#effet lomo
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Mon crush pour la Lomo Purple 💟
Qui me connaît ne serait-ce qu’un peu, sait avec certitude que j’aime le vernis à ongles et que ma couleur préférée est le violet. I’m that kind of person 💜. Plus vieille, j’aimerais que ma garde robe soit un camaïeu de couleurs mauve. J’aurai les cheveux gris platine et je trouverai ça très très stylé.
Il va donc de soit que je teste la LomoChrome Purple, une pellicule de chez Lomography en 35mm. Comme son nom l’indique, il y a du violet sur les négatifs ! La première fois que je suis tombée dessus, je préparais mon voyage pour L.A et passe faire mon stock de pelloches chez Nation photo. Souvent, j’ai déjà en tête ma petite liste que je fais en fonction de la météo prévue, de l’époque de l’année et aussi du projet que j’ai en tête. Pour mes ‘grands’ voyages, j’alloue un budget expérimental pour tester des pellicules un peu spéciales que je ne connais pas. La fois dernière je m’étais tournée vers la Washi et cette fois c’est au hasard de l’étalage, que je tombe sur cette pellicule qui attire mon regard. Le vendeur ne m’avait pas pu dire grand chose sur le rendu, alors je décide de me lancer à l’aveugle ! Voici mon avis sur son rendu 🔮
La Lomo purple permet de l’exposer à une sensibilité lumineuse de 100, 200, 300 ou 400. J’ai choisi de régler l’appareil sur 400 iso. De cette façon, je pouvais tester des prises de vue en intérieur ou dans des endroits moins éclairés et avoir plus de chances de ne pas louper la photo !
J’ai décidé de tester un peu tout; des portraits, des paysages, de l’architecture... au feeling ! Je me souviens qu’à chaque exposition, je me demandais comment allait rendre ce vert ? ou ce bleu ? ou même ce blanc ? En gros, c’était un suspens le temps d’une pellicule. Pourtant, c’est une approche de la photographie qui me plait beaucoup. Malheureusement, je ne sens pas que je puisse faire de la photo de cette façon à Paris, ville dans laquelle je vis et je connais depuis 6 ans. En effet, c’est agréable de découvrir une nouvelle ville à travers le viseur de l’appareil car c’est une bonne façon d’apprécier l’esthétique de l’architecture, saisir l’ambiance des rues et valoriser aussi la lumière.
De retour à Paris, j’ai fais développer la pellicule et demandé des scans à mon labo habituel. J’avais vraiment hâte de voir le résultat sans pour autant avoir de très hautes expectatives. Finalement, le rendu était vraiment génial et à ma grande surprise, le personnel du laboratoire avait également apprécié mes photos. Ils se sont pris la peine de faire les tirage des photos qu’ils ont préférées et me les ont offertes ! Je dois avouer que les photos présentaient des vues intéressantes et les couleurs se prêtaient bien au cadre choisi.
Voici quelques conclusions que j’ai gardé en tête en shootant ma deuxième pellicule quelques mois plus tard en Bretagne.
Le vert des feuilles des arbres tourne au violet / pourpre
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Le blanc des murs devient violet clair, mauve comme lila.
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Des fois les blancs tournent au rose, fushia.
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Les rouges s’intensifient.
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
En tout cas il y a encore une once de mystère sur les couleurs et le rendu de cette pellicule. Le ciel ressort souvent bleu turquoise mais des fois blanc et des fois... vert !
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Pour citer un point négatif de cette pellicule, je pense que je ne conseillerai pas la Lomo purple pour les portraits. Clairement, les teintes de peau ne ressortent pas vraiment bien. Pourtant, j’ai à nouveau tenté des portraits lors de ma deuxième expérience.
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Il y a quelque chose d’inexplicable sur les photos. C’est l’apparition de points verts. A la vue des négatifs à la lumière on ne voit rien. Mais ils apparaissent pourtant sur quelques clichés...
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
📷Zenit EM
🎞Lomo purple
Je voudrais shooter plus de cette pellicule et travailler la couleur dans une approche qui puisse mettre en valeur ces teintes.
Alors new pics from Lomochrome purple coming soon ! 😉
#lomochrome purple#film photography#lomography#i still shoot film#35mm film#film review#film test#love analog
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Je viens d’utiliser cet effet Lomo Quad sur Webcam Toy
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De Cochabamba à Sucre, la capitale blanche
Cochabamba:
Après avoir fait un tour dans la capitale bolivienne, le soir venu, nous nous dirigions vers une autre ville du pays, Cochabamba, à 8h de route. Nous étions à bord d'un bus plutôt confortable pour effectuer ce trajet de nuit. Au bout d'1/4 d'h, le bus fit un arrêt au bon milieu d'une autre ville; pour récupérer une personne qui l'avait appelé sur le trottoir. Une femme qui n'avait ni ticket, ni semble-t-il d’argent pour payer le trajet. Elle tentait de négocier un trajet gratuit. Finalement celle-ci payait le trajet comme tous les autres, mais mit un beau désordre dans le bus dès le début de trajet. Un peu plus tard le bus fit une autre escale, et une autre personne montait à bord, cette fois-ci pour demander l'aumône à 2h du matin... Bien évidemment cette personne ne voulait pas descendre si on ne lui donnait rien. Le chauffeur du intervenir pour régler tout ça (mais pourquoi s'arrêtait-il ?). Notre ''nuit'' continuait pour quelques heures et annonçait une très longue (ou très courte) nuit. Entre La Paz et Cochabamba, d'autres arrêts existaient mais nous devions descendre au terminus. Cependant, le chauffeur n'annonçait aucun arrêt et ne s'arrêtait qu'à la demande. Ainsi, plusieurs passagers étaient obligés de crier pour arrêter le bus lorsqu’ils voyaient leur arrêt en pleine nuit (sur des routes sans lampadaires)... La plupart des bus au Pérou ou en Bolivie disposent d'un étage. Ainsi il arrivait que le conducteur n’entende pas ou faisait la sourde oreille. Des situations qui pouvaient réveiller tout un bus endormis. Nous passions une nuit très mitigée. Malgré tout cela, nous arrivions bien à Cochabamba.
A l'arrivée, la ville nous semblait très repoussante. Le terminal avait une propreté laissant à désirer et était très bruyant dû aux agences, criant au moindre potentiel passager, la liste des villes desservies. On était bien en Bolivie. Après avoir trouvé un hostal proche du terminal, un petit repos supplémentaire nous était du.
Dans l'après-midi, nous décidions de parcourir le centre-ville, qui fut finalement assez agréable. La température était assez élevé, digne d'un mois de juillet en France (dans le sud). Les habitants de la ville portaient pour la plupart des chapeaux traditionnels, ce qui donnait beaucoup de charme à la ville.
Le lendemain nous partions à la découverte des lieux afin de prendre un peu de recul sur cette ville. C'est plus précisément de la hauteur que nous prenions, puisque nous montions dans un funiculaire. Celui-ci amenait directement à une colline où se trouvait une statue du Christ d'une taille assez colossale (du type « Corcovado » bolivien). Nous pouvions ainsi voir un beau panorama de la ville et ses nombreux parcs. La suite de notre visite nous amenait dans l'un des parcs de Cochabamba réputé pour répertorier de nombreuses espèces d'arbres d'Amérique latine, mais aussi pour accueillir des oiseaux tels que des perroquets en liberté. C’était une étape très agréable. A l'heure de l' « almuerzo », nous nous dirigions vers l'une des bonnes adresses de la ville, réputée pour en sortir repu... C'est ainsi que Pauline mangea un DEMI canard au vin et que Vincent put gouter l'une des spécialités de la Bolivie, le ''lomo borracho'': viande d'agneau accompagnée de frites, tout cela dans une sauce (soupe) au vin. On vous l'assure ce repas fut très bon, mais fut le seul de la journée.
Pour récupérer, nous allions à la découverte d'un autre parc connu pour ses spectacles de fontaines lumineuses. L'association et la coordination entre l'eau, la musique et les lumières fut impressionnante.
Le jour suivant, nous partions à la découverte d'une demeure d'un riche minier de la région. Après avoir découvert, seul avec sa pioche, un filon d'étain dans une montagne, Simon Ingavi Patino fit fortune. Vivant, depuis sa découverte, en France, il voulut revenir en Bolivie et fit construire une maison à Cochabamba. Une fois terminée, M. Patino ne put malheureusement la rejoindre, car il ne supportait plus l'altitude à cause de ses problèmes de cœur. C’est ainsi, qu’il décéda d'une crise cardiaque avant même d'avoir pu voir sa maison (après il en avait déjà plusieurs en France donc voilà quoi...). De ce fait, elle n'a jamais vraiment été habitée. L'histoire raconte que seul le Général de Gaulle aurait dormi à l'intérieur durant une visite en Bolivie dans les années 60.
Cette demeure de prestige était très bien aménagée. Elle mélange un style français avec quelques touches orientales et de nombreux rappels du Vatican. Comme la plupart des boliviens, Patino était très croyant. La maison disposait aussi d’un jardin très sympathique.
Après cette visite, sur la place principale de la ville, nous avons pu assister à une répétition d'un groupe connus de bandas, appelé « Popow », dû à un lac situé au Sud-est du pays. Ce groupe s'entraînait pour le carnaval le plus important de Bolivie, celui d'Oruro. Autant vous dire, qu'ils étaient déjà dans l'ambiance, bien en forme et très nombreux (50 environ). De plus, la télévision était aussi présente pour couvrir cet événement. Tout comme au Pérou, la fête semblait faire partie du patrimoine et du quotidien des habitants.
En ce qui nous concerne, cette période de notre voyage était relativement creuse pour les volontariats. En effet, peu de personnes en Bolivie nous avaient répondu ou répondu positivement. Ainsi nous tentions de chercher directement sur place, ou de relancer les personnes via notre plateforme internet de volontariats, mais pas grand-chose de positif...
Sucre:
Après ce petit périple à Cochabamba, nous partions pour la capitale officielle de la Bolivie, Sucre. Nous décidions d'effectuer à nouveau le trajet de nuit puisque Cochabamba se situe à 10h de Sucre. Notre trajet fut très agréable, pour une fois, malgré la vétusté prononcée du bus de la « flota Bolivar », dont le dicton est « Seguridad y comodidad ». Bizarrement, nous n’étions pas rassurés en voyant le bus... Au final, il y avait quelques routes un peu périlleuses, mais vraiment rien de bien méchant. Peut-être que nous étions enfin habitué ?! Finalement, nous arrivions dans la ville de Sucre avec 1h d'avance, soit à 5h30 du matin.
Sur la route pour rejoindre notre logement, nous croisions sur notre chemin une meute d'environ 10 chiens en pleine rue. En Amérique du Sud, les chiens sont omniprésents dans les rues. En effet, soit les habitants prennent très soin de leur chien (en les habillant et même parfois en les chaussant) ou soit, ils préfèrent les laisser seul dans la rue. De ce fait, il arrive assez souvent qu'il y ait des regroupements importants de chiens. Cependant, ce regroupement était assez impressionnant. En outre, notre hébergement chez l’habitant était bien agréable, dans une jolie ville toute blanche et très coloniale. Ana était notre hôte et était très gentille, tout comme son chien Ringo. Il était le maître de la maison, mais vraiment très gentil et très marrant.
Malgré ce bon environnement, nous étions toujours en questionnement par rapport à notre futur itinéraire, puisque nous n'avions pas de volontariat. Plusieurs options s'ouvraient à nous... un carnaval à Oruro (plus grosse fête de Bolivie); une visite de vignoble à Tarija (village du sud où le vin est roi) ...
Cependant, la priorité était avant tout de trouver un volontariat. C’est ainsi que nous passions tout notre temps à la recherche d’organisme aux alentours. Notre choix était de visiter la ville tout en faisant nos recherches. Nous en apprenions un peu plus sur l'histoire de la Bolivie, à la Casa de la Libertad. Un musée où on retrouve l'ensemble des portraits des présidents de la Bolivie depuis l’indépendance du pays. On y retrouvait aussi le document « officiel » qui annonçait cette liberté étatique.
De plus, la ville de Sucre était aussi réputée pour sa fabrication de chapeaux. Ainsi, nous avons pu visiter la fabrique de chapeau Sombreros Sucre. Celle-ci nous a permis de comprendre et d’observer l’ensemble du processus de fabrication d'un chapeau directement dans les usines de l'entreprise. Nous avons pu voir une multitude de chapeaux en confection, étalés pour la plupart directement sur le sol.
Malgré les conditions de travail assez difficile des employés (poussières de laine dans toute l'usine, vapeur d'eau omniprésente, utilisation d'acide à main nu...), la réalisation d'un chapeau était assez impressionnante. L'ouvrier qui nous faisait la visite, nous signalait que peu d'employés faisaient plus de 10 années dans cette entreprise. Cela est dû à la pénibilité de la confection. Cependant, l'entreprise est, depuis déjà de nombreuses années, un symbole de la ville et du pays.
Un autre jour, nous partions à la découverte de traces de dinosaures, au parc Crétacico. En arrivant sur les lieux, nous avons remarqué que le site était sur une zone privée d'extraction de minerai. Durant la 1/2h de visite, nous avons pu voir quelques traces et comprendre un peu plus sur la conservation naturelle de celles-ci. Cependant, nous doutions de plus en plus de la véracité de ces dernières et à leur présence dans une telle zone. Notre interrogation est toujours d'actualité.
Le jour suivant, nous faisions la visite du musée universitaire Charcas, très réputé dans le pays. Celui-ci regroupe un ensemble de poteries de plusieurs peuples pré-incas qui avaient vécu dans différentes régions de la Bolivie. On a aussi observé plusieurs momies avec parfois leur enfant dans les bras … Cette fois-ci on ne doutait pas de la véracité des objets observés.
Le premier weekend de notre étape à Sucre était synonyme de Carnaval. Ainsi, le samedi nous avons pu assister aux premières danses très festives du carnaval de la ville qui avaient, à première vue, des similitudes avec la fête de la Candelaria de Puno au Pérou.
Un peu plus tard, nous étions tranquillement assis sur un banc de la place principale, lorsque qu'un homme nous accostait. Au fil de la discussion, nous comprenions qu’il était français et vendait des BD de Tintin, peu populaire en Bolivie. Ainsi il cherchait à les vendre désormais aux touristes. Il travaillait aussi à l’un des musées de la ville. Au fil de la discussion, on lui expliqua notre voyage et notre recherche infructueuse de volontariat. Celui-ci nous indiqua 2 organismes de volontariats dans la ville. C'était une rencontre inespérée pour nous, étant donné que nous avions presque décidé de quitter la ville dans les jours à venir (valises déjà prêtes).
Sans vraiment réfléchir, nous sommes allés directement voir ces 2 organismes pour connaître un peu plus leur projet. Les 2 projets étaient très intéressants et les deux organismes étaient prêts à nous engager. Après quelques réflexions, nous faisions le choix de nous engager pour 2 semaines dans une garderie d'enfants dans un quartier en difficulté en « périphérie » de la ville.
Ainsi, le lundi qui suivait, nous avons pu découvrir notre nouveau volontariat. Cette garderie se chargeait d’accueillir l’ensemble des enfants du quartier. En période haute, elle était amenée à accueillir environ 40 enfants. Nous étions en période basse, de ce fait il y avait entre 5 et 10 enfants présents sur le site. Cependant l’aide était très utile, car seulement 2 personnes s’occupaient d’organiser tout cela. Nous observions l’évolution des enfants en très peu de temps. Car, en effet les enfants âgés entre 3 et 5 ans, avaient surtout besoin d’attention et de limites plus qu’autre chose. Chaque jour, nous nous occupions de chacun d’eux toute la matinée jusqu’au repas.
Le weekend arrivait déjà et c’était encore la suite du carnaval dans la ville. Deux jours fériés étaient accordés, le lundi et le mardi suivant. Nous en profitions pour faire un musée, appelé Musée du Trésor, qui regroupait un éventail de pierres précieuses des régions de Bolivie, mais aussi des pays voisins. Nous rencontrions à nouveau le français qui nous avait conseillé les 2 volontariats puisqu’il travaillait ici. Il nous fit découvrir un large panel de pierres précieuses non taillées de taille immense. On y observa de nombreuses pierres et en particulier la plus connue en Bolivie, la « Bolivianita ». Celle-ci disposait de 2 couleurs naturelles, le jaune (citrine) et le violet (améthyste) en un seul élément. C’est une pierre unique au monde. Ces pierres pouvaient être présentées soit dans des habits traditionnels pré-inca, soit dans des bijoux de famille noble du pays.
Pour changer un peu, le lendemain, nous prenions la direction d’un site appelé les 7 cascades. Après avoir pris un « colectivos » jusqu’au village à proximité, nous commencions une marche de plus de 2h. Nous demandions tout de même à chaque croisement la direction aux habitants, de peur de se perdre. Comme au Pérou, les indications de sentier n’existent pas. Une fois sur le site, nous avons pu apercevoir les 1ères cascades situées dans le creux de la montagne. Pour atteindre les cascades suivantes, le chemin était de moins en moins clair. Il était nécessaire de se frayer un chemin en coupant quelques branches sèches, de quoi en sortir « marqué ». Un peu plus loin sur le « chemin », les autres cascades nous attendaient. On s’y reposa une petite heure. Le retour fut un peu laborieux, mais plus simple.
A notre retour dans la ville, une forte pluie s’abattait au rythme du carnaval qui continuait. Outre la pluie, de notre côté, nous avions abandonné tout espoir de profiter du carnaval. En effet, le carnaval de Sucre était plus synonyme de bombes à eau et de mousse à raser, qu’une réelle fête traditionnelle. Avec les nombreux groupes de bandas qui circulaient dans la ville, nous évitions plus de sortir qu’autre chose.
Le lendemain, nous étions invités par notre hôte, Ana, à manger avec toute sa famille à un excellent barbecue sur sa terrasse, au 3ème étage de sa maison. On y découvrit quelques rituels traditionnels. Ce fut un très bon moment. Nous rencontrions dans le même temps sa sœur et son copain qui venaient tout droit de Santiago au Chili.
Après ce long weekend, le mercredi, nous nous rendions à notre volontariat. Nous n’y trouvions malheureusement personne. Après un appel passé à la responsable, elle nous indiqua qu’elle arrivait. En la voyant, on comprit vite qu’elle avait bien profité du carnaval la veille... Par chance, ce jour-là, peu d’enfants s’étaient présentés à la garderie.
Pour dynamiser les activités de la garderie, nous avons eu l’idée de créer un partenariat entre la fabrique de chapeau Sombrero Sucre et la garderie. En outre, lors de notre visite, le guide nous avait indiqué que certain chapeau n’étaient pas vendables et ainsi ils devaient être jetés. De ce fait nous voulions récupérer ces chapeaux pour faire un atelier ludique pour le carnaval avec les enfants de la garderie. Après de nombreuses visites à l’usine (infructueuses à cause des horaires super flexibles du carnaval) nous avons pu établir un contact avec l’un des membres de l’entreprise. Malheureusement, carnaval oblige, les patrons étaient partis pour 2 semaines en vacances. Or nous partions pour notre étape suivante le lendemain…
Ainsi, par la suite, nous communiquions à la responsable la réponse de la fabrique. Le destin de l’activité était entre ses mains. Etant donné des faibles moyens de communication, nous n’avons aucun retour de notre projet à ce jour…
Comme prévu, le lendemain, nous partions vers Uyuni, la ville très connue pour son désert de sel, le plus vaste au monde (Salar de Uyuni). Mais ça c’est une autre histoire !
A bientôt pour un nouveau post !
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