#dépotoir
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Célinien. Tout y est. La menace, le racisme talmudique, l'ingratitude envers le pays d'accueil, l'inversion accusatoire surtout car tout ce qui est écrit là s'applique par le menu à son endroit, et il le sait très bien.
Tout dans cette concentration de venin est faux. Un seul exemple: examinons à quel degré d'avilissement le grand peuple qui s'était battu "pour" le sémitisme en 1944 est descendu en 2 générations : les WASPs. Entièrement démolis, métissés, outragés, salopés, leurs villes transformées en dépotoirs, leurs femmes en putains, leurs enfants en junkies soumis aux noirs, leur leg entièrement profané, et pas un seul honnête homme pour prendre leur défense. Voilà ce que cela rapporte de servir le sémitisme. Il veut que les Blancs se battent pour lui et il le dit. Célinien.
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« Il voyait le monde moderne, avec toutes ses institutions et toutes ses idées, dans un océan de boue. C’était, à ses yeux, une Atlantide submergée dans un dépotoir. »
Léon Bloy, Le Désespéré (1887).
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De beaux rêves ✨✨✨❤️
Mais lorsqu’elles nous adressent
Sans le vouloir d’ailleurs
Ce regard qui transperce
On en sait la valeur
Parce qu’il leur échappe
Parle de lui-même
Et parce qu’il ne frappe
Que celui qu’elles aiment
On l’avait déjà vu,
Ce regard qu’on convoite
Souvent au début
Nettement moins par la suite
Il s’était fait rare,
C’est sûrement de notre faute
Et on ne veut pas le savoir
S’il fut donné à un autre
Célébrons son retour
Il ne fait que passer
Raison de plus alors
Pour en profiter
L’œil est un dépotoir,
On voit tellement d’saleté
Quand on reçoit ce regard
Que les yeux soient loués
Parce qu’on le voit moins
Parce que les couples s’installent
Faut dire qu’on est loin
D’être l’homme idéal
L’espace d’un instant,
C’est ainsi qu’elles nous font
Dans l’espace en suspens
Leur déclaration
Et du bout des yeux
Elles murmurent que même si
Elles méritaient mieux
C’est nous qu’elles ont choisis
Malgré c’qu’on est devenus
L’usure et tout ça
Et les malentendus
Elles ne regrettent pas leur choix
C’est même le contraire
Elles t’aiment, c’est comme ça
D’un battement de paupière
Pour une fois, tu la crois
C’est la pure vérité
Comme deux et deux font quatre
Nature et spontanée
Comme on bâille au théâtre
Mais lorsqu’elles nous adressent
Sans le vouloir d’ailleurs
Ce regard qui transperce
On en sait la valeur
Parce qu’il leur échappe
Parle de lui-même
Et parce qu’il ne frappe
Que celui qu’elles aiment
Le regard
Benabar
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Envie de rire un bon coup ce week-end ? L'Embellie n'attend que vous ! Rendez-vous Samedi 16 décembre à 21h au Théâtre de l'Embellie. Et pourquoi pas profiter d'une bonne assiette de produits locaux au passage ? (Réservation sur notre site) :
#spectacle de théâtre#montauban#embellie#theatre#toulouse#humour#comédie#sortie#toutpublic#théâtrecontemporain
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L'urbanisme subit depuis cinquante ans la dictature de la laideur, du non-sens ou du court terme : cités-dortoirs sans horizon, zones pavillonnaires sans âme, banlieues grises servant de dépotoirs municipaux, interminables centres commerciaux qui défigurent l'entrée des villes, proliférations des “ non-lieux ” anonymes qui s'adressent à des usagers pressés, centres-villes livrés aux seuls commerces et dépouillés de leur vie traditionnelle (cafés, universités, théâtres, cinémas, squares, etc.), juxtaposition d'immeubles sans style commun, quartiers délabrés et laissés à l'abandon entre deux rafistolages ou, au contraire, surveillés en permanence par des vigiles et des caméras-espions, désertification des campagnes et surpopulation urbaine.
On ne construit plus des habitats pour vivre, mais pour survivre dans un environnement urbain défiguré par la loi de la rentabilité maximale et de la fonctionnalité rationnelle. Or, un lieu est d'abord un lien : travailler, circuler, habiter, ne désignent pas des fonctions isolables, mais des actes complexes intéressant la totalité de la vie sociale.
La ville doit être repensée comme le lieu de rencontre de toutes nos potentialités, le labyrinthe de nos passions et de nos actions, plutôt que comme l'expression géométrique et froide de la rationalité planificatrice. Architecture et urbanisme s'inscrivent par ailleurs dans une histoire et une géographie singulières dont ils doivent être le reflet. Cela implique la revalorisation d'un urbanisme enraciné et harmonieux, la réhabilitation des styles régionaux, le développement des hameaux et des villes moyennes en réseau autour des capitales régionales, le désenclavement des régions rurales, la destruction progressive des cités-dortoirs et des concentrations strictement commerciales, l'élimination d'une publicité omniprésente, ainsi que la diversification des modes de transport : abolition de la dictature de la voiture individuelle, transport de marchandises par le rail, revitalisation des transports en commun, prise en compte des impératifs écologiques.
Manifeste : la Nouvelle Droite de l'an 2000.
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Je me souviens de ces soirées a passer dehors et a me brûler les phalanges sur les murets en pierre.
Une sensation de douleur que je ne ressentais même plus. Des zones tellement habituées a trinquer ... Que passer et repasser encore et encore sur les cicatrices a moitiés ouvertes de la veille ça ne faisait plus mal.
Le but c'était de m'abimer, de ne plus avoir mal a la tête et au cœur, a tout mon être , c'est une sorte de dépotoir, un échappatoire pour vider tout ce mal être .
Ouais ça n'apporte pas grand chose a long terme a part des cicatrices et a rendre des explications aux gens qd ils te demandent d'où ça vient. Mais c'est facile de mentir, les gens ne cherchent pas plus loin, ne cherchent pas ou n'ont pas envie de le faire. Et tant mieux j'ai pas et j'avais pas vraiment envie de me justifier sur mon état de santé mentale aussi bancale que ma vie.
Alors pendant ces années la de ma vie de mes 16 a 21/22 ans j'ai préféré enfouir mes émotions (encore plus que d'habitude),mes sentiments, mes ressentis ... Pour moi c'était une faiblesse, montrer tes émotions ça voulait dire que juste tu subissais ta vie, que t'étais faible a pleurer quand t'étais ému, triste, a rager quand t'étais énervé... Alors que c'est moi qui l'a subissais cette vie a ne rien vouloir exprimer. Alors comme je n'exprime rien et extérioriser rien ... J'ai commencé à extérioriser en me détruisant a petit feu doucement et en profondeur, que ça soit dans les paroles en me parlant mal, en m'auto rabaissant... , en échappant a mes propres pensées j'étais devenue une sorte de robot je m'écoutais plus du tout, me renfermait sur moi et quand j'avais vraiment beaucoup de mal a extérioriser je m'attaquais a moi physiquement c'est simple dans ce cas tout devient un moyen de te faire du mal, chaud, froid, lames.... Et c'est tellement libérateur,une sensation d'évasion, un peu comme quand t'es pompette tu te sens planer. C'est la même chose mais là tu sais que le lendemain tu seras tailladé de partout. Mais ça ne t'empêche pas de continuer a le faire quand ça ne va pas c'est a dire très souvent.
Encore aujourd'hui ces pensées me reviennent de temps en temps parfois plus souvent que d'autres mais ça va mieux parceque je m'ecoute plus, j'arrive a exprimer ce dont j'ai besoin, les émotions, ressentis ( seule déjà c'est pas mal ça évite les carnages ) et donc je comprends que de parler, pleurer, rire, hurler, crier... Tout ça c'est des moyens d'extérioriser tes émotions de la plus sombre a la plus lumineuse, et c'est pas être faible, au contraire c'est juste prendre soin de soi je crois.. un concept nouveau mais ma foi .. et pour dire tout ce que t'as sur le coeur et dans ta tête quand ça ne va pas c'est plutôt courageux et une preuve de force de ton être a confier une partie de toi vulnérables a un autre être humain. parfois ça fait du bien surtout quand tu trouves les/la bonnes personnes.
Merci 💚
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- Tu ne l'emporteras pas avec toi -
La tentative aura été vaine
De faire oublier,
Ce que tu as perpétré.
Non, ce n'est pas elle qui a tort
Qui doit porter le poids de ta violence
Et pleurer de honte.
Tu ne lui a pas demandé un instant
Si elle était d'accord,
La base d'un consentement.
Depuis, elle fond
Surnage puis coule
Dans ses épaisseurs de femme.
Elle n'a pas à porter la responsabilité de
Ta construction masculine toxique
Va te faire voir, elle n'est pas un dépotoir...
D'ailleurs, tu sais, elle ne l'a jamais été.
Flavia Zaoui.
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TIERS-MONDISATION, poubelles partout, dépotoirs a ciel ouvert, voiture s...
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Jour 20
Un jour dédié aux émotions sismiques
Gumri est la 3ème ville d'Arménie. Située au nord ouest, elle est proche de la frontière turque. L'unique voie ferré du pays y mène. Ce matin donc, je me réveilla tôt pour m'y rendre. Allons donc à la gare et découvrons aussi le visage de cette capitale au matin et étonnament, elle est vide. A l'opposé du soir où cohue et bouchons se constrictor. De bon matin, la spectaculaire gare d'Erevan est aussi tout à fait vide. La caisse ouvre à 7h30. Le train part à 7h50. Il se compose de 2 wagons qui se remplissent rapidement. Ça papote sévère. Le tout décolle mollement. Et le tacatacatac rythme l'avancée. Le paysage de type steppe se ponctue parfois d'un gars perdu dans le vaste gardant des vaches ou des moutons brouteurs.
La fatigue du périple commence à m'envahir les vertèbres et les guiboles. Je me dis qu'aujourd'hui il ne se passera rien. Je vois bien qu'il y a des groupuscules de touristes autour d'un guide qui braille ça et là. Donc il doit y avoir de la matière historique à découvrir. Mais non, je fatigue. Cessons de courir et poser des questions. J'opte pour le cimetière, un lieu calme et sans bruit.
Etrangement, dans ce pays, tous les condicteurs de taxis regardent uniquement la trajectoire du GPS et non la destination. La Californie nous envoie dond dans un dépotoir au-dessus du cimetière, bien loin de l'entrée officielle. Tant pis, j'y entre à l'envers, en enjambant la flore épineuse et les bouts de verre.
Ce qui est beau et curieux dans les cimetières en Arménie, ce sont les stèles verticales où les défunts y sont photodessinés en grand. L'autre curiosité, ce sont les bancs, protégés par un auvent, avec une petite table, pour les rituels de lever le verre ou juste être là, assis devant la tombe.
J'erre au milieu des tombes. Oh... voilà justement que j'aperçois une scène qui en dit long. Un vieux monsieur boit une bière et fume une cigarette sur un de ces bancs. Il observe la tombe qu'il vient de fleurir.
Il dit:
Je suis retraité. J'habite un peu ici, un peu à Moscou. C'est la tombe de mon fils.
Ooooh...
J'enlève ma casquette et prononce quelques mots d'affections. Le monsieur les ressent. Il me remercie. Il part.
Je m'approche de la tombe. J'ai quasi le même age que son fils.
Oh... Je découvre la date de son décés: 7 décembre 1988 !!!
Il fait partie des morts de cet immense tremblement de terre qui a détruit la ville, a ravagé la région, a mis à bas toute l'Arménie, a rendu exsangue toutes ses capacités ... Pile au moment de sa libération du joug soviétique.
Oh... Et c'est donc pour cela que sur de nombreuses tombes il y est gravé 11h41... L'heure du séisme.
Je fume une cigarette en hommage au fils de cet homme sympathique qui aurait pu être mon père.
Et là, je comprends Gumri. Une ville où encore bien des habitations restent effondrées, éventrées, éreintées au milieu des reprisées, rebriquées, regonflées.
Tant de 11h41 gravés sur les stèles...
L'onde de l'émotion sismique continue de s'épandre et, en signe de vie actuelle, on porte un toast aux disparus.
Cul sec!
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Journée d'assainissement à Dixinn : les autorités communales débarrassent les dépotoirs de deux quartiers des tas d'immondices
Comme à l’accoutumée, chaque premier samedi du mois, les autorités guinéennes lancent des opérations d��assainissement dans les communes de Conakry. Ce 7 septembre, ce sont les sites de dépotoir de deux quartiers qui ont été la cible des autorités communales de Dixinn, afin de les débarrasser des tas d’immondices. Ce site situé en bordure de l’autoroute Fidel Castro dessert les quartiers de…
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Kinshasa croule sous les ordures : près de 3 000 tonnes de déchets jonchent les 24 communes !
Kinshasa, la capitale de la République Démocratique du Congo, est envahie par les déchets, transformant ses rues en dépotoirs à ciel ouvert. Le gouverneur de la ville, Daniel Bumba, a tiré la sonnette d’alarme en révélant que près de 3 000 tonnes de détritus sont disséminées à travers les 24 communes de la ville, un fardeau insupportable pour les habitants. Face à cette crise sanitaire et…
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Vous reconnaissez vos déchets dans cette photo? Le débarcadère du lac McFee n’est pas un dépotoir! Que vous ayez manqué la collecte des encombrants ou que le camion ne soit pas passé chez vous, aucune... Cet article Déchets laissés à l’abandon au débarcadère...
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"Le monde moderne : « une Atlantide submergée dans un dépotoir. »"
Léon Bloy, Le Désespéré (1887)
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QUAND LE CIVISME NE SUFFIT PAS À NETTOYER LES RUES....!
Malgré les initiatives citoyennes comme “Setal Sunu Rew”, de nombreux espaces publics restent des dépotoirs à ciel ouvert. Faute d’investissements pérennes, l’appel au civisme se heurte aux montagnes d’immondices Ce samedi 6 juillet, l’opération “Setal Sunu Rew” (Rendre notre pays propre) lancée par les nouvelles autorités sénégalaises a une nouvelle fois résonné dans les rues, rapporte RFI.…
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"Les Gars De L'Ile-Aux-Millions," Le Petit Journal. October 1, 1933. Page 7. ---- REPORTAGE PAR ALBERT DUC ---- Une bizarre population de parias habite près du pont Victoria - Ces hommes singuliers vivent pauvres, heureux, et indépendants - Une soirée parmi ces messieurs --- L'lle-aux-Millions n'est pas l'ile des millionnaires: En réalité, c'est le centre par excellence de la bohéme la plus complete, la plus farouche, is plus fiere et la plus ardemment libre; c'est tout un village dont la population, qui s'élève à environ cent vingt-cing ames, s'abrite sous des brooques aux matériaux cocassement disparates et choisis, piece par pièce, dans l'immense dépotoir situé à l'ouest du pont Victoria. A peu pres tout le monde, à coup sûr, a entendu parler de cet endroit, et beaucoup ont eu l'occasion de jeter un coup d'oeil sur ce coin bizarre: mais tres peu ont approché d'assez près res misérables huttes pour en avoir une juste idée ainsi que de leurs habitants.
Nous avons visité, un soir, l'Ile-aux Millions dont l'existence a été brutalement et brusquement rappelée au souvenir de la population, il a quelques semaines, par le suicide dramatique d'un malheureux resident de l'endroit.
Lentement, en compagnie d'un brave type que nous avions connu a T'hôpital lors d'un séjour que nous y fimes nous-même au printemps dernier, nous avons passé en revue les soixante bicoques (la soixante e unieme est en constructions situées à l'est du pont. Il faut marcher sur une distance d'au moins un mille avant de toucher les limites de cet étrange et fantastique refuge. Si quelques-unes de ces cabanes sont à peine suffisantes pour loger un homme et possèdent dea issues non fermées, il faut avouer que la majorité d'entre elles sont un abri parfalt contre les intempéries. De loin, on ne voit que l'extérieur laid et reposant de ces tanières; de prés, malgré leur indéniable cachet de pauvreté sordide, on est frappé des dispositions prises pour empêcher la pluie de pénétrer à l'intérieur ou le vent de jeter à terre les pièces multiples de ces constructions.
PARIAS, MAIS INDEPENDANTS! Parvenus à l'extrémité du village, nous nous sommes arrêtés, notre guide et nous reporter du "Petit Journal", près d'un groupe de trois bicoques et nous avons lié conversation avec quatre ou cing individus qui fumaient leur pipe à proximité de feux allumés pour chasser les maringouins d'automne, et qui regardaient placidement le soir de septembre descendre sur le fleuve. Sans détour, nous déclarâmes à nos interlocuteurs que nous étions là en qualité de journaliste curieux de voir comment vivaient les parias de l'Ile-aux-Millions.
- Nous vivons comme des sauvages, nous répondit aussitôt l'un d'eux, mais nous sommes indépendants et nous ne devons rien à qui que ce soit.
- Et n'allez pas zroire, continus un autre, que parce que nous sommes ici, nous sommes des propres à rien, des voyous, des types qui ne veulent pas travailler. Les sans-coeur ne viennent pas se båtir de "shacks" par tel: c'est trop d'ouvrage
Et il commença à m'expliquer comment ces constructions bizarres venaient à l'existence.
L'ART DE CONSTRUIRE - D'abord, fit-il, nous allons au dépotoir situé de l'autre côté dá l'ouest du pont. Là, nous cherchons les matériaux dont nous avons besoin, tôle et bois, puis nous les transportons à l'endroit choisi. Et remarques, dit-il orgueilleusement, que nous avons dû trainer notre planche et notre tôle sur plus de deux milles de distance pour venir jusqu'iel. Ensuite, nous nous amassons des clous rouillés puis nous bâtissons. Ordinairement, deux bons travailleurs terminent l'ouvrage dans une journée. Les vieux sièges d'auto, trouvés au dépotolr. toujours, font des lits parfaits. Quant aux poêles, nous prenons pour les fabriquer des tonneaux vides d'huile à moteur, nous y faisons des ouvertures et… nous chauffons.
INTERIEURS… MODERNES! On nous a fait voir quelques intérieurs. Franchement, ces gens-là sont infiniment plus confortables que les deux ou trois cents chômeurs qui passent la nuit à la montagne. La plupart des bicoques ferment hermétiquement et sont pavées avec du bois de la tôle, voire des retailles de carpettes. Le croira-t-on? Quelques-unes possèdent une galerie. D'autres sont surmontées de maisonnettes pour les oiseaux… vagabonds sans doute, et même, ne riez pas, l'une d'elles montre avec fierté une antenne de radio. (Voir vignettes au centre du "Petit Journal"). L'appareil est sans doute rudimentaire, mais cela ne l'empêche pas, grâce à un dispostiť spécial, de transmettre la musique qu'!! capte à l'habitation voisine! Il existe également, dans le village, un phonographe portatif.
COMMERCE ET CUISINE Nous demandons ensuite comment la nourriture est obtenue.
- Par tous les moyens possibles excepté le vol, me fut-il répondu. D'ailleurs, il arrive que de temps en temps nous travaillions quelques neures. Nous achetons alors notre viande et notre pain. Nous avons d'excellentes retailles de jamoon pour trois cents la livre. De plus nous faisons le tour des marchés el nous obtenons souvent des légumes de toutes sortes. Très peu vont manger aux refuges.
- Voyez, me dit l'un d'eux en me désignant une marmite sur un poêle installé dehors, c'est de la soupe au chou qu'il y a là-dedans. Voulez-vous y goûter?
- Nous y avons non seulement goûté, mais nous en avons mangé une pleine assiettée. Et, nous devons l'avouer, elle était excellente. Nous le dimes à notre hote. "Ah! fit-il avec conviction, ce n'est pas aux cantines que nous en aurions de pareilles!"
Pendant notre conversation, la noirceur était devenue complète.
Legendes:
L'INTERIEUR D'UNE HUTTE Voiçi l'intérieur d'une cabane construite avec des matériaux recueillis dans un dépotoir, soigneusement choisis, assemblés et clonés avee d'antiques boulons et clous de fer rouillé. Remarquez l'étagere, le phonographe sur lequel on joue "Les Gars de la Marine", la table rustique et le lit, au premier plan à gauche. Les hommes qui vivent la-dedans n'ont pas le sou, mais ils sont heureux. Notre reporter nous raconte ici leur singulière existence. (Photo Petit Journal)
UN "CHATEAU" STYLE "DEPRESSION 1933" "Malgré leur cachet de pauvreté sordide, nous dit notre reporter Albert Duc, on est frappé des dispositions prises pour empêcher la pluie de pénétrer à l'intérieur de ces "villas" de chômeurs de l'Ile-aux-Millions". Voir notre article ci-contre. (Photo "Petit Journal").
#montreal#canadian history#hoboes#hobo jungle#poverty knowledge#hobohemia#shantytown#down and out#vagrancy#poverty in montreal#great depression in canada#capitalism in crisis
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POLLUTION NUMÉRIQUE ET RÉSILIENCE
En tant que membres de l'humanité, rien de moins, sommes-nous désavantagés ou avantagés par l'omniprésence du numérique dans nos vies?
Lutter contre l'hydre de Lerne, ou le dompter?
Depuis que le numérique est entré dans les chaumières, rien ne va plus pour certains et tout va mieux pour d'autres. En réalité, le problème n'est pas le numérique en soi, c'est plutôt notre utilisation à outrance de tout ce qui se connecte.
Désavantages du numérique. À bas le monstre!
La pollution numérique invisible
La circulation des informations, qui nécessitent une connexion à Internet, tend à augmenter, sans surprise, surtout depuis le début de 2020. Notre utilisation croissante d'Internet entraine une hausse des besoins en énergies fossiles pour alimenter les centres de données qui assurent cette circulation. L'utilisation des réseaux sociaux, les téléchargements de vidéos, les visioconférences, les recherches sur le Web, les achats en ligne, etc., font partie de notre quotidien. Nous consommons beaucoup d'énergie sans vraiment y penser.
La pollution numérique visible
Notre équipement connecté est bien réel et concret. Il se compose d'objets dont la fabrication implique l'extraction de ressources naturelles en quantité industrielle. Cette première étape de l'industrie du numérique provoque l'érosion de la biodiversité. Ensuite, le transport maritime, terrestre et aérien requiert du carburant polluant pour acheminer la matière première et le résultat de sa transformation. Enfin, l'obsolescence programmée mène notre équipement numérique au dépotoir, et le sol s'y trouve contaminé par les produits chimiques et les matériaux non biodégradables qui le composent.
Polluant, le numérique? Incontestablement, mais...
Marché du travail
Grâce au numérique, nous pouvons désormais occuper un emploi sans avoir à nous déplacer. Nous économisons donc en n'achetant pas de voiture, ce qui diminue la quantité d'essence dissipée dans l'air. De plus, le télétravail nous permet de conserver nos vêtements plus longtemps, et de ne pas nous sentir obligé(e)s de suivre la mode. Il en résulte une moins grande consommation de vêtements, ce qui est économique et moins polluant. Dans un article publié en ligne de L' Actualité, nous pouvons lire que « La moitié des vêtements sont jetés après un an, selon Greenpeace. Et les deux tiers de ceux-ci finissent au dépotoir plutôt que dans les boîtes de dons. Selon la fondation Ellen MacArthur, 2 625 kilos de vêtements sont jetés ou brûlés chaque seconde ». Le numérique a aussi ses bons côtés.
Divertissement
Comment ne pas être emballé(e)s par la possibilité d'écouter la musique des quatre coins du monde, en quelques clics seulement? Et que dire de la chance de pouvoir suivre de très nombreuses séries en ligne? C'est génial! Au siècle dernier, nous devions nous déplacer pour être en contact avec l'art. Les personnes qui ne peuvent pas sortir ont maintenant le choix d'un plus grand éventail de moyens de se divertir grâce à Internet.
Ne pas jeter l'hydre avec l'eau du bain
Soyons réalistes. Le numérique est là pour de bon. Il est inutile d'aller nous cacher au fond des bois pour fuir notre époque. Il suffira d'un coup d'oeil vers le ciel étoilé pour apercevoir des satellites. Au lieu de résister au progrès, apprenons à réduire notre consommation d'énergie à l'essentiel, réparons le matériel numérique brisé au lieu de les remplacer, et applaudissons le projet de loi 29.
Bibliographie
https://www.hydroquebec.com/a/decarboner.html
https://www.greenpeace.fr/la-pollution-numerique/
https://lactualite.com/societe/quest-ce-qui-cloche-dans-nos-vetements/
https://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/projets-loi/projet-loi-29-43-1.html?appelant=MC
Image : https://unsplash.com/fr/photos/people-sitting-down-near-table-with-assorted-laptop-computers-SYTO3xs06fU
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