#diurétique
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Les bienfaits de la fleur de lys : comment utiliser cette plante magique
Les lys sont des plantes ornementales traditionnelles et populaires, qui se déclinent en plus de 100 variétés différentes. Elles sont appréciées pour leurs fleurs raffinées et élégantes, idéales pour les bouquets ainsi que, dans le cas de certaines variétés, pour leur parfum doux et subtil. Symbole de pureté, ces fleurs sont particulièrement utilisées dans les églises et pour les mariages. Mais…
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Le pissenlit est la seule fleur qui symbolise le soleil, la lune et les étoiles. La fleur jaune représente le soleil, la boule de bouffée symbolise la lune et les graines qui se dispersent ressemblent à des étoiles. Le pissenlit s'ouvre pour saluer le matin et se ferme le soir pour dormir. Chaque partie du pissenlit est utile sa racine, ses feuilles et sa fleur peuvent être utilisés pour la nourriture, les médicaments et la teinture pour la coloration. Jusqu'aux années 1800, les gens retiraient l'herbe de leurs pelouses pour faire de la place aux pissenlits. Le nom pissenlit est attesté dès le XV e siècle, il provient des propriétés diurétiques de la plante, littéralement pisser en lit. Il possède une des plus longues saisons de floraison de toute les plantes. Les graines peuvent voyager jusqu'à plus de 3 km de leur origine. Les animaux les oiseaux, les insectes et les papillons consomment le nectar ou les graines. Les fleurs ne nécessitent pas de pollinisation pour produire des graines. Ils étaient connus des Égyptiens, Grecs et Romains et utilisés dans la médecine traditionnelle chinoise depuis plus de mille ans. En médecine populaire, les pissenlits sont utilisés pour traiter les infections et les troubles du foie. Le thé au pissenlit agit comme un diurétique. Les pissenlits sont sans doute les plantes les plus réussies qui existent, maîtres de la survie dans le monde entier.
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Pharmacie : Traitement de la dépression
L'âge moyen de la première dépression est de 20 ans, apparition du premier épisode dépressif entre 17 et 27 ans en moyenne. C'est le trouble psychiatrique le plus fréquent ; c'est 70% des PEC en médecine générale, à tous les âges de la vie. Elle est plus fréquente chez la femme.
N.B : En cas de syndrome dysphorique prémenstruel la pilule contraceptive est plus efficace qu'un antidépresseur
Pour parler d'épisode dépressif caractérisé (EDC) il faut :
Rupture avec un état antérieur ; le patient n'est pas dans son état habituel (capital sinon pas dans un EDC)
Symptômes évoluant depuis au moins 2 semaines.
Humeur triste ne fluctuant plus. C'est une tristesse pathologique ; - Souffrance morale, décrite pire que la souffrance physique par le patient - Anhédonie ; perte de la capacité à éprouver du plaisir - Perte d'intérêts - Anesthésie affective
- Ralentissement psychomoteur du patient dépressif
Ralentissement psychique - bradypsychie ; pensée qui vont lentement - discours lent, monotone, monothématique - troubles cognitifs de concentration/mémoire
Ralentissement moteur - asthénie permanente - clinophilie (rester allongé toute la journée) - incurie (pas prendre soin de soi) - apragmatisme (ne rien faire, absence d'activité) - présentation : patient figé, bradykinésie, hypomimie, Ω mélancolique (sourcils font la forme Ω)
Ralentissement somatique
- hyporexie ⇒ anorexie, amaigrissement (mais parfois hyperphagie)
- troubles du sommeils ; insomnie du petit matin
- troubles sexuels ; anorgasmie, impuissance, frigidité, dyspareunie (= douleur pendant les rapports)
Dépression iatrogène
Médicaments Pouvant Donner des Dépressions
Interféron α (IFN α) ;
Isotrétinoïne ;
Bêtabloquants ;
Diurétiques thiazidiques ;
Mefloquine ;
Fluoroquinolones et quinolones ;
Nitro-imidazolés ;
Glucocorticoïdes ;
Œstrogènes et oestroprogestatifs ;
Sulfamide
Prise en charge
Le plus souvent en ambulatoire avec le médecin généraliste (premier intervenant pour soigner la dépression)
Association : antidépresseur (6 à 12 mois) + psychothérapie
Le traitement par antidépresseur met environ 2/3 semaines pour montrer des effets positifs. Si le patient dépressif voit une amélioration de son état dépressif par la médication au bout d'un mois, il doit quand même continuer son traitement au moins 6 mois après la normothymie (= retour à l'état normal de l'humeur)
ISRS : Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine
Citalopram (Séropram®), Escitalopram (Séroplex®), Fluoxétine (Prozac®), Fluvoxamine (Floxyfral®), Paroxétine (Déroxat®, Divarius®), Sertraline (Zoloft®)
Propriétés : Psychostimulant, sédatif, anxiolytique
Indications :
Syndrome dépressif
Trouble obsessionnel compulsif
Trouble panique et phobie sociale
Trouble anxieux généralisé
État de stress post-traumatique
Contre-indications : Allongement de QT (Citalopram et Escitalopram), insuffisance rénale sévère (Citalopram)
Interactions médicamenteuses : Pimozide, Duloxétine, Agomélatine, Tramadol, IMAO sélectifs, Tamoxifène, Triptans
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Gastralgies, nausées, vomissements, diarrhées
Allongement de QT pour le Citalopram et l’Escitalopram
Prise de poids
Perte d’appétit avec la Fluoxétine
Baisse de la libido, impuissance
Sueurs
Éruption cutanée
Hyponatrémie
IRSNa : Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline.
Duloxétine (Cymbalta®), Venlafaxine (Effexor®), Milnacipran (Ixel®)
Indications :
Syndrome dépressif
Trouble obsessionnel compulsif
Trouble panique et phobie sociale
Trouble anxieux généralisé
État de stress post-traumatique
Contre-indications : Insuffisance hépatique, insuffisance rénale sévère (Duloxétine), HTA non contrôlée, maladie coronarienne sévère ou instable (Milnacipran)
Interactions médicamenteuses : IMAO non sélectifs, Fluvoxamine, Tamoxifène
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Nausées, vomissements, diarrhées
Hépatite
Baisse de la libido, impuissance
Hyponatrémie
Hypertension artérielle, tachycardie
Tricycliques (imipraminiques)
Ce sont des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, de la noradrénaline et de la dopamine
Amitriptyline (Laroxyl®, Elavil®), Amoxapine (Défanyl®), Clomipramine (Anafranil®), Dosulépine (Prothiaden®), Imipramine (Tofranil®), Maprotiline (Ludiomil®), Doxépine (Quitaxon®), Trimipramine (Surmontil®)
Propriétés : Psychostimulant, sédatif, anxiolytique
Indications : syndrome dépressif, douleur chronique, troubles anxieux
Contre-indications : glaucome à angle fermé, adénome de la prostate, IDM récent, épilepsie
Interactions médicamenteuses : IMAO, Sultopride, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, alcool, Clonidine
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire (en début de traitement)
Tremblements dose-dépendant
Troubles du rythme et de la conduction
Hypotension orthostatique
Baisse du seuil épileptique
Somnolence
Prise de poids
Effets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaire
IMAO : inhibiteurs de la monoamine oxydase
IMAO non sélectif (A et B) : Iproniazide (Marsilid®)
IMAO sélectif A : Moclobémide (Moclamine®)
Propriétés : psychostimulant, sédatif
Indications : syndrome dépressif
Contre-indications : hypertension artérielle, insuffisance hépatique, phéochromocytome, états confusionnels aigus, alcoolisme chronique
Interactions alimentaires : aliments riches en tyramine (poussées hypertensives) : alcool, chocolat, fèves, ginseng, abats, banane, figue, fromage fermenté, avocat, viandes et poissons fumés ou séchés, saucisson, soja, soupes en sachets ou boites, levure de bière
Interactions médicamenteuses : Buproprion, Midodrine, sympathomimétiques, Tétrabénazine, Triptans, ISRS, IRSNa, Tramadol, Péthidine, Réserpine, ICOMT, Tianeptine
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Épisode maniaque
Insomnie, excitation
Effets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaire
Hypotension orthostatique
Crise hypertensive
Vertiges, sueurs, céphalées
Autres antidépresseurs
Ils ont des mécanismes variés.
Agomélatine (Valdoxan®), Miansérine (Athymil®), Mirtazapine (Norset®), Tianeptine (Stablon®)
Propriétés : psychostimulant, sédatif, antihistaminique
Indications : syndrome dépressif
Contre-indications : porphyrie, hypersensibilité ou antécédent d’agranulocytose due au produit
Interactions médicamenteuses : IMAO, inducteurs enzymatiques
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Nausées, vomissements, diarrhée, constipation
Hypotension orthostatique
Prise de poids
Somnolence
Anxiété
Épisode maniaque
Effets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaire
Diminution du seuil épileptogène
Agranulocytose
Critères de choix
Chez l’Enfant et l’Adolescent
- Prise en charge psychothérapeutique en première intention.
- Les ISRS et leurs apparentés sont déconseillés (sauf Fluoxétine) car ils donnent un comportement suicidaire et/ou hostile.
- Les ATC sont contre-indiqués car effets secondaires psycho-comportementaux.
- En cas de troubles obsessionnels compulsifs (OCD), la Fluvoxamine et la Sertaline (ISRS) peuvent être utilisés chez l’enfant de plus de 6 ans.
Chez la Personne Âgée
- Les ISRS :
o Risque d’hyponatrémie, surtout si prise concomitante de diurétiques ;
o Risque hémorragique, surtout si prise concomitante d’anticoagulants.
- Les ATC ne sont pas prescrits en première intention car ils donnent des effets anticholinergiques risquant d’aggraver les fonctions cognitives en cas de démence.
=> Tous les antidépresseurs peuvent donner un risque de chute car ils donnent une hypotension et une sédation.
- La dose des ATC est réduite de moitié par rapport à celle donnée aux adultes.
Insuffisances Hépatique et Rénale
- Risque accru d’accumulation si IH.
- Risque d’accumulation de la Paroxétine et du Citalopram si IR
PK
Bonne absorption digestive ;
Effet de premier passage hépatique très important pour les ATC ;
Volume de distribution important pour les ATC et les ISRS ;
Liaison importante aux protéines plasmatiques ;
Les ATC, la Fluoxétine et le Citalopram donnent des métabolites actifs ;
Les ATC subissent un cycle entéro-hépatique ;
Ils sont éliminés par voie rénale et biliaire ;
Les ISRS sont des inhibiteurs enzymatiques du CYP450 2D6 et 3A4.
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Hydrocéphalie à pression normale et troubles de la marche chez les personnes âgées
L'hydrocéphalie à pression normale (HNP) est une maladie neurologique qui se caractérise par une accumulation excessive de liquide céphalo-rachidien (LCR) dans les ventricules du cerveau. Bien que la pression intracrânienne soit normale, cette accumulation peut entraîner divers symptômes, dont des troubles de la marche chez les personnes âgées.
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Causes de l'hydrocéphalie à pression normale
Les causes exactes de l'HNP ne sont pas toujours connues, mais certains facteurs de risque ont été identifiés, notamment :
Âge: L'HNP est plus fréquente chez les personnes âgées.
Sexe: Les femmes sont plus touchées que les hommes.
Antécédents de traumatisme crânien: Un traumatisme crânien antérieur peut augmenter le risque de développer une HNP.
Méningite: Une inflammation des méninges (les membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière) peut entraîner une HNP.
Hémorragie sous-arachnoïdienne: Un saignement dans l'espace sous-arachnoïdien (l'espace entre les méninges) peut entraîner une HNP.
Symptômes de l'hydrocéphalie à pression normale
Les symptômes de l'HNP peuvent varier d'une personne à l'autre, mais les plus courants sont :
Troubles de la marche: C'est l'un des symptômes les plus fréquents de l'HNP. Les personnes atteintes peuvent ressentir une instabilité, une démarche ébrieuse ou une difficulté à maintenir l'équilibre.
Incontinence urinaire: L'incontinence urinaire peut être un symptôme précoce de l'HNP.
Perte de mémoire: La perte de mémoire peut être un symptôme tardif de l'HNP.
Douleurs de tête: Les douleurs de tête peuvent être présentes, mais elles ne sont pas toujours un symptôme de l'HNP.
Diagnostic de l'hydrocéphalie à pression normale
Le diagnostic de l'HNP repose sur plusieurs examens, notamment :
Imagerie par résonance magnétique (IRM) du cerveau: L'IRM est l'examen de référence pour le diagnostic de l'HNP. Il permet de visualiser les ventricules élargis et de mesurer la pression intracrânienne.
Ponction lombaire: Une ponction lombaire peut être réalisée pour mesurer la pression du liquide céphalo-rachidien et analyser son composition.
Traitement de l'hydrocéphalie à pression normale
Le traitement de l'HNP dépend de la gravité des symptômes et de la cause sous-jacente. Dans certains cas, aucun traitement n'est nécessaire. Dans d'autres cas, les options de traitement peuvent inclure :
Médicaments: Les diurétiques peuvent être utilisés pour réduire la production de liquide céphalo-rachidien.
Chirurgie: Une shunt ventriculaire peut être implanté pour drainer le liquide céphalo-rachidien vers l'abdomen ou le péritoine.
Prévention de l'hydrocéphalie à pression normale
Il n'existe pas de moyen de prévenir l'HNP, mais il est important de consulter un médecin si vous présentez des symptômes tels que des troubles de la marche, de l'incontinence urinaire ou une perte de mémoire.
Conclusion
L'hydrocéphalie à pression normale est une maladie qui peut entraîner des troubles de la marche chez les personnes âgées. Si vous êtes concerné par cette maladie, il est important de consulter un médecin pour obtenir un diagnostic et un traitement appropriés.
Aller plus loin
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SUREAU NOIR Bienfaits des Plantes Proprietes Info Sante Nature
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Attention : LE SUREAU HIÈBLE EST TOXIQUE
Le sureau est un arbre ou arbuste qui pousse dans de nombreuses régions du monde. Depuis des siècles, le sureau est utilisé à des fins médicinales pour traiter une variété de troubles de santé.
Le sureau peut être consommé en tisane, en sirop, en comprimés ou en capsules. Il convient de noter que la consommation excessive de sureau peut causer des effets secondaires, notamment des maux d'estomac et de tête, et les femmes enceintes et allaitantes devraient éviter de consommer du sureau.
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@MeditationHypnoseAuraNature
SUREAU NOIR Bienfaits des Plantes Proprietes Info Sante Nature
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Par le Docteur Stéphane Smarrito, chirurgien esthétique à Lausanne, Suisse
La gynécomastie, souvent méconnue, est une condition qui touche un grand nombre d’hommes, avec des répercussions importantes sur leur bien-être physique et mental. Heureusement, des solutions existent, et grâce à l’expertise du Docteur Stéphane Smarrito, situé à Lausanne, il est possible de traiter efficacement cette affection tout en bénéficiant d’un accompagnement sur mesure. Découvrez dans ce guide tout ce qu’il faut savoir sur la gynécomastie, de ses causes à ses traitements en passant par le parcours post-opératoire.
1. Qu’est-ce que la gynécomastie ?
La gynécomastie se définit comme une augmentation anormale du volume des glandes mammaires chez l’homme. Contrairement à la pseudogynécomastie, où l’élargissement de la poitrine est causé par un excès de graisse, la gynécomastie vraie implique une hypertrophie glandulaire souvent associée à un déséquilibre hormonal. Elle peut toucher un seul sein (unilatérale) ou les deux (bilatérale) et affecter des hommes de tout âge.
Les différents types de gynécomastie :
Gynécomastie pubertaire : Apparaît chez les adolescents, causée par les fluctuations hormonales. Dans la majorité des cas, elle disparaît spontanément après la puberté.
Gynécomastie persistante : Lorsque la condition ne s’améliore pas, elle peut nécessiter une intervention médicale ou chirurgicale.
Gynécomastie liée à l’âge : Chez les hommes plus âgés, la baisse naturelle des niveaux de testostérone peut entraîner une augmentation relative des œstrogènes.
Gynécomastie secondaire : Provoquée par des facteurs externes, comme des médicaments, des substances ou des maladies sous-jacentes.
2. Quelles sont les causes de la gynécomastie ?
La gynécomastie est principalement causée par un déséquilibre hormonal, où une augmentation des œstrogènes ou une diminution des androgènes stimule le développement des glandes mammaires. Voici les facteurs principaux :
Causes hormonales :
Puberté : Déséquilibre temporaire chez les adolescents.
Vieillissement : Diminution progressive de la testostérone avec l’âge.
Causes médicamenteuses :
Certains médicaments peuvent provoquer une gynécomastie en modifiant l’équilibre hormonal, notamment :
Les stéroïdes anabolisants.
Les traitements hormonaux (prostate, thyroïde).
Certains antidépresseurs et anxiolytiques.
Médicaments pour le cœur, comme les anti-ulcéreux ou les diurétiques.
Substances et mode de vie :
Alcoolisme chronique.
Consommation de drogues, notamment cannabis, héroïne ou méthadone.
Régimes riches en phyto-œstrogènes (soja, produits transformés).
Maladies et affections médicales :
Cirrhose du foie ou insuffisance rénale.
Hyperthyroïdie ou hypogonadisme.
Tumeurs testiculaires ou surrénaliennes.
3. Le diagnostic par le Dr Stéphane Smarrito
Le diagnostic est une étape essentielle pour distinguer la gynécomastie vraie de la pseudogynécomastie ou d’autres affections. Le Docteur Smarrito procède à une évaluation rigoureuse :
Consultation initiale :
Examen clinique pour évaluer la nature du tissu mammaire (glandulaire, graisseux ou mixte).
Questions sur les antécédents médicaux et les traitements en cours.
Exploration des habitudes de vie (alimentation, alcool, drogues).
Examens complémentaires :
Échographie : Pour distinguer le tissu glandulaire de la graisse.
Bilan hormonal : Identifier un déséquilibre hormonal éventuel.
Analyse de santé générale : Exclure les maladies sous-jacentes comme le cancer ou les troubles métaboliques.
4. Les options de traitement pour la gynécomastie
Traitements non chirurgicaux :
Dans certains cas, il est possible de traiter la gynécomastie sans chirurgie, notamment :
Modification des habitudes de vie : Réduction de la consommation d’alcool, arrêt des substances nocives, perte de poids.
Adaptation des traitements : Si un médicament est responsable, il peut être remplacé par une alternative.
Traitements hormonaux : Administration de testostérone ou d’anti-œstrogènes pour rééquilibrer les niveaux hormonaux.
Chirurgie de la gynécomastie :
Lorsque la condition persiste ou cause une gêne importante, la chirurgie devient l’option privilégiée.
Techniques utilisées par le Dr Smarrito :
Exérèse glandulaire : Retrait du tissu glandulaire excédentaire via une incision autour de l’aréole.
Liposuccion : Réduction des dépôts graisseux pour améliorer le contour thoracique.
Combinaison des deux : Assure des résultats harmonieux pour les gynécomasties mixtes.
Déroulement de l’intervention :
Durée : 1 à 2 heures sous anesthésie locale ou générale.
Hospitalisation : Retour à domicile le jour même ou le lendemain.
Résultats : Une poitrine masculine, naturelle, avec des cicatrices discrètes.
5. La convalescence et le suivi post-opératoire
Après l’intervention, le Dr Smarrito veille à un suivi personnalisé pour garantir une récupération optimale :
Port d’un vêtement compressif : À porter pendant 4 à 6 semaines pour réduire les gonflements et favoriser une cicatrisation homogène.
Activités physiques : Les tâches légères peuvent être reprises après 48 heures, mais les activités sportives intensives doivent attendre 4 à 6 semaines.
Contrôles réguliers : Pour surveiller la cicatrisation et s’assurer que les résultats répondent aux attentes.
Résultats définitifs : Visibles au bout de 2 à 3 mois, une fois les œdèmes totalement résorbés.
6. Pourquoi choisir le Docteur Stéphane Smarrito à Lausanne ?
Le Docteur Stéphane Smarrito est reconnu pour son expertise en chirurgie esthétique et son approche bienveillante. Ses patients bénéficient de :
Une consultation personnalisée pour comprendre leurs attentes.
Des techniques chirurgicales avancées assurant des résultats naturels.
Un accompagnement complet avant, pendant et après l’intervention.
7. Conclusion : Reprendre confiance en soi
La gynécomastie, bien qu’elle puisse être source de complexe, n’est pas une fatalité. Grâce à l’expertise du Dr Stéphane Smarrito, vous pouvez retrouver une poitrine masculine et une meilleure confiance en vous. Pour en savoir plus ou pour planifier une consultation, contactez son cabinet à Lausanne. Ensemble, nous trouverons la solution qui répond le mieux à vos besoins et à vos attentes.
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Qu'est-ce que l'ertugliflozine peut apporter à mon cheval atteint de SME ?
L’ertugliflozine est un médicament utilisé pour traiter le diabète de type 2. Il fonctionne en empêchant les reins de récupérer le sucre dans le sang, ce qui entraîne une élimination plus importante du sucre par les urines. Perte de poids et élimination d’eau En éliminant du sucre par les urines, le corps perd plus de calories, ce qui peut aider à perdre du poids. L’action diurétique du…
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De toi-même, tu n'aurais jamais porté de couche. Mais quand ton maître t'a laissé enchaîné à son appartement et que la chaîne était juste trop courte pour accéder aux WC, tu lui as expliqué qu'il y avait qq chose qui n'allait pas. C'est la qu'il a déballé la première couche pour adulte que tu n ais jamais vu. C'est clair qu'il en était hors de question, mais il a souri et t'a informé qu'à ton dernier repas était très diurétique et que tu ne tarderai pas à avoir une grosse envie. Quand elle est arrivée, tu l'as supplié de te détacher, de te laisser emprunter les WC, mais il est resté intraitable. Alors tu as lâché avec colère que tu étais OK pour la couche. Un manque de respect que tu paies en crachats et baffes reçus. Il a fallu s humilier de supplier le maître qui enregistrait tout sur son dictaphone de t enfiler la couche. À peine c'était fait que ta vessie lâchait. Quelle colère tu as eu lorsque sous ton bâillon tu as demandé à enlever la couche mouillée. Et il t'a repassé ta supplication d'être mis en couche...
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Lorsqu'on cherche à perdre du poids, la notion de "calories négatives" ou d’aliments à très faible teneur calorique peut être très attrayante. Bien que le concept d'aliments à "calories négatives" soit contesté par les experts, il existe des aliments si faibles en calories qu'ils peuvent presque être considérés comme tels. Ces aliments, principalement constitués d'eau et de fibres, peuvent aider à maintenir une sensation de satiété tout en favorisant la perte de poids. Voici une liste de 25 aliments qui sont vos alliés dans un régime efficace. 1. Concombre Le concombre est constitué à 95% d'eau, ce qui en fait un excellent choix pour l'hydratation et la satiété avec très peu de calories. 2. Céleri Le céleri est un autre aliment principalement composé d'eau, avec seulement 16 calories pour 100 grammes. 3. Courgette La courgette est riche en fibres et très faible en calories, parfaite pour accompagner vos plats principaux. 4. Laitue La laitue est un aliment de base dans les salades et ne contient presque pas de calories. 5. Tomate La tomate est faible en calories et riche en vitamines, idéale pour ajouter de la saveur à vos repas sans culpabilité. 6. Épinard Les épinards sont riches en nutriments mais contiennent très peu de calories, parfaits pour des smoothies ou des salades. 7. Brocoli Le brocoli est une excellente source de fibres et de vitamines, tout en étant très faible en calories. 8. Chou-fleur Le chou-fleur est un légume polyvalent et faible en calories, parfait pour des purées ou des plats rôtis. 9. Poivron Le poivron, notamment le poivron vert, est faible en calories et riche en antioxydants. 10. Radis Les radis sont croquants et faibles en calories, parfaits pour grignoter entre les repas. 11. Asperges Les asperges sont faibles en calories et sont connues pour leurs propriétés diurétiques. 12. Champignons Les champignons sont peu caloriques et peuvent être ajoutés à de nombreux plats pour augmenter leur volume sans ajouter de calories. 13. Fenouil Le fenouil est faible en calories et aide à la digestion. 14. Haricot vert Les haricots verts sont riches en fibres mais très faibles en calories. 15. Aubergine L'aubergine est un légume faible en calories qui absorbe bien les saveurs. 16. Pamplemousse Le pamplemousse est faible en calories et est souvent recommandé dans les régimes pour ses effets coupe-faim. 17. Fraise Les fraises sont sucrées mais faibles en calories, parfaites pour les desserts légers. 18. Mûre Les mûres sont riches en antioxydants et faibles en calories, idéales pour des encas sains. 19. Melon Le melon est hydratant et peu calorique, parfait pour les chaudes journées d'été. 20. Pastèque Comme le melon, la pastèque est hydratante et faible en calories, idéale pour une collation rafraîchissante. 21. Pêche La pêche est un fruit sucré et faible en calories, excellent pour satisfaire une envie de sucré. 22. Clémentine Les clémentines sont riches en vitamine C et faibles en calories, parfaites pour un petit encas. 23. Papaye La papaye est non seulement faible en calories, mais elle est aussi excellente pour la digestion. 24. Orange Les oranges sont hydratantes, riches en vitamines, et faibles en calories, idéales pour une collation matinale. 25. Pomelo Le pomelo, comme le pamplemousse, est faible en calories et aide à contrôler l'appétit. Intégrer ces 25 aliments dans votre régime alimentaire peut non seulement vous aider à réduire votre apport calorique total, mais aussi vous permettre de rester rassasié tout en profitant d'une alimentation variée et nutritive. N’oubliez pas que l'équilibre et la modération restent les clés d'un régime efficace et durable. https://savoirentreprendre.net/?p=15634&feed_id=12078
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Troubles alimentaires chez les enfants : Conseils pratiques pour une alimentation saine
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La nutrition infantile constitue un pilier fondamental du développement sain des enfants, influençant non seulement leur croissance physique, mais aussi leur bien-être émotionnel et cognitif. Cependant, les troubles alimentaires chez les enfants représentent un défi de taille pour les parents et les professionnels de la petite enfance. Ces troubles, allant de la sélectivité alimentaire à des comportements plus complexes, peuvent avoir des répercussions profondes et durables s'ils ne sont pas gérés de manière adéquate. Comprendre les causes, reconnaître les signes précoces et mettre en place des solutions adaptées sont des étapes essentielles pour favoriser une alimentation équilibrée et saine chez les tout-petits.
Comprendre les troubles alimentaires chez les enfants
Qu'est-ce qu'un trouble alimentaire chez les enfants ? Les troubles alimentaires chez les enfants se manifestent par des comportements alimentaires anormaux et persistants qui peuvent affecter leur santé physique et mentale. Parmi les troubles les plus courants, on retrouve l'anorexie, la boulimie et la sélectivité alimentaire. L'anorexie se caractérise par une restriction volontaire de l'alimentation, souvent accompagnée d'une peur intense de prendre du poids, même lorsque l'enfant est en sous-poids. La boulimie, en revanche, implique des épisodes de suralimentation suivis de comportements compensatoires, tels que le vomissement volontaire ou l'utilisation excessive de laxatifs. La sélectivité alimentaire, souvent observée chez les jeunes enfants, se traduit par un refus systématique de certains aliments ou groupes d'aliments, ce qui peut entraîner des carences nutritionnelles. Les causes des troubles alimentaires chez les tout-petits Les causes des troubles alimentaires chez les enfants sont multiples et souvent interconnectées. Les facteurs psychologiques jouent un rôle majeur, notamment les troubles de l'anxiété, les expériences de traumatisme ou les problèmes d'estime de soi. Par ailleurs, des facteurs génétiques peuvent prédisposer certains enfants à développer ces troubles, suggérant une vulnérabilité hér��ditaire. L'environnement familial et social constitue également un élément crucial ; des dynamiques familiales conflictuelles, une pression sociale concernant l'apparence physique ou des pratiques alimentaires dysfonctionnelles au sein de la famille peuvent exacerber les comportements alimentaires problématiques. Il est essentiel de comprendre ces différentes dimensions pour intervenir de manière efficace et personnalisée. Les signes et symptômes à surveiller Reconnaître un trouble alimentaire chez un enfant nécessite une vigilance particulière de la part des parents et des professionnels. Les signes peuvent être subtils au début mais deviennent plus apparents avec le temps. Voici quelques indicateurs clés à surveiller : - Changements dans les habitudes alimentaires : Refus de manger certains aliments, réduction drastique des quantités ingérées ou périodes de suralimentation. - Comportements compensatoires : Vomissements après les repas, usage de laxatifs ou diurétiques, excès d'exercice physique. - Modifications physiques : Perte de poids significative, retard de croissance, carences nutritionnelles visibles (cheveux cassants, ongles fragiles). - Symptômes psychologiques : Anxiété autour des repas, préoccupations excessives concernant le poids et l'apparence, isolement social. - Problèmes digestifs : Douleurs abdominales, ballonnements, constipation ou diarrhée fréquente. Ces signes doivent alerter les parents et les éducateurs sur la nécessité de consulter un professionnel de santé pour un diagnostic et une prise en charge adaptés. Les troubles alimentaires chez les enfants ne se résolvent pas d'eux-mêmes et nécessitent une intervention précoce pour éviter des complications à long terme. En comprenant les diverses facettes des troubles alimentaires chez les enfants, nous pouvons mieux identifier, prévenir et traiter ces problèmes. Une connaissance approfondie des causes, des manifestations et des signes d'alerte est indispensable pour assurer la santé et le bien-être des tout-petits.
Les bases de la nutrition infantile
Les besoins nutritionnels des enfants : Quelles sont les bases ? La nutrition infantile repose sur des besoins spécifiques qui varient en fonction de l'âge, du poids, de la taille et du niveau d'activité physique des enfants. Les macronutriments – glucides, protéines et lipides – constituent les éléments de base nécessaires à la croissance et au développement. Les glucides fournissent l'énergie indispensable aux activités quotidiennes, les protéines sont essentielles pour la construction et la réparation des tissus, et les lipides jouent un rôle crucial dans le développement du cerveau et des systèmes nerveux et immunitaire. Les micronutriments, bien que nécessaires en petites quantités, sont tout aussi importants. Les vitamines, comme la vitamine A, D, E et C, ainsi que les minéraux tels que le calcium, le fer, le zinc et le magnésium, doivent être présents en quantité suffisante dans l'alimentation des enfants. Par exemple, le calcium est fondamental pour la formation des os et des dents, tandis que le fer est vital pour le transport de l'oxygène dans le sang et le développement cognitif. Comment planifier des repas équilibrés pour les enfants ? Planifier des repas équilibrés pour les enfants nécessite une approche réfléchie et diversifiée. Chaque repas doit inclure une combinaison équilibrée de macronutriments et de micronutriments pour répondre aux besoins nutritionnels de l'enfant. Les fruits et légumes devraient occuper une place prépondérante dans l'assiette, apportant des fibres, des vitamines et des minéraux essentiels. Les céréales complètes, telles que le riz brun, le quinoa et le pain complet, sont des sources importantes de glucides complexes et de fibres. Les protéines doivent provenir de sources variées, incluant les viandes maigres, le poisson, les œufs, les légumineuses et les produits laitiers. Les lipides, quant à eux, devraient être principalement issus de graisses insaturées, présentes dans les huiles végétales, les avocats, les noix et les graines. L'importance de la diversité alimentaire dès le plus jeune âge Introduire une grande diversité alimentaire dès le plus jeune âge est essentiel pour développer des habitudes alimentaires saines et prévenir les carences nutritionnelles. La diversité alimentaire encourage les enfants à explorer différents goûts et textures, réduisant ainsi le risque de sélectivité alimentaire. Une exposition régulière à une variété d'aliments aide également à établir une base nutritionnelle solide, assurant que l'enfant reçoit tous les nutriments nécessaires à son développement. A retenir : Un professionnel de santé spécialisé (pédiatre par exemple) pourra vous guider sur les aliments à inclure en fonction de l'âge. Comment aborder les troubles alimentaires avec les enfants ? Gérer les troubles alimentaires nécessite une approche sensible et informée. Les parents et les professionnels doivent adopter une communication ouverte et non jugeante pour aider les enfants à exprimer leurs sentiments et leurs préoccupations. Il est crucial de créer un environnement de repas positif et sans stress, en évitant les pressions ou les punitions liées à la nourriture. Le rôle des parents et des professionnels dans la gestion des troubles alimentaires Les parents et les professionnels de la petite enfance jouent un rôle central dans la gestion et la prévention des troubles alimentaires. Leur collaboration est essentielle pour établir des routines alimentaires saines et cohérentes. Les parents doivent être encouragés à modeler des comportements alimentaires positifs et à offrir un soutien émotionnel constant. Les professionnels, quant à eux, doivent fournir des conseils spécialisés et des ressources pour aider les familles à surmonter les défis liés aux troubles alimentaires. Des stratégies pour encourager une alimentation saine et équilibrée Pour encourager une alimentation saine et équilibrée, plusieurs stratégies peuvent être mises en place. Il est recommandé de proposer des repas à des heures régulières et de créer un environnement de repas agréable et sans distractions. Impliquer les enfants dans la préparation des repas peut également les inciter à essayer de nouveaux aliments. De plus, l'éducation nutritionnelle doit être intégrée de manière ludique et interactive, en utilisant des jeux et des activités pour enseigner les bienfaits d'une alimentation équilibrée. Prévenir les troubles alimentaires chez les enfants La prévention des troubles alimentaires repose sur l'établissement de bonnes pratiques dès le plus jeune âge. Il est crucial de sensibiliser les enfants à l'importance de la nutrition et de leur enseigner à écouter leurs signaux de faim et de satiété. Les parents et les professionnels doivent également être attentifs aux signes précurseurs de troubles alimentaires et intervenir rapidement en cas de besoin.
Conseils pratiques pour gérer les troubles alimentaires
Comment aborder les troubles alimentaires avec les enfants ? Aborder les troubles alimentaires avec les enfants nécessite une approche délicate et empathique. Il est crucial de créer un environnement où l'enfant se sent en sécurité et compris. Les discussions doivent être menées avec douceur et sans jugement, en s'assurant que l'enfant se sent écouté et respecté. Les parents et les professionnels doivent poser des questions ouvertes pour encourager l'enfant à exprimer ses sentiments et ses préoccupations concernant la nourriture. Par exemple, demander "Comment te sens-tu lorsque tu manges ce plat ?" peut ouvrir un dialogue plus constructif qu'une question fermée. Il est également important de rassurer l'enfant sur le fait que ses sentiments sont normaux et qu'il n'est pas seul dans cette situation. En établissant une communication ouverte et honnête, on peut aider l'enfant à comprendre ses comportements alimentaires et à travailler vers des solutions positives. Le rôle des parents et des professionnels dans la gestion des troubles alimentaires Les parents et les professionnels de la petite enfance jouent un rôle crucial et complémentaire dans la gestion des troubles alimentaires chez les enfants. Les parents, en tant que figures principales de l'enfant, doivent modéliser des comportements alimentaires positifs et maintenir une atmosphère de repas sans pression. Ils doivent éviter de faire des commentaires négatifs sur le poids ou les habitudes alimentaires, et plutôt se concentrer sur la promotion d'une alimentation équilibrée de manière positive. Les professionnels, tels que les éducateurs en crèche, les assistants maternels et les nutritionnistes, doivent collaborer avec les parents pour offrir un soutien global. Ils peuvent fournir des informations précises sur les besoins nutritionnels des enfants, identifier les signes de troubles alimentaires et proposer des stratégies adaptées pour y faire face. Les professionnels peuvent également organiser des ateliers et des séances d'information pour éduquer les parents sur la gestion des troubles alimentaires et sur l'importance d'une alimentation équilibrée. En travaillant ensemble, parents et professionnels peuvent créer un réseau de soutien solide qui aide l'enfant à surmonter ses difficultés alimentaires.
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Comment encourager une alimentation saine et équilibrée ? Encourager une alimentation saine et équilibrée chez les enfants requiert l'adoption de points clés variés et cohérents. Voici quelques approches clés pour atteindre cet objectif : - Créer des routines alimentaires régulières : Établir des heures de repas fixes aide à instaurer une structure et une prévisibilité, réduisant ainsi l'anxiété liée à la nourriture. - Impliquer les enfants dans la préparation des repas : En engageant les enfants dans la cuisine, ils se sentent plus investis dans ce qu'ils mangent. Cela peut aussi être l'occasion de leur apprendre la valeur nutritionnelle des aliments. - Présenter les aliments de manière attrayante : La présentation des plats joue un rôle important dans l'acceptation des aliments. Utiliser des couleurs vives et des formes amusantes peut rendre les repas plus appétissants pour les enfants. - Introduire progressivement de nouveaux aliments : Il est important de ne pas forcer les enfants à manger des aliments qu'ils n'aiment pas. Introduire de nouveaux aliments en petites quantités et de manière régulière peut aider à surmonter la réticence initiale. - Encourager les repas en famille : Manger ensemble en famille offre un modèle positif et montre l'importance des repas équilibrés. C'est également un moment pour discuter et renforcer les liens familiaux. - Utiliser des compliments et des récompenses non alimentaires : Encourager les enfants avec des compliments lorsqu'ils essaient de nouveaux aliments ou terminent leurs repas peut renforcer les comportements positifs sans utiliser la nourriture comme récompense. Prévenir les troubles alimentaires chez les enfants La prévention des troubles alimentaires chez les enfants commence par l'établissement de bases solides en matière de nutrition et de comportements alimentaires sains. Il est essentiel d'éduquer les enfants dès leur plus jeune âge sur l'importance d'une alimentation équilibrée et de les encourager à écouter leurs signaux de faim et de satiété. Les parents et les professionnels doivent être vigilants et attentifs aux signes précurseurs de troubles alimentaires, tels que des changements soudains dans les habitudes alimentaires ou une préoccupation excessive concernant le poids et l'apparence. Une approche proactive consiste à promouvoir une image corporelle positive et à décourager les régimes restrictifs ou les discussions négatives sur le poids. Les enfants doivent être encouragés à adopter une attitude saine et équilibrée envers la nourriture, où l'accent est mis sur la nutrition et le plaisir de manger plutôt que sur le contrôle du poids. En créant un environnement familial et éducatif qui valorise la diversité corporelle et la santé globale, nous pouvons contribuer à prévenir l'apparition de troubles alimentaires et favoriser le bien-être des enfants à long terme.
Prévenir les troubles alimentaires chez les enfants
Les bonnes pratiques pour éviter les troubles alimentaires La prévention des troubles alimentaires chez les enfants commence par l'adoption de bonnes pratiques dès le plus jeune âge. Il est essentiel d'instaurer des routines alimentaires régulières, où les repas sont pris à des heures fixes dans un environnement calme et positif. Ces moments doivent être exempts de distractions telles que la télévision ou les appareils électroniques, permettant ainsi aux enfants de se concentrer sur leur nourriture et de développer une relation saine avec l'alimentation. De plus, il est important de proposer une alimentation variée et équilibrée, incluant une large gamme de fruits, légumes, protéines maigres, grains entiers et produits laitiers. En exposant les enfants à une diversité d'aliments, on réduit le risque de sélectivité alimentaire et on encourage la découverte de nouveaux goûts et textures. Il est également bénéfique d'impliquer les enfants dans la planification et la préparation des repas, ce qui peut accroître leur intérêt et leur acceptation des aliments. L'importance de l'éducation nutritionnelle L'éducation nutritionnelle joue un rôle crucial dans la prévention des troubles alimentaires. Dès leur plus jeune âge, les enfants doivent être informés de l'importance des aliments pour leur santé et leur croissance. Les discussions sur la nutrition doivent être positives et axées sur les bienfaits des différents nutriments plutôt que sur la restriction ou le contrôle du poids. Il est important de leur apprendre à reconnaître les signaux de faim et de satiété, les encourageant à manger lorsqu'ils ont faim et à s'arrêter lorsqu'ils sont rassasiés. L'éducation nutritionnelle ne se limite pas à la maison. Les écoles et les structures de garde d'enfants doivent également jouer un rôle actif en intégrant des programmes éducatifs sur la nutrition. Ces programmes peuvent inclure des activités interactives, des ateliers de cuisine et des jeux éducatifs pour rendre l'apprentissage de la nutrition amusant et engageant. En offrant une éducation continue sur la nutrition, nous aidons les enfants à développer des habitudes alimentaires saines qui dureront toute leur vie. Les ressources et outils pour les parents et les professionnels Pour soutenir les parents et les professionnels dans la prévention des troubles alimentaires, il est crucial de leur fournir des ressources et des outils adaptés. Voici quelques recommandations essentielles : - Guides et livres : De nombreux ouvrages offrent des conseils pratiques sur la nutrition infantile et la gestion des troubles alimentaires. Ces livres peuvent fournir des recettes équilibrées, des stratégies pour encourager de bonnes habitudes alimentaires et des informations sur les besoins nutritionnels des enfants. - Sites web et applications : Il existe plusieurs sites web et applications dédiés à la nutrition infantile qui proposent des informations, des recettes et des outils de suivi des habitudes alimentaires. Ces ressources peuvent aider les parents à planifier des repas équilibrés et à surveiller la santé nutritionnelle de leurs enfants. - Formations et ateliers : Les formations et ateliers sur la nutrition infantile, organisés par des professionnels de la santé et des organismes spécialisés, offrent une opportunité d'apprendre des stratégies efficaces pour prévenir et gérer les troubles alimentaires. Ces sessions peuvent inclure des démonstrations culinaires, des discussions interactives et des conseils personnalisés. Découvrez notre formation sur le sujet... - Consultations professionnelles : Les consultations avec des nutritionnistes, des diététiciens et des psychologues spécialisés en alimentation peuvent fournir un soutien individualisé aux familles. Ces professionnels peuvent aider à élaborer des plans alimentaires adaptés, à identifier les signes de troubles alimentaires et à offrir des conseils pour améliorer les habitudes alimentaires des enfants. - Groupes de soutien et forums : Les groupes de soutien et les forums en ligne permettent aux parents et aux professionnels de partager leurs expériences, de poser des questions et de recevoir des conseils d'autres personnes confrontées aux mêmes défis. Read the full article
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Pharmacie : Traitement de l'hypertension artérielle
Objectifs de la Prise en Charge Thérapeutique (ESC et ESH 2018)
Réduire, à long terme, le risque d’évènements cardiovasculaires ; Minimisation des atteintes des organes cibles.
Seuils de PA Nécessitant un Traitement Pharmacologique
- 140/90 mmHg : toute comorbidité confondue ;
- 160/90 mmHg : chez les sujets très âgés (> 80 ans) ;
- MAPA ou AMT : si la PAS est entre 130 et 139 mmHg ou la PAD est entre 80 – 89 mmHg.
Objectifs Tensionnels
- Sujets < 65 ans : PA ≤ 130/80 mmHg ;
- Sujets âgés > 65 ans : PAS ≤ 140 mmHg (130 à 139 mmHg) ;
- Sujets très âgés > 80 ans : PA ≤ 140/90 mmHg
Les médicaments utilisés dans le traitement de l’hypertension artérielle sont appelés antihypertenseurs. Si la tension artérielle est de 140/90 mmHg ou plus, deux médicaments sont généralement commencés simultanément. Les médecins choisissent un antihypertenseur en considérant des facteurs comme
L’âge, le sexe
La gravité de l’hypertension artérielle
La présence d’autres troubles, comme le diabète ou des taux élevés de cholestérol sanguin
Les effets secondaires potentiels
Le coût des médicaments et des tests nécessaires pour surveiller l’apparition de certains effets secondaires
Habituellement, le traitement antihypertenseur doit être pris à vie pour contrôler la pression artérielle.
Classe utilisées en première intention :
- Diurétiques thiazidiques (volémie) - Antagonistes de l'angiotensine (ARA II) et IEC (vasodilatateurs et antifibrose) - Inhibiteurs calciques (vasodilatateurs) - Bêtabloquants (ionotropisme négatif)
L'effet antihypertenseurs des différentes classes se fait par :
- Diminution des résistances périphériques : soit par vasodilatation directe (alpha-bloquants et inhibiteurs calciques) soit par vasodilation indirecte liée à une diminution des décharges sympathiques des centres vasopresseurs du tronc cérébral (les antihypertenseurs centraux) - Diminution du débit cardiaque par effet ionotrope et chronotrope négatifs : Bêta-bloquants - Diminution du volume extracellulaire : Diurétiques thiazidiques - Inhibition de l'effet vasoconstricteur et de rétention sodée de l'angiotensine II : Médicaments du système résine angiotensine (ARA II et IEC)
Inhibiteurs adrénergiques ou adrénolytiques
Ce sont les alpha-bloquants, les bêta-bloquants, les alphabêta-bloquants et les inhibiteurs du système adrénergique périphérique. Ces médicaments bloquent les effets du système sympathique, la partie du système nerveux autonome qui répond rapidement au stress en augmentant la pression artérielle.
Les bêtabloquants ne sont plus considérés comme des médicaments de première intention pour le traitement de l’HTA (car moins efficaces dans la prévention de l'AVC). Ils sont prescrits lorsque l'HTA est associée à une IC chronique (Bisoprolol, Carvédilol, Métoprolol, et Nébivolol) ou IDM récent ;
=> Les bêta bloquants utilisés dans la PEC de l'HTA sont caractérisés par une activité sympathomimétique intrinsèque, un effet vasodilatateur périphérique (par blocage associé des récepteurs alpha1-adrénergiques ou vasodilatation sur récepteurs adrénergiques/donneurs de NO), et par leur lipophilie (EI psychiatriques/cauchemars)
=> Le choix du β-bloquant dépendra du patient, il sera choisi en fonction de son activité sympathomimétique intrinsèque (ASI) et de sa cardiosélectivité (qui diminue avec l’augmentation de la dose).
=> Ne pas arrêter brusquement car risque de crises hypertensives, d’IDM et de mort subite
De même, les alphabloquants ne sont plus prescrits comme traitement principal de l'HTA, car ils ne réduisent pas le risque de décès. En général, les inhibiteurs du système adrénergique périphérique sont seulement prescrits si un troisième ou quatrième type de médicament est nécessaire pour contrôler la pression artérielle.
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine
Les IEC diminuent la pression artérielle en partie par vasodilatation artériolaire par inhibition de la formation d'angiotensine II et par augmentation des concentrations de bradykinine . Ils sont particulièrement utiles pour les personnes souffrant de maladie des artères coronaires ou d’IC, de néphropathie chronique ou d’une néphropathie diabétique, et les hommes qui développent un trouble sexuel en tant qu’effet secondaire d’un autre antihypertenseur.
Usages :
Diminution de l’hypertrophie ventriculaire gauche ;
Diminution de la pression capillaire intra-glomérulaire → intéressants en cas de néphropathie diabétique.
Précautions : La vasodilatation de l’artère rénale efférente peut diminue la pression de FG et donner une IR en cas de présence de facteurs prédisposants comme la sténose bilatérale des artères rénales et la déplétion sodique liée à la prise de diurétiques
Antagonistes des récepteurs de l’angiotensine
Les ARAII diminuent la pression artérielle en bloquant directement l’action de l’angiotensine II ; ce sont des antagonistes des récepteurs A1 de l'angiotensine II. Comme leur mécanisme d’action est plus direct, ils entrainent moins d’effets secondaires que les IEC. Néanmoins, la lente dissociation du récepteur provoque une tolérance/oublis de dose.
Deuxième intention chez les patients présentant une toux sous IEC. Mêmes effets que les IEC sans leurs effets indésirables (toux et œdème).
Inhibiteurs calciques
Ils sont particulièrement utiles pour les personnes âgées. Les inhibiteurs calciques sont également utiles pour les personnes souffrant d’angine de poitrine, de certains types de troubles du rythme, ou de migraines. Leur action est brève ou prolongée. Les inhibiteurs calciques à action brève ne sont pas prescrits pour traiter l’HTA (risque accru de mortalité suite à un infarctus du myocarde ?)
Ils inhibent les canaux calciques voltage-dépendants de type L, provoquant une diminuent du flux calcique au travers du canal, à l'origine d'un effet vasodilatateur périphérique.
Antagonistes calciques à effet mixte vasculaire et cardiaque (Diltiazem et Vérapamil) : Vasodilatateurs à effets inotrope et chronotrope négatifs (effet bradycardisant !! → donc ne pas associer aux β-bloquants qui ont le même effet).
Antagonistes calciques vasosélectifs (dihydropyridines : Nifédipine et Amlodipine) : Agissent uniquement sur le muscle lisse artériel. Ce sont des vasodilatateurs, avec un effet tachycardisant réflexe qui est évité en donnant des formes LP (l’association avec les β-bloquants est possible, mais avec prudence et en tenant compte de plusieurs paramètres).
Vasodilatateurs directs
Les vasodilatateurs directs dilatent les vaisseaux sanguins via un autre mécanisme. Ce type de médicament n’est presque jamais utilisé seul ; il est plutôt utilisé en association lorsqu’un autre médicament ne diminue pas la pression artérielle de façon adéquate à lui seul.
Usages : urgences hypertensives.
Effets indésirables : tachycardie réflexe.
Les diurétiques
Traitement de première intention.
Efficacité surtout chez les sujets âgés chez qui l’activité de la rénine est plus basse et la sensibilité du baroréflexe est réduite ;
Un diurétique thiazidique ou de type thiazidique (comme la chlorthalidone ou l’indapamide) peut être le premier médicament prescrit pour traiter l’HTA, mais ils sont hypokaliémiants et contre-indiqués en cas d’insuffisance rénale. Ce sont des inhibiteurs du symporteur Na+/Cl- au niveau du tube contourné distal rénal. Ils ont un effet natriurétique modéré car 90% réabsorbé en amont. Ils provoquent une diminution du volume extracellulaire et une stimulation du SRAA. A moyen terme : abaissement des résistances périphériques par effet vasodilatateur + remodelage artérioles
Les diurétiques de l’anse (Furosémide) sont aussi hypokaliémiants mais indiqués dans l’IR.
=> Les diurétiques épargneurs potassique ne sont généralement pas prescrits seuls car ils n'ont pas une efficacité aussi bonne que les autres. Donc associés aux hypokaliémiants. Agissent au niveau du segment terminal du tube contourné distal et sur le tube collecteur, ce sont des antagonistes du récepteur de l'aldostérone. Ils egendrent une augmentation de la sécrétion de sodium et de la réabsorption de potassium.
Inhibiteurs de la Rénine (Aliskiren)
Indiqué après échec des 05 autres clases d’anti-HTA et non traitement par un autre inhibiteur du SRAA (IEC ou ARA II).
Précautions : Ne pas arrêter brusquement car risque de d’évènements cardiovasculaires (AVC et hyperkaliémie chez les diabétiques).
Adrénolytiques
Deuxième intention lorsqu'on a une HTA non contrôlée ou résistante, mauvaise tolérance ou trithéapie à dose maximale inefficace. Différents types :
À action périphérique : α1-bloquants
Prazocine et Urapidil : Risque d’hypotension orthostatique ;
À action centrale : agonistes α2 centraux
L'α-méthyl-dopa est le traitement de référence de l'HTA de la femme enceinte
Clonidine : Risque d’états dépressifs ou d’impuissance.
=> Précautions : Ne pas arrêter les agonistes α2 (Clonidine) brusquement car risque d’effet rebond.
Stratégie Thérapeutique
Monothérapie : Jamais en première intention, SAUF si patients âgés et très âgés, ainsi que l'HTA grade 1 avec faible risque cardiovasculaire.
Bithérapie combinée : Préférentielle !! Améliore la rapidité, l'efficacité, et la prévisibilité du contrôle tensionnel). IEC ou ARA II + inhibiteurs calcique ou diurétique -> effet synergique sur la baisse de PA et baisse des EI
Trithérapie : IEC ou ARA II + Inhibiteur calcique + Diurétique si PA non contrôlée. Addition de spironolactone si hypertension resistante
Populations Particulières
HTA + Diabète de Type 2 : 05 classes en première intention : IEC, ARA II, Diurétiques thiazidiques, β-bloquants cardiosélectifs et Inhibiteurs calciques.
=> En cas de microalbuminurie donner un IEC ou un ARA II.
HTA + IR : IEC ou ARA II ± Diurétiques de l’anse (avec surveillance de la kaliémie)
HTA + Sujet Âgé : Commencer par une monothérapie à la plus faible dose possible, rechercher systématiquement une hypotension orthostatique sous traitement ; surveiller la créatininémie.
HTA + IC : IEC (ou ARA II) + bêta-bloquants ayant reçu l'AMM dans cette indication + diurétiques
Patient coronarien : IEC + bêta-bloquants
Patient post-AVC : Diurétiques thiazidiques + IEC (ou ARA II) + inhibiteurs calciques
HTA + Grossesse : α-méthyl-dopa, Labétalol ou inhibiteurs calciques.
=> Les IEC et les ARA II sont contre-indiqués lors du T2 et T3…
Urgences Hypertensives : Diurétiques de l’anse, β-bloquants, inhibiteurs calciques, anti-HTA centraux, vasodilatateurs directs ou α-bloquants (formes injectables).
=> L’utilisation des IEC et des ARA2 nécessite un contrôle du sodium et du potassium plasmatiques et de la créatininémie dans un délai de 1 à 4 semaines après l’initiation du traitement puis lors des modifications posologiques ou en cas d’événement intercurrent.
Dihydropyridines EI
- Flush - Céphalées ou œdèmes des membre inférieurs - Interagissent peu mais synergiques avec les bloqueurs du SRAA et bêta-bloquant
Vérapamil et Diltiazem EI
- Aggravent les troubles de conduction cardiaque (chronotrope et dromotrope négatifs) - Association avec bêta-bloquants CONTRE INDIQUEE !!! - Ralentit le transit intestinal - Inhibiteurs de CYP3A4 et. CYP3A5
IEC et ARA2 EI
- IEC : Phénomènes allergiques graves (œdèmes angioneurotiques) - Hypotension sévère - Insuffisance rénale si déshydratation, choc ou sténoses des artères rénales - Hypokaliémie - Tératogènes : Grossesses & allaitement CONTRE INDIQUE !!!
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La saponaire est une plante aux multiples usages. Voici quelques-unes de ses utilisations :
1. En cosmétique : la saponaire est souvent utilisée dans la fabrication de produits de beauté naturels, tels que les savons, les crèmes et les shampooings. Elle possède des propriétés nettoyantes et adoucissantes pour la peau et les cheveux.
2. En médecine traditionnelle : la saponaire est connue pour ses propriétés médicinales, notamment en tant que diurétique, dépuratif et cicatrisant. Elle peut être utilisée pour traiter des problèmes de peau comme l'eczéma, les irritations ou les brûlures.
3. En jardinage : la saponaire est également utilisée comme plante ornementale dans les jardins, grâce à ses jolies fleurs roses ou blanches. Elle peut aussi être utilisée comme plante compagne pour repousser les insectes nuisibles ou comme engrais naturel.
4. En cuisine : certaines parties de la saponaire, comme les feuilles, peuvent être consommées crues ou cuites. Elles sont parfois utilisées pour aromatiser les plats ou les salades. Il est cependant recommandé de consommer cette plante avec modération, car elle peut être toxique en grande quantité.
5. En artisanat : les racines de saponaire peuvent être utilisées pour fabriquer de la lessive naturelle. Il suffit de les faire bouillir dans de l'eau pour obtenir un liquide mousseux qui peut être utilisé comme nettoyant pour le linge ou les surfaces.
En résumé, la saponaire est une plante polyvalente aux nombreux usages, que ce soit dans le domaine de la cosmétique, de la médecine traditionnelle, du jardinage, de la cuisine ou de l'artisanat.
Graines à semer actuellement disponibles sur le site ethnoplants 😃
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Le poireau — Star du potager au printemps
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Le poireau, souvent acclamé comme un incontournable du printemps, se distingue par ses nombreuses vertus qui le rendent particulièrement attrayant durant cette saison. Alors que les jours se rallongent et que la nature s’éveille, le poireau facilite une transition harmonieuse et délicieuse de l’abondance robuste des récoltes hivernales aux cultures plus légères du printemps. Ce légume, apprécié pour ses qualités gustatives dans divers plats et recettes, est également reconnu pour ses nombreux bienfaits pour la santé. Dans cet article, nous allons explorer ensemble les cinq principaux avantages de ce légume pour notre santé.
Il apaise les symptômes des infections urinaires
De nombreuses personnes sont affectées par des cystites, une inflammation de la vessie. Pour prévenir ces infections urinaires, il est conseillé de s’hydrater abondamment et de manger des aliments diurétiques comme le poireau. Ce dernier, riche en fibres, favorise également une bonne digestion, surtout chez les personnes âgées. En raison de sa haute teneur en eau, le poireau est un excellent diurétique. Il est aussi source de fer, de vitamine B9, de bêtacarotène et de vitamine E, qui aident à combattre le vieillissement de la peau. Consommé en bouillon, il aide à éliminer l’acide urique, bénéficiant ainsi aux reins et au foie.
Il est efficace pour mincir
Il est recommandé d’inclure le poireau dans son alimentation pour ceux qui désirent perdre du poids. Ce légume, riche en fibres, aide à prolonger la sensation de satiété et diminue ainsi l’envie de manger entre les repas. Il contribue aussi à une bonne digestion. Contenant 3 grammes de fibres pour 100 grammes, le poireau est également une bonne source de prébiotiques, bénéfiques pour la santé du microbiote intestinal. Les fibres contenues dans le poireau, sans se dissoudre, facilitent la formation des selles, réduisent le risque de constipation, abaissent le taux de cholestérol sanguin et aident à réguler la glycémie.
Il assure une peau éclatante
Le poireau, riche en vitamines B9, C et E, ainsi qu’en bêta-carotène, joue un rôle clé dans la lutte contre le vieillissement cutané et est utilisé comme remède naturel contre l’acné. Pour bénéficier de ses vertus, on peut appliquer chaque soir une lotion maison composée de jus de poireaux, de lait et de jus de citron sur le visage, avant de rincer à l’eau claire. Cette application aide à éclaircir le teint et protège l’épiderme grâce aux nutriments qu’il contient.
Les vitamines B9, C, et E, présentes dans le poireau, offrent de nombreux bienfaits pour la santé :
Vitamine B9 (acide folique) :
Développement fœtal : Essentielle pour le développement neurologique du fœtus, elle prévient les défauts du tube neural durant la grossesse.
Synthèse de l’ADN : Participe à la formation de l’ADN et de l’ARN, cruciale pour la croissance et la division cellulaire.
Santé cardiaque : Aide à réguler les niveaux d’homocystéine, un acide aminé dont l’excès peut augmenter le risque de maladies cardiaques.
Vitamine C :
Antioxydant puissant : Protège les cellules contre les dommages des radicaux libres, réduisant le risque de maladies chroniques.
Production de collagène : Nécessaire à la cicatrisation des plaies et à la santé de la peau, des vaisseaux sanguins, des os, et du cartilage.
Absorption du fer : Améliore l’absorption du fer des sources végétales, crucial pour les régimes végétariens ou végétaliens.
Soutien immunitaire : Stimule la production de globules blancs, renforçant le système immunitaire.
Vitamine E :
Antioxydant : Aide à protéger les cellules contre les dommages oxydatifs.
Protection cutanée : Contribue à protéger la peau des dommages UV et de la pollution.
Santé cardiovasculaire : Peut prévenir ou retarder les maladies coronariennes en inhibant l’oxydation du cholestérol LDL.
Ensemble, ces vitamines renforcent non seulement la santé de la peau mais aussi celle du corps tout entier, faisant du poireau un légume précieux dans notre alimentation quotidienne.
Il veille sur la santé cardiaque
Ce légume, riche en sels minéraux comme le potassium, joue un rôle crucial dans la réduction de la pression artérielle, diminuant ainsi le risque de maladies cardiovasculaires telles que la maladie coronarienne, les accidents vasculaires cérébraux (AVC), l’hypertension, l’insuffisance cardiaque et la maladie artérielle périphérique. Le potassium prévient également la formation de petits caillots sanguins. Essentiel à la santé humaine, le potassium offre de multiples avantages : il régule la pression artérielle, en contrant les effets du sodium et en maintenant une pression saine; il est vital pour le bon fonctionnement musculaire et nerveux, facilitant la transmission des signaux nerveux et la contraction musculaire, y compris celle du cœur; il contribue à l’équilibre hydrique et électrolytique, régulant les fluides corporels; il prévient les crampes musculaires, particulièrement utile pour les sportifs; il soutient la santé osseuse en réduisant la perte de calcium urinaire, aidant ainsi à préserver la densité osseuse et à lutter contre l’ostéoporose; il réduit le risque d’accidents vasculaires cérébraux et améliore la santé rénale en empêchant la formation de calculs rénaux par l’accumulation de cristaux de calcium dans les reins.
Il lutte efficacement contre la toux
Le poireau, bien que moins connu pour ses propriétés médicinales que certains autres légumes ou herbes, peut jouer un rôle dans le soulagement de symptômes de toux, surtout en raison de sa richesse en vitamines et minéraux. Voici quelques façons dont il pourrait aider :
Richesse en vitamine C : Le poireau contient de la vitamine C, un antioxydant qui peut renforcer le système immunitaire. Un système immunitaire fort est crucial pour combattre les infections qui peuvent causer la toux.
Propriétés anti-inflammatoires : Les poireaux contiennent des composés qui peuvent avoir des effets anti-inflammatoires. Réduire l’inflammation dans les voies respiratoires peut aider à apaiser la toux.
Hydratation : Consommer des poireaux, qui ont une haute teneur en eau, peut aider à hydrater le corps et les voies respiratoires, rendant le mucus moins épais et facilitant sa toux.
Utilisation en soupe : Les soupes chaudes, comme le célèbre potage poireau-pomme de terre, sont souvent utilisées pour soulager les symptômes du rhume et de la grippe, y compris la toux. La chaleur de la soupe peut aider à apaiser la gorge et à dégager les voies respiratoires.
Il est toutefois important de noter que si ces mesures peuvent aider à soulager une toux légère, elles ne remplacent pas un traitement médical pour des symptômes plus graves ou persistants. Pour une toux continue ou sévère, il est conseillé de consulter un professionnel de santé.
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