#dialogue facile et utile en anglais
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Comment faire connaissance en anglais?
Comment faire connaissance en anglais?
Vous êtes-vous jamais demandé quoi dire en anglais lorsque vous abordez une personne en anglais pour la première fois. Voici quelques indications pour faire connaissance en anglais, vidéo à l’appui, en moins de 7 minutes 👩🏫
Comment faire connaissance en anglais?Comment faire connaissance en anglais en vidéo
Voici la vidéo que je vous ai préparée, celle-ci fait partie d��un cours d’anglais…
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#comment faire connaissance en anglais#cours anglais débutant#dialogue facile et utile en anglais#faire connaissance en anglais#se présenter en anglais
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Alors j’aime bien voir du finnois dans le texte parce que j’aime beaucoup cette langue et que je suis en train d’en reprendre l’apprentissage, mais vraiment c’est comme les paroles de l’Oracle dans Eldarya c’est un peu relou d’en avoir tout le temps alors qu’on comprend pas, ça casse le rythme. Autant les insultes ça se voit que c’est des insultes on pige qu’il jure, ou le “nähdään” parce qu’au début il le disait toujours accompagné de “à plus” donc on peut raisonnablement en déduire que c’est ce que ça veut dire (c’est bien ce que ça veut dire lol), autant dans ce genre de cas :
Après recherche, c’est un proverbe qui veut dire en gros : “Ce qu’on apprend en étant jeune, on le maîtrisera en étant vieux”
J’trouve que ça apporte rien à part, en ce qui me concerne, de la frustration d’avoir une phrase dans une langue que je ne parle pas (ou pas encore très bien). La première chose que je me dis, c’est que je loupe peut-être une info. C’était déjà techniquement le cas dans la toute première scène de sa route : il se présente en tant que “kersantti”, ça veut dire “sergent”, on apprend donc qu’il était militaire. Alors ok c’est pas grand chose mais cacher des infos dans des langues qu’on peut pas comprendre si on les parle pas un minimum ou s’il faut s’emmerder à déchiffrer le code (je repense encore à l’Oracle), j’trouve que c’est pas du jeu.
Après ça concerne peut-être que moi, j’aime pas interrompre ma partie ou devoir aller chercher après voir ce qui a été dit pour être sûre d’avoir rien loupé, ou juste parce que j’aime pas avoir une partie du texte que je peux pas comprendre. Peut-être que d’autres voient plus ça comme une énigme à résoudre pour avancer et que ça fait une activité en plus pour s’immerger. Moi j’suis de la team “flemme j’veux juste jouer au jeu, pas faire mes devoirs” x)
En vrai ça soulève des questions chez moi cette utilisation du finnois dans les dialogues d’Ethan. Sur les 6 routes, trois sont avec des vampires qui sont d’origine étrangère pour Eloïse (EDIT : ptdr bah non quatre, Raphaël est italien j’suis con lol, bon ça change rien au propos) : Vladimir (nom slave mais élevé par sa mère anglaise donc a priori anglais), Aaron (espagnol) et Ethan (finlandais). Ma question c’est pourquoi Ethan est le seul des trois à exprimer un tel rattachement à sa langue maternelle ? Peut-être la distance temporelle, Aaron est né vers la fin du Moyen-Âge et a parcouru toute l’Europe pendant des siècles, Vladimir est né au début du 19ème (révolution industrielle en Angleterre) et Raphaël durant la Renaissance italienne. Ethan est relativement “jeune”, et je sais pas où il a traîné avant d’arriver au manoir (j’en suis au début du chapitre 8), mais sa transformation date quand même d’il y a 80 ans, s’il n’a pas vécu en Finlande la majorité du temps, il pourrait avoir perdu l’habitude de sa langue maternelle lui aussi. Après je sais pas si dans la suite il montre de la nostalgie sur sa vie en Finlande, un truc qui montrerait qu’il essaie de s’y rattacher, et que la seule façon pour lui de le faire c’est de ne pas oublier sa langue maternelle (surtout qu’il a été transformé loin de chez lui dans un contexte LEGEREMENT traumatisant lol). Du coup si c’est montré plus tard c’est dommage de pas en avoir des aperçus disséminés çà et là tout au long de l’histoire, des instants qui montreraient sa nostalgie, autre chose que des “dégage machine j’ai pas de temps à te consacrer” (parce que je vous avoue que se coltiner ce comportement aussi souvent pendant autant de temps en suivant la route positive c’est gavant lol). Et aussi je comprends toujours pas pourquoi ça n’arrive que dans sa route à lui... Des “A plus ! Nähdään !” dans les autres ça aurait eu le même effet de nous faire comprendre que sa langue maternelle n’était pas celle d’Eloïse, et ça aurait eu le mérite d’apporter un peu de cohérence.
Par contre, d’un point de vue écriture, c’est logique qu’Ethan soit le seul à avoir des répliques dans sa langue maternelle. D’une part, parce que si les langues maternelles d’Aaron et de Vlad sont bel et bien l’espagnol et l’anglais (même si des versions bien différentes de celles qu’on parle aujourd’hui, surtout pour l’espagnol), ben ça aurait posé des problèmes dans les versions anglaises et espagnoles du jeu : si le fait que le personnage parle dans sa langue maternelle qui n’est pas celle de l’héroïne a du sens, comment le retranscrire dans les versions du jeu qui sont dans ces langues ? Alors ça se fait, hein, mais ça demande un travail supplémentaire de rédaction parce que généralement quand on trouve ça dans les romans, on a une note de bas de page pour dire “en français dans le texte original” etc, mais impossible dans ce format de mettre des notes de bas de page, et je pense que déjà qu’ils ont pas eu le temps de relire correctement la version originale en français tellement c’est inondé de fautes, va en plus ajouter des subtilités dans les traductions en anglais et en espagnol mdr. Bon pour l’italien ça aurait pu passer vu que y’a pas de version du jeu en italien mais c’est courant donc ça aurait pu exister/existera peut-être.
Et d’autre part, faire parler Ethan en finnois, ça rajoute au sentiment de distance et d’étrangeté (au sens être étranger à quelqu’un) entre Eloïse et Ethan. Chez Beemoov, on incarne une héroïne qui est parfois confrontée à des langues qu’elle ne parle pas, ça crée de l’incompréhension chez elle, et comme justement on est censé-e être elle, ben c’est plus facile de ressentir ce qu’elle ressent si nous non plus on comprend pas ce qui est dit. Je pense pas qu’on soit beaucoup de joueurs/euses à s’intéresser au finnois, et encore moins à le parler x) Je suis même sûre qu'il y a eu des gens qui ne savaient même pas que c’était du finnois avant de le voir parler d’Helsinki (et en vrai je comprends, c’est pas du tout une langue qu’on a l’habitude de croiser, si on connaît pas on peut pas la reconnaître, moi dès que j’ai vu “kersantti” j’ai tilté mais ça fait des années que je m’intéresse au finnois).
Maintenant, le procédé me pose deux problèmes : le premier, je l’ai déjà dit, c’est qu’on comprend pas. Oui c’est en contradiction avec ce que je viens de dire, mais si je comprends parfaitement l’utilité d’un tel procédé, ça n’empêche pas que je le trouve sur-utilisé et parfois mal utilisé, que ce soit ici ou sur Eldarya : je pars du principe qu’on doit pouvoir comprendre tout ce qui est dit dans une œuvre écrite, d’une manière ou d’une autre, sans cacher des infos derrière la barrière de la langue (même des infos mineures comme un rang dans l’armée ou un proverbe, il aurait pu dire le proverbe en français et rajouter “comme on dit chez moi” après, par exemple). Les jurons on en a eu au moins trois différents, je pense pas que c’était nécessaire, par exemple. On pouvait se contenter d’un seul et c’est facile de repérer que “ah ça c’est le juron”, pas besoin de se vanter d’avoir écumé le dictionnaire des injures en finnois, ça n’apporte rien, ni au perso, ni à l’histoire. Pour le reste, le système du “A plus ! Nähdään !” marche bien, ça allonge un peu le texte de mettre la traduction à côté mais bon ça va avec la politique de rapiat de Beemoov avec le paiement au dialogue, puis au moins ça permet au lecteur de comprendre. Parce que oui on joue un personnage qui comprend pas, mais pour moi ça veut pas dire que le lecteur doit être “privé” de la signification. Et enfin, je pense pas que ce soit utile de faire ça trop souvent non plus.
Mon deuxième problème, c’est qu’il est très probable que la personne qui a écrit la route d’Ethan ne parle pas finnois. Je sens un peu trop l’odeur des traductions mot à mot, et je crains (j’espère me tromper) la présence de la némésis des traducteurs, les outils comme Google Traduction.
Petit aparté de traductrice : globalement, n’utilisez un logiciel de traduction automatique qu’en dernier recours. Si vous devez l’utiliser, faites-le sur des mots plutôt que sur des phrases, à moins que vous ayez assez de connaissances dans la langue étrangère pour pouvoir corriger le logiciel au besoin (si vous voyez que la traduction qu’il propose n’a aucun sens, par exemple, ou que vous avez un doute sur un mot qu’il a utilisé). Mais même pour des mots uniques, privilégiez des dictionnaires, même en ligne il existe aujourd’hui des dictionnaires pour de nombreuses langues, recoupez les sources, ne faites pas aveuglément confiance aux logiciels de traduction automatique.
Je dis ça aussi parce que je suis presque sûre d’avoir repéré une erreur dans une phrase en finnois (même avec mon faible niveau mdr) : [/!\ Léger Spoiler] dans la scène devant le manoir, quand il prend Eloïse pour un jeune enfant qu’il a vu mourir et lui demande pardon [/!\ Fin Léger Spoiler], Eloïse peut lui dire “je ne t’en veux pas”, et Ethan répond “ole niin mukava”, sauf que la traduction littérale donne “sois si gentil”. Je pense qu’il devait vouloir dire “tu es si gentil” vu le contexte, ce qui donne en finnois “olet niin mukava”. Alors c’est très possible que l’autrice ait bien obtenu ce résultat dans ses recherches, et je sais pas le T s’est mal tapé ou un truc du genre, et du coup à la relecture (en imaginant qu’il y ait eu une vraie relecture ptdr), ça n’a pas été relevé, parce que la personne ne savait pas, avait oublié que c’était pas comme ça que ça s’écrivait, et c’est une erreur quand même vite repérable si on connaît un peu la langue, la preuve moi qui ai repris mon apprentissage il y a 6 mois seulement j’ai pu le voir.
Et je pense que si on veut utiliser le procédé du personnage qui case des mots ou des phrases dans sa langue maternelle qui n’est pas celle du récit global, il faut au moins avoir des bases, même très superficielles, dans ladite langue. En tout cas pour les boîtes qui se spécialisent dans l’écriture de romans visuels depuis 10 ans avec des auteurs/trices censément pro à qui on va pas laisser passer autant d’âneries à la minute qu’avec de jeunes auteurs/trices qui débutent.
Voilà merci d’être venu-e-s à mon Ted Talk
#moonlight lovers#moonlight lovers ethan#je devrais peut-être mettre une catégorie 'moonlight lovers' sur l'en-tête de mon tumblr mdr#à force de raconter des trucs dessus#fun fact on pourrait croire que je me suis intéressée au finnois à cause de tolkien#qui a basé la langue quenya dessus#mais pas du tout c'est à cause de nightwish#j'ai appris qu'après pour le quenya car je suis une fake fan#et aussi peut-on parler du fait qu'ethan ça sonne absolument pas finlandais comme nom
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Fanzine
J’ai choisi de le faire dans l’idée d’un fanzine. J’avais très envie d’en faire un mais j’avais beau puiser dans mon cerveau en manque cruel de sérotonine, je ne trouvais rien qui me rend fan. Au lieu de ça j’avais la preuve que je n’aimais rien, bien que j’aimerais. Alors j’ai décidé d’écrire un fanzine sur ce que j’aimerais, un fanzine sur une vie dont je serais fan. Je voulais absolument le créer sur un fond noir en référence au fait que le noir est une non-couleur, (ref Carré noir de Malevitch) et donc que mon support ne parasite pas le texte. Celui-ci blanc, somme de toutes les couleurs, somme de toutes mes pensées. J’ai choisi de prendre des chutes de papiers que j’avais coupé ultérieurement en référence au magazine La Perruque publié par Surfaces Utiles (http://la-perruque.org/index.html). Par rapport au contenu il y a une référence au livre d’artiste de Michelangelo Pistoletto, L’Homme noir, le côté insupportable publié en 2014 que j’ai beaucoup aimé. Il écrit comme il parle et surtout il nous écrit à nous en sachant que nous lisons son livre, comme un vrai dialogue instantané. Le she-I montre que je me mélange entre qui je souhaiterais être et qui je suis vraiment. C’est écrit en anglais car c’est quelque chose de très personnel et il est plus facile pour moi d’avoir pu écrire mes pensées avec une distance, pour ne pas que ce que j’écris ne me frappe trop violemment, et de plus pour ne pas que mon entourage ne comprennent ce que j’ai écrit quand je souhaitais l’imprimer. Difficultés rencontrées: je voulais imprimer mon texte sur du papier noir, cependant mon imprimante ne détecte pas le papier noir. et j’ai dû donc l’écrire à la main. J’ai choisi de le faire à l’encre de chine blanche car le côté calligraphie me plait, en référence au geste et caetera, propos des calligraphes d'Extrême-Orient, « l'unique trait du pinceau », citation que l'on trouve dans Les propos sur la peinture du moine Citrouille Amère de Shitao, il parle de cette technique qui consiste en « un geste et les autres suivent implicitement ».Cette technique non industrielle utilisée, rend un effet organique, vivant, que j’ai apprécié au rendu.
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Vacances n° 2 : ''Vive la république... et vive la France''
Dothraki, Klingon, Na’Vi, Sindarin… Ça vous dit quelque chose ? A moi, ça ne disait rien jusqu'à ce que je me souvienne des langues (qui n’existaient pas avant que Tokien ne les fabrique de toutes pièces) qui sont utilisées (?) dans Le Seigneur des anneaux, Game of Thrones, Star Trek ou Avatar.... Et pourtant, nous devrions nous intéresser à ces ''novlangues'' incompréhensibles : jeter les gens dans un univers non-défini et fictif crée un immense désarroi, et ne plus rien ''piger'' fait de vous une victime sans défense, ce que nous vérifions, pour notre malheur, à chaque instant
Si je vous dis ''Et Eärello Endorenna utúlien. Sinome maruvan ar Hildinyar tenn' Ambar-metta !'', je ne suis pas certain que vous compreniez tout de suite que cela veut dire, ''De la Grande Mer en Terre du Milieu, je suis venu. En ce lieu, je me fixerai, moi et mes héritiers, jusqu'à la fin du monde !'', en quenya, qui, comme vous le savez, est la langue des Eldaren Valinor, parlée par les Ñoldor (Elfes Savants) et les Vanyars (Elfes Blonds). La troisième tribu, les Teleri, installée à Alqualondë, la capitale des Falmari sur les Terres Immortelles du continent d'Aman, parlait une langue proche, le Telerin... Vous suivez ? Moi, non plus... depuis la 3 ème ligne : nous sommes dans l'univers onirique de JRR Tokien, James Cameron, et d'autres --qui ont ''fabriqué'' des univers et des langages (?) dignes d'admiration. (NB : je crois utile de vous rappeler que le quenya descend de la langue des Eldar pendant leur grande marche de Cuiviénen vers le Valinor, l'eldarin commun, lui-même dérivé du quendien primitif des premiers Elfes. Tout le monde sait ça --enfin... peut-être !)
Si je vous raconte tout ça, c'est parce que le français contemporain, celui qui est utilisé dans le discours officiel, dans la presse et dans les programmes électoraux où il triomphe sans pudeur, n'a plus rien à voir avec ce qu'était le français. (Frémissons à la pensée de ce qui nous attend dans les 10 mois à venir). Notre langue autrefois admirée pour sa précision se rapproche désormais de ces iso-langages qui ne sont compris que par... ceux qui les inventent : c'est du grand n'importe quoi apparemment compréhensible : le spectateur-auditeur-lecteur-victime, s’il veut suivre l’action et les dialogues, est tenu de se taper les sous-titres... ce qui va poser un grave problème, très bientôt, lorsque les méfaits des pédagogues irresponsables, des syndicats de profs (et de gauche, bien sûr !), et des bobos progressistes, promoteurs de l'anti-culture, se seront répandus à la surface de ''l'hexagone-sic'' : les gens seront alors incapables de comprendre ce qu'ils ânonneront. On pense à ce film qui était ''en version américaine avec sous-titres en anglais'' (American version with english subtitles)... Nous sommes ''en marche'' vers : ''VO en novlangue djeunz-reubeu, sous-titrée en souchien 1960′’.
Lassé de commenter les séances de lectures sur prompteur que nous a imposées le Président à 6 reprises depuis le début de la crise de nerfs dite ''du covid'', je m'étais promis de ne pas gâcher vos vacances avec des dégâts collatéraux dont le contrecoup inévitable est de rappeler à chacun le quotidien --minable : l'été est fait pour ''penser loisirs'', pas pour ''ressasser covid'' ! Seul bon point : le chef --faisant pour une fois ''le bon choix''-- a tourné le dos au grammaticalement indéfendable ''LA covid''. Dont acte. Pour le reste... la ''provoc'' est si violente que je renie ma promesse : il est des choses sur lesquelles on n'a juste pas le droit de se taire !
Notre président, juste avant de psittaciser le rituel et ridicule ''vive la république'' (comme si elle était en danger ! Il se croit en l'An II ?) suivi, après un léger suspens, de ''et vive la France'', a nié, devant 22 millions de téléspectateurs, la principale raison d'être de notre République : notre ''tous pour un, un pour tous'', l'égalité de traitement, et la fraternité si haut proclamée. ''C'est aux non-vaccinés de payer l'addition, pas à ceux qui m'ont obéi'' ! Cette création de deux classes de citoyens, les ''bons élèves'' et des ''cancres égoïstes'', est une grande première, un scandale d'Etat, un rejet de tous les principes républicains, un déni moral, la mort en direct, à la télé, de la notion-même de Nation, de société, de civilisation, d'Humanité, et la fin du principe de solidarité et de l'antienne ''il n'existe qu'une seule catégorie de français'' que nos fausses belles âmes invoquent si facilement, lorsqu'il s'agit de terroristes, de délinquants, de multi-récidivistes en actes anti-français... Chanter la République et ses bienfaits, d'accord. Mais pas pour les parias ! Pour les gens intelligents (càd les ''piqués'' !), être vacciné ouvre des lendemains qui chantent. (NDLR : tu parles ! Attendons la suite. Déjà, on parle de la troisième piqûre, en attendant l'obligation d'un abonnement à vie, etc...).
Revenons sur la structure du discours : tout d'abord, ''tout ce que nous avons fait était ce qu'il fallait faire''. En résumé : ''Bravo, Moi !''. Ensuite, une nouveauté : faire croire aux français que ''nous l'avons fait ensemble''... Au cas où vous ne vous en seriez pas rendu compte, c'est en accord avec lui que vous avez laissé votre vieille grand-mère mourir toute seule dans son Ehpad et ne pas avoir d'enterrement, c'est vous qui avez supplié d'être confinés ou ''couvrefeu-isés'', et fait passer à vos enfants un bac sans la moindre signification ! Après cette séance d'auto satisfaction béate (même si on commence à avoir l'habitude, ça reste insupportable !), on est entré dans le vif du sujet : ''Faites-vous vacciner, et... tout le reste vous sera donné de surcroît'' : un avenir radieux vous attend, puisqu'on vous le dit ! Et ceux qui gênent ? Sous le tapis ! Ostracisés, punis, condamnés, insultés, ''jetés''.
Emmanuel Macron nous a donc annoncé qu'il faisait ce qu'il avait promis de ne jamais faire : rendre la vaccination obligatoire, aux soignants pour commencer puis, grâce (?) à l’extension du ''pass sanitaire'' (je persisterai à écrire ''passe''), à tous les lieux accueillant du public d’ici août, avec sanctions et privation de salaire dès le 15 septembre (NDLR - Quand on pense au refus par système de ''sucrer'' les ''allocs fam'' aux terroristes et délinquants récidivistes, on se demande s'il n'y en a pas qui sont plus égaux que les autres !). Il n'empêche : en faisant le choix de rendre iso-censitaires certains actes élémentaires de la vie, il entame lourdement ce qui nous reste de libertés, même si la situation sanitaire demande de l'action. Mais ''quoi qu'il en coûte'', il continue à tout miser sur l'obligation vaccinale, l'extension liberticide du passe sanitaire, le déremboursement des tests PCR... oubliant que d'autres armes existent pour lutter contre l'épidémie. Dans le piège de cette vision rétrécie et condamnée d'avance, voilà une ''Quatrième vague'', dite Delta ('faut pas faire de peine aux indiens --sic ! On n'en rate pas une !) en attendant les suivantes, devant lesquelles le roi sera nu : de delta à oméga, il a de beaux jours devant nous !
Le menton mussolinien, le verbe tranchant et en affirmant le contraire, il a virilement rendu la vaccination obligatoire : punir les gens par l’économie, la vie quotidienne, les vacances, le salaire, le mépris, les loisirs, le boulot, les transports, les promesses de sucettes et que sais-je encore... c'est les prendre pour des idiots ! On se demande ce qu'il va faire si ces décisions liberticides entraînent une une levée de boucliers, ce qui, même peu probable devant la capacité d’encaisser de ce peuple totalement anesthésié (qui fut célèbre pour son aptitude à ruer dans les brancards), reste tout de même une éventualité. Car personne n'a dit mot de la prolongation jusqu'au 31 décembre du ''régime transitoire d'état d'urgence sanitaire'' décidée hier : après tout il ne s’agit que de nos libertés de base !
Aujourd'hui, en France, on peut raconter impunément, dans la même phrase, n'importe quoi et son contraire, comme si on parlait en ''Tokien''... Avec notre accoutumance progressive aux restrictions de nos libertés, nous apercevons la fin de l'ex-''société de consommation'' et l'entrée dans une ''dictature dite sanitaire''... porte ouverte à une ''société de soumission'' qui va rendre plus facile l'instauration de la soumission sacramentelle et institutionnelle qu'est l'islam... fut-il totalement dévoyé et une arme de guerre pour les dealers, les pousse-au-crime professionnels et les révolutionnaires en tous (mauvais) genres. Mais que tout cela est triste...
H-Cl.
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Stage à Sacré Cœur et St François Xavier :
Janvier 2020,
Nous avons toutes deux séparément réalisé un stage de deux semaines auprès d’une enseignante d’UPE2A. Celle-ci intervient au sein de deux établissements scolaires distincts localisés à Vannes : le collège Sacré Cœur et le collège/ lycée St François Xavier. Au total, elle accompagne une dizaine d’élèves. Elle passe une matinée dans un établissement puis l’après-midi dans l’autre.
Pendant quelques jours nous avons, donc, eu l’opportunité de s’immiscer dans son quotidien. Nous avons pu concrètement découvrir en quoi son rôle consistait. Et, nous avons ainsi eu l’aubaine de l’aider en accompagnant certains élèves dans leurs apprentissages.
Ces deux semaines ont donc été source de nouveauté et d’enrichissement pour nous.
Présentation :
La professeure que nous avons accompagnée était en charge de huit élèves au Sacré Cœur : Nour, Lubna, Ousma, Abdel salam, Mohammed, Saif, Modibé et Mamadou et de trois élèves à Saint François Xavier : Maciré, Ousman, Abdouraman. Ces enfants/adolescents avaient tous entre douze et seize ans et venaient de différents pays, tels que le Mali, le Lyban, La Syrie, l’Afghanistan.
Si certains de ces élèves sont déjà dans ce groupe depuis quelques temps, nous avons eu l’opportunité d’assister à l’arrivé d’un élève étranger et observer son adaptation. De plus, lors de notre stage deux sœurs sont arrivées d’Afghanistan. Nous avons pu voir comment la relation de confiance s’est mise en place entre le professeur et les nouvelles élèves, mais aussi entre les nouveaux élèves et les anciens. Nous avons pu constater de l’entraide, de la bienveillance entre les élèves. Les enfants habitués prenaient sous leurs ailes les nouveaux et leur expliquaient tout ce qu’elles devaient savoir. En effet, la langue commune entre les enfants, les rassure, ainsi les nouveaux se sont rapidement sentis à l’aise. Nous avons vu une évolution fulgurante chez ces élèves plutôt réservés d’un premier abord qui ne savaient pas lire un emploi du temps à des jeunes épanouis qui apprenaient et comprenaient rapidement !
Le rôle du professeure d’UPE2A :
Comme nous l’a expliqué notre professeur, son rôle n’est pas seulement de les faire évoluer dans la langue française mais aussi de les inclure dans notre société. Cela passe par leur apprendre à lire l’heure, leur apprendre à déchiffrer leur emploi du temps, leur montrer leur classe, la cantine, le gymnase, leur expliquer où se ranger lorsque la sonnerie retentit… Elsa a d’ailleurs plusieurs fois accompagné un élève qu’elle rejoignait au port car arrivé il y a moins d’un mois celui-ci ne connaissait pas bien le chemin pour aller au Sacré cœur. Par le biais cet exemple, nous voyons bien que le travail de professeur d’UPE2A va au-delà des portes de l’école, c’est un accompagnement dans la vie, c’est un repère pour le jeune. En sachant que ces jeunes sont généralement loin de leurs familles et se retrouvent seuls en France. Il est d’ailleurs important que le professeure d’UPE2A sache parler anglais, car celui-ci va communiquer avec les parents (s’ il y en a) et l’élève qui parlent généralement beaucoup mieux l’anglais que le français. C’est d’ailleurs pour cela que cette professeure donne son numéro de portable à ses élèves afin d’avoir un contact régulier, leur faire passer des informations, vérifier que les élèves sont bien à l’école … C’est un travail au sein duquel l’humain passe avant tout, nous avons envie d’aider ces jeunes et ils nous le rendent bien en essayant de travailler le mieux possible et progresser. Nous allons nous arrêter là car nous pourrions écrire sur ce beau stage encore des pages et des pages !
Pratique :
Place au côté pratique ! Cette professeure doit les mettre à niveau en Français, cependant nous avons pu constater que pour cela elle s’appuie sur différentes disciplines. Par exemple, elle les fait également travailler la géographie. Elle leur montre des vidéos sur la Bretagne, la France, leur fait apprendre les régions … D’ailleurs pour qu’ils comprennent ce qu’ils sont entrain de faire en géographie, elle leur fait d’abord placer les régions, villes sur la carte de leur pays puis sur celle de la France afin qu’ils fassent la relation. Elle utilise également le globe, des cartes du monde à colorier au fur et à mesure des connaissances sur les pays.
Pour ce qui est du français, elle utilise beaucoup l’oral lorsque l’élève arrive dans l’unité puis essaye de passer rapidement à l’écrit ! En effet au collège, les élèves écrivent beaucoup et c’est pour cela que ceux de l’unité UPE2A doivent se mettre à jour. Elle leur fait des dictées avec des étiquettes, des exercices d’écriture avec les formations des lettres, remettre des phrases dans l’ordre pour trouver une logique à l’histoire. Un autre jeu à été très intéressant, celui-ci consistait à mettre les élèves en binôme pour un travail de dessin. En fait, l’un avait une image et devait la décrire au second qui lui devait dessiner sans le modèle. Dans cet exercice, les enfants travaillaient les mots, le vocabulaire afin de faire une description la plus proche possible, ils retravaillaient également la droite, la gauche, devant, derrière et enfin la formation de phrases. Par la suite, le modèle et le dessin étaient comparés et cela était souvent synonyme de fou-rire ! Durant ces semaines, les enfants ont travaillés sur le Petit-Prince et ont commencé à apprendre quelques dialogues pour pouvoir les jouer par la suite.
Les supports :
Enfin, dans l’unité UPE2A, l’adulte utilise plusieurs supports : nous avons l’ordinateur et son logiciel « Entrer dans la lecture », les élèves écoutent et répètent, ils font différents jeux dessus, s’exercent ... Nous avons des livres comme « Entrée en matière : la méthode de Français langue seconde de scolarisation » de Brigitte Cervoni ou encore des cahiers d’écriture pour des enfants de l’âge de 6 ans. Finalement cette professeure était assez libre dans la construction de ses cours, elle ne devait pas forcément suivre de programme, son seul objectif était qu’à la fin ils sachent lire, parler correctement français et l’écrire convenablement.
Nous n’avons pas de photos car la professeure n’était pas d’accord pour cela. Toutefois les souvenirs restent en tête !
Lise et Elsa : prise de recul par rapport à ce stage …
Il est vrai que nous n’avons pas pu partir à l’étranger et que cela nous a un petit peu démoralisé (sans vous le cacher) …
Cependant, il faut voir le côté positif ! Grâce à ce projet nous avons fait la rencontre d’une professeure incroyable, avec qui nous avons beaucoup partagé. Nous avons passé deux semaines aux côtés d’enfants motivés, heureux d’être là, toujours avec le sourire. Le stage s’est déroulé comme nous l’espérions. Nous nous sommes attachées à ces adolescents qui n’ont pas eu un parcours de vie facile et qui se battent pour apprendre le français et être le plus inclus possible dans notre société. Nous nous sommes senties utiles et nous étions chaque jours motivées à l’idée de pouvoir les aider. Enfin, nous nous sommes rendues compte que nous étions capables d’être à la hauteur d’un public de collégiens et qu’ils existent d’autres portes qui pourraient être tout aussi intéressantes que professeurs des écoles.
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Une collaboration enrichissante avec l’organisme Tungasuvvingat Inuit
Nicole Parsons est conseillère principale en éducation pour l’organisme Tungasuvvingat Inuit, à Ottawa (TI). TI a été l’un des principaux alliés et collaborateurs du COPA tout au long du processus de création des ressources En cercle, ensemble et En cercle, en classe. Nicole est également membre de notre conseil consultatif pour le projet Le cercle s’élargit depuis ses tout débuts.
Je voulais savoir comment Nicole s’était retrouvée chez Tungasuvvingat Inuit et lui parler de son engagement dans le projet Le cercle s’élargit. Il a été très facile de parler avec elle. La passion de Nicole pour son travail a été palpable plusieurs fois au cours de notre conversation.
Nicole se rappelle que durant son parcours scolaire, elle a eu très peu de chance d’apprendre quoi que ce soit sur l’histoire, la culture et les traditions autochtones. Dans sa classe de 12e année, on avait consacré à peine 15 minutes aux pensionnats. C’est pour raison, explique-t-elle, qu’elle se retrouve aujourd’hui, chez TI, immergée entièrement dans la riche culture inuite, tous les jours. C’est l’absence consternante de tout élément ayant rapport aux peuples des Premières Nations, métis et inuits dans le programme scolaire qui l’a poussée à vouloir s’informer davantage sur les droits des Autochtones et sur leur histoire. Et elle n’a jamais cessé d’apprendre. Elle s’est inscrite à un programme d’études autochtones et a suivi des cours sur les droits de la personne ainsi que sur le langage des signes à l’université. Elle a également obtenu sa maîtrise en études autochtones et en études canadiennes.
Son désir d’apprendre et de connaître l’histoire et la culture des peuples autochtones l’a amenée encore plus loin, jusqu’au Nicaragua et au Honduras, où elle a fait du bénévolat au sein de communautés indigènes de ces pays. Ce qui a toutefois entièrement changé son point de vue, c’est le travail qu’elle a fait sur le terrain au Pérou avec un professeur et un avocat qui avaient remporté une cause sur les droits territoriaux qu’ils essayaient de faire appliquer. Nicole affirme : « c’était le meilleur moyen de sensibiliser les jeunes », et sensibilisée elle l’était, car elle a été mise directement en face des obstacles que les communautés indigènes du Pérou avaient à surmonter dans cette structure coloniale encore très enracinée.
Enfin, sa passion pour l’apprentissage et l’acquisition de connaissances l’a amenée jusqu’à Ottawa où elle a commencé à travailler au sein de l’organisme Tungasuvvingat Inuit. Bien que la priorité de cet organisme soit d’embaucher des personnes d’origine inuite, TI emploie aussi des gens autochtones et non autochtones. Nicole affirme d’ailleurs que nous sommes toutes et tous les bienvenus chez Tungasuvvingat Inuit.
Tungasuvvingat Inuit est le seul organisme urbain de son genre au Canada qui offre des services spécifiquement aux Inuits. Représentant les Inuits de l’Ontario, cet organisme propose un large éventail de ressources et de programmes, littéralement du berceau au tombeau. Ses services portent, entre autres, sur le logement, la famille, le mieux-être, la justice réparatrice, l’éducation, la santé et plus encore. L’organisme est dévoué à l’épanouissement de la culture et du peuple inuits en Ontario.
Statistique Canada estime que 3 500 Inuit.e.s vivent en Ontario. Toutefois, selon les données provenant d’organismes desservant la population inuite, ce nombre se situerait plutôt entre 3 700 et 6000 dans la seule région d’Ottawa.
Présent partout en Ontario, TI a un site satellite à Toronto. L’organisme est en contact avec des Inuit.e.s vivant à Sudbury, à North Bay, à Waterloo et dans la région de Niagara. Il y a également des regroupements informels d’Inuit.e.s partout en Ontario, y compris une communauté sur Facebook dont les membres se rassemblent parfois en personne. Nicole affirme que grâce à la technologie, de nombreux Inuit.e.s font maintenant partie de la communauté virtuelle. Les plates-formes médiatiques sont très utiles pour connecter les gens ensemble.
Selon TI, le grand sentiment d’isolement de leur communauté et de leur culture perturbe beaucoup les Inuit.e.s qui se déplacent vers le sud. Les voyages dans le Nord pour visiter la famille coûtent très cher. TI joue donc un important rôle en mettant les personnes inuites nouvellement arrivées en contact avec celles qui vivent déjà ici et en leur fournissant de l’information sur les services mis à leur disposition.
Nicole fait remarquer que certaines familles inuites trouvent particulièrement difficile d’apprendre à naviguer à travers le système scolaire. Elles ont aussi du mal à se faire les champions de leurs enfants à l’école. C’est pourquoi la ressource En cercle, ensemble est si importante et si opportune. Les courts métrages animés en inuktitut encouragent les familles à participer aux activités scolaires de leurs enfants et leur fournissent de l’information pratique sur la prévention de l’intimidation. Selon Nicole, de bien des façons les ressources du COPA rejoignent celles de TI.
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Dans le cadre du vaste dialogue sur les langues autochtones en cours actuellement au Canada, Nicole estime que l’inuktitut est l’une des langues autochtones les plus vibrantes et que la population qui parle cette langue en Ontario est en croissance. Mais, lorsque les Inuit.e.s quittent leurs régions traditionnelles, descendent vers le sud et se dispersent, il leur est de plus en plus difficile de préserver leur langue en raison du manque de services offerts en inuktitut. La préservation et la revitalisation de la langue sont donc devenues des enjeux prioritaires pour Tungasuvvingat Inuit.
Au terme de nombreuses consultations avec les Inuit.e.s des quatre coins de la province, Nicole a constaté qu’il était clair que la langue était importante pour les adultes comme pour les enfants. Ce point a également été confirmé à la suite du projet mené par TI sur l’évaluation du mieux-être des élèves au cours de l’année dernière. Ils ont découvert que le principal facteur pour assurer le mieux-être des enfants avec qui ils se sont entretenus était la connexion à leur culture et à leur communauté. Et qu’est-ce qui leur donne le sentiment d’être connectés à leur culture et à leur communauté?
Les célébrations et la nourriture traditionnelles au sein du système scolaire
Des espaces sécuritaires où les enfants n’ont pas peur de s’identifier comme étant inuits
Pouvoir parler leur langue et l’entendre parler
Nous savons donc, ajoute Nicole, qu’il est important d’inclure la langue inuktitut dans les écoles et d’en faire la promotion pour assurer le mieux-être des élèves inuits. C’est pourquoi elle a aimé faire partie de notre projet de contes. Comme elle l’explique, les livres sont superbes, et parce qu’ils sont rédigés en sept langues autochtones et en anglais, ils sont d’autant plus accessibles. L’inuktitut est traditionnellement une langue orale, l’une des parties les plus difficiles dans son apprentissage est la prononciation. Les vidéos se sont donc révélées essentielles en ce sens. Toujours selon Nicole, les récits oraux dans sept langues autochtones sont un moyen très efficace et très concret de faire vivre les langues dans les foyers, dans les écoles et dans les communautés.
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Mais au-delà de la langue, le projet sur l’évaluation du mieux-être a également mis en lumière le fait que les enfants inuits ne se voyaient pas représentés dans le système scolaire. Selon ce qu’entend Nicole, les membres du personnel enseignant savent qu’elles et ils doivent intégrer un contenu autochtone dans leur classe, mais ne savent pas trop comment y arriver et ont peur de faire des erreurs. Leur travail n’est pas facile, car les éducatrices et éducateurs ont une longue liste de tâches à accomplir et beaucoup de défis à relever : ce sont des enseignant.e.s, des mentors et des conseillères et conseillers pour les élèves. C’est pourquoi le travail du COPA pour soutenir les efforts des éducatrices et des éducateurs en vue d’autochtoniser et de décoloniser les salles de classe est si important.
Nous, au COPA, remercions Nicole et Tungasuvvingat Inuit pour leurs sages conseils et les efforts qu’ils ont déployés au cours des cinq dernières années de collaboration.
Naqumik.
En cercle, ensemble: 21 courts métrages animés en inuktitut
En cercle, en classe pour le personnel enseignant: 10 courts métrages animés en inuktitut
Les contes et 3 courts métrages en inuktitut.
#inuits#inuites#inuktitut#inuit#inuite#éducation#éducation autochtone#éducation ontario#Langues autochtones
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Star Wars : The old republic
Je n’ai joué qu’à très peu de MMO dans ma vie, ceux-ci pouvant vite devenir adictifs. Mais en ce moment, et depuis plus d’un an (bien entrecoupé, parce que je dois aussi travailler), je joue à Star Wars : the old republic en non payant. Découvrons ensemble ce jeu.
Bioware sort ce jeu en décembre 2011. Le jeu propose d’incarner un personnage de l’ancienne République, et d’accomplir sa destiné.
Le jeu propose deux factions et huit classes au total. Il propose également une personnalisation du personnage que vous allez incarner (et un nom aléatoire si vous n’avez aucune idée).
Ca a un peu de classe, quand même...
L’histoire varie selon la classe, même si elle revient toujours au même : sauver la galaxie, ou écraser celle-ci avec son pouvoir. Les histoires des différentes classes ne se mélangent pas entre elles. Ainsi vous pouvez devenir un grand chevalier Jedi, ou bien un inquisiteur sans pitié, sans qu’il y ait d’incidence sur l’histoire de l’autre.
Créons notre personnage.
Pour créer ses personnages, le jeu propose plusieurs serveurs de tous les coins ; français, anglais, allemand, ou américains. Si vous êtes, comme moi, un joueur jouant gratuitement, l’espace de deux personnages est disponible pour chaque serveur. Si vous voulez en créer un troisième, il va falloir changer de serveur !
A la création de personnage, vous aurez donc accès aux différentes classes (ainsi qu’à leurs spécialités), à leur sexe (féminin ou masculin), à leur espèce (trois de débloquées si vous êtes sans abonnement ; si vous souhaitez un Togruta par exemple, il va falloir débourser !), et à leurs spécificités physiques. Chaque espèce a un talent spécial (présence, observation, etc...).
Les classes disponibles si vous voulez être du côté de la république ; chevalier Jedi, Jedi consulaire, contrebandier et soldat
Les spécialités de chaque classe leur donne des capacités que l’autre spécificité n’a pas. Ainsi, on peut être un chevalier jedi tank ou dégât, un soldat avec armes à courtes ou longues portées...
Les espèces donnent des habiletés en plus, souvent des petits bonus. Il y a pas mal de classe, mais je regrette amèrement de ne pas pouvoir jouer gratuitement une Togruta ou un Sith au sang pur directement.
Vous pouvez personnaliser votre personnage, avec sa corpulence, par exemple.
Bien que les filles soient très jolies, je trouve cela dommage qu’on ne puisse jouer que jusqu’à la “pulpeuse” et pas une petite rondelette, par exemple. Les corpulences masculines vont de corpulence normale à “très imposant” dans le sens graisseux.
La création de personnage propose plein de mode, qui sont, à mes yeux, plutôt basiques. Mais ils permettent de faire des faciès assez variés. Ainsi, on peut choisir son type de corps comme dit plus haut, mais aussi sa tête (inspirées de plusieurs ethnies différentes, de la tête du bon européen à des beaux yeux asiatiques), l’ajout de cicatrices (parce qu’on a souvent des cicatrices, dans ce jeu), le teint, qui donne aussi bien les rougeurs, les grains de beauté, que des traces de lunettes et un visage sale, la couleur des yeux (varie en fonction de l’espèce), les cosmétiques ou tatouages, les cheveux, la couleur de ceux-ci (différent selon le type de l’espèce encore une fois), et la couleur de la peau (ovbiously, cela dépend aussi de son espèce).
Quelques exemples de personnage possible avec le mode aléatoire...
(bon, elle est pas aléatoire, j’ai essayé de me faire en Jedi consulaire, mais ça fonctionne pas)
Le bon ou le mauvais Zabrak. Un bon Zabrak, c’est pas rouge tu vois. Alors qu’un mauvais Zabrak, c’est rouge Babybel.
L’histoire
Comme dit précédemment, l’histoire varie en fonction de l’affiliation et de la classe. Bien que basiquement, vous devez sauver la galaxie ou assouvir votre vengeance/détruire la République, les histoires essaient de vous transporter dans leur lieu et leurs magies.
En introduction de chaque classe, une cinématique est lancée, et vous explique à peu près ce qui se passe. On y voit alors des soldats de la République sauver Aldérande,ou une énorme cargaison de Sith détruire les Jedi sur Coruscant. Les cinématiques sont léchées et donnent réellement envie de jouer, même si on se doute que ça n’aura rien à voir avec cette belle entrée qui est proposée.
Cependant, ne vous attendez pas à faire exactement la même quête en temps que chevalier Jedi ou Jedi consulaire. Les deux histoires sont totalement différentes ; avec les chevaliers Jedi, vous êtes très souvent envoyé au front, jusqu’à finir haut gradé, alors qu’avec les Jedi consulaires, vous passerez beaucoup de temps à essayer de maintenir la paix (à coup de sabre laser). Vous deviendrez alors un gardien de la galax.... un gardien. Alors qu’en contrebandier... rien de tout cela ! Chaque histoire est assez unique, même si je trouve que certaines sont moins intéressantes que d’autres.
(ex : bien qu’épique, j’ai trouvé l’histoire du chevalier Jedi moins intéressante que l’inquisiteur Sith)
Pour ajouter du piment à votre aventure, vous ne parcourrez pas la galaxie tout seul : des compagnons différents viendront vous aider pour chaque classe ! Ils ont chacun un rôle précis de base ; soigneur, tank... mais rien ne vous empêche de leur demander un autre rôle que le leur. Mais ne vous attendez pas à des merveilles si vous demandez à un DPS de faire du heal. Un personnage à la fois peut vous accompagner tout le long de l’aventure, avec qui vous tisserez des liens.
Ils ont chacun leur personnalité, même s’ils correspondent plus largement à un archétype assez simple : le dragueur, le sérieux, l’agent double... Vous pouvez leur parler, une fois rentré de mission sur votre vaisseau, ou dans la cantina. Et qui dit personnages différents et discussions, peut dire... romance ! Il est possible d’avoir une romance avec certains personnages précis, selon le sexe de votre personnage (lire ici ; pas de romance avec le même sexe). La romance n’est pas souvent intéressante, mais cela peut être intriguant si vous faites du RP. (ou si vous voulez augmenter l’efficacité de votre personnage au combat) Ainsi, vous pourrez finir avec la petite jedi du groupe ou le jeune pirate de l’espace. Les romances sont spécialisées sur le site.
L’histoire peut également vous amener à faire des quêtes héroïques, qui sont des quêtes pour gagner de l’expérience, avec peu d’histoire dedans, ou la quête d’histoire de la planète. Commune à toutes les classes, elle vous permet d’en connaître d’avantage sur l’histoire que Bioware a choisi pour cette planète. Vous cotoirez des NPC différents, qui vous enverront faire des tâches pour eux, et vous scruterez chaque point de la planète pour eux. Elles sont intéressantes à faire une fois, et elles donnent aussi de l’expérience et de l’équipement ! Sinon, vous pourrez aussi trouver de petites quêtes à faire dans les villes ou sur la carte.
Etrangement, mes histoires préférées sont du côté des Sith, avec l’inquisiteur et le guerrier. Même si j’ai aussi apprécié celle des chevaliers Jedi.
Le gameplay
Le jeu est assez facile et rapide à prendre en main. Il dispose d’un très long tutoriel, même si j’avoue n’avoir pas tout lu. Cependant, j’ai été très vite submergée par les différents skills que le jeu nous donne, je ne savais plus quoi choisir pour mettre sur ma barre, à force ! (jusqu’à ce que je comprenne qu’on puise avoir deux à trois barres de skills)
On peut le manier à la souris ou au clavier. La souris permet de donner le coup de base. Le jeu vous donne dès le départ deux attaques, ainsi qu’un sort de soin pour vous soigner rapidement. rapidement, il vous donne aussi l’accès à “l’instant héroïque”, une sorte de saiyan mode qui vous permet d’utiliser un sort spécial issu de votre héritage et d’avoir des boosts temporaires, en cas de mauvais coup.
L’héritage se crée lorsque vous avez plusieurs personnages sur le même serveur ; au-delà de vous donner l’accès à un arbre généalogique, il vous permet aussi de partager quelques petits skills entre les personnages. Toujours utile !
Ce que je déplore, c’est que l’accès à un équipement ou à des compétences soit assez limité ; il faut vite devenir un abonné ou débourser pour avoir une arme plus forte, ou être mieux protégé. Cela ne vous empêche pas de “finir” le jeu (aka, l’histoire de base jusqu’au niveau 50), mais on obtient beaucoup de récompense de fin de quête avec des objets uniquement pour les abonnés. C’est dommage...
Un entraîneur nous donne accès à nos nouveaux pouvoirs... Les pouvoirs de classe et de spécialité sont séparés.
Ils ont également pensé à un moyen de transport rapide, le speeder ! Vous montez votre amélioration de pilotage de speeder avec votre niveau, ou vous pouvez essayer d’amadouer un tauntaun pour l’avoir comme monture...
(et c’est très long, car il faut aller dans des nids et mettre des appâts, et on a moins de chance d’en attraper un lorsqu’on est sans abonnement)
L’inventaire se présente comme ceci. Vous pouvez aussi voir en bas à gauche, votre partenaire. Au milieu, votre personnage, et un emplacement vide (pour votre ennemi ou votre allié), la barre de skills, la petite barre jaune en-dessous pour l’expérience et la violette pour le social. Une carte est également à votre disposition, que vous pouvez agrandir.
Lors des dialogues, vous avez le droit à trois options, qui correspondent souvent à gentil/neutre/mauvais. Vos compagnons peuvent acquiescer à votre réponse, ou totalement désapprouver ce que vous venez de dire : vous gagnerez ou non des points de confiance avec eux.
Les graphismes
Je n’étais pas très étonnée de la qualité graphique lorsque je suis arrivée sur le jeu. Il était joli, sans être transcendant. Mais le jeu est loin d’être désagréable. J’ai été vite transportée par la première planète, très boisée avec des temples anciens. Le jeu est vraiment joli, et essaye de vous intégrer le plus possible dans l’univers de Star Wars. Même si j’ai quelques questions... (ex : comment se fait-il que la technologie ait si peu évolué en autant de temps ?)
Les animations essayent aussi d’être variées, mais on tourne assez rapidement en rond pour les réactions. Pour être honnête je m’attendais à ce qu’il y en ait encore moins, donc c’est un bon point qu’il y en ait autant. Même si je dois avouer que les animations de baisers sont particulièrement peu expressives ou trop romanesques. Les expressions du visage sont assez variées, mais certaines ne font pas un veau morphing selon le visage choisi. C’est dommage !
Bien qu’il y ait plein de jolies choses, certains lieux se ressemblent un peu trop, surtout les caves. Je pense qu’il n’y a qu’un seul modèle de cave. Je les confonds un peu toutes. Bref, certaines maps sont plus élaborées que d’autres.
La musique
Je suis en mi-teinte sur la musique. Elle reprend de beaux morceaux issus des films ou anciens jeux, mais certaines pistes ne sont absolument pas transcendantes et font plutôt office de “remplissage”. De manière générale, la musique est en accord avec l’action. Mais certaines fois, vous entendrez une musique de bataille épique contre un... ennemi de base. Etrange.
De manière générale, je dirais que la bande son est Star Warsesque. J’ai un peu chouiné sur la carte de la galaxie.
La musique de Hoth est très jolie, mélancolique et glaciale.
Solo ou duo ?
Malheureusement, le jeu devient assez vite lassant si vous jouez tout seul. Le but du MMO est bien de jouer à plusieurs. Ne jouant pas en JcJ, je suis tout le temps en JvE. Certaines fois, les missions sont assez inintéressantes (mes parties détestées arrivent au moment où on doit aller au fin fond d’une cave, notamment parce qu’elles se ressemblent toutes).
Mais j’ai très peu ressenti ceci, notamment parce que je ne joue jamais seule, mais tout le temps avec quelqu’un d’autre. L’aventure devient alors beaucoup plus drôle, surtout si vous jouez avec un minimum de RP. Ainsi, aller dans une cantina ou tout en haut d’une montagne est de suite plus divertissant, notamment si vous vous prenez l’envie d’essayer de monter par un autre chemin...
Ici, l’autre joueuse avec qui je joue mon Jedi consulaire.
Vous pouvez cependant utiliser le chat principal pour demander à être dans un groupe, ou participer à une quête avec d’autres personnes. C’est bien une chose que je ne fais que très rarement, voire jamais. (pas de sociabilité) Toutefois, j’ai remarqué aussi que sur Korriban, avec ma guerrière Sith, j’avais beaucoup de demande de groupe ou de guilde... (car oui, vous pouvez jouer en guilde. Etant une très, très casual, être dans une guilde n’est d’aucun intérêt pour moi)
Petite revue
Pour terminer ce tour d’horizon, j’ai fait quelques screens de mes personnages lors de leur aventure. Voici donc...
Lucritia (chevalier Jedi), mon premier personnage. Un personnage un peu test, puisque c’est celui que j’ai utilisé pour les histoires d’amour (merci la VF et Anakin pour Doc d’ailleurs). Je sens toujours un large sentiment de puissance en la jouant.
Seylenn (inquisitrice Sith), la seconde à venir à la vie. Une brute magicienne qui adore les sorts de zone. C’est dommage que la première tenue soit plus couvrante pour les hommes, je ne comprends pas bien ce choix. Fort heureusement, la tenue du niveau 50 est juste parfaite.
Ethezio (Jedi consulaire), le troisième personnage. Toujours en cours, il ressemble pour l’instant à un prince charmant.
Asunra (guerrier Sith), le dernier personnage à ce jour. Une vraie attaquante, basée sur les dégâts, qui fait très féroce.
Chaque personnage a son histoire personnelle grâce au RP mélangée à l’histoire du jeu elle-même. SWTOR est bien l’un des rares jeux où je me permets de faire réellement du RP ; je trouvais ça plus difficile dans Ragnarok Online, par exemple.
En bref
Ce jeu est très plaisant si vous voulez passer un peu de temps entre pote dans l’univers de Star Wars et si vous aimez ne pas vous prendre la tête. Il devient vite répétitif, mais c’est un point commun aux MMO (du moins ceux que j’ai testé). Il n’est pas horrible, mais pas non plus à la pointe de la technologie. Mais il me plait comme il est !
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http://bit.ly/2Fxr6M6
Par Cristiana Bedei, journaliste freelance et consultante. Billet invité.
Sourcer un sujet, interagir avec le public, ouvrir des événements en direct, promouvoir ses travaux... L'ère numérique a fourni aux journalistes de nouveaux outils et canaux de travail. Cependant, à mesure que de plus en plus d'activités se font en ligne - en passant par les médias sociaux -, il devient de plus en plus difficile d'établir des limites entre le personnel et le professionnel en public. Ce n’est pas seulement la crédibilité et la réputation qui sont en jeu, mais aussi la protection de la vie privée et la sécurité.
Certains journalistes apprécient les commentaires en ligne et la possibilité d’établir une relation intime avec leurs lecteurs, tandis que d’autres finissent par se sentir surexposés et vulnérables.
Les femmes risquent particulièrement d'être humiliées, d’être intimidées, dégradées, dépréciées ou réduites au silence, comme l'a récemment confirmé un rapport d'Amnesty International. Une étude précédente de l'International Women's Media Foundation (IWMF) a révélé que près du tiers des femmes journalistes envisagent de quitter la profession en raison d'attaques en ligne.
Source : Rapport "Attacks and Harassment The Impact on Female Journalists and Their Reporting"
Néanmoins, une présence en ligne efficace peut aider à donner de l'écho aux sujets, à créer des liens et à trouver du travail, en particulier pour les pigistes qui ne peuvent pas compter sur le soutien d’une publication établie.
IJNet a échangé avec deux journalistes très actifs en ligne, Anna Codrea-Rado et Dodai Stewart, sur la manière dont elles négocient leurs frontières personnelles. Codrea-Rado est une pigiste qui se concentre sur la technologie et la culture. Elle utilise les médias sociaux uniquement à des fins professionnelles - en injectant des mises à jour avec une bonne dose de personnalité - et a lancé une newsletter hebdomadaire sur la pige/les freelances. Stewart est rédactrice en chef adjointe du New York Times et l’un des éditeurs fondateurs du site pour femmes Jezebel. Elle a fédéré près de 40 000 abonnés sur Twitter, où elle mélange du contenu personnel et professionnel.
Être prudent
Chacun devrait faire attention à ce qu'il partage en ligne. Même des informations personnelles apparemment innocentes pourraient être utilisées à des fins malveillantes.
« Je ne partage pas ma position [au moment où j'y suis]», explique Stewart. " Souvent, je la poste plus tard parce que je sais qu'il est facile de l'utiliser pour tracer des personnes.»
Stewart a été plus harcelée lorsqu'elle a écrit exclusivement sur les femmes chez Jezebel, mais elle agit toujours avec prudence :
« Je suis très rapide pour bloquer et mettre les personnes en sourdine, j’ai mes paramètres qui sont configurés pour que je ne vois que les réponses de [personnes que je suis sur Twitter]. C'est très utile. »
Les filtres avancés de Twitter permettent de paramétrer les notifications
Ne pas oublier les meilleures pratiques du journalisme
Depuis qu'elle écrit beaucoup sur la culture numérique et l'avenir du travail, Codrea-Rado considère que les médias sociaux sont un outil important pour la collecte d'histoires et la recherche de sources.
« Pour une histoire sur laquelle j'ai travaillé récemment, j'ai pris contact avec mes sources via Facebook et Twitter », dit-elle.
Tout comme il existe un bon et un mauvais moyen de contacter des sources, les mêmes règles s'appliquent lors de la mise en contact avec des internautes, explique-t-elle. Présentez-vous, votre histoire et votre point de vue de la même manière que dans tout autre contexte, comme si vous rencontriez quelqu'un en personne pour la première fois.
Il ne s'agit pas que de marketing
« Je trouve que Twitter est vraiment amusant et j'ai beaucoup de followers. Cela peut donc m'être utile de différentes manières : je peux faire des sondages informels ou diffuser des histoires qui m'intéressent ou sur lesquelles j'ai travaillé. Cela peut être un bon outil pour amplifier mon travail », déclare Stewart. Mais elle n'oublie pas de s'amuser, avec des posts plus décontractés : « L'astuce, c'est la diversité de ce que je publie ».
Pour les journalistes indépendants, il est important de maintenir une présence visible en ligne, explique Codrea-Rado. « Pour parler franchement, cela fait partie de la façon dont vous vous vendez. »
Cependant, le média social a un potentiel allant au-delà de l'auto-promotion. Il peut être utilisé comme un lieu de connexion avec des collègues indépendants et un réseau dans ce qui pourrait autrement être un « travail solitaire », comme le dit Codrea-Rado.
« J'ai tendance à promouvoir toutes les histoires que j'écris (y compris le brand content), mais je ne fais pas que les diffuser sur les médias sociaux. J'échange également avec d'autres personnes et utilise les platesformes principalement comme moyen de dialoguer avec des gens, [notamment] des sources ou des membres de la communauté freelance.»
Prendre des mesures contre les abus
Codrea-Rado avertit que la violence et les abus ne doivent jamais être tolérés et qu'ils ne doivent pas être acceptés comme « faisant partie du travail ».
« Si vous avez été victime d'abus à la suite d'une histoire ou d'un reportage, transmettez ces messages à votre éditeur », dit-elle.
Stewart convient que le signalement des menaces et du harcèlement est essentiel. Il existe des outils disponibles sur les sites Web et les platesformes de médias sociaux à utiliser dans ces circonstances.
Billet invité originellement publié en Anglais sur IJNET. Il vous est présenté dans le cadre d’un partenariat éditorial entre IJNet et Méta-Media. © [2018] Tous droits réservés.
Crédit photo de Une :Tim Bennett via Unsplash
via Meta-media | La révolution de l'inf...
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Comment réduire l’utilisation de la mémoire sur Mac
Vous semblez passer la moitié de votre vie à regarder le curseur Apple (ballon de volley) ? Peut-être que vous avez remarqué que les applications prennent plus de temps à lancer, ou peut-être que votre MacBook dans son ensemble prend plus de temps pour démarrer.
L’un des principaux facteurs qui détermine la performance globale de votre Mac, c’est la quantité de mémoire disponible.
Donc, si vous rencontrez des problèmes de performance, votre première étape devrait être d’essayer de libérer de la mémoire système. En fait, la réduction de la quantité de mémoire que vous utilisez est toujours une bonne idée si vous voulez un Mac plus rapide et plus réactif (et qui ne veut pas un ordinateur plus rapide et plus réactif ?)
Dans cet article, je vais vous montrer comment vérifier l’état actuel de la mémoire de votre Mac, avant de partager 6 conseils pour libérer un maximum de mémoire sur votre installation.
Où est-ce que toute cette mémoire est utilisé ?
Si vous souhaitez faire des économies au niveau utilisation de la mémoire, vous devez comprendre comment votre Mac consomme actuellement de la mémoire.
Heureusement, votre appareil de marque Apple a déjà accès à un outil puissant qui vous permet de contrôler exactement ce qui se passe avec votre RAM – cet outil s’appelle le moniteur d’activité.
Pour lancer le moniteur d’activité, ouvrez votre «Finder» et sélectionnez «Applications> Utilitaires> Moniteur d’activité». Assurez-vous que l’onglet «Mémoire» est sélectionné.
Cet onglet contient un graphique «Mémoire tampon», qui est l’endroit idéal pour commencer à analyser la façon dont votre Mac utilise la mémoire. Ce graphique, utilise des couleurs pour communiquer (en temps réel) l’état de la mémoire et si celle-ci est bonne ou mauvaise.
Vert. Des ressources de mémoire sont disponibles.
Jaune. Les ressources sont toujours disponibles mais elles sont actuellement utilisées par des processus de gestion de la mémoire tels que la compression.
Rouge. Votre Mac manque de mémoire et utilise votre disque dur pour la mémoire. Vous devez libérer de la mémoire dès que possible !
En approfondissant, à droite du graphique “Pression sur la mémoire”, vous trouverez «Mémoire utilisée», qui fournit des données exactes sur la quantité totale de mémoire consommée par vos applications et OS X.
Mais nous pouvons faire mieux que ça ! Le moniteur d’activité range ces données dans les catégories suivantes :
Mémoire physique disponible. La quantité totale de mémoire utilisée par les applications et leurs processus.
Memoire Résidente. En règle générale, c’est la mémoire nécessaire pour supporter les fonctions principales de votre ordinateur.
Memoire Compressé. Pour rendre plus de mémoire disponible pour d’autres processus, OS X compressera parfois des données dans la RAM, ou l’échange sur votre disque dur. En règle générale, si la mémoire compressée est égale ou supérieure à 20% de votre mémoire, cela suggère qu’il y a un problème et que vous devriez regarder combien d’applications et de processus fonctionnent actuellement sur votre machine.
Fichier échange utilisé. Bien qu’un petit nombre soit acceptable, si le moniteur d’activité affiche une valeur élevée Fichier échange utilisé (Swap Used en Anglais), cela indique que le système n’a pas assez de RAM pour répondre aux exigences des applications et des processus en cours d’exécution. Encore une fois, vous devriez examiner exactement ce qui se passe sur votre Mac – ce qui tombe a pic pour de notre prochaine section !
Mémoire de l’application. Quantité d’espace utilisée par les applications.
Bannissez les applications et les processus qui prennent de la mémoire
Vous pouvez avoir un MacBook avec les meilleures specs du marché, si vous disposez d’un tas d’applications en arrière-plan, votre Mac ne sera pas à la hauteur de son potentiel et va ramer : éventuellement, le meilleur ordinateur portable aura du mal à trouver suffisamment de RAM pour supporter toutes ces applications.
Bien que vous puissiez résoudre ce problème en achetant plus de barrettes de RAM, une alternative beaucoup plus facile (et moins chère) est de fermer toutes les applications dont vous n’avez pas besoin actuellement, en particulier si ces applications tirent sur votre mémoire.
Heureusement, l’onglet “Mémoire” du moniteur d’activité ne contient pas seulement des statistiques liées à la mémoire. Il affiche également toutes les applications et processus qui fonctionnent sur votre ordinateur portable, plus la quantité de mémoire utilisée par chaque application ou processus. Ceci est idéal pour identifier les éléments qui consomment de grandes quantités de mémoire et pour les fermer.
Comme un mot d’avertissement, cependant, il n’est pas toujours facile de déterminer ce qu’est un processus de son nom seul – qu’est-ce que kernel_task, de toute façon ? Et pourquoi a-t-il besoin de tant de mémoire ?
Vous devriez éviter de fermer un processus si vous ne savez pas exactement ce a quoi sert ce processus. Heureusement, il existe un moyen simple d’en apprendre davantage sur tout processus Mac : démarrez votre moteur de recherche préféré et faites des recherches, ce qui est souvent aussi simple que Google : «qu’est-ce que Kernel_task ?
Vous fermez généralement les applications de façon normale (en cliquant sur le bouton rouge dans le coin supérieur gauche), mais si une application refuse de répondre ou si vous terminez un processus, vous pouvez déclencher le fermer de force en sélectionnant cet élément dans votre moniteur d’activité, puis en cliquant sur le bouton ‘Forcer un processus a quitter’ (vers le haut à gauche de la fenêtre moniteur d’activité).
Le moniteur d’activité est un outil puissant, mais l’une des façons les plus efficaces d’assurer que vos applications ne prennent pas trop de mémoire, est d’être très sélectif quant aux applications que vous téléchargez en premier lieu.
Moins d’applications installées, signifie moins d’applications en cours d’exécution. C’est aussi une bonne idée de nettoyer votre MacBook de temps en temps, car cela permet de réduire le nombre d’applications, tout en libérant de la mémoire précieuse.
Faites le tri dans vos widgets
Si vous utilisez OS X 10.4 ou supérieur, vous avez certainement accès au tableau de bord. Bien que quelques widgets de tableau de bord bien sélectionnés puissent fournir un accès rapide et facile à toutes sortes de fonctionnalités utiles, ajouter trop de widgets à votre tableau de bord peut mettre la mémoire de votre Mac sous pression.
Si votre tableau de bord commence à paraître encombré, demandez-vous si vous utilisez vraiment tous ces widgets de façon quotidienne. Si vous ne le faites pas, vous voudrez peut-être les bannir du tableau de bord.
Désactiver l’option de redémarrage des applications
Depuis OS X Lion une fonctionnalité qui relance automatiquement les applications dans l’état ou vous les avez laissées est disponible sur votre mac. Si vous avez la mauvaise habitude de quitter votre navigateur sans fermer tous les onglets ouverts, vous avez probablement déjà rencontré une ouverture de safari entrainant la restauration de plusieurs onglets.
Bien que cette fonctionnalité puisse être utile, si vous laissez régulièrement les onglets ouverts ou quittez des applications comme Numbers sans fermer tout vos documents ouverts, toutes ces fenêtres supplémentaires peuvent avoir un impact négatif sur la mémoire de votre Mac.
Pour éviter que les applications ne se lancent avec plusieurs documents ou onglets déjà ouverts, accédez à vos “Préférences système …” et sélectionnez “Général”, puis «Fermez la fenêtre lorsque vous quittez une application».
Empêcher les applications de se lancer automatiquement
Une ou plusieurs applications semblent s’ouvrir automatiquement dès que vous démarrez votre Mac ?
Il y a deux raisons pour lesquelles cela se produit :
Vous avez laissé ces applications ouvertes lorsque vous êtes déconnecté.
Si vous avez l’habitude de vous déconnecter sans prendre le soin de tout fermer, vous souhaiterez peut-être que votre Mac ne restaure pas vos applis lorsque vous vous reconnectez la fois d’après.
Pour commencer a neuf, essayez de vous déconnecter de votre Mac, puis dans la boîte de dialogue “Êtes-vous sûr de vouloir ….”, Désélectionnez la case à cocher “Restaurer fenêtres lorsque vous vous connectez”.
Ces applications doivent être lancées automatiquement lors de la connexion.
Certaines applications se chargent de se lancer chaque fois que vous démarrez votre Mac, ce qui signifie que vous consommez de la mémoire supplémentaire dès le début !
Pour empêcher les applications de se lancer automatiquement, ouvrez vos «Préférences système» et sélectionnez «Utilisateurs et groupes». Sélectionnez votre compte dans le menu de gauche, puis sélectionnez l’onglet «Ouverture» pour accès a une liste de toutes les applications qui sont configurés pour être lancés automatiquement au démarrage. Essayez d’enlever autant d’éléments de cette liste que possible.
Faites vos mises à jour
Même si rester sur une ancienne version de OS X semble logique si vous êtes satisfait de la performance générale de votre Mac. Ce n’est pas nécessairement la meilleure option, car les versions plus récentes d’OS X présentent toutes sortes d’améliorations, dont certaines peuvent grandement influencer la façon dont votre Mac gère la mémoire. En règle générale, vous devrez toujours vous mettre a jour a la dernière version de OS X que votre Mac peut prendre en charge.
Cela s’étend également aux applications – les nouvelles versions peuvent améliorer la façon dont une application consomme de la mémoire, alors prenez toujours le temps d’installer toutes les mises à jour disponibles.
Les mises à jour permettent par ailleurs de boucher des failles de sécurité potentielles c’est la raison pour laquelle il est bon de les faire le plus régulièrement possible ! Mon conseil personnel et de faire très attention sur les « grosse » MAJ OSX qui peuvent entrainer des incompatibilités Hardware (très rare) mais surtout logicielles.
Désinstaller le Flash
La technologie Flash est connue pour consommer plus que sa juste part des ressources du système. La désinstallation du Flash il y a quelques années (vraiment avant la popularité des iPhones et l’adoption généralisée du HTML 5 sous la pression de Google et ses partenaires) avait vraiment un impact sur votre expérience de navigation sur le web, mais ces dernières années, l’utilisation du Flash a grandement diminué, celui-ci étant considéré comme vraiment trop lourd, trop lent et pas optimal si vous souhaitez référencer votre site web par exmple…
Ainsi, la navigation sur le Web sans Flash est désormais totalement faisable. Une solution facile est celle qui consiste à désinstaller le Flash de votre machine et d’utiliser Chrome uniquement lorsque vous avez besoin de Flash (Youtube par exemple). Google Chrome a intégré le Flash dans son navigateur afin de ne pas avoir à l’installer séparément.
Pour désinstaller le Flash sur votre télécharger le désinstallateur d’Adobe qui vous aidera dans ce procédé.
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Comment se faire remarquer (positivement !) par les influenceurs sur Twitter.
Si vous êtes convaincu qu’attirer l’attention des influenceurs sur Twitter sera bénéfique pour votre entreprise, et que vous avez pris le temps de chercher qui sont ces influenceurs, vous vous demandez peut-être ce qu’il faut faire ensuite.
Ils reçoivent des pitch et des demandes tous les jours, souvent sous forme de spam. Si vous voulez qu’on se souvienne de vous positivement, alors il faut bien faire les choses.
Heureusement, faire la cour aux influenceurs sur Twitter, ce n’est pas de la physique nucléaire. Tout le monde peut obtenir des résultats positifs avec un peu de travail.
Si vous voulez des résultats, montrez-vous sincère, pas désespéré. Click To Tweet
Suivez des influenceurs
Dans la vraie vie, si vous rencontrez quelqu’un qui vous intéresse, vous souriez et vous dites bonjour. Ou vous faites signe, s’ils sont loin. Sur Twitter, vous les suivez. C’est une bonne manière de commencer à établir une connexion. C’est une façon polie de leur faire savoir que vous appréciez ce qu’ils ont à dire. C’est aussi la première étape pour pouvoir établir la communication.
Si vous voulez aller plus loin, placez-les dans une liste Twitter pour pouvoir voir leur contenu en priorité dans le flux constant d’information de Twitter.
Retweetez du contenu qui vous parle
Une fois que vous commencez à suivre les influenceurs sur Twitter, continuez à construire une relation. On ne peut pas se contenter de sourire de l’autre côté de la pièce et attendre une amitié immédiate (sauf heureux hasard), en général pour cela, il faut communiquer.
Un retweet est un autre compliment virtuel subtil. Vous dites que vous appréciez leur contenu suffisamment que pour le partager avec votre propre audience. Partagez des choses qui vous tiennent à cœur, ne le faites pas juste pour le faire.
Vous pouvez aussi décider de retweeter avec ou sans commentaire personnel. SI vous le faites sans commentaire, alors la photo de l’influenceur se verra sur votre fil avec leur tweet tel qu’ils l’ont posté. Si vous ajoutez un commentaire, alors leur tweet original sera inséré et c’est votre photo et votre commentaire qui se verront sur le fil d’actualité.
Décidez ce qui est le mieux pour vos followers et ce qui ajoutera le plus de valeur à ce contenu.
Commenter des publications.
Une autre manière de construire des relations est de démarrer une nouvelle conversation. Plutôt que de partager passivement leurs tweets, engagez-vous dans un dialogue. Vous pouvez le faire nativement au sein de Twitter en cliquant sur « répondre ».
Vous pouvez aussi décider que vous voulez utiliser un outil pour vous y aider. Si vous travaillez en équipe sur vos réseaux sociaux, il peut être utile de suivre qui vous avez contacté et s’il faut transférer le contact à l’équipe. Agorapulse est parfait pour cela parce que vous pouvez aussi ajouter un flag pour vous assurer que vous reveniez plus tard sur la conversation, l’assigner à quelqu’un, ou grouper tous les commentaires en un seul endroit.
Partagez le contenu des influenceurs
Il est facile de cliquer sur le bouton ‘retweet’. Parfois trop facile. Si vous voulez qu’un influenceur sache que vous avez véritablement lu ce qu’il a publié, partagez son contenu directement depuis son site web. Trouvez des articles que vous aimez, même s’ils ont quelques mois, et partagez-le en mentionnant l’auteur.
C’est positif pour l’influenceur parce que vous l’aidez à faire remonter d’anciens contenus à la surface, et que vous donnez donc de la valeur à son contenu. Et c’est positif pour vous parce que vous partagez des choses qui ne sont pas partagées par tout le monde. En plus de la relation que vous construisez bien sûr.
Si vous voulez vraiment construire une relation avec quelqu’un, il faut faire vos devoirs. Click To Tweet
Pour simplifier ce processus, pensez à mettre en place une alerte Google avec le nom de l’influenceur, ou ajoutez son blog ou site à une liste que vous consultez régulièrement quand vous faites de la curation de contenu sur les réseaux sociaux.
Complimentez-les
Une mauvaise conception répandue à propos des influenceurs et qu’ils ne font pas attention aux « petits » utilisateurs des réseaux sociaux. La réalité, c’est que ces gens sont aussi des gens normaux. Ils ont besoin d’entendre qu’on apprécie leur travail. Ils sont satisfaits quand ils peuvent faire une différence.
Le plus important ici est d’être sincère. N’inventez rien – particulièrement rien de superficiel. Si vous aimez quelque chose qu’ils ont créé, dites-leur. S’ils ont eu un impact positif sur votre vie, partagez-le. On peut en faire trop, mais la plupart des gens n’en font pas assez.
Un compliment sincère peut améliorer la journée de n’importe qui. Click To Tweet
Améliorez leur vie
Toutes ces stratégies sont des choses que vous pouvez mettre en place pour apporter quelque chose aux influenceurs Twitter. C’est maintenant qu’il faut être créatif.
Faites attention aux petites choses, et donnez un coup de main quand vous le pouvez. Ils ont un webinar bientôt ? Partagez-le. Ils ont posé une question dont vous avez la réponse ? Envoyez-leur un message. Ils cherchent un fournisseur de service et vous avez quelqu’un à recommander ? Proposez-leur de les présenter.
Les réseaux sociaux sont basés sur la vie sociale. Les mêmes choses qui font que les gens vous trouvent bon, gentil et aidant dans le monde réel sont applicables en ligne aussi. On ne peut insister assez sur le fait que tout ceci doit être fait avec sincérité, ou cela se retournera contre vous. Personne n’aime que quelqu’un soit gentil juste pour obtenir quelque chose. Pratiquez l’empathie et l’attention dans votre vie quotidienne, autant que possible.
Qu’en est-il de vous ? Avez-vous construit des relations avec des influenceurs Twitter ? Comment êtes-vous entré en contact ? Dites-le nous dans les commentaires.
Cet article est traduit de l’original publié sur notre blog en Anglais par Rivka Kawano.
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