#envie de mourir right now
Explore tagged Tumblr posts
jules-and-company · 2 years ago
Text
l’enfer c’est pas les autres c’est ce moment spécifique de la série
1 note · View note
noctilucea · 1 year ago
Text
Random thought 1
Mes examens sont dans un mois Je dois trouver un job pour payer mon permis mais le seul job possible pour le moment c'est le McDo McDo qui m'a appelé d'ailleurs pour me proposer un entretien, mais je suis tellement stressé d'être trans dans une région très d'extrême-droite et stressé à l'idée de bosser en fast-food que j'ose pas les rappeler.
Envie de mourir un peu right now, mais ça ira. J'ai juste envie d'aller voir des potes, être tranquille, faire ma vie mais plein de stress autour de moi
1 note · View note
jeveuxvivrelongtemps-blog · 7 years ago
Audio
Cette chanson représente beaucoup pour moi, en plus d’être entraînante, elle donne de l’espoir, je vais vous mettre quelques extraits des paroles qui vont parler d’eux même.
(La traduction se trouve en italique)
“ [...] I feel like I'm out of my mind Je me sens comme hors de moi It feel like my life ain't mine Comme si cette vie n'était pas pour moi [...] 
I don't wanna be alive Je ne veux pas être en vie [...] I just wanna die today Je veux juste mourir aujourd'hui [...] 
I've been praying for somebody to save me, no one's heroic Je priais pour que quelqu'un me sauve, personne n'est héroïque And my life don’t even matter Et ma vie ne compte même pas I know it I know it I know I'm hurting deep down but can’t show it Je le sais, je le sais, je sais que je suis profondément blessé mais je ne peux le montrer I never had a place to call my own Je n'ai jamais eu d'endroit à moi pour être moi-même I never had a home Je n'ai jamais eu de maison Ain't nobody callin' my phone Personne n'appelait mon portable Where you been? Where you at? What's on your mind? Où étais-tu? Où es-tu? A quoi penses-tu? They say every life precious but nobody care about mine Ils disent que toutes vies sont précieuses mais personne ne s'inquiète pour la mienne
[...]
It's the very first breath C'est le vrai premier souffle When your head's been drownin' under water Ta tête était noyée sous l'eau And it's the light that's in the air Et c'est la clarté dans les airs [...] It's holding on though the roads long Cela tient debout, même si la route est longue Seeing light in the dark, yeah, these things Et voyant la lumière dans les choses ténébreuses And when you stare at your reflection Et lorsque tu fixes ton reflet Finding hope in who it is Sachant finalement de qui il s'agit I know that you'll thank God you did Je sais que tu remercieras Dieu pour l'avoir fait
[...]  I know you're the reason I believe in life Je sais que tu es la raison pour laquelle je crois en la vie What's the day without a little night? Qu'est-ce qu'une journée sans un peu de nuit? I'm just tryna shed a little light J'essaie juste de verser un peu de lumière It can be hard Ça peut être dur It can be so hard Ça peut être si dur But you gotta live right now Mais tu vas vivre maintenant You got everything to give right now Tu as tout à donner maintenant
[...] 
I finally wanna be alive Je veux finalement être en vie I don't wanna die today Je ne veux pas mourir aujourd'hui I don't wanna die Je ne veux pas mourir [...]
Pain don't hurt the same, I know La douleur ne fait pas souffrir de la même manière, je sais The lane I travel feels alone La voie que je traverse donne la sensation de solitude But I'm moving 'til my legs give out Mais je bouge jusqu'à ce que mes jambes lâchent And I see my tears melt in the snow Et vois mes larmes fondre dans la neige But I don't wanna cry Mais je ne veux pas pleurer I don't wanna cry anymore Je ne veux plus pleurer I wanna feel alive Je veux me sentir en vie I don't even wanna die anymore Je ne veux plus avoir envie de mourir
Voilà, il n’y a pas vraiment besoin d’explications, je pense que chacun interprète la chanson comme il veut, voici juste comment je comprends les paroles et ce qu’elles font appel en moi :
On ressent parfois ce grand vide en nous, on ne voit plus vraiment de raisons d’exister, parce que nous même on ne vit plus vraiment, on survit juste. On n’est plus qu’une coquille vide. On ressent cette solitude. [Et même si parfois on est réellement seul, (ça c’est moi qui le dit ce n’est pas dans la chanson), on n’a toujours quelqu’un a qui parler même si ce sont des professionnels de la santé ou quelqu’un qu’on ne connait pas il faut parler de notre mal être à quelqu’un !] On pense qu’on n’a personne a qui parler, et on ne veut même pas en parler pour ne pas inquiéter, on se dit : “De toute façon à qui pourrais-je en parler vu que je n’ai plus personne, et que personne ne tient réellement à moi ?”. Les gens autour de nous ne nous aident pas vraiment. C’est parce qu’ils ne se rendent pas compte de la situation et de sa gravité, ou que simplement ils n’ont pas la faculté de comprendre, et dans ce cas il faut se tourner vers quelqu’un de compétent.
Et puis quelqu’un ou quelque chose fait qu’on trouve un sens à la vie, fait qu’on puisse enfin de regarder sans plus se haïr. Et même si c’est dur, que le chemin est long, il faut se battre et ne jamais abandonner, on peut toujours s’en sortir, même avec l’aide de quelqu’un, il faut juste en prendre conscience. C’est réellement quelque chose de difficile, mais la vie vaut tellement le coup d’être vécue, et comme ils le disent dans la chanson, ramenez de la lumière dans votre vie !
Prenez soin de vous, n’hésitez pas à me dire ce que vous avez pensé de cette chanson, de mon analyse, de comment vous vous interprétez ces paroles, et partagez les un maximum, il y a toujours des gens à aider. 
11 notes · View notes
rollingstonemag · 6 years ago
Photo
Tumblr media
Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/interview-johnny-marr-ma-vie-en-musique/
Interview - Johnny Marr : "Ma vie en musique"
Tumblr media
L’année 2018 a été chargée en actualité pour le guitar hero Johnny Marr : la sortie de l’album Call the Comet, une tournée européenne et américaine qui a fait une escale à Paris à la Gaité Lyrique et la sortie de son autobiographie « Set the Boy Free » où il revient sans concession sur sa carrière. Rencontre en musique.
Tu as eu ta première guitare à l’âge de cinq ans, quelle est la première chanson dont tu te souviens ?
Walk Right Back des Everly Brothers, une chouette chanson pop un peu loufoque avec un joli riff de guitare. Ma mère passait le disque en boucle et je n’avais jamais vu personne faire cela auparavant. Elle s’est ancrée dans ma mémoire.
Tu te rappelles la première chanson que tu as jouée sur la première guitare Gibson que tu t’es offerte ?
J’ai eu ma première Gibson, je crois, en 1979 et j’ai joué Ask the Angels de Patti Smith.
youtube
Y a-t-il un disque ou un groupe qui te rappelle tes parents ?
The Hollies mais aussi les Everly Brothers, George Jones et The Four Tops
Un groupe qui te rappelle ta sœur Claire ?
Sans hésiter Chic ! Claire adore la musique disco
Quel a été ton premier frisson musical, celui qui t’a donné envie de faire ce métier ?
C’était forcément la chanson des Everly Brothers que j’écoutais quand j’étais enfant. L’expérience de voir ma mère et sa belle-soeur le jouer en boucle et de voir la joie que cela leur procurait, c’était la plus belle chose que j’avais jamais vue. A la même époque j’étais totalement obsédé par cette guitare jouet que ma mère m’avait offerte. Je devais avoir 5 ans, je jouais de cette guitare et je me disais que c’était exactement ce que j’avais envie de faire dans la vie. Puis à l’âge de 10 ans, j’ai voulu devenir Marc Bolan et ça, c’était une très bonne idée !
Pendant ton enfance, ta mère jouait а créer des tops, y’a t’il une chanson qui te rappelle cette période ?
Reach out i’ll be there des Fours Tops, elle adorait cette chanson.
Ton premier héros en musique était Marc Bolan. Qui serait ton guitar hero à l’heure actuelle ?
Probablement John Mclaughlin qui est surtout connu pour Mahavishnu Orchestra. Ce qu’il faisait en 1969/1970 avec Miles Davis sur Bitches Brew est probablement ce que je préfère de lui.
Y a-t-il un chanteur qui t’a inspiré dans ta carrière de chanteur solo ?
Ray Davies. Et après lui, le jeune Lou Reed mais aussi Pete Shelley des Buzzcocks et Patti Smith.
Dans ton autobiographie, tu expliques que tu avais une conscience forte de ta classe sociale, y a-t-il une chanson qui résume ce qu’était la vie sous Thatcher ?
Ghost Town de The Specials. La chanson était numéro un du Top quand il y a eu les manifestations, ce qui fait d’elle une chanson de contestation très spéciale. Les paroles sont si brutales, si directes et le son de ce disque a vraiment réussi à capturer l’ambiance et l’énergie de cette époque bizarre, sarcastique, cynique et ce profond sentiment de ridicule qui régnait dans le pays à cette époque là. C’est probablement la meilleure chanson contestataire qu’on est jamais faite.
Modest Mouse est le projet que j’ai préféré réaliser dans ma vie
De toutes les collaborations artistiques que tu as faite durant ta carrière, y en a-t-il une en particulier que tu chéries tout particulièrement ?
Modest Mouse. Au niveau personnel c’est arrivé à une période de ma vie où j’ai fait de grands changements, dont l’un était de décider de partir vivre aux Etats-Unis. Le groupe comptait six membres et l’alchimie entre nous était vraiment très spéciale, très créative et peu commune. Chaque membre du groupe était un artiste à part entière et ce qu’on faisait était un peu mystérieux. L’album a été Numéro Un dans les Charts américains à une époque où la musique jouée avec des guitares était censée être en train de mourir. C’était étonnant pour un album de ‘rock progressif’ d’être classé N°1 là-bas alors on était très fiers. Mon jeu de guitare était très spécial sur cet album. Je peux que dire que c’est le projet que j’ai préféré réaliser dans ma vie.
Sur la période de The Smiths, y a-t-il une chanson qui pour toi est incontournable dans l’histoire du groupe et pourquoi ?
How soon is now, parce que je pense que personne ne pourra jamais égaler ou copier cette chanson sans me copier moi, et cela m’inclut également ! Elle est tellement distinctive et c’est peut-être pourquoi les gens se rappellent de moi au plus haut point. Quand on se rappelle de toi pour quelque chose c’est déjà génial mais quand on se rappelle de toi pour un solo de guitare et un son, c’est tout ce dont j’avais rêvé quand j’étais ! Cette chanson a été vraiment très positive pour moi.
Tu as aussi fait des reprises de chansons, y en a-t-il une que tu as préférée ?
I feel you de Depeche Mode. J’adore la chanter. Un jour, je m’amusais à jouer le riff de guitare dans les loges et un membre du groupe a commencé à chanter les paroles par dessus. Ce soir là, nous avons improvisé la chanson sur scène, quelqu’un a filmé et l’a mise sur You Tube. Cela a été un gros carton organique sur le site, en 24 heures ! La musique c’est génial quand cela arrive ainsi. C’était un super accident !
Y a-t-il une chanson culte que tu aurais aimé écrire toi-même ?
Je n’écoute pas beaucoup de rock classique mais je dirai une chanson des Kings, comme All Day and all of the night ou Waterloo Sunset ou plutôt Lola. Oui, Lola. Je connais cette chanson depuis que je suis tout petit. Dès que j’ai l’impression de l’avoir trop entendue, que j’arrête de l’écouter pendant des années, et qu’elle repasse à la radio, comme c’est arrivé il y a un an, j’ai envie de la rejouer en boucle ! Les paroles sont très drôles et très intelligentes et la voix du chanteur est géniale.
Quels sont les groupes qui t’inspirent en ce moment ?
J’ai été très longtemps inspiré par Wire et je garde une place toute particulière dans mon coeur pour Patti Smith. Je respecte énormément Nick Cave et aussi PJ Harvey. Avant de monter sur scène, j’écoute Iggy Pop, des trucs comme the Idiot et je ne m’éloigne jamais trop loin de James Brown, pas pour son groove mais pour sa façon de chanter. En ce moment, j’aime écouter des chanteurs parce que je joue beaucoup sur scène et qu’ils m’inspirent pour chanter moi-même. J’écoute aussi pas mal de nouvelles musiques, des groupes de la scène indépendante comme les Black Angels, un groupe anglais qui s’appelle Yak, Cruel intentions que j’aime beaucoup et aussi Courtney Barnett qui est une excellente songwriter. Je pense que c’est une bonne période pour la musique parce que j’aurai une playliste à rallonger à vous donner.
Sur la scène de Manchester, le meilleur groupe se trouve être celui où mon fils joue, Man Made. Ils vont sortir leur deuxième album. Je mentirais si je ne disais pas que c’est ce qui se fait de mieux en ville en ce moment. Mais ne me croyez pas sur parole car je suis son père ! (Rires).
Par rapport au titre de ton livre, c’est la musique qui a libéré le petit garçon ?
Oh oui ! Une vie de musique а libéré le petit garçon que j’étais.
Je ne voudrais pas avoir l’air d’être trop dramatique ou trop sérieux, mais même si j’ai eu une famille très heureuse, je viens d’un milieu pauvre, en marge, agressif, dangereux… cet environnement de la ville de Manchester à la fin des années 70 n’était pas du tout fait pour quelqu’un qui était si créatif, si sauvage dans sa tête. Quand j’étais enfant, et je voyais des musiciens jouer (pas seulement des rock stars mais ceux qui jouaient dans des pubs) et je me disais que cela pouvait être un métier.
J’imaginais qu’il y avait plus dans la vie que nos cinq sens et nos trois dimensions. J’avais la sensation très forte qu’il y avait quelque part une porte ici ou là, une fenêtre qui pouvait s’ouvrir sur autre chose, sur d’autres réponse à la vie, d’autres ambiances que celle que nous voyons ici et maintenant et je ressentais que la musique pouvait exprimer ce mystère, exprimer l’imagination, exprimer tous ses sentiments, ses émotions que je ressentais quand j’étais enfant. Je ne voulais pas être musicien pour être célèbre mais parce que jouer de la musique semblait être une opportunité de s’enfuir d’une vie difficile et de la perception normale du quotidien. Et j’avais besoin de me libérer de cela. Faire ma vie dans la musique, c’était vraiment tout ce dont j’avais envie. Et j’en ai eu pour mon argent ! Mais ça c’est une autre histoire… (Rires)
Propos recueillis par Alma ROTA
PLUS D’INFORMATIONS
> L’autobiographie « Set the Boy free » aux Editions du Serpent à Plumes
0 notes