#entités de l’Etat
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kingonews · 1 year ago
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OPPORTUNITÉ D'EMPLOI: L'AGENCE DE COLLECTE DES PAIEMENTS ET DE RECOUVREMENT OUVRE 5 POSTES
AVIS DE RECRUTEMENT MULTIPOSTES 1. Contexte Créée par décret 2023-311 du 14 juin 2023, l’Agence de Collecte des Paiements et du Recouvrement (ACPR) est un établissement Public doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Elle est placée sous la tutelle du Ministère de l’Economie et des Finances. En sa qualité de prestataire, l’Agence de Collecte des Paiements et du Recouvrement a…
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raisongardee · 11 months ago
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"La censure a toujours existé, quelles que soient les époques, sous des formes religieuses, morales et politiques. Mais paradoxalement, au XXIe siècle, elle est devenue omniprésente dans les démocraties libérales "représentatives ou pluralistes" d’Europe et d’Amérique. Exercée hier par l’Etat (qu’il ait été aristocratique, monarchique ou républicain, dictatorial ou démocratique), elle est aujourd’hui pratiquée encore par l’Etat (les lois mémorielles, synonymes de "vérités officielles", en sont un exemple édifiant), mais aussi par des entités privées, par de grandes compagnies multinationales, et par des ONG spécialisées dans la défense des minorités ethniques, religieuses et sexuelles et la protection des immigrés illégaux. Bénéficiant de l’appui tacite ou exprès de la majorité de l’oligarchie politico-économico-médiatique, ces organisations et institutions privées se substituent de plus en plus ouvertement à l’Etat pour limiter doctrinalement et arbitrairement la liberté d’expression du peuple."
Arnaud Imatz, Résister au dénialisme en histoire. Jalons pour un savoir non contaminé par l’idéologie mondialiste, 2022.
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moneymatrixx · 6 months ago
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Efinno.com
Les signaux d’alerte
L’âge relativement jeune du site, actif depuis seulement 83 jours, suscite des interrogations légitimes quant à son intégrité et à sa crédibilité. Habituellement, le processus de régulation d’une entité financière est long et rigoureux, ce qui soulève des inquiétudes quant à la précipitation de la création d’Efinno.com. De plus, le choix d’un hébergement aux États-Unis avec un anonymat protégé par un hébergeur suscite des inquiétudes supplémentaires, car les entreprises légitimes évitent généralement de telles pratiques pour garantir la transparence et la confiance des clients. Ces éléments combinés renforcent les soupçons quant à la légitimité et à la fiabilité d’Efinno.com en tant que plateforme de trading en ligne.
Les risques du trading en ligne
Outre les signes externes de méfiance, il convient d’examiner les risques inhérents au trading en ligne lui-même. Selon une étude de l’Autorité des Marchés Financiers publiée en 2014, la grande majorité des traders particuliers subissent des pertes financières significatives. Cette réalité met en lumière la nature spéculative et potentiellement dangereuse du trading en ligne, où les investisseurs peuvent perdre leur argent neuf fois sur dix, sans toujours tirer les leçons de leurs erreurs passées. De plus, les plateformes de trading en ligne fonctionnent souvent selon un modèle où elles récupèrent une part des pertes de leurs clients, accentuant ainsi les risques financiers pour les traders particuliers.
Les indices troublants d’une possible fraude
En examinant de plus près la structure d’Efinno.com, des indices troublants émergent quant à la légitimité de ses opérations. Le site est propriété de Streams Financial Services Ltd, une société chypriote dont le siège social est associé à des montages financiers complexes, comme indiqué dans les Panama Papers. Cette association soulève des questions sur la transparence et l’éthique des pratiques commerciales d’Effino.com. De plus, l’utilisation de faux profils et d’adresses e-mail trompeuses renforce les suspicions d’activités frauduleuses, suggérant une démarche délibérée pour attirer des investisseurs sans scrupules.
Témoignages de victimes
Les témoignages des victimes d’Efinno.com peignent un tableau sombre de leurs expériences avec la plateforme de trading en ligne, renforçant les préoccupations quant à sa légitimité et son intégrité.
Témoignage 1 : « Une arnaque plus plus plus ! Cette prétendue plateforme devrait être fermée par l’Etat français. Je la déconseille fortement. Ils ne vous permettent pas de retirer vos propres fonds tant que vous n’avez pas subi de pertes. Ils vous poussent à investir toujours plus jusqu’à ce que vous perdiez tout. C’est incroyablement frustrant et décevant. Je vous en conjure, ne vous risquez pas. »
Témoignage 2 : « Belle arnaque. J’ai investi 250 euros il y a plus d’un mois. Le conseiller ne m’a jamais rappelé après trois rendez-vous fixés ; aujourd’hui, je tente de récupérer mes fonds investis, mais ‘est impossible. Il est également impossible de les contacter. »
Témoignage 3 : Nul, archi nul… On vous fait croire que vous bénéficierez d’un accompagnement personnalisé, mais en réalité, tout ce qu’ils veulent, c’est vous vous injectiez des fonds qui finiront par disparaître. Une fois que vous avez quasiment tout perdu, ils vous incitent à investir davantage pour soit-disant renforcer votre position, mais vous ne reverrez plus votre argent. Vous avez compris le système… »
Avis suite au test de l’AMF
En effet, pour mieux comprendre ce à quoi les investisseurs doivent faire attention, nous avons réalisé un test sur le site de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) en répondant aux questions suivantes par rapport aux témoignages : « L’investissement proposé est-il présenté à haut rendement et sans risque ? », « Votre interlocuteur propose-t-il un investissement idéal, réservé à quelques initiés ? », « Avez-vous été démarché par une personne que vous ne connaissez pas, recommandée par un proche, qui vous a contacté sur un réseau social ou après avoir laissé vos coordonnées sur internet ? », « La personne avec qui vous êtes en contact se montre-t-elle particulièrement sympathique avec un discours séduisant ? », « La personne vous pose-t-elle des questions sur vos objectifs ? », « La personne vous incite-t-elle à faire un versement rapidement ? ». Ces questions, visant à sensibiliser les investisseurs aux signes d’arnaque potentiels, constituent un outil précieux dans la prévention des fraudes financières en ligne. En les gardant à l’esprit et en restant vigilants, nous pouvons contribuer à protéger notre patrimoine financier et à prévenir d’autres histories tragiques comme celle que nous avons partagée aujourd’hui.
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gaboninfoslive · 1 year ago
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ANGTI : Véritable groufre à sous
La fameuse Agence Nationale ds Grands Travaux et des Infrastructures (ANGTI), administration publique créée en 2010 avait pour mission la construction, l’entretien et la gestion des grands infrastructures de l’Etat. Quel bilan tiré de cette entité? Le bilan de cette agence est mitigé, car on enregistre moins d’avancées techniques dans le domaine des infrastructures au niveau national. Le…
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iweb-rdc001 · 1 year ago
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RDC-table ronde sur l'état de siège : des jeunes ressortissants de l'Est insistent sur la levée de la mesure dont le bilan est un échec
Le chef de l’Etat est toujours attendu au tournant alors que les travaux de la table ronde sur l’état de siège au Nord-Kivu et en Ituri ont pris fin la semaine dernière à Kinshasa. Si la plupart des participants ont exprimé leur souhait de voir la mesure être levée, des voix des ressortissants des entités concernées émettent également sur la même longueur d’ondes. Tous sont unanimes que l’état de…
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lukanionso · 2 years ago
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Nord-Kivu: 2 ans après, la société civile constate que l'état de siège a "triplement été assiégé et vidé de sa substance"
Deux ans depuis l’entrée en vigueur de l’état de siège au Nord-Kivu et dans l’Ituri, la paix n’est restée qu’un leurre dans plusieurs entités dont celles assiégées notamment par le M23, un groupe armé pro-rwandais. De l’avis de la société civile du Nord-Kivu, au lieu de réimposer l’autorité de l’Etat, l’état de siège vit des violences armées entretenues par plusieurs milices locales et…
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fizimedia · 2 years ago
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Nord-Kivu : pour manque d'assistance, quelques déplacés regagnent leurs résidences.
Nord-Kivu : pour manque d’assistance, quelques déplacés regagnent leurs résidences.
Les déplacés qui sont dans certains sites et camps des déplacés internes dans la province du Nord-Kivu commencent par regagner leurs entités pour manque d’assistance. Il s’agit des déplacés du camp de Kanyaruchinya ,Don Bosco et quelques sites de Goma. Ils déclarent un manque total d’assistance par l’Etat et des organismes humanitaires. Ils sont exposés à la famine ,au manque d’eau potable et…
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ouyander · 2 years ago
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Conseil des Ministres - Dernier compte-rendu. Le Président de la République, Son Excellence Macky SALL a présidé le Conseil des Ministres, ce mercredi 30 novembre 2022, au Palais de la République. ,Conseil des Ministres ,30 novembre 2022,SENEGAL,GOUVERNEMENT,Dakar,Conseil ,Ministres , communiqué ,Conseil ,ministres , CONSEIL DES MINISTRES du 30 NOVEMBRE 2022 [caption id="attachment_316193" align="alignnone" width="1200"] communiqué du conseil des ministres de ce mercredi 28 septembre 2022[/caption] A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat a adressé ses chaleureuses félicitations aux Lions du Football, qui se sont brillamment qualifiés, hier, aux 8ème de finale de la Coupe du Monde. Pour la suite de la compétition, le Président de la République a renouvelé ses encouragements aux joueurs de l’équipe nationale de Football et à leur encadrement technique et administratif. Abordant le soutien aux Daaras et aux diplômés de l’enseignement arabe, le Chef de l’Etat est revenu sur la rencontre du lundi 28 novembre 2022, avec la communauté des Daaras dans le cadre des concertations et du dialogue avec l’ensemble des forces vives de la Nation. Le Président de la République a félicité le Gouvernement, notamment le Ministre de l’Education nationale, les chefs religieux, les responsables et maîtres de Daara, les apprenants (« ndongo Daara »), les partenaires et bonnes volontés, en particulier les « Ndeyou Daara », qui appuient ce pan important de notre système éducatif et qui ont permis la réussite de cette rencontre historique. [caption id="attachment_315204" align="alignnone" width="1200"] Remaniement - nouveau PM sera connu, ce samedi à 11h_Conseil-des-ministres ok[/caption] A lire aussi Le gouvernement mauritanien réagit à l'affaire des trois orpailleurs mauritaniens A cet effet, le Chef de l’Etat a rappelé au Gouvernement, l’impératif de renforcer le soutien et l’accompagnement de l’Etat aux Daaras à travers une coordination plus soutenue des efforts de l’Etat et des collectivités territoriales, avec la réallocation d’une partie des fonds de dotation alloués au secteur de l’Education, vers ces entités et un suivi de proximité du développement de ces établissements d’éducation et de formation, basés sur les préceptes de l’Islam et des traditions fortement ancrées dans notre société. Dans cet esprit, le Président de la République a exhorté le Premier Ministre à engager la modernisation des Daaras au tour de quatre (4) actions majeures : [caption id="attachment_315199" align="alignnone" width="1200"] Remaniement - nouveau PM sera connu, ce samedi à 11h_Conseil-des-ministres[/caption] ♦ 1. la finalisation de la cartographie nationale des Daaras par un recensement exhaustif et une immatriculation administrative des établissements, des apprenants et de leurs maîtres ; ♦ 2. la poursuite des investissements pour la construction et l’équipement de Daaras publics aux normes en intégrant au besoin des internats et des cantines scolaires, ainsi que le soutien à la réhabilitation et à l’amélioration du cadre de vie des Daaras traditionnels installés sur le territoire national ; ♦ 3. la réflexion sur un dispositif adapté de recrutement de maîtres coraniques et de leurs encadreurs dans la fonction publique, mais également d’assurer une couverture médicale, une protection sociale, un suivi académique et professionnel des apprenants des Daaras ; ♦ 4. le soutien à l’insertion socio-économique des apprenants, par la solidarité nationale, en termes de soutiens financiers et d’appuis en denrées, matériels et intrants agricoles avec les Daaras et par les dispositifs existants de la formation professionnelle, de financement et de promotion de l’entreprenariat. Dans cette perspective, le Chef de l’Etat a décidé d’instituer un « Grand Prix International du Président de la République pour le Récital du Saint Coran » et une « Journée nationale des Daaras », chaque 28 novembre. Par ailleurs, le Président de la République a insisté
sur l’urgence de valoriser davantage l’expertise des diplômés en langue arabe dans la fonction publique, dans le secteur parapublic et dans toutes les branches d’activités du pays, où leurs compétences pourront être utilisées. Le Chef de l’Etat a demandé, enfin, au Premier Ministre et au Ministre de l’Education nationale de finaliser avec toutes les parties prenantes, un Programme d’Appui aux Daaras et aux Diplômés de l’Enseignement Arabe (PADEA) en relation avec le Bureau d’Assistance aux Daaras et aux Diplômés de l’Enseignement Arabe (BADEA) rattaché à la Présidence de la République. Abordant l’accélération de la transformation du système de fonctionnement des transports terrestres, le Président de la République a invité le Premier Ministre et le Ministre chargé des Transports terrestres à déployer, dans le cadre d’un suivi permanent, toutes les mesures requises pour asseoir la gestion optimale du dispositif de transports publics et privés, en cohérence avec la fonctionnalité du TER, des chemins de fer et du BRT. A cet effet, le Chef de l’Etat a souligné, l’urgence de mobiliser, en relation avec les acteurs des transports impliqués, les moyens adéquats pour renforcer la mise en œuvre des programmes de renouvellement des véhicules de transport (urbains et interurbains) et des gros porteurs. En outre, le Président de la République a engagé, le Premier Ministre et le Ministre des Transports terrestres, à veiller au suivi adéquat des revendications du Cadre unitaire des syndicats du transport routier du Sénégal (CUSTRS) et de la situation des accidents sur les routes du Sénégal en relation avec les forces de défense et sécurité, notamment la gendarmerie nationale. S’agissant du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat est revenu sur les sujets suivants : [caption id="attachment_315198" align="alignnone" width="1200"] palais-conseil-des-ministres_ nouveau PM[/caption] ♦ • la mise en œuvre de la Phase II du Programme de lampadaires solaires : en rappelant l’importance du programme des lampadaires solaires qui demeure un marqueur de notre politique d’équité sociale et territoriale. Le Chef de l’Etat a demandé au Ministre du Pétrole et des Energies d’accélérer la mise en œuvre de la phase II du programme de lampadaires solaires (concernant 115.000 unités), dont la répartition doit notamment obéir aux critères d’équité territoriale ; ♦ • la consolidation des performances du système de gestion des déchets solides urbains : en se félicitant des efforts notables consentis par l’Etat, les agents de l’ex UCG, les acteurs et concessionnaires du nettoiement pour améliorer le cadre de vie des populations et la gestion des déchets solides urbains. Le Président de la République a demandé au Premier Ministre et au Ministre chargé de l’Hygiène publique de prendre toutes les dispositions adéquates en vue de renforcer les ressources et les moyens d’intervention de la nouvelle Société nationale de Gestion intégrée des Déchets solides urbains (SONAGED SA) qui prend le relais de l’UCG. Revenant sur la situation du Lac rose, le Chef de l’Etat a demandé au Ministre en charge de l’Environnement d’envisager un Comité Régional de Développement (CRD) spécial en présence des ministres concernés, des acteurs économiques, des autorités territoriales et des chefs de villages polarisés afin d’accentuer la mise en œuvre des mesures rapides et des solutions durables de sauvegarde des activités économiques et de l’écosystème du Lac Retba. Clôturant sa communication, le Président de la République a annoncé la tenue d’un Conseil des ministres décentralisé à Tambacounda, le 28 décembre 2022, ainsi que la cérémonie marquant la journée nationale de l’élevage le 29 décembre. Le Chef de l’Etat a ainsi invité le Premier Ministre à préparer un document d’orientation et à présider un Conseil interministériel de développement en vue d’évaluer les engagements du Gouvernement depuis 2013 et de projeter les investissements prioritaires de l’Etat dans la région, pour les trois prochaines années.
Dans sa communication, le Premier Ministre a rendu compte : [caption id="attachment_315195" align="alignnone" width="1200"] conseil-des-ministres-macky_palais_Nomination Du Premier Ministre Arrivée De Macky Sall Au Palais De La République[/caption] ♦• du conseil interministériel sur la campagne de commercialisation arachidière ; ♦• de la réunion interministérielle sur les programmes de développement communautaire ; ♦• de sa participation au nom du Président de la République au groupe consultatif de la République du Niger, prévu les 5 et 6 décembre 2022; ♦• de la préparation de la 3 e édition du Séminaire intergouvernemental francosénégalais, prévue le 8 décembre 2022 à Paris. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES [caption id="attachment_312758" align="alignnone" width="1280"] conseil des ministres - communiqué du compte rendu ok+0[/caption] ♦• Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur sa participation aux Sommets extraordinaire de l’Union africaine tenue à Niamey et celui de la Francophonie à Djerba ; ♦• Le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice a fait une communication sur le lancement du Centre de Surveillance électronique; ♦• Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait une communication sur les projets du Programme National de Réadaptation à Base Communautaire (PNRBC) et la célébration de la journée internationale des personnes handicapées prévue le 03 décembre 2022. AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES [caption id="attachment_236792" align="alignnone" width="1200"] Presidence d sénéngal www.kafunel.com Communiqué du conseil des ministres 1[/caption] Le Conseil a examiné et adopté les textes suivants : [caption id="attachment_236754" align="alignnone" width="1200"] Presidence d sénéngal www.kafunel.com Communiqué du conseil des ministres 3[/caption] ♦• le projet de décret portant création de l’Université Souleymane Niang de Matam (USN) ; ♦• le projet de décret portant création de l’Université du Sénégal oriental (USO). AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES [caption id="attachment_236753" align="alignnone" width="1200"] Presidence d sénéngal www.kafunel.com Communiqué du conseil des ministres 2[/caption] Le Président de la République a pris les décisions suivantes : [caption id="attachment_234909" align="alignnone" width="1200"] Macky-Sall-Conseil-Presidentiel-Emploi-des-Jeunes-au-Senegal-la-vie-senegalaise[/caption] ♦• Le Général de Division El Hadji Daouda NIANG, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d'Ivoire, en remplacement de Monsieur Abdou Khadir AGNE, appelé à d'autres fonctions ; ♦• Monsieur Abdou Khadir AGNE, titulaire d'un master en Diplomatie et Stratégie, précédemment Ambassadeur du Sénégal en Côte d'Ivoire, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Mohamed BAZOUM, Président de la République du Niger, en remplacement de Monsieur Paul Benoit SARR, appelé à d'autres fonctions ; ♦• Monsieur Doro SY, Expert en relations internationales, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Felix - Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République démocratique du Congo, en remplacement de Monsieur Papa Talam DIAO, appelé à d'autres fonctions ; ♦• Monsieur Mamadou SIDIBE, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle, est nommé Coordonnateur du projet de l’Université Souleymane NIANG de Matam (USN). ♦• Monsieur Kandioura NOBA, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle, est nommé Coordonnateur du projet de l’Université du Sénégal oriental (USO). ♦• Monsieur Mame Balla LO, Administrateur de sociétés, est nommé Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale
pour la Relance des Activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC), en remplacement de Monsieur Pascal MANGA, appelé à d’autres fonctions. ♦• Monsieur Mouhamadou Lamine MASSALY, Titulaire d’un Master en Relations internationales, est nommé Président du Conseil d’Administration de l’Office national de Formation Professionnelle, en remplacement de Monsieur Mamoussé DIAGNE, appelé à d’autres fonctions. ♦• Monsieur Amaro Ntaby BADJI, Inspecteur principal du Trésor, précédemment Chef de Division à la Direction du Secteur public local, est nommé Directeur du Secteur public local à la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor, poste vacant. ♦• Madame Virginie Dora DIOUF, Inspecteur principal du Trésor, précédemment Fondé de pouvoirs de l’Agent Comptable des Grands Projets, est nommée Agent Comptable des Grands projets à la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor en remplacement de Monsieur Mamadou Oumar BOCOUM, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. ♦• Monsieur Thierno Sadou DIALLO, Administrateur civil principal, précédemment Adjoint au Directeur du Contrôle budgétaire à la Direction générale du Budget, est nommé Directeur des Ressources humaines au Ministère des Finances et du Budget, en remplacement de Monsieur Bassirou SOUMARE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. ♦• Monsieur Abou AW, Conseiller en Planification, précédemment Conseiller technique à la Direction générale du Budget, est nommé Directeur des pensions à la Direction générale du Budget, en remplacement de Monsieur Mouhamadou DIALLO, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. ♦• Monsieur Leroux DRAME, Administrateur civil, est nommé Secrétaire général du Centre national de la Fonction publique locale et de la Formation. Fait à Dakar, le 30 novembre 2022 Le Ministre du Commerce, de la Consommation et des PME, Porte-parole du Gouvernement Abdou Karim FOFANA
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naantokhi · 2 years ago
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Conseil des Ministres - Dernier compte-rendu. Le Président de la République, Son Excellence Macky SALL a présidé le Conseil des Ministres, ce mercredi 30 novembre 2022, au Palais de la République. ,Conseil des Ministres ,30 novembre 2022,SENEGAL,GOUVERNEMENT,Dakar,Conseil ,Ministres , communiqué ,Conseil ,ministres , CONSEIL DES MINISTRES du 30 NOVEMBRE 2022 [caption id="attachment_316193" align="alignnone" width="1200"] communiqué du conseil des ministres de ce mercredi 28 septembre 2022[/caption] A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat a adressé ses chaleureuses félicitations aux Lions du Football, qui se sont brillamment qualifiés, hier, aux 8ème de finale de la Coupe du Monde. Pour la suite de la compétition, le Président de la République a renouvelé ses encouragements aux joueurs de l’équipe nationale de Football et à leur encadrement technique et administratif. Abordant le soutien aux Daaras et aux diplômés de l’enseignement arabe, le Chef de l’Etat est revenu sur la rencontre du lundi 28 novembre 2022, avec la communauté des Daaras dans le cadre des concertations et du dialogue avec l’ensemble des forces vives de la Nation. Le Président de la République a félicité le Gouvernement, notamment le Ministre de l’Education nationale, les chefs religieux, les responsables et maîtres de Daara, les apprenants (« ndongo Daara »), les partenaires et bonnes volontés, en particulier les « Ndeyou Daara », qui appuient ce pan important de notre système éducatif et qui ont permis la réussite de cette rencontre historique. [caption id="attachment_315204" align="alignnone" width="1200"] Remaniement - nouveau PM sera connu, ce samedi à 11h_Conseil-des-ministres ok[/caption] A lire aussi Le gouvernement mauritanien réagit à l'affaire des trois orpailleurs mauritaniens A cet effet, le Chef de l’Etat a rappelé au Gouvernement, l’impératif de renforcer le soutien et l’accompagnement de l’Etat aux Daaras à travers une coordination plus soutenue des efforts de l’Etat et des collectivités territoriales, avec la réallocation d’une partie des fonds de dotation alloués au secteur de l’Education, vers ces entités et un suivi de proximité du développement de ces établissements d’éducation et de formation, basés sur les préceptes de l’Islam et des traditions fortement ancrées dans notre société. Dans cet esprit, le Président de la République a exhorté le Premier Ministre à engager la modernisation des Daaras au tour de quatre (4) actions majeures : [caption id="attachment_315199" align="alignnone" width="1200"] Remaniement - nouveau PM sera connu, ce samedi à 11h_Conseil-des-ministres[/caption] ♦ 1. la finalisation de la cartographie nationale des Daaras par un recensement exhaustif et une immatriculation administrative des établissements, des apprenants et de leurs maîtres ; ♦ 2. la poursuite des investissements pour la construction et l’équipement de Daaras publics aux normes en intégrant au besoin des internats et des cantines scolaires, ainsi que le soutien à la réhabilitation et à l’amélioration du cadre de vie des Daaras traditionnels installés sur le territoire national ; ♦ 3. la réflexion sur un dispositif adapté de recrutement de maîtres coraniques et de leurs encadreurs dans la fonction publique, mais également d’assurer une couverture médicale, une protection sociale, un suivi académique et professionnel des apprenants des Daaras ; ♦ 4. le soutien à l’insertion socio-économique des apprenants, par la solidarité nationale, en termes de soutiens financiers et d’appuis en denrées, matériels et intrants agricoles avec les Daaras et par les dispositifs existants de la formation professionnelle, de financement et de promotion de l’entreprenariat. Dans cette perspective, le Chef de l’Etat a décidé d’instituer un « Grand Prix International du Président de la République pour le Récital du Saint Coran » et une « Journée nationale des Daaras », chaque 28 novembre. Par ailleurs, le Président de la République a insisté
sur l’urgence de valoriser davantage l’expertise des diplômés en langue arabe dans la fonction publique, dans le secteur parapublic et dans toutes les branches d’activités du pays, où leurs compétences pourront être utilisées. Le Chef de l’Etat a demandé, enfin, au Premier Ministre et au Ministre de l’Education nationale de finaliser avec toutes les parties prenantes, un Programme d’Appui aux Daaras et aux Diplômés de l’Enseignement Arabe (PADEA) en relation avec le Bureau d’Assistance aux Daaras et aux Diplômés de l’Enseignement Arabe (BADEA) rattaché à la Présidence de la République. Abordant l’accélération de la transformation du système de fonctionnement des transports terrestres, le Président de la République a invité le Premier Ministre et le Ministre chargé des Transports terrestres à déployer, dans le cadre d’un suivi permanent, toutes les mesures requises pour asseoir la gestion optimale du dispositif de transports publics et privés, en cohérence avec la fonctionnalité du TER, des chemins de fer et du BRT. A cet effet, le Chef de l’Etat a souligné, l’urgence de mobiliser, en relation avec les acteurs des transports impliqués, les moyens adéquats pour renforcer la mise en œuvre des programmes de renouvellement des véhicules de transport (urbains et interurbains) et des gros porteurs. En outre, le Président de la République a engagé, le Premier Ministre et le Ministre des Transports terrestres, à veiller au suivi adéquat des revendications du Cadre unitaire des syndicats du transport routier du Sénégal (CUSTRS) et de la situation des accidents sur les routes du Sénégal en relation avec les forces de défense et sécurité, notamment la gendarmerie nationale. S’agissant du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat est revenu sur les sujets suivants : [caption id="attachment_315198" align="alignnone" width="1200"] palais-conseil-des-ministres_ nouveau PM[/caption] ♦ • la mise en œuvre de la Phase II du Programme de lampadaires solaires : en rappelant l’importance du programme des lampadaires solaires qui demeure un marqueur de notre politique d’équité sociale et territoriale. Le Chef de l’Etat a demandé au Ministre du Pétrole et des Energies d’accélérer la mise en œuvre de la phase II du programme de lampadaires solaires (concernant 115.000 unités), dont la répartition doit notamment obéir aux critères d’équité territoriale ; ♦ • la consolidation des performances du système de gestion des déchets solides urbains : en se félicitant des efforts notables consentis par l’Etat, les agents de l’ex UCG, les acteurs et concessionnaires du nettoiement pour améliorer le cadre de vie des populations et la gestion des déchets solides urbains. Le Président de la République a demandé au Premier Ministre et au Ministre chargé de l’Hygiène publique de prendre toutes les dispositions adéquates en vue de renforcer les ressources et les moyens d’intervention de la nouvelle Société nationale de Gestion intégrée des Déchets solides urbains (SONAGED SA) qui prend le relais de l’UCG. Revenant sur la situation du Lac rose, le Chef de l’Etat a demandé au Ministre en charge de l’Environnement d’envisager un Comité Régional de Développement (CRD) spécial en présence des ministres concernés, des acteurs économiques, des autorités territoriales et des chefs de villages polarisés afin d’accentuer la mise en œuvre des mesures rapides et des solutions durables de sauvegarde des activités économiques et de l’écosystème du Lac Retba. Clôturant sa communication, le Président de la République a annoncé la tenue d’un Conseil des ministres décentralisé à Tambacounda, le 28 décembre 2022, ainsi que la cérémonie marquant la journée nationale de l’élevage le 29 décembre. Le Chef de l’Etat a ainsi invité le Premier Ministre à préparer un document d’orientation et à présider un Conseil interministériel de développement en vue d’évaluer les engagements du Gouvernement depuis 2013 et de projeter les investissements prioritaires de l’Etat dans la région, pour les trois prochaines années.
Dans sa communication, le Premier Ministre a rendu compte : [caption id="attachment_315195" align="alignnone" width="1200"] conseil-des-ministres-macky_palais_Nomination Du Premier Ministre Arrivée De Macky Sall Au Palais De La République[/caption] ♦• du conseil interministériel sur la campagne de commercialisation arachidière ; ♦• de la réunion interministérielle sur les programmes de développement communautaire ; ♦• de sa participation au nom du Président de la République au groupe consultatif de la République du Niger, prévu les 5 et 6 décembre 2022; ♦• de la préparation de la 3 e édition du Séminaire intergouvernemental francosénégalais, prévue le 8 décembre 2022 à Paris. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES [caption id="attachment_312758" align="alignnone" width="1280"] conseil des ministres - communiqué du compte rendu ok+0[/caption] ♦• Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur sa participation aux Sommets extraordinaire de l’Union africaine tenue à Niamey et celui de la Francophonie à Djerba ; ♦• Le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice a fait une communication sur le lancement du Centre de Surveillance électronique; ♦• Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait une communication sur les projets du Programme National de Réadaptation à Base Communautaire (PNRBC) et la célébration de la journée internationale des personnes handicapées prévue le 03 décembre 2022. AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES [caption id="attachment_236792" align="alignnone" width="1200"] Presidence d sénéngal www.kafunel.com Communiqué du conseil des ministres 1[/caption] Le Conseil a examiné et adopté les textes suivants : [caption id="attachment_236754" align="alignnone" width="1200"] Presidence d sénéngal www.kafunel.com Communiqué du conseil des ministres 3[/caption] ♦• le projet de décret portant création de l’Université Souleymane Niang de Matam (USN) ; ♦• le projet de décret portant création de l’Université du Sénégal oriental (USO). AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES [caption id="attachment_236753" align="alignnone" width="1200"] Presidence d sénéngal www.kafunel.com Communiqué du conseil des ministres 2[/caption] Le Président de la République a pris les décisions suivantes : [caption id="attachment_234909" align="alignnone" width="1200"] Macky-Sall-Conseil-Presidentiel-Emploi-des-Jeunes-au-Senegal-la-vie-senegalaise[/caption] ♦• Le Général de Division El Hadji Daouda NIANG, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d'Ivoire, en remplacement de Monsieur Abdou Khadir AGNE, appelé à d'autres fonctions ; ♦• Monsieur Abdou Khadir AGNE, titulaire d'un master en Diplomatie et Stratégie, précédemment Ambassadeur du Sénégal en Côte d'Ivoire, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Mohamed BAZOUM, Président de la République du Niger, en remplacement de Monsieur Paul Benoit SARR, appelé à d'autres fonctions ; ♦• Monsieur Doro SY, Expert en relations internationales, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Felix - Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République démocratique du Congo, en remplacement de Monsieur Papa Talam DIAO, appelé à d'autres fonctions ; ♦• Monsieur Mamadou SIDIBE, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle, est nommé Coordonnateur du projet de l’Université Souleymane NIANG de Matam (USN). ♦• Monsieur Kandioura NOBA, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle, est nommé Coordonnateur du projet de l’Université du Sénégal oriental (USO). ♦• Monsieur Mame Balla LO, Administrateur de sociétés, est nommé Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale
pour la Relance des Activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC), en remplacement de Monsieur Pascal MANGA, appelé à d’autres fonctions. ♦• Monsieur Mouhamadou Lamine MASSALY, Titulaire d’un Master en Relations internationales, est nommé Président du Conseil d’Administration de l’Office national de Formation Professionnelle, en remplacement de Monsieur Mamoussé DIAGNE, appelé à d’autres fonctions. ♦• Monsieur Amaro Ntaby BADJI, Inspecteur principal du Trésor, précédemment Chef de Division à la Direction du Secteur public local, est nommé Directeur du Secteur public local à la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor, poste vacant. ♦• Madame Virginie Dora DIOUF, Inspecteur principal du Trésor, précédemment Fondé de pouvoirs de l’Agent Comptable des Grands Projets, est nommée Agent Comptable des Grands projets à la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor en remplacement de Monsieur Mamadou Oumar BOCOUM, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. ♦• Monsieur Thierno Sadou DIALLO, Administrateur civil principal, précédemment Adjoint au Directeur du Contrôle budgétaire à la Direction générale du Budget, est nommé Directeur des Ressources humaines au Ministère des Finances et du Budget, en remplacement de Monsieur Bassirou SOUMARE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. ♦• Monsieur Abou AW, Conseiller en Planification, précédemment Conseiller technique à la Direction générale du Budget, est nommé Directeur des pensions à la Direction générale du Budget, en remplacement de Monsieur Mouhamadou DIALLO, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. ♦• Monsieur Leroux DRAME, Administrateur civil, est nommé Secrétaire général du Centre national de la Fonction publique locale et de la Formation. Fait à Dakar, le 30 novembre 2022 Le Ministre du Commerce, de la Consommation et des PME, Porte-parole du Gouvernement Abdou Karim FOFANA
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kafunel · 2 years ago
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Conseil des Ministres - Dernier compte-rendu. Le Président de la République, Son Excellence Macky SALL a présidé le Conseil des Ministres, ce mercredi 30 novembre 2022, au Palais de la République. ,Conseil des Ministres ,30 novembre 2022,SENEGAL,GOUVERNEMENT,Dakar,Conseil ,Ministres , communiqué ,Conseil ,ministres , CONSEIL DES MINISTRES du 30 NOVEMBRE 2022 [caption id="attachment_316193" align="alignnone" width="1200"] communiqué du conseil des ministres de ce mercredi 28 septembre 2022[/caption] A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat a adressé ses chaleureuses félicitations aux Lions du Football, qui se sont brillamment qualifiés, hier, aux 8ème de finale de la Coupe du Monde. Pour la suite de la compétition, le Président de la République a renouvelé ses encouragements aux joueurs de l’équipe nationale de Football et à leur encadrement technique et administratif. Abordant le soutien aux Daaras et aux diplômés de l’enseignement arabe, le Chef de l’Etat est revenu sur la rencontre du lundi 28 novembre 2022, avec la communauté des Daaras dans le cadre des concertations et du dialogue avec l’ensemble des forces vives de la Nation. Le Président de la République a félicité le Gouvernement, notamment le Ministre de l’Education nationale, les chefs religieux, les responsables et maîtres de Daara, les apprenants (« ndongo Daara »), les partenaires et bonnes volontés, en particulier les « Ndeyou Daara », qui appuient ce pan important de notre système éducatif et qui ont permis la réussite de cette rencontre historique. [caption id="attachment_315204" align="alignnone" width="1200"] Remaniement - nouveau PM sera connu, ce samedi à 11h_Conseil-des-ministres ok[/caption] A lire aussi Le gouvernement mauritanien réagit à l'affaire des trois orpailleurs mauritaniens A cet effet, le Chef de l’Etat a rappelé au Gouvernement, l’impératif de renforcer le soutien et l’accompagnement de l’Etat aux Daaras à travers une coordination plus soutenue des efforts de l’Etat et des collectivités territoriales, avec la réallocation d’une partie des fonds de dotation alloués au secteur de l’Education, vers ces entités et un suivi de proximité du développement de ces établissements d’éducation et de formation, basés sur les préceptes de l’Islam et des traditions fortement ancrées dans notre société. Dans cet esprit, le Président de la République a exhorté le Premier Ministre à engager la modernisation des Daaras au tour de quatre (4) actions majeures : [caption id="attachment_315199" align="alignnone" width="1200"] Remaniement - nouveau PM sera connu, ce samedi à 11h_Conseil-des-ministres[/caption] ♦ 1. la finalisation de la cartographie nationale des Daaras par un recensement exhaustif et une immatriculation administrative des établissements, des apprenants et de leurs maîtres ; ♦ 2. la poursuite des investissements pour la construction et l’équipement de Daaras publics aux normes en intégrant au besoin des internats et des cantines scolaires, ainsi que le soutien à la réhabilitation et à l’amélioration du cadre de vie des Daaras traditionnels installés sur le territoire national ; ♦ 3. la réflexion sur un dispositif adapté de recrutement de maîtres coraniques et de leurs encadreurs dans la fonction publique, mais également d’assurer une couverture médicale, une protection sociale, un suivi académique et professionnel des apprenants des Daaras ; ♦ 4. le soutien à l’insertion socio-économique des apprenants, par la solidarité nationale, en termes de soutiens financiers et d’appuis en denrées, matériels et intrants agricoles avec les Daaras et par les dispositifs existants de la formation professionnelle, de financement et de promotion de l’entreprenariat. Dans cette perspective, le Chef de l’Etat a décidé d’instituer un « Grand Prix International du Président de la République pour le Récital du Saint Coran » et une « Journée nationale des Daaras », chaque 28 novembre. Par ailleurs, le Président de la République a insisté
sur l’urgence de valoriser davantage l’expertise des diplômés en langue arabe dans la fonction publique, dans le secteur parapublic et dans toutes les branches d’activités du pays, où leurs compétences pourront être utilisées. Le Chef de l’Etat a demandé, enfin, au Premier Ministre et au Ministre de l’Education nationale de finaliser avec toutes les parties prenantes, un Programme d’Appui aux Daaras et aux Diplômés de l’Enseignement Arabe (PADEA) en relation avec le Bureau d’Assistance aux Daaras et aux Diplômés de l’Enseignement Arabe (BADEA) rattaché à la Présidence de la République. Abordant l’accélération de la transformation du système de fonctionnement des transports terrestres, le Président de la République a invité le Premier Ministre et le Ministre chargé des Transports terrestres à déployer, dans le cadre d’un suivi permanent, toutes les mesures requises pour asseoir la gestion optimale du dispositif de transports publics et privés, en cohérence avec la fonctionnalité du TER, des chemins de fer et du BRT. A cet effet, le Chef de l’Etat a souligné, l’urgence de mobiliser, en relation avec les acteurs des transports impliqués, les moyens adéquats pour renforcer la mise en œuvre des programmes de renouvellement des véhicules de transport (urbains et interurbains) et des gros porteurs. En outre, le Président de la République a engagé, le Premier Ministre et le Ministre des Transports terrestres, à veiller au suivi adéquat des revendications du Cadre unitaire des syndicats du transport routier du Sénégal (CUSTRS) et de la situation des accidents sur les routes du Sénégal en relation avec les forces de défense et sécurité, notamment la gendarmerie nationale. S’agissant du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, le Chef de l’Etat est revenu sur les sujets suivants : [caption id="attachment_315198" align="alignnone" width="1200"] palais-conseil-des-ministres_ nouveau PM[/caption] ♦ • la mise en œuvre de la Phase II du Programme de lampadaires solaires : en rappelant l’importance du programme des lampadaires solaires qui demeure un marqueur de notre politique d’équité sociale et territoriale. Le Chef de l’Etat a demandé au Ministre du Pétrole et des Energies d’accélérer la mise en œuvre de la phase II du programme de lampadaires solaires (concernant 115.000 unités), dont la répartition doit notamment obéir aux critères d’équité territoriale ; ♦ • la consolidation des performances du système de gestion des déchets solides urbains : en se félicitant des efforts notables consentis par l’Etat, les agents de l’ex UCG, les acteurs et concessionnaires du nettoiement pour améliorer le cadre de vie des populations et la gestion des déchets solides urbains. Le Président de la République a demandé au Premier Ministre et au Ministre chargé de l’Hygiène publique de prendre toutes les dispositions adéquates en vue de renforcer les ressources et les moyens d’intervention de la nouvelle Société nationale de Gestion intégrée des Déchets solides urbains (SONAGED SA) qui prend le relais de l’UCG. Revenant sur la situation du Lac rose, le Chef de l’Etat a demandé au Ministre en charge de l’Environnement d’envisager un Comité Régional de Développement (CRD) spécial en présence des ministres concernés, des acteurs économiques, des autorités territoriales et des chefs de villages polarisés afin d’accentuer la mise en œuvre des mesures rapides et des solutions durables de sauvegarde des activités économiques et de l’écosystème du Lac Retba. Clôturant sa communication, le Président de la République a annoncé la tenue d’un Conseil des ministres décentralisé à Tambacounda, le 28 décembre 2022, ainsi que la cérémonie marquant la journée nationale de l’élevage le 29 décembre. Le Chef de l’Etat a ainsi invité le Premier Ministre à préparer un document d’orientation et à présider un Conseil interministériel de développement en vue d’évaluer les engagements du Gouvernement depuis 2013 et de projeter les investissements prioritaires de l’Etat dans la région, pour les trois prochaines années.
Dans sa communication, le Premier Ministre a rendu compte : [caption id="attachment_315195" align="alignnone" width="1200"] conseil-des-ministres-macky_palais_Nomination Du Premier Ministre Arrivée De Macky Sall Au Palais De La République[/caption] ♦• du conseil interministériel sur la campagne de commercialisation arachidière ; ♦• de la réunion interministérielle sur les programmes de développement communautaire ; ♦• de sa participation au nom du Président de la République au groupe consultatif de la République du Niger, prévu les 5 et 6 décembre 2022; ♦• de la préparation de la 3 e édition du Séminaire intergouvernemental francosénégalais, prévue le 8 décembre 2022 à Paris. AU TITRE DES COMMUNICATIONS DES MINISTRES [caption id="attachment_312758" align="alignnone" width="1280"] conseil des ministres - communiqué du compte rendu ok+0[/caption] ♦• Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait une communication sur sa participation aux Sommets extraordinaire de l’Union africaine tenue à Niamey et celui de la Francophonie à Djerba ; ♦• Le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice a fait une communication sur le lancement du Centre de Surveillance électronique; ♦• Le Ministre de la Santé et de l’Action sociale a fait une communication sur les projets du Programme National de Réadaptation à Base Communautaire (PNRBC) et la célébration de la journée internationale des personnes handicapées prévue le 03 décembre 2022. AU TITRE DES TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES [caption id="attachment_236792" align="alignnone" width="1200"] Presidence d sénéngal www.kafunel.com Communiqué du conseil des ministres 1[/caption] Le Conseil a examiné et adopté les textes suivants : [caption id="attachment_236754" align="alignnone" width="1200"] Presidence d sénéngal www.kafunel.com Communiqué du conseil des ministres 3[/caption] ♦• le projet de décret portant création de l’Université Souleymane Niang de Matam (USN) ; ♦• le projet de décret portant création de l’Université du Sénégal oriental (USO). AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES [caption id="attachment_236753" align="alignnone" width="1200"] Presidence d sénéngal www.kafunel.com Communiqué du conseil des ministres 2[/caption] Le Président de la République a pris les décisions suivantes : [caption id="attachment_234909" align="alignnone" width="1200"] Macky-Sall-Conseil-Presidentiel-Emploi-des-Jeunes-au-Senegal-la-vie-senegalaise[/caption] ♦• Le Général de Division El Hadji Daouda NIANG, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République de Côte d'Ivoire, en remplacement de Monsieur Abdou Khadir AGNE, appelé à d'autres fonctions ; ♦• Monsieur Abdou Khadir AGNE, titulaire d'un master en Diplomatie et Stratégie, précédemment Ambassadeur du Sénégal en Côte d'Ivoire, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Mohamed BAZOUM, Président de la République du Niger, en remplacement de Monsieur Paul Benoit SARR, appelé à d'autres fonctions ; ♦• Monsieur Doro SY, Expert en relations internationales, est nommé Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Felix - Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, Président de la République démocratique du Congo, en remplacement de Monsieur Papa Talam DIAO, appelé à d'autres fonctions ; ♦• Monsieur Mamadou SIDIBE, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle, est nommé Coordonnateur du projet de l’Université Souleymane NIANG de Matam (USN). ♦• Monsieur Kandioura NOBA, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle, est nommé Coordonnateur du projet de l’Université du Sénégal oriental (USO). ♦• Monsieur Mame Balla LO, Administrateur de sociétés, est nommé Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale
pour la Relance des Activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC), en remplacement de Monsieur Pascal MANGA, appelé à d’autres fonctions. ♦• Monsieur Mouhamadou Lamine MASSALY, Titulaire d’un Master en Relations internationales, est nommé Président du Conseil d’Administration de l’Office national de Formation Professionnelle, en remplacement de Monsieur Mamoussé DIAGNE, appelé à d’autres fonctions. ♦• Monsieur Amaro Ntaby BADJI, Inspecteur principal du Trésor, précédemment Chef de Division à la Direction du Secteur public local, est nommé Directeur du Secteur public local à la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor, poste vacant. ♦• Madame Virginie Dora DIOUF, Inspecteur principal du Trésor, précédemment Fondé de pouvoirs de l’Agent Comptable des Grands Projets, est nommée Agent Comptable des Grands projets à la Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor en remplacement de Monsieur Mamadou Oumar BOCOUM, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. ♦• Monsieur Thierno Sadou DIALLO, Administrateur civil principal, précédemment Adjoint au Directeur du Contrôle budgétaire à la Direction générale du Budget, est nommé Directeur des Ressources humaines au Ministère des Finances et du Budget, en remplacement de Monsieur Bassirou SOUMARE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. ♦• Monsieur Abou AW, Conseiller en Planification, précédemment Conseiller technique à la Direction générale du Budget, est nommé Directeur des pensions à la Direction générale du Budget, en remplacement de Monsieur Mouhamadou DIALLO, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. ♦• Monsieur Leroux DRAME, Administrateur civil, est nommé Secrétaire général du Centre national de la Fonction publique locale et de la Formation. Fait à Dakar, le 30 novembre 2022 Le Ministre du Commerce, de la Consommation et des PME, Porte-parole du Gouvernement Abdou Karim FOFANA
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dawnofright · 2 years ago
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L’Etat fédéral Définition Fédéralisme par association/par dissociation La superposition L’autonomie La participation Un Etat #fédéral est composé de plusieurs entités pouvant être qualifiées d’états, #autonomes mais subordonnées à la #constitution et aux lois de l’Etat fédéral qui prévaut sur les Etats #fédérés le composant. 👤: Nour El Khoury References: -dice.univ-amu.fr -cours.unjf.fr https://www.instagram.com/p/ClatmqntnhL/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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christian-dubuis-santini · 3 years ago
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Lettre ouverte d’un médecin français « suspendu » aux Conseils de l’Ordre des Médecins
Publié le janvier 2, 2022 par Zineb
Au Dr BOUET Patrick, Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, 4, rue Léon Jost, 75855 PARIS Cedex 17
Dr DEVYS Pierre-Yves, Président du Conseil Régional Ile-de-France de l’Ordre des Médecins, 9, rue Borromée, 75015 PARIS
Dr THERON Patrick, 4, rue Octave du Mesnil, 94000 CRETEIL
Le 18/12/2021
Messieurs et chers confrères : rendons-la médecine aux médecins
Messieurs et chers confrères,
Je vous adresse cette lettre ouverte pour vous exhorter à réagir face à l’incurie gouvernementale. Cette mascarade de politique prétendument sanitaire que nous, français, vivons n’a que trop duré et je pense que le conseil national de l’Ordre des Médecins a toute sa place pour rappeler à l’Etat le rôle du médecin.
Je tiens tout d’abord à vous rappeler vos devoirs envers les médecins. Vous avez pour mission de « défendre l’indépendance et l’honneur de la profession médicale auprès de l’ensemble de la société française ». Vous êtes les « garant[s] de la relation médecin-patient ».
Depuis la loi honteuse du 5 août 2021, vous acceptez que l’agence régionale de santé outrepasse ses fonctions et soumette les médecins libéraux. Pourquoi acceptez-vous que cette entité administrative boursouflée interdise aux médecins d’exercer ?
L’Etat français s’est arrogé, en opposition complète avec le serment d’Hippocrate, la déclaration de Genève de 1948, l’article 36 du code de déontologie médicale, les articles R4127-36 et L1122-1 du code de santé publique, l’article 16-1 du Code civil français, le code de Nuremberg de 1947, l’article 25 de la déclaration d’Helsinki de 1996, les articles 5 et 16 de la convention d’Oviedo sur les Droits de l’Homme et la biomédecine de 1997, l’article L1111-4 de la loi Kouchner de 2002, l’arrêt Salvetti de 2002, l’article 3 de la directive européenne 2001/20/CE, le droit d’imposer lâchement un traitement expérimental à base d’ARN messager au peuple français.
Un confrère du conseil m’a obligeamment indiqué en août dernier qu’il était de son devoir de me convaincre d’accepter cette « vaccination ». Je vous rappelle qu’en vertu des textes de lois cités et en tant que personne majeure, non soumise à tutelle ou curatelle, j’ai le droit de décider de mon intérêt à participer ou non à des essais de phase 3 dont la fin est prévue le 27 octobre 2022 pour le laboratoire Moderna et le 15 mai 2023 pour le laboratoire Pfizer. Si l’Etat français me refuse ce droit, pourquoi m’a-t-il donc donné des diplômes de docteur en médecine et de spécialiste en dermatologie et vénéréologie en 2016 et m’a donc par ce biais autorisé à prendre des décisions pour la santé de mes patients ? Serais-je devenue, sans que personne ne m’en ait informé, une mineure perpétuelle ?
La situation est grave car le gouvernement actuel, qui n’a pas conscience des limites de son pouvoir, cherche à nous retirer, à nous, médecins, notre capacité de décider des traitements que nous administrons à nos patients. Il a également émis une liste limitative des contre-indications à l’injection d’ARN messager. Cela signifie-t-il que les médecins n’ont plus de légitimité à faire valoir leur art et leur expérience ?
Un médecin a-t-il le droit d’injecter un traitement expérimental à une personne alors même qu’il a conscience que le consentement de cette personne a pu lui être extorqué par l’Etat ? Notre serment d’Hippocrate ne nous enjoint-il pas à ne pas exploiter « [notre] pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences » ? Qu’en est-il alors des corps ? Le médecin aurait maintenant le droit de forcer les corps ? Jamais vous ne me convaincrez de cette ineptie.
Alors que les pouvoirs législatif, judiciaire, médiatique ont laissé l’hubris présidentielle se déchaîner et l’ont même parfois encouragée, je pense que le médecin, conscient qu’il est des limites de son art, doit affirmer le principe de sacralité du corps humain.
Sommes-nous encore des médecins si nous acceptons d’être les instruments de cet Etat ? N’avez-vous pas conscience que l’Etat veut faire des médecins des techniciens médicaux sans âme ?
Avez-vous conscience que le gouvernement qui utilise actuellement l’autorité des médecins pour imposer des restrictions de tous ordres utilisera demain, dès que le vent tournera, les médecins comme boucs-émissaires ?
Je pense que nous risquons de perdre définitivement la confiance des Français.
Nous avons collectivement montré notre refus de traiter dans les meilleurs délais les personnes atteintes de la maladie à SARS-CoV-2.
Nous avons abandonné les patients non atteints de la maladie à SARS-CoV-2.
Nous nous sommes réfugiés derrière nos écrans, avec la téléconsultation, alors même qu’une nouvelle maladie inconnue était à définir.
Nous avons montré notre incapacité à nous opposer au viol du consentement des Français.
Nous avons montré notre incapacité à évaluer correctement les bénéfices et les risques de l’injection d’ARN messager.
Nous avons montré notre mépris du principe de précaution, notamment pour les enfants, les adolescents et les femmes enceintes alors même que l’histoire de notre discipline regorge d’exemples sordides incitant à la prudence.
Nous avons montré notre incapacité à rapporter efficacement les effets indésirables de l’injection d’ARN messager aux services de pharmacovigilance.
Nous avons montré notre incapacité à défendre les infirmières, les aides-soignantes et tous les autres soignants.
Quel exemple donnons-nous aux jeunes étudiants en médecine ?
Que ferons-nous demain quand l’étendue des complications de l’injection d’ARN messager sur les enfants, les adolescents, les jeunes adultes, les personnes âgées et surtout les femmes enceintes sera révélée ? Que dirons-nous durant les procès qui s’annoncent pour les décennies à venir ? Pensez-vous réellement que les hommes politiques nous protégerons ?
Enfin, je pense qu’il est temps pour le conseil de l’Ordre des médecins d’exiger du gouvernement le respect qui nous est dû et de retirer du code de la santé publique la loi n°2021-1040 du 5 août 2021 dont l’article L3136-1 menace d’emprisonnement les médecins et soignants qui exercent sans avoir au préalable participé aux études de phase 3 des laboratoires Pfizer et Moderna.
Dans l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie d’agréer, Messieurs et chers confrères, l’expression de ma considération distinguée.
Docteur Zineb Deheb
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andrioucha · 4 years ago
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La culpabilisation collective, arme idéologique absolueThomas Verden pour France Soir
« Nous sommes en guerre » ! Cette phrase prononcée il y a quelques mois par le président Macron n’est pas seulement un slogan politique destiné à frapper la population, elle exprime une manière de comprendre la relation à la maladie : l’ennemi est en face et il faut le supprimer.
Tout le monde ou presque sait pourtant aujourd’hui au moins deux choses : premièrement que nous sommes porteurs d’une quantité énorme de virus en tous genre qui stimulent et renforcent notre système immunitaire, autrement dit notre capacité à nous défendre. Deuxièmement, qu’un virus n’est viable qu’au sein d’un organisme et absolument jamais de façon isolée telle une entité indépendante. Or ces deux principes connus de tous ont été totalement occultés dans la manière dont le problème « corona » a été médicalement et médiatiquement traité.
Le virus a été présenté à la manière d’une entité autonome, indépendante des facteurs organiques individuels. On a donc complètement objectivé le concept de virus en en faisant un ennemi en soi justifiant une attitude frontale de « déclaration de guerre ».
L’image qui a été façonnée correspond exactement à celle d’un terroriste frappant n’importe qui, n’importe où, n’importe quand.  Le portrait-robot de la covid 19 est donc celui d’un psychopathe meurtrier lâchant ses bombes virales dans les populations du monde entier et risquant d’en décimer une partie importante.
Mais outre cette gigantesque menace qui, numériquement parlant, dépasse de bien loin Al-qaida ou Daech, ce terroriste d’un genre nouveau possède une propriété supplémentaire qui fait de lui un danger sans précédent. Tout comme dans le jeu du « loup » des enfants, celui qui est touché devient lui-même le loup, le prédateur. Autrement dit tout le monde se sent porteur potentiel de cette explosive « bombe virale », tout le monde devient potentiellement ce terrifiant terroriste vis-à-vis de tout le monde.
C’est très rigoureusement cette image qui a été créée et implantée dans les consciences. Et l’effet premier de cette image, qu’on l’admette ou non, c’est la terreur.
De la terreur à la culpabilisation
La peur est certes un prodigieux levier idéologique. Ce phénomène a souvent été relevé dans le cadre de cette épidémie mais il en est un autre possédant une puissance encore supérieure.
Il y a quelques années, l’atout de toute politique médicale préventive était la protection personnelle. Mais en peu de temps le « protégez-vous » s’est transformé en « si vous ne vous protégez pas vous mettez en danger les autres » ! Un retournement de paradigme d’une prodigieuse puissance psychologique.
En étant saisi par une valeur profondément éthique où la pensée vers autrui l’emporte sur l’intérêt personnel, l’individu est directement touché au cœur de sa conscience morale : quelle sorte d’être humain suis-je donc si je ne fais pas ce qu’exige la protection d’autrui ?
Or dans le cadre de l’image « virus meurtrier », que signifie ne pas protéger les autres ? Pesons de tout leur poids les conséquences d’airain d’une problématique posée de cette façon-là. Il en découle une logique implacable : par ma faute, quelqu’un peut contracter le virus et en mourir. Je deviens donc un criminel en puissance !
Dès lors que l’on est captif d’un réseau de pensées qui prend sa racine dans le concept « virus terroriste et meurtrier », dès lors que l’on implante dans ma conscience que je suis potentiellement ce terroriste meurtrier, l’injonction « mettre en danger les autres » acquiert une force illimitée et devient la pièce à double face d’un puissant levier idéologique et psychologique : côté face, la bonne intention morale de protection d’autrui et côté pile, le jugement implacable envers celui qui n’agit pas conformément à la préconisation dominante et officielle !
L’union du couple peur/culpabilité devient le ferment actif d’une véritable dictature par le bas : chacun exige de l’autre qu’il se soumette à une nécessité éthique de groupe, laquelle devient l’acte obligé de la totalité des individus.
L’Etat, la version scientifique officielle, l’opinion publique se tournent vers l’insoumis : si tu n’agis pas conformément à la préconisation générale, tu deviens un criminel potentiel ! Pire encore, lorsque cette injonction semble sortir tout droit de ma propre conscience!
Une bien singulière éthique que celle qui s’appuie sur le ressort psychologique de la culpabilité !
De la culpabilisation à l’obligation vaccinale
« Tant que nous n’aurons pas un vaccin, nous ne parviendrons pas à éradiquer cette pandémie !»
La phrase culte rabâchée à satiété sur toutes les ondes ou presque du monde entier, fait apparaître, en face de l’entité conceptuelle « virus terroriste », une autre entité conceptuelle à caractère quasi messianique : « le vaccin sauveur ». C’est donc lui, l’unique, le seul... que l’on appelle de nos vœux, que l’on attend avec ferveur !
Là encore, la même logique déroule son fil d’airain : puisque le terroriste est potentiellement en chacun de nous, le sauveur doit entrer en chacun de nous. Logique implacable ! Dès lors, l’exception doit être bannie.
Et c’est ici que le concept « d’obligation vaccinale » fait son entrée en scène.
Bien que le 24 novembre dernier, le président Macron ait annoncé « Je ne rendrai pas la vaccination obligatoire », tout donne à penser que la question est sans doute très loin d’être définitivement réglée. D’une part parce cette perspective concerne de très nombreux pays de par le monde. D’autre part, parce qu’à la suite de l’annonce présidentielle, nous serions tentés de demander si cette « promesse » reste valable quoi qu’il arrive ?
Autrement dit, est-ce une décision ponctuelle relative à la situation présente ou est-ce une décision définitive qui relève de la conviction éthique du droit au libre choix ? Cette « petite » précision ne me semble pas inutile dans le contexte général dans lequel nous nous trouvons.
Pour ces différentes raisons il est urgent que la question de l’obligation vaccinale soit réellement pensée dans ses implications les plus profondes du point de vue humain.
Une éthique…. totalitaire.
L’infectiologue Karine Lacombe déclare : “[…] Comme dans toute société solidaire et altruiste, ce sont ceux qui accepteront de se faire vacciner qui vont protéger les autres… car lorsque l’on accepte de se faire vacciner on se protège soi mais aussi les autres »”* interview Marie Claire 16/11/2020
L’élément premier qui me semble le plus profondément pervers dans une telle déclaration réside dans le ligotage d’une valeur humaniste à une obligation de ce genre !
Une merveille de manipulation psychologique permettant d’imposer ce que l’on veut à une population ! Le propos des plus simplistes vise implicitement à diviser d’emblée la société en deux groupes : d’un côté, les individus solidaires, altruistes, ceux qui possèdent de vraies valeurs morales et éthiques et, de l’autre côté, les purs égoïstes méprisant le danger de mort qu’ils font courir à autrui !
Chers lecteurs, vous avez donc le choix : le volontariat vaccinal et vous êtes du côté du bien, de l’altruisme, ou le refus d’obligation et vous représentez le mal, l’égoïsme. L’individu est littéralement pris en étau entre ce qu’il ne souhaite pas et ce qu’il est contraint de faire s’il veut rester un individu moral aux yeux de la société.
Quant aux insoumis, les humanistes plein de bonté qui veillent sur l’avenir de l’humanité pointeront vers eux le doigt accusateur : « La persistance des épidémies et des morts seront votre fait ! ».
Karine Lacombe, qui s’inscrit dans la droite ligne de l’approche gouvernementale n’ajoutait-elle pas à ses propos cités plus haut : « Malheureusement, si la défiance est trop importante, la vaccination devra être rendue obligatoire […]. »
Dans l’esprit de cette dernière, la liberté vaccinale ne peut être conservée que sur la base d’un volontariat massif. L’arrivée annoncée du vaccin pour les mois, voire semaines qui viennent, va de toute évidence de pair avec une campagne médiatique destinée à en faire comprendre à la population l’enjeu... éthique, puisque « ce sont ceux qui accepteront de se faire vacciner qui vont protéger les autres ».
Ce n’est donc que si la population ne devient pas massivement altruiste à la manière dont madame Lacombe le conçoit, que « la vaccination devra être rendue obligatoire. […] ».
Dès lors, la loi apparaîtra en justicier dont la tâche sera de « contraindre à la raison », celui qui s’en écartera. Au « mieux » on isolera les rebelles en leur interdisant tout accès à la vie commune, au pire...
Pas à pas, étape par étape, la divergence se transforme insensiblement en dissidence, la conviction personnelle en obligation morale, la préconisation médicale en contrainte juridique.
L’idée de la vaccination « pour autrui » engendre, non pas un altruisme véritable mais une grave atteinte à la liberté de conscience. Des valeurs aussi profondes que la solidarité et l’altruisme sont ici placées sur un plan illégitime, ayant pour effet d’engendrer le plus insidieusement qui soit une forme d’éthique par la culpabilité, une éthique excluant toute altérité d’opinion, une éthique… totalitaire.
Cette prise en otage odieusement manipulatrice des bons sentiments doit être mise à jour et dénoncée !
Les sophismes de l’obligation vaccinale
Premièrement, à celui qui accuserait mes propos d’égoïstes, je réponds en premier lieu que l’approche médicale qui aboutit à une telle « préconisation », est tout sauf une vérité scientifique absolue et unique. Il y a donc d’autres façon de penser la résolution du problème ! Les plus grands scientifiques mondiaux se sont diversement expliqués sur ce point. La volonté d’obligation vaccinale est donc d’abord l’expression d’une idéologie médicale qui se croit absolue. Elle représente déjà une dictature de la pensée. Cette dernière conduit inévitablement à une dictature de l’action.
Il ne s’agit donc en aucun cas d’égoïsme ou d’irresponsabilité mais d’une autre façon de concevoir la résolution du problème ! L’obligation vaccinale interdit cette altérité.
Que l’on regarde seulement, avec honnêteté, le fossé existant entre le fait d’être positif à un test PCR (dont le CT est situé entre 35 et 50) et le fait d’être réellement porteur d’un virus actif : un premier décompte engendrerait déjà une chute vertigineuse des chiffres. Que l’on regarde ensuite, à partir de ce qui reste, le second fossé existant entre ceux qui sont vraiment porteurs du virus et ceux dont la vie est réellement en danger, un deuxième décompte ferait encore chuter les chiffres de façon tout aussi vertigineuse.
Sur la base de chiffres réalistes et honnêtes qui rendraient compte qualitativement des risques réels, une fois retranchées les personnes déjà atteintes de pathologies graves après soixante-dix ans, les diabétiques et quelques autres affections, on arriverait à un taux de létalité totalement dérisoire !
Au mépris du réel, on inonde la population de chiffres globaux, gonflés, qu’on illustre en dénichant les cas d’exception servant la thèse dominante.
Deuxièmement, pourquoi un individu non vacciné mettrait-il en danger des individus vaccinés ? Sauf si le vaccin est inefficace, nulle personne vaccinée ne devrait se sentir mise en danger puisque justement la vaccination est, pour celui qui le souhaite, la garantie de sa protection ! Sauf génocide de la logique, nul n’a besoin de la vaccination d’autrui pour se protéger lui-même !
Précisons bien qu’il n’est pas question ici d’opposer les pour et les contre la vaccination ; nous parlons de l’obligation vaccinale, laquelle relève d’une discrimination négative pénalisant des gens sains qui ne souhaitent pas la vaccination pour eux-mêmes.
La conservation de son intégrité corporelle et intellectuelle comme principe éthique supérieur à toutes les autres.
A la spoliation du principe d’autodétermination qui garantit le respect de la personne individuelle s’ajoute la violation de l’intégrité corporelle. Car peut-on imposer à des individus sains de corps et d’esprit d’introduire, sous la contrainte, des substances dans leur propre corps ?
De la science-fiction ? Non cette menace est aujourd’hui bien réelle et ne manque pas de faire frémir toute personne attachée à l’exercice de sa liberté de choix. Il semblerait que l’humanité actuelle doive de nouveau mener un combat pour la conserver.
Dans les temps qui viennent, l’être humain devra absolument exiger jusque dans la loi, de garder le pouvoir absolu de décision concernant sa propre entité corporelle. L’intégrité corporelle doit rester affaire individuelle ! Ce principe doit être placé au-dessus de tous les autres.
Nul ne saurait être obligé de consentir à un acte qui aurait la valeur d’un viol. Nul ne doit faire l’objet d’une répression morale et juridique pour un tel choix.
Au Danemark, le projet de loi qui vient d’être fermement contesté par une minorité lucide et active consistait à octroyer au ministère de la santé « ... la capacité d'isoler, de traiter de force et de vacciner de force des groupes de population si cela vise à enrayer la maladie contagieuse".
Avons-nous bien lu ? Il est question d’obliger des groupes de population, à une vaccination, manu militari ! Au nom de la protection de tous cela va sans dire !
La question est donc d’une extrême gravité ! Que l’on soit favorable ou défavorable pour soi-même à tel ou tel vaccin n’est pas la question. La seule question ici est de savoir qui doit en décider ? Est-ce chaque individu selon sa conscience ou est-ce une autorité de tutelle qui prétend posséder la connaissance ultime de ce qu’il convient de faire ?
Tout le monde doit donc se sentir concerné par un tel enjeu. Quels que soient ses choix médicaux, tout être humain qui aime la démocratie, doit revendiquer avec force le même degré de liberté de choix pour celui qui pense autrement que lui !
Ce n’est pas une question d’égoïsme, c’est une question de dignité !
Toute obligation de ce type revient à destituer l’individu de son droit à se déterminer lui-même. Seul un individu qui conserve cette liberté peut encore être appelé individu. Ou alors ne parlons plus de démocratie, de liberté mais d’un troupeau de moutons guidés par les bons bergers de la conscience morale universelle...
Gardez votre obligation vaccinale solidaire, je garde ma dignité
Madame Lacombe, j’ignore quelle est la valeur marchande, pour vous et vos frères d’armes, de cette « éthique du vaccin pour le bien d’autrui », que vous défendez si bien en vous drapant de rigueur scientifique et d’altruisme. Je refuse votre morale vrillée et manipulatrice qui à mes yeux n’est rien d’autre que le signe avant-coureur d’une monstrueuse dictature.
Je souhaite pouvoir me vacciner si je le veux, et ne pas me vacciner si je ne le veux pas ! C’est mon affaire. Je l’affirme comme principe souverain.
Et je récuse l’idée simpliste et perverse de l’égoïsme ou de la mise en danger d’autrui si je ne souscris pas à votre logique. Le danger, le vrai, c’est le totalitarisme qui sévit dans les consciences de directeurs de conscience sans conscience.
Nul argument fallacieux, nulle propagande, nuls détours par une troisième, une quatrième vagues… ne me feront abandonner mon bien le plus précieux, gage de la dignité humaine : ma liberté de penser, de choisir, d’agir, de devenir !
En d’autres temps, les hommes ont dû lutter pour conquérir leur liberté. Faut-t-il désormais en faire de même pour la conserver ? Humains qui voulons le rester, il nous faut réclamer avec force une garantie de droit, pérenne et non négociable du pouvoir souverain de tout individu à disposer de son intégrité corporelle. Plus encore, la protection juridique contre toute discrimination d’accès à quelque service que ce soit au seul motif de la non-vaccination doit être, dans un état démocratique, garantie par la loi. Une ostracisation par voie détournée équivaudrait à un asservissement déguisé en libre choix et reviendrait à mettre un costume de démocrate sur une dictature.
Le temps est venu de nous unir, indépendamment de toute appartenance, de toute nationalité, sur la base du seul attachement à une valeur universelle, qui fait de nous des êtres humains à part entière, porteurs de nos idées, de nos choix, de notre liberté.
Thomas Verden, conseiller pédagogique et philosophe
Auteur(s): Thomas Verden pour FranceSoir
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whistlebloom · 5 years ago
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Crise positive 
Transition écologique et confinement collectif. Vous ne voyez pas le rapport ? Pourtant on est bien dedans... Comment en est-on arrivé là, que pouvons-nous en tirer, et surtout, comment envisager l’après ? Comme une excuse pour prendre le versant positif de cette crise, et croire que cette expérience peut nous rendre meilleurs. 
Ce virus serait-il un message envoyé par la nature ? On pourrait l’interpréter ainsi. Le Covid-19 arrive dans un contexte écologique qui fait réfléchir aux dysfonctionnements de notre société, que ce soit en terme de traitements de nos animaux ou de notre écosystème. Si nous continuons comme ça, il se pourrait même que d’autres virus émergent de la fonte des glaces. Un rythme incessant trop occupé à répondre aux objectifs d’un train train quotidien toujours en quête d’optimisation. Après quelques semaines de mise à l’arrêt, on ouvre enfin les yeux sur une réalité qu’on avait peut-être trop oublié. 
Depuis que nous sommes en confinement, c’est un fait, la planète respire de nouveau. La qualité de l’air s’est améliorée avec de -30 % à -60% de dioxyde de carbone pour la région parisienne (selon Airparif). Elle n’aura jamais été aussi bonne depuis 40 ans. Grâce à l’absence d’activité de plaisance en mer, en montagne et sur les routes, on l’a vu, la nature reprend ses droits : les poissons ont plus d’oxygène dans l’océan, les dauphins sont revenus dans les ports de Sardaigne, les canards dans les rues de Paris, et même les loups sur les pistes de Courchevel. Partout, les oiseaux chantent… ou plutôt on les écoute. (On peut même contribuer à la recenser sur le site de la LPO). Par cette phase en suspens, le silence refait surface, on prête plus d’attention à ce qui nous entoure, on redécouvre nos proches, notre nourriture, les valeurs simples du quotidien… et même les étoiles du haut de nos appartements parisiens. 
Mais pour que tout cela ne soit pas qu’une parenthèse enchantée, j’ai voulu m’intéresser à ce qu’il se passerait “après”. Et malheureusement, je me suis vite rendue compte que, pour beaucoup, les raisons économiques pourraient prendre le pas sur les questions écologique. A tort, car ces deux entités, encore plus aujourd’hui, sont étroitement liées pour affronter les crises futures. La question est à juste titre : comment sortir intelligemment du confinement ? Soit on se remet à occuper l’espace comme avant sans se poser de question sur notre consommation, soit on prend le temps du confinement pour réfléchir à vivre différemment. Au mieux, on aura retardé de deux mois le réchauffement climatique, au pire on fera face à une phase de sur-consommation qui annihilera tous ces efforts. 
L’idée est de tirer les leçons de nos erreurs passées, notamment quand on repense aux dernières crises économiques où il y a eu recours à des aides financières. Je parle là de 2008, où pour sortir de cette dépression, les priorités ont largement été mises ailleurs que dans l’écologie (2% pour le climat, 0,2% contre… le reste ? y était indifférent). L’engagement écologique n’est pas une entrave à la sortie de crise, au contraire, il peut aider à reconstruire dans le bon sens une société plus résiliante. 
Cette semaine est sorti un plan de relance publié par I4CE (Institut for Climate Economics). Il tient compte de sept investissements verts bas-carbone, dont le logement, les déplacements, les énergies renouvelables... au sein d’une trentaine de mesures pour réactiver l’économie. Aussi honorables soient-elles pour anticiper les crises futures, elles devront cependant être encadrées de normes et de politique fiscale. Le risque sinon ? Retomber dans une crise sociale telle que celle des gilets jaunes. Ainsi, le député Matthieu Orphelin, en appel à “la mobilisation du monde de la culture, de la publicité, et de l’éducation, pour construire un nouvel imaginaire collectif, axé sur l’esprit de solidarité, de sobriété, et de responsabilité écologique.”
Si l’engagement écologique s’élabore principalement autour de l’Etat, je voudrais souligner qu’il prendra forme avant tout à travers chacun de nous. Le professeur Bruno Latour l’appuie par une réponse radicale dans un entretien pour France Inter : “si on ne profite pas de cette situation incroyable pour changer, c’est gâcher la crise”. Alors qu’il y a quelques mois encore, l’opinion publique pensait qu’il était impossible de suspendre notre modèle économique, aujourd’hui ça y est, le monde entier se retrouve à l’arrêt. C’est une aubaine pour le changement. Mais à quoi sert d’être dans une telle situation si c’est pour ensuite tout reprendre comme avant ? 
Face à la catastrophe écologique qui s’annonce, c’est l’occasion d’infléchir notre système de production et de mondialisation, dont nous savons qu’il est une des causes de ce désastre sanitaire. Notre chance, c’est que pour la première fois depuis bien longtemps, on est tous égaux face à une crise. Prenant conscience de notre pouvoir de masse, on se doit de profiter de cette globalisation, pour questionner nos modes d’existence. Une difficulté qui est d’abord individuelle pour savoir ce à quoi on tient ou à contrario ce qui nous est superflu, et à plus grande échelle : inciter chacun à avoir un regard sur la cohérence de notre société. 
“Ne pas avoir de discernement face à une telle crise, c’est un crime (...) c’est une chance cette épidémie si on la saisit bien” ajoute Bruno Latour dans son discours. Ce raisonnement, aussi radical qu’il puisse paraître, a cependant beaucoup à tirer dans l’idée de “jouer le coup d’après”. Car comme le dit le professeur, “la crise suivante, on ne sait pas si on pourra la surmonter”. 
La crise suivante, c’est celle de l’effondrement. Aujourd’hui, si on veut être acteurs de notre futur, on doit passer par une réflexion sur “les déplacements”. Ceux que nous engendrons pour nous même d’une part, mais aussi les déplacements de notre nourriture, de nos vêtements et de tout ce qui constitue notre entourage matériel. Aujourd’hui, je crois qu’on est sur la bonne voie. Il y a tout à faire, et j’ose espérer que nous sortirons de cette crise avec un peu de satisfaction. 
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gaboninfoslive · 1 year ago
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CTRI : Le Chef de l'Etat, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema s'est entretenu avec le ministre du Pétrole
Le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, Président de la Transition, Chef de l’Etat s’est entretenu le 25 septembre 2023 au Palais Rénovation avec M. Marcel Abeke, ministre du Pétrole. Cette rencontre qui intervient dans le cadre des consultations initiées par le le Président de la Transition avec les différents responsables des entités administratives du pays a été l’occasion pour le membre du…
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iweb-rdc001 · 1 year ago
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RDC-table ronde sur l'état de siège : des jeunes ressortissants de l'Est insistent sur la levée de la mesure dont le bilan est un échec
Le chef de l’Etat est toujours attendu au tournant alors que les travaux de la table ronde sur l’état de siège au Nord-Kivu et en Ituri ont pris fin la semaine dernière à Kinshasa. Si la plupart des participants ont exprimé leur souhait de voir la mesure être levée, des voix des ressortissants des entités concernées émettent également sur la même longueur d’ondes. Tous sont unanimes que l’état de…
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