#de la version du vol que l’on connaît déjà ?
Explore tagged Tumblr posts
Text
Le 19.01.23 à 22h36
Ces gens parlent toujours d’aider l’humanité… mais quelle partie de l’humanité vont-ils favoriser ?
Qu’en sera-t-il du mérite ? Nos sociétés hiérarchiques (aussi dysfonctionelles puissent-elles parfois être) ne sont-elles pas fondée sur ce principe selon lequel, à partir du moment où tu disposes de capacités que tu développes, puis mets à profits, tu es censé pouvoir bénéficier d’avantages qui en découlent ? N’est-ce pas le but des concours, des épreuves sportives, des compétitions ?
Pourquoi devrions-nous tous-tes avoir accès aux mêmes avantages, plutôt que d’avoir chacun-e nos avantages, et nos inconvénients ?
Est-ce que j’ai envie d’obtenir le mérite auquel un charpentier, un maçon, un médecin ou un avocat a accès parce qu’on m’offre soi-disant la possibilité d’utiliser une machine qui me permettrait de faire ce qu’ils font ? Non ! Je ne mérite pas les avantages qu’ils obtiennent car je ne m’en suis pas rendu digne, point.
Ce monde devient si incompréhensible, tout d’un coup, et là, j’admet que ça me dépasse. Totalement.
Quel plaisir y-a-t-il à disposer de choses alors qu’on n’a rien fait pour en mériter l’utilisation, et en quoi est-ce différent du vol, de la version du vol que l’on connaît déjà ?
N’est-ce pas du vol que d’absorber les compétences des autres pour les utiliser comme bon nous semble ? Je trouve ça dégueulasse, tout simplement dégueulasse, en plus d’être peu humain, ou, du moins, en plus d’être le genre d’attitude qui me fait parfois avoir honte d’être de ce groupe.
22h43.
#Ces gens parlent toujours d’aider l’humanité… mais quelle partie de l’humanité vont-ils favoriser ?#Qu’en sera-t-il du mérite ? Nos société hiérarchiques ne sont-elles pas fondée sur ce principe selon lequel#à partir du moment où tu disposes de capacités que tu développes#puis mets à profits#tu es censé pouvoir bénéficier d’avantages qui en découlent ? N’est-ce pas le but des concours#des épreuves sportives#des compétitions ?#Pourquoi devrions-nous tous-tes avoir accès aux mêmes avantages#plutôt que d’avoir chacun-e nos avantages#et nos inconvénients ?#Est-ce que j’ai envie d’obtenir le mérite auquel un charpentier#un maçon#un médecin ou un avocat a accès parce qu’on m’offre soi-disant la possibilité d’utiliser une machine qui me permettrait de faire ce qu’ils#point.#Ce monde devient si incompréhensible#tout d’un coup#et là#j’admet que ça me dépasse. Totalement.#Quel plaisir y-a-t-il à disposer de choses alors qu’on n’a rien fait pour en mériter l’utilisation#et en quoi est-ce différent du vol#de la version du vol que l’on connaît déjà ?#tout simplement dégueulasse#du moins#pensées#réflexions
0 notes
Text
Les grandes dates du Bitcoin (2007-2017)
Publié en 2009 par un certain Satoshi Nakamoto, le Bitcoin est relativement jeune. Cependant, son histoire est déjà remplie de dates et événements marquants. Dans cet article, nous vous proposons de découvrir les grandes dates qui ont marqué l’histoire du Bitcoin.
Création en 2007
Satoshi Nakamoto a commencé à travailler sur le concept autour du Bitcoin dès 2007. Alors que son patronyme semblerait indiquer qu’il vient du Japon, il se pourrait que le père fondateur du Bitcoin ne soit pas seul à l’origine de la technologie mais qu’en réalité plusieurs personnes se cachent derrière la création du Bitcoin. Le document original décrivant le Bitcoin peut d’ailleurs toujours être consulté.
Publication début 2009
Le nom de domaine bitcoin.org est déposé le 18 Août 2008. Dès lors, tout s’enchaîne et le livre blanc décrivant le Bitcoin en tant que Système de monnaie électronique pair-à-pair est publié le 31 Octobre 2008. Nous vous invitons d’ailleurs à le consulter. Le premier bloc de la Blockchain Bitcoin (le bloc 0) est miné le 3 Janvier 2009. Enfin, la version 0.1 de la Blockchain Bitcoin est mise à disposition du grand public le 9 Janvier 2009.
Première transaction le 12 Janvier 2009
La première transaction en Bitcoin a lieu le 12 Janvier 2009 dans le bloc 170 entre Satoshi Nakamoto et Hal Finney, un développeur et célèbre activiste du monde de la cryptographie. L’année 2009 sourit au Bitcoin avec la fixation d’un taux de change par rapport au dollar le 5 Octobre 2009 par New Liberty Standard. Une équation incluant le coût de l’électricité pour générer des Bitcoins permet de définir qu’un dollar Américain correspond à 1,309.03 BTC.
Première plateforme d’échange le 6 Février 2010
La toute première plateforme d’échange permettant de convertir du dollar en Bitcoin est lancée le 6 Février 2010. Il s’agit de Bitcoin Market créé par l’utilisateur Dwdollar. Pour de plus amples informations sur cette plateforme, il est intéressant de visiter la page dédiée sur le site Bitcoin Wiki concernant Bitcoin Market.
Achat de pizzas contre 10,000 BTC
Compte tenu de la valeur actuelle du Bitcoin, cela peut paraître assez incroyable mais une des premières transactions en Bitcoin négociées par des particuliers concernait l’achat de deux pizzas par des particuliers. L’achat a été réalisé sur le forum bitcoin et les pizzas furent délivrées par Papa John’s Pizza aux États-Unis le 22 Mai 2010. A titre de comparaison, au 19 Décembre 2017, pour le même nombre de Bitcoin, ces utilisateurs seraient en possession de plus de 180 millions de dollars !
La capitalisation dépasse le million de dollars
La capitalisation en dollars est calculée en multipliant le nombre de Bitcoins en circulation par le cours du Bitcoin en dollars sur les plateformes d’échange. Le 6 Novembre 2010, la capitalisation du Bitcoin en dollars dépasse ainsi le million de dollars sur la plateforme MtGox. A ce moment-là, 1 Bitcoin vaut 0.50 USD.
Première transaction sur mobile en Bitcoin
La première transaction de mobile à mobile en Bitcoin se produit le 8 Décembre 2010 quand un certain Ribuck envoi à un dénommé Doublec 0.42 BTC en utilisant l’application BitcoinD.
25% des Bitcoins sont générés au 28 Janvier 2011
Suite à la génération du bloc 10500 le 28 Janvier 2011, 5.25 million de Bitcoins ont été générés. Ainsi, 25% du nombre total de Bitcoins pouvant être générés sont en circulation. Pour rappel, le nombre maximum de Bitcoins qui seront disponibles est de 21 millions. Ce chiffre devrait être atteint en 2140 selon les dernières prévisions.
Parité avec le Dollar puis avec l’Euro
Le Bitcoin atteint la parité avec le dollar le 9 Février 2011. Dans la foulée, il lui faut tout juste 2 mois pour atteindre la parité avec l’Euro le 23 Avril 2011 sur la plateforme MtGox. A ce moment-là, la capitalisation du Bitcoin atteint les 10 millions de dollars américains.
La difficulté pour générer des Bitcoins s’accroît
Comme prévu par son créateur, la difficulté pour générer des Bitcoins s’accroît au fur et à mesure que le nombre de Bitcoins disponibles se restreint. Avec la génération du bloc 133056 le 24 Juin 2011, la difficulté de génération de nouveaux Bitcoins passe la barrière du million pour la première fois.
Le Bitcoin dépasse les 6 dollars le 1er Janvier 2012
En début d’année 2012, le Bitcoin est valorisé 6.18 dollars.
Les hacks de plateformes se multiplient
Le Bitcoin prenant de la valeur, il devient une cible de choix pour les hackers de tous bords. Durant l’année 2012, de nombreuses plateformes d’échange se font ainsi hacker et les affaires se multiplient ce qui érode la confiance du public pour cette nouvelle monnaie. Ceci explique notamment que le Bitcoin peine à redécoller au cours de l’année 2012. C’est au cours de cette même année que la plateforme Coinbase est fondée à San Francisco. Il s’agit toujours à l’heure actuelle d’une des solutions d’échange et de portefeuille de stockage les plus utilisées.
Le Bitcoin atteint à nouveau les 30 dollars
Après une année 2012 délicate, le Bitcoin repasse au-dessus de la barrière des 30 dollars américains le 22 Février 2013 et ce pour la première fois depuis 2011. C’est au cours de ce même mois que la plateforme Coinbase revendique la vente de plus de 1 million de dollars de Bitcoin sur un seul mois. Bien entendu, il s’agit là d’un record.
Le cours du Bitcoin s’envole
L’année 2013 marque un tournant pour le Bitcoin dont le cours s’envole pour atteindre le montant record de 1147.25 USD le 4 Décembre 2013. C’est au cours de cette année 2013 également que l’on parle de plus en plus du Bitcoin comme une bulle spéculative. Cet article détaillant les grandes dates du Bitcoin de 2007 à 2013 s’achève par une belle illustration du Bitcoin comme bulle spéculative réalisée par le site StoneToss.
L'utilisation du Bitcoin se répand
En Janvier 2014, Zynga annonce son intention de tester l’utilisation du Bitcoin pour les achats intégrés au sein de 7 de ses jeux tournant sur Android et iOS. Dans la foulée, certains casinos de Las Vegas comme le D Las Vegas Casino Hotel ou le Golden Gate Hotel & Casino annoncent qu’ils commencent à accepter des Bitcoins. L’utilisation du Bitcoin commence donc à se répandre.
Le crash de MtGox à partir de Février 2014
Au début du mois de Février 2014, MtGox, une des plateformes d’échange comptant parmi les plus importantes, suspend les retraits invoquant un certain nombre de problèmes techniques. A la fin de ce même mois, MtGox demande une mise sous protection auprès de la justice Japonaise pour raison de faillite du fait du vol de 850000 bitcoins ! L’histoire de MtGox et de sa faillite constitue une leçon dure et amère pour tous les acteurs de la Blockchain Bitcoin sur l’importance de la sécurité pour assurer la pérennité de la technologie.
Une année 2014 en dents de scie
Après avoir atteint des sommets fin 2013, le réseau Bitcoin se renforcer tout au long de l’année 2014 avec les annonces de plus en plus nombreuses d’acteurs acceptant le Bitcoin comme moyen de paiement que ce soit dans des magasins physiques ou dans des magasins virtuels comme sur les plateformes de Microsoft à compter de Décembre 2014. Cette année 2014 marque également la sortie d’un documentaire sur le Bitcoin "The Rise and Rise of Bitcoin".
Au niveau du cours, le Bitcoin connaît une année en dents de scie marquée par des hauts et des bas mais toujours bien en dessous du sommet atteint fin 2013. Le Bitcoin clôture ainsi l’année 2014 avec un cours aux alentours des 300 dollars américains.
Coinbase lève 75 millions de dollars en Janvier 2015
Malgré l’échec de MtGox, les plateformes d’échange de Bitcoin continuent de se multiplier et Coinbase lève ainsi 75 millions de dollars américains en Janvier 2015. Il s’agit alors d’un record pour une compagnie dont l’activité principale est le Bitcoin. Il est bon de noter que ce record sera battu dès Mars 2015 par 21 Inc qui annonce une levée de fonds de près de 116 millions de dollars !
160000 marchands acceptent le Bitcoin en Août 2015
En Août 2015, le Bitcoin est désormais supporté par 160000 marchands. Au Royaume-Uni, l'établissement bancaire Barclays annonce alors qu’ils deviennent le premier établissement bancaire à accepter le Bitcoin comme moyen de paiement.
Entrée du Bitcoin dans les symboles Unicode
Devant le succès rencontré par le Bitcoin, il est proposé à nouveau en Octobre 2015 qu’un code Unicode spécifique soit créé pour le symbole du Bitcoin. Finalement, le symbole du Bitcoin est intégré à Unicode 10.0 en Juin 2017 via le code suivant : U+20BF . Le refus rencontré pour l’ajout du symbole Bitcoin en 2011 n’est désormais plus qu’un lointain souvenir.
Le réseau continue de croître en Janvier 2016
Les 100 petahash par secondes furent dépassés en Juin 2014. Moins de 2 ans après, en Janvier 2016, le réseau Bitcoin dépasse désormais 1 exahash par seconde. La croissance du Bitcoin continue à un rythme effréné.
Début de reconnaissance du Bitcoin au Japon en Mars 2016
Le Cabinet du Japon, qui est la branche exécutive du gouvernement du Japon, reconnaît les monnaies virtuelles en Mars 2016. De quelle manière ? Le Cabinet du Japon reconnaît simplement que les monnaies virtuelles ont une fonction similaire aux monnaies réelles. La reconnaissance du Bitcoin comme moyen de paiement légal au Japon est en bonne voie suite à ce début de reconnaissance.
L’intérêt pour le Bitcoin continue de croître
L’année 2016 aura confirmé la tendance observée depuis la création du Bitcoin. La monnaie virtuelle de référence connaît un intérêt croissant et les recherches Google ne cessent d’augmenter. En outre, les articles publiés sur la plateforme Google Scholar sont passés de 83 en 2009 à 3580 en 2016 !
Le Japon reconnaît officiellement le Bitcoin début 2017
Le nombre d’entreprises acceptant le Bitcoin continue à croître. Au Japon, cet accroissement est même encore plus important. Le Bitcoin gagne en légitimité début 2017 lorsque le Japon vote une loi afin d’accepter le Bitcoin comme un moyen légal de paiement. Dans la foulée, la Russie annonce qu’elle va légaliser l’usage des monnaies virtuelles telles que le Bitcoin. Enfin, la banque la plus importante de Norvège intègre des comptes en Bitcoins.
Une année 2017 faite de records
Alors que l’intérêt des développeurs est toujours plus important pour le Bitcoin avec plus de 10000 projets sur GitHub, l’année 2017 est faite de records. La monnaie Bitcoin passe ainsi les 2000 dollars en Mai, les 3000 dollars en Juin, les 4000 dollars en Août, les 5000 dollars en Septembre avant de connaître un emballement phénoménal à la rentrée pour atteindre les 17900 dollars le 15 Décembre 2017 !
Pour la petite histoire, il est bon de préciser que dans la foulée le Bitcoin perd un tiers de sa valeur pour tomber à 13800 dollars et ce en moins de 24 heures ! Le caractère hautement volatile du Bitcoin est encore une fois confirmé.
Bitcoin Cash : un concurrent de taille ?
Le 1er Août 2017, le Bitcoin est partagé en deux monnaies digitales dérivées. Le Bitcoin classique reste le BTC et le Bitcoin Cash, répondant au nom de code BCH. Ce dernier visant à s’affranchir des limites techniques du Bitcoin. Cet évènement est connu en tant que "Bitcoin Cash hard fork". Les premiers pas du Bitcoin Cash semblent prometteurs avec une capitalisation atteignant les 50 milliards de dollars à fin 2017. Néanmoins, le Bitcoin Cash demeure encore loin du Bitcoin qui présente une capitalisation située entre 250 et 300 milliards de dollars à fin 2017.
1 note
·
View note
Text
SDCC 2019 : Les super-héroïnes au cœur de la phase 4 du Marvel Cinematic Universe
Du 18 au 22 juillet se tenait la San Diego Comic Con, comme chaque année, qui est l’occasion pour de nombreux acteurs de la pop culture de lâcher un certain nombre d’informations voire de visuels.
Cette année, Marvel n’y a pas été de main morte avec l’annonce complète de la phase 4 du Marvel Cinematic Universe ! On fait le point sur tout ce qui concerne nos super-héroïnes.
Le programme de la phase 4 du MCU était attendu depuis un moment, encore plus après la sortie d’Avengers: Endgame en avril dernier. On sait désormais à quoi s’attendre, et la phase ne durera que 2 ans, entre 2020 et 2021.
Black Widow (Mai 2020)
C’est donc la regrettée Natasha Romanoff qui ouvrira la phase 4 l’an prochain avec son film solo, 10 ans après son introduction. Le tournage a commencé il y a quelques temps déjà, et Marvel Studios en a profité pour projeter un premier teaser à l’audience, qui n’a pas été rendu public pour le moment.
On y retrouvera Black Widow juste après les évènements de Captain America: Civil War (2016), et elle côtoiera sa sœur de cœur Yelena Belova (incarnée par Florence Pugh), également espionne entraînée par la Chambre Rouge. Le super-vilain Taskmaster devrait être introduit en tant que grand antagoniste du film. Un concept art officiel d’Andy Park a été révélé par l’artiste, où Black Widow l’affronte au corps à corps.
Une partie du film devrait également révéler ce qu’il s’est passé à Budapest, une référence affectionnée de Black Widow et son acolyte Hawkeye.
The Eternals (Novembre 2020)
Depuis quelques mois, on entendait régulièrement parler des potentielles têtes d’affiche pour ce film. On connaît désormais, en plus du logo, les acteur·rices principaux·ales. Notons que le casting est mixte et paritaire (c’est-à-dire au moins 50% de femmes) ! C’est suffisamment rare pour être relevé. Voici la liste :
Angelina Jolie : Thena
Richard Madden : Ikaris
Salma Hayek : Ajak
Kumail Nanjiani : Kingo Sunen
Lauren Ridloff : Makkari
Tyree Henry : Phastos
Lia McHugh : Sprite
Ma Dong-Seok : Gilgamesh
Cet article d’IGN devrait vous aider à faire connaissance avec les Éternels, êtres humains qui ont fait l’objet d’expérimentations par les Célestes. Aucun détail n’a encore été révélé sur ce dont traitera le film, en-dehors du fait que l’un des personnages sera ouvertement queer (lesbienne, gay, bi, trans ou intersexe) et que Lauren Ridloff étant sourde, son personnage l’est aussi.
Toutefois, un premier concept art a été révélé, où l’on voit les gigantesques Célestes fouler le sol d’une planète, probablement la Terre, du haut de leurs milliers de mètres de taille.
WandaVision (Printemps 2021)
Déjà confirmée officiellement il y a quelques mois lors de la présentation de la future plateforme Disney+, WandaVision se précise un peu. On a désormais une date ainsi qu’un logo probablement définitif, mais on a aussi appris 2 surprises !
La première, c’est que Monica Rambeau, adulte, fera partie du casting, et sera interprétée par Teyonah Parris, que vous avez peut-être découverte dans Dear White People (2014) ou Chi-Raq (2015). Rappelons que Monica étant une super-héroïne ayant porté le nom de Captain Marvel 30 ans avant Carol Danvers dans les comics, on peut espérer que ses pouvoirs seront révélés et qu’elle sera amenée à vivre des aventures avec les Avengers ou pourquoi pas les Gardiens de la Galaxie à l’avenir.
La seconde, c’est que WandaVision débouchera directement sur Doctor Strange in the Multiverse of Madness (Mai 2021). On ne sait pas encore exactement comment bien entendu, mais cela aura probablement à voir avec les pouvoirs de Scarlet Witch. Dans Avengers: Infinity War puis Avengers: Endgame, on a découvert sa puissance brute, mais dans les comics, elle est capable d’altérer la réalité comme dans l’évènement mythique House of M (attention, c’est un lien vers une fiche Wikipédia, ce n’est pas spoiler-free !).
Hawkeye (Automne 2021)
Depuis l’annonce du lancement de Disney+, de nombreux projets ont été évoqués dans la presse pour de potentielles séries du Marvel Cinematic Universe. Hawkeye en faisait partie et vient d’être officialisée !
Comme l’on pouvait s’en douter, la série suivra Clint Barton et Kate Bishop, qui se font chacun·e appeler Hawkeye. Kate a été introduite dans les comics Young Avengers il y a bientôt 15 ans, et depuis, a eu un comics en duo avec Clint puis une série en solo. Elle fait partie des héroïnes les plus attendues dans le MCU.
Pour le moment, Marvel Studios ne semble pas avoir recruté l’actrice qui interprétera Kate Bishop à l’écran, mais ça ne saurait tarder.
Thor: Love and Thunder (Novembre 2021)
C’est LA surprise de taille de cette Comic Con ! Quelques jours avant le panel de Marvel, le 4ème film Thor était semble-t-il confirmé... Et Kevin Feige a annoncé au monde entier que Thor: Love and Thunder ferait de Jane Foster la nouvelle Thor !
Marvel Studios s’inspirera ainsi du run de Jason Aaron sur la Déesse du Tonnerre, disponible en 7 tomes en VF, qui a rencontré un certain succès, apparemment au point d’être bientôt adapté au cinéma seulement 7 ans après avoir été lancé. Là aussi, cette version de Thor était très plébiscitée par les fans.
Taika Waititi, réalisateur de Thor: Ragnarok et bientôt Thor: Love and Thunder, tend Mjölnir, le marteau de Thor, à Natalie Portman, interprète de Jane Foster
Et puisqu’une bonne nouvelle ne suffit pas, Tessa Thompson a elle-même confirmé sur la scène du panel que sa Valkyrie, désormais reine de la Nouvelle Asgard, devrait “trouver sa reine” dans Thor: Love and Thunder. L’héroïne sera donc enfin canoniquement bisexuelle, comme cela aurait dû être le cas depuis Thor: Ragnarok (2017), la scène concernée ayant été supprimée.
On s’en sort donc avec 2 séries et 3 films de super-héroïnes pour la phase 4 du MCU ! Autant dire que cela promet beaucoup de belles choses pour l’avenir.
Et après 2021, alors ?
Si le panel s’est concentré sur les films et séries de la phase 4 du MCU, Kevin Feige en a tout de même profité pour teaser la suite.
Il est ainsi confirmé que Captain Marvel 2, Black Panther 2, Les Gardiens de la Galaxie Vol.3, mais aussi l’arrivée des mutant·es et des 4 Fantastiques sont actuellement en développement. Il est probable que des informations plus précises ou d’autres projets de la phase 5 soient révélés en août prochain lors de la convention D23. Alors restez branchés !
Sources : Marvel Studios, DiscussingFilm
Captain Chocolatine
#marvel cinematic universe#marvel#mcu#sdcc#black widow#the eternals#wandavision#thor#jane foster#valkyrie#hawkeye#monica rambeau#captain chocolatine#scarlet witch
2 notes
·
View notes
Text
9 Discussions de TED que toute personne travaillant dans épicerie bio nimes devrait regarder
Produits Bio Pour Une Alimentation Saine Et Équilibrée
Une gamme exclusive d'aliments diététiques à base d'ingrédients naturels de l'agriculture biologique pour une bonne énergie. Fabricant, 100% circuit court, en vente directe exclusivement sur notre site. Amandine Chapron a ouvert, mardi 9 février 2021, sa première boutique, une épicerie bio répondant au nom de Cueillette, au numéro 20 de la rue Ange Fontan, dans le quartier de Paramé, à Saint-Malo. Amandine Chapron vient d'ouvrir l'épicerie bio « Cueillette », dans le quartier de Paramé, à Saint-Malo. Le régime One Healh est une alimentation respectueuse de la santé de l'environnement et de notre santé.
Elle recense les commerces zéro déchet en France et à l'étranger.
Certes j’aurais pu prendre une disponibilité de trois ans, mais je sentais que cette option me bloquerait dans mon projet, dans l’obtention de certaines aides, voire le choix de mon statut».
Afin de prévenir le gaspillage alimentaire, nous avons mis en place la précommande sur des produits à date courte.
Vous pourrez retirer vos courses Zéro Déchet au local à Ostheim mais également dans notre point relais à Lapoutroie.
Si la start-up « ne veut pas faire de la croissance pour faire de la croissance », elle va franchir cette année une nouvelle étape.
Les magasins bio en ligne sont désormais nombreux sur internet, ils complètent l'offre du magasin bio de proximité, vous n'avez que l'embarras du choix pour vos courses en ligne et livraisons à domicile. La plupart des boutiques bio sont des magasins d'achat-revente, ils ne fabriquent pas, ils achètent des produits bio qui sont ensuite simplement livrés chez vous. Ces commerces sont constitués d'indépendants ainsi que de réseaux, certains étant détenus par des grandes surfaces et multinationales, parmi elles, Greenweez qui appartient au groupe Carrefour, Naturalia, enseigne du groupe Casino. Panier Confiance est spécialisé dans la livraison à domicile de produits alimentaires diététiques naturels, de cosmétiques et de produits d'hygiéne.
Spirale Hivernale (légumes, Bacon Et Pesto Anti
“L’entreprise a été créée en août et le site est en ligne depuis le 16 décembre“, annoncent Joachim et Mélanie, fervents défenseurs du zéro déchet et co-fondateurs du concept. Ex-animatrice pour enfants et ancien directeur de projet informatique, ils sont en totale reconversion pro. “Au niveau des valeurs, je ne m’y retrouvais plus, alors que là, on évolue dans un secteur très bienveillant“, lance Joachim.
Ce soin composé d’hydrolat de verveine bio, de miel et de petit grain tonifie votre épiderme tout en le débarrassant des impuretés. Découvrez ces gressins biologiques au sésame provenant des Alpes de Haute-Provence. Cuisinez ces oignons doux produits tout près de chez nous au coeur des Cévennes pour accompagner vos sauces dans vos plats préférés.
Après avoir eu une prise de conscience de nos habitudes de consommation nous nous sommes intéressés au « zéro déchet ». Remarquant peu d’offres dans la région, nous avons décidé de créer le premier drive zéro déchet dans notre ville, afin de proposer une solution simple et rapide, pour que les gens puissent consommer mieux. Une fois la commande passée en ligne sur le site de Vrac Drive, l’équipe préparera le colis. Les clients pourront ensuite récupérer leurs achats au 471 rue de Quesnoy à Wambrechies, dans la zone commerciale du supermarché Match.
C’est également une épicerie vrac et un lieu où sont exposées de nouvelles oeuvres d’artistes locaux tous les deux mois. Une véritable caverne d’Ali Baba où on trouve des produits aussi utiles qu’insolites. Nous réinventons votre façon de faire les courses, venez passer un agréable moment dans nos boutiques, vous y trouverez tout ce dont vous avez besoin, des produits les plus classiques aux plus originaux.
Wow super projet, merci de nous le présenter et partager tout cela. Il arrive que les petits producteurs n’aient pas la production suffisante pour nous livrer. Nous sommes contraintes de nous fournir en Italie (bon, ce n’est pas très loin mais tout de même) alors que nous avons un producteur à proximité. Nous avons trouvé de nombreux producteurs mais je voulais partager avec vous les différents « challenges » que nous avons rencontrés.
Epicerie Vrac, Presque Zéro Déchet, Dans Les Weppes
Les fournisseurs ayant des franco très réduits pratiquent en revanche généralement des prix de vente plus élevés, impactant le coût du transport dans ces derniers. Lorsque le commerçant s’installe ou opère son commerce, ce dernier a à cœur de ne pas détruire trop de produit. À ce titre, la démarque, qu’il s’agisse de produits périmés, de vols ou de casse peut atteindre jusqu’à 4 % du chiffre d’affaires si l’on n’y prête pas attention. Se faire plaisir et contribuer à son bien-être avec des produits riches, sains, équilibrés mais aussi accessibles au plus grand nombre, voici le fer de lance de Planète Bio. Pour répondre à vos besoins en termes de santé et bien être, nous vous proposons aussi une large gamme de produits en compléments alimentaires et cosmétiques naturels.
En effet, outre leur impact, faible mais bien réel, ce type de gestes encourage les acteurs qui participent à l’élaboration d’un autre modèle. Ils sont aussi souvent un premier pas des citoyens, qui les amènera à s’intéresser à des problématiques plus complexes, et donc à instaurer un rapport de force. Action écologique individuelle et collective sont ainsi deux parties essentielles d’un projet révolutionnaire global, qui peut commencer par refuser le modèle de consommation dominant. Une solution qui profite à des consommateurs en quête de sens, ainsi qu’aux producteurs qui y voient une autre façon de distribuer leurs produits. Près de 125 producteurs de la région toulousaine travaillent aujourd’hui avec la jeune marque.
Un avantage particulièrement adapté en cette période de pandémie pour réduire les risques de transmission de la Covid. Tout le monde connaît le concept de « drive » qui consiste à réaliser ses courses sur internet pour ensuite les récupérer au magasin.
Reprendre Une Épicerie En Vrac
Cet ingénieur agronome, passé par l’industrie agroalimentaire avant de se lancer dans l’économie circulaire, se tourne en 2017 vers l’entreprenariat pour « changer le monde à petite échelle ». L’initiative du drive zéro déchet intègre d'ailleurs le parcours entrepreneur de Ticket for Change, association qui accompagne l’éclosion d’innovations sociales. Le lieu est ouvert, le stockage visible et le tout forme un ensemble vertueux. Les produits sont locaux (Drome-Ardèche) et couvrent une belle partie des besoins quotidiens. Paul et Anaïs Rayon, couple d’ingénieurs en agriculture, vont ouvrir en septembre le Clic à Vrac, un drive zéro déchet dans la zone artisanale de la Croix Cadeau à Avrillé. Rien de plus simple que de choisir le drive en pot pour faire ses courses rapidement et en toute transparence. Pour cela, il vous suffira de passer commande en amont via le site internet.
L’idée m'est venue aussi, car sur les marchés on trouve presque tous sauf ce que je propose. Avant le vrac était normal, les petites épiceries qui sillonnent les villages j’adore, et le contact avec les clients." Elle s’emploie par ailleurs à sensibiliser les autorités européennes à l’intérêt de promouvoir l’usage du vrac au sein de l’Union. https://www.la-brouette-occitane.com « On aura les fromages, la crème et les yaourts de Chez Fanch, les légumes de la ferme du Rheu maraîchers et la boucherie le Coin du goût, qui a déjà un magasin de producteurs et travaille avec des fermes situées autour de Rennes. Des animations et des ateliers dédiés au mode de vie zéro déchet sont organisés par nos soins. Nous avons fait le choix d’être une épicerie indépendante afin d’être libres de choisir nos producteurs et ainsi mieux connaître leurs méthodes de production.
Nous privilégions aussi les produits locaux et les circuits courts, comme vous pourrez le voir sur la carte de nos producteurs dans nos 2 boutiques. Dans une camionnette spécialement aménagée et nommée Markus, elles proposeront de l'épicerie sèche alimentaire en vrac, des produits d'hygiène en version solide, des produits d'entretien en vrac ainsi que des accessoires. Des produits issus du circuit court, en majorité locaux et made in France.
Parce que nous estimons que la santé n’est pas négociable, nous proposons une gamme de produits 100% bio. Son grand magasin vrac ouvrira au 5 rue de la Chaussée, au nord de Rennes (sur la commune de Saint-Grégoire), plus précisément près du parking du magasin Gifi adjacent et de l’avenue Gros-Malhon.
youtube
0 notes
Text
Hé voilà !! Mais qu’est-ce qu’il se passe d’ici les derniers jours ? Du plagiat dans l’art tout simplement ! Et sous plusieurs formes !
Ceci n’est pas un débat mais un fait, exemple : la terre est une planète ! Pas une étoile ! C’est un fait actuel.
Autre fait ! Je suis née sur terre, pas sur Mars ! Il n’y a pas de débat car c’est un fait. Faites de même ici. Toutes mes références seront à la fin de mon poste
Qu’est-ce que le Plagiat dans l’art ?
Définition du plagiat en droit français :
«Le Plagiat est une faute d’ordre moral, civil ou commercial, qui peut être sanctionnée au pénal, elle consiste à copier un auteur ou accaparer l’œuvre d’un créateur dans le domaine des arts sans le citer ou le dire, ainsi qu’à fortement s’inspirer d’un modèle que l’on omet, délibérément ou par négligence, de désigner. Il est souvent assimilé à un vol immatériel.»
C’est très facile de s’y renseigner de nos jours sur internet ! Il est simple, l’image ne vous appartient pas ? Ne vous l’appropriez ! Une image que vous copiez ne vous appartient pas ? Si vous la copiez quand même citer les auteurs ! Mais au nom de quoi … du respect.
Exemple vue cette semaine sur l’amino :
Le plagiat dans l’art soit un vol du dessin nommé Ink Angel de l’artiste Sakimichan !
Nous même, nous avons été récemment plagié par un imposteur ! Plus précisément l’auteur du tuto sur les poitrines : Bax ! Quel surprise il a eu lorsqu’il a vue son dessin dans un groupe dans lequel il est…
Le plus fort dans tout ca, c’est que le tuto explique comment réaliser ce personnage : C’est vraiment de la mauvaise fois à l’état pur… Pourquoi s’embêter à créer lorsque l’on peut voler.
J’espère que vous ne vivrez jamais ce sentiment d’injustice ! Ici, nous veillons à ce que ce ne soit pas le cas ! Ne pas prendre une image et la faire passer pour la sienne (dans une société de l’image comme la nôtre c’est important !). C’est du vol et c’est puni par la loi.
Tu peux demander à l’artiste si tu peux acheter les droits de l’image pour la mettre en fond d’écran mais si tu le fait tu achètes UNE image, pas ses droits d’auteurs !
Qu’est-ce que la copie et est-ce du plagiat dans l’art ?
Beaucoup estiment que la copie n’est pas une bonne chose, aussi je répondrais « ça dépend ».
Ahh la réponse facile ! Dans les écoles d’arts (la mienne par exemple) o.mn nous fait faire des copies de tableaux connu ! En nous faisant utiliser la même technique ! Quoi de mieux de confronter la problématique d’un artiste qu’en nous mettant à sa place ? Copier intelligemment et avec réflexion peut vous permettre d’apprendre ! Mais bien sûr, l’évolution tél qu’on la connaît vas vite vous montrer qu’il faudra tôt ou tard vous en passer !
« J’ai piqué toutes ces actions à des très grands joueurs. Je veux seulement faire honneur à ceux qui étaient là avant moi, parce qu’ils m’ont beaucoup appris. J’ai fait ça au nom du sport, un sport qui est infiniment plus important que moi »
Kobe Bryant
Ce qui est du plagiat dans l’art … ne pas citer ses sources, ne pas copier mais décalqué = plagiat.
Car oui, la copie est très utilisée pour s’entraîner ! Mais dans ces cas-là on cite sa provenance, c’est comme cela que l’on respecte les droits d’auteurs à ce stade. On en effectue des copies d’entraînement en cours ! (On active la mémoire du corps haha) La copie de technique permet principalement d’acquérir des savoirs ! Le décalquage est une rapine pure et dure ! Autant photocopier !
Résumé :
D’un côté on a … copier bêtement sans penser à la technique, ne pas citer ses sources (faire passer le dessin pour une création de soi) et/ou le vendre à son compte = plagiat (et contre façon s’il y a vente)
De l’autre on a … copier pour s’entraîner, citer les sources (car on prend des images d’artiste qu’on aime donc on les respects !) acquérir les connaissances grâce à cet entraînement, ne pas vendre l’image.
Image provenant du Tchat publique dans l’Amino Dream then Draw.
En quoi est-ce mal ? La membre ici jurais que le dessin (de gauche) était de son invention. Puis, qu’elle ne l’avait pas décalqué.
[A VOIR POUR COMPRENDRE]
Cliquez ici pour voir le Gif de la vidéo avec le dessin superposé. Oui ma vidéo n’est pas de très bonne qualité ! Mais elle est disponible Via un lien vers mon cloud !! Au début il s’agit du dessin d’une membre, puis du dessin original !
La main humaine ne peut reproduire avec exactitude un dessin, il est donc fort probable de repérer un décalquage en remettant le dessin sur son modèle… d’ailleurs la faiblesse du décalquage est le manque de détail (les petits détails peut visible quand on décalque) la main qui est un élément principal que la personne a « oublié » !
Petite citation :
« Servez-vous : c’est ce que nous voulons. Piquez-nous des trucs quand vous commencez, parce que vous ne pouvez rien nous voler. Vous ne faites que prendre ce que nous vous donnons pour l’intégrer à votre propre voix. C’est comme ça que vous trouverez la vôtre. Faites ça et, un beau jour, c’est à vous que quelqu’un d’autre viendra piquer des trucs ».
Francis Ford Coppola
L’inspiration est-elle du plagiat ? Si ce n’est pas le cas, qu’elle est la différence entre les deux ?
C’est un fait, il n’y a plus rien d’original ! Certain irait même jusqu’à dire que « l’originalité est un plagiat passé inaperçu » ! C’est un peu comme « mais on a eu la même idée ».
Aussi, je pense que tout est une question du respect de la traite d’information ! Pour ma part j’ai un projet qui parle de Jeanne D’Arc ! Ce n’est pas la seule bd qui parle de Jeanne D’Arc et cette pauvre dame n’a pas vécu 36 vies ! Mais c’est à base de mes recherches personnelles que je construis mon histoire et les autres auteurs ont fait la même chose.
Il est obligé de créer à partir de ce qu’on connaît déjà (un corps humain ne se réinvente pas) c’est la manière de le travailler qui change tout !
L’exemple avec le plagiat « Epoxy » vous éclairera !
Que dit cette image ? La limite entre inspiration et plagiat irrespectueux !! S’inspirer c’est prendre le meilleur, le modeler et en mettre un peu de nous-même pour en ressortir quelques chose de nouveau qui nous ressemble et ce qu’on aimerais voir en image ! (Loin de la simple copie décalqué ou du vol d’image !) l’inspiration sert la créativité contrairement au plagiat qui ressert un plat déjà manger … Ohh que ça n’a pas l’air bon un plat déjà mâché ! Car un plagiat c’est aussi intéressant que ça !
Ce qui m’inspire + moi = une œuvre nouvelle.
Les images de références sont-elle du plagiat dans l’art ?
Cela dépend toujours de l’image de référence ! Si vous prenez exemple sur une photo, vérifiez toujours si l’auteur l’a mise ici à disposition et bien sans droit d’auteur ! Car tous ce qui est sur internet n’est pas forcément sans droit d’auteur. La loi protège chaque personne qui a posté une image (si elle prouve qu’elle est bien à elle) comment fait-on ? Conservez les photos (tradi) et n’écrasez pas vos fichiers (digi) afin de garder une preuve !
Il existe des images libres de droits que des artistes laisse à disposition pour des poses ! « Mais une pose … c’est à tout le monde ! » NON ! Je vous explique ! Une pose prise en photo ou dans un dessin appartient à l’artiste. Imagine cela comme ton jardin, tu n’aimerais pas que je viens bronzer parce que la terre et l’herbe… bah on peut en avoir partout ! Ce n’est pas à toi concrètement hein !
Maintenant, voici une pose que les gens se sont copier et en fait la pose la plus copier au monde selon le livre de Mr Joubert, un journaliste spécialisé dans la BD avec qui j’ai pu avoir la chance d’assister à ses cours sur le plagiat !
Pose original tiré du livre « Epoxy »
Pose original tiré du livre « Epoxy » Voici la pose que Jean Van Hamme a réalisé avec l’aide de sa femme ! (Elle a posé pour lui) Elle sera prise au moins …. …40 fois !! Est cela l’inspiration ?
Hé voilà ! La ou l’idée était bonne, la pose original et inventive (le modèle à poser selon la vision de l’auteur)… elle devient risible !! « Ah ? Tu n’en a que 10 ? J’en ai une en double je peux te l’échanger si tu veux ! ».
L’inspiration c’est créer avec ce que l’on connaît quelques chose qui vient de nous ! Pas quelques choses que l’on a calqué… plagié !! S’inspirer c’est créer quelque chose à partir de ce que l’on connaît déjà (dessiner avec des traits de contours) et avec nos connaissances, proposer notre version (faire un dessin d’oc avec les traits de contours).
La différence : l’auteur a été inspiré par les douces courbes de sa femme … tandis que les autres ont copié une pose non libre de droit ! Cette pose est devenue connu à cause de cela ! Il y a des images libres de droit si tu ne veux pas citer un auteur ! Sinon, tu cites ! Un peu comme une citation en fait … les mots peuvent être dits par tout le monde mais dans cet ordre, c’est quelqu’un qui l’a dit en premier ! Inspirer n’est pas copié !! Copier n’est pas s’inspirer !! On reprend une pose dans le cas d’image libre de droit ! (Exemple si on vous la donne dans le cadre d’un tuto ! Il y a des gens vraiment très cool !! ).
L’auteur de No Game No Life a été montré du doigt pour la copie de pose à nombreuses reprises !! Il est parfois dur de tenir des délais et la possibilité de ne pas créer de pose aide ! Mais c’est tricher malheureusement !
#gallery-0-10 { margin: auto; } #gallery-0-10 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 50%; } #gallery-0-10 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-10 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Tout plagiat dans l’art se repère ! Surtout de nos jours avec internet !
Résumé :
Ne pas copier des poses sans citer ses sources si les images sont protégées par des droits d’auteurs (pensez aux photographes ! Ce sont des artistes aussi !)
Créez-vous une banque d’image libre de droit ou d’image que vous pourrez citer la provenance plus tard ! Ne prenez pas que sûr Une images (mention de toutes les sources si multiples) Oh et puis je pensais que le respect était une notion acquise !!
Il serait dommage de se retrouver sur ses listes !! Sinon Mr Joubert écrira un livre le jour où vous serez connu ! Et on rigolera bien en cours !
Sources :
Actuabd.com
Leplagiat.net
Voler comme un artiste – Austin Kleon
Polyepoxy – Bernard Joubert
Le plagiat dans l’art et le dessin Hé voilà !! Mais qu’est-ce qu’il se passe d’ici les derniers jours ? Du plagiat dans l'art…
0 notes
Text
Des ruelles, un dédale grouillant de vie, où Julien Duvivier filme des pieds, des pas, des ombres portées : la Casbah est un maquis imprenable par la police, où Pépé le Moko (“moco” : marin toulonnais en argot) a trouvé refuge. Ce malfrat au grand cœur (Gabin) s’y sent comme chez lui. Il y étouffe aussi. Quand ses rêves de liberté, sa nostalgie de Paname prennent les traits d’une demi-mondaine, Pépé, on le sait, est condamné… On a tout dit de ce drame de Duvivier : sa poésie des bas-fonds, son expressionnisme, son exotisme superbement factice de film “colonial” ; qu’il était le premier vrai film noir à la française… Tout est vrai. Le comparse de Pépé avec son bilboquet rappelle le complice de Scarface jouant sans cesse avec une pièce de monnaie. Les dialogues de Jeanson sont une ode à Paris, au parfum du métro, plus enivrant que toutes les épices réunies. L’assassinat de Charpin aux accents violents d’un piano mécanique pourrait sortir d’un Fritz Lang des années 1930. Comme ce dernier, d’ailleurs, Duvivier interroge la culpabilité individuelle ou collective à travers Pépé, le bouc émissaire. Un homme seul dans la foule qui paiera cher d’avoir cru à la liberté, à l’amitié, à l’amour — des valeurs trahies, comme dans Panique ou La Belle Equipe. Ce romantisme désespéré est indémodable. [Par Guillemette Odicino – Télérama (mars 2018)]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
Pépé le Moko marque une date-clé de la carrière de Gabin. Non pas que ce film de 1937 constitue son premier succès personnel : c’est La Bandera, déjà réalisé par Julien Duvivier, qui a fait décoller sa carrière deux ans plus tôt. Mais Pépé le Moko lui offre mieux encore : le rôle du gangster algérois lui permet d’accéder, à l’âge de trente-trois ans, au statut de mythe. Certes, il faut se garder de considérer aujourd’hui ce rôle avec notre connaissance de la future carrière de Gabin. Le spectateur de l’époque ne peut évidemment savoir que, dans les trois années à venir, l’acteur va jouer dans des films aussi essentiels que La Bête humaine, Quai des brumes ou Remorques. Ni qu’en cette même année 1937, il tiendra le rôle, non moins crucial dans son parcours, du lieutenant Maréchal dans La Grande illusion. Mais indépendamment de ces chefs-d’œuvre encore à naître, Pépé le Moko marque à lui seul un passage radical. Car après le Pierre Gilieth de La Bandera, le truand qui règne sur la Casbah d’Alger confirme la capacité de Gabin à incarner des personnages “bigger than life”, comme on dit alors à Hollywood : des héros auxquels chacun peut s’identifier malgré leurs éventuelles faiblesses (ou peut-être en partie grâce à elles), mais qui, surtout, accentuent certains traits de la condition humaine. [Collection Gabin – Eric Quéméré – janvier 2006]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
Comme pour beaucoup de cinéastes, la carrière de Julien Duvivier prend souvent des airs de montagnes russes. Après un certain nombre de succès dont celui, colossal, de La Bandera, le réalisateur connaît en 1936 un cuisant revers avec La Belle équipe, film dans lequel joue pourtant Jean Gabin. Désireux de ne pas rester sur l’échec d’une œuvre qu’ils avaient tous deux portée à bout de bras, le cinéaste et l’acteur se mettent bientôt en quête d’un nouveau projet. C’est alors que Duvivier se voit proposer un sujet dont n’a pas voulu son confrère Jean Renoir : il s’agit de l’adaptation d’un roman policier écrit par le mystérieux “détective Ashelbé”. Enthousiaste à l’idée d’explorer un genre qu’il a encore peu fréquenté, le cinéaste propose à Gabin de se lancer dans l’aventure, dont il espère qu’elle leur permettra de se “refaire”… Pour transposer a l’écran le roman original, Julien Duvivier fait appel à Henri Jeanson, qui est sans doute un peu surpris par cette proposition. Deux ans plus tôt, ce dernier a en effet écrit au sujet de Gabin, qui jouait le rôle de Ponce Pilate dans un film de Duvivier : « Ce n’est pas du Golgotha qu’il descend, mais de la Courtille », sous-entendant que l’accent de Belleville de l’acteur ne sied guère à cette évocation biblique. Le scénariste ne s’attendait donc sans doute pas à ce que cette pique lui vale d’être ensuite embauché par le tandem Gabin / Duvivier ! [Collection Gabin – Eric Quéméré – janvier 2006]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
Habitué à se battre pour imposer ses vues à ses producteurs successifs, Duvivier aura à livrer un nouveau combat lors de la préparation de Pépé le Moko. Car si personne ne songe évidemment à remettre en question le choix de Gabin pour le rôle de Pépé, il n’en va pas de même pour celui de Gaby. Le cinéaste tient à engager la jeune Mireille Balin, mais les producteurs du film estiment non seulement qu’elle n’est pas assez connue pour apparaître dans un film aussi important, mais que son physique ne convient guère à ce personnage. Duvivier met donc au point un stratagème : avec l’aide d’une costumière et d’une maquilleuse, il transforme Mireille Balin en “femme fatale”, avant de l’emmener ainsi parée chez ses producteurs. Lesquels acceptent aussitôt d’engager la jeune actrice… Pour le reste de la distribution, Duvivier fera appel à toute une pléiade d’acteurs chevronnés, tels Gabriel Gabrio et Fernand Charpin, dont les visages “typés” compteront pour beaucoup dans l’atmosphère singulière du film. Une atmosphère entièrement recréée en studio car, à l’exception de quelques plans filmés à Alger, à Marseille et à Sète, tout le tournage de Pépé le Moko aura lieu aux studios Pathé de la Butte Montmartre… [Collection Gabin – Eric Quéméré – janvier 2006]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
Magnifique, Pépé le Moko, entré dans la légende, l’est effectivement. “Extraordinaire” est excessif si l’on tient compte des légères réserves que l’on doit émettre quant aux dialogues un peu trop fleuris de Jeanson. Les bons mots, son péché mignon, abondent : « Avoir l’air d’un faux jeton à ce point-là, j’te jure que c’est vraiment de la franchise » ; « Jamais descente de police n’a mieux mérité son nom : ce n’est pas une descente, c’est une dégringolade » ; « J’en ai marre de la casbah. Si tu venais avec moi, tu serais une espèce de casbah portative » (première version de la fameuse “Atmosphère” de Hôtel du Nord), etc. La prose de Jeanson, souvent brillante à l’écrit, devient un peu lourde à l’écran, défaut que l’on retrouvera dans certaines de ses sept autres collaborations avec Duvivier. [Julien Duvivier « Le mal aimant du cinéma français » Vol 1 : 1896-1940 – Eric Bonnefille – Edition L’Harmattan – 2002]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) Jean Gabin
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) Mireille Balin
Cela étant dit, il est difficile de ne pas admirer ce joyau qui n’a rien perdu de son éclat depuis 1936. On y retrouve les thèmes essentiels qui font le cinéma de Duvivier. En premier lieu, les problèmes et ambiguïtés concernant l’identité et le passé touchent plusieurs personnages : Pépé, dont le véritable nom est apparemment inconnu de tous (même les policiers, dès la première scène, l’appellent Pépé le Moko) et qui a tenté d’échapper, dans la casbah, à un lourd passé – en vain d’ailleurs puisque, comme Gilieth dans La Bandera, il est rattrapé par le destin et la police ; Pierrot (Gilbert Gil) essaie lui aussi de fuir de déserteur (l’issue en sera également la mort) ; Tania (Fréhel) tente, elle, de faire coïncider son présent avec ce qu’elle fut, en accompagnant son vieux disque, mais sa photo de jeunesse nous montre une femme à laquelle elle ne ressemble plus ; Régis (Charpin, dans un des rares rôles antipathiques de sa carrière possède une double personnalité (d’indic), de même que l’inspecteur Slimane dont la fascination trouble pour Pépé se mêle à son désir de l’arrêter. Gaby elle-même (Mireille Balin) laisse son passé dans l’ombre : « Qu’est-ce que tu faisais avant ? » lui demande Pépé. « Avant quoi ? Ben, avant les bijoux… Je les désirais. » [Julien Duvivier « Le mal aimant du cinéma français » Vol 1 : 1896-1940 – Eric Bonnefille – Edition L’Harmattan – 2002]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
La casbah, comme la Légion de La Bandera, est “l’ailleurs” où les personnages ont cru changer de vie mais l’exil – autre obsession de Duvivier – est décevant et s’avère n’être qu’une nouvelle prison, rendue plus douloureuse par la nostalgie de Paris (Pépé est envoûté par la litanie des lieux parisiens qu’il évoque avec Gaby). L’aspect carcéral est d’ailleurs, clairement signifié à l’image : les éclairages créent des ombres quadrillant le décor ; Inès (Line Noro) est vue derrière le treillis d’une fenêtre d’où elle épie Pépé et Gaby ; Pépé, dans la scène finale, est bloqué derrière les grilles du port. La mort, tandis que s’éloigne l’objet de son amour, est la seule issue. « On crève tout seul, comme un chien », disait Golder. [Julien Duvivier « Le mal aimant du cinéma français » Vol 1 : 1896-1940 – Eric Bonnefille – Edition L’Harmattan – 2002]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
Le rôle à la fois protecteur et oppressant que joue la casbah est évidemment amplifié par la beauté du décor de Jacques Krauss et les angles sous lesquels il est filmé. Comme l’écrit Léon Barsacq, dans son étude sur “Le Décor du Film”, l’idée directrice du film, montrant la casbah comme un repaire, un labyrinthe, une forteresse imprenable, est beaucoup mieux exprimée par le décor qui donne bien l’impression d’un monde clos, avec le dédale de ses ruelles abruptes aux murs presque aveugles, où tout détail inutile est banni, que par une vue documentaire de la vraie casbah, qui disperse l’intérêt par son pittoresque involontaire. Notons que l’aspect prison/labyrinthe est introduit dès l’ouverture du film, lors du montage présentant les lieux (carte de la casbah, rues étroites, escaliers). [Julien Duvivier « Le mal aimant du cinéma français » Vol 1 : 1896-1940 – Eric Bonnefille – Edition L’Harmattan – 2002]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
Si Pépé est menacé par les traîtres et les policiers, c’est finalement, une fois de plus, des femmes que viennent les coups fatals : volontairement par Inès qui, par jalousie, le précipite dans les griffes de la police ; involontairement par Gaby pour qui Pépé quitte l’abri de la casbah, ce qui le conduit à l’arrestation puis au suicide. Pourtant, les personnages féminins sont moins schématiques et vus avec davantage de tendresse que dans beaucoup d’autres films de Duvivier. Tania est émouvante, Inès est attachante et pathétique malgré (ou à cause de) son amour possessif et désespéré, Mais, surtout, Gaby est une femme relativement libre, prête à abandonner la sécurité financière que représente Kleep (Granval) pour vivre avec Pépé. Elle est à la fois lointaine et proche, à la fois “icône” apparemment inaccessible (comme l’étaient alors surtout les actrices hollywoodiennes) et capable de s’enflammer à l’évocation de la Place Blanche. Pépé résume lui-même : « T’es tout en soie, t’es pleine d’or et tu me fois penser au métro, à des cornets de frites. » [Julien Duvivier « Le mal aimant du cinéma français » Vol 1 : 1896-1940 – Eric Bonnefille – Edition L’Harmattan – 2002]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
Autre personnage tout à fait surprenant dans l’œuvre de Duvivier, l’inspecteur Slimane, dont la fascination clairement homosexuelle pour Pépé, qu’il est chargé d’arrêter, est exprimée par la finesse du jeu de Lucas Gridoux et des répliques à double sens : « Moi je t’aurai Pépé », «On t’aime trop Pépé, les femmes te perdront », « Je n’écoute jamais beaucoup les femmes, tu sais »… Pépé, conscient de ce double jeu, l’appelle « mon petit poulet », lui rappelle « Tu m’aimes trop pour [m’arrêter] » et ironise gentiment : « Elle est belle ton indéfrisable » ou encore « Où est-ce que tu achètes ton rimmel ? Ça te fait les yeux de coquin ». Lorsque Slimane se rend compte de la passion de Pépé pour Gaby, il a d’ailleurs des réactions d’amant délaissé, révèle cette liaison à Inès et à Kleep et devient l’instrument du destin qui conduira Pépé à sa perte : « Tu vois Pépé, tu es venu à mon rendez-vous… » [Julien Duvivier « Le mal aimant du cinéma français » Vol 1 : 1896-1940 – Eric Bonnefille – Edition L’Harmattan – 2002]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
On a souvent parlé, à propos de Pépé, d’une influence américaine, notamment de Scarface, dans son aspect film de gangsters. C’est surtout vrai dans le règlement de comptes coûtant la vie, à Régis (Charpin), scène dure qui s’achève dans les bruits conjugués du piano mécanique, des cris de terreur de Régis et des coups de feu. Mais la virtuosité, le rythme de la mise en scène sont bien du Duvivier. On peut même s’interroger, au contraire, sur son éventuelle influence sur le film noir américain, notamment par son emploi des éclairages et des ombres – lui-même partiellement hérité de l’école allemande, des années vingt. Des images, constamment traversées de personnages à l’arrière-plan ajoutés aux nombreux protagonistes de l’histoire, se dégage une impression de grouillement humain. La succession de brefs gros plans, désormais classique chez le cinéaste, est ici splendidement employée comme ellipse de mise en scène : ainsi, lors de la première rencontre, de Gaby et Pépé, un montage rapide nous donne à voir : le visage de Gaby / celui de Pépé / les mains de Gaby ornées de bijoux / les yeux de Pépé / le cou de Gaby orné d’un collier / les yeux de Pépé / les yeux de Gaby / les yeux de Pépé,/ la bouche de Gaby. En quelques secondes, Duvivier éclaire la psychologie de son héros. Un autre effet souvent employé par Duvivier, l’utilisation d’une transparence irréelle transforme aussi une scène de liaison en moment inoubliable : la descente de Pépé vers le port, traduite par des images se succédant en arrière-plan en fondus enchaînés, sans que le premier plan – Gabin – soit interrompu. [Julien Duvivier « Le mal aimant du cinéma français » Vol 1 : 1896-1940 – Eric Bonnefille – Edition L’Harmattan – 2002]
PÉPÉ LE MOKO – Julien Duvivier (1937) avec Jean Gabin, Mireille Balin, Line Lors, Lucas Gridoux, Fernand Charpin, Marcel Dalio,Fréhel…
À sa sortie, en janvier 1937, Pépé le Moko remporte un succès qui dépasse encore celui de La Bandera. Aux yeux du public, Gabin apparaît désormais comme le héros au grand cœur qu’un destin cruel s’ingénie à frapper, registre qui va devenir en quelque sorte sa marque de fabrique. De son côté, Mireille Balin, dont les producteurs ne voulaient pas au départ, devient la nouvelle vedette féminine du cinéma français, et s’apprête à retrouver pour Gueule d’amour celui avec qui elle a ébauché une brève idylle sur le plateau de Pépé le Moko. Quant au film lui-même, il connaît une formidable carrière internationale, séduisant en particulier le public américain. Sans doute parce que Duvivier y rend hommage aux polars hollywoodiens, et au plus grand de tous, Scarface – la manière dont l’un des malfrats de Pépé le Moko joue au bilboquet n’est évidemment pas sans rappeler le personnage de George Raft dans le chef-d’ œuvre d’Howard Hawks. Ironie de l’histoire : ce sera alors au tour de Duvivier d’influencer les réalisateurs du film noir “made in USA” qui, à partir de 1941, livreront toute une série d’œuvres empruntant son ambiance à Pépé le Moko. Dès 1938, John Cromwell en tourne d’ailleurs un remake officiel avec Charles Boyer et Hedy Lamarr, avant que John Berry ne donne lui aussi dix ans plus tard sa propre version du célèbre film français. [Collection Gabin – Eric Quéméré – janvier 2006]
L’histoire et les extraits
Alger, années 30. Pépé, dit « le Moko » (Jean Gabin), gangster français arrivé en Algérie suite à une attaque de banque ratée en France, tient en échec depuis deux ans les policiers qui tentent de l’arrêter, protégé qu’il est dans la « Casbah», quartier populaire de la ville. A l’instigation de leurs collègues parisiens, la police organise une nouvelle rafle dans le quartier. Régis (Fernand Charpin), un « ami » de Pépé, prévient celui-ci – mais renseigne en même temps les forces de l’ordre sur la planque» de Pépé.
S’ensuit une fusillade pendant laquelle Pépé rencontre Gaby Gould (Mireille Balin), une Parisienne sophistiquée venue en vacances avec son « protecteur ». La rafle échoue. L’inspecteur Slimane (Lucas Gridoux), assure Pépé qu’un jour, et avec ses méthodes, il l’arrêtera.
Plus tard, Régis attire en ville, hors de la Casbah, Pierrot (Gilbert Gil), une sorte de fils adoptif pour Pépé, afin de débusquer celui-ci hors de son repaire, Pendant ce temps, Pépé, songeant à Gaby, ne supporte plus son emprisonnement, au grand dam d’Inès (Line Noro), sa maîtresse attitrée. Habilement, Slimane avive son attirance pour Gaby, et fait de même avec la jeune femme. La femme de Pierrot, inquiète de ne pas le voir revenir, va trouver Pépé. Celui-ci soupçonne immédiatement Régis.
Slimane, quant à lui, excite la jalousie d’Inès à l’égard de Gaby. Celle-ci retrouve Pépé. Pierrot revient, mortellement blessé. Ses amis veulent l’aider à se venger de Régis, mais il meurt, et c’est Jimmy (Gaston Modot), un autre compagnon taciturne de Pépé, qui exécute le traître.
Après cet épisode, Pépé est de plus en plus désespéré. Slimane, par ailleurs, lui annonce que Gaby ne reviendra plus dans la Casbah. A cette nouvelle, Pépé part pour sortir de la Casbah. Inès lui ment en lui disant que Gaby l’attend chez lui – pour ainsi le sauver. De fait, Gaby revient, et promet de revenir le lendemain. Pépé est fou de joie.
Mais Slimane dénonce Gaby à son « protecteur », et celui-ci décide de repartir immédiatement en France. Gaby décide néanmoins de rejoindre Pépé. Slimane l’intercepte et lui faire croire que Pépé a été tué par un policier.
Accablée, elle accepte de quitter Alger. Pépé confie à Carlos (Gabriel Gabrio), un autre malfrat, une lettre pour Gaby. Celui-ci ne revient pas. Un indicateur louche vient annoncer à Pépé que Carlos a été arrêté, mais qu’il a pu donner à sa place la lettre à Gaby. Inès surprend leur conversation. Il prétend que Gaby l’attend. Pépé, méfiant, réussit à lui faire avouer qu’il s’agit d’un guet-apens préparé par Slimane, et que Gaby va partir.
Pépé sort de la Casbah, suivi par Inès qui, désespérée, va le dénoncer à Slimane. Il est arrêté sur le port, au moment où il va rejoindre Gaby. Pépé se suicide, le bateau s’en va.
Fiche technique du film
A voir également
LA BANDERA – Julien Duvivier (1935) avec Jean Gabin, Annabella, Robert Le Vigan et Raymond Aimos
LE CINÉMA FRANÇAIS ET LE RÉALISME POÉTIQUE
LE CINÉMA COLONIAL
Pépé le Moko marque une date-clé de la carrière de Gabin. Non pas que ce film de 1937 constitue son premier succès personnel : c'est La Bandera, déjà réalisé par Julien Duvivier, qui a fait décoller sa carrière deux ans plus tôt. Mais Pépé le Moko lui offre mieux encore : le rôle du gangster algérois lui permet d'accéder, à l'âge de trente-trois ans, au statut de mythe. Certes, il faut se garder de considérer aujourd'hui ce rôle avec notre connaissance de la future carrière de Gabin. Le spectateur de l'époque ne peut évidemment savoir que, dans les trois années à venir, l'acteur va jouer dans des films aussi essentiels que La Bête humaine, Quai des brumes ou Remorques. Ni qu'en cette même année 1937, il tiendra le rôle, non moins crucial dans son parcours, du lieutenant Maréchal dans La Grande illusion. Mais indépendamment de ces chefs-d'œuvre encore à naître, Pépé le Moko marque à lui seul un passage radical. Car après le Pierre Gilieth de La Bandera, le truand qui règne sur la Casbah d'Alger confirme la capacité de Gabin à incarner des personnages "bigger than life", comme on dit alors à Hollywood : des héros auxquels chacun peut s'identifier malgré leurs éventuelles faiblesses (ou peut-être en partie grâce à elles), mais qui, surtout, accentuent certains traits de la condition humaine. Des ruelles, un dédale grouillant de vie, où Julien Duvivier filme des pieds, des pas, des ombres portées : la Casbah est un maquis imprenable par la police, où Pépé le Moko ("moco" : marin toulonnais en argot) a trouvé refuge.
0 notes
Text
Synopsis : Alerte au Pentagone ! Une des plus dangereuses organisations terroristes au monde a pris en otages les passagers d’un Boeing 747. Pour David Grant, des services de renseignements, cette action n’est qu’un leurre cachant le vrai but des terroristes : faire exploser l’avion au dessus de Washington pour répandre un gaz mortel. Aidé du Colonel Travis, Grant va tenter l’impossible : intercepter le 747 en vol avec un commando d’élite avant que l’irréparable ne se produise…
Origine du film : États-Unis Réalisateur : Stuart Baird Scénaristes : Jim Thomas, John Thomas Acteurs : Kurt Russell, Halle Berry, John Leguizamo, Oliver Platt, Joe Morton, David Suchet, Steven Seagal, B. D. Wong Musique : Jerry Goldsmith Genre : Action, Thriller Durée : 2 heures et 13 minutes Date de sortie : 1er mai 1996 (France) Année de production : 1996 Sociétés de production : Silver Pictures Distribué par : Warner Bros. Pictures Titre original : Executive Decision Notre note : ★★★☆☆
Notre commentaire : “Executive Decision” ou “Ultime Décision” est un thriller d’action américain datant de 1996, réalisé par Stuart Baird, à qui l’on doit également “U.S. Marshals” (1998). Les acteurs principaux sont Kurt Russell, qu’on a pu voir dans “Les Gardiens de la Galaxie 2” (2017), Steven Seagal, qu’on a pu voir dans “Piège à Grande Vitesse” (1995), Halle Berry, qu’on a pu voir dans “The Call” (2013), Oliver Platt, qu’on a pu voir dans “La 9ème Vie de Louis Drax” (2016), et John Leguizamo, qu’on a pu voir dans “John Wick Chapitre 2” (2017).
L’histoire proposée par “Ultime Décision” peut être présentée de manière simplifiée comme une simple histoire de détournement d’avion. En effet, une bande de terroristes originaires de Tchétchénie, prennent, assez facilement d’ailleurs, le contrôle d’un avion de ligne faisant route d’Athènes vers Washington. Les autorités américaines prennent la menace très au sérieux, pensant que la demande de libération de leader, n’est qu’un leurre. Leur véritable motivation serait de faire exploser l’avion dans l’espace aérien par l’intermédiaire d’une bombe placée en soute, combiné à un gaz mortel, volé aux Soviétiques, le DZ-5 (genre un truc qui n’existe pas ou qui existe quand même, mais sous un autre nom, mais tellement secret que tu ne le sais pas, mais que tu le sais quand même parce que tu n’es pas idiot et que tu te doutes bien que les services secrets de tous les pays inventent des saloperies de ce genre).
Là où cela devient intéressant, c’est que les forces spéciales américaines vont essayer de s’introduire dans le Boing 747 en plein vol grâce à une version expérimentale de l’avion furtif F-117 qui va venir se positionner sous l’avion de ligne et déployer un sas hermétique permettant au commando de s’introduire dans l’avion en passant par la trappe de la soute à bagages localisée sous l’avion. L’équipe de militaires est dirigé par le colonel Austin Travis, incarné par Steven Seagal. Là, on se dit que ça va chier 5 minutes dans l’avion et qu’on va avoir droit à une sorte de “Piège en Haute Altitude”.
Que nenni mes amis ! Le transfert d’un avion à l’autre se passe très mal en raison de fortes turbulences. Le sas se brise et là que se passe-t-il ? Steven Seagal, du moins son personnage, qui était dans le sas, est projeté dans les airs à 9.000 mètres d’altitude, tel un pantin désarticulé. Et là, vous me croyez si vous voulez, lorsque j’ai vu ce film pour la première fois au cinéma, il y a plus de 20 ans, durant tout le reste du film, j’étais persuadé que Steven Seagal allait revenir, qu’on allait le revoir à la fin. Et bien NON, il est mort le Colonel Travis ! Et nous ne sommes qu’à la 45e minute d’un film de deux heures. Terrible pour les fans de l’acteur !
Donc du coup, c’est le Dr. David Grant, interprété par Kurt Russell qui prend le relais. Le scénario est relativement bien écrit. L’intrigue repose essentiellement sur la réussite ou non de l’intervention, même si on se doute que l’issue soit favorable. Mais le travail d’écriture est plus que correct, proposant de nombreux rebondissements et une bonne dose de suspense. On reconnaîtra au passage John Leguizamo, en leader par défaut de l’unité d’intervention, qui avait déjà joué avec Steven Seagal dans “Justice Sauvage” (1991).
De son côté, David Suchet, que l’on connaît essentiellement pour avoir prêté ses traits au détective Hercule Poirot d’Agatha Christie, dispose du rôle du méchant de cette histoire, le terroriste Nagi Hassan. On reconnaîtra également B.D. Wong, que l’on connaît essentiellement pour l’incarnation du personnage du Dr. Huand dans la série New-York, Unité Spéciale, qu’il a tenu durant neuf saisons.
“Ultime Décision” a fait l’objet d’une édition en DVD ainsi qu’en Blu-ray, paru le 18 mai 1999 chez Warner Home Vidéo France. Pour de plus amples renseignements, n’hésitez pas à consulter la fiche du film sur le site DVD.Fr.
En conclusion, “Ultime Décision” est un thriller d’action, disposant d’une histoire classique de détournement d’avion, mais le développement est assez original. En outre, le fait de faire disparaître assez rapidement l’un des acteurs principaux offre une surprise de taille et tournant particulier à l’intrigue. Le rythme est plutôt lent, et fatalement, lorsque le dénouement approche, les choses s’enchaînent subitement. La distribution offre de bonnes prestations. La durée n’est pas un obstacle pour finalement bénéficier d’un honorable divertissement.
Bande-annonce :
ULTIME DÉCISION (1996) ★★★☆☆ Synopsis : Alerte au Pentagone ! Une des plus dangereuses organisations terroristes au monde a pris en otages les passagers d’un Boeing 747.
#B. D. Wong#David Suchet#Halle Berry#Joe Morton#John Leguizamo#Kurt Russell#Oliver Platt#Steven Seagal#Stuart Baird
0 notes