#disqueuse
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publicité bricolage - lol
"fabriquez vous-même vos accessoires débrouille-survivaliste pour ne plus dépendre matériellement du système : construisez tout et n'importe quoi avec de la récup' !
pour ce faire, il vous suffit de bricoler des palettes, des bidons, des bouteilles plastique, et tout ce que vous pouvez trouver à réutiliser ! il ne faut pas grand chose de pluss pour réaliser les objets de vos rêves de manière autonome…
… si ce n'est une disqueuse électrique, un fer à souder, de la colle chimique, des serre-joints, perceuses, ponceuses, scies à métaux…
retrouvez tous nos bons conseils 'indépendance' dans notre catalogue et chez votre magasin de bricolage le plus proche"
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FUMIST – Coaltar
Fumist est un quatuor de Lyon composé des membres de Hordur, Civilian Thrower. Lovgun, ex-Overmars.
« Coaltar » est leur premier album Via Lixiviat Records, Poutch Militaire Records, Akaip, Holy Goat, Nihilocus, Pasydarik Pats, Rip Roaring Shitstorm, Blood Factor Negative, Drinkin' Beers in Bandana, Jungle Noise, Hecatombe & Esagoya, il se compose de 14 titres d’1mn environ pour un concassage de grindcore avec des morceaux crusty de dbeat, un riffing excité par les blastbeats aussi abrasif qu’un limage de tronçonneuse avec une disqueuse, et un humour noir de poussière obscure à ingurgiter avec 2 litres d’eau de javel.
Ce mix de power violence/grind/death prit dans les tripous de Napal Death, Burtal Truth, Terrorizer, et autres envolées de bois d’acier et de verre pillé devenu rouge de rouille comme une plaie saignante qui ne se referme jamais, cogne la chair musicale dans un délire de feu et de sang.
Mon conseil offrez cet opus en K7 non rembobinée à vos meilleurs ami.es !
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#igersfrance #manatwork #mcsf #metal #metalworking #disqueuse #firework #feudartifice https://www.instagram.com/p/Cfbc1N5jQLC/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Exploration list #69
Some things to read, watch or listen to, and then ponder.
If you need inspiration for your next read [book list].
Three poems just for the pleasure they inspire [poetry].
The results of the LGB Alliance conference (x) [video].
Some words of wisdom on loneliness [quotes].
Comment utiliser une disqueuse-meuleuse [video].
The delightful parodic art of Miriam Elia (x) [website].
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Projet de lampe en pierre de taille
Légende : Lampe en cours d’achèvement - “Où les pétales se désordonnent sur différents niveaux et créent un effet de mouvement avec ombre et lumière”
Bloc de saint pierre aigle (carrière située dans l'Aisne), roche calcaire fine, semi ferme.
Objet du projet : réaliser une lampe d'inspiration florale ajourée (creuse) afin de permettre un jeu de lumière sur les détails végétaux.
La taille se fait par épannelages (dégrossissement) géométriques successifs afin d'arriver à des mises en réservation (parties qui reçoivent la sculpture des motifs végétaux) harmonieuses.
Les épannelages s'effectuent mécaniquement (disqueuse) et manuellement (ciseaux, massette, rabot-chemins de fer...).
Il s'agit d'un retrait successif de la matière par tangentes aux cercles, pour faire un cylindre par exemple. Ici on inscrit deux cylindres dans le bloc capable (le bloc en cube), un grand pour les pétales et un petit pour le pistil ajouré.
Après les divers retraits de matière, on passe à une taille non géométrique, "à l’œil", mais inscrite dans une structure géométrique harmonieuse.
Ici, l'épannelage du grand socle implique l'impossibilité de conserver un tracé de divisions octogonale nécessaires à l'implantation harmonieuse des huit pétales, on utilise donc des astuces, à savoir un gabarit en contre profil indiquant ces points octogonaux.
De manière générale, les épannelages constituent des difficultés de tracé puisque la matière subit plusieurs mouvements de retrait.
On utilise des piges (report de cote), compas, compas d’épaisseur, trusquin (une pige réglable) ou encore la technique du dégauchi, qui permet a l'aide d'un réglet de fixer son œil sur un point de départ et un point d'arrivée afin de reporter un trait droit sur une surface creusée et/ou bombée.
La taille des éléments sculptés peut s'effectuer avec de petits outils faits sur mesure et "maison" pour s'adapter aux contraintes spécifiques du projet.
Il est nécessaire d'être patient et rigoureux pour mener un tel projet à terme, en raison notamment des fragilités constituées par le dessin même des pétales et aussi par l'aspect ajouré du bloc a réaliser.
Pierre Gauthier - tailleur de pierre
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Disque Pour Disqueuse
De la puissance et qu’est-ce que je peux me permettre comme énergie à dépenser pour la disqueuse la disqueuse est un outil compact et qui se démarque par les.
(more…)
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‼️Je me tape des challenges Tuuuuuuuseul 😁 bon j'ai oublié le masque 😭 ... PERDU mon propre défi chui nul 😂 BONNE JOURNÉE 🤘 ---- mots clefs Web ---- Matos : Nouvelle Disqueuse AEG BEWS18-125 BLPX #challenge #defi #défis #AEG #aegtools #aegpowertools #aegtool #aegfans #tools #tool #securitechantier #security #sécurité #challengework #artisan #conseildujour #conseilpro #conseilartisan #conseil #disqueuse #skilsawchallenge #skilsaw #outils #outillageprofessionnel #outillage (à Bretagne, France) https://www.instagram.com/p/BtAoYhqjyrO/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1d2yj3nct1f0d
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À la différence des cathédrales de Nantes, Reims ou Chartres, « la forêt » de poutres de la charpente de Notre-Dame n'avait jamais connu l'enfer des flammes ni le choc des obus et elle était restée intacte depuis neuf siècles. Le lendemain de l'incendie, des professionnels de la restauration des monuments historiques nous livraient déjà les scénarios les plus plausibles. Celui d'un mauvais contrôle d'un « permis de feu », comme cela s'est déjà produit dans la nuit du 22 juillet 1997, lorsque les 4 000 mètres carrés de toit du palais de Chaillot s'étaient embrasés comme un fétu de paille. Une soudure dont une étincelle part se lover sous un nid de poussière ? Un détecteur qui se déclenche, mais ne révèle aucun départ de feu… avant que tout ne s'embrase ? Thierry Fisson, consultant en sécurité incendie au Centre national de prévention et de protection, s'est largement familiarisé avec l'environnement spécifique des cathédrales en réalisant les règlements de sécurité de celle de Poitiers et d'Angoulême. Il évoque la piste la plus vraisemblable. Entretien.
Le Point : Avant de risquer de faire la moindre étincelle sur un chantier comme Notre-Dame, il faut respecter toute une procédure. Comment cela se passe-t-il ?
Thierry Fisson : Tout cela se prévoit en effet en amont, au moment de la conception du « permis de feu », qui détermine les conditions de sa mise en œuvre des travaux à effectuer. Il faut identifier les outils nécessaires (chalumeau, disqueuse), et imaginer les scénarios qui pourraient arriver, en fonction de l'environnement. À partir de cette analyse, on définit des prescriptions en matière de prévention : dans un environnement dangereux, comme une charpente de monument historique, en éloignant les matières combustibles, en mettant des écrans de protection, comme des bâches ignifugées. Voire en plaçant un surveillant en permanence le temps de l'intervention, avec un extincteur à proximité, en fonction de la dangerosité. Une fois que ce protocole est conçu, l'exploitant, le maître d'ouvrage et les personnes qui doivent vérifier le permis de feu signent et s'engagent à respecter les procédures.
« La chaleur, on ne la voit pas, sauf avec une caméra thermique »
Comment effectue-t-on ces « contrôles », censés éviter les incendies ?
Avec des caméras thermiques mobiles, qu'un agent utilise a posteriori, généralement une heure ou deux après l'intervention, pour scanner l'environnement du travail et détecter d'éventuels « points chauds » qui seraient cachés, invisibles. Parce que dans la majorité des incendies, le feu passe par une phase de feu couvant. Il est alors dans un petit nid, dans un coin. Il n'y a pas de phénomène visible, la chaleur, on ne la voit pas, sauf avec une caméra thermique.
Et avant l'invention des caméras thermiques, comment faisait-on ?
On faisait, et on peut toujours, faire passer un rondier. C'est un terme consacré en matière de surveillance. Une ronde, c'est-à-dire un parcours de façon régulière pour détecter des anomalies. Il n'y a pas d'obligation de faire passer une caméra thermique, mais a minima une personne, oui.
Une première alarme
Tout semble extrêmement encadré pour que rien n'arrive. Qu'a-t-il pu se passer à Notre-Dame ?
D'après les informations qui circulent, il y a eu une « levée de doutes » dans les combles. Une levée de doute, c'est une procédure, lorsqu'une détection incendie se déclenche. Ça peut être une fausse alarme, due à un problème technique, à de la poussière par exemple. Mais la procédure, c'est d'envoyer un humain pour constater un éventuel départ de feu et intervenir si besoin. Il y aurait donc eu une première alarme, à Notre-Dame, qui n'est qu'une lumière, un buzzeur sur un tableau de contrôle, suivie d'une levée de doute sur cette alarme, après 18 heures. Mais là, personne n'aurait rien vu. Alors que cela a quand même, semble-t-il, donné lieu à une évacuation de l'église, parce qu'un office avait lieu à ce moment-là. Alors, ça, ça interroge. Pourquoi n'ont-ils rien vu ? Sont-ils allés dans la bonne zone ?
Vous voulez dire qu'on serait allé vérifier s'il y avait le feu au mauvais endroit ?
Oui, d'expérience, j'ai déjà vu des erreurs de zonages. Tous les capteurs ont une adresse, une localisation précise dans le bâtiment, fixée sur un plan de la cathédrale. Mais il peut y avoir des erreurs d'affectation des détecteurs sur le plan. Alors, on envoie la personne chargée de la levée de doute au mauvais endroit. Je l'ai déjà vu dans des audits : on fait un départ de feu fictif, et l'agent part vérifier ailleurs, revenant en nous disant que tout va bien…
Ce qui interroge aussi, c'est que le feu peut couver très longtemps. Mais s'il y a eu une alarme restreinte, c'est qu'il y a eu un départ de fumée, parce que les détecteurs sont optiques : ils détectent la fumée visible. Ce que le détecteur voit, l'œil humain, a priori, le voit aussi. Et manifestement, ce n'était pas une fausse alarme puisque après il y a eu le feu… Alors je ne dis pas que c'est ce qui s'est passé, mais cela pourrait très bien s'être passé comme ça.
Julie Malaure Source: Le Point
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Quelques photos work in progress de mon "Tiger megalodon" au @rurgraffiti édition 2022 Encore merci à toute l'équipe ! @flynedi pour ton aide précieuse à tous les niveaux. @colima_graffiti pour le trou dans ma jambe et les remplissages. Stéphane pour le ciment, Cyrille pour la disqueuse ! @gr1_2sl pour le rapatriement de la nacelle 😉 @nicolascaudmont et @la_tour_d_aligre pour le gîte. Et encore une fois à tous les bénévoles. On remet ça quand? . . . . . #boyo #kekli #streetart #streetartparis #wallpainting #illustration #urbanart #flop #graffitiporn #smiley #flow #street #graffiti #rur #sprayart #rurfestival #characterdesign #happyart #graffitiart #shark #nogentlerotrou #mural #streetarteverywhere #megalodon #parisgraffiti #parisstreetart #mural #smile #happyart #smilelikeaboyo @nbqfrance @nbqspray @loxamgroup (à So'work) https://www.instagram.com/p/CiuCzP6Iwj8/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#boyo#kekli#streetart#streetartparis#wallpainting#illustration#urbanart#flop#graffitiporn#smiley#flow#street#graffiti#rur#sprayart#rurfestival#characterdesign#happyart#graffitiart#shark#nogentlerotrou#mural#streetarteverywhere#megalodon#parisgraffiti#parisstreetart#smile#smilelikeaboyo
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Le souplex le plus chic de Paris ép. 1 — Un mur en briques
Vu comme ça l'opération a l'air simple et rapide. QUE NENNI. Ces jolies briquettes si séduisantes à Leroy Merlin sont en béton, elles se découpent à la disqueuse et seulement à la disqueuse, croyez bien qu'on a essayé toutes les alternatives (ciseau à brique, pointe tungstène, casse aléatoire avec incantation préalable) .
Et on n'a pas de balcon ou de jardin pour faire ça. Donc on a bâché l'entrée du souplex et Esther a mis un masque et un casque antibruit pour aller couper les briques dans un espace clos. Au bout d'une demi-heure on avait atteint un taux de poussière de 8 sur l'échelle de Dresde (ou Marioupol pour les plus jeunes).
Elle est arrivée au bout au prix d'une bonne attaque de panique, et moi il m'a fallu une demi journée pour rendre les 15 m² à nouveau praticables.
NE FAITES PAS ÇA CHEZ VOUS.
PS: Remarquez au passage qu'Esther a soigneusement repeint le coffre dès la briquette terminée !
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Retour sur l'expulsion de la Grande Ourse
Retour sur l’expulsion de la Grande Ourse
2021-01-25 22:15:09 Source La Grande Ourse expulsée en pleine trêve hivernale. Le matin du jeudi 21 janvier à 6h, c’est à coups de disqueuse dans la porte que les habitant·es du squat de la Grande Ourse ont été brutalement réveillé·es. Sous les ordres du préfet du Maine-et-Loire, qui avait pourtant signalé à l’avocat en charge du dossier qu’il n’y aurait pas d’expulsion avant le mois de mars,…
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Nous sommes fin juillet, au moment où j'écris les premières lignes de ce journal. Le projet est déjà lancé et je dois bien vous avouer qu'il est difficile pour moi de trouver par où commencer, ça se bouscule un peu là haut (dans ma tête vous vous bousculez aussi déjà pour rentrer dans la salle). Le show est dans une petite cinquantaine de jours maintenant. Alors si vous êtes arrivés totalement par hasard ici, alors que vous cherchiez une nouvelle disqueuse, sachez qu'il est question d'un show burlesque que je co organise à Rennes avec Miss Glitter Painkiller : La Glitter Fever. Dans ces soirées (c'est notre deuxième édition), nous faisons venir des artistes nationaux dans la capitale bretonne pour vous mettre des paillettes dans les yeux (ils en utilisent beaucoup...) parce que le burlesque est trop peu présent ici. Pour l'occasion, je monte aussi sur scène comme performer. Vous le verrez un plus tard, je suis un peu comme un couteau suisse mais sans l'accent.
En préparant cette seconde édition, où je chorégraphie un numéro de groupe, une envie particulière a fini par s'imposer à moi : celle faire monter sur scène avec moi des femmes, qui pour certaines ont été touchées par le cancer (c'est si vous n'aviez pas lu l'intro et que vous vous demandiez encore où sont les disqueuses). J'avais déjà recruté quelques élèves, toujours prêtes à me suivre dans toutes mes folies, il me manquait donc ces femmes de choc pour compléter ma joyeuse troupe. Le hasard faisant bien les choses, un petit message aura suffit : Coucou Rose, j'ai un projet un peu fou, je cherche des femmes partantes pour monter avec moi sur scène pour un numéro d'effeuillage, une seule condition : accepter de finir en culotte et en cache tétons . Rose avait déjà suivi un de mes stages, elle a dit oui sans hésiter et à accepter cette mission de m'aider à trouver d'autres femmes touchées par la maladie. Le groupe complet a vu le jour mi juillet. 6 femmes ont acceptés ce pari fou. Je les remercie encore et encore (et je n'ai pas fini de le faire). Avant de vous parler de mon groupe, des répétitions etc il faut que je vous explique pourquoi le burlesque et le cancer. Ça tombe bien c'est l'objet du prochain article.
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Actuellement en train de faire 100 tractions par jour pendant 30 jours pour une vidéo YouTube qui va être DINGUE. J’ai déjà découpé ma balançoire à la disqueuse pour créer cette barre. Maintenant, la question, c’est de savoir si ça va tenir jusqu’au bout des 30 jours avec cette fixation extrêmement douteuse qui reflète parfaitement mon expertise de maître bricoleur niveau 200. Ah oui, Kilocash revient pour une nouvelle édition : je te laisse découvrir le concept en cliquant sur le lien dans ma bio, mais en gros, tu peux gagner 500€ en faisant du sport depuis chez toi. En plus de ton nouveau corps. C’est pas méga cool ? (à Nîmes) https://www.instagram.com/p/CAN9UXQngch/?igshid=onli0mfb09y
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Un homme de pierre(s) au cœur en or
Un homme de pierre(s) au cœur en or
Il est maçon, charpentier, couvreur, terrassier, cycliste (il vénère son vélo qui lui a coûté bonbon), bon père de famille, sentimental (pas romantique), fort comme un bœuf (un cheval ? un éléphant ?...).
Il calcule mentalement avec une rapidité déconcertante, conduit avec assurance (et permis de conduire), connaît les lois de la physique (des solides, des liquides, pas seulement la force de gravité qui fait qu'il porte des chaussures de sécurité) et de la géométrie (en des aspects plus ardus que la verticalité et l'horizontalité attestées par le fil à plomb et la bulle d'eau) applicables à ses métiers. Il résoud des problèmes difficiles dans l'urgence : empêcher un mur bâti au XIIIe siècle, un toit, une voûte, une cave, un clocher édifiés aux mêmes siècles ou aux décennies voisines, de s'effondrer, retrouver des fondations enfouies et les consolider (plutôt, les [re]faire), redresser un mur de pierres multi-centenaire qui fait ventre et menace. Il étaie, élève, surélève, déplace, abat, reconstruit à l'identique (mais en mieux), creuse, passe par un trou d’épingle, un boyau, construit un chemin de ronde en lieu et place d'un talus disgracieux et malsain. Crépit, jointoie, remplace une grosse pierre d’appui, reconstruit arrêtes, chaîne d'angles, linteaux, appuis, joues, seuils. Place et déplace ancres et tirants. Édifie des échafaudages complexes, manie la sableuse... Prend des risques.
Il sait se servir de n'importe quel outil, de la pince (sans rire) au bulldozer, en passant par les tours à bois et à métaux, la disqueuse, toutes les scies de bûcherons, de menuisiers, le palan, la forge, le marteau piqueur et quelques outils électroniques... Il fabrique des pièges à renards, à serpents, qu'il relâche mais loin de chez lui.
Il ignore le pinceau, le couteau à enduire, le plâtre d'intérieur et préfère les odeurs de gas-oil et d'essence des engins à celle du white-spirit du peintre.
Il fait preuve de témérité et de prudence. Il a payé d'un doigt la chance d'avoir trouvé l'équilibre à mi-chemin des deux attitudes. Définitivement (jusqu'à ce jour).
Si l'outil n'existe pas, il l'imagine puis le crée, comme celui qui lui permet de faire des tortillons de finition (exactement dix tours) aux points de fixation d'un grillage de clôture.
Il est truculent, bavard impénitent, grossier, profond, poète, gueulard, pessimiste quant à la volonté des gens de vivre en bonne intelligence (sauf lui et sa compagne).
Il écrit des textes comme personne ne les a jamais osés. Défie toutes les règles de convenance mais ne (me) choque pas. On le croit prétentieux, il l'est un peu. Une "folie'' entretenue. Pour la galerie.
Florilège :
''Je suis maçon de mon état… allusion au roi soleil - l’État c'est moi ! - je m'accroche désespérément à ma sébile de dernier des Mohicans, gardien de l'éthique et de la belle ouvrage… Malheureusement, la syntaxe, les accords n'ont pu prendre le train et sont restés sur le quai''.
Et
''On ne m'imite pas… pas plus que Michel-Ange qui, en son temps, sublimait l'immaculé Carrare, pas plus que Rimbaud… Personne ne sait ce qui les habitaient et ce qui les poussaient à écrire, créer, bâtir… Sûrement pas leurs contemporains, la plupart du temps, à la ramasse…''.
Il ne fume pas, ne boit que de l'eau et des sirops, Quand il se risque à avaler une demi gorgée de Côtes du Tarn pour faire plaisir en trinquant, il craint l’alcootest du gendarme et le retrait définitif du permis de conduire..
Il aime davantage ses chiens que la chasse et la chasse, plus que le gibier.
Il n'a pas voulu être vigneron ni éleveur. Il voulait bâtir. A vingt cinq ans, il avait construit la grande maison qu'il habite encore.
Sa règle : que ses ouvrages durent aussi longtemps que les monuments qu'il restaure et ne jamais revenir sur un chantier achevé, sauf catastrophe millénaire, ou, à la rigueur, pour montrer à un futur client ce qu'il a su faire ; mais si la confiance, pour éclore, a besoin de trop de preuves, il n'aura pas le temps ni l’envie de les apporter.
Il est protecteur envers son ouvrier, lui a tout appris et pas seulement le métier mais ces mille petits riens qui font d'un bon garçon, un homme (enfin, il n'en est pas sûr). Il le rémunère correctement, ne l'écrase pas sous la charge et lui épargne des travaux trop pénibles. Il préfère se faire manœuvre plutôt qu’écœurer son second. Et puis le patron, c'est lui, qui bosse mieux que tous les autres.
La bêtise dont font preuve les inciviques le mettent hors de lui. Il devient alors menaçant. Mais il faut remonter à ses dix-huit ans (soit bien avant hier) pour pointer le seul acte de violence qu'il eût jamais commis. Il dit à propos des mêmes jean-foutre, des mots dont personne n'a idée. Et qu'il vaut mieux que seuls ses meilleurs amis entendent.
Il raconte des histoires qui font peur (à lui aussi) mais attend d'être démenti (et le veut bien). Il n’est pas impossible qu'à l’occasion il s'entête. Mais respecte Connaissance et Culture et finit par céder devant de solides arguments. Croit-on.
Il aime les balades autour des lacs. Ceux de La Rouquarié et de Saint Féréol. Avec sa compagne. Pédaler seul sur les pentes du Ventoux ou la route du Tourmalet.
Il regarde et écoute des bêtises à la télévision, des téléfilms d'action ou des variétés de qualité pour le repos de l'esprit. Parce qu'un maçon, un restaurateur de patrimoine, n'est pas seulement, ni avant tout, un travailleur manuel. Mais un savant, un ingénieur, un architecte, un intellectuel, un enseignant, un chef.
La gentillesse, l’honnêteté et la fidélité. sont des vertus qu'il pratique sans forcer. Il traite avec un amour silencieux mais vigilant, ses trois grands fils et a toujours sur ses parents un regard protecteur.
Il a l'argent raisonnable et aurait pu en gagner beaucoup. Il éprouve juste une légère inquiétude quant à son pouvoir d'achat une fois son affaire fermée. Le prix de ses prestations est décent, sa clientèle nombreuse (mais la société n'a que quatre bras et n'en tolérerait pas deux de plus).
Il relève avec impolitesse les signes d'élégance dont font montre les clients qu'il aime bien. Un makila dans une entrée, à proximité d'embauchoirs en bois avec boule de laiton, déclenchent d'aimables moqueries à l'endroit d'un Monsieur le Duc (conte ou marquis) imaginé du lieu dit d'implantation de la maison concernée.
Il peut hurler de contentement, en fin d'une journée harassante passée à des travaux complexes ou répétitifs. Peu lui chaut alors le trouble créé alentour.
Au mitan de sa cinquième décennie, il est las et souhaite profiter d'une vie sans chantiers. Et sans risques d'éboulement. De quoi que ce soit.
Yves Rebouillat
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"Le bonheur n'est pas dans l'argent, mais dans le shopping." #MarilynMonroe . Après avoir traversé la France de long en large me voici de retour sur Lyon. . Ce petit temps en famille fut des plus revigorant, telle une bouffée d'air frais dans un océan de brouillard. [...] Je ne sais plus si je vous en ai parlé mais j'ai toujours voulu une trancheuse. Acheter mes blocs et les trancher à ma guise pour faire des raclettes, carbonara, tartiflettes, snacks, etc en bref cette idée me trottait dans la tête depuis un bon moment déjà puis j'ai eu l'occasion de sauter le pas grâce à @monmagasingeneral . Parmi tout un florilège, mon choix s'est porté sur la trancheuse électrique Severin - 180 W . Il faut dire que l'avis client était plutôt élogieux et qui plus est ses caractéristiques me convenaient. . Il ne me restait plus qu'à me faire ma propre opinion sur la bête. Autant vous dire qu'à peine arrivée, elle fut aussitôt déballée. Pas mal de protections sont en place que ce soit au niveau du disque ou des plateaux. . Un petit coup d'éponge et de chiffon puis je mets mon bloc de dinde en place. . La prise en main est simple et rapide, on s'aide avec le poussoir puis en avant la machine. . Bon, le bruit est assez important on croirait entendre une disqueuse ceci dit les tranches sont magnifiquement réalisées et leur épaisseur se règle à l'aide d'un bouton sur l'arrière. . Et je dois dire que le plus de cette trancheuse est sans conteste que son plateau est amovible pour être nettoyé plus facilement, ce qui n'est pas négligeable. . Et je vous rappelle que pendant les #FrenchDays vous pouvez profiter de 10, 15 et 20% alors n'hésitez plus. . =>>> Rendez-vous vite sur "MonMagasinGénéral.com" . . . #EasyRecipe #TheFeedFeed #InstaYummy #Eaaats #InstaGood #InstaFood #Funn #Foods #InMyKitchen #FoodOfTheDay #Blogueuse #Foodies #InstaPic #Trancheuse #Butcher #Boucherie #Charcuterie #AchatDuJour #CoupDeCoeur #Découverte #MonMagasinGeneral (à Lyon, France) https://www.instagram.com/p/B3AaiB1IC1I/?igshid=7nihp85xiay9
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