#elina lowensohn
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olvaheiner · 1 year ago
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'' Si l'amour est brutal avec vous, soyez brutal avec lui ''
Connan (2023)
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365filmsbyauroranocte · 1 year ago
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Simple Men (Hal Hartley, 1992),
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inthedarktrees · 1 year ago
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Elina Löwensohn | Nadja | 1994
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glennfitzgerald · 1 year ago
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Amateur (1994)
Hal Hartley
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artfilmfan · 2 years ago
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Elina Löwensohn & Parker Posey in “Fay Grim” (Hal Hartley, 2006)
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sowhatifiliveinfukuoka · 4 months ago
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Elina Löwensohn
🎥 Nadja (1994)
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strathshepard · 1 year ago
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Simple Men (Hal Hartley, 1992)
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ecultured · 2 years ago
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amateur, 1994 x
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specific90saesthetics · 1 year ago
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ELINA LOWENSOHN
11 July 1966
            Elina Löwensohn is a Romanian-American actress. Born in Bucharest, Romania, her father was a Jewish Holocaust survivor. After her father’s death she and her mother immigrated to the US. Lowensohn studied acting in New York City and has worked as an actress on both stage and screen.
Elina Lowensohn has appeared in: Theory of Achievement (1991), Schindler’s List (1993), Nadja (1994), Basquait (1996), Seinfeld (1994), The Bill (2001), and Parlement (2023).
#elinalowensohn #nadja1994
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olvaheiner · 1 year ago
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Conann (2023)
Directed by Bertrand Mandico
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chinchillasorchildren · 6 months ago
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Films of 2024: She is Conann (dir. Bertrand Mandico)
(3/5)
Elina Löwensohn signing up to work with little freaks named Bertrand:
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terminalfix · 11 months ago
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(via She Is Conann - U.S. Trailer - YouTube)
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mogkiompmovieguide · 2 years ago
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Basquiat
Julian Schnabel
U.S / 1996 / 108 min
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A mi-chemin entre Cinéma et Peinture, le film de Julian Schnabel est quelque chose que l’on contemple.
L’histoire vraie d’un peintre devenu célèbre en 1981, Jean-Michel Basquiat, ce jeune graffeur de 21 ans d’origine Haïtienne vécu une carrière fulgurante, il meurt sept ans plus tard d’overdose d’Héroïne. Aujourd’hui mondialement célèbre en étant devenu l’un des peintres le plus populaire et reconnu du 20ème siècle.
Dans ce film, Julian Schnabel nous dépeint cette vie de folie en suivant les traces du critique d'Art, Robert Hughes, qui a intitulé la nécrologie de JMB "Requiem pour un poids plume", ce qui est intéressant et inattendu à propos de cette vision, est qu'elle fait de nouvelles observations sans pour autant réfuter le jugement de Hugues.
Nous assistons douloureusement à la chute de cet artiste surmédiatisé aux ailes cramées. Entre drogue et autres types d’influences, absorbé par un milieu absurde et superficiel dont Andy Warhol était l’architecte ; dans lequel on exploitait l'Art et les artistes de façon commerciale et spéculative. Le concept des « 15 minutes » de célébrité imaginé par Warhol devenait une réalité.
La mise en scène et la reconstitution de l'ambiance qu'il régnait dans le Lower East Side des années 80 à New York n’aurait jamais été aussi bien retranscrite qu’avec cette B.O soigneusement sélectionnée, et qui contribue également à faire de ce film l'un de mes favoris, et ma première source de découvertes soniques ; Notamment avec des compilations comme New-York Noise et l’album culte No-New York ; à la croisée de la scène Jazz, Hip-Hop, Rock, et même Électronique. Je pense notamment au film documentaire qui accompagne celui-ci : Downtown 81. Que je diffuserai aussi d’ici quelques jours.
Jeffrey Wright incarne J.M Basquiat de façon absolument surprenante, parfois troublante de réalisme, ce qui a sans doute été l’un des meilleurs choix du Réalisateur, il est difficile aujourd’hui d’imaginer quiconque de différent occuper ce rôle.
D'autres dans le casting incluent David Bowie en tant que Andy Warhol, Michael Wincott est René Ricard, Paul Bartel ; Henry Geldzahler et Elina Lowensohn la marchande d'Art Annina Nosei; parmi les acteurs incarnant des personnages fictifs il y a notamment Gary Oldman (en tant que remplaçant apparent de Schnabel lui-même), Benicio del Toro jouant le partenaire de défonce, Christopher Walken (brillamment en tant qu'intervieweur puant et hautain) ; Willem Dafoe et Courtney Love. Ainsi que de nombreuses apparitions brèves mais toujours appropriées des différentes figures de l'underground New-Yorkais.
C'est aussi assez énergique - il n'y a pas de plan ennuyeux nulle part, et le scénariste-réalisateur Schnabel s'amuse clairement en jouant avec le son expressionniste, les montages à la manière d'un Eisenstein moderne et toutes sortes d'autres idées cinématographiques. Ce qui émerge peut être flou en tant que récit, mais vivant en tant que Cinéma.
Sans aimer ni détester l'Art de Basquiat, pas plus que le Pop Art en général. J'ai été surtout fasciné par la vie de cet artiste. J'aime la manière dont Julian Schnabel figure de façon très romantique l'histoire de ce 'Beautiful loser' (c'est un peu le Kurt Cobain de la peinture).
Le spectateur est guidé au travers de cette chronique biographique, pensée et filmée avec onirisme et poésie, souvent du point de vue de ce jeune génie tourmenté, faussement naïf.
Initié lui-même au monde de l'art, Schnabel vise à élucider le conflit inhérent entre un génie rebelle et incompris et la société grossière qui l'entoure. Mais il semble réticent à adopter un point de vue clair sur son sujet - il n'est jamais clair si Basquiat a été victime de sa personnalité autodestructrice et/ou de son milieu matérialiste exploiteur. Il a certainement apprécié d'être courtisé par les marchands et les collectionneurs et les récompenses qui accompagnent la notoriété.
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Il y a de véritables moments de beauté dans ce film ; la séquence d’engueulade surréaliste entrecoupés d'extraits d'un film de 1922 "Les Grenouilles qui demandent un roi" du Réalisateur Russe Władysław Starewicz, en est un, le tout bercer par Van Morrisson interprétant It's All Over Now Baby Blue.
C'est une œuvre d'art imparfaite, peut-être oui, mais c'est de l'Art. La tendance de Schnabel à se rabattre sur certaines conventions biographiques assez standards est probablement due à son statut de cinéaste novice. C'est probablement en partie la raison - avec le fait qu'il le pouvait - d'avoir recours à une sorte de casting d’invités de marque, avec les acteurs de soutien. Dans le cas de la représentation d'Andy Warhol par David Bowie, c'est plus que payant. Bowie a-t-il été choisi uniquement pour l'apparence? Ou sur la force d'avoir écrit une chanson sur Warhol - une chanson qui inclut la phrase "habiller mes amis juste pour le spectacle et les voir tels qu'ils sont vraiment?" Dans un sens, n'est-ce pas ce que fait Schnabel avec ce film ? Quoi qu'il en soit, Bowie's Warhol est la représentation la plus humaine et la plus crédible de l'homme à ce jour. C’est le complément parfait au rôle de l'artiste toxicomane de Jeffrey Wright. Même si Wright n'aime pas ce que Schnabel a fait à sa performance dans le montage, cela ne change rien au fait que son Basquiat est une création fascinante, tout comme le film qui l'abrite.
Exceptionnellement, j'ai ajouté au dossier la formidable B.O
Le film ICI
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shihlun · 2 years ago
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Michael Almereyda
- Nadja
1994
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dare-g · 2 years ago
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Boro in the Box (2011)
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