#démesure
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dsirmtcom · 2 years ago
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Note contemplative - Rencontres méditerranéennes, Albert Camus et la pensée de midi
Note contemplative - Rencontres méditerranéennes, Albert Camus et la pensée de midi #Philosophie #MardiCestPhilosophie #Contemplation#Camus #Pensée #Midi #Humanisme
Notes contemplatives de lecture – Note contemplative n° 38 Aucune explication verbale ne remplace jamais la contemplation. Saint-Exupéry, Pilote de guerre. Notes de lecture La pensée de midi, ce n’est pas celle qui nous occuperait au milieu du jour, à l’heure où ce même jour bascule vers le crépuscule. Ce n’est pas non plus la pensée du Midi, celle qui définirait un territoire ensoleillé –…
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jesanson · 2 years ago
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Sobriété et fin de l'abondance et de l'insouciance
Sobriété et fin de l’abondance et de l’insouciance
Le 24 août dernier n’était pas que le 450ème anniversaire du massacre de la Saint Barthélémy. Le 24 août 1572 fut en effet un bain de sang, lui-même résultat d’une guerre civile achevée par l’Édit de Nantes d’Henri IV. A vrai dire, le 24 août 2022 n’a pas grand chose à voir avec cela, même s’il peut lui aussi rester dans l’Histoire. Pourquoi cela ? Car le Président de la République y a évoqué la…
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museumofsins-rpg · 2 months ago
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pour chaque personnage, un trait vous sera demandé à l'inscription. vos personnages devront s'organiser autour d'une vertu ou d'un vice proéminent, fortement exacerbé par une newport catalyseuse. nous vous demanderons aussi de choisir un trait compatible (le vice ou la vertu avec lequel votre personnage possède une affinité) et un trait incompatible (qui créer une forte hostilité). ici, les extrêmes rendent fou les saints comme les impurs. car de tous les traits, aucun n'est pire que celui qui se tire d'un gras crayon. ainsi, que vous choisissiez un vice ou une vertu, il semblerait que vous ne pourrez jamais en sortir vainqueur; car si les vices sont généralement connus pour être problématiques... que pensez-vous vraiment d'une qualité poussée à son paroxysme? et si la clé pour sortir de cet enfer semble donc être l'équilibre, newport ne vous permettra pas de la trouver. mais après tout, voulez-vous réellement la quitter..?
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implosion; hystérie; instabilité ; phalanges écorchées; haine; babines écumeuses; aigreur; désespoir; sale bile; jurons de maudits; âpres regrets; faiblesse pitoyable; vengeance.
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vanité; mégalomanie; ce bleu roi; drapé de soie et de chair putride; gloriole; autosuffisance; mépris; ô beau narcisse; solitude du parfait; trône de bois; fantasque éphémère; fierté; faux.
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indifférence; apathie; absence de conséquences; sombres méninges; éternel aquilon; abandon, atrophie insupportable; désengagement; l'affligeant ennui, électron libre.
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jalousie; éternelle insatisfaction; jurons de malheur; aigreur; confiance érodée; vicieuse frustration; rivalité infondée; caïn; rancune hostile; manigances chuchotées; caprice de minot.
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obsession; insatiable; extase dionysiaque; plaisirs exacerbés; épicure; auréole en bois de vigne; primitif; addictions; sève d'ivresse; banquets; opium; foule paillarde; folie fiévreuse; chaos.
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cupidité; matérialité; l'or en idole; possession excessive; manipulation; opportunisme; cruauté; bedaine enflée; gel du marbre; pingre; attachement excessif; fortune enchaînée; geôle dorée.
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passion; débauche; trahison; parade de charme; faim de charnel; indécence; démesure; tentation entêtante; pourpre de velour; instabilité amoureuse; absence de lien.
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quête de la vérité; inébranlable acharné; sceptre justicier; de bleu roi et d'or; ordre implacable; autoritarisme; châtiments exacerbés; ô douce tyrannie; fièvre justicière.
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corps contre rafale; ce ô preux chevalier; folie héroïque; absurde hardiesse; imprudence; orgueilleuse bravoure; sacrifice vénérable; insoumis; brasier de grandeur; la sale audace. 
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sacrifice aveugle; martyr; empathie éreintante; funeste abnégation; générosité hypocrite; lugubre bonté; bras de saint, vaine ironie; quête de profit personnel; folie du sauveur, blanche prière.
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méfiance flaire essence; cardinal sans sens; mutisme cri statisme; conséquences au lourd pesant; clairvoyance aveugle; horace à pas velours; abstinence septentrionale; repos contre écueil.
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fouet contre palais; gerbe assassine; lame de mauxmots; noble monologue; muselière décousue; sincère blessure; confessions agonisantes; terrible transparence; impitoyable; malédiction. 
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tendresse aveugle; douleur gobée; belle miséricorde; dégénérescence du beau; cécité du malin, acceptation du pire; juge sans voix; empathie hypertrophiée; psyché de pitié.
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doux mirage d'éden; saveur déni; songe en nuages; cauchemar idéal; horizon promesse; folie d'espoir; fantasmes en pagaille; ris aux enfers; insouciance candide; géant de croyance.
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nemosisworld · 4 months ago
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j'ai faim de toi de ton regard doux flamboyant tes rondeurs chaloupant de promesses le tison de ta chair étourdissante jusqu'à la démesure
si faim que j'en rêve en plein soleil
j'ai grand-faim de ta bouche ta langue à la pleine lune qui vampirise mon sang à serpentines lampées inassouvies l'incandescence de tes seins au grain ferme et moelleux la plus belle invention du monde depuis la découverte de la soie
...
si faim que j'en rêve en plein soleil j'en rêve une chaude poignée de constellations J'ai faim du vent violent de ta peau contre la mienne cette lumière ton corps qui remplit le silence tes foulées qui ondulent courtes avant de se presser à la rencontre de nos sangs et se changer en flammes au rendez-vous de la vie
j'ai si faim de toi
Louis Philippe Dalembert
Ph. Noémi Ottilia Szabo
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e642 · 6 months ago
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Lors de ma première relation j'ai pensé -à tort avec du recul- que l'amour c'était la démesure. Que la passion, l'intérêt, l'appréciation, l'envie, les sentiments ne pouvaient exister que par le prisme de l'immodération. Je devais avoir mal au ventre d'amour, la gorge nouée à l'idée incessante de perdre l'objet de mon désir. Que si je n'étais pas amoureuse à m'en rendre malade c'est qu'alors je ne l'étais pas. Ça m'a poursuivie longtemps et ça m'a même peut-être gâché des occasions. J'ai cru qu'il fallait que je sois à bout de souffle. Que je me sente sur le file pour ressentir vraiment. Je me suis épuisée à aimer, c'était pas trop, on aime jamais trop, c'était mal, je ne comprenais pas où mettre le surplus. C'était comme nager à contre courant, possible mais pas durable. Aujourd'hui, je suis plus nuancée. Je ne sais pas si je suis amoureuse de mon copain actuel, ce qui peut biaiser mon propos, mais je ne ressens pas cette outrance. Cette urgence d'aimer et d'être submergée par tout cet amour. C'est tellement plus apaisant quand c'est calme. Quand on se rend compte que c'est là mais que ce n'est pas douloureux. Que la douleur ne fait pas vraiment partie de l'amour. Que pour aimer, il ne faut pas impérativement souffrir. J'ai cru qu'il le fallait car c'était mon seul moyen de vérifier l'authenticité de mes sentiments. Le fait est que maintenant, je connais les enjeux mais je sais que c'est plus sain et positif pour moi si je n'aime qu'à hauteur de ce que je peux aimer. En effet, ça peut faire peur. Qu'est ce qui me permet de dire que j'aime si je ne ressens pas les extrêmes ? Comment graduer des émotions qui ne me compressent pas le coeur ? Sont-elles là s'ils sont à peine audible ? Le silence est la paix ou l'absence ? Le silence prend toutes les voix, tous les tons, exprime toutes les émotions, c'est le contexte qui permet de trancher. Je me sens tellement mieux de n'être qu'exposer qu'à des douches tièdes et plus froides. Souvent je me dis que c'est peut-être parce que je n'aime pas à nouveau, puis, plus rarement, je me dis qu'il serait temps d'accepter qu'aucun amour ne se ressemble et que c'est sûrement l'expression différente de mes sentiments. Je me dis aussi qu'il y a des gens qui nous intéressent et d'autres qui nous obsèdent, je suis peut-être dans l'autre camp et c'est pas plus mal. Un jour je saurai ce que ça veut dire cette façon d'aimer mais là, je ne me pose pas plus de questions. C'est juste tellement plus reposant de ne pas être profondément amoureux.
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cheminer-poesie-cressant · 4 months ago
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source : @cheminer-poesie-cressant
Verticales, les hautes villes s'inventent des crêtes infranchissables, rempart à l'inconnu, recomposent les horizons à la démesure d'une gloire éphémère, prêtes à décrocher du ciel, au passage, un possible trophée.
(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(mardi 6 septembre 2005)
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vonxodd · 1 year ago
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KEIONA // 'démesure couture' runway ❥ drag race france 02X05
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cklein-studio · 11 months ago
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2024
The clocks have decided so, one year ends, another begins, so....
"Tomorrow the sun will rise, and who knows what the tide may bring", Chuck Noland in the movie Cast Away.
Happy New Year 2024 to all of you, to your measure or immoderation, as you please.
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Les horloges en ont décidé ainsi, une année s’achève, une autre commence, alors ….
« Demain le soleil se lèvera, et qui sait ce que la marée peut apporter », Chuck Noland dans le film Seul au monde.
Belle année 2024 à vous tous, à votre mesure ou démesure, comme il vous plaira.
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jacquesdor-poesie · 1 year ago
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il  ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance,  notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés  ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de  jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre  pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand,  aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là  (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça.  Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent,  il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement  pas à  ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire,  paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est !  Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque  chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement  beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres  acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif,  sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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emiesphere · 7 days ago
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J’ai passé trois jours à Las Vegas, et c’était surprenant! Je m’attendais à la démesure, je n’ai pas été déçue. Sur Las Vegas boulevard, aussi appelé The Strip, les hôtels surenchérissent de créativité et d’attractions pour attirer les clients. Le New York New York possède une montagne russe qui passe à l’intérieur de l’hôtel. Le Bellagio a une magnifique cours intérieure qui rappelle la Toscane et le plafond du lobby est recouvert de fleurs en verre soufflé. Le Paris a un réplique de la Tour Eiffel et un parfum de lilas dans son casino. Mais la palme revient au Venitian qui a construit un centre commercial avec des canaux reproduisant Venise. Un ciel bleu très réaliste y est peint et des gondoliers sont disponibles pour faire un tour en vous chantant la sérénade.
Ce qui m’a étonné c’est que ces décors sont plutôt bien réalisés. Ce qui est inattendu lorsqu’on voit que la plupart de leurs constructions ont l’air de préfabriqués. Mais Vegas a de l’argent, beaucoup d’argent et ça se voit. Il y a des trottoirs aériens, des passerelles et une multitude d’escalators pour parcourir les rues. De la musique est diffusée dans les rues et c’est propre. Vegas appartient aux hôtels-casinos. Et la compagnie MGM détient 14 d’entre eux. En même temps quand on imagine la quantité d’argent qui y circule on comprend bien pourquoi elle essaie d’avoir le monopole. Il y a également le vieux Las Vegas où Fremont street est recouvert d’un dôme lumineux géant qui dépasse sûrement la consommation électrique de plusieurs pays d’Afrique.
Vegas fait bien sûr beaucoup d’argent dans ses casinos où les mises d’entrée sont rarement au dessous de 20$. Peu de gens parient moins de 100$ et nous n’avons pas reçu le meilleur accueil lorsque nous avons essayé d’apprendre à jouer à la roulette avec seulement un billet de 20. C’est sidérant de voir à quel point les casinos s’appuient sur un vice pour faire de l’argent sans scrupule et que les gens s’y laissent prendre avec plaisir. Tout est fait pour dépenser son argent, il y a des machines à sous dans l’aéroport et dans les supermarchés. Dans les casinos, qui sont ouvert 24/7, la luminosité est la même à longueur de journée et iln’y a bien sûr pas d’horloge.Il est possible de fumer à l’intérieur, se faire servir à boire à sa table de black jack et même se faire masser pendant une partie de craps. C’est à demander quand est-ce qu’ils trouveront une solution pour ne plus aller aux toilettes.
Les touristes, même s’ils ne jouent pas, restent quand même de belles vaches à lait. Compter 30 balles pour un cocktail, 20 pour un hot-dog et quelques frites. À Vegas tout se monnaie même se faire prendre en photo devant le fameux panneau qui marque l’entrée de la ville.
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aurevoirmonty · 2 months ago
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Remplacer la démesure capitaliste par le sens des limites, lutter contre l’universalisme au nom des identités collectives, substituer l’éthique de l’honneur à la morale du péché, réorganiser le monde sous une forme multipolaire (le “pluriversalisme” contre l’universalisme), privilégier les valeurs de communauté sur les valeurs de société, lutter contre le remplacement de l’authentique par l’ersatz et du réel par le virtuel, redéfinir le droit comme l’équité dans la relation (et non comme un attribut dont tout un chacun serait propriétaire à sa naissance), rétablir le primat du politique (le gouvernement des hommes) sur l’économie (la gestion des choses), redonner un sens concret à la beauté et à la dignité, réhabiliter l’autorité et la verticalité, ce serait bel et bien une révolution. Et même, osons le dire, une révolution telle qu’on n’en a jamais connu.
Alain de Benoist
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christian-dubuis-santini · 6 months ago
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Selon Robert F. Kennedy Junior, candidat à la présidence des USA, «Bill Gates et ses vaccins constituent une menace pour l’humanité…»
Robert F. Kennedy Junior n’a pas tort, le multimilliardaire fou n’est pas seulement une menace pour l’humanité, la démesure de ses moyens financiers combinée à son profond dérangement mental en fond l’ennemi déclaré de cette planète. Débile Gates, le philanthropathe…
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smokedrunk · 1 year ago
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Stefan Sweig
Le 22 février 1942, au Brésil, après avoir écrit à leurs proches et aux autorités locales, Stefan Zweig et sa femme Lotte consomment assez de barbituriques pour ne plus se réveiller. Malgré le fracas de la Seconde Guerre mondiale, le suicide de l’écrivain autrichien, dont les livres ont été brûlés quatre ans plus tôt, à Salzbourg, suscite une immense émotion. Pourquoi le romancier, nouvelliste et biographe de génie, qui a connu un succès phénoménal de son vivant, a-t-il cédé à l’appel du vide ? Pour démêler le jeu des forces obscures qui ont emporté sa vie, deux journalistes, François Busnel et Jean-Pierre Devillers égrènent les étapes d’un parcours marqué par la recherche constante de la liberté. Ses premiers succès, qui le rendent c��lèbre à 30 ans, son enthousiasme pour Freud, son goût du voyage et sa passion pour le progrès technique, annonciateur, croit-il, d’une humanité meilleure… : autant d’éléments biographiques qui éclairent une personnalité complexe. Mais par-dessus tout, l’auteur d’Amok ou du Joueur d’échecs a le culte de l’amitié et exprime une foi profonde en une Europe moderne et cosmopolite. Deux croyances cruellement déçues : l’Europe se déchire dès 1933 et certains des proches de l’écrivain – ainsi que beaucoup de lecteurs – critiquent sa réticence à prendre publiquement parti contre les régimes nazi et soviétique. Mais si Zweig peine à s’engager, c’est qu’il préfère dans ses livres se faire l’archéologue des passions amoureuses. Meurtri, devenu en tant qu’écrivain progressiste et juif un paria en Autriche, il s’exile et ne se relèvera pas de ses désillusions. “La terreur que m’inspire l’époque croît jusqu’à la démesure”, écrit-il peu avant d’en finir.
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nemosisworld · 5 months ago
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Il faut aimer à démesure
Ce n’est pas assez que raison
Louis Aragon
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Inka Williams
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e642 · 4 months ago
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Plus je grandis, moi je trouve des attaches là où les autres en trouvent. Je suis de moins en moins quelqu'un de matériel. Je m'ennuie beaucoup. Je passe le temps à le passer. Je ne me maquille plus. Je ne sors plus. Je n'achète quasiment plus rien. Je ne vois pas grand monde qui serait important pour moi. Je ne suis pas vraiment enfermée dans ma relation mais elle ne me plaît pas. Toujours à me demander pourquoi je reste. Je dois l'aimer quelque part, je dois trouver ça dur de partir, je dois avoir peur de la douleur de l'autre, je dois être lâche. On ne partage pas grand chose et j'essaie de me convaincre que ça ne sera pas toujours comme ça et que je ne suis juste pas avec la bonne personne mais en fait, peut-être que c'est ça les relations; un jour t'as plus rien à dire. J'ai souvent plus rien à dire avec les gens. Je ne sais pas de quoi parler. Il n'y a pas grand chose à dire. Je vais ni mal, ni bien, j'existe et je trouve ça déjà très compliqué. L'angoisse n'est jamais loin peu importe ce que j'entreprends. Je suis fatiguée, c'est très insidieux, je me sens lourde et lasse. Les choses qui intéressent les autres ne m'intéresse pas. J'ai du mal à voir autre chose que de la démesure dans le discours, le comportement, les actes des gens. J'ai du mal à comprendre toute cette malveillance et cette haine. Je suis extrêmement calme mais ça ne me rassure pas pour autant, si calme que trop peu de chose m'ébranle ou peut-être que je fais comme si ça ne m'ébranlait pas. Je fais beaucoup comme si parce que c'est plus facile. Et à la fois, c'est plus difficile. Je n'ai plus de compte à rendre, je raconte plus grand chose, j'ai pas les mots, je ne sais pas comment décrire tout ça. Ça me file le bourdon cette vie. Je ne comprends pas comment on peut tant être attaché à l'existence, apprécier ça, s'accrocher à ça. J'ai jamais eu de joie de vivre parce que je ne trouve pas ça joyeux, vraiment pas, on avance juste jusqu'à plus pouvoir. J'ai ce côté nihiliste et fataliste qui me colle aux baskets depuis que je suis petite, il me faut faire beaucoup d'efforts pour entrevoir ce que les gens trouvent évident. Peut-être que le fait de ne jamais rien attendre me paralyse et m'empêche de casser des cercles vicieux ou ouvrir des portes. Pourquoi partir ou changer quelque chose quand j'en ai rien à foutre au fond ? Pourquoi partir ou changer quand c'est neutre ? Pourquoi partir ou changer quand j'aspire à rien d'autre quand j'ai pas d'autres envie quand j'ai pas la sensation de me priver de quoi que ce soit ? Je suis même pas frustrée d'être dans une relation de merde avec quelqu'un qui m'aime pas vraiment et ne considère pas ma valeur, ni frustrée des relations de merde que j'ai avec tout le monde même mes parents, ni frustrée de pas savoir quoi faire, frustrée de rien, je trouve pas ça génial pour autant, j'en ai juste plus rien à cirer, je ressens pas grand chose seulement une sorte de torpeur moite, comme de la transpiration qui suinterait de toutes mes structures internes.
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chris69003 · 1 year ago
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Zaooooo ..buon compleanno Sting 🎂 72 anni oggi ❤️
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