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lamilanomagazine · 2 years ago

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Bomba (CH), omaggio al fotografo degli artisti e della Land Art

Bomba (CH), omaggio al fotografo degli artisti e della Land Art. A Bomba (Ch) è cresciuto e ce l’aveva nel cuore. E ogni volta che poteva, lasciava gli Usa, dove si era stabilito, e tornava nel piccolo centro della Val di Sangro. Che, adesso, ha deciso di restituirgli quell’affetto, dedicandogli un festival. Per ciò il 15 e 16 ottobre prossimi, a Bomba, si svolgerà la prima edizione del "Gianfranco Gorgoni Fest". L’appuntamento è stato presentato in Provincia a Chieti, alla presenza del direttore artistico, Massimiliano Brutti; del sindaco di Bomba, Raffaele Nasuti; di Roberto Colacioppo, presidente della Giuria del contest organizzato per l’occasione, e del giornalista Stanislao Liberatore. "Gianfranco Gorgoni aveva un legame particolare con Bomba, con cui era una cosa sola - esordisce Nasuti - e insieme stavamo portando avanti dei progetti… Ma, nel 2019, la sua morte ha azzerato tutto… Ora abbiamo deciso, insieme all’associazione NaturArte, di promuovere questa manifestazione incentrata sulla sua figura e sul suo lavoro, conosciutissimi all’estero, di meno in Abruzzo". Gorgoni è fotografo di fama mondiale, che ha lavorato per numerose riviste europee e americane. "Grazie alla collaborazione con il gallerista Leo Castelli - spiega Massimiliano Brutti - ha conosciuto e fotografato artisti come Andy Warhol, Robert Rauschenberg, Jasper Johns, Roy Lichtenstein, James Rosenquist, John Chamberlain, Joseph Beuys, Robert Smithson… Si è dedicato alla Land Art. In Cile durante la presidenza di Salvador Allende, ha documentato gli avvenimenti che hanno portato alla caduta del Governo. Era amico di Fidel Castro con cui, tra l’altro, ha realizzato il libro “Cuba Mi Amor” con la prefazione di Gabriel García Márquez, testi di Fidel Castro". Nel 2000 a Bomba ha acquistato un vecchio casolare per crearvi la sede della sua Fondazione. “Un personaggio e professionista unico - rimarca Brutti - che vogliamo raccontare, nelle sue mille sfaccettature. Da circa un anno e mezzo lavoriamo a questo progetto, che adesso si concretizza, grazie all’amministrazione comunale e alla figlia Maya Gorgoni, che arriverà appositamente dagli Stati Uniti”. Il Festival prende il via il 15 ottobre, alle 9, al Museo etnografico di Bomba, con il convegno di studi "Gianfranco Gorgoni: il fotografo conteso dagli artisti", con relatori che arrivano da tutta Italia e anche dall’estero e che hanno conosciuto e lavorato con Gorgoni. Intervengono Alberto Dambruoso, storico d’arte; Alberto Baccari, graphic designer e artista; Luca Maria Venturi, giornalista e critico d’arte che sarà presente, con un proprio intervento, anche nella sessione pomeridiana; Davide Faccioli, fondatore di Photology; Sofia Bianchini, artista digitale; Michele Ciribifera, scultore; Sandro Curcio Valentini, architetto. Modera il giornalista Stanislao Liberatore. Nel pomeriggio, dalle 15.30, nuovo incontro dal titolo "Da New York a Bomba. Gianfranco Gorgoni l’amico di tutti". Parola ad alcuni amici, anche d’infanzia, del fotografo, ossia Giuseppe De Cinque, Giuseppe Caniglia, Ettore Paolucci (grafico e imprenditore), Giuseppe Di Padova (fotografo) e Franco D��Amico. Apre l’assessore alla Cultura del Comune di Bomba, Marinella Fioriti. Alle 18.30 aperitivo sul Piano della Torre, a Bomba, con degustazione dei vini della Cantina Frentana. Alle 20 proiezione di "POP ART USA", Photology Air: si tratta di un documentario sulla Pop art negli Stati Uniti realizzato da Gorgoni e Giulio Cingoli nel 1979. Si chiude alle 21, con musica dal vivo della ANCESTRAL CHAMBER MUSIC, ossia Maria Chiara Papale, soprano; Leila Vinciguerra, flauto; Angelo Centofanti, oboe; Sandra Rojas, violoncello e Antonella Salvatore, pianoforte e direzione artistica. In programma "Musiche da Oscar", composizioni di Morricone, Cipriani, Rota, Piovani, Zimmer, Arlen, Mancini, Djawad, Webber. Il 16 ottobre si comincia alle 9.30, con la premiazione, in municipio, dei vincitori del concorso fotografico "Montagna Madre – Omaggio a Gianfranco Gorgoni" 2022. Le opere più belle saranno esposte in Comune, dove resteranno in mostra per alcune settimane. Dopo gli interventi di Roberto Colacioppo e Maya Gorgoni, ci sarà la proclamazione e la premiazione dei vincitori, con proiezione delle fotografie. Alle 11.30 passeggiata nei luoghi del centro storico cari a Gianfranco Gorgoni. Illustra l’attore Icks Borea. Pausa pranzo per i presenti in Piazza “G. Matteotti” con degustazione dei vini della Cantina Frentana e chiusura del Festival. "Un ringraziamento particolare - conclude Brutti - va a tutti gli sponsor: Trabocco Pesce Palombo e Lido Pesce Palombo; Fondazione PescarAbruzzo, Spazio Vetro, Oleificio Andreassi, Macrotel, Cantina Frentana e Delizie Casolane Catering".... Read the full article

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cut-la-serie · 7 years ago

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Presse

Cut saison 5 : Elodie Varlet fait une pause maternité

INTERVIEW - Elodie Varlet arrête le tournage de la saison 5 de Cut, le feuilleton de France Ô, à la mi-parcours, pour cause d’heureux événement. Rencontre sous le soleil de la Réunion avec une comédienne radieuse.

À noter, la saison 5 de Cut sera programmée en novembre. D’ici là, à partir du 22 mai, France Ô rediffusera l’intégralité de la série.

Elodie, que pouvez-vous nous dire de votre seconde saison sur Cut ?

Ce sera une demi-saison! Je n’avais pas trop le choix. Les auteurs ont dû trouver des solutions. Angèle et Ruben (Edouard Montoute) se battent pour construire leur couple car l’arrivée du bébé est imminente. Ils s’aiment et ont du respect l’un pour l’autre même s’ils sont très différents à la base. Mais Ruben est menacé, il sent que sa femme et son enfant sont en danger et il va tout faire pour que l’on rentre en métropole.

Qu’est-qui vous a initialement convaincue de faire la série?

Angèle. J’avais rencontré plusieurs fois les producteurs un an avant le tournage. Le personnage était encore assez vague car il y avait tout à construire mais j’aimais leur approche, ce qu’ils voyaient de ma personnalité. Ambroise (Michel, un ancien camarade de jeu de Plus belle la vie) m’avait parlé de cette aventure. Et l’envie de travailler à la Réunion!

Qu’y a-t-il de vous dans Angèle?

Je ne sais pas si à la base elle était autant dans la compréhension et l’empathie avec les autres. Les auteurs voulaient une nana assez brute, ce que je peux être aussi, un peu trop parfois! Mais j’essaye souvent de me mettre à la place des gens et je l’ai amené en douceur.

Elle va vous manquer?

Oui, on sent que ce n’est pas abouti. Les auteurs avaient une grande histoire pour Angèle cette saison et tout a dû s’accélérer, tout a été remanié. Si ça s’arrête là, je serais frustrée!

Vous ne revenez pas en saison 6?

Je n’en ai aucune idée pour l’instant. Tout dépendra de l’écriture, des envies des auteurs… Tellement de facteurs sont en jeu. Je m’arrête un peu pour pouponner, au moins cet été. J’attends un deuxième petit garçon (après Marcus, 3 ans).

Et Plus belle la vie, dans lequel vous interprétez Estelle depuis dix ans?

Je pourrais reprendre à la fin de l’année. Je me suis arrêtée assez tôt car ils ne voulaient pas jouer la grossesse, ce que je comprends. Et il y a un turn over important en ce moment. Mais mon personnage est toujours dans la course!

Qu’appréciez-vous dans les feuilletons populaires?

La proximité avec les spectateurs. Quand c’est quotidien, il y a un véritable attachement aux personnages, on peut construire quelque chose sur la continuité, avec finesse. On n’est pas obligé de grossir le trait.

Comme Plus belle la vie, Cut aborde désormais des sujets sociétaux...

Les auteurs ont voulu aller au-delà des histoires familiales qui étaient leur lot depuis quelques années. Ils ont voulu s’ancrer dans la réalité de la vie, dans le présent, alors que, dans la saison précédente c’est le passé qui ressurgissait. Le personnage d’Irfan, un réfugié, en fait partie.

Est-ce important pour vous de défendre une certaine vision de la société?

On le fait avec humilité car c’est un soap qui doit rester divertissant. Mais c’est en effet important de distiller des idées, avec un point de vue qui n’est pas unique. J’aime l’idée de faire réfléchir, de créer le débat au sein d’une famille, d’amener différentes générations à échanger, dialoguer. Il faut se réveiller par rapport à ce qui se passe en France, aux Etats-Unis, en Angleterre. On est dans un contexte économique et politique difficile, nos enfants vont le vivre à plein… Mais arrêtons d’être dans une peur permanente par rapport aux autres.

Vous aviez aussi envie d’une approche plus féministe dans Plus belle la vie…

Je trouvais que les choses étaient beaucoup amenées par les hommes, que les femmes agissaient en réaction par rapport à ce qu’eux vivaient. Estelle réagissait beaucoup par rapport à Djawad. J’avais envie que mon personnage s’affirme, qu’il soit dans une quête plus personnelle.

http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/cut-saison-5-elodie-varlet-fait-une-pause-maternite_2e469608-2fed-11e7-b918-f6a90e32a18e/?utm_term=Autofeed&utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#link_time=1494242095

Elodie Varlet : « Être enceinte pendant le tournage de ‘Cut’ m’a rapproché de mon personnage »

Alors que France 3 s’apprête à rediffuser la saison 4 de Cut cet été, nous avons rencontré Elodie Varlet à la Réunion, sur le tournage de la cinquième saison inédite du feuilleton, qui sera à l’antenne de France Ô cet automne. Très enceinte de son deuxième garçon, la comédienne dit accuser une légère fatigue mais n’en garde pas moins son sourire et son dynamisme, qu’elle partage avec son personnage d’Angèle.

TeleZ.fr : Que passe-t-il pour vous cette saison ?

Elodie Varlet : C’est une demi-saison pour moi, je n’ai tourné qu’un mois et demi. Comme je suis enceinte, les auteurs ont dû trouver des solutions pour me faire partir en plein milieu de la saison.

Comment s’en va votre personnage, Angèle ?

Je ne peux pas trop vous en dire pour garder le suspense, mais beaucoup d’��vénements vont se produire dans le couple qu’elle forme avec Ruben (Edouard Montoute, ndlr). Leur couple va être menacé, ce qui va avoir certaines conséquences…

Votre personnage d’Angèle va-t-il vous manquer pendant la fin de votre grossesse en métropole ?

Il y a une mini-frustration pour moi dans le sens où, comme je ne fais que la moitié de la saison, on sent que ce n’est pas abouti. En fait, les auteurs voulaient aller plus loin avec ce personnage, il y avait normalement une grande histoire pour elle cette année, une sorte d’épopée policière avec le personnage d’Irfan (Olivier Kissita), un réfugié. Ça n’a pas pu se faire mais la production a quand même réussi à faire quelque chose d’intéressant, à me faire vivre une belle aventure. Mais en accéléré.

Reviendrez-vous en saison 6 ?

J’ai dit oui en théorie, mais d’une année sur l’autre, il y a tellement de paramètres qui entrent en compte que c’est difficile de s’engager fermement. Cela dépendra de l’écriture, des aventures d’Angèle, des envies des auteurs, de ce qu’Edouard (Montoute ndlr) fera et de ce que je ferai.

Justement, le couple que vous formez avec Edouard Montoute dans la série est assez atypique. Qu’est-ce qui les lie autant ?

La saison dernière était focalisée sur la construction de ce couple qui essaie, malgré tous les obstacles, de se trouver. Là, le temps a passé, on finit la saison dernière avec le kidnapping de Ruben, et on ne sait pas trop ce qu’il est devenu. Il y a tout un mystère au début de la saison 5. Comment vivre ensemble et construire quelque chose après un tel événement ? C’est le fil rouge de cette nouvelle salve d’épisodes. L’enfant, que ces deux personnes si différentes attendent, compte : sans lui, ils feraient moins d’efforts pour essayer d’être bien ensemble, ils ne se seraient peut-être pas autant battus. C’est ce que je me dis.

Y a-t-il un peu de vous dans ce personnage ?

Oui, je lui ai amené un peu de douceur. Car au départ, Angèle n’était pas autant dans la compréhension et l’empathie avec les autres. La production voulait en effet une femme qui soit brute, cash, ce que je peux être aussi dans la vie, un peu trop parfois (rires). Mais moi j’essaie toujours de me mettre à la place des gens et j’ai voulu qu’Angèle soit aussi un peu comme ça.

Vous attendez votre deuxième enfant (après un premier dénommé Marcus, 3 ans). Aviez-vous déjà tourné enceinte pour le premier et est-ce que la grossesse a changé votre manière de jouer ?

Non, pour le premier j’avais tourné dans Plus belle la vie jusqu’à cinq mois et demi de grossesse. Jusqu’à ce qu’elle se voit car la production ne voulait pas qu’Estelle (son personnage dans PBLV, ndlr) ait un enfant. Là, pour Cut, comme je joue une femme enceinte, les auteurs ont imaginé des envies subites, des humeurs etc. Donc je comprends mieux Angèle que si je n’étais pas enceinte et portais un faux gros ventre. Ça aide d’être dans le même état que son personnage ! Mais être enceinte ne me change pas tant que ça au final: je ne me sens pas différente dans ma manière d’aborder les choses. Je suis juste plus fatiguée (rires) donc peut-être plus irritable (rires) !

Plus belle la vie, Cut… vous êtes abonnée aux feuilletons populaires ! Pourquoi ces choix ?

Pour la proximité avec les téléspectateurs. Quand c’est quotidien, il y a un vrai attachement du public aux personnages, ce qui nous permet de construire le rôle sur la continuité, avec finesse et sans être obligés de grossir les traits. Et puis les gens s’attachent. PBLV, ça fait 10 ans que j’y suis, et Estelle vit en moi autant que dans la tête des téléspectateurs. Ils me connaissent en tant qu’Estelle et il y a des choses que j’ai apporté à Estelle de moi-même et inversement. Donc c’est un rapport assez particulier.

http://www.telez.fr/2017/06/28/elodie-varlet-etre-enceinte-pendant-tournage-de-cut-rapproche-de-personnage/

CUT : Tout sur la saison 5

Le tournage de la cinquième saison de CUT s’est terminé fin juin. Pendant plusieurs semaines, comédiens et techniciens ont travaillé d’arrache-pied pour offrir une série de qualité aux téléspectateurs de plus en plus nombreux, puisque près de 200 000 personnes étaient au rendez-vous tous les soirs, lors de la diffusion de la saison 4, rien qu’en métropole. Quelles aventures attendent les héros ? Leurs interprètes répondent.

Vincent Vermignon (Stefan) «Je profite de chaque instant»

Pourquoi avoir accepté le rôle de Stefan ?

C’est quelqu’un de très humain. Certains personnages sont estampillés gentils, d’autres méchants. Stefan, on ne sait pas. Il a des objectifs qui vont à l’encontre des autres, c’est ce qui m’a plu.

Que lui réserve la saison 5 ?

Stefan hérite de CSK. Il a enfin une position et financièrement, ça va mieux pour lui. On arrête de le prendre pour un rigolo. Cette saison, il va se venger de tous ceux qui l’ont mené par le bout du nez.

Vous retrouvez-vous dans ce personnage ?

Oui, car Stefan a un bon fond et j’ose penser que moi aussi (rires). C’est quelqu’un de résilient qui réussit à se faire accepter alors qu’au départ, il n’est pas légitime. J’ai démarré sur le tard, il m’est arrivé de ressentir ce sentiment d’illégitimité. Petit à petit, j’ai pris ma place. Quelque part, on a un parcours similaire.

Quel autre personnage de la série auriez-vous aimé incarner ?

Charles de Kervelec, parce qu’il peut tout faire. J’ai déjà eu l’occasion de jouer un méchant, c’est un vrai plaisir !

https://www.clicanoo.re/Societe/Article/2017/07/14/CUT-Tout-sur-la-saison-5_479905

CUT- Olivier Kissita (Irfane) et Nadia Richard (Lulu) Duo complice

Comment se déroule le tournage ?

Olivier Kissita : Très bien ! Je rejoins le casting, c’était un peu déroutant au début mais j’ai été très bien accueilli. On est dirigé par des réalisateurs différents, cela permet de découvrir plusieurs façons de travailler. CUT est ma première série télévisée, c’est ma première fois à La Réunion. C’est une superbe expérience.

Nadia Richard : Je suis arrivée pour la saison 3, donc je suis rodée maintenant ! Cette année, cela a été différent, un peu difficile même car Sabine Perraud qui incarne Eva, la sœur de Lulu, n’est pas là. On très proches. J’avais construit tout mon équilibre ici autour d’elle. J’ai dû m’adapter. Le tournage reste toujours aussi sympa même si elle me manque.

Lors de la dernière saison, Lulu évolue beaucoup. Comment avez-vous appréhendé ces changements ?

N.R : J’ai beaucoup aimé aborder le thème de l’identité sexuelle. Je me souviens que quand j’étais plus jeune, avec mes copines, on se demandait si on était attirées par les filles. Même si mon orientation sexuelle a toujours été clairement établie, c’est une thématique qui me tient à cœur. Lors de la saison 5, Lulu assume pleinement le couple qu’elle forme avec Hilary. Elle va également connaître des moments très douloureux. Vraiment, je suis ravie de ce qu’on me donne à jouer. Quelle apprentie comédienne ne rêve pas de jouer le drame et la tragédie ?

Olivier, parlez-nous d’Irfane, votre personnage

O.K : Irfane a vécu un drame familial lié à la guerre au Congo. Il a vu ses parents mourir. Il a fui son pays par la mer et a atterri à La Réunion où il essaye de s’intégrer. Il va rencontrer Jules qui va l’aider. Grâce à lui, il fait la connaissance de Lulu, Doid,Angèle et Ruben. C’est dans cet environnement qu’il va tenter d’obtenir ses papiers.

Vous n’aviez encore jamais joué ensemble. Comment s’est passé le tournage de votre première scène ?

N.R : Notre première séquence est chargée en émotion. Lulu se confie à Irfane sur un drame qu’elle vient de vivre. Ça s’est très bien passé. On a tout de suite accroché !

O.K : Nadia est la première personne avec qui j’ai discuté en arrivant ici. Le courant est vite passé. Dans la série, nos personnages deviennent potes, la réalité et la fiction se sont rapprochées.

N.R : C’est vrai que quand il y a complicité dans la vie, cela se ressent sur le plateau.

Vous faites partie de la famille des Youtubeurs. Votre activité sur les réseaux sociaux est-elle toujours intense ?

O.K : Mon activité sur Youtube est moins soutenue qu’avant parce que je travaille sur d’autres projets. Maintenant, je me sers des réseaux sociaux pour informer ceux qui me suivent.

N.R : C’est plus ou moins la même chose pour moi. J’ai repris les réseaux pour parler de mon livre, Timelapse.

Justement, quels sont vos projets ?

N.R : Timelapse, mon premier roman, est sorti le 22 juin. Je raconte l’histoire de Samantha qui se rend compte qu’elle fige le temps et les gens en claquant des doigts. Elle rencontre Matthias qui lui, ne se fige pas. Ensemble, ils réalisent que leur professeur, Monsieur Delatour fait tout pour les séparer mais ils ignorent pourquoi.

O.K : Je travaille sur mon long-métrage mais je ne saurai pas en parler aussi bien que Nadia de son livre (rires)…

N.R : Je le fais alors ! Dans son film, Oliver se demande qu’est-ce qu’un Youtubeur. Pour répondre, il a interrogé plusieurs personnes. Des youtubeurs et même des gens de chez Google. Moi qui suis une Youtubeuse, j’ai appris des choses ! Ça dure 1h54 mais on ne voit pas le temps passer.

O.K : Mon souhait est de l’envoyer dans les festivals. J’ai déjà eu des propositions d’achat.

Où vous voyez-vous dans dix ans ?

O.K : On a visité une très belle maison à Plateau Caillou, c’est le rêve d’une vie. Je me vois bien là dans dix ans. Pour y parvenir, je veux décrocher des rôles clefs au cinéma et réaliser des films qui marchent.

N.R : J’espère que Timelapse sera une trilogie adaptée à la télévision ou au cinéma et avoir la chance de défendre de jolis rôles.

https://www.clicanoo.re/Societe/Article/2017/07/14/CUT-Olivier-Kissita-Irfane-et-Nadia-Richard-Lulu-Duo-complice_479906

CUT - Ambroise Michel (Adil) : «On est beaucoup dans la discussion»

Au terme d’une journée de tournage, les comédiens se retrouvent près la piscine de leur hôtel, script à la main. A l’heure où d’autres prennent l’apéro, eux travaillent leurs textes pendant une heure ou deux. C’est à ce moment que nous retrouvons Ambroise Michel. La conversation démarre avec ses impressions sur le tournage. Présent depuis la saison 1, il est rompu au rythme intense de CUT. «Cela se passe de mieux en mieux. C’est assez fluide, ce qui permet de mieux gérer la fatigue», explique-t-il. Nous poursuivons avec l’évolution de son personnage, Adil. Lors de la saison précédente, après avoir reçu une balle dans le dos, Adil ne marche plus. Cloué dans un fauteuil roulant, il se bat pour retrouver l’usage de ses jambes. Pour se préparer, Ambroise Michel travaille avec des kinésithérapeutes pour avoir les gestes justes. «La partie de la remarche a été plus compliquée. Je me suis mis dans une certaine disposition corporelle pour imaginer mes jambes bloquées. Si pour une scène, on me demandait de passer par un endroit normalement inaccessible en fauteuil, je refusais. Je ne voulais pas tricher». Des efforts qui ont payé, semble-t-il. «Je me souviens du tournage d’une séquence sur Saint-Gilles où un homme s’est arrêté pour me dire que j’effectuais les bons mouvements. Sa femme, qui est décédée depuis, a été en fauteuil roulant. Je lui ai demandé quelques conseils, il a accepté de m’aider. Cela m’a beaucoup touché». La prochaine saison sera moins rude pour Adil, mais toujours aussi intense. Il quitte son club de treck pour se lancer dans la gestion d’une ferme agricole bio. «Il veut s’éloigner des hommes et de son ancienne vie, mais encore une fois, son passé finit par le rattraper, cette fois de manière positive». Autre jolie surprise réservée à Ambroise Michel par les auteurs : il incarnera un second personnage. Sans donner trop de détails, le comédien confie jute qu’il s’est «beaucoup amusé» et qu’il voudrait «surprendre les gens». Bien que les auteurs de CUT gardent la main sur l’écriture, les différentes intrigues sont discutées avec les comédiens. A la fin de chaque saison, Ambroise Michel fait le point avec Bertrand Cohen, créateur de CUT. «On voit ce qu’on peut faire. Quand l’écriture est terminée, on m’envoie les arches. Je leur fais des suggestions. Ils s’en inspirent ou pas mais on est beaucoup dans l’échange. »

https://www.clicanoo.re/Societe/Article/2017/07/14/CUT-Ambroise-Michel-Adil-est-beaucoup-dans-la-discussion_479911

CUT - Edouard Montoute (Ruben) : "Un vrai bonheur"

Si vous lui posez la question, Edouard Montoute vous dira qu'il ne sait plus ce qui l'a poussé à devenir comédien. "Cela fait trente ans que j'exerce ce métier, je ne sais rien faire d'autre! En tout cas, je ne pense pas ce que ce soit un rêve d'enfant. Quand on est un gamin noir, en métropole, on ne rêve pas de ça. J'ai dû jouer dans une pièce quand j'avais six, sept ans. On a dû me trouver pas trop mauvais,je n'avais pas peur du ridicule. Après, quand on n'a pas le bac, on se dit pourquoi pas?". Depuis les séries, pièces et films se sont enchaînés. Ce qui a poussé Edouard Montoute à accepter le rôle de Ruben ? "Très honnêtement, La Réunion ! Je ne connaissais pas du tout la série". Et le comédien de reprendre : "Ruben, c'est un peu le bon bougre, épris de liberté. Ce n'est pas un amoureux transi…" La saison prochaine, son personnage devient papa et mettra tout en œuvre pour "protéger sa femme et son enfant d'éventuels dangers". Impossible d'en savoir plus, "je ne veux rien spoiler!", s'amuse-t-il. "Le tournage se passe très bien, même si, je trouve qu'on manque parfois de temps. Je viens du théâtre et des séries de six épisodes de 52 minutes, on a plus de temps pour travailler. C'est toujours un peu oppressant mais l'ambiance est excellente. L'équipe est agréable et le courant est très bien passé, surtout avec ma partenaire de jeu, Elodie Varlet. C'est un vrai bonheur!" Côté projets, Edouard Montoute sera prochainement à l'affiche de "2ème étoile" de Lucien Jean-Baptiste mais aussi de «Taxi 5», en cours de préparation.

https://www.clicanoo.re/Societe/Article/2017/07/14/CUT-Edouard-Montoute-Ruben-Un-vrai-bonheur_479910

CUT - Stephane Metzger (Maxime) : «J’adore les grandes aventures»

Les téléspectateurs le connaissent pour son personnage de Malik dans RIS Police Scientifiques. Stéphane Metzger rejoint le casting de CUT pour incarner Maxime, un juge d’instruction rigide.

Comment s’est passé le tournage ?

Formidablement bien ! J’ai dû faire pas mal d’allers-retours parce que je travaille en même temps sur une série en Suisse. Cela me fatiguait un peu mais j’ai trouvé mon rythme de croisière. Je suis ravi de travailler avec ces metteurs en scène, de mes partenaires…

Connaissiez-vous les autres comédiens avant de rejoindre le casting ?

Edouard Montoute, oui car on a joué dans un court-métrage il y a une quinzaine d’années. Nos enfants allaient dans la même école, donc on a eu l’occasion de se recroiser. Juste avant Noël, j’ai vu Antoine Stip dans la rue. On ne se connaissait pas. Il m’a reconnu et m’a dit qu’on allait jouer ensembles dans CUT. Antoine s’est un peu avancé parce que je n’étais pas au courant que j’avais été pris (rires). Mon agent m’a expliqué que je devais passer des essais. Cette rencontre m’a donné confiance en moi. J’ai tout donné pour le casting et me voilà !

Connaissiez-vous la série ?

Pas du tout, tout simplement, parce que pour me concentrer sur ma famille, je n’ai pas la télé chez moi. Je l’ai regardé avant de venir, j’ai été très surpris par la qualité technique, les images, le jeu des acteurs. J’étais très excité à l’idée de rejoindre l’équipe.

Pourquoi avoir accepté le rôle de Maxime ?

Parce que j’ai 44 ans, je fais plus jeune, les réalisateurs ont tendance à me confier des rôles de séducteurs. CUT me propose celui d’un père d’une adolescente, ça m’a fait plaisir ! Il lui arrive des choses invraisemblables, mais j’ai accepté, parce que c’est un beau personnage. Le tournage m’oblige a être loin de ma famille, mais j’aime les grandes aventures.

Parlez-nous de Maxime ?

Il est juge d’instruction. C’est un mec terriblement rigide, ce n’est ni un rigolo, ni un rebelle. Il manque de fantaisie. Maxime va être rattrapé par une situation qui le dépasse et qui va le débloquer. Floriane Vilpont incarne sa fille, Violette. C’est une jeune comédienne qui fait preuve d’un grand professionnalisme, elle a l’émotion facile. C’est une belle personne. Ca a été un plaisir de jouer avec elle.

https://www.clicanoo.re/Societe/Article/2017/07/14/CUT-Stephane-Metzger-Maxime-Jadore-les-grandes-aventures_479912

CUT - Julie Boulanger (Laura) : «Laura est plus apaisée»

Julie, si je vous dis Laura, vous répondez ?

Que c’est une grande histoire d’amour.

Qu’est-ce qui vous déplaît chez votre personnage ?

Elle a tendance à beaucoup mentir, chose qu’à titre personnel je ne trouve pas terrible, même si elle le fait pour le bien de son fils.

Que devient Laura dans la saison 5 ?

Laura n’a pas supporté le coup de trop de Charles, ce qui l’a poussé à lui tirer dessus. Tout le monde ignore ce qu’elle a fait, donc elle s’en sort très bien. Cette saison, elle va tout faire pour simplifier les choses, elle sera plus dans la discussion. Elle ouvre un restaurant, veut que Jules retrouve le droit chemin mais elle n’a plus la même influence sur lui, parce qu’il n’a plus 15 ans ! Elle veut pardonner à Charles aussi, même si ce n’est pas simple. Laura est plus femme, plus apaisée.

Comment avez-vous appréhendé le tournage ?

J’étais très contente de revenir. Cette année, contrairement aux premières saisons, je suis moins sollicitée puisqu’il y a plus de personnages. Je suis moins fatiguée. J’ai abordé le tournage avec beaucoup de plaisir. On est comme une famille, on se connaît tellement bien que c’est plus facile de travailler ensembles. Il suffit juste de nous appeler et c’est parti !

Quel autre personnage auriez-vous aimé incarner ?

J’ai beaucoup aimé Eva. Je la trouvais très attachante, décalée. Il y a beaucoup de matière pour un tel personnage et Sabine Perraud en a fait quelque chose d’intéressant.

Une question que se posent tous les fans de la série : quid de l’histoire d’amour entre Laura et Adil ?

Adil est devenu l’ami de Laura. Malgré quelques ambiguïtés, leur relation sera plus limpide.

https://www.clicanoo.re/Societe/Article/2017/07/14/CUT-Julie-Boulanger-Laura-Laura-est-plus-apaisee_479913

#Cut La Série #Saison 5

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