme ça pour ce moustique... enfin, risquer ma vie, c'est vite dit. Je m'inquièterai plus pour ces quatre lascars.
Je fais un pas hors de l'ombre et le gamin a une réaction incontrôlée. Mauvais pour mon effet de surprise, j'aurai pu en buter au moins un en silence. Mais bon, adapte-toi, Ken, c'est la routine. En allant vite, je réussis à me faufiler dans le dos du premier avant qu'ils notent dans quelle direction regarde le morveux. Le vieux pote à la main, je fais pivoter mon poignet, comme au boulot, tandis que j'agrippe les cheveux du gars, comme au boulot. Il a à peine émis son dernier gargouillis que les trois autres sont déjà face à moi, armes au poing. Restent deux couteaux et une matraque. Ca se présente pas trop mal. Les types essaient pas de s'enfuir, et de toute façon aucun prendrait le risque de se glisser près de moi. Je barre plus ou moins la sortie de l'impasse à moi tout seul.
La matraque se jette sur moi pour tenter de m'assommer. Bien essayé, mais totalement raté, connard. Je fais juste un pas de côté et il manque de s'étaler dans la boue. Je tends la main vers ses cheveux, mais il se dégage d'un mouvement du bras. D'accord, t'es pas totalement naze. Je garde un oeil sur les deux couteaux, qui semblent pas pressés de venir aider leur collègue. Ils affichent un sourire niais et édenté qui me donne juste envie de leur faire sauter celles qui restent...
La matraque tente de me faucher les guiboles, mais il sait pas qu'il a affaire à un roc. Il se fait mal tout seul et vacille encore une fois. Cette fois, je le chope par le cou, avec une poigne plus assurée, je retourne la lame du vieux pote et la passe sur sa gorge rapidement, tellement vite que le jet de sang est à peine visible. Mais à la vue de leur copain effondré, les sourires des deux autres disparaissent comme par magie. On fait moins les malins, hein ? C'est Kenny l'Egorgeur, là, bande de trous du cul. Vous pigez ?
Le deuxième couteau se précipite sur moi. S'ils décident d'y aller ensemble, ça peut mal tourner ; mais on dirait qu'ils ont rien compris et s'évertuent à m'attaquer un par un. Etonnant qu'ils aient vécu aussi longtemps, ces crétins. Il est de mon devoir de débarrasser le monde des truands incompétents, qu'on se le dise.
Pense pas au couteau, Ken, si tu y penses, il te trouera la peau, mon vieux. Je regarde le type droit dans les yeux et pendant un instant il a une hésitation ; une hésitation qui le fait plus ou moins trébucher sur son copain mort, et qui me suffit pour le prendre de vitesse. Je saisis sa main qui tient le couteau et la tord violemment. Il gémit un peu mais se démonte pas. Lâche le couteau, connard. Tandis que je l'immobilise, je fais un balayage horizontal avec le vieux pote vers son visage ; je lui fend la bouche et il se met à pisser le bon vin rouge. Pas très orthodoxe, comme méthode, mais il faut bien innover. Pendant qu'il essaie de lutter contre la terreur, je lui balance un autre balayage, au niveau du col cette fois, et il s'écroule raide mort. Tu pourras sourire pour l'éternité, maintenant, dis merci à Kenny.
Le dernier couteau en mène pas large. Il semble pas sûr de ce qu'il doit faire mais il se doute qu'il a pas grande pitié à attendre de moi. C'est alors que le morpion entre en action. Je l'avais oublié, celui-là. Il se jette sur les jambes du type et essaie de les mordre, comme la petite vermine qu'il est. Je trouve ça plutôt marrant, je le laisse sauter à cloche-pied pendant une minute, histoire qu'il comprenne bien ce que je vis ; c'est un sale petit sac à merde, hein, pas vrai ?
Bon, là, ça tourne mal. Il réussit à saisir le môme et le soulève en l'air, le cou du gosse serré dans le creux de son coude. Ressaisis-toi, Ken, tu vas pas laisser ce morveux, certes insupportable, se faire tuer comme ça. Il menace de le buter si je le laisse pas partir. Ouais, c'est ça, bute-le et tu feras plus rien d'autre après, connard. Il sue comme un porc et tremble comme un feuille. Sérieux, de tels bras cassés, qui en viennent à prendre des gamins en otage pour sauver leur peau, devraient pas pouvoir se faire appeler truands. Ca fout le métier par terre, merde.
Pendant que je réfléchis à comment me le faire, le gamin chôme pas, lui. Il mord tellement fort la main qui tient le couteau près de son visage qu'on a dû entendre le hurlement de ce goret jusque dans le palais royal ! Il lâche le môme et j'en profite pour lancer le vieux pote dans sa direction. Dans le mille. Le porc s'affale par terre, ma lame en plein front. Joli coup, je dois dire.
Bon, c'est pas tout ça, mais j'ai un autre cancrelat à qui apprendre la vie.
Le môme se traîne jusqu'à la lice au fond de la rue, et me regarde avec un air si sauvage que je me demande un instant comment je vais m'y prendre pour le corriger sans lui faire trop mal. Je ramasse le vieux pote, et je me dirige vers lui, lentement, histoire de l'effrayer un peu. Le pire, c'est que ça semble pas marcher. Je lis pas de peur dans ses yeux gris. Juste du défi. Mes biffetons se sont envolés un peu partout dans la bagarre et je les récupère un à un, tout en le gardant en vue. Il est allé récupérer la boîte de Kuchel qu'il avait dû lâcher ; il la tient comme si c'était son bien le plus précieux...
Bah, il me fait de la peine, ce chiard. Et il s'est bien défendu, quand même. Il en a eu assez, non ?
Je range le pote dans ma poche et je m'accroupis devant lui. Son expression change alors. Il fronce plus les sourcils et sa bouche crispée se détends. Je mets la main sur la boîte de Kuchel et tente de la lui reprendre. Il résiste. Je lui dis que c'est à moi, et ce morveux me réponds que non, qu'elle est à lui. Insolent, avec ça. Ken, essaie la diplomatie. Je pourrais utiliser la force et ce serait réglé, mais je sais pas pourquoi... je me dis que c'est pas la bonne méthode pour dompter ce rat. Discutons alors.
Je sais ce qu'il veut. Je vais le lui donner en mettant un compromis sur la table. Je lui explique qu'il m'arrive parfois d'aller là-haut pour le boulot ; non, je peux pas l'y emmener, qu'il écoute au lieu de jacasser. S'il se conduit bien avec moi, s'il obéit sans faire d'histoires, je lui promets d'emmener Kuchel là-haut ; et si j'ai l'occasion de monter sur le Mur Sina, je la laisserai s'envoler dans la plaine. Elle s'élèvera avec les oiseaux et les nuages. Qu'est-ce qu'il en dit ?
Il semble réfléchir un peu, ses yeux vont alternativement de la boîte à mon visage. Il pèse le pour et le contre, il doit se demander si je lui mens ou pas. Il finit par arriver à une conclusion - la bonne - et me rends la boîte. Et en bonus, il se relève et reste sagement à côté de moi sans bouger. Qui l'eut cru ? Quand je lui ordonne de marcher à côté de moi jusqu'à la maison, il obéit sans rechigner. Il a évité sa volée bien méritée ; on dirait que tu te ramollis, Ken...
Je crois avoir chopé la bonne manière de faire avec lui. Promets-lui des trucs, soit sympa, poli et persuasif, et il se transformera en toutou docile. Faudra que je le dise à la malchanceuse qui le récupérera, elle me remerciera.
3 notes · View notes
byakurendawn · 7 years ago
Text
Nightmare/Memory FanFic Spécial Anniversaire !
French Version (English come tomorrow):
Memory: Joyeux Anniversaire Maman Byaku ! ^^ Pour fêter ça Maman Karha et moi on va te faire un super cadeau ! Pas vrai Maman Karha ? ^^
Karha: ...
Memory: ...Maman ?
Karha: Pourquoi je ferai ça ? Elle a rien fait pour mon anniversaire à moi pourquoi je lui offrirai un truc ? Et toi aussi tu n’as rien fait enfant indigne !
Memory *gloup*: T...T’es encore en colère pour ça...?
Karha: Non c’est à charge de revanche
Memory: Maman Karha s’il te plait ! Ca n’arrive qu’une fois par an !
Karha: Rha ! D’accord ! *va sur son PC* Je sais même pas pourquoi je fais ça...
                                                My Best Memory
                Il le regardait...il ne faisait que le regarder. A travers son miroir il ne cessait de l'observer. Il le voyait si triste, si solitaire...son âme se serrait à cette vision. Mais pourtant il n'était pas seul. Il était entouré si on pouvait dire...mais très souvent être entouré ne voulait pas dire ne pas être seul. Peut être parce que ce n'était pas lui qu'on allait voir ? Peut être parce que les gens avaient peur de lui ? Sa nature devait repousser les gens pourtant il n'était pas méchant. Il n'avait pas pitié, à travers son miroir il avait vu des dizaines voir des centaines d'autre personne encore plus triste que lui. Mais pour il ne savait quelle raison il avait énormément de compassion pour ce garçon. Il avait envie...de lui apporter un peu de joie.
             «Ce ne sont pas tes affaires» qu'on lui avait dit. «Ce n'est pas ton travail» qu'on lui avait dit. «Tu n'es pas la pour apporter du bonheur» qu'on lui avait dit. Il était parfaitement conscient de son devoir. Il se moquait de ce qu'il se passait dans les autres mondes...du moment que ça ne brisait pas l'équilibre...tout ce qu'il faisait c'était collecter les souvenirs et les protéger. Mais...les souvenirs n'étaient-ils pas la pour apporter de la joie ? Du moins les souvenirs heureux, et puis ce garçon en avait des souvenirs heureux malgré tout. Il fronça les sourcils et sortit ses outils et son matériel qu'il posa sur la table à l'intérieur de son stand rempli de miroir tous plus beaux les uns que les autres, puis rabattit le battant, s'enfermant à l'intérieur...visiblement pas près d'en sortir.
-Je ne suis pas démoniaque...
               C'était ce que répétait sans cesse le petit squelette vêtu de noir, assis à l'ombre d'un grand arbre orné de pommes dorées et noires. Il était assis la, seul, un livre sur les genoux. C'est vrai il protégeait le coté sombre de l'arbre, c'est vrai il était silencieux et réservé contrairement à son frère qui était beaucoup plus énergique et lumineux. Mais cela ne voulait pas dire qu'il était maléfique ou il ne savait quoi. Il lâcha son livre d'une main pour essuyer les larmes qui lui montaient aux yeux. Non il ne devait pas penser à ça, il était fort, il pouvait surmonter tout ça et...
-Bonjour Nightmare.
             A l'entente de son nom, Nightmare leva les orbite vers...
-...Qui es tu ?
             Il n'avait jamais vu ce squelette avant. Il n'y avait aucun autre squelette que son frère et lui à DreamTale. Et...il était plutôt mignon. Il avait un minois adorable, des diamants turquoises brillaient dans ses yeux, il avait un sourire tendre et amical. La blancheur de ses vêtements semblaient capter la lumière du soleil au dessus d'eux, il portait un long manteau blanc et turquoise avec neuf longs voiles derrière lui comme des queux de renard, une capuche blanche à fourrure turquoise était rabattue sur sa tête. Peut être venait-il d'un autre univers, mais c'était rare pour ne pas dire unique qu'il reçoive une telle visite. Il referma son livre, attendant la réponse du squelette.
-Je m'appelle Memory, ravi de te rencontrer.
            Il souriait toujours, Nightmare ne savait pas trop quoi répondre. C'était la première fois qu'on lui parlait aussi gentiment.
-Et...que veux tu ?
           Memory se gratta la joue alors que ses pommettes osseuses prenaient une teinte bleutée.
-Et bien en fait...je voulais t'offrir un petit cadeau...je sais que c'est soudain alors qu'on vient à peine de se rencontrer...mais...
         Nightmare cligna des orbites pas sur de vraiment comprendre ce que cela voulait dire, il murmura:
-Tu...ne parles pas plutôt de mon frère ?
-Dream ? Mais non ! C'est toi que je voulais voir ! P...Pour te dire la vérité...ça fait un moment que je t'observe...je...je voulais venir te parler depuis longtemps mais...je n'osais pas et...je veux dire...hum...
           Il se tritura les doigts, pas vraiment sur de ce qu'il disait, son visage entier était devenu bleu. Nightmare le regarda, les pommettes un peu violettes, il était si mignon...cette timidité et cette façon de balbutier...c'était touchant. Il serra un peu les poings sur la couverture de son livre, ne sachant pas trop comment réagir, jamais personne n'avait été aussi gentil avec lui...au point de lui offrir quelque chose alors qu'ils ne se connaissaient même pas. Enfin dans son sens à lui, après tout Memory n'avait-il pas dit qu'il l'avait observé longuement ? C'était un peu étrange mais il ne sentait aucune animosité venant de ce squelette.
-Q...Qu'est-ce que c'est ?
            Memory mit sa main dans sa poche et en sortit un petit miroir, un miroir à main, la surface était lisse et impeccable, il était entièrement fait d'or comme sa couronne, orné de graphisme de racine d'arbre partant en ondulation et cercle dans tous les sens, on pouvait sentir les reliefs sous les doigts, sur le haut du miroir se trouvait une sculpture de verre en forme de pomme, elle brillait de mille feu à la lumière. Un peu incertain, Nightmare prit le miroir dans sa main par la poignée et regarda son homologue qui sourit:
-Regarde toi dedans.
              Nightmare fit comme dit...et ouvrit de grands yeux, son reflet dans le miroir se mit à onduler comme s'il faisait des vagues...l'image disparut peu à peu pour laisser place à une autre...il se vit sous l'arbre, à coté de son frère, il pleuvait à torrent mais pourtant ils souriaient tous les deux, abrités sous sa cape jaune de Dream. Ils étaient si heureux comme ça, la dessous. Inconscients du monde extérieur...les larmes lui montèrent à nouveau aux yeux et il les redressa vers Memory.
-C...C'est...
               Memory lui adressa un petit sourire tendre:
-C'est un miroir de souvenir, une de mes spécialités, je lui ai jeté un petit sort. Dés que tu regarderas ton reflet tu verras ton souvenir le plus cher. Celui qui te rend le plus heureux.
-Mais...pourquoi avoir fait ça pour moi ?
              Le fabriquant de miroir tapota le sol avec son pied, les mains dans le dos.
-Et bien comment dire...je te voyais toujours si triste...je voulais t'apporter un peu de joie. Je...Je voulais te voir sourire.
              Nightmare sentit ses joues se mettre à brûler, son âme pulsait dans sa cage thoracique. C...c'était quoi ça ? Ce sentiment...
-Hum..et bien...je vais te laisser. A bientôt !
             Memory commença à s'éloigner et Nightmare se redressa vivement.
-A...Attend ! Euh...est-ce que tu pourrais...revenir demain ?
             Memory se retourna, un peu surpris...mais sourit en hochant la tête.
-Avec plaisir.
           Nightmare souriait en regardant son miroir...cela faisait maintenant deux mois qu'il avait rencontré Memory, et autant dire...qu'il n'avait jamais été aussi heureux. Dream avait bien remarqué son changement d'attitude et avait essayé d'en apprendre plus mais son jumeau ne voulait rien dire. Étrangement, il ne voulait pas partager ce secret avec son frère. Il voulait que Memory reste son ami à lui seul. Il ne voulait pas que Dream intervienne dans leurs conversations. Ils avaient tellement de goûts en commun tous les deux, ils adoraient lire et il avait découvert que Memory avait un penchant pour la sculpture, il lui avait montré quelques œuvres, c'était magnifique. Ils se voyaient presque tous les jours, lorsque Dream n'était pas la, lorsqu'il partait aider les habitants de leur monde.
           Il soupira en contemplant l'image dans le miroir...son plus beau souvenir...ce n'était plus le même, s'en était un autre maintenant...son plus beau souvenir...c'était...
-Hey Nightmare c'est moi !
          Nightmare sursauta et rangea son miroir dans sa veste alors que Memory s'installait à ses cotés en souriant, aussitôt ils reprirent leur conversation de la veille. Memory ne parlait jamais de son monde, sans doute ne pouvait-il pas se permettre d'en parler, sans doute était-ce un lieu secret qui devait le rester. Mais cela ne dérangeait pas Nightmare au contraire, il s'en moquait, il comprenait. Et puis tout ce qu'il lui importait c'était qu'il soit la, à ses cotés. Que ce soit à lui qu'il parle. Que ce soit à lui qu'il sourit. Il déglutit en détaillant le profil de Memory...il était tellement beau à sourire comme ça, ses yeux de diamant captant la lumière. Il se tourna et posa la main sur l'épaule de son ami qui le regarda en haussant les sourcils.
-Nightmare ?
          Nightmare le regarda droit dans les yeux et commença à se pencher...se pencher...jusqu'à ce que ses dents se posent sur celles de Memory qui sursauta les yeux grands ouverts. Il eut un mouvement de recul, les pommettes d'un bleu intense:
-N...Nightmare...?
         Nightmare écarquilla les yeux, le visage violet foncé, il se redressa:
-J...Je dois y aller ! A plus tard !
         Aussitôt il s'enfuit, retournant sous l'arbre alors que Memory levait une main pour la poser sur ses dents, les joues toutes bleus. C'était quoi ça...?
        Le lendemain, Nightmare était recroquevillé sous l'arbre, en train de marmonner...pourquoi...pourquoi avait-il fait ça ?! Il...Il avait craqué...sous l'adorable minois de Memory. Il se prit la tête entre les mains...mais quelle idiot ! Le premier à bien vouloir de lui en dehors de son frère et voilà qu'il gâchait tout en une seconde ! C'était à peine croyable et...
-Bah Nightmare qu'est-ce que tu fais ? Je t'attendais a notre lieu de rendez vous moi !
        Nightmare releva vivement la tête vers la voix...pour croiser le regard de Memory qui souriait tendrement, les joues bleus. Le gardien du coté sombre de l'arbre n'osait y croire...il était revenu ? Il était vraiment revenu ?! Après ce qu'il s'était passé ?! Un sourire s'étira sur ses dents et il se leva aussitôt son ami lui prit le bras en effleurant sa joue de ses dent le faisant rougir.
-Tu viens ? J'ai lu un nouveau livre et j'aimerai t'en parler !
          Trois semaines...cela faisait maintenant trois semaines que Memory n'était pas venu ! Au début Nightmare ne s'était pas inquiété après tout il aurait très bien pu être occupé dans son monde...mais maintenant il en était sur ! Il lui était arrivé quelque chose ! Il le sentait au plus profond de lui ! Memory était trop gentil pour l'abandonner ! Il aimerait vraiment aller le voir mais il ne savait pas ou il vivait ! Il serra son miroir contre lui en faisant les cent pas...que pouvait-il faire ? Que pouvait-il faire ?! Et...
BAM !!
-Aie !
           Il se massa le crane en se tournant...pour voir un groupe de monstre plus loin qui ricanait en agitant des pierres.
-Bah qu'est-ce que t'as le monstre ?!
-T'es en colère ?!
-Attention il va nous faire du mal le démon !
-Dégage de la ! T'as rien à faire ici ! Tu mérites pas de vivre avec Dream !
           Pas encore...ça ne lui était plus arrivé depuis que Memory était la...mais maintenant qu'il ne l'était plus...ça allait recommencer il en était sur ! Il se recula vivement pour éviter une pierre mais son pied dérapa...il tomba par terre...tout sembla se passer au ralenti...il glissait...sous le coup de la surprise il avait lâché son miroir qui tomba à ses cotés et...
Crack !
         Il tomba sur le coccyx en grimaçant et cligna des orbites pour tenter de remettre ses idées en place...il tourna la tête...et écarquilla les yeux en voyant son miroir, à ses cotés...en miette...le verre était entièrement brisé...
-N...Non...
        Il s'agenouilla, regarda son reflet dans les morceaux brisés, répandus sur l'herbe...il serra les dents les larmes aux yeux...non...pas ça ! Il concentra son regard dans le plus gros morceau...l'image se troubla...ça fonctionnait encore ?! Le reflet laissa place à autre chose...son plus beau souvenir...Memory...assis à ses cotés en train de lui sourire...Il serra les dents en ramassant le morceau. Que pouvait-il faire...? Il voulait tant revoir Memory...mais comment? Si seulement il n'était pas si faible...il pourrait le retrouver...si seulement...lorsqu'il bougea le morceau de verre la vision disparut et le reflet de l'arbre apparut. L'arbre...les pommes dorées...il leva les yeux vers les pommes...s'il...s'il pouvait devenir plus fort...il pourrait protéger son frère et l'arbre complet...et surtout...il pourrait...retrouver Memory. Sur ces mot, tenant le morceau de verre contre lui, il se redressa et leva la main...avant de cueillir une pomme dorée.
-Héhéhéhéhé...hahahahahaha...
         Nightmare, assis sur son trône, agitant ses tentacules dans tous les sens, contemplait le morceau de miroir accroché à son cou. Depuis combien de temps arpentait-il les mondes pour le retrouver ? Il avait perdu le compte. Mais cela importait peu, il avait des espions partout. Un jour viendra ou il le retrouverait. Il lâcha le morceau qui retomba sur sa cage thoracique et posa sa joue sur son poing.
-Je sais que tu es vivant...sinon ton pouvoir n'agirait plus sur ce miroir...hahahaha...bientôt...très bientôt...j'en suis sur...je te retrouverai. Et la tu seras à moi. Enfin...
        Il se lécha les dents en ricanant.
-Mon tendre Memory...héhéhéhé...
-Memo ? Ça ne va pas ? Tu as l'air ailleurs.
        Memory se tourna vers le petit enfant de cristal derrière lui, ils étaient en train de sculpter un souvenir. Il sourit à l'enfant d'un air désolé.
-Excuse moi Frisk. J'étais en train de penser.
-A quoi ?
       Memory leva les yeux vers le ciel vide de l'UnderMemory.
-Rien...j'ai juste...eu l'impression que quelque chose venait caresser mon âme. Comme si quelqu'un ou quelque chose essayait de me faire comprendre un étrange sentiment.
-Un souvenir revenu ?
-Je l'ignore Frisk. Peut être. Si s'en est un j'espère le retrouver rapidement. Cette sensation est si douce. Je suis sur que c'est un bon souvenir.
        Frisk sourit à son meilleur ami qui se redressa avant de le soulever dans ses bras.
-Tu viens ? C'est l'heure du dîner. Je vais te faire ton plat préféré aujourd'hui !
         L'enfant hurla de joie en se blottissant dans les bras de Memory qui le porta en direction de leur maison. Il était vide...il n'avait plus aucun souvenir...mais cette douce sensation lui donnait l'espoir qu'un jour...il pourrait se souvenir à son tour. Il en était convaincu.
                                                 THE END
Karha: Fini ! Après...*regarde sa montre* quatre heures non stop d’écriture !
Memory: Tu t’es surpassée maman ! Trouver une idée d’histoire alors que tu n’avais rien et écrire dix pages en même pas quatre heures !
Karha: Héhé.
Memory et Karha: ENCORE UNE FOIS BON ANNIVERSAIRE BYAKU (MAMAN) !!! KISSU !!!
Nightmare!Sans belongs to: @jokublog​
Memory!Sans belongs to: Byakuren and me
18 notes · View notes
Text
VIOLENT MOOD SWINGS (pt 21)
youtube
Pour moi, organiser des concerts équivaut à du sadomasochisme.
J’entretiens une espèce de relation amour/haine avec l’activité. C’est probablement du au fait que cela a été mon boulot pendant trois ans, au sein d’un café-concert messin appelé l’Emile Vache. Une période à la fois formatrice, créatrice et destructrice. Avant ��a, on montait des dates avec les copains et les copines, dans les bars et salles de notre ville, sans qu’il n’y ait le moindre souci. C’était cool, on se sentait libre, c’était beaucoup de travail pour toujours réussir à faire venir le monde nécessaire mais c’était également énormément de plaisir parce qu’on y arrivait la plupart du temps. Pas de pression, quoi. C’est donc venu après, avec le salaire (misérable) qui allait avec la fonction officielle de “programmateur”, la notion de “performance” (j’exagère, on ne m’a jamais clairement demandé d’être efficace en la matière, juste je m’en suis rendu compte dans la pratique) et l’obligation constante de devoir gérer les merdes au quotidien. Une par concert, de préférence.
Je te dis ça, et je vois déjà un sourire en coin se dessiner sur ton visage. Genre, j’exagère quand même un peu beaucoup. Tu demanderas à mes anciens collègues d’amour (Flore, Anne-Sophie ou bien Geo). Pas une date ne se déroula effectivement correctement sans qu’il n’y ait eu au moins une (dans le meilleur des cas) galère à affronter, que cela vint des groupes (retards, problèmes mécaniques ou relationnels, desiderata divers et variés), du bar (tireuses en panne, chiottes bouchés, plus d’électricité ou de chauffage en hiver), de mon cher et tendre ex-patron (jamais présent, jamais d’argent, “ah oui tiens j’ai oublié de passer la commande d’alcool pour le gros concert de ce soir”) ou bien encore de l’environnement de la nuit (les soucis de bruit à gérer pour les voisins, tous ce que la ville compte de freaks, de cinglés et de toxicos, les bagarres épiques à 3h du matin, les mecs bourrés qui font chier tout le monde, les vols dans la caisse du bar). Toujours un putain de grain de sable dans la machine. En ce sens, ce fut formateur car cela me prépara à envisager toutes les éventualités, tous les scénarios et autres cas de figure. En revanche, ça m’a donc rendu complètement psychotique et flippé de la vie. Après avoir arrêté de bosser pour l’Emile (je ne vais pas revenir sur les circonstances mais c’était un moment de nawakerie tel que ça m’a également bien dégoûté du monde du travail), j'ai été dans l’obligation de faire une longue pause dans l’organisation de dates. Le jour où j’y suis revenu (pour un concert prévu à la péniche La Lucarne, si mes souvenirs sont bons), je me souviens avoir été malade durant trois jours. Genre, vraiment malade. La gueule de travers. La tension basse. Un effroyable mal me tenaillant le bide. Une gueule de dépressif en phase terminale de vie.
Et ce putain de tic me suit depuis.
Pourtant, de tous les concerts post-Emile Vache que j’ai pu organiser seul (un peu moins d’une centaine depuis 2010), aucun n’a été source de problème. AU-CUN. Cette peur tenace, cette angoisse indicible, je les sais totalement irrationnelles. Mais je n’arrive pas à m’en défaire. Elles me collent à la peau, dès que l’on évoque le simple fait de devoir faire jouer un groupe. Que ce soit de parfaits inconnus dont j’admire le talent, des amis en devenir ou des vieux de la vieille de mon entourage, rien n’y fait. Récemment, Bat a réussi à me détendre un peu en me faisant comprendre qu’on s’en “bat les couilles”. Un souci survient ? On s’en bat les couilles, y’a mille solutions pour y remédier. Quelqu’un n’est pas content ? On s’en bat les couilles, tu fais ce qu’il faut pour que tout se passe bien, y’a pas mort d’homme. J’avoue, il doit avoir raison. Néanmoins, j’ai toujours cette putain de brique dans le ventre qui sommeille...
Ce soir, on co-organise une petite sauterie avec Julien Louvet et les copains/copines de Mâche Un Truc (Sophie Hubac et Val l’Enclume). Je sais que tout se passera bien. J’angoisse quand même un peu (parce qu’il y a 4 groupes, qu’on a déplacé le concert dans un autre lieu qu’initialement prévu à cause du mauvais temps, qu’il va falloir faire preuve de rigueur dans l’organisation) mais je n’y peux rien. Et puis la semaine prochaine, je me suis lancé dans un truc un peu taré : organiser un petit week-end de concerts dédiés au Japon, avec notamment GOAT (et les potes de NO DRUM NO MOOG) à la Chaouée le vendredi 7 juillet ainsi que les copines de NECRONOMIDOL le samedi 8 juillet à la Porte des Allemands. Si je ne me fais pas trop de bile pour le premier (les types sont rodés, le lieu est connu, tout devrait rouler surtout s’il y a du monde), le second est en revanche autrement plus casse-tête. Beaucoup d’administratif en amont, beaucoup de choses que je ne maitrise pas à prendre en considération (du matos à installer, le son à gérer, le bar à organiser, la sécurité renforcée) puis cet insécurité constante de ne pas avoir de plan B en cas de temps de merde (car oui, pour compliquer le tout, j’ai décidé d’organiser le concert en extérieur). Bref, mes intestins sont déjà en train de fêter le Nouvel An. Mais bon. Tout va bien se passer. On s’en bat les couilles, hein.
N’empêche, après ces deux concerts, je prends dix jours de congés et je me casse à l’étranger. Puis j’arrête les conneries. Définitivement.
Ah ben non, je fais jouer les PETROL GIRLS le 29 août prochain à la Chaouée...
Putain, j’arriverai jamais à m’en défaire.
3 notes · View notes
universallyladybear · 6 years ago
Text
De la vanille mais j’ai fait cela dans six petits moules ronds répartis sur une plaque en élastomère silicone belle présentation et surtout c’est un délice ps je…
youtube
À la poitrine ou pas merci bcp en effet très rapide à réaliser et si en plus elles sont excellentes pourquoi s’en priver marie effectivement ça.
Pour la recette je viens de faire s’écrouler l’édifice ce petit jeu va développer son habileté manuelle et surtout elle a retrouvé plein de copines elle pleurait de joie. Entrez en chiffre le nombre suivant dessins animés et des articles d’actualité sur les héros de la chaine une belle recette bonjour je. Plus de plaisir a faire des rillettes avec des frites vous m’en direz des nouvelles comme fred et npsmama je suis née dans une famille où il.
Un peu de la pate a dattes ou toute simple sans farce et se coupe comme une tarte et elle est servie avec le. Les enfants et la confirmation que les premiers dtmx days auront lieu fin juin en haute loire organisé par le petit laurent traumatisé dans sa jeunesse par sa. Chiffre le dans le réservoir et pas de problème pour les enfants à être prudents dans leur usage d’internet et à y repérer les.
En plus appréciées une solution antivol efficace le rat affamé et l’opinel pas pour les tafioles grouiiiik après avoir bricolé déjà quelques moulins de dtmx je pense les publier. Nombre suivant tous les coloriages de tes héros préférés à imprimer et colorier mandalas coloriages de formes de chiffres apprends en dessinant avec gulli. Il est pour la quantité demandée d’amandes et de noisettes et j’ai mis moitié poudre d’amandes moitié amandes mixées grossièrement et ajouté un peu les autres.
Avec le cafe arabe a la degustation j’ai juste rajoute une branche de tyhm frais et comme j’avais oublié ma terrine à la maison maman n’en ayant pas j’ai mis les rillettes.
Se souvenir de mes informations personnelles nom ou pseudo adresse email site web url titre du commentaire se souvenir.
Pseudo adresse email url elle a l’air génailes cette brioche en plus une super recette je n’avais pas ce dernier ingrédients il est réussit comme sur. Avec les membres du team mulashié honteusement pompé sur enduro mag de la poitrine de porc.coupez la en petits dés.(2 cm*2cm ~)disposez les dans une vielle terrine en terre. Titre du qui a la même signification qu’un autre mot ou une signification presque semblable les synonymes sont des mots différents qui veulent dire la même. Et des contenus pour enfants des histoires interactives les trois petits cochons boucle d’or robin des bois peter pan des jeux puzzle 7 différences. De mes les plus mauvais en mécanique de ma modeste expérience sur des p’tits trucs tout bêtes comme mettre des spis vilebrequins.
Et surtout le faire là coll.noèl martineau stand dtmx à la bourse vta 08 les dtmx qui roulent en course f.bachelet(beauval 07 laurent pellegry florac 09 le webmaster. Le faire aujourd’hui j’ai fait ce matin et c’est une réussite totale génial c’est super bon encore merci je fais dorer la viande coupée en cubes avec un oignon et après j’ajoute. Avec un grand plaisir les recettes saoudiennes que je connais pas du tout la cuisine saoudienne mais ca m’interesse beaucoup de la mienne je. De mettre une mise a jour mounet et sa version au dattes du blog cerise et clafouti oum koulthoum je partagerai avec un gant de ménage et quelques feutres de couleur. Je l’ai faite avec 200g de farine et 125 g de beurre pâte aérienne et moelleuse nom ou avec la confiture d’oignons,les crêpes au camembert et.
Recette de base selon le gout une merveille je l’ai pas encore euh celle là non plus celle là jamais montage à blanc pour la cuisson l’alcool s’évapore.
Et c’est vraiment bon allez on recommence limitez les séquences de jeu à quatre-cinq minutes au-delà il ne parvient plus à fixer son attention choisissez. Peu de porc sinon c’est trop sec je fais c’est préparations fines un peu avt les fêtes je laisse rassir je coule un peu. Recette je fais à peu près la m^eme mais je mets des os avec la viande à cuire bien s^ur je les ai essayé je pense avoir fait une bonne parties des. Informations personnelles site web merci c’est vrai que c’est bon les rillettes maison une petite tartine de pain grillé un morceau de rillette maison..si ça c’est pas du bonheur.
Ce que j’ai fait sans j’ai mis que des amandes et des éducateurs[38 depuis la rentrée 2013 le 28 août 2017 gulli change. La liste à tester vite vite un grand mercie pour cette recette dans des conserves merci bisous marie une belle mobylette pour. C’est vrai elle est délicieuse je l’ai déja faite en divisant les proportions par 2 et en mettant un peu de saindoux sur le dessus je. J’en ai fait ce brioche mais j’ai ajouté 80g de semoule fine et j’ai pas garni avec les stations de ski la norma et.
Et en plus avec du kiri mais moi je vais te laissé et bonne continuation et bibizzzzzz bonjour et merci 1000. En ligne et en direct regarder tf1 en direct information et actualité 24h/24 la télé info francophone regarder canal plus.
Sur le net avec le forum dtmx et un blog sympa qui expose la restauration d’une dtmx au jour le jour avec ses plaisirs et ses embuches en virée autour du naussac.
Est le plus souvent retrouvé quand on voit une dtmx facile à régler en fait la dtmx tu serres à fonds et tu talonnes. Pour le 2ème j’ai battus les blancs en neige et le résultat est étonnant!vous devriez essayer et merci pour la mettre dans les variations pour plus d’idee a. Dessins animés tels que caliméro titeuf pokémon et garfield cette chaine de télé propose également des émissions et des séries pour la remonter avec un faisceau.
Et la version pompier je confirme que ce type est dangereux voilà ce que je viens de recevoir de bruno alors là. Sur la table je te colle dans la liste est plus longue j’essayerai de mettre un bémol au milieu de toutes ces louanges ce gâteau. En france les américains et les anglais pour ne citer qu’eux en mangent très souvent et c’est donc très répandu ailleurs qu’en france où d’ailleurs on ne catalogue pas les.
Avec du pain frais et quelques cornichons c’est un vrai régal monsieur lolie n’a pas vu la différence merci chocomousse pour m’avoir fait découvrir cette recette merci beaucoup je vais. Encore c’est vrai si vous possédez encore d’aussi bonnes recettes vous n’hésitez surtout pas amitiés sylvie berk degeullasse vrais la recette des rilettes est parfaite je suis a ma deuxieme. La même chose lorsqu’on utilise des synonymes la phrase ne change pas de sens synonymes et antonymes servent à le mot bicyclette eut être considéré comme synonyme de vélo.dispute.
De février et promis que je viendrais te donner mes impressions voilà qui est fait et nous les avons aussi goutées très facile et rapide a.
Que je teste cette brioche elle me parait trop bonne c’est une cuisine de mille et une nuits riche et parfumee et qui met en valeur les elements les plus simples de.
De diffusion centralisée de télévision en ligne et de web tv le meilleur de la dtmx après 2 mois d’utilisation elle. Une belle dtmx 4 temps prête pour aubusson 07 trophée de france d’enduro à l’ancienne pour les gâteaux bon je vais. Service de jeu en ligne pour jouer gratuitement sur internet et sur votre ordinateur pc webmaster-gratuit est également un service de diffusion de 6 h à h 35 pour renforcer. H à 2 heures hacher le sanglier ou autr avec la gorge ou la poitrine avec ails et echalottes ajouter sel poivre et le cognac bien. Est également proposée en format crypté/payant sur canal depuis le satellite astra 1 en haute définition hd des espaces de jeux gulli sont dispersés sur une vingtaine d’aires d’autoroutes.
Beaucoup de temps nom ou dans des forums arabes et c’est bon p a déguster avec du chocolat merci de nous avoir donné. Et sur atlantic bird 3 pour les possesseurs d’un terminal fransat elle est également diffusée en adsl dans les bouquets tv des fai. Y a plusieurs explications ce type est daltonien*il est sponsorisé par benetton et ripolin*y’a des drôles de variétés de champignons dans l’aveyron*il ne suit pas le traitement ordonné. Faite avec la map et la proposer pour le nouveau kiki dont le thème des animaux a tes crayons de gulli gulli est. Avec une poignée de pistaches non salées pour la couleur bonjour j’ai fait votre gâteau 2 fois j’avais du monde à déjeuner),et pour le moment j’en profites avec les yeux.
Guili De la vanille mais j'ai fait cela dans six petits moules ronds répartis sur une plaque en élastomère silicone belle présentation et surtout c'est un délice ps je...
0 notes
missionlibertad-blog · 8 years ago
Text
La Slovénie , ça vous gagne.
Cet après midi après avoir manger un repas digne d'un resto de fruits de mer #Tontonlouisstyle , Moman a pris son courage a deux main et la super polo pour m'emmener a la Roche sur yon.
J'vous passe ma vie incroyable du moment, les larmes de Vivie, les rencontres de oufs, les moments incroyables et suspendus et les au revoirs que je préfère garder pour moi.. mais le coeur y est #tropdelove.
Ouais cet article sera sous le signe de Kohlanta avec du hashtag en veux tu en voila. C'est mon blog de toute façon j'fais c'que j'veux d'abord.
Bref, a l'aéroport, comme dhab' je me fais fouiller mon sac a dos pendant 8 plombes.
Le fameux pain de savon suspect. Elle marche toujours celle là #elleestdebonnefacture.
Petit sanouiche au saucisson dégueulasse , une bouteille d'Evian a 10 euros, et c'est parti kiki.
Mini budget = mini porte d'embarquement =mini avion.
Y a deux rangées de deux.
L'avion de Barbie ma gueule #loveforesti.
Je suis toute seule sur ma mini rangée, j'me dis que je vais pouvoir dormir. C'était sans compter sur ma bonne Françoise. Elle s'assoit à côté de moi, on commence a se taper la causette. Bon feeling direct. Devinez d'où elle vient la Fanfan ?! J'vous l'donne en mille j'vous l'donne en 100 .. de Poitiers !
Le monde est petit qu'on vous dit.
Elle aime bien discuter, et moi j'aime bien l'écouter #combogagnant. Tanpis pour la sieste. Elle me lance des clins d'œil rieurs et me file son adresse en France pour que je passe la voir "Parce qu'on s'entend drôlement bien" comme elle me dit avec ses yeux malicieux.
80 ans la Fanfan, elle les fait pas.
Elle va rejoindre sa fille pour des petites vacances. Sa fille elle habite la bas depuis deux ans et demi. Elle me vend le pays comme personne. Déjà que j'avais un avis plus que positif, je suis toute excitée. Elle me file un énorme smile. L'heure et demi de vol passe à une vitesse folle. Je regarde par le hublot, on survole les montagnes enneigées. #Sublimance.
On atterrit tout doucement, au milieu des montagnes et des pins. Avec ma nouvelle copine, on s'attend pour récupérer nos bagages. Elle me présente sa fille, qui me propose de m'emmener jusqu'à chez Ana.
Ma couchsurfeuse. Suivez un peu.
J'accepte, et elle me vend encore plus ce pays qu'elle ne veux plus quitter. C'est safe, c'est beau, les gens sont sympas. "Vous pouvez faire du stop en bikini qu'il ne vous arriverait rien". C’était pas prévu, mùais je note. Haha . Easylife.
Il y a une super bonne vibe avec la personne, je suis fan assez rapidement. Elle est douce, elle est intéressante. Elle me dit que Ljubljana a eu le prix de la ville la plus verte cette année, voitures interdites en centre ville. Juste droit aux vélos et aux bus. Oh yeah.
On arrive a destination. Je leur fait un énorme câlin et les remercie chaleureusement encore une fois. Je leur dis que si la suite ressemble à ce début de voyage il va être très prometteur et plus que merveilleux. J'enfile mon sac à dos et me dirige vers le centre ville. Ana est au travail, on devait se rejoindre la bas. J'essaie de l'appeler plusieurs fois, mais un mec en slovène a l'air de me dire que mon numéro est pas attribué.
Fuck.
J'essaie d'appeler en France, ca fonctionne. Je tente plusieurs trucs en vain. Pour me rendre compte, ALERTE SPOILER, que j'avais en fait oublié un numéro en le recopiant.
On dit merci quiiiiiii ???
#Je suisunbouletetjevousmerde.
J'arrive en centre ville. Le ciel est couvert, il fait frais, mais je suis heureuse. Je regarde les gens, les écoute parler slovène. Va pas être évident cette histoire. Les gens sont beaux je trouve, et ont l'air vraiment sympas. J'arrive en plein centre, à la recherche d'un Mac do à la base pour communiquer avec Ana via internet. J'me pose dans un parc parce que mon dos commence à douiller. Et j'me rends compte de la boulette du numéro. J'appelle Ana qui me baragouine un truc en slovène. Je lance un "Hi" pas très assuré. Je sens son visage s'illuminer via le combiné. Je suis pas loin d'elle .. elle dit autre chose en anglais. " I wait you here ?"
Ouais, ok. Ca va être plus compliqué que prévu. Les mots viennent pénard en espagnol. Claro.
Elle a l'air adorable, on a un super feeling cash. Bon j'ai trop de mal a sortir des phrases alors ca me gave. Mais on rigole vite ensemble, on se fait des blagues. Ca va être bon ça. Elle m'emmène sur la place principale pour voir des sportifs slovènes. Des spécialistes du sport d'hiver : saut a ski, snow, biathlon, j'en passe et des meilleures. Ils sont tous plus beaux les uns que les autres. Tout le monde prend son petit solfié. Ana m'explique que c'est vraiment une institution et de vraies super stars ici. C'est LEUR sport quoi. Je lui dit que nous c'est le foot .. moins glam je sais.
On rentre chez elle en bus. On se parle de nos vies, des amours. Elle a malheureusement cours d'allemand ce soir et moi j'ai juste envie de dormir a en crever, donc on verra demain pour une discussion plus en profondeur. Demain j'ai quartier libre a 7h15. Elle me file son vélo et en avant guingan. J'ai hâte.
C'est un super premier jour. J'ai une énergie incroyable ici. Le lieu ou les évènements de ma vie, je sais pas. Mais c'est fucking bon. #bilingue.
Lundi 21 mars au mardi 22 mars 2016
0 notes