#electrosanne festival
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matthewfrancey · 5 years ago
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Sherelle Announces European Tour
The 13-date tour kicks off this week.
Echo Location Talent
Red hot newcomer Sherelle is blowing up in a big way. After some big-name appearances at festivals across the UK and Europe, she has now announced her first ever European Tour.
Kicking off this week the energetic selector will be hitting up 13 cities throughout the summer, taking in Germany, Italy, The Netherlands, Spain, Switzerland and her native UK.
Highlights of the tour include double dates at Glastonbury, Amnesia Ibiza, Xoyo and Ortigia Sound System Festival in Sicily. You can check out the tour in full below.
  19th June | Munich | Hypie Hypie
28th June | Norwich | Boiler Room @ Bermuda Bob’s HiFi
30th June | Glastonbury | The Common
30th June | Glastonbury | Silver Hayes
11th July | London | Xoyo
12th July | Lewes | Brainchild Festival
16th July | Netherlands | Doornroosje
25th July | Sicily | Ortigia Sound System Festival
27th July | Sheffield | Summer Festival
30th July | Ibiza | Amnesia
3rd August | London | Eastern Electrics
7th August | London | Keep Hush
31st August | Switzerland | Electrosanne Festival
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callmemoprah · 6 years ago
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Der Vorteil der Arbeit zu Hause Schreiben zu Jura
Bis in die Arme Über der Arbeit zu Hause Schreiben zu Jura?
Den job, den ich angeboten wurde hat nicht funktioniert, aber ich blieb in Bangkok, mit meinem Facettierung Maschine, und versucht haben, um so viele Menschen wie möglich, weil ich wusste, dass Bangkok würde schließlich bieten mir das, was ich suchte. Die ganze Art der Arbeit, die veröffentlicht werden, geht durch verschiedene Phasen, Korrekturlesen und editieren, so dass die endgültige version ist völlig makellos, wenn es gedruckt ist. Work ‘ N ‘ ‘Share bietet die perfekte Büro entfernt vom Büro (oder zu Hause) und ist ein Idealer Ausgangspunkt, doktorarbeit ghostwriter wenn Sie neu in der coworking-Welt. Die Arbeit des Korrekturlesen und Lektorat ist von Leuten gemacht, die Arbeit in einer hierarchischen Ordnung, so dass es keine Chancen auf irgendeine Art zu schreiben, die Fehler übersehen werden. Es geht um die Aufgabe gründlich Lesen das Manuskript, das gedruckt werden muss und erkennen alle die Fehler im Satzbau, Rechtschreibung, Grammatik und Satzzeichen, und dann korrigiert wird, das ganze Manuskript, das als bekannt ist, Bearbeiten Sie den text. Es ist auf drei Arten erfolgen. Das Korrekturlesen und editing-Arbeit ist ein Zwang für jede Art von geschriebenen text, ob es ein Manuskript oder einen digitalen text.
Das Gute, das Schlechte und die Arbeit zu Hause Schreiben zu Jura
Warum sollten Sie versuchen, Sie outBautista Dahlro, Jura 11 Gründer, ist auch ein bisschen eine lokale Legende, gründete in Lausanne das Electrosanne festival. Die Gründer der Work ‘ N ‘ ‘Share beteiligt gewesen Lausanne coworking space seit den frühen Tagen und haben sich eine treue Anhängerschaft. Der bekannte dichter, Autor und Schriftsteller Langston Hughes schrieb einmal, Haltet fest an Träume, denn wenn Träume sterben ist das Leben ein gebrochen-winged Vogel, Die nicht Fliegen können, Denken alle der parallelen könnte man ziehen aus, die kurze vier-gefüttert-Gedicht, das gilt für unsere Philadelphia Eagles. Schauen wir uns die NFC-Champion, die Atlanta Falcons.
Neue Schritt für Schritt Fahrplan für die Arbeit zu Hause Schreiben zu Jura
Seine schon fast ein paar Monate bei mir auf der kognitiven team und die wir veröffentlicht haben, ein stabiles system für unsere NLP genannt Pachamama, verbessert die Effizienz und improvisierten feedback-system. Ausgaben ein paar Wochen in einer Wohnung können Sie zu Fuß in Ihre Schuhe, und probieren Ihre Art zu Leben. Weiter bis Lausanne direkt neben Fourmi metro, La Serre ist leicht erreichbar mit der metro M2. Einige sind neu auf dem Platz, aber nicht weniger leidenschaftlich. Es geht um bescheidene, bescheidene, preiswerte Unterkunft in herrlich abgelegenen Orten auf, wo Sie können, tun Sie Ihr bestes, workundistracted.
Immer die Beste Arbeit zu Hause Schreiben zu Jura
Während der langsamen Zeiten, die Menschen versuchen, Geld zu sparen. Bieten Sie ein wirklich gutes Geschäft, indem Sie Preise unterhalb der Konkurrenz. Bei der Einstellung ein Preis, versuchen zu denken, wie ein Käufer, der sucht, um die Schnellste, Günstigste und bequemste Angebot. Manchmal sind die Unternehmen selbst besitzen und betreiben das call-center, während andere Unternehmen beauftragen bestehende call-Center für die Bewältigung Ihrer Arbeitslast. Der Mitarbeiter wird dann entweder in der Arbeit eine Standleitung und beantworten nur mit der Kreditkarte, den Namen, oder Sie können Anrufe für beide Eltern Unternehmen und dem Kreditkarten-Unternehmen. Am Ende der Schicht, beendet er Ihre letzten Anrufs, schaltet sich ab, die Ihre Elektronik und nach Hause geht. Mitarbeiter, die auf inbound-call-center-teams kommen für die Arbeit gut vor dem start Ihrer Schicht, Ihre computer-Anwendungen laufen, setzen Sie auf Ihrem Kopfhörer und loggen Sie sich in das Telefon-system.
Source: http://mobimatic.io/2018/12/18/der-vorteil-der-arbeit-zu-hause-schreiben-zu-jura/
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danceinthegarage-blog · 7 years ago
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Garage avec Joss Martin, Moti, Qlons & Niño Abol
Les parents des italo-péruviens David et Claudio Quinto n’hésitent pas à les initier très vite à la musique avec un mélange de soul, de funk, de musique folklorique chilienne et de disco. Quelques années plus tard, les adolescents s’essaient à la guitare, au chant et à la basse tout en suivant passionnément le mouvement Indie-Rock des années 90. Peu de temps après, David s'installe à Genève et découvre la scène Techno dans les squats et clubs locaux. Pendant ce temps, Claudio tourne avec plusieurs groupes folkloriques andin ce qui l'amène au festival Caribana, Electrosanne ou encore Rocking Chair. En 2010, David et Claudio décident d'explorer les synergies qui résident entre leurs influences respectives. Ils créent alors Qlons. Qlons c’est un mélange délicat et mélodieux d'instruments, d’enregistrements d'ustensiles ménagers (poêles, boîtes à thé, perceuses, etc.) et de musique électronique.
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lagroupie · 8 years ago
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Interview : La Main Mise
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Photos: Emakina
Formé il y a trois ans par des amis passionnés de musique, le Collectif La Main Mise a désormais pleinement sa place dans la scène électronique Lausannoise. La bande aime faire la fête et mettre l’ambiance à sa manière, à coup de perles rares sur vinyle ou en format digital- des années 70 à nos jours. Rencontre avec Super Bock d’Antoine, Nicolas, Roméo, Lucien et Yannick lors de la première Under Session qui s’est tenue le 24 août dernier. Vous saurez tout sur La Main Mise et ce qui motive ses membres à aller toujours plus loin !
Qu’est-ce qui vous a poussés à démarrer le collectif La Main Mise en 2014 ?
Antoine : L’amitié d’abord, l’envie de faire des activités hors du contexte de notre travail- on s’est rencontrés avec Nico dans un resto. Je faisais mes heures sup’ d’étudiant, et lui « gradait » petit à petit dans l’établissement. On avait envie de faire quelque chose en-dehors de nos domaines respectifs pour se voir un petit peu en-dehors du taf et faire vivre notre passion, la musique. Nico a une collection de vinyles hallucinante, et moi je collectionne les synthés et d’autres boîtes farfelues. On s’est dit que c’était bête de garder tout ça pour nous, et puis on a toujours été des rassembleurs. On avait envie de faire la fête, d’amener tous nos copains à nos soirées et d’avoir des lieux dans lesquels se rassembler. Ça avait du sens de faire quelque chose. Et puis c’est un collectif événementiel, l’idée au départ c’était vraiment d’organiser des événements.
Nicolas : Oui, faire des teufs cools parce qu’on ne trouvait rien qui nous satisfaisait.
Antoine : On sentait qu’on était un peu dans une fin de cycle à Lausanne, il y avait une grande émulsion de collectifs électroniques. Il y a eu Electrosanne, de chouettes manifestations autour de la musique électronique. Au bout d’un moment, on a un peu le sentiment que ça devenait élitiste. Il y avait toujours les mêmes personnes aux mêmes endroits, et ça se renouvelait peu. Et puis, c’était pas « notre » collectif, ou « notre » histoire. On avait envie de faire un truc à nous et ne pas toujours être spectateurs de l’énergie et de la passion des autres.
Nicolas : Sans pour autant prendre le lead, le but c’était vraiment de participer, de diversifier et d’organiser des fêtes comme nous on le concevait… Et puis, de faire kiffer les gens.
Comment cela s’est-il passé la première fois que vous avez organisé un évènement ?
Nicolas : C’était méga cool. Je pense que pour beaucoup de collectifs, le premier événement c’est à 95% des potes et des potes de potes. Le 5% restant, c’est des gens qui se sont perdus et qui se sont trouvés là par hasard ! (rires) Il y en avait quand même deux-trois, et puis cela n’a pas duré tard dans la nuit. On a passé nos meilleurs vinyles de l’époque. Il y avait des décorations en carton, le tout tenait avec des bouts de ficelle ! (rires)
Antoine : Pas mal de scotch, des agrafes- on adore les agrafes !
Nicolas : Scotch, agrafes, ficelle. La fondation de La Main Mise… c’est ça ! Cela l’a été pendant très longtemps, et ça arrive encore régulièrement.
Antoine : Ouais, maintenant c’est quand même plutôt la corde et le pistolet à clous !
Nicolas : La première édition a tout de suite répondu à nos attentes, on s’est dit : voilà, c’est la fête comme on la conçoit. L’ambiance, le partage entre les gens, c’est ce qu’on voulait.
Antoine : Même si au départ, les lieux n’étaient pas aussi sexys que ceux où on a maintenant la chance d’aller. On revient presque maintenant à l’idée d’aller dans des lieux un peu moins sexys et d’essayer de… Il y avait du challenge quoi, c’était cool de faire des soirées dans des lieux où tu n’irais jamais s’il n’y avait pas tes potes qui organisaient une soirée là-bas. Et puis, il y avait la possibilité de vraiment créer un truc dans ces endroits. Du coup, je pense qu’on va gentiment revenir à une petite audace. Pourquoi pas.
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Quel est le futur de la Main Mise ?
Nicolas : On ambitionne pas mal de choses, avec un peu de chance on va réussir à le faire. Et puis beaucoup d’aide et de travail. Parce qu’avant de faire la fête, c’est du travail.
Antoine : On travaille pour faire la fête.
Nicolas : On va continuer à organiser des soirées, l’idée c’est de faire de plus en plus gros. On était de plus en plus de gars. On aime bien l’idée d’un mini-festival cet été.
Antoine : On est beaucoup à être dans notre activité, plein de petits collectifs passionnés. Ce serait chouette de faire vivre un gros évènement avec tout ça.
Nicolas : C’est une des idées fondatrices du truc. Comme je l’ai dit au début, on ne veut pas prendre le lead. L’idée c’est de participer à la scène électronique en vivant les uns avec les autres. Depuis le début, on essaie à chaque fois d’inviter un mec différent, et puis surtout de collectifs qui viennent d’ailleurs.
Antoine : Ça donne aussi une substance à la scène locale, de grouper des gens et de montrer que oui, il y a plein de petits amateurs qui remplissent des soirées petit à petit. Ça donne une la crédibilité à la musique électronique, qui est bientôt en train de prendre une crédibilité absolue- elle est déjà présente quasiment dans tous les styles de musique. En plus de ça, là il y a vraiment l’idée de se dire qu’au niveau de la ville de Lausanne, il y a déjà d’autres collectifs qui sont déjà plus établis et qui ont des clubs, des établissements où il y a de la fête régulièrement. Nous voulons être pris au sérieux un minimum en se mettant à plusieurs et en montrant que nous aussi, avec nos petites mains, on a essayé de faire des choses qui restent sérieuses. Comme on disait, c’est du travail pour faire la fête et pas que la fête pour faire la fête. On pense que c’est à plusieurs qu’on se fera entendre.
Nicolas : On aime bien aussi l’idée d’un label. On verra ce que ça donne. On rêve et on essaie de se diversifier.
Selon vous, comment se porte la scène électronique lausannoise ?
Antoine : La scène électronique lausannoise est absolument fabuleuse en ce moment. Mais comme on disait dans la question précédente, c’est vrai qu’on manque un peu de crédibilité. Je pense qu’on n’est pas encore tout à fait légitimes aux yeux des pouvoirs publics qui essaient en permanence de cadrer la fête- pas forcément de la limiter, mais de l’organiser un maximum. Pour l’instant, c’est des acteurs un peu plus sérieux qui sont demandés pour faire ce travail-là. Mais je pense qu’on va réussir petit à petit, avec tous les collectifs qui sont présents et qui font que la scène électronique lausannoise d’aujourd’hui est un vivier impressionnant- il y a des producteurs, des labels et des collectifs qui organisent des soirées à tire-larigot. Rien qu’entre nous, on a une quinzaine de copains qui font partie d’autres collectifs et qui font à peu près la même chose que nous tout en ayant leur originalité. On ne se marche absolument pas dessus.
Nicolas : Au contraire, on marche main dans la main en fait.
Antoine : Je pense qu’il y a cette émulsion d’initiatives et de volonté qui va aboutir à une prise en considération par des gens un peu plus sérieux. Ca aboutira certainement à faire perdurer cette dynamique qui est bien présente.
Nicolas : C’est un phénomène assez nouveau, donc c’est normal que les autorités en place ne soient pas forcément prêtes. Lausanne, ce n’est pas non plus la « big ville »- à Zurich, cela fait des années que c’est là, mais à Lausanne cela arrive depuis dix ans seulement. On veut juste organiser des évènements cools, on ne veut pas foutre la merde.
Antoine : Dans le respect, et voilà. Mais gentiment ça se fait comprendre.
Nicolas : Les choses évoluent au fur et à mesure. Il y a de chouettes clubs qui ouvrent.
Comment vous répartissez-vous les tâches au sein du collectif ?
Roméo: Je sors du milieu de la photo. Quand j’ai rejoint le collectif au tout début, ils avaient besoin de quelqu’un qui fasse un peu du média pendant les soirées. Du coup c’est comme ça que j’ai intégré le truc. À la base, je pense qu’on s’est surtout sélectionnés par rapport aux compétences particulières qu’on avait les uns les autres, et notre attrait pour la musique. On avait aussi tous envie de faire la fête.
Lucien : Ouais, chacun notre petite signature musicale. C’est ça qui fait qu’on reste assez polyvalents. On aime bien avoir des soirées un peu différentes, des fois techno, des fois plus house. Cela créé un public encore plus grand.
Yannick: Après, notre étiquette générale dans la main mise, c’est quand même des sons assez house, assez groovy- assez chaleureux finalement. On essaie de garder cette ambiance générale. Après, il est aussi arrivé qu’on fasse des soirées techno également.
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Vous mixez aussi avec du vinyle. Qu’est-ce qui vous plaît avec ce support ?
Roméo : Alors moi j’ai appris sur vinyle. Avec Yannick, on a investi dans des platines vinyles. On avait envie d’apprendre à mixer, on s’est dit : autant apprendre à la dure et aller directement dans le plus difficile avec le vinyle. C’est de toute façon plus délicat qu’avec des CDJ où tout est numérique, tout est calé. Et puis il y a aussi le support. C’est-à-dire qu’il y a quelque chose- on touche la musique en quelque sorte, on a les doigts posés sur les morceaux qu’on joue. Ca ajoute tout un côté un peu artisanal, un peu plus vrai. C’est plus une victoire d’avoir les morceaux qu’on joue parce qu’il faut les chercher, il faut les trouver- ça coûte plus cher. Il faut beaucoup, beaucoup digger. Et puis, il y a un esprit à travers le vinyle. C’est quelque chose qui revient beaucoup, c’est de plus en plus à la mode. Mais c’est surtout le fait de pouvoir toucher la musique que je suis en train de mixer que j’aime. À la base du collectif, on avait comme valeur initiale de mixer que du vinyle, tout le temps. Après évidemment, au bout d’un moment on comprend bien que c’est pas possible. On s’est égarés et le CDJ permet des choses qui sont impossibles à faire avec le vinyle. Chaque chose a sa particularité, mais-
Yannick : On joue principalement tous vinyle. Après, cela arrive qu’on utilise parfois la CDJ pour des morceaux qui sont pas forcément sur vinyle ou des morceaux pour lesquels on n’a peut-être pas assez d’argent. Certains morceaux sont 150.- sur les plateformes en ligne, et ce n’est pas forcément tout le temps abordable.
Lucien : Après, je trouve aussi que- il y a plein de nouveaux labels, de magasins de vinyles qui avaient un peu de peine à écouler leur stock auparavant- maintenant il y a un nouvel attrait pour ce support-là, et c’est incroyable. Il y a de plus en plus de plateformes- ils écoulent leur stock tellement rapidement, ça fait plaisir pour eux et pour nous.
Roméo : Et puis, réussir à enflammer une salle en passant une track qu’on adore et qu’on a réussi à trouver sur vinyle- il y a une petite fierté derrière. Et il y a aussi quelque chose que je trouve intéressant avec le vinyle, c’est qu’on entend plus la main du dj derrière. Les petites imperfections, les petits décalages- on sent que la personne touche sa musique.
Yannick : Voilà. Il y a un esprit particulier qui sort de ça.
Vous avez des influences variées, comme la Deep House, mais aussi les seventies. Qu’est-ce qui vous plaît dans ce mélange ?
Yannick : Alors, il y a la Deep House et les années 70 avec le funk etc., mais il y a aussi les années 80 où on trouve pas mal de choses disco. Cela nous plaît particulièrement de les passer, et ça nous permet de créer une certaine ambiance dans cette vibe house et groovy- pour faire danser les gens. Et puis, on trouve aussi dommage de devoir se priver de toutes ces influences. On peut évidemment créer une atmosphère avec juste de la house ou de la deep house, mais avoir toute cette palette de possibilités… c’est vraiment intéressant de pouvoir faire ça quand on mixe devant plein de monde.
Roméo : Dans tous les cas, la vibe du collectif qui est très funk, disco, house- de toute façon, même la house est une musique qui trouve sa naissance dans les années 80-90. Donc on ne peut pas jouer ce qu’on a envie de jouer si on ne fait pas référence à tout ce bagage musical qui vient avant.
Yannick : Et puis, la house- il y a beaucoup de samples dans cette musique-là. Il y a beaucoup de choses qui ont été faites dans les années 70-80-90 qui ont été « cutées » puis loopées, ce qui créé une certaine musique avec ces influences-là.
Roméo : C’est ce qui se fait de mieux quoi ! C’était mieux avant ! (rires)
Lucien : Et la musique électronique, c’est tout un chemin de vie ! Des fois, il y a un ordre dans lequel on va écouter de la musique- je dis surtout musique électronique, mais comme au début on écoute surtout de l’électro chill, on découvre gentiment des artistes qui restent assez dans le genre instrumental et un peu commercial aussi. Et gentiment, quand on va digger des sons qui sont un peu plus chers ou des artistes un peu moins connus, dans des labels un peu moins connus ou émergents- c’est là que la magie opère. Parce qu’on va aussi chercher ce qu’on fait nous. Juste digger de petits artistes qui n’ont pas de grosse boîte de prod ni de gros labels, mais qui méritent tout autant que les grandes stars d’avoir leur musique qui passe en club.
Roméo : Et puis, on se retrouve de toute façon à tomber dans des choses un peu plus old school dès le moment où on s’intéresse aux influences de certains artistes. Au final, on se retrouve à tourner entre les années 80 et les années 90 principalement.
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Quel genre de public trouve-t-on à vos soirées ? Y a-t-il des habitués ?
Lucien : Alors bien-sûr on a des habitués. On a déjà tous nos entourages respectifs- nos potes, des amis qu’on aime vraiment bien et qui nous suivent depuis le début. Et ensuite aussi des gens qu’on ne connaît pas trop et qu’on voit à chaque fois. C’est là qu’on se dit qu’on commence à avoir certains afficionados qui viennent à nos soirées. Ça fait plaisir. Après, le public est assez large. Bien-sûr il doit être majeur. Je me souviens pendant l’une de nos soirées, il y avait une personne âgée d’environ 70 ans qui dansait sur de la house à 3 heures du matin ! Donc c’est vraiment assez large. C’était assez étonnant d’ailleurs. Je ne pense pas que ce soit à nous de choisir notre public, mais c’est vraiment à eux de passer s’ils ont envie de passer un bon moment et de danser sur de la bonne musique. J’ai aussi envie d’ajouter quelque chose : c’est un public très respectueux. En deux ans d’exercice- peut-être un peu plus- on n’a jamais eu d’embrouille, de bagarre ou de détérioration du matériel. C’est à chaque fois une bonne vibe, des gens qui sont heureux de danser.
Yannick : Cela joue aussi sur le fait que ce public-là est un public d’intéressés. Donc ils ne vont pas venir là pour faire les bourrés qui cherchent des problèmes. Ils sont vraiment là pour écouter de la musique.
Roméo : C’est vrai qu’on a le sentiment que le public vient pour la musique, et pas forcément pour la teuf.
Lucien : C’est vrai que ça change bien, parce que cela amène vraiment des gens qui ont envie d’aller chercher des sons qu’on entend pas d’habitude.
Yannick : C’est gratifiant.
Qu’est-ce qu’un événement de La Main Mise accompli ?
Lucien : Eh bien, cela regroupe tout ce qu’on vient de dire ! (rires) C’est lorsque tout se passe bien, qu’il n’y a pas d’embrouilles, pas de problèmes techniques, pas de problèmes d’organisation avant l’événement. Tout se déroule bien, et le public est là- on a eu des soirées où il n’y avait presque personne. M’enfin il faut bien commencer quelque part ! (rires) on est contents de la tournure que prennent les événements.
Roméo : Une Main Mise accomplie, je pense que c’est quand les lumières se rallument et que les gens dansent encore 45 minutes et que les responsables de la salle n’arrivent pas à les faire sortir ! C’est là qu’on se dit que la soirée a bien marché ! (rires) Et elle est encore plus réussie lorsque les gens qui sont restés jusqu’à la fin donnent un coup de main pour ranger. Et ça, ça arrive souvent.
Lucien : Cela rajoute au fait que les gens sont hyper respectueux.
Roméo : Oui, un côté un peu familial comme ça !
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Cela vous arrive-t-il encore d’aller dans des soirées animées par d’autres DJs locaux ? Qu’est-ce qui vous plaît dans le fait d’être spectateurs dans ce type de soirées ?
Yannick : Évidemment. Dans ce milieu de la fête et de l’association, on est voués à avoir des interactions avec ces autres collectifs, et puis cela permet de s’enrichir de différentes choses. On a collaboré avec en tout cas 3-4-5 collectifs, et à chaque fois cela s’est déroulé à merveille. Et puis, cela permet aussi de se créer de bons potes qui kiffent les mêmes choses. Et d’organiser de jolis événements avec des gens qui sont là pour se faire plaisir. Et puis c’est nécessaire. On ne peut pas espérer organiser quelque chose tout en restant dans son coin, en n’interagissant pas avec les autres collectifs. C’est une osmose qui est nécessaire et qui ne peut pas être évitée.
Roméo : On n’innove pas sans inspiration. Et puis, le monde associatif est assez petit, tout le monde se connaît un peu. Dès nos premières soirées, on s’était dit que ce serait cool d’opter pour une sorte de schéma où on invite des collectifs locaux à nos soirées. Du coup, cela fait de toute façon partie du jeu. Il faut aller voir pour faire.
Lucien : C’est ça. On a aussi invité de gros artistes qui commencent à être un peu connus au niveau de la house- surtout des artistes français, mais après c’est tout aussi bien d’avoir des collectifs locaux de Lausanne, mais aussi de Neuchâtel, Nyon, Genève… Justement, cela permet de mélanger les deux publics et de faire des choses plus grandes. On prévoit justement de faire un festival de ces collectifs qui ont la même passion que nous : réunir les gens et passer de bonnes soirées.
Le mot de la fin ?
Antoine : Longue vie à La Main Mise !
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vinstallation · 13 years ago
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