#dyslexie de merde | Explore Tumblr posts and blogs

skirirmaisamportfolio · 2 years ago

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Entretien de vie de classe avec le professeur d’EPS

Dans le CECRL, le respect de chacun fait parti des objectifs liés à l'enseignement au collège et le respect d'autrui est un point important de la maîtrise des savoirs fondamentaux par tous les élèves.

Lors de ce stage j'ai pu aborder les questions sociales dans l'enseignement autour de la vie de classe, ce que je n'ai pas pu observer durant mon stage en lycée. La professeure ainsi que le professeur d'EPS se sont concertés pour discuter d'une classe de 5ème qu'ils ont en commun.

En effet, plusieurs élèves sont venus se plaindre de quelques problèmes avec leurs camarades.

Ils ont d'abord discuté de l'ambiance de la classe générale avant d'entamer le cas par cas et ce qu'il en est ressorti :

→ tout d'abord il y a un problème d'organisation au sein du collège, la réunion parents-professeurs a eut lieu avant le conseil de vie de classe ce qui n'a pas permis aux professeurs de faire des comptes rendus individuels aux parents d'élèves ainsi que des rappels disciplinaires aux élèves « turbulents ».

→ les élèves semblent être bruyants seulement dans quelques cours, par exemple en français la professeure semble avoir relâché la sévérité auprès des élèves et ils semblent prendre avantage de cela, trop de brouhaha et de bavardages. Madame Brunias et le professeur d'EPS supposent que la professeure de français a baissé les bras car elle part bientôt en retraite.

→ Madame Brunias a mis en place une fiche de suivi en classe pour les élèves ayant un mauvais comportement, au bout de trois manquements c'est 1H de colle. La mère d'un élève n’apprécie pas que son enfant ait une fiche de suivie et demande à rencontrer la professeure. De plus, l'élève aimerait intégrer la classe « sport » mais son comportement ne le permet pas, encore une fois la mère de l'élève s'en mêle. Madame Brunias tient aussi à la rencontrer.

→ les deux professeurs discutent aussi du comportement d'une élève, très souvent dans la lune, plus lente en cours que les autres élèves et se met à pleurer à la moindre remarque, ils tentent de savoir si il y aurait un problème de dyslexie et d'hypersensibilité chez l'élève.

→ un élève a insulté un professeur de « merde » dans la cour de récréation lorsque le professeur d'EPS passait, une sanction est prévue pour l'élève.

→ deux élèves de la classe se sont disputés fortement après une blague qui aurait mal tourné, Madame Brunis tentera de savoir de plus près ce qu'il s'est réellement passé.

Les solutions :

Première solution :

A la fin du cours qui a suivi l'entretien, la professeure a passé des feuilles « anonymes » à tous les élèves pour qu'ils puissent noter en toute tranquillité ce qu'ils avaient à dire sur leur ressentis au sein de la classe et si ils avaient des recommandations pour améliorer la situation.

Cette première solution n'a pas été très efficace car très peu d'élèves ont osé noter sur papier.

Deuxième solution :

Nous n'avons pas pu assister à ce cours de vie de classe car nous avions cours à l'inspé mais la professeure nous a fait un compte rendu de la deuxième solution trouvée :

la classe de 5ème s'est retrouvée sur le terrain de foot du collège, la professeure a désigné un élève pour gérer le temps de parole de chacun et un autre élève pour noter les recommandations.

A l'aide d'un stylo, elle désignait les élèves qui levaient la main pour s'exprimer sur un sujet et les deux élèves en conflits ont fini par parler. Ils n'ont pas souhaité faire la paix après une discussion très sérieuse et une demande de pardon des deux partis alors la professeure leur a donné la condition de ne plus se parler tout en restant bienveillants l'un envers l'autre, condition que les deux élèves ont accepté.

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myportfolios-world · 2 years ago

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Entretien de vie de classe avec le professeur d'EPS

En effet, plusieurs élèves sont venus se plaindre de quelques problèmes avec leurs camarades.

Ils ont d'abord discuté de l'ambiance de la classe générale avant d'entamer le cas par cas et ce qu'il en est ressorti :

→ un élève a insulté un professeur de « merde » dans la cour de récréation lorsque le professeur d'EPS passait, une sanction est prévue pour l'élève.

→ deux élèves de la classe se sont disputés fortement après une blague qui aurait mal tourné, Madame Brunis tentera de savoir de plus près ce qu'il s'est réellement passé.

Les solutions :

Première solution :

Cette première solution n'a pas été très efficace car très peu d'élèves ont osé noter sur papier.

Deuxième solution :

Nous n'avons pas pu assister à ce cours de vie de classe car nous avions cours à l'inspé mais la professeure nous a fait un compte rendu de la deuxième solution trouvée :

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und100 · 5 years ago

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Florian Sirieix

Aujourd’hui, j’ai le privilège de pouvoir interviewer Florian Sirieix. Il est l’auteur, notamment d’Imaginarium chez Bombyx, Montmartre chez Blam! éditions, l'Île de Pan chez Lumberjacks studio, Zoo Run chez Loki, Save the meeples chez Blue Cocker, Cowboy Bebop, Escape Quest n°6 chez Don't Panic Games, Oh Capitaine! et le prochain What’s Missing? chez Ludonaute.

Bonjour Florian, tout d’abord un grand merci d’avoir accepté de répondre à mes questions. Tu crées des jeux depuis 2012, que faisais-tu avant? Nuit et jour à tout venant, je jouais, ne vous en déplaise. Comme beaucoup d’auteurs, j’ai joué depuis tout petit. Mais je suis tombé véritablement dans le jeu de société à la fin du lycée, vers l’an 2000, après un passage Jeux de Rôle et Magic, avec Les Colons de Catan, puis Les chevaliers de la table ronde, Smallworld… Et puis sinon, des études d’informatique par défaut, puis professeur des écoles.

Tu es en parallèle professeur en SEGPA, peux tu expliquer ce que c’est et si tu utilises tes talents de création au service de tes élèves? J’enseigne au collège de Sérignan auprès d’élèves allant de la 6e à la 3e ayant des difficultés scolaires, en majeure partie liées à des difficultés sociales. On a un public plutôt facile par rapport à d’autres Segpa ou les problématiques sont différentes : on n’a pas de jeunes de cités avec des violences contre l’autorité (j’ai vécu ça ma première année d’enseignement à Montpellier). Là on a plus de difficultés liées à des violences familiales parfois, ou simplement des retards scolaires dus à des difficultés non liées à des handicaps (ce serait une classe ULIS) mais à des troubles genre dyslexie, dyspraxie… Je n’utilise pas mes “talents” d’auteur au service de mes élèves, c’est plutôt l’inverse. Je me sers d’eux pour les tests ! Quelles sont les jeux que tu sortirais en classe et comment animerai tu cet atelier? J’ai une double personnalité au collège. M.Sirieix et Florian Sirieix. L’un est prof “classique” et n’utilise pas de jeux en classe, ou très rarement (j’utilise principalement “Panique à Wall Street” en classe de 3e pour faire comprendre l’impact du Jeudi Noir). L’autre est présent dans sa salle à toutes les récréations, porte ouverte, et a une centaine de jeux en accès libre, et les élèves se battent les places pour jouer à des nouveautés ou tester les futurs jeux.

Ce qui est vraiment important c’est que les élèves savent faire la part des choses du coup. En classe on travaille. A la récré on joue. Les deux sont différents. Cependant, s’ils ne travaillent pas ou m’énervent un peu trop en classe, je me repose à la récré, ce qui veut dire pas d’atelier jeux. Et ça, ça veut dire que toutes les classes sont lésées. Ca ne se produit pas souvent... Peux tu nous expliquer ton processus de création? Ca va dépendre du jeu je pense. Parfois je démarre d’une envie de travailler sur une mécanique, parfois c’est un thème qui me donne une idée. Dans tous les cas, je fais partie de ceux qui ont besoin de faire un prototype le plus vite possible, histoire de confirmer si l’idée est bonne. Ça ne sera pas équilibré, pas fini, mais j’aurais une idée pour savoir s’il faut continuer ou pas de creuser l’idée. Souvent, je désosse des jeux de ma collection pour faire les premiers prototypes d’ailleurs. Plus le projet avance, plus le temps de réflexion augmente et le temps de prototypage diminue. C’est là que je pars dans des tableaux excel et des programmations en php pour calculer les probabilités et créer les cartes pour moi. Quel est le jeu qui a été le plus difficile à faire et pourquoi? Alors je vais en citer deux, pour des raisons différentes pour le coup : Le premier est Cowboy Bebop qui vient de sortir chez Don’t Panic Games. C’était un chouette projet, et les idées étaient claires et fusaient entre Johan Benvenuto (le co-auteur), Nico Aubry (le chef de projet) et moi. Cependant, le développement a somme toute été très difficile par qu’il y avait beaucoup d’intermédiaires décisionnels. En fait, il fallait, pour changer une partie du jeu, que le co-auteur soit d’accord, puis le chef de projet, puis le patron de Don’t Panic, puis les ayants droits de la licence… L’autre est un jeu en développement actuellement. Ca fait depuis plus de 2 ans que j’ai créé la mécanique de base, elle a beaucoup plu à Catch’up Games et nous avons commencé à travailler ensemble, puis signé le jeu. Mais on se demande quelle est la meilleure manière de sublimer cette mécanique originale, alors on crée des versions différentes très souvent (plus de 20 à ce jour). Mais la mécanique est très cool. La preuve, j’en ai fait un jeu pour enfants, qui marche très bien en boutique. Quel est celui dont tu es le plus fier? C’est dur comme question ça. Demandez à un papa quel est son enfant préféré… En tant que joueur, quel est ton jeu préféré et pourquoi? Un ? Impossible. Ca dépend du nombre de joueurs, d’avec qui je joue… Allez, disons Las Vegas de Rudiger Dorn pour tout public, et je vais aussi dire Seasons de Régis Bonnessée pour les plus expérimentés, vu que j’en ai fait presque 500 parties (notamment sur Boardgame Arena)

Si tu devais re-designer un jeu, lequel choisirais-tu et que deviendrait-il entre tes mains? Un des seuls jeux que j’ai “re-designé” c’est Euphoria, de Jamey Stonemaier. On était en vacances avec des potes, et on a fait une partie. Puis on a changé un détail parce qu’on souhaitait que le jeu soit moins opportuniste, et on a refait une partie. Puis on a modifié la mécanique des dés. Puis changé une action. Au final, après une dizaine de parties, on ne jouait plus à Euphoria…

Mais en vrai, redesigner un jeu n’a aucun intérêt. Si le jeu est créé comme cela, c’est que l’auteur et l’éditeur avaient une intention. Si elle ne me convient pas, c’est que le jeu ne me convient pas. Il faut jouer à autre chose. Si une des mécaniques me plait mais que le jeu ne me convient pas, alors ça peut être une piste de départ pour créer un nouveau jeu... Tes jeux touchent des univers très différents, en as-tu un dans lequel tu es plus à l’aise? Je me régale à créer dans des styles différents (du jeu de gestion au jeu de dessin) parce que j’aime tous ces types de jeux et que je joue souvent avec des publics très différents. Pareil pour les univers, je me plais dans beaucoup de scénarii. J’adore le steampunk, l’historique, l’enfantin, le survivaliste... Je ne sais pas pourquoi, je suis moins à l’aise dans le spatial, par contre. Une idée du prochain jeu? Le plus récent sur lequel je viens de me lancer est une coopération avec une autrice : Mareva Beauchamps. On s’est rencontré à Cannes parce qu’elle avait fait un cosplay d’Imaginarium pour sa sortie. Et depuis on a sympathisé, et elle est venue vers moi avec un prototype qu’on s’est mis à travailler ensemble. Un petit air de Visiteur du Futur, très simple mais un peu technique, ça promet. Pour continuer cette interview, je te propose de sortir le jeu “Questions de merde” Je tire 3 cartes, tu es prêt? Voici le questions de la première carte: Qu’as tu envie d’essayer quand tu seras à la retraite? Faire le tour du monde en camping-car avec ma ludothèque et ma femme. Comment sors-tu d’une conversation chiante? Je suis désolé je dois y aller, j’ai une interview pour Undécent à terminer rapidement... Que dois-tu à la chance? C’est elle qui me doit beaucoup. Voici les questions de la deuxième carte: Quel est ton prochain gros objectif dans la vie? Gros ? Maigrir. Qu’a dit David à Goliath après l'avoir battu?

Sorry, bro. Qu’est ce qu’une faute de goût vestimentaire? S’habiller comme Théo Rivière quand on n’est pas Théo Rivière. Voici la dernière carte: Que n’achèterais-tu jamais même si tu gagnais au loto? De la nourriture à base de tofu. Quelle qualité te manque pour être quelqu’un d’exceptionnel? A part la modestie… aucune. Quel petit plat te console après une journée de merde? Une raclette !!! Merci infiniment, Florian, d’avoir répondu à mes questions! J’ai hâte de découvrir ton prochain jeu!

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#blam!#bluecocker #bombyx #loki #ludonautes #lumberjacks

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dapratouille · 7 years ago

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À 15 ans, j’ai décidé de revenir chez mes parents et de faire ma dernière année de secondaire dans un autre collège. Les jeunes sont terriblement méchants à cette âge-là. Je venais de passer 2 ans avec approximativement la même gang d’amis, mais cette dernière année avait été horrible. J’étais prise entre deux gang d’amis et entre le désire de revenir chez mes parents pour passer plus de temps avec des nouveaux amis que je m’étais fait et la peur de décevoir et faire de la peine à mes grands-parents. Après beaucoup de larmes et d’angoisse j’ai décidé de revenir dans le nid familial.

Dernière année de secondaire dans une nouvelle école. Je connais une seule personne et j’ai déjà une réputation de merde à cause d’une histoire que je n’ai rien à voir avec, qui c’était passer l’année d’avant entre une amie et mon meilleur ami. Bref, l’intégration à pris un peu de temps disons que vers noël je commençais à me sentir intégrer à la gang. De ce que je me souviens le reste de l’année à bien été coté scolaire malgré le défi constant du combat TDA et dyslexie. Par contre, pour ce qui est en dehors du cadre scolaire, c’est à partir de février que tout à déraper… une marde en attendait une autre. 14 février 2012, j’apprends que mon grand-père du côté maternel avec qui j’ai vécu 3 ans à un cancer de la prostate. Tout le monde essaye de me rassurer, qu’il a été détecter à temps, qu’il est en forme et que ses chances sont bonnes. La seule chose qui résonne dans ma tête c’est CANCER. Le 8 mars, je suis chez lui avec ma mère pour soutenir ma grand-mère durant l’opération. Le matin avant qu’ils partent tous ensemble me laissant seule à la maison (parce que j’ai HORREUR des hôpitaux), mon grand-père étais assis dans les escaliers devant la porte terroriser mais en même temps d’un certain calme que je n’arrive pas à identifier, ma mère me demande d’aller le rejoindre. Je n’y arrivais pas j’avais trop peur que ce soit la dernière fois. Je suis finalement descendu le rejoindre lui flatter le dos et lui faire un câlin tout en gardant le silence tous les deux. Rien a été dit mais beaucoup a été ressenti. L’opération c’est super bien passer et j’ai fait ma grande fille je suis allée le voir à l’hôpital le soir. Je crois que c’est ce soir-là que j’ai fait ma première crise de panique. Le 14 mars, on apprend que ma grand-mère paternelle à un cancer du cerveau. Encore une fois, une bombe venait de nous tomber dessus. Elle n’aura malheureusement pas eu la chance de gagner son combat. Le 1er juin c’était la fin. Quand mon meilleur ami a su, il est venu me voir et le câlin qu’il m’a fait était presqu’aussi intense que celui de mon grand-père dans les escaliers. J’avais l’habitude du câlin avant qu’on se laisse mais celui-là n’était pas pareil. Le bal de fin du secondaire arrive (complètement inutile à mon avis). L’été commence et vient le voyage à New York en famille, les premiers jours tout allais bien mais ça n’a pas pris beaucoup de temps pour que mes parents finissent par se chicaner. Au retour j’essaye pendant des jours de rejoindre mon meilleur ami parce que je m’ennuie de lui. Rien à faire aucune réponse. C’est comme s’il avait décidé de m’éliminer de sa vie. 25 septembre, mon père me demande de l’accompagner à une conférence sur la confiance en soi, puisqu’elle n’est vraiment pas grande voir presque inexistante je décide de l’accompagner. Ça été une soirée stressante mais tellement bénéfique. J’étais fier d’avoir fait les activités demander même si au début je voulais me cacher sous la chaise. Cette soirée-là sans que personne ne le sache, a été la dernière d’un homme que tout le voisinage appréciait énormément. Dans la nuit du 25 au 26 septembre, mon voisin, père de deux ados, toujours souriant, à faire des jokes, c’est enlever la vie. Le choc que j’ai eu ce matin la quand mes parents sont entrés dans ma chambre les deux en pleurant. Je m’imaginais tout sauf un suicide. Encore moins de cette personne. Rien ne laissait croire qu’il allait faire ça. J’ai eu mal et encore aujourd’hui, 5 ans plus tard j’ai mal. Chaque année j’écris sur Facebook un petit texte pour essayer d’ouvrir les yeux au gens, pour essayer d’aider ces personnes pour les empêcher de poser se geste irréparable et qu’il a l’effet d’une bombe atomique dans l’entourage. Je souffre énormément de son geste et depuis, ça m’est arriver souvent d’avoir des idées noires de vouloir aller le rejoindre mais je sais très bien que ce n’est pas une solution et je ne voudrais pas causer cette peine à quiconque autour de moi.

En septembre dernier je me suis fait tatouer une croix sur le poignet pour me rappeler qu’il est parti et que le temps va le décider toute seule quand je devrais le rejoindre. Mon oncle (frère de ma mère décédé de la leucémie à 10ans) et mon voisin me surveille par ma croix dessiner sur mon poignet gauche.

Le paragraphe est long et essoufflant à lire mais imaginez comment ça été de le vivre.

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