#décrocheur
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Chaque année, près de 100 000 jeunes sortent sans diplôme, ni projet d'études ou de formation, du système scolaire. Ces décrocheurs, l'association AFEV essaye de les raccrocher, de les aider à reprendre le fil de leur vie, en décrochant un contrat d'apprentissage, un emploi, ou en trouvant une formation. Portrait de deux d'entre eux à Grande-Synthe.
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Frôler les murs / Tessae
Tessae, victime de harcèlement, se réfugie dans sa chambre et dans la musique. Jusqu’au jour où elle n’arrive plus à se rendre en cours. Sous prétexte qu’elle vient en cours de musique et qu’elle semble à l’aise pour chanter, certains enseignants considèrent qu’elle est flemmarde. Progressivement prise en charge par une structure médicale, elle est finalement exclue de son lycée. Elle s’en sortira grâce à la musique et aux personnels soignants.
Merci Tessae pour ce témoignage, beaucoup d’adolescents se reconnaîtront. A toi qui n’arrives plus à te concentrer sur tes cours, qui t’es fait insulter de toutes les façons possibles, toi le décrocheur scolaire, personne n’a le droit de te dire que tu exagères, pas même un adulte majeur. Brise le silence car la force que tu as en toi est immense. Frôler les murs, frôler la mort psychique, personne n’a le droit de t’infliger ça, oui tu mérites une place dans la société, ce sont les harceleurs le problème, pas toi.
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L'Inde et le monde entier pleure Sheikh Ismail Sheikh Ibrahim. Ce jeune innovateur décède en testant son prototype d’hélicoptère (Vidéo). Sheikh Ismail, 24 ans, jeune innovateur décède en testant son prototype d’hélicoptère Un décrocheur qui aspirait à construire un hélicoptère est décédé après qu’une des pales de son prototype d’hélicoptère lui ait tranché la gorge alors qu’il le testait. Sheikh Ismail Sheikh Ibrahim, 24 ans, un décrocheur du village de Fulsawangi dans le Maharashtra à Mahagaon tehsil, en Inde, avait construit le prototype d’un hélicoptère monoplace en soudant des tuyaux en acier. Sa passion était de faire quelque chose d’extraordinaire pour faire connaître son village. Alors, il a décidé de construire un hélicoptère nommé « Munna Helicopter », parce que c’était son surnom. https://youtu.be/RUdGG8wbFoo Son ami Sachin a déclaré au Times of India : « Inspiré par le personnage de Rancho dans le film « 3 Idiots », Ismail voulait faire quelque chose d’unique et a donc décidé de construire un hélicoptère dans le village. Après avoir recueilli des informations sur la conception et l’assemblage en regardant des vidéos YouTube, il a commencé à travailler sur le projet de ses rêves. » En deux ans Ismail préparé le prototype d’un hélicoptère monoplace équipé un moteur Maruti 800 pour l’alimenter « Il a fallu près de deux ans à Ismail pour rassembler toutes les pièces nécessaires. Il a également préparé le prototype d’un hélicoptère monoplace en soudant des tuyaux en acier et a équipé un moteur Maruti 800 pour l’alimenter. » Ismail voulait présenter son hélicoptère à tout le village le jour de l’indépendance, il a donc décidé de tester le prototype de son hélicoptère près de son atelier le mardi 10 août devant ses amis. Arrachée du corps et a heurté les pales... Tout le monde a vu Ismail démarrer le moteur. Ensuite, les ailes des pales du rotor ont commencé à se tourner rapidement. Après cela, la pale du rotor de queue a été arrachée du corps et a heurté les pales principales sur le dessus. Avant que quiconque puisse faire quelque chose, une lame cassée a tranché la gorge d’Ismail et il s’est effondré sur le sol. LIRE AUSSI Nigeria: la première femme pilote d’hélicoptère de combat est morte Il a été transporté d’urgence à l’hôpital le plus proche à Pusad. Cependant, il n’a pas survécu. Regardez la vidéo ci-dessous… https://youtu.be/RUdGG8wbFoo
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L'Inde et le monde entier pleure Sheikh Ismail Sheikh Ibrahim. Ce jeune innovateur décède en testant son prototype d’hélicoptère (Vidéo). Sheikh Ismail, 24 ans, jeune innovateur décède en testant son prototype d’hélicoptère Un décrocheur qui aspirait à construire un hélicoptère est décédé après qu’une des pales de son prototype d’hélicoptère lui ait tranché la gorge alors qu’il le testait. Sheikh Ismail Sheikh Ibrahim, 24 ans, un décrocheur du village de Fulsawangi dans le Maharashtra à Mahagaon tehsil, en Inde, avait construit le prototype d’un hélicoptère monoplace en soudant des tuyaux en acier. Sa passion était de faire quelque chose d’extraordinaire pour faire connaître son village. Alors, il a décidé de construire un hélicoptère nommé « Munna Helicopter », parce que c’était son surnom. https://youtu.be/RUdGG8wbFoo Son ami Sachin a déclaré au Times of India : « Inspiré par le personnage de Rancho dans le film « 3 Idiots », Ismail voulait faire quelque chose d’unique et a donc décidé de construire un hélicoptère dans le village. Après avoir recueilli des informations sur la conception et l’assemblage en regardant des vidéos YouTube, il a commencé à travailler sur le projet de ses rêves. » En deux ans Ismail préparé le prototype d’un hélicoptère monoplace équipé un moteur Maruti 800 pour l’alimenter « Il a fallu près de deux ans à Ismail pour rassembler toutes les pièces nécessaires. Il a également préparé le prototype d’un hélicoptère monoplace en soudant des tuyaux en acier et a équipé un moteur Maruti 800 pour l’alimenter. » Ismail voulait présenter son hélicoptère à tout le village le jour de l’indépendance, il a donc décidé de tester le prototype de son hélicoptère près de son atelier le mardi 10 août devant ses amis. Arrachée du corps et a heurté les pales... Tout le monde a vu Ismail démarrer le moteur. Ensuite, les ailes des pales du rotor ont commencé à se tourner rapidement. Après cela, la pale du rotor de queue a été arrachée du corps et a heurté les pales principales sur le dessus. Avant que quiconque puisse faire quelque chose, une lame cassée a tranché la gorge d’Ismail et il s’est effondré sur le sol. LIRE AUSSI Nigeria: la première femme pilote d’hélicoptère de combat est morte Il a été transporté d’urgence à l’hôpital le plus proche à Pusad. Cependant, il n’a pas survécu. Regardez la vidéo ci-dessous… https://youtu.be/RUdGG8wbFoo
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Mardi, chez Art et Vie.
Atelier dessin avec les jeunes de la classe des décrocheurs du lycée Victor Hugo.
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🤔Suite à ma Formation sur les risques psychosociaux au travail. Je corresponds au premier niveau de souffrance au travail. J'accepte.Je reconnais.😏 ➡️Démotivation, ➡️baisse d'implication ➡️ plaintes générales sur le sens de mon travail, l'institution, les valeurs ➡️Je fais le strict minimum, et je m'éclate ailleurs, je compense... Mais ça ne peut pas durer ainsi. Source : ORHA, cabinet de conseil en gestion et management des ressources humaines à Narbonne. 🔹🔸🔹🔸🔹🔸🔹🔸🔹🔸🔹🔸🔹🔸🔹 #profdesecoles #professeurdesecoles #professeurdesécoles #profdesécoles #risquespsychosociaux #orha #decrocher #décrocher #decrocheur #décrocheur #décrocheurcompensé #decrocheurcompense #changerdemetier #changerdemétier #changerensemble #changerdetravail #réflaction #acceptation #accepter #reconnaissance #blogueurpositif #blogging #bloginspirationspositives #inspirationspositives #toutestpossible #reconnaitre #reconnaître #obtenirenfaisantreussir (à Narbonne)
#decrocher#reconnaitre#decrocheur#reconnaissance#réflaction#obtenirenfaisantreussir#blogueurpositif#accepter#décrocheurcompensé#acceptation#changerdemétier#decrocheurcompense#toutestpossible#orha#changerdetravail#professeurdesecoles#blogging#décrocheur#professeurdesécoles#profdesecoles#profdesécoles#bloginspirationspositives#reconnaître#risquespsychosociaux#changerensemble#décrocher#changerdemetier#inspirationspositives
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C’est une victoire retentissante pour les décrocheurs de portraits présidentiels : deux activistes écologistes d’ANV-COP21, jugés devant le tribunal correctionnel de Lyon pour avoir réquisitionné un portrait d’Emmanuel Macron, ont été relaxés ce lundi 16 septembre.
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Les Décrocheurs de Lune #lune #space #réussite #mensonge #envie #paraitre #moyen #énergie #passivité #sebattre #baccalauréat #collage #visualyon https://instagr.am/p/Ce2sQ8fKOgd/
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Tempus fugit irreparabile. Et vous ?
Le temps des vacances est revenu, pour nos petits écoliers qui ont tant de mérite à ne pas devenir des “décrocheurs” …ou ne pas jouer au changement de “genre” ! Heureusement que leurs programmes sont de moins en moins lourds, car il leur faut, en plus de ce à quoi nous devions penser, gérer des tonnes d’interrogations : “Ce matin, dois-je porter le masque ou non ? Dois-je rester à la maison, à cause d'une grève des profs, des bus, des cantines, etc ? Le vendredi, est-il un jour en présentiel ou en absenciel ? Qui n'est pas vacciné combien de fois, pour que je lui tourne le dos… ou pas ?“ Ou, plus grave : ‘‘De quel sexe suis-je –et en ai-je un, d'ailleurs ? Dans quelles toilettes, genrée ou non, dois-je aller, à la récré ? Vais- je décider de changer de sexe (ou de prénom), vers 11 h 45 aujourd’hui, ou bien vers 16 h 14, demain… ou les 2 peut-être, dans un sens puis dans l'autre, pour voir ?''...
La vie est devenue trop difficile, décidément ! Entre la logorrhée ininterrompue des malades du réchaufftruc climachin qui ont carrément volé l'enfance de nos chers petits et la joie de vivre de leurs parents (pour ceux qui suivent, c'est nous, ceux-là !), les admonestations non-stop des médecins-du-JT qui se rêvent politichiens de garde et celles des politiques dont l'impoli tic (je l’aime bien, celle-là ! Je vais la ressortir !) consiste à se cacher derrière le petit doigt des précédents (“à chacun son métier… et les vaccins seront bien gardés” !), entre les jérémiades des anti-populistes chroniques et celles de européistes contrariés, les grincements des progressistes, les malédictions des anti-pro-trans-sexuels, des transgéniques (ta mère ?), des tranhumanistes inhumains et des transpirants que tout ça fait suer, les viols des curés-transgresseurs et les monsignori violets, mais rouges –de honte, et les trans-porteurs de migrants (mi-grands, mi-petits), et avec, en plus et depuis peu, la perspective redoutée-recherchée (c'est selon !) d'une zémmourisation non-déclarée (on dit “a-symptomatique’’, je crois…) du néo-référentiel sociéto-électoral et socio-lexical (ou l'inverse !)… avouez qu'il y a de quoi comprendre ceux qui ont compris qu'ils n'avaient rien compris… et qui abandonnent un job à 250 k Euros/an (service compris) pour aller traire 3 brebis dans le Larzac en se (les) caillant dès qu'il va neiger (comme les Hippies des années soixante, il y a soixante ans…)…
Devant la quadrature du cercle de ces problèmes au carré, j'ai donc décidé de réagir, et au moment de nous quitter temporairement sur des notes un peu plus gaies que celles que l'environnement, les circonstances et la suite des jours laissent comme seules portes d'issue à un pauvre ’'blogueur” déçu qui va s'arrêter pour quelques jours, j'ai donc eu envie de vous raconter un mini-drame qui m'a frappé récemment (rassurez-vous, “il n'y a pas mort d'homme”, comme le regrettent les féministes). C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit… enfin, pas tout à fait : ça, c'est de Racine ! Bref un soir récent, tout d'un coup, Paf ! Pif ! Pan… Plus d'internet, plus d'ordinateur, plus de connexion, plus rien… ce qui revient à une mort atroce par asphyxie assurée, en quelques secondes ! Aussitôt, exactement comme vous l'auriez fait à ma place, j’ai titillé tous les bitoniaux, j’ai doigté “Alt-Ctrl” sans savoir pourquoi, j’ai bidouillé, insulté, tripatouillé, vociféré, et trifouillé : Rien. Mais alors… ce qui s'appelle “rien” (dont la définition est, si on en croit Wikipedia ‘’soit le néant, soit un vide, soit quelque chose” (ça ne s’invente pas !) Étymologiquement, le mot “rien” est d'ailleurs issu de (et veut dire) quelque chose, du nom latin res = “la chose”… bien que, ajoute Wikipédia avec sagesse, ’’Ne rien’’ signifie ‘’ne pas quelque chose’’… Cette dernière information, qui manquait à ma culture (?), m’a permis de comprendre pourquoi j'avais perdu mon latin. Ô rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie, n’ai-je donc tant vieilli que pour cette infâmie?
Petite crise d'introspection culpabilisante et rapide “Mon Dieu ! Qu'est-ce que j'ai encore fait ?”, suivie de l'inévitable crise d'auto-punition maso-contrite qui est si prisée de nos dirigeants dès qu'il y a un algérien dans les parages : “Je suis vraiment très nul !“, aussitôt suivie des remarques de bon sens : ’'Je vais finir par devenir fou” (complètement, je veux dire !) et :’'J'aurais dû faire de la politique… De guerre las et guère là, je suis parti dans la pièce voisine où trône, dans sa majesté contestée, prétentieuse et redondante, non pas Macron mais un récepteur de télévision… Et là… Bingooo ! Mon brave ‘’ordi’’, mon bras droit, qu’avec respect toute l’Espagne admire, qui tant de fois a sauvé cet empire, tant de fois affermi le trône de son roi etc… m'apprend, via C-News, la seule chaîne fréquentable, qu'il vient d'y avoir, je ne sais où mais partout, une panne générale dont le responsable (donc coupable, j'y tiens !) est ou serait l'expiration d'un vieux certificat de sécurité qui a engendré un bug qui a asséché tout accès à Internet. J’en ai crié en silence !
Pour que vous compreniez de quoi il s'agit, j'ai pu me renseigner, sans saigner, mais “vous le valez bien”, en dehors même du nombre des années. Explication : “Le certificat fourni par l'entreprise Let’s Encrypt se nomme "IdentTrust DST Root CA X3” et il agit comme une validation numérique d'un autre certificat lié, “l'ISRG Root X1”. C'est ce dernier qu'identifient les navigateurs internet et les serveurs avant d'autoriser l'accès à leur plateforme’’. (NDLR : Je suis sûr que vous avez tout compris, mais je peux tout répéter, au cas où vous avez un p’tit doute).
Traduction en clair : je n'y suis pour rien ! Ouf ! Vous rendez-vous compte de ce que cela signifie ? Que pour une fois, ce n'est pas moi que l'opinion publique doit impérativement condamner, conspuer, con-bafouer, con-vilipender, con-fondre, con-tout sauf “forter”. Il faut dire que, entre mes opinions politiques assez peu correctes, mes choix sociétaux pas très “dans le coup”, mes goûts ‘’complo-perso’’ résolument pas macroniens (mais vraiment pas… Pas un seul !), mes bulletins dans les urnes aveuglément à Droite, mes sympathies pour les pays du Pacte de Visegrad, ma méfiance motivée pour tout ce qui concerne les migrations et l'immigration, les transgenres et les défilés de Drag-queens, le transhumanisme et le mariage pour tous (pas tant le fait lui-même que ce que la Taubira en a fait), mes réserves sur la vaccination avec un non-vaccin (ayant eu 2 cancers, je tiens à ce que mon système immunitaire ne soit pas forcé de ne s'occuper que d'un seul ennemi à la fois), ma sympathie “pas encore militante, mais…” pour les idées de Zemmour et mon refus global du faux progrès qui n'est que changement pour le changement… tout cela m'a mis dans le viseur des “tireurs des litres” des forces anti-contre progressistes d’LREM… Tout ce qui m'innocente de ce que je n'ai pas fait est donc le bien venu !
Bref, en un mot comme en sang, je termine ce demi-trimestre sans être montré du doigt (c'est un donneur, ce doigt !), sans même être voué aux gémonies et à leur hégémonie, sans mériter des remontrances d'Attali, de Minc, d'Hannouna, de Ruquier, de Bénalla, de McFly et Carlito, d'Hernotte, de Mila, de Gaëtan Matis et des autres nuls, tordus, pervers et maîtres-à-penser-de-traviole dont la macronie raffole (“Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es”… affirme le proverbe)
Je puis donc vous souhaiter, en pleine sérénité et sans cent arrière-pensées, de bonnes vacances dites “de mi-trimestre” pour ne pas prononcer le mot ’'Tous Saints”, ce qui n'est vraiment pas le cas ! Je souhaite ne pas avoir trop de catastrophes à égrener lorsque nous nous retrouverons, même si, vu d'ici, ça n'a pas l'air d'en prendre le chemin. Malgré tout, je me réjouis d'avance de vous retrouver, chers amis-lecteurs, le Jeudi 4 novembre 2021 si Dieu le veut –’'date à reporter sur vos agendas’’ selon la formule consacrée. A très bientôt, et merci, du fond du cœur, pour votre fidélité et pour votre indulgence à mes élucubrations. Surtout celles d'aujourd'hui, particulièrement ‘’déconnantes’’, vacances obligent !
H-Cl.
PS -- Juste au moment où je vais expédier ce ‘’billet’’, arrive sur mon écran une information qui rend angoissante ma ‘’charge’’ d’hier : d’après une étude de l’Université de Bath (UK), ‘’45 % des jeunes anglais souffriraient d’éco-anxiété’’.
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Macron, champion du climat, vraiment ? 🌍 Détournement du portrait présidentiel pour @artists.for.climate en soutient aux décrocheur•se•s de portraits qui dénoncent l'inaction de notre gouvernement face à l'urgence climatique et sociale. . #president #macron #portrait #portraitdrawing #emmanuelmacron #champion #climat #climate #climatechange #actionclimat #5yearslater #parisagreement #accorddeparis #illustratorsoninstagram #illustration #illustrationdrawing #drawingoftheday #digitalpainting #digitalart #paintingoninstagram #mrpresident (à Élysée – Présidence de la République française) https://www.instagram.com/p/CI0yKSsjx9H/?igshid=1uvn0byzk2hbt
#president#macron#portrait#portraitdrawing#emmanuelmacron#champion#climat#climate#climatechange#actionclimat#5yearslater#parisagreement#accorddeparis#illustratorsoninstagram#illustration#illustrationdrawing#drawingoftheday#digitalpainting#digitalart#paintingoninstagram#mrpresident
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La réussite d’un décrocheur scolaire, TP final
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J’envie les gens comme ton anon qui ont le luxe de pouvoir être pour l’abolition de la police. Pendant ce temps moi en banlieue je sors même pas mes poubelles le soir parce que le harcèlement de rue et les violences sont monnaie courante. Quand je vais en boîte je m’habille dans les toilettes parce que si je sors de chez moi avec une mini jupe c’est les insultes et les grossièretés à tout vas. Je suis contente quand la police est là, je peux souffler un peu au moins.
Ah ben je te comprends totalement, et je ne suis pas pour l'abolition de la police non plus. J'ai déjà vu des gens qui parlaient de "féminisme carcéral" pour qualifier les féministes qui demandent des peines plus moi lourdes pour les viols / agressions sexuelles et c'est tellement risible.
Pour moi, la priorité c'est les femmes et les filles, leur sécurité. Et ce qu'il se passe en banlieue depuis des années c'est la priorisation systématique, au niveau familial pour des raisons culturelles mais aussi au niveau institutionnel, des garçons et des hommes. Là je viens de voir un document distribué dans l'académie de Créteil qui demande aux établissements de privilégier la réintégration des élèves décrocheurs masculins, aux dépends des filles décrocheuses. A priori officieusement c'est parce que justement, la délinquance et les nuisances augmentent.
Donc on ne responsabilise pas les parents, on n'assure pas la tranquillité des habitants de ces quartiers et on demande, comme d'habitude, aux filles de payer les pots cassés. Peut-être qu'elles devraient tout péter et faire du tapage nocturne pour qu'on se préoccupe de leur éducation ? Surtout quand on connaît la montée dramatique de la prostitution des jeunes filles en banlieue, il est urgent de protéger les décrocheuses. Mais non.
Le problème n'est pas près de se résoudre avec ce genre d'initiatives !
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EDUCATION NATIONALE : SUJET PHILO « spécial confinement »
Avant de commencer, j’inaugurerai ce billet de blog par une mise au point éthique :
- Tumblr est mort, vive Tumblr
- Je n’ai jamais mangé d’élèves de ma vie.
- Je ne fais pas partie des personnalités à suivre sur Twitter même si je ne parle essentiellement que de moi-même.
- Je suis professeur dans un lycée ZEP. Certifiée. Pas agrégée. Une admissibilité qui m’a convaincue que le savoir institutionnel et formel n’était pas fait pour mon esprit retors aux figures imposées. A ce sujet, j’ai écrit une pièce de théâtre sur la crédibilité démesurée que confère un concours, véritable activateur de réflexes de classes et de hiérarchie. Elle est inachevée et je souhaite la terminer pour la faire publier. Entre temps, j’ai eu un enfant et le besoin de montrer au monde entier la production de mes petites crottes pour prouver que j’existe et que je suis intelligente s’est quelque peu tari. Au demeurant, j’ai des amis agrégés très sympas ;-) !
- J’aime mon métier mais il est loin de me définir et j’ai pour philosophie de vie de ne jamais laisser un travail me pourrir la vie. J’ai fait mienne cette Antienne : il faut travailler pour vivre mais non vivre pour travailler. « Mais chanter, rêver, rire, passer, être seul, être libre… ». L’hyper-activité corrélée à l’oisiveté paresseuse rendant possible des créations gratuites comme horizon indépassable !
- Question éducation et sécurité, je suis conservatrice de droite voire « populiste de droite » pour les gens de gauche.
- Pour le reste, je suis trop souverainiste pour des libéraux de droite et gauche.
- Sur le plan humain débarrassé de toutes considérations politiques, je ne suis pas du tout sectaire.
- Je ne fais pas véritablement partie d’un clan et d’une team. Mon côté anarchiste.
Maintenant,
commençons,
Si comme l’écrit Annie Ernaux, ce temps de confinement est « un temps propice aux remises en cause, un temps pour désirer un autre monde », nous pouvons espérer un réel changement. Un nouveau logiciel serait alors disponible après cet épisode de pandémie avec recensement des erreurs du passé, garde-fous pour ne pas se retrouver dans l’impasse, réalisation concrète de nos espoirs.
C’est peut-être oublier un peu vite la pluralité des visions du monde qui caractérise l’humanité. Mais bon, prêtons-nous au jeu avec cet esprit caricatural qui va bien.
Si l’Education Nationale demande de plus en plus à ses profs de rendre des comptes, pourquoi ne demanderions-nous pas à l’Education Nationale de rendre les siens afin de regarder en face l’étendue de ses problèmes.
WARNING pour éviter les faux procès : Vous allez lire le point de vue d’une seule personne qui rend compte de situations rencontrées dans quelques établissements scolaires mais qui fait de ce cas particulier une généralité. Partons du principe que tout est biaisé !
Point numéro 1 : La question de l’intérêt individuel et de l’intérêt général
Le monde d’avant :
Le monde de l’éducation nationale a longtemps été préservé des logiques managériales. Or, depuis quelques années, rien ne va plus. Conscient d’être hors-jeu et différent du monde de l’entreprise, il a alors voulu absorber le pire de ce que le privé a pu expérimenter. Ce dernier s’est entre temps tourné vers d’autres pratiques, certains domaines du privé ont su réfléchir aux écueils du management « vieille école » tandis que l’éduc’ nat’ rend compte d’un retard assez pathétique en ne jurant que par lui. Quelles sont les traductions concrètes de cette idéologie managériale d’un autre âge ?
En premier lieu, le jargon pédagogique risible applaudi par des gens ennuyeux qui existent sans vivre, est un premier maillon de la chaîne. Quand on a décidé de vider l’école de sa substance fondamentale : apprendre, lire, écrire, compter sans circonvolutions ludiques destinées à des « apprenants autonomes et responsables », il fallait bien servir à quelque chose et proposer des alternatives : déconstruire l’essentiel pour créer des myriades d’initiatives accessoires. Et le temps de l’innovation et de la pédagogie du projet fut ! En second lieu, l’individualisation des carrières structurée autour d’une valorisation du mérite personnel, pourtant totalement en trompe l’œil au vu de l’éclosion du nombre de lèche-culs sans personnalité, a fracturé un métier dont la concurrence entre ses employés était rare. Rare car sans fondement : quand on apprend que 2 et 2 font 4, faire mieux que les autres n’a guère de sens. Je ne renie pas le besoin de concurrence dans certains domaines mais avoir introduit cette notion au monde de l’éducation sans l’assumer vraiment en plus (là est peut-être le pire), c’est tellement con que je n’ai même pas envie de finir ma phrase. Ainsi, concomitamment à une mise en place d’un team building , de façade et parfaitement hypocrite - « RIEN DE MIEUX QUE LE TRAVAIL D’EQUIPE » nous disent les super-profs - on a assisté à la mise en avant d’une minorité très active et très visible dans les rectorats et les instances de direction, soutenue par l’autonomie des établissements pour prendre le pouvoir au détriment d’une majorité silencieuse, faisant le taf sans se vendre. On y est : le monde de l’éduc’ nat’ est devenu un biotope où l’individu qui sait le mieux se vendre peut être le mieux récompensé. L’éduc’ nat ‘ a importé dans son fonctionnement structurel la logique des gagnants et des perdants. Les premiers gagnant par beaucoup de vernis et les seconds perdant à cause d’une honnêteté malvenue. Les premiers sauvés par leur optimisme leibnizien, les seconds perdus par leur perception négative du monde. Or, dire que tout va bien confine ( !) à de la propagande. Et voilà venu le règne des méritants triomphants qui ont eu le talent de croire en une idéologie qui pense que faire apprendre la règle de 2 + 2 = 4 selon des méthodes guidées par des recherches pédagogiques innovantes aident à mieux apprendre. Et voilà venu le temps des profs « Apple » : une meilleure com’, un meilleur réseau, un meilleur emballage, une meilleure ergonomie etc. Et au milieu de tout ce paysage aussi désopilant que désolant, on a certains syndicats complices de ces agissements parfois eux-aussi plus obnubilés par leurs propres intérêts.
Le monde d’après :
« On ne saurait faire boire un âne s’il n’a pas soif » mais ça, c’était avant les vertus didactiques qui ont montré l’étendue de leur réussite n’en déplaisent aux études montrant que la France a un système scolaire extrêmement inégalitaire où « un élève défavorisé français a cinq fois plus de risques d’être en difficulté en lecture qu’un élève d’un milieu social élevé. » et aux comparaisons entre les pratiques austères et chiantes des bons établissements avec les ressources inventives et ludiques des établissements dont les élèves cumulent des difficultés sociales et scolaires. (voir le point numéro 3)
Le besoin de reconnaissance de l’être humain étant infini, je suggère donc d’accentuer le mode de récompense des profs innovants par la mise en place par établissement d’une réunion hebdomadaire entre ces super-profs et leur hiérarchie pour s’auto-congratuler pendant une journée. Cela permettrait de laisser les autres profs se vautrer dans la médiocrité de leurs pratiques et de s’user un peu plus vite devant des classes difficiles. Pour le dire autrement, la majorité des autres profs qui se contentent d’enseigner et surtout de répondre aux attentes peu sexy des examens, pourraient rester à leur place sans faire d’ombre aux autres. Ainsi, en laissant aux profs « Apple » ne jurant que par le travail d’équipe mais pourtant incapables de travailler avec les autres, trop mus par la rigueur d’un intérêt général trop chiant et idéaliste, le soin de ne travailler qu’entre eux, le fayotage aura moins de raison d’être puisque la hiérarchie applaudira le talent de ces gagnants ultra bosseurs, tous les jeudis en salle C450. Je suggère également et dans la logique de ce qui précède qu’on double ou triple les salaires des bons vendeurs de l’éduc’ nat’ ayant su se transformer grâce notamment à la pertinence de leur réseau et ce, via une grosse prime au mérite tout en baissant la paie des profs payés à rien foutre ou à se plaindre et à souligner une supposée absurdité de l’école publique française. Si l’on veut privatiser l’école, autant la privatiser comme il faut sans faire les choses à moitié. Les gens bons dans un domaine sont généralement plus payés que les autres. Valorisons les profs mielleux devant des proies faciles qui acteront leur (petite) puissance, choyons ceux qui savent ramener des subventions ou interroger leurs pratiques péda en s’auto-congratulant dans les internets.
Point numéro 2 : La magie du numérique
Le monde d’avant :
Il paraît que la performance éducative ne s’évalue plus par la réussite aux examens ni par la maitrise des fondamentaux (écrire sans faute d’orthographe ou de syntaxe, comprendre ce qu’on lit, écrire simplement mais efficacement et compter). Non, la performance, c’est avant tout une « aventure humaine », un lien tissé entre l’apprenant et le professeur et encore et toujours des inventivités techniques et didactiques. L’école numérique était déjà la marotte de beaucoup d’acteurs de l’éducation alors avec une période de pandémie, sa valeur ajoutée a triplé ! L’école numérique qui a désormais sa Délégation Académique (DANE) a bien compris que la génération YouTube allait kiffer la réalisation innovante de capsules vidéos trop ludiques faites par des profs motivants pour accrocher les jeunes. Pour ma part, je m’y mets le jour où le bac comporte une épreuve en format YouTube. Et à ce moment là, je m’initierai au montage pour faire des vidéos sur Molière dans lesquelles j’arborerai des perruques multicolores, parfait mélange de l’ancien et du moderne, pour dire tout le bien ou le mal d’un de ses textes tout en balançant quelques formules drôles pour capter les décrocheurs scolaires. OUI PARCE QUE MOI AUSSI, SUIS PAS LA DERNIERE A RIGOLER ! La période est au grand oral, aux concours d’éloquence et pour sa, pas besoin de savoir parlé le francé ni de savoir argumenté. Il suffit de savoir comblé du vide par des formules creuse qui ne veules rien dir. La période est à la croyance que le nombre de vues est synonyme de qualité. Un tweet très visible avec un grand nombre de RT ou un un post facebook très suivi ne doivent pas être mauvais puisqu’ils plaisent au plus grand nombre …
Il faut vivre avec son temps, madame ! (à dire avec la voix du préfet Lallement et en pensant à la scène mythique entre princesse Leia et DV)
Il n’est donc pas du tout de bon aloi de pointer les failles, l’utilité réduite d’une école numérique ni le côté obscur de ce même numérique puisqu’il va sans dire que les mises en garde sont le fait de vieux cons dépassés en situation de faillite générationnelle et les expériences malheureuses ne sont que le fruit gâté d’une mauvaise relation entre le prof et ses classes. Les élèves déjà ingérables en présentiel à cause de la faute des mauvais profs qui devraient changer de métier pour se reconvertir en cueilleurs de fraises, s’amusent beaucoup dans l’espace virtuel qui confère une impunité encore plus grande qu’en classe. Et c’est dire !!!! Et bien, laissons les faire. Au moins, ils ne font pas partie des statistiques d’élèves en situation de décrochage puisqu’ils trollent une séance de cours. Et c’est le principal. Ce qui compte, c’est de rendre visible le 1% qui va bien et de cacher sous le tapis tout le reste. Pourtant, les élèves déjà largués en présentiel à cause de leurs mauvais profs, se retrouvent seuls et en perdition face au travail. Envoyer un google doc peut s’avérer compliqué pour des élèves, même impossible pour ceux qui n’ont pas d’ordinateur chez eux. (J’ai une classe de seconde dont aucun élève ne m’a envoyé son travail sous un format word. C’est plutôt en mode « capture d’écran » souvent envoyée à l’envers. J’ignore si c’est par manque de matériel ou par méconnaissance des fondamentaux numériques. La fracture numérique ne toucherait donc pas que les personnes âgées ? Pourtant, cette année, nouvelle réforme oblige, tous les élèves de seconde ont une heure par semaine consacrée à la « science numérique et technologique »). Mais, tous ces cas qui viennent noircir le tableau contredisent les chiffres, infaillibles : seulement « 5 à 8% d’élèves perdus depuis le début du confinement » nous assure le ministre de l’éducation nationale.
Le monde d’après :
Ce même ministre prévoit « Des états généraux du numérique pour faire le point sur les enseignements positifs qu’on veut tirer de ce qui s’est passé ». Alors, mon petit doigt me dit qu’on ne dira pas que les élèves autonomes s’emparent des outils numériques avec aisance quand les élèves qui cumulent des lacunes et des conditions de travail plus difficiles sont à la traine avec l’école numérique et que les écarts déjà grands entre les deux profils s’agrandit fatalement. Non, on continuera à penser et créer les choses pour un public minoritaire afin de souligner la pertinence de la virtualité pédagogique. Et on continuera à accuser les profs. Facile mais habile. Quoique … Je suggère donc, si une pandémie venait à se reproduire, de choisir un super-prof « Apple » par matière qui excelle dans la maitrise de la classe virtuelle, de l’autorité bienveillante et de la pédagogie positive affranchie de notes pour qu’il fasse classe à l’ensemble des élèves d’un établissement. Grosse prime à la clé. Pendant ce temps, mise en disponibilité des autres profs (donc pas payés) occupés à aller ramasser des fruits, à prêter main forte aux agriculteurs, soignants et caissiers. Au moins, ces feignasses seront utiles vu qu’ils ne sont pas foutus d’utiliser les ressources originales et révolutionnaires de la ludification numérique pour motiver les élèves.
Point numéro 3 : Les difficultés scolaires des élèves dans les établissements ZEP ou moyens et le niveau des élèves des bons établissements publics et privés
Le monde d’avant :
« Les élèves ». Entité abstraite aussi absurde que « les français ». Il existe des établissements privés sous contrat ou d’autres publics mais assez prestigieux dans les grandes métropoles qui virent des élèves quand ces derniers ont 12-13 de moyenne. Il existe des établissements ZEP qui encouragent voire félicitent pour moins que ça. A partir de là, comment ne pas penser que le contrôle continu donne une vision complètement erronée d’un niveau d’élève. Un 12 à Janson De Sailly à Paris ou un 12 à Joliot Curie à Nanterre, c’est bel et bien le même chiffre. Pourtant, entre les deux, il y a l’élitisme délirant qui fait face à la démagogie la plus sale. Dans les établissements ZEP, on demande aux profs, comme partout, de rendre des comptes sans en demander réellement aux élèves. Des professeurs sont passés maitres dans l’art de la survalorisation pour s’acheter la paix et des conditions d’exercice plus sereines et en accusent d’autres de saboter des élèves au prétexte qu’ils mettent de trop mauvaises notes. Pourtant, les mensonges démagogiques creusent les écarts déjà béants entre les différents profils socio-culturels des élèves en rendant les bons encore meilleurs et les moins bons encore plus mauvais. Or, laisser l’exigence et la rigueur, valeurs de réacs comme chacun sait, aux bons milieux sociaux, c’est lâche et in fine très éloigné d’une mission de service public. En outre, le niveau réel d’une majorité d’élèves moyens ou en difficulté contraste vivement avec les attentes d’un programme toujours pensé pour cette minorité de bons élèves. Pourtant, malgré ces disparités criantes, le programme est identique d’un établissement à un autre. Dans une telle situation, la surnotation a toute sa place. Et elle a le vent en poupe, la bougresse ! Mais cette falsification des notes ne suffit pas à masquer un niveau parfois dramatique dans les établissements qui agrègent des difficultés sociales et scolaires. Des élèves de 16 ans semblent déchiffrer quand ils lisent. Les textes écrits dans une langue autre que celle du 21ème siècle sont perçus comme écrits dans une langue étrangère et donnent lieu à des silences abattus. Ces textes incarnent de cruels miroirs tendus dans lesquels toutes les difficultés scolaires accumulées prennent forme. La transmission des bases méthodologiques pour affronter les épreuves du bac se heurte parfois à des murs d’incompréhension en dépit de la répétition qui fait partie du métier de prof. Les questions sur l’utilité de la connaissance et de la méthode pour être dans les clous d’un examen « à quoi ça sert de structurer, à quoi ça sert de savoir tout ça, à quoi ça sert de lire et d’argumenter, d’analyser, de développer etc » se posent encore au lycée général. Le nombre d’orientation par défaut augmente vu que le bac pro est devenu très sélectif et que les places sont chères. De plus, face aux difficultés rencontrées par beaucoup d’élèves, la charge de travail demandée est réduite et ce travail est parfois démesurément mâché par le corps enseignant consciencieux dans le but de faire réussir ses élèves. A ce sujet, je suis très circonspecte à l’égard des « modules de soutien gratuits » qui seront mis en place pendant les vacances d’été pour aider les élèves le plus en difficulté. Comment mobiliser pendant le temps sacré des grandes vacances des élèves qui n’ont jamais su car il n’ont jamais pu travailler correctement. Comment des élèves reproduisant année après année le même scénario des efforts trop irréguliers les inscriraient soudainement dans la durée ?
Dans le même temps, ça bosse dur dans les établissements dans la normale supérieure ! Sans forcément passer par des cours particuliers d’ailleurs. Ça bosse car depuis le primaire, l’environnement familial assure un suivi régulier de la « chose scolaire » et s’assure que les fondements sont bien cimentés.
Et, comble du comble, il n’est pas rare d’appeler des profs de ZEP pour faire passer les oraux du bac français dans de très bons établissements. Forcément, ils sont totalement surpris par un tel niveau et les notes tutoient les cimes. La reproduction sociale est assurée. D’ailleurs, elle n’a même pas besoin du concours du prof habitué à surnoter pour se pérenniser. A côté, le candidat du lycée moyen ou ZEP qui n’a pas travaillé et ce, depuis des années d’école où, en souffrance, il traine ses lacunes comme un terrible boulet dévalorisant, a des difficultés d’expression, ne connaît aucune notion, il a 6 voire 7 s’il est de bonne volonté. C’est rare de descendre en dessous de 5. Et finalement, un 7/20 c’est bien payé à côté du tueur dont la prestation surpasse le 20/20.
Bref, les exigences des programmes restent inchangées. Les épreuves de français restent nationales. Seuls les critères de notation sont pensés pour éviter les taules et masquer l’inégalitaire système scolaire français.
En BTS, c’est guère mieux. L’épreuve de culture générale demande des capacités de raisonnement loin d’être évidentes et c’est la même depuis 30 ans. Entre temps, le recrutement des élèves a changé. Plutôt que d’adapter l’épreuve aux nouveaux profils d’étudiants, on préfère réduire les critères de notation pour éviter des cartons. Ne pas descendre en dessous de 7-8/20 sauf dans le cas de copies résiduelles quasi vides. Un 8 coef 2 est largement rattrapable. Pourtant, la copie cumule une expression extrêmement fautive, une compréhension souvent hasardeuse des documents, une mauvaise utilisation de la méthode, pas encore acquise au bout d’un cycle de deux ans d’étude, des arguments creux voire des contre-sens.
Le monde d’après :
Je suggère d’assumer la surnotation et la démagogie. Ainsi, on ne se voilera plus la face. Les statistiques seront bonnes pour quasiment tous les élèves d’un établissement ZEP et les 10% de bons élèves de ces mêmes établissements seront également gagnants puisqu’ils verront eux aussi augmenter leurs notes. Parmi ces 10%, 2% accèderont à des grandes écoles ou à des prépas et deviendront la preuve que non, le niveau ne baisse pas et que oui, grâce au travail d’équipe des profs Apple, on peut parvenir à faire réussir des élèves issus de milieux défavorisés. Les congratulations, les quelques likes, RT ou nombres de vues sur les réseaux sociaux suffiront à étouffer les voix dissonantes, sortes de visiteurs occidentaux dénonçant après coup, la propagande d’un kolkhoze soviétique qui a pourtant montré que tout allait pour le mieux. Enfin, on pourra institutionnaliser la pratique du quizz interactif et les projets déconnectés des attentes du bac. On forme des citoyens et pas des machines à examen ! On ne descendra plus en dessous de 9/20. On « cultivera une attitude d’apprentissage serein ».
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Procès du siècle pour le climat et décrochages des portraits de Macron : au moins 300 personnes (à vue de nez) place Guichard pour la manifestation de soutien aux décrocheurs jugés à Lyon. https://ift.tt/2ZG62c4
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Une vingtaine de militants écologistes qui ont osé décrocher des portraits du président de la République un peu partout en France sont poursuivis pour « vol en réunion ». Même des journalistes et des youtubeurs qui couvraient ces actions symboliques contre le réchauffement climatique ont été interpellés ou convoqués par les forces de l’ordre. Un zèle particulièrement « insolite » selon des magistrats qui rappellent que policiers et tribunaux ont d’autres priorités que de juger en urgence des faits d’une « d’une gravité très modérée ».
#France#Emmanuel Macron#mégalomanie#répression#portrait#désobéissance civile#écologie#changement climatique#justice#police#journalisme
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L’EXPO ZÉROZOÏSTE : Montre l’ouverture d’esprit Zérozoïste par un show de tableaux, d’œuvres et hors-d'œuvre Zérozoïstes! Expo où la variété extrême, antagoniste, et la virtuosité de Zéro Zoo valent 50 artistes! Peindre à vie le même tableau, style ringard ou intello, être un subventionné encultureur du n’importe quoi, artiste-fonctionnaire en série, suceur, collabo, non! Expo antistandardisation, dissidente, innovante, de suprématie d’art. Visite muséale de 374 oeuvres et notes atypiques. Laxatif et knockout pour cultivés, donateurs à des musées, galeristes, artistes moulés, commissaires-priseurs, directeurs de musée, de magazines d’art, critiques : à 95% flics arrogants et figés de l’art.
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2 VERSETS DU PRÉCIS :
L’art, la vie, les mœurs et modes de la culture Zérozoïste sont définis ou non, simples, complexes, rockers, sexy, ils se créent à mesure, changent. L’art et la pensée Zérozoïste éclatent dans les tendances et styles Zérozoïstes, d’avant-gardes, d’arrière-gardes, centres, autres. Mouvance déjouant les académismes.
Le ZÉROZOÏSME est un oeil magique ouvert sur la modernité du temps, de l'espace, de l'ailleurs, du sentiment neuf qui bouge. Il est la neuve lumière bifurqué et s'exprime sous forme de sténo, code et morse de toutes possibilités. Il est la mutation de l'art, de la pensée, un révélateur sensuel, orgasmique du temps présent inventé. Il est l'idée d'une idée qui dépasse ce que tous les arts et philosophies ont tenté d'imaginer. C’est un luxe, une folie, un rêve, un champagne, un plaisir grisant, un passeport.
Auteur : François-Pierre Bleau dit ZÉRO ZOO
Peintre, idéologiste, créateur multiple, dealer de drogue d’art Zérozoïste.
Version en orthographe normale. Il y en a une en Zérozoïste.
SITE DU PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME
VIDÉO TEASER DU PRÉCIS DE ZÉROZOÏSME
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