#crêpes au poulet
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FFXIVWrite 2024 - Day 15: Free Day
LA BATARDE
ENTREE
Soupe au Pistou Pistou Soup
Soupe à l'Oignon Onion Soup
Gougères Sauteed Pastry With Cheese
Lentilles Du Puy Mijotées Simmered Du Puy Lentils
MAINS
Cassoulet de haricots, saucisse fumée et poulet Cassoulet of Beans, Smoked Sausage, and Chicken
Ratatouille de légumes d'été Ratatouille of Summer Vegetables
Coq Au Vin Stewed Poultry In Wine
Fricassée de poulet au pain grillé Chicken Fricasee With Toasted Bread
DESSERT
Fromages d'Eorzea Cheeses Of Eorzea
Crêpes aux baies de Gridania et sirop Crèpes with Gridanian Berries and Syrup
Tarte aux pommes avec glace Apple Tart With Iced Cream
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Les crêpes a la viande: un plat savoureux et nourrissant
Les crêpes à la viande sont un plat traditionnel présent dans de nombreuses cultures à travers le monde. Elles constituent une alternative savoureuse et nourrissante aux crêpes sucrées, et peuvent être appréciées aussi bien en plat principal qu'en entrée ou en snack.
Un mélange de textures et de saveurs La combinaison de la crêpe fine et moelleuse avec la garniture de viande hachée, accompagnée d'une sauce onctueuse, offre une expérience gustative unique. La viande peut être agrémentée de divers ingrédients, tels que des oignons, des champignons, des herbes aromatiques et des épices, pour créer une variété de saveurs et de textures.
Un plat versatile et personnalisable Les crêpes à la viande peuvent être préparées avec différents types de viande, selon les goûts et les préférences. La viande hachée de bœuf, de porc, de poulet ou de dinde est généralement utilisée, mais des options plus audacieuses comme la viande de canard, de gibier ou de poisson peuvent également être explorées. De multiples options de garniture et de sauce
La garniture des crêpes à la viande ne se limite pas à la viande hachée. Des légumes, du fromage, des œufs et d'autres ingrédients peuvent être ajoutés pour créer une variété de combinaisons. La sauce est également un élément important qui peut rehausser le goût de la crêpe. Une sauce béchamel, une sauce tomate, une sauce au fromage ou une simple sauce au yaourt peuvent être utilisées selon les préférences. Un plat facile à préparer et à emporter Les crêpes à la viande sont un plat relativement facile à préparer et ne nécessitent que peu d'ingrédients et de temps de cuisson. Elles peuvent être préparées à l'avance et réchauffées au moment de servir, ce qui les rend idéales pour les pique-niques, les déjeuners sur le pouce ou les repas rapides. Une source de nutriments et d'énergie Les crêpes à la viande constituent une source de protéines, de fibres et de glucides, ce qui en fait un repas nourrissant et énergétique. Elles peuvent être enrichies en vitamines et en minéraux en ajoutant des légumes et des fruits à la garniture. Un plat convivial et festif Les crêpes à la viande peuvent être servies lors de repas en famille ou entre amis. Elles constituent un plat convivial et festif qui permet de partager un moment gourmand et savoureux. Conclusion Les crêpes à la viande sont un plat simple, versatile et savoureux qui peut être apprécié par tous. Elles offrent une multitude de possibilités de personnalisation et constituent une source de nutriments et d'énergie. N'hésitez pas à explorer les différentes recettes et à créer vos propres combinaisons de saveurs pour découvrir le plaisir des crêpes à la viande.
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MARDI 3 OCTOBRE 2023 (Billet 4/4)
Amateurs de couscous (surtout JM), c’est sur le Site « Paris Secret » que nous avions repéré cette adresse dans le Marais.
Après avoir réservé (impératif vu la petitesse de la salle), nous y sommes allés dimanche soir et y avons passé un très bon moment culinaire.
Par contre, si vous cherchez une petite table au calme, c’est surtout pas ce lieu qu’il faut choisir. Premièrement, c’est toujours archi-plein, moyenne d’âge 30 ans, clientèle cosmopolite et très « bohème-chic » (quartier oblige…), et deuxièmement, si la salle a énormément de charme, elle est toute petite et les tables sont collées les unes aux autres. Donc, le niveau sonore est assez élevé, ce qui ne semble déranger personne. 40 ans en arrière, nous devions être comme eux !
Ci-dessous :
l’article du Site qui a excité notre curiosité,
les coordonnées du restaurant,
son site Internet avec la possibilité de découvrir leur Carte
et l’avis du Guide Gault&Millau.
Pour conclure, quelques photos. Elles vont vous paraître peut-être un peu sombres mais les petites lampes sur chaque table éclairent très bien ce qu’on mange.
Le « 404 » (c’est le nom du restaurant) occupe une partie de l’aile gauche du « Petit Hôtel d’Estrées » qui date de la première moitié du XVIIIe siècle.
Ce que nous avons préféré : les brochettes de gigot d’agneau, marinées et cuites au feu de bois… une tuerie ! Et le Rouge de Guérrouane (« Les Trois Domaines ») qui a très bien accompagné notre couscous. Les « Cornes de gazelle », un peu revisitées, sont dignes de la Pâtisserie des Princes de Marrakech.
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Restaurant Marocain : où manger les meilleurs couscous et tajines de Paris ?
Vous êtes en quête des meilleures adresses où manger un couscous ou un tajine parfumé « bon comme là-bas » sans quitter Paris ? Ne cherchez plus ! Chez « Paris Secret », nous vous partageons aujourd’hui nos restaurants Marocains coup de coeur ! Vous les sentez les effluves d’épices, de fleur d’oranger et de thé à la menthe des terres d’Orient ? Suivez-nous…
Notre coup de coeur : le restaurant « 404 » à Paris et son couscous de folie !
Envie d’un aller simple pour Marrakech ? Direction la rue des Gravilliers, dans le 3ème arrondissement de Paris. En plein coeur du Marais, on s’immisce dans un hôtel particulier (le « Petit Hôtel d’Estrées ») aux allures de casbah. Dans un décor tout droit sorti des mille et une nuits, l’immersion est totale. Une ambiance tamisée, des tapis d’Orient, de belles lanternes Marocaines en fer forgé, des couleurs chaudes… L’ambiance nous transporte ailleurs. Ici, on goûte à la cuisine traditionnelle Marocaine. À la carte ? Des salades ensoleillées, des pastillas, des brochettes Kefta ou un Méchoui Maison aux herbes.
Le « 404 » offre aussi une belle palette de tajines et couscous. Tajine de poulet aux poires, tajine souris d’agneau/abricot, tajine d’agneau berbère, couscous berbère, aux 7 légumes, merguez, méchoui… Le choix est cornélien. Et les saveurs sont bel et bien là dans l’assiette. Pour finir en beauté notre voyage oriental, on déguste une salade d’oranges à la cannelle et fleur d’oranger, une crêpe Berbère au miel, une pastilla aux Dattes ou des cornes de Gazelle… le tout arrosé d’un thé à la menthe parfumé. Coup de coeur !
(Source : « Paris Secret »)
CONTACT
Restaurant « 404 »
69, rue des Gravilliers 75003 Paris
Téléphone : 01 42 74 57 81
Métro : Arts et Métiers
Site web (passez la souris sur la ligne et cliquez) :
Carte du restaurant - Restaurant 404 à Paris (404-resto.com)
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L'AVIS DE GAULT&MILLAU
Derrière la devanture anonyme, une des vedettes de l'arrondissement, où les habitués se rendent rituellement, et parfois de très loin dans Paris, pour la pastilla traditionnelle, la brochette de kefta, le tajine de poulet fermier aux poires ou le fameux « couscous 404 » brochette de volaille, agneau et merguez. La qualité est bien régulière, l'ambiance excellente, on boit du Guerrouane en rouge ou en gris.
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Ce matin : objectif marché local. Il faut savoir que dans cette région il y a 2 types de marchés. Les premiers sont communément appelés (par les 2 protagonistes de ce blog) "les braves marchés". Ils ont lieu une fois par semaine, le samedi ou le dimanche, mais ont l'inconvénient de ne pas coller avec notre trajet et emploi du temps. Les seconds répondent au doux nom de marchés casse-****, et ont lieu 2 fois par semaine, ou tous les 10,15,20 etc du mois. Facile n'est ce pas ? Sauf qu'on parle ici de marché calés sur le calendrier lunaire vietnamien, où le 15 du mois lunaire ne correspond bien évidement pas au 15 de notre mois. Et ceux qui ont lieu 2 fois par semaine ? On parle bien entendu des semaines de 12 jours dudit calendrier lunaire. Le marché visé devait donc, selon les sources, avoir lieu le jour du tigre et du poulet, ou le jour du tigre et du singe. Ayant, après de longues recherches, déterminé que samedi était le jour du singe, et dimanche du poulet (Pour vous donner une idée de la tâche, Tỵ signifie serpent, et Tý signifie souris... ). Il ne nous restait alors plus qu'à parier sur quelle source était la bonne. Après un subtile travail bibliographique, en comptant l'occurrence des jours du poulet et du singe dans les descriptions associées au marché, mon choix s'est posé sur le samedi matin. On se lève de bonne heure, les marchés sont matinaux ici.
C'est donc parties de bon matin sur une route affreuse, que nous dérapons avec joie le long des virages de montagnes sur des couches de graviers, en priant le dieu des singes d'être de notre côté. Après quelques arrêts à attendre que le chemin soit déblayé, nous atteignons le village de Lùng Phin.
Et là, victoire !!! Un marché !! Dans lequel nous étions les seules occidentales, les autres touristes ont du croire qu'il était le jour du poulet, c'est sur, niark niark, quels gros nuls ! Ici, le marché est bien sûr un lieu de commerce, mais aussi un lieu d'échange où les différentes ethnies du coin se retrouvent pour papoter.
C'est assez animé, on doit éviter les vaches, les gens, et les scooters qui klaxonnent.
Un petit cochon dont on connaît tous le sort.
Des plats michelins.
Une vache qui n'a pas du tout envie de suivre son nouveau propriétaire.
Vers 9h30, les gens commencent à remballer leur affaires, nous repartons donc vers notre destination de la journée, Du Già. La suite du chemin est toute aussi horrible qu'à l'aller, et je dois batailler pour empêcher cette pauvre moto de faire la crêpe dans les virages : on évite de reproduire les erreurs de la veille (rip jambe droite qui venait tout juste de cicatriser de la dernière fois) ... Cette fois ci, je ne freine pas dans les graviers en virage, je me contente de serrer les fesses et fermer les yeux.
Enfin, nous atteignons une partie recouverte de ce matériau béni qu'est l'asphalte. Ravie, après une pause panorama, nous repartons fièrement avec notre béquille non relevée, avant de nous crouter misérablement quelques mètres plus loin dans une énorme flaque de gadoue. Pour une fois, je ne suis pas la seule eborgnée, aneth et son imper y passent aussi. Bref, la semi-motarde que je suis fatigue, et ne rêve que d'une chose, se faire helitreuiller dans un bain chaud, avec bougies flottante et plateau de fromages. Nous arrivons enfin à Du Già, entières, avec tous nos os et articulations en parfait état physiologique, et abandonnons la moto dans un coin pour rejoindre une cascade à pied, loin de cet appareil du diable.
Là bas, nous nous faisons deux potes qui sont ravies de jouer avec le téléphone d'aneth pendant que nous lisons.
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Découvrez la cuisine vietnamienne en famille - Un voyage gourmand au Vietnam
Le Vietnam est un pays riche en histoire, culture et traditions culinaires. Pour les familles souhaitant explorer ce coin du monde, un voyage au Vietnam est une aventure unique, non seulement pour découvrir des paysages magnifiques, mais aussi pour savourer une cuisine exceptionnelle. Dans cet article, nous vous invitons à plonger dans l'univers savoureux de la cuisine vietnamienne en famille, en vous donnant un aperçu des plats incontournables à découvrir lors de votre séjour.
La cuisine vietnamienne : un mélange de saveurs et de couleurs La cuisine du Vietnam est un véritable voyage gustatif, qui allie des ingrédients frais, des herbes aromatiques et des épices délicates. Chaque région du pays a ses propres spécialités, des plats simples mais délicieux qui raviront toute la famille. Que vous soyez à Hanoi, à Ho Chi Minh-Ville ou dans les villages du delta du Mékong, vous aurez l'occasion de goûter à des plats traditionnels comme le pho, le banh xeo, ou encore le goi cuon (rouleaux de printemps).
Les incontournables de la cuisine vietnamienne à découvrir en famille
Pho - Ce célèbre plat de soupe de nouilles est l'un des symboles de la cuisine vietnamienne. Facile à partager en famille, il se compose de bouillon savoureux, de viande (souvent du bœuf ou du poulet) et de nouilles de riz.
Banh Xeo - Ces crêpes salées garnies de légumes frais, de crevettes et de porc sont à la fois croquantes et moelleuses, parfaites pour les repas en groupe.
Goi Cuon - Ces rouleaux de printemps frais sont une excellente option pour un repas léger et sain, rempli de légumes, de viande ou de crevettes et de vermicelles de riz.
Un voyage culinaire adapté aux enfants Les enfants seront ravis de découvrir des plats adaptés à leurs goûts, tels que le com tam (riz brisé) ou le che (dessert sucré à base de fruits, de lait de coco et de haricots). De plus, de nombreux restaurants au Vietnam offrent des options spécialement conçues pour les plus jeunes, avec des repas sains et savoureux. Les familles peuvent également participer à des ateliers de cuisine pour apprendre à préparer ces plats ensemble, renforçant ainsi l'expérience culinaire en famille.
Pourquoi choisir Hanoivoyage pour votre voyage gastronomique au Vietnam ? Hanoivoyage vous offre une expérience unique pour découvrir la cuisine vietnamienne en famille. Avec nos circuits sur mesure, nous vous accompagnons dans un voyage culinaire où chaque repas devient une aventure gustative. Profitez de notre expertise locale et de notre service personnalisé pour découvrir les meilleures adresses de restaurants, de marchés et de fermes où vous pourrez déguster les plats typiques du Vietnam.
Conclusion Un voyage au Vietnam en famille est l'occasion parfaite de découvrir non seulement la culture, les paysages, mais aussi la richesse culinaire du pays. Avec Hanoivoyage, partez à la découverte des saveurs vietnamiennes, un voyage gourmand qui ravira les papilles de toute la famille. Alors, préparez vos valises et laissez-vous séduire par la cuisine vietnamienne !
Lien: Cuisine voyage au Vietnam en famille | Hanoivoyage
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Französisch Sprachkurs Lektion 4 Essen
Bonjour ! J’adore manger. Mon plat préféré est la pizza, mais j’aime aussi les spécialités françaises comme les crêpes ou les croissants. À la maison, ma mère cuisine souvent du poulet avec des légumes. Parfois, nous allons au restaurant pour découvrir de
Lektion 4: La nourriture et la culture Thema: Gespräche über Lieblingsgerichte, internationale Küche und kulinarische Erfahrungen. Französisch Sprachkurs Lektion 4 Essen – Einführungstext (100 Wörter): Bonjour ! J’adore manger. Mon plat préféré est la pizza, mais j’aime aussi les spécialités françaises comme les crêpes ou les croissants. À la maison, ma mère cuisine souvent du poulet avec des…
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Les Journées Gourmandes de Montbéliard 2024
Montbéliard accueille la deuxième édition des Journées Gourmandes, les samedi 21 et dimanche 22 septembre 2024 (samedi de 14h00 à 23h00 et dimanche de 10h00 à 21h00), Parc du Près-la-Rose, au cours du week-end dédié aux Journées du Patrimoine, l’occasion d’allier la visite du riche patrimoine historique, patrimonial de la Cité des princes et de savourer les spécialités culinaires du Pays de Montbéliard et de Franche-Comté. Après une première édition très réussie sur le site du château, la deuxième édition des Journées Gourmandes sera organisée dans les allées du parc du Près-la-Rose où différents espaces seront aménagés pour accueillir les visiteurs : marché de produits locaux et artisanaux variés, espaces jeux pour tous, village de foodtrucks, espace apéro-chill/détente avec musique, transats et poufs géants. L’évènement est organisé par la Ville de Montbéliard, le collectif Montbéliard Animations et Festivités et l’Office de tourisme du Pays de Montbéliard. A travers cette nouvelle collaboration, les organisateurs poursuivent leur objectif de valoriser le patrimoine et les savoir-faire locaux en matière de gastronomie avec le soutien de producteurs et autres métiers de bouche de Montbéliard et des alentours. A l’instar de l’an passé, la deuxième édition est organisée sur deux jours avec un grand marché du terroir, des animations pour tous, des concerts en accès libre et une marche gourmande… Marché du terroir Le marché accueille cette année une quarantaine de producteurs locaux contre une quinzaine en 2023. Installé dans les allées du parc de Près-la-Rose, il offrira une large gamme de produits alimentaires de qualité. Les visiteurs pourront se laisser tenter par les nombreuses dégustations et repartir avec quelques petites provisions, histoire de se remonter le moral en ce début d’automne. Les visiteurs retrouveront les salaisons locales comme la saucisse de Montbéliard ou encore escargots, tartinades, cancoillotte, comté, morbier mais aussi des miels, chocolats, glaces, confitures, biscuits.... Les boissons satisferont également tous les goûts : bière, vin, crémant et autres boissons sans alcool... Les visiteurs pourront se laisser tenter par un cornet de saucisson, un sandwich de fondue à la Morteau ou encore un « Hot comtois » ! Au menu également : coq au vin, pâtes au pesto d’ail des ours, friture de carpe, frites, poulet au comté... Tarte aux noix, gaufres, crêpes... Bières, limonades, café, tisanes... Stands d'information et de sensibilisation Des associations et partenaires de la Ville de Montbéliard seront également présents : Signé Montbé (commerces de Montbéliard et bons d’achat) ; Office de tourisme du Pays de Montbéliard (promotion des événements et boutique) ; Info Jeunes Montbéliard, le samedi seulement (Carte Avantages jeunes) ; Association pour le Don du Sang Bénévole de Montbéliard (sensibilisation au don) ; ASCAP Œnologie (initiation, le samedi de 15h00 à 17h00 et le dimanche de 10h00 à 12h00). Marche gourmande Montbéliard va accueillir la deuxième édition de la Marche gourmande le dimanche 22 septembre 2024. L’occasion d’allier la visite du riche patrimoine historique de la Cité des princes et de savourer les spécialités culinaires de Montbéliard et de son pays. Départ depuis l’Office de Tourisme de 10h15 à 12h30 avec un départ toutes les 15 minutes. Etape finale au Près-la-Rose Au menu : étape 1 Théâtre de Montbéliard, apéritif Pontarlier ou bière régionale ou kombucha ; étape 2 Stade Bonal, velouté de poireaux et saucisse de Montbéliard IGP, Arbois Blanc Ligier ou Limonade ; étape 3 Temple Saint-Georges, émincé de poulet au vin du Jura, cèpes et roestis, vin de Charcenne ou eau ; étape 4 Skatepark Le Frigo, assiette de fromages, Poulsard ou boisson sans alcool, animation Freestyle Adrenaline Camp ; étape 5 : Parc du Près-la-Rose, baba franc-comtois à la cerise (avec ou sans alcool), boule de glace pour les enfants, infusion ou café. Adulte 35 €, enfant 20 € (de 6 à 14 ans, comprenant les étapes 1, 3 et 5, avec boissons sans alcool et boule de glace). Inscriptions auprès de l’Office de Tourisme du Pays de Montbéliard 03 81 94 45 60, réservation jusqu’au 12 septembre 2024. infos > www.montbeliard.com Read the full article
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Comprendre la Différence entre la Cuisine Indienne du Nord et du Sud : Un Guide par Le Maharaja
La cuisine indienne est aussi diverse et vibrante que le pays lui-même, offrant une gamme de saveurs et de plats qui varient grandement d'une région à l'autre. Chez Le Maharaja, un restaurant indien situé au cœur de Paris, nous célébrons cette diversité en vous proposant le meilleur des cuisines du nord et du sud de l'Inde. Ce guide vous aidera à comprendre les principales différences entre ces deux traditions culinaires et à améliorer votre expérience gastronomique.
Influences Géographiques et Culturelles
La cuisine du nord de l'Inde est fortement influencée par les traditions culinaires d'Asie centrale et moghole. L'utilisation de produits laitiers comme la crème, le yaourt, le paneer et le ghee est prédominante. Le climat de la région permet une riche variété de produits à base de blé, tels que le naan, le roti et le paratha, qui accompagnent souvent les repas.
En revanche, la cuisine du sud de l'Inde est influencée par la culture dravidienne et le climat tropical de la région. Cela se traduit par une alimentation riche en riz, lentilles et noix de coco. Les épices sont utilisées abondamment, les plats offrant souvent un mélange de saveurs acides, épicées et piquantes.
Plats Signature
Cuisine du Nord de l'Inde :
Butter Chicken (Murgh Makhani) : Un curry crémeux à base de tomate avec des morceaux de poulet tendres.
Rogan Josh : Un curry d'agneau savoureux à base de yaourt et d'épices aromatiques.
Palak Paneer : Épinards et fromage paneer cuits avec de l'ail, du gingembre et du garam masala.
Cuisine du Sud de l'Inde :
Dosa : Une crêpe fine et croustillante faite de pâte fermentée de riz et de lentilles, généralement servie avec du sambar et du chutney.
Sambar : Un ragoût de légumes à base de lentilles assaisonné de tamarin et d'un mélange spécial d'épices.
Biryani : Un plat de riz parfumé superposé de viande ou de légumes et cuit avec des épices.
Techniques de Cuisine
La cuisine du nord de l'Inde implique souvent des méthodes de cuisson lente, comme le braisage et le mijotage, pour développer des saveurs profondes. La cuisson tandoori, qui utilise un four en argile appelé tandoor, est également une caractéristique de cette région. Cette méthode donne aux plats comme le poulet tandoori et le naan leur saveur fumée distinctive.
La cuisine du sud de l'Inde, en revanche, utilise fréquemment des techniques telles que la cuisson à la vapeur et le sauté. L'utilisation de noix de coco fraîche, de tamarin et de feuilles de curry est essentielle à la cuisine, apportant un goût et un arôme uniques aux plats.
Profils d'Épices
Les profils d'épices dans les cuisines du nord et du sud de l'Inde sont distincts mais tout aussi complexes. Les plats du nord de l'Inde utilisent souvent du garam masala, un mélange d'épices chaudes comme la cannelle, la cardamome et les clous de girofle. De plus, des épices telles que le cumin, la coriandre et le curcuma sont couramment utilisées.
La cuisine du sud de l'Inde utilise une plus grande variété d'épices, y compris les graines de moutarde, le fenugrec, les feuilles de curry et l'asafoetida. Les plats sont souvent plus épicés et plus piquants, avec une utilisation libérale de piments et de tamarin.
Résumé
Comprendre la différence entre la cuisine du nord et du sud de l'Inde enrichit le voyage culinaire chez Le Maharaja. La cuisine du nord de l'Inde se caractérise par ses plats riches et crémeux et sa dépendance aux produits laitiers et aux produits à base de blé. En revanche, la cuisine du sud de l'Inde offre une expérience plus légère et plus épicée avec une emphase sur le riz, les lentilles et la noix de coco. Les deux régions montrent l'incroyable diversité et la profondeur de la nourriture indienne.
Le Maharaja
Adresse : 27 Av. Reille, 75014 Paris, France
Numéro de Téléphone : 09 50 93 81 48
Site Web : Le Maharaja
Google Map :
Découvrez le meilleur de la nourriture indienne à Paris chez Le Maharaja, où notre menu célèbre les riches traditions culinaires de l'Inde.
Indian Restaurant near Paris | Le Maharaja
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Bigoudi Bouclebrunes et les Charretiers de la Liberté
« Je refuse, mes bons amis, de laisser les enfants elfes se balader avec des noms étrangers! La Nation Elfique le demande, sa survie l’impose, il faut mobiliser les enfants de la Nation à prendre des prénoms elfiques! Il faut montrer la bonne voie à ceux qui viennent en terre elfique. Nous sommes les descendants des grands guerriers des premiers âges, de raffinement, de culture, de bienséance culinaire! Montrons au restant de la Terre du Milieu de quoi on est fait! Rappelons aux migrants nains et humains que nous sommes sérieux. Changeons la loi, faisons en sorte que tous portent des prénoms Sindarin!»
Bigoudi ri. Il pensa au prénom d’Elric Zeymour, l’auteur de la chronique. Elric était un nom humain, d’abord, et les noms « Sindarin » avaient plus l’air de Merogaise, Arbogast, Gennobaud… des noms que personne ne voulait donner à ses enfants. « Good luck! Déjà là, les prénoms comme Thierry, Robert, Bertrand pis Didier, c’est germain, Gabriel, Daniel, Zachary, Nathan, Jean pis Michel, c’est hébreu… aucun prénom Sindarin dans le lot. Ça invalide pas mal la moitié du peuple elfe, hein.», pensa-t-il, en refermant son examplaire du Journal de la Moria qu’il avait trouvé tant bien que mal. Il avait voyagé aux côtés de Laurentgorn Duvernay-Tardif, de Grumpy le nain et de l’elfe Legrolasse après que Grandoulf eut été entraîné vers sa fin tragique par une créature ancienne faite de doutes et de feu de l’ignorance, une grande Casabonnerog. Après avoir pleuré leur ami, la compagnie s’était enfuie dans les Montagnes du Destin pour ensuite atteindre les confins de LaVaurien, puis avait amorcé leur descente vers le village humain de Bourg-L’Aïeul, près des forteresses et du parlement du Rohan.
Laurentgorn n’avait pas lésiné sur leur alimentation. Il voulait ses compagnons forts et bien reposés pour les quelques milles à parcourir encore. Il avait donc commandé un petit festin. Un poulet rôti aux épices avec des accompagnements de carottes, navets, patates et choux de Bruxelles, une crème de poireaux, un ragoût de volailles au lait d’amandes, un ragoût de mouton, bacon et patates (qui goûtait criminellement divin), un filet de bœuf aux légumes racines nappé d’une sauce à l’aïl, du sanglier rôti à la sauce sucré dite « carméline » accompagné de frites de patates, patates douces et marrons chauds, un canard à l’orange, bien sûr cuit dans son gras avec un accompagnement de carottes, oranges sanguines cuites et oranges caramellisées, un ragoût de betteraves et agneaux avec poireaux et graines de coriandre, des cailles à la sauce au miel et au lait servies sur lit de laitue et concombres, quelques à-côtés des légumes ainsi que plusieurs pains, dont des pains briochés, des pains baguettes (dont la mie était diablement moëlleuse), quelques pains ménagers pour bien râcler le fond des bols de ragoût, ainsi que du beurre baratté à la main, du beurre à l’aïl, du beurre de chèvre et, surprise, un petit beurre sucré qui goûtait le caramel et que Bigoudi badigeonna allègrement sur les shortbreads apportés par l’aubergiste en même temps que le fraisier, le gâteau triple chocolat, le gâteau au fromage au miel et au thym (dans une croûte, de surcroît, chose surprenante, mais délicieuse), quelques pudding du yorkshire, de la crème fraîche, de petits fruits et quelques crêpes (avec sirop d’érable). Le tout, bien arrosé d’hydromel, de vin épicé et de bière au beurre, elle aussi épicée. Bigoudi n’en doutait point, le village de Bourg-L’Aïeul avait certainement quelques-uns des meilleurs plats en Terre du Milieu qu’il eut mangé.
Laurentgorn, Grumpy et Legrolasse entrèrent promptement dans la chambre de Bigoudi, faisant sursauter notre pauvre hobbit qui en échappa son échoppe de bière épicée. « Ah, ma bière… » dit alors Bigoudi, déçu. « Ah, pardon. Je ne voulais pas vous faire peur. Mais nous resterons dans cette auberge pour encore un peu de temps. Dit Laurentgorn d’un ton désolé.
- Ah bon? Demanda Bigoudi en mangeant un petit morceau de gâteau au fromage au miel et au thym.
- Ouais… il paraît qu’il va y avoir un convoi de charretiers fâchés. Y gâchent toutte, eux-autres. Dit alors Grumpy.
- Pour la liberté, dit Legrolasse, d’un ton fatigué. Un convoi pour la liberté.
- MENSONGE! Y’on même pas d’yogourt! S’écria Grumpy regardant l’elfe d’un regard plein de hargne.
- En fait, il paraîtrait que des meneurs de charrettes se soient donner rendez-vous pour faire un convoi afin de protester contre les lettres de change vaccinales et / ou contre la fermeture des frontières avec les nations du Sud et / ou contre le port du masque et / ou contre la pandémie et / ou contre les mesures sanitaires et / ou contre la dictature… c’est pas trop trop clair. Mais ils ont décidé d’aller faire beugler leurs bœufs devant le parlement de Bouêtetabwa dans le Rohan. Ils veulent faire pression, on dirait. Si seulement ils savaient que le premier ministre de la Terre du Milieu n’y siège pas encore et que tout était encore à distance… expliqua patiemment Laurentgorn à Bigoudi.
- Ok… mais quel rapport avec Bourg-L’Aïeul? Demanda Bigoudi
- Ils vont passer proche d’ici. Et comme nous ne savons pas leur nombre exact, je préfère croire qu’ils seront nombreux à nous barrer la route. Je ne voudrais pas que l’on tombe dans le piège de rester avec eux sur une longue distance et de devoir être comptabilisé dans leur nombre.
- Ah, ok, je vois. Répliqua Bigoudi.
- AH! LES VOILÀ, LES MOULES À GAUFFRES! Cria Grumpy
- Mais… mais… y sont 5! Dit alors Bigoudi.
- Peut-être y en aura-t-il plus? Dit alors Laurentgorn.
- Bin je sais pas pour plus tard, mais à date, j’vois yinque 5 charrettes. Ok, y’a, genre… 6 personnes dessus, mais c’est bin yinque 5 charrettes, là.
Les charretiers scandaient des slogans aussi originaux qu’impressionnants tel que « FUCK FLEGAULT! FUCK JUSTUN TROUDEAU! ENLEVEZ VOS MASQUES! DISTRIBUEZ LE TOUSSE-TOUSSE! LIBARTÉÉÉ! » En entendant le mot Liberté, Grumpy se renfrogna et murmura « y’ont même pas d’yogourt… ». Mais alors que Bigoudi se gaussait de la maladresse du « convoi », il s’aperçut que certaines personnes du convoi invectivaient les autres badauds n’ayant demandé absolument rien à personne. Le convoi prenait de plus en plus d’ampleur, vola de la nourriture pour les plus démunis, insulta les marchands qui ne voulaient pas les servir sans masque et paralysa les 4 ruelles du centre-ville de Bourg-L’Aïeul. Puis, une rumeur secoua la foule. Un cri de ralliement retentit et on entendit « ON A PARALYSÉ LE CENTRE-VILLE! OUAIIIIIIIS!!! ».
« Wow… ça, c’t’un big deal, paralyser 4 ruelles pis un marché aux puces. » se dit Bigoudi, moins impressionné par la démonstration, mais plutôt étrangement effrayé par l’ego démesuré de la foule. D’ailleurs, dans la foule bigarrée, il aperçu des drapeaux du Mordor, des drapeaux de Nantelroumane, mais surtout… des drapeaux de Sauron. Et c’était inadmissible. Peu importe l’allégeance politique, il était hors de question qu’un drapeau de Sauron flotte au vent. Le regard de Laurentgorn s’assombrit.
Puis retentit alors dans la foule, des mots qu’il aurait voulu ne plus entendre. « TADROS! TADROS! »
C’était Conspiragollum. Il portait une veste de cuir avec des patchs et se dandinait dans la foule en demandant aux badauds s’ils étaient intéressés à acheter des bitcoins ou à faire partie de la grande aventure des NFTs. Bigoudi eut un haut-le-cœur.
Puis, deux choses surprenantes se produisirent. La première se passa comme suit : Alors que l’on entendait des « TADROS! TADROS », Bigoudi entendit aussi Conspiragollum crier un « AYOYE DON’! TADROS! TADROS! » avant de s’effondrer par terre, tenant son bras entre ses mains. Bigoudi se retourna, Legrolasse avait sorti sa sarbacane et avait envoyé un dard vaccinal sur le bras de Conspiragollum qui se tortilla par terre, comme une tranche de bacon sur une poêle chaude.
Legrolasse répondit « kin… comme ça, y’aura au moins son booster shot ».
La deuxième chose surprenante fut qu’un messager des lointaines contrées du GoFundLand arriva et dit aux organisateurs que l’argent qu’ils avaient récolté ne leur serait pas versé, car ils contrevenaient aux règles de la Communauté. Puis, le messager reparti.
« PFF! VOUS ÊTES YINQUE DES GROS CAVES! Cria un des organisateurs, un certain Tive Charlatan en bousculant ses alliés. ANÉWÉ, ON VA RAMASSER DES FONDS EN VENDANT DES MANTEAUX D’CUIRETTE! »
- Heille, c’est vraiment un shitshow, dit alors Bigoudi.
- Regardez! Dit alors Laurentgorn.
Des Nazgûls aux allures de motards encerclaient la bande de Tive Charlatan, faisant planer une ombre inquiétante sur le destin du chef.
- Woah, ok. Si j’étais lui, j’me tiendrais loin des coats de cuirette. Dit alors Bigoudi.
Puis, aussi vite qu’ils étaient arrivés et avaient dérangé la quiétude du village, le convoi de charretiers était reparti faire sacrer ailleurs. Direction Bouêtabwa d’abord, puis Osgiliath par la suite, en même temps que le Carnaval Osgiliath avant de, invariablement, fondre comme neige au soleil par manque de motivation, manque de fond ou par ennui. Bigoudi se dit que de tout ce qu’il avait vu jusqu’à date, il ne voulait pas être les manifestants lorsqu’ils confronterait le terrible Bonhomme Carnaval d’Osgiliath. Ce dernier était déjà reconnu pour ses célèbres coups de pieds.
Il se rassit et se demanda où tout ceci irait… où cela finirait… puis, il sortit son épée qu’il avait nommé Raisonnement Scientifique de son fourreau. Celle-ci se mit à luire d’une lueur bleue… indiquant un danger se trouvant tout près.
Il croisa le regard inquiet de Laurentgorn. Leur bataille n’était pas finie. Elle ne faisait que commencer.
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Ces crêpes au poulet et béchamel sont à tomber 😍 Avec pâte à crêpe EXPRE...
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Texte 331 - L’Appel du Large
J’avais amené tous les accessoires Nécessaires au façonnage de La Bambina Perruque, lunettes, dentiers, faux-cils Et puis finalement rien de tout ça Là c’est sur le run C’est ma gueule empâtée Qui développe des bas-joues Que j’ai trimbalée de perf’ en perf’ J’en ai encore les extrémités De mes cheveux décolorés Toutes ébouriffées, salées et sèches Le cri des mouettes du nord Dans les oreilles Le bruit des pas sur les planches Le son des vagues à marée basse Et de celles à marée haute Et les chansons de Fleur Offwood Qui te prennent et te retournent Comme une crêpe Car subtilement elle glisse Dans les interstices de ses mots Une réalité hard Qui te rappelle à la vraie vie Sa chanson d’amour Que tout le monde fredonne Amoureusement dès la première écoute C’est l’histoire d’une meuf soumise. _ Écrit ses chansons Comme elle prend ses photos : Margot Montigny. Dans sa chanson L’appel du Large Elle y raconte ses cadrages Les planches, la plage et le sable, Peut-être ne m’a-t-elle pas parlé du sable Peut-être est-ce une extrapolation À partir des quelques mots échangés Alors qu’elle rangeait son saxophone Encore chaud Elle m’est apparue si proche Des choses photographiées Comme se fondant en elles Qu’elle a pu me parler du sable _ Cet animal mi-Jugnot (Gérard) /Mi-Joly (Sylvie) : Jérôme Violent. Tout seul dans sa cabine Sur un parterre de confettis Vêtu de blanc cassé Parlant du nez en vouvoyant Son acolyte ébouriffé Jouant au jeu de la soumission Je l’ai photographié, Et je l’ai filmé J’aurais pu ne faire que cela Durant tout le week-end Comme pour tenter de percer les mystères De nos vaillances à mettre et à remettre Vingt fois, mille fois l’ouvrage sur le métier Nos perles de sueur Passent pour des paillettes Nos grandes fatigues Pour des postures lascives Nos obsessions incurables Pour des clairvoyances fulgurantes Nous sommes passé-e-s maîtres Et maîtresses dans l’art De la dissimulation de nos labeurs Desquels rugissent nos chevaux Ceux de Jérôme Violent Crient, miaulent et crissent Par les cordes de sa guitare Qu’il mord, lèche et qu’il frotte Contre son torse en chemise, Paré d’un foulard de satin coloré Contre le caoutchouc de ses chaussures Contre le crépi, la colonne de béton, Les bouts de mosaïque Pendant que sa voix nous chante Nos looseuses attitudes Nos projections de nous Dans nos gloires rêvées Images impossibles De nos gueules couronnées De lauriers et de lys Avec des courtisans et des courtisanes Aux pieds de nos corps excitants. Ce mec se donne l’allure d’une deux-chevaux Alors que c’est une Mustang Mach 1, de 1969, rouge À l’intérieur. Il pisse pas dans un violon En Ben Hur ou en Marcello Mastroianni On l’imagine, on l’entend, on le voit Et l’on en veut encore Pour rire ensemble de nos rêves fous Ces rêves fous qui mènent à Rome « En Vespa-AAAH c’était la Dolce Vita-AAAH » _ Le 4 juillet 2021, 16h55, Bains Pompéiens Presque tout le monde est là En attendant que Becquemin et Sagot Balancent leur perf’ Zumba Wallace Leur cauchemar tant rêvé Sur l’un des plus gros bateaux de croisière De la flotte internationale Made in St Nazaire Usines à bonheurs arôme « vacances » Entre deux encas : l’un au poulet L’autre aux pommes en beignets En gambettes dynamiques Cinq minutes concentrées En short et tennis jaunes Elles entrent en scène Prêtes à croquer en jambes Despacito Postures d’un enthousiasme frais La perspective exacerbée Par l’enfilade de colonnes Ajoute à la vision tragique Légèreté chaussée de plomb Idée d’un bonheur préfabriqué Saveur « pizza hawaïenne » Tu vas sourire oui ou merde Joie façonnée à coup de chéquiers De cartes de fidélité De bons points D’embonpoint Et de gigottage de popotins On est tous devenus un peu ça Des êtres forcés à l’enthousiasme Mais on se soigne en renvoyant Nos sourires les plus sincères.
À Deauville pour l’Appel du Large Festival d’art contemporain Créé par Sylvia Varagne
_ L'Appel du Large Sylvia Varagne Sandra Hegedus Henri van Melle _
Fleur Offwood Margot Montigny JEROME VIOLENT Becquemin Sagot
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19 avril
On a joué à Mario Kart serrées sur le canapé. On a insulté le jeu avant de s’insulter les unes et les autres. On a fait du tapioca avec du lait d’amande. C’était pas terrible. Charlotte se force à le finir. On a aussi fait des crêpes. Ça, c’était le plan d’urgence parce qu’il faisait moins beau dans le condo. Les crêpes, ça a sauvé l’ambiance. On a beaucoup discuté. Et puis, on a beaucoup moins discuté. On a regardé la pluie tomber. On a planifié les jours à venir. J’ai corrigé les 35 pages du mémoire de Lëlou quand les filles regardaient des Disney. La sous locataire avait oublié son poulet dans le congélateur. Du poulet halal. J’ai inventé une recette, déposé le poulet dans des papillotes avec des oignons, de la moutarde, du citron, des épices dont j’ignorais l’existence. Rien de bien compliqué, c’est vrai, mais c’était une première. C’était super bon. Un vrai repas de dimanche midi. On a coupé mes cheveux. Il était minuit et quelques et on tournait en rond. Tourne aussi en boucle la même musique depuis près d’une semaine. Désolée les voisins. Ah et aussi, les mites alimentaires sont revenues. Cette fois-ci, on avait le temps de s’en préoccuper sérieusement alors on a déniché des bocaux en verre et on a tout arrangé. Certaines rescapées continuent de voler au-dessus de nos têtes pendant les séances de sport. Voilà les trois derniers jours québécois. Charlotte partira dans 10 jours tout pile. Justine dans moins d’une trentaine. Ces derniers moments ne ressemblent pas aux premiers. Tout est différent. Tout le sera encore plus dans quelques temps mais pour laisser place à d’autres nouveaux trucs bien jolis aussi.
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Avoir un chien
Cet été, j’ai gardé le petit chien de ma mère, un yorkshire, pendant trois semaines. Je l’ai embarqué avec moi un dimanche soir avec une excitation craintive. Cela modifie beaucoup l’environnement mental et social d’avoir un petit mammifère pendu à sa laisse. Le premier jour, j’étais triste pour lui, j’absorbais toutes ses émotions, je le sentais triste de le voir renifler ce nouvel endroit, ce caillou hostile. Il lui manquait quelque chose, on lui avait arraché une part de son monde. Il engloutissait sa gamelle et dormait par terre sur le lino dégueulasse et froid sans rechercher ma présence ou le confort de mes couvertures.
Le lundi soir il a fait son premier roulement de joie, il a dévoilé son ventre, il s’est dandiné sur mon lit, et a battu l’air avec ses pattes de poulet, j’étais si contente, ça n’avait rien à voir avec la fête mécanique et plaintive qui agitait son corps quand j’étais rentrée du travail, c’était une manifestation de joie authentique et superficielle.
J’ai abordé tout ceci comme une expérimentation sociale par laquelle une secrétaire à mi-temps de trente-quatre ans jouait une comédie quatre fois par jour dans son quartier de Villeurbanne en s’y promenant avec un chien. Le premier lundi aux balbutiements du jour, j’ai vu mon voisin Jean Baptiste boire quelque chose sur le seuil du café « Chez Patricia ». Ce café qui végétait à l’angle de cette rue sénile, sa fenêtre, son génranium et l’encadrement de sa porte constituaient déjà une mise en scène.
Jean-Baptiste m’a regardé, il a dû se dire « Tiens, elle a un chien ».
J’ai essayé de l’ignorer, mais le chien lambinait du museau, s’intéressant successivement à un potelet, à une roche décorative anti-stationnement, à un bac poubelle, à des gravillons, à un poteau. Je voulais qu’il avance, je me sentais humiliée d’être exposée si longtemps et malgré moi au regard de Jean-Baptiste. Enfin nous avons tourné au coin de la rue et sommes sortis de ce pénible champ de vision.
Le rythme régulier des sorties canines, me permettait de repérer et d’identifier tous les comédiens du quartier. Je croisais tous les jours ce mec à l’oreille tuméfiée, cet autre en t-shirt promotionnel pour une entreprise de bâtiment. Ils regardaient le chien, puis me regardaient et disaient « bonjour », alors je répondais « bonjour ». Au bout d’une semaine, je finis par dire « bonjour » à tous les gens qui regardaient mon chien. C’était une politesse que j’avais mise en place pour autoriser les gens à regarder mon chien, à avoir une pensée, une parole pour lui, pour moi, pour nous deux marchant dans la rue de poteau en poteau, de flaque en flaque, de touffe en touffe.
Au retour de la balade du soir, la jeune voisine m’a dit « C’est bien, ça vous fait un peu de compagnie ». J’ai pensé à la chanteuse Maurane, aux commentaires de ses amis dans la presse après sa mort : « Elle a été retrouvée morte en sortant de son bain. C'est totalement inattendu » ; « Sa vie personnelle n'était pas très gaie. En amour, elle était en galère. Maurane était bien seule »; « Elle suivait un traitement d’infiltrations assez pénible qui avait aussi des effets secondaires sur le plan digestif ». Le milieu du mois d’août est très propice aux fantasmes d’enterrement et aux complaintes. Je me suis dit que moi aussi j’allais crever à mon domicile, et mes amis diraient « C’était un moignon de tristesse, un carnage de vésicule, un bourg déserté, un champ de mégots froids. Pauvre femme.». Pire, on parlerait de mon « univers », mon « monde », on dirait peut-être « elle était dans son monde » alors même que j’ai toujours été dans le même monde que tout le monde, et je n’en ai jamais eu d’autre. Dans ce monde, je n’ai été ni digne ni admirable mais amère et minable. Car dans ce monde, si vous n’avez pas d’amis très proches, on ne vous accompagne pas, on ne vous emmène nulle part et peu à peu vous vous diluez dans les souvenirs de temps fossilisés. Il n’y a pas de chéri ou de « meilleure amie » pour accomplir à vos côtés dès que les fins de mois s’éclaircissent ces horribles weekends easyjet et pour publier avec vous des photos de sangria en Espagne, de pâtes en Italie, de pierogi en Pologne, de crêpes en Bretagne... Tous vos week end et toutes vos photos auront alimenté la décomposition de mon cadavre, ils m’auront endommagée et rien ne sera jamais réparé.
Bref avoir un chien me faisait penser à tout ça, avoir un chien et le regard des gens sur le fait que j’aie un chien J’étais persuadée que ce chien devait contrarier Jean Baptiste, que ce n’était pas un truc banal et facilement oubliable, il y penserait en s’endormant : « il y a, deux étages plus bas, un petit chien et elle s’occupe de lui, elle lui porte de l’attention, elle le promène, elle lui donne à manger et elle l’aime. » J’avais honte de le croiser avec mon chien, J’avais l’impression de chanter cette même mélodie cruelle, celle qui me ferait crever seule, engloutie par mon studio, loin des terrasses de Lisbonne, Berlin, Naples, ou Barcelone
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French vocabulary
La restauration rapide - fast food
les beignets de poulet (m) - chicken nuggets
la boisson non-alcoolisée - soft drink
le canapé - open sandwich
la carte - menu
les côtes (f) - ribs
les crêpes (f) - crêpes
les frites (f) - French fries
la garniture - filling
le hamburger - hamburger
le hamburger au poulet - chicken burger
le hamburger avec des frites - hamburger meal
le hamburger végétarien - veggie burger
le hot-dog - hot dog
le kébab - kebab
le ketchup - ketchup
McDo - McDonald’s (slang)
la moutarde - mustard
la paille - straw
le petit pain - bun
la pizza - pizza
la pizzeria - pizza parlor
le plateau - tray
le poisson avec des frites - fish and chips
le poulet frit - fried chicken
le restaurant rapide - burger bar
le sandwich - sandwich
le sandwich mixte - club sandwich
la sauce - sauce
la saucisse - sausage
la serviette en papier - paper napkin
le taco - wrap
le tarif - price list
à emporter - take-away
manger sur place - eat-in
réchauffer - re-heat
salé - savoury
sucré - sweet
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Palawan, trois jours de bâteau
Du 10 au 12 mars, nous avons eu un programme similaire. Je vais donc les grouper en une histoire sinon ça va faire trop répétéééééé.
On prenait notre petit déjeuner à l’hôtel et ensuite un petit jeepney venait nous cherche pour nous amener au centre de la ville, derrière l’un des gros rocher qui se dresse devant l’hôtel. Le trajet en roulant dure environ 10-15 minutes. Nous avons ensuite atteint la plage d’El-Nido et on nous prêtait chaque jour des tubas et des chaussures de protection pour fair du snorkeling. Nous avions deux petits bâteaux pour le groupe, nommés “Adiona” et “Cléopathra”, qui nous ont emmené d’îles en îles durant les trois jours.
Le principe de visite à El-Nido est que l’on choisit un tour (A, B, C, D, E ou F) pour un jour et les conducteurs de bateaux nous emmènent visiter les différents endroits compris dans le tour choisi. Il y a vraiment énormément à voir je crois car une fois sur le bateau, on voit le paysage qui défile et d’immenses rochers n’arrêtent pas de se dresser devant nous à travers la mer.
La plupart du temps, les endroits étaient de petites plages, nichées en contre-bas des roches et on pouvait y faire du snorkeling. Au début je n’aimais pas le tuba mais après avoir essayé à plusieurs reprises et arrêter d’avaler la tasse, j’ai vraiment pu admirer ce qui se cachait sous ces eaux turquoises. C’était magique comme expérience. J’ai pu apercevoir plein de coraux et poissons multicolores. J’étais trop contente quand j’ai vu Némo le poisson dans son anémone mauve et Dori sa copine qui nageaient tranquillement dans ces fonds marins. On a aussi découvert que les méduses avec lesquelles on nageait n’était pas dangereuses et à la fin, on les prenait même en main, sans les blesser évidemment!!
Pour dînner, on s’arrêtait soit sur une île ou une plage et on mangeait la nourriture que les conducteur préparaient sur le bâteau. Ils cuisinaient en effet chaque jours et faisaient cuire au barbecue des thons (omgggg tellement bons), poulet, porc, .. avec du riz, légumes et fruiiits.
Le deuxième jour, on a pu faire la rencontre innatendue de singes habitant dans les roches d’une des îles. Je me demande s’ils ont été introduit là parce que je ne vois vraiment pas comment ils auraient pu atteindre ces rochers entourés d’eau. Je dois me renseigner sur ce point donnnnc. Sur la même île, il y avait aussi une grotte et on pouvait y accéder en se faufilant par un petit trou. Une fois à l’intérieur, les grandes parois qui se dressaient au dessus de nous avec la lumière du soleil qui rentrait par les ouvertures du haut. C’était drôle car vu de l’extérieur, on ne pouvait imaginer qu’un gros rocher pouvait habiter une telle grotte.
Après être rentrés vers 4 heures de l’après midi, on prenait nos douches et on se re-rendait dans le centre ville pour y manger tous ensemble. Un jour on a mangé “façon française” dans un restaurant qui servait des crêpes bretonne et un autre soir, on a mangé dans un restaurant italien pour satisfaire nos amis italianoo du groupe.
A suivre...
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