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#coup de foudre témoignage homme
roihangbe · 2 years
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Grigri vaudou garder une relation de coup de foudre/magie Vaudou
Grigri vaudou garder une relation de coup de foudre. La magie Vaudou offre bien des possibilités exceptionnelles pour tout les problèmes de retours d'affection. La magie blanche pour trouver l’amour est un sujet extrêmement controversé dans le domaine
Grigri vaudou garder une relation de coup de foudre. La magie Vaudou offre bien des possibilités exceptionnelles pour tout les problèmes de retours d’affection.La magie blanche pour trouver l’amour est un sujet extrêmement controversé dans le domaine des sorts. Il existe de nombreux points de vue sur l’éthique qui consiste à plier la volonté d’une autre personne.Heureusement, il existe des règles…
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Nous pouvons parler.
<La diffusion de ce message sera forcément interrompue, je le sais. Je vais tenter tout de même, Internet étant un média difficile à arrêter. J’ai décidé de dévoiler au grand jour ce que le monde doit savoir, peut être depuis longtemps. Je suis sûre que la science peut avancer avec ça, que ça changera la vision qu’ont les hommes de leur environnement. J’en suis persuadée. Mon identité importe peu dans ce témoignage. Ce sont les faits qui sont primordiaux. Ma vie et mon histoire ne comptent pas. Dommage qu’il faille quelqu’un pour raconter, pour en parler, et démontrer. Dommage que ce soit moi. Mais pour les autorités, les vies, le temps, et les passés ne comptent pas. Peu importe le nombre de vies qu’il faudra gâcher. Peu importe le nombre de familles à briser. Peu importe le temps qu’il faudra. Peu importe l’argent à dépenser. Leurs recherches aboutiront et elles préserveront leurs secrets. Elles le savent, c’est une loi, une règle universelle. Pour ces gens haut placés, c’est d’une logique indéniable. Les autorités n’ont pas de limites. Mais moi, maintenant, je vais briser ces règles. Moi, je vais ouvrir ces secrets au monde, pour que les autres sachent. Mais je ne suis qu’un pion. Elles l’ont compris. Et elles iront jusqu’au bout pour me faire taire. Pour empêcher ce message de franchir les barrières du silence. C’est ce message qu’elles doivent à tout prix arrêter. Moi, je ne compte pas. Il faut que je m’exprime, car j’ai peu de temps. Avant qu’elles ne remarquent.>   <La seule affaire du genre dévoilée au grand public est la toute première de ce type et s’est déroulée en 1977. Ce fut juste un signal de quelques secondes, mais cela avait suffisamment paniqué les foules. 72 secondes précisément mais des rumeurs, des hypothèses qui naissent encore 37 ans après. Le 15 aout 1977, l’Observatoire de radioastronomie de l’université de l’état de l’Ohio au Etats-Unis détecte le signal « Wow! ». Signal dont le code principal était « 6EQUJ5 ». Signal venu de l’espace. L’homme qui observe le phénomène est Jerry R. Ehman, travaillant alors avec The Big Ear, le radiotélescope qui capta le signal, sur le projet SETI. Serch for Extra-Terrestrial Intelligence.> Je me suis dit, quand j’ai entendu parler de ce signal « Wow! » et du SETI, que quand on cherche, on trouve. J’étais jeune alors, mais je n’étais pas née en 1977. Et encore aujourd’hui les rumeurs courent, il a raison. Depuis longtemps, bien avant ma naissance, des bruits passent, d’apparence plus ou moins réaliste et véridique. Les gens y croient, ou non, cela dépend de la qualité des thèses. J’ai 35 ans, et depuis que je suis journaliste, je vois mes collègues traiter des théories sur la zone 51 et le signal Wow!, parfois vieilles de plusieurs années déjà. Je suis journaliste, comme je l’ai dit précédemment. J’ai eu quelques grands travaux,  et j’ai dévoilé plusieurs affaires croustillantes au monde, m’attirant maintes fois les foudres des hautes sphères de notre société. Je m’intéressais plus à des scandales politiques, là où on trouve les choses les plus choquantes, histoire de faire du chiffre. Je reniais les autres affaires, que je ne jugeais pas assez utiles. Pas assez « tape à l’œil ». Mais là, j’ai trouvé un truc plus gros que tous les scandales que j’avais traités auparavant. Mais c’est différent…Ce n’est pas dans le contexte de mon travail que j’ai trouvé ça. C’était dans une situation plus personnelle, disons. Je suis « tombée » sur les rapports d’un chercheur du SETI. Enfin, les rapports…Des notes, des enregistrements, une lettre, et un message dont la diffusion n’a pas pu être effectuée… Et je sais pourquoi. On ne peut pas dire non plus que je sois tombée dessus. Non, on me les a confiés, ces documents. J’explique. Je connaissais le chercheur en question. C’était un ami proche. Je n’ai plus de nouvelles depuis que je l’ai vu pour la dernière fois. Veuf, sans enfants, c’était le genre de personne qui se tuait à son travail. Il ne vivait que pour ses recherches, et pour le SETI, persuadé que ça aboutirait. Il est sorti bouleversé de ses découvertes, bloqué dans un silence profond. Quelques semaines après, il m’a donné les documents et une lettre. Ainsi que le message qu’il avait voulu diffuser. Je me rappelle de la dernière fois que je l’ai vu. Il avait vieilli de dix ans au moins. Ses cheveux étaient gris et pâles, deux longs cernes ornaient ses yeux… vides. Il avait le teint d’un mort, des rides profondes, presque des cicatrices. Il portait sur son visage l’empreinte de la mort elle-même. Il m’avait donné rendez-vous dans un bar, à cinq heures du matin. Le bar en question était désert. Il est arrivé, portant un chapeau et un manteau immense, trempés par la pluie. Il a retiré son chapeau, et j’ai vu que ce n’était plus le même. Il ne m’a pas saluée. Il n’a rien dit, a jeté une chemise noire sur la table et est reparti dans la nuit. Je suis restée assise, bouche bée, dans le bar. Je me suis finalement levée, j’ai ramassé la chemise, épaisse de plusieurs documents, puis j’ai quitté le bar, la tête vide de toute pensée. Je ne comprenais pas. Quand je suis repartie en voiture, j’ai compris l’importance de ce qu’il m’avait donné. J’ai compris que ça avait un lien avec son travail, que c’était pour ça qu’il avait tant changé. J’avais peur, je me rappelle bien. Arrivée chez moi, j’ai ouvert la chemise. Ce que j’y ai découvert était tellement… inconcevable. J’ai cru à un canular, à une blague. Je n’avais jamais rien vu de la sorte. Une lettre tout d’abord. Rédigée à la main. Puis un message imprimé. Et pour finir une clé USB. <Depuis ce phénomène, rien de semblable ne s’est produit. Enfin, c’est ce qu’ils nous ont dit de dire. Ils ont dissimulé la vérité aux yeux des gens. Par plusieurs moyens, certes, mais je parlerai d’une de ces mises en scène tout particulièrement. Ce canular est tellement énorme qu’on ne peut se permettre de l’oublier. Le logiciel. SETI@home est un logiciel, qui permet à n’importe qui disposant d’une connexion Internet et d’un ordinateur de télécharger et d'analyser les données d’un radiotélescope. Officiellement, ce programme avait deux buts ; je passerai le premier, car c’est le deuxième qui est intéressant : Détecter un signal d’une intelligence extraterrestre, prouver que nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Ce but a, évidemment, échoué. Aucun signal détecté, sur des millions d’ordinateurs connectés, pour des millions d’amateurs et de professionnels surveillant plusieurs radiotélescopes. On a eu un signal, et depuis, plus rien. Et ça ne parait étrange aux yeux de personne. En vérité, des signaux, il y en a eu. Beaucoup. SETI@home n’est qu’une couverture, un mensonge. Les données sont fausses, toutes. Inventées de toutes pièces pour faire croire qu’on cherche encore, mais que personne ne trouve rien. Tout est déjà programmé. Mais ils ont trouvé. Des signaux, des tas de signaux. Depuis « Wow! », tous les radiotélescopes de la planète recevaient des signaux.   Avec les avancées technologiques depuis 1977, tout s’est bousculé. Les signaux devenaient de plus en plus précis, de plus en plus longs. Ce n’était plus un simple « 6EQUJ5 » mais des pages entières de code. On ne comprenait pas… Toute la NASA, et les autres agences spatiales étaient en ébullition alors. Il y a eu juste un élément qui a fait soudainement avancer les choses. Un élément qui n’aurait certainement pas, pardonnez-moi, inquiété, affolé les gens ainsi, dans des conditions normales. Mais dans ce cas-ci… Une technicienne de surface s’est suicidée. On l’a retrouvée pendue dans les locaux. Dans sa poche, une lettre. Pour mes « recherches » j’en ai fait une copie.> J’avais cette fameuse copie. L’écriture est pataude, l’encre a bavé, comme si le papier avait été mouillé. Les larmes de la technicienne, sans aucun doute. C’était très dur à lire. En fait, après une lecture attentive, je ne pouvais pas qualifier cela de lettre. Plutôt des phrases, sans queue ni tête…  Comme des passages, des extraits. « Ils disent de mourir. Ils veulent que l’on remarque. Ils hurlent qu’ils peuvent maintenant. Ils pouvaient voir, mais c’était tout. Ils étaient là, ils nous voyaient, mais nous non. Mais c’est fini, fini, fini, fini. Là, ils communiquent. Pas avec nous, mais bientôt les autres comprendront, ils disent ça sans cesse. Leurs voix résonnent, sans cesse, sans cesse. Je sais qu’ils sont là, là, partout, là où nous ne voyons pas. Moi je les reconnais, je les connais, eux. […] Ils se disent perdus, faits prisonniers dans l’immensité noire. Ils regrettent, ils regrettent, ils veulent quitter l’enfer. Ils ont peur. Leurs voix grondent, tremblent, gémissent, dans l’enfer. Là où ce n’est pas vivant. L’enfer, l’enfer, l’enfer. Ils appellent à l’aide. À l’aide. Dans ma tête, dans ma tête, dans ma tête. À l’aide.» Les mots « à l’aide » sont la fin de la lettre. Les autres passages sont pour la plupart illisibles, ou pour le moins incompréhensibles. La lettre est longue, pourtant. Mais ces phrases se répètent en boucle, la femme dit toujours la même chose. Elle semble avoir voulu transmettre un message mais sans savoir comment le faire passer. Je n’ai pas mis longtemps à réaliser que la personne ayant écrit ces lignes avait un problème psychologique. Une sorte de schizophrénie, quelque chose du genre. Je ne m’y connais pas en maladie mentale, mais je pensais à ça sur le coup. La suite du message m’a démontré le contraire. <J’étais sûr qu’une chose du genre allait se produire. Avec tous ces phénomènes étranges, les chercheurs étaient sous pression, ne comprenant pas forcément bien ce qui se passait, et devaient fournir des explications aux autorités, et autres hautes sphères de la société. Mais comme je viens de le dire, ç’aurait dû être un chercheur, un scientifique, qui aurait pu… passer à l’acte, craquer sous la pression… Quand j’ai lu la lettre, je n’ai pas compris ce qui s’est passé dans la tête de cette femme. Je pensais qu’elle était folle, je pensais que c’était une dépressive… Sauf que ça a continué. Une vague de folie a saisi les centres de recherche, les agences, les observatoires… Partout dans le pays. Les chercheurs semblaient déprimés, ils perdaient leurs cheveux, beaucoup disaient ne plus arriver à dormir. Ils disaient que c’était dû au stress. Que ça les perturbait, mais dès qu’on aurait trouvé la solution, tout se calmerait. Les chercheurs avaient tort. Tout a empiré. Les suicides ont suivi, c’était affreux. Les centres de recherche sont devenus des usines de la mort, les pertes s’enchaînaient, sans cesse. Tous ces scientifiques, avant de se donner la mort, écrivaient, s’enregistraient. On les voyait se dégrader, mais on ne réagissait pas, tellement concentrés dans nos recherches. Ils avaient des cernes, les yeux rouges, le teint pâle et plus de cheveux, mais nous, on ne voyait pas. Ils se donnaient la mort, de manières toutes plus affreuses les unes que les autres, mais on ne pleurait pas. Chaque jour, on retrouvait un corps, voire deux. La corde au cou, une balle dans la tête, les membres brisés sur un parking… Les blouses blanches devenues rouges. Avec à chaque fois, des lettres. Des témoignages, tous semblables, tous sans aucun sens. Les centres de recherche étaient énormes. Je connaissais les victimes, sans vraiment les connaitre. Bien sûr, il ne fallait pas avertir les familles des scientifiques, on en avait interdiction. On continuait à leur dire, aux familles, que leur proche était en plein travail, qu’il allait bien mais qu’il n’avait pas le temps. Elles ne s’inquiétaient pas, elles avaient l’habitude d’être sans nouvelles. Jusqu’au jour où un de mes amis a commencé lui aussi à… déprimer. Là, par contre, je l’ai vu se dégrader, je l’ai vu changer. Je connaissais la suite, mais je ne voulais pas y penser. C’était un bon ami. Il était distant, il ne me parlait presque plus. Comme les autres, il était pâle, il avait commencé à boire. Je ne sais pas comment il se procurait de quoi boire, mais il passait la nuit dans son bureau, et je le retrouvais complètement minable au matin. Un soir, il a voulu me parler. Il était ivre, je m’en souviens. Mais ses propos étaient étrangement clairs, et il parlait d’une manière fluide, sans hésitation. Il m’expliquait qu’il n’en pouvait plus, qu’il n’avait pas le temps. Il m’expliquait que sa fille lui parlait, lui parlait souvent. Sa fille est morte il y a plus de 6 ans, à l’âge de 2 ans. Je lui ai dit qu’il délirait, qu’il était fatigué, et ivre. Il m’a hurlé que j’avais tort, que je ne comprenais pas, qu’il devait la rejoindre, qu’elle était là-bas. Il fallait qu’il la rejoigne. Là-bas. Car c’est l’enfer, qu’elle est seule. Elle l’appelait, il l’entendait mal, mais elle était là. C’est la dernière chose qu’il m’a dite. Puis il est parti. Je suis resté dans son bureau, seul. Je l’ai entendu pleurer, un instant, puis il s’est éloigné. Ses pas ont raisonné une dernière fois. J’ai repris mes esprits, je suis sorti du bureau, et j’ai couru dans le couloir. Je l’ai appelé, il faisait noir, je ne voyais rien. Non loin de moi, j’ai entendu une porte claquer puis se verrouiller. J’ai foncé dans la porte, je l’ai appelé. Derrière la porte, il a murmuré quelque chose, le nom de sa fille, je crois. Puis, j’ai entendu un clic. Le clic d’une arme qu’on charge. La détonation a résonné dans le couloir.> Je suis restée là, bouche bée devant le message papier. Devant ce que mon ami avait dû endurer. J’ai mis plusieurs minutes à me replonger dans la lecture du message. <Il s’était tué. Comme les autres. Mais là, ça m’avait atteint. Je comprenais la gravité de la situation. Avant ce n’était que de vagues connaissances. Comme si c’était irréel, une histoire, une rumeur qu’on raconte. Mais pas là. Je venais d’assister à un suicide. Je réfléchissais longuement, après ça, délaissant mon travail et mes recherches. Plus tard, quelques jours après cet acte, j’ai repris. Mais différemment. J’étais ailleurs, disons. Les signaux continuaient à arriver, par centaines, chaque jour. Les suicides continuaient sans cesse. C’était la routine. Des pages entières de codes, tous différents. Je me rendais alors compte que tous les chercheurs autour de moi paniquaient, mais j’étais là, complètement calme, blasé, presque mort. Je les voyais s’agiter, crier, partout. Moi j’étais là, je marchais, je regardais. Un jour j’ai regardé les codes en détail. Une page imprimée que j’avais trouvée sur un bureau. Je n’avais rien à faire, je n’étais pas concentré. C’était comme d’habitude. Des séries de codes incompréhensibles, sans aucun sens. Mais quelque chose avait changé… Les codes n’étaient plus des chiffres, des lettres avec pour seules significations les fréquences… Non, c’était des mots, des phrases, qui m’apparaissaient soudain. Je lisais. Je ne comprenais pas. Je me suis dit que j’étais très fatigué, tout simplement. J’ai voulu aller me reposer, me détendre. J’ai lâché la lettre, enfin, les codes, puis je suis parti. Dans un bureau. Il y avait une radio. Une simple radio. Je l’ai allumée, je voulais penser à autre chose. Je n'ai trouvé aucune fréquence. Un bruit blanc continu s’échappait de la radio. Pourtant, je persistais. Jusqu’à trouver une fréquence. Une voix féminine parlait en boucle, d’une façon fluide, régulière, presque musicale. Ça m’a paralysé. Je suis resté bloqué sur la voix. J’ai d’abord pensé à une émission radio, toute bête. Mais les propos étaient autres. La femme m’a dit qu’il y avait un MP3 à ma droite, sur le bureau. Elle m’a dit de le prendre, et d’enregistrer. Car les scientifiques ont besoin de preuves, aussi futiles soient-elles.> J’ai cet enregistrement. Sur la clé USB. Il y a un fichier dessus. Je l’ouvre. Un enregistrement. Une voix de femme résonne dans mon appartement, ainsi que la respiration saccadée de mon ami. «- Bonsoir. Tu me reconnais ? Non, probablement, tu as tout oublié, tu vis pour ton travail. C’est vrai, c’était une question inutile. Enfin passons. Je ne suis pas là pour t’en vouloir, après tout. J’ai plutôt besoin de toi. -Qui…Qui êtes-vous ? -Cela n’a pas d’importance. J’aimerais bien voir si tu me reconnais. (Rires légers) Je dois te parler d’une chose. Les fréquences. À présent, nous pouvons communiquer. -Écoutez. On va arrêter là. Je sais que personne ne m’entend, que c’est un canular sur une radio quelconque. Je ne sais pas comment vous avez eu accès à ces informations, confidentielles, mais vous ne savez pas de quoi vous riez. -Que personne ne t’entend ? Que personne ne te répond ? C’est toi qui ne sais pas. Tu ne sais rien, RIEN ! (grésillements) -Arrêtez ça. Si c’est pour faire peur, ça ne sert à rien. -Peur ? C’est moi qui ais peur. Tu ne comprends rien, absolument  rien. C’est l’enfer là bas, L’ENFER ! -Effectivement je ne comprends pas. Qui êtes-vous ? De quoi parlez-vous ? -De l’enfer. Là où on ne respire pas, là où on ne voit rien.  Il y fait noir, il y fait froid. Nous ne sommes plus. Plus rien. Il n’y a rien, nous sommes nombreux, mais nous ne voyons rien.  Nous ne nous croisons pas, jamais. Nous nous entendons, chacun. J’entends ces cris de détresse, ces gémissements, ces pleurs d’enfants, et ces appels d’adultes. J’entends tout, je hurle moi aussi, ils entendent, mais personne ne peut rien. Nous sommes nombreux, mais nous sommes seuls.  (Sanglots) Tu n’imagines pas à quel point te parler me fait du bien. -MAIS QUI ÊTES-VOUS BON DIEU ?! -Dieu, j’y croyais, au début. Le paradis au ciel, l’enfer sous terre. Mais rien. Il n’y a pas de paradis. Rien. Vous croyiez connaître le ciel. Mais vous aviez tort. Tu te rappelles d’eux ? -Qui, eux ? -Eux. Ton ami qui t’a quitté l’autre soir. Tous tes collègues. Elle. -Mes collègues sont morts. Mon ami aussi. Terminé. Il n’y a rien après. Ils sont morts. -Non, non. Tu ne comprends rien. -Si. J’ai compris. Va-t-en. Pars. (Pleurs) -Non, il faut que j’explique. Les fréquences. C’est les fréquences. Les codes, les radios, les signaux. Depuis l’enfer, nous communiquons. Peu, mais sûrement. D’abord sur les radiotélescopes, et maintenant sur des radios bien moins puissantes. 15 aout 1977, c’est la date de notre réussite.  La date de notre premier signal. Bien avant que j’arrive, certes mais j’ai vite trouvé comment faire. La puissance de l’esprit est impressionnante. (Silence) (Inspiration du chercheur) -Tu ne peux pas parler ! C’est impossible ! -Si, ça l’est. -Non. Tu es morte. -Oui. As-tu compris ? As-tu compris qui je suis ? -Je…Oui. Je comprends maintenant. Je comprends tout. L’Enfer…C’est l’Espace. -Oui. Il aura fallu du temps aux hommes pour le comprendre. Mais c’est en train de se produire. Maintenant, rejoins-moi. Je t’en prie. S’il te plaît. C’est simple.» Fin de l’enregistrement. Il me reste un paragraphe à lire sur le message texte. C’est la toute fin. <Je ne pense pas à ce qu’elle m’a dit. Cela ne me choque pas plus que ça en fin de compte. Je regrette juste une chose. Que je ne puisse pas en parler. Ils m’ont vu. Ils entendent tout. Ils ne veulent pas que les gens sachent. Mais j’ai trouvé la solution. Quelqu’un le transmettra à ma place, ce message. Une source sûre, une amie journaliste. Quelqu’un que le monde croira, écoutera. Dans le pire des cas ce message deviendra une simple légende urbaine, mais les gens sauront. Ou du moins, auront lu. Et en garderont un vague souvenir. Mais écoutez-moi. Cette conversation a changé ma façon de voir les choses, ces phénomènes. Vos proches sont là-bas, des personnes que vous aimez. Ils souffrent, vous n’imaginez pas à quel point. Mais vous pouvez les rejoindre. Comme mon ami a rejoint sa fille. Comme j’ai rejoint ma femme. Rejoignez-moi.> J’ai compris alors que, ce soir là, c’était la dernière fois que je le verrais. Qu’il ne reviendrait pas, jamais. Ce message est un véritable appel au suicide. Je le réalise maintenant, je ne distingue plus le vrai du faux. Peut être que mon ami délirait simplement. Je ne sais pas. Mais je diffuserai ce message tout de même. Par respect. C’était sa dernière volonté. Je suis contre la diffusion, mais mon amitié me dit de le faire. Diffuser. Juste une chose. Réfléchissez sur ce que vous venez de lire. Réfléchissez avant de passer à l’acte. Ne faites pas comme moi.   ____________________________________________________________     Les suicides de Sacha R***** et Lloyd W****** resteront confidentiels. Ce message est classé top secret. Toute tentative de diffusion pourrait aboutir à des poursuites en justice. ____________________________________________________________ Traduit de l’anglais par Mary T********
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yannlyr · 4 years
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Courrier (nouvelle 4)
Chaque soir, le même ami va m’envoyer le thème de son choix à partir duquel, avant le lendemain soir, je devrai écrire une nouvelle, ceci formant un exercice volontaire, presque une discipline.
Hier, j’ai écrit un courrier manuscrit que je me suis envoyé par La Poste.
Le Havre, jeudi 17 septembre 2020. Mon cher Yann, j’ai bien lu la confidence que tu m’as écrite à propos de l’un de tes voisins. Il te plaît mais tu ne sais pas si tu dois le lui dire. Avant lui tu pensais ne pas avoir de type d’homme. Avec lui tu sais. Ca n’est pas tant son physique, avantageux pourtant dis-tu, qui t’attire, mais la force de son charme. Les quelques fois où vous avez échangé un bonjour dans l’ascenseur ont suffit à te donner la certitude que tu étais fait pour passer plus de temps en sa compagnie que ces secondes éternelles que nécessite la montée ou la descente de tes deux étages. La première fois, submergé par l’émotion, tu ne t’étais pas rendu compte que tu étais arrivé au rez-de-chaussée et que, la porte s’étant ouverte, tu gênais la sortie de ton voisin. Il n’a alors montré aucune impatience et c’est pour toi le signe qu’il partage ton trouble, ton attraction. C’est un homme bien : sa relation avec sa femme et avec ses enfants en est le témoignage vivant. Tu les entends s’amuser ensemble et jamais on ne crie dans cette famille heureuse. S’il devait y avoir une famille modèle ça serait celle-là. Il est donc la perle rare faite pour toi. Tu as ressenti, dans l’ascenseur, quand tu lui tournais le dos, que son visage avait manifesté la surprise, la stupeur, l’effondrement de ses certitudes, le chancellement intérieur, le coup de foudre qu’on ne connaît qu’une fois dans sa vie, le ressaisissement au moment de l’annonce de ton arrivée au deuxième étage, le flegme comme si aucun de ces sentiments ne l’avait traversé, successivement. D’ailleurs, afin de ne pas le gêner, tu ne l’as pas regardé quand tu as quitté l’ascenseur pour te diriger vers ton appartement, lui lançant un bonsoir auquel il a répondu sans grande émotion dans sa voix. Son flegme toujours. La preuve qu’il te fallait pour être certain de ses sentiments pour toi. Je ne saurais te donner mon avis, puisque je ne l’ai jamais rencontré.
Cependant, j’aurais un doute quant au petit stratagème que tu as imaginé pour lui déclarer ta flamme – à ton tour, précises-tu. Jeter cette lettre cachetée dans sa boîte aux lettres en imputant cette erreur de distribution au jeune stagiaire de La Poste qui fera sa tournée aujourd’hui ne me semble pas sans risques. Tu fais néanmoins ce qu’il te semblera le mieux au moment donné. La distribution de ton courrier se fait vers 10h, dis-tu. Je t’assure de mon amitié en toutes circonstances. Yann
18h. On sonne à ma porte.
Quatrième nouvelle du nouvel exercice, vendredi 18 septembre 2020
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angetritonesque · 4 years
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Les questions récurrentes
ici les questions qu’on me pose vraiment très souvent
- Du coup tu aimes les hommes ou les femmes ?
Personnellement je suis attiré par des gens peu importe leur genre, actuellement j’ai deux gros coups de foudres sur deux femmes et au moins une dizaine sur des hommes, allant du simple désir à de l’amour très intense. L’attirance sexuelle et le genre ne sont pas liés, il y a des personnes trans bi, d’autres hétéros, d’autres asexuelles... Exactement comme pour les personnes cis.
- Et tu jouais à la barbie ou aux camions étant petit ?
aucun des deux, je lisais, je dessinais, je faisais du foot et du basket, et j’aimais aussi me barbouiller de paillettes multicolors en mettant du vernis à ongle. Ce n’est pas forcément lié non plus, on peut se sentir homme et mettre des jupes par exemple (j’ai deux amis cis hétéros qui en portent, et l’un d’eux, c’est sa copine qui lui a acheté), ou se sentir femme en jouant à FIFA et en rotant de la bière
- Comment tu sais que t’es trans ?
ça, c’est une des questions les plus dures. C’est pas quelque chose qu’on peut expliquer, c’est un sentiment. Il y a la dysphorie et l’euphorie de genre, et c’est propre à chacun.e, certaines personnes trans n’ont pas de dysphorie par exemple donc ne faites pas une généralité de mon témoignage, mais moi j’ai eu des doutes parce que je n’ai jamais supporté mon corps depuis la puberté, et le moment où je l’ai vraiment complètement senti, c’est quand j’ai eu l’euphorie de genre. C’est une sorte de sensation vive, une émotion très forte où on se sent complet, heureux, et ça m’est arrivé quand on m’a appelé “mon p’tit loup” et “fiston” pour ma part. Une révélation miraculeuse.
- Tu vas te faire opérer ?
C’est une question horrible, vraiment, demandez pas aux gens ce qu’ils ont ou vont avoir dans leur slip, c’est incroyablement déplacé et gênant. Déjà, toutes les personnes trans n’ont pas envie de se faire opérer, que ce soit pour des questions de budget, de peur, d’incompatibilité avec leur santé, ou tout simplement parce que certaines sont à l’aise avec leur corps ou une partie de leur corps. Ensuite, que ce soit le cas ou non, c’est très réducteur comme biais de pensée, on n’est pas des organes génitaux sur pattes, on est des êtres humains.
- c’est quoi ton ancien prénom ?
Pareil, c’est très privé, si on change de prénom c’est qu’on est pas à l’aise avec celui de naissance, faut comprendre que passer une majeur partie de sa vie avec une identité qu’on déteste ça laisse des séquelles et lorsqu’on nous pose des questions sur cette identité, beaucoup d’entre nous sont mal à l’aise voir carrément anxieux. Si on laisse ça derrière nous, c’est pas très judicieux de nous en rappeler l’existence
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fabzefab · 7 years
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« Cette ambiance de cité existe vraiment chez l’EI. Les habitudes de cité n’ont pas trop changé en vérité. Le langage est le même. Les jihadistes ont islamisé le vocabulaire qui caractérise la délinquance. Avant ils auraient dit « tapettes », aujourd’hui, ils disent « murtad », apostat. Mais c’est exactement pareil que quand ils insultaient les gens avant dans leur période d’égarement, la jahilya. Les mots s’arabisent, s’islamisent, mais les comportements restent les mêmes. Ils s’insultent, ils font des punchlines comme dans le rap, mais à la gloire de Daesh. Même là-bas, ils étaient toujours attirés par tout ce qui est or, femmes, armes … C’est les mêmes centres d’intérêt qu’ils avaient en banlieue, c’est les mêmes plaisirs. Sauf que, détaille Zoubeir, « ce qu’ils ont volé, ils vont dire qu’ils l’ont pris en butin. Ils ont fait une ghanima. Quand ils vont mentir à des gens qui ne sont pas comme eux, ils vont pas dire que c’est du mensonge, ils disent que c’est de la ruse. Quand ils parlent d’insulter, ils vont dire que Dieu les a autorisé à médire sur les mécréants. Ils font leurs mêmes conneries, mais avec un peu plus d’islam, d’islamité dedans ».
David Thompson, Seuil / Les Jours, 2016, 295p, 19,50€
Pour étudier le phénomène que constitue le jihadisme français, David Thompson, à l’inverse de nombre de ses collègues, n’est pas allé interviewer des spécialistes spécialisés ni des experts en expertise, ni des sommités du monde universitaire capables de donner un avis sur à peu près tout. Loin d’une analyse caricaturale ou approximative, il a recueilli la parole la plus proche du phénomène lui-même puisque ce sont les jihadistes qui parlent dans ce livre, ceux qui sont partis et revenus, ceux qui sont encore là-bas, ceux qui sont revenus repentis, ceux qui sont revenus avec toujours la même détermination idéologique, bref, il a donné la parole à ces personnes aux profils bien plus complexes et compliqués que tout ce que l’on peut lire ou entendre dans les médias, et a compilé cette parole dans ce livre aussi intéressant qu’évidemment terrifiant.
On découvre donc de beaucoup plus près à quoi ressemblent les jihadistes français et si la plupart d’entre eux sont, comme on l’imagine, des gogols décérébrés venus des cités, des délinquants à peine éduqués, semi-débiles, élevés dans la haine du juif et de la France, abreuvés de discours complotistes et de blougi-boulga politico-religieux qu’ils recrachent sans la moindre capacité de recul ni d’analyse, ça ne constitue pas pour autant la totalité de la horde.
Les témoignages recueillis ont presque tous pour point commun des individus qui se sentent humiliés par la France, qui ne parviennent pas à y trouver une place, un statut social et qui dérivent de fait dans une sorte de limbe à la recherche d’un sens à donner à leur vie. Puisqu’ils ne sont pas intégrés ni reconnus, ils se sentent perdus. A cette sensation d’égarement, on leur offre une explication toute faite : le problème ne vient pas d’eux mais de la France, des valeurs occidentales, et du capitalisme.
On pourrait donc avoir des gens prêt à grossir les rangs du parti de Mélenchon, ou déterminés à s’installer dans la ZAD ou à s’associer aux black blocs pour donner du coup de poing dans les rassemblements anti-mondialistes.
Hélas, la religion est passée par là. Ces gens n’ont pas été élevés dans le militantisme politique mais sont passés par l’islam. Et la religion, au lieu de les pousser à une prise de conscience citoyenne, les envoie se faire enfermer le cerveau dans une idéologie salafiste (tous ou presque passent d’abord par le salafisme quiétiste avant de le quitter pour le jihadiste quand ils se radicalisent et ne tolèrent plus les « compromis républicains » des quiétistes) qui leur fait croire que pratiquer un islam résolument tourné vers la violence (avec appui sur les textes du Coran, contrairement à ce que voudraient nous faire croire les padamalgam et les « ça n’a rien à voir avec l’islam », qui d’ailleurs, rendent fous de rage les jihadistes, persuadés, eux, de pratiquer le seul vrai et pur islam) va leur permettre d’enfin trouver du sens à leur vie et d’enfin échapper à la République, invention mécréante (l’islam, dans sa lecture rigoriste, s’avère totalement incompatible avec la République, puisque le Coran assure que le pouvoir n’appartient qu’à Dieu et ne peut en aucun cas être donné au peuple) qu’il faut détruire par tous les moyens.
Et nous voilà donc avec de pauvres tarés, armés de kalachnikov, qui se retrouvent en Syrie où de dominés, ils deviennent dominants, d’humiliés ils deviennent humiliants, de victimes de la violence étatique ils deviennent bourreaux de la violence d’un état qu’ils représentent désormais.
La religion, poison pour esprits faibles, transforme donc des forces vives de la nation dont nous aurions bien besoin pour nous soulever contre le capitalisme en tueurs dégénérés qui commettent en Syrie, mille fois pire que ce qu’ils reprochent à leurs ennemis en France.
C’est d’ailleurs tout aussi pathétique que tragique de lire ces gens cracher leur haine sur les valeurs de la France, sur le consumérisme, sur le mariage homosexuel et de les retrouver ensuite en Syrie avec des bagnoles rutilantes, des smartphone derniers cris, à violer en tournantes les esclaves yézidies.
Car voilà ce que permet l’islamisation de ces gens : ça leur donne une excuse pour devenir des ordures. Ils peuvent tout se permettre puisque l’islam valide chacune de leurs exactions.
Ils ne craignent ni foudre divine ni jugement des hommes puisqu’ils sont la main de Dieu. Un Dieu pas très sympathique et qui leur permet de massacrer leurs propres frères musulmans mais ils s’en accommodent. Car avec le cerveau lavé par la religion, les voilà persuadés d’œuvrer pour le bien et donc autorisés à lâcher leurs plus bas instincts.
L’idéologie religieuse rend halal les pires des crimes. A partir de là, ça ne peut qu’attirer les déchets de notre société trop faibles, lâches ou débiles pour trouver un moyen plus créatif et constructif d’exprimer leur violence issue de la frustration.
Quelle belle invention que la religion …
Au-delà de ces profils psychologiques qui ressemblent donc à des militants d’extrême-gauche pervertis par les délires religieux, on découvre comment l’Etat Islamique se comporte en Syrie et c’est pas joli-joli sur le plan de la pureté et de la sainteté.
Le passage sur le racisme pratiqué entre eux par ces individus est à la fois terriblement ironique (les mecs haïssent les français qu’ils jugent racistes mais ils se comportent de façon bien pire avec d’autres ethnies une fois partis faire le jihad) et tristement comique lors de ce passage à propos du pauvre jihadiste coréen qui n’arrive pas à trouver de femme car personne ne veut d’un asiatique …
On mesure d’ailleurs au travers de ce livre à quel point la misère sexuelle joue un rôle majeur dans l’endoctrinement. Pour les garçons, partir rejoindre daesh c’est la certitude d’enfin niquer des filles puisque le viol est légitime et halal tandis que pour les femmes, c’est l’assurance de trouver « un homme, un vrai », un prince charmant barbu et ultra-violent, qui se bat pour une cause, loin des « frères » qui fument du teushi en sifflant les meufs dans les téci. Sauf qu’une fois là-bas, les filles déchantent vite, bien évidemment.
Ce qui ne les empêche pas, contrairement à ce qu’une pensée sexiste en France laissait croire, de se montrer plus dangereuse encore que les hommes. Car si la plupart des mecs partent là-bas pour jouer à GTA ou Call of Duty en vrai, avec des civils en victimes, pour niquer des esclaves ou pour avoir de belles pompes aux pieds, les filles elles, partent avec une conviction idéologique et religieuse bien plus solide. Elles sont réellement motivées par le jihad. En quand elles reviennent en France, déçue par l’ambiance des quartiers qu’elles ont retrouvé dans l’EI à cause des jihadistes français, elles n’ont rien perdu de leur détermination à frapper la France, pays qu’elles exècrent parce qu’elles s’y sentent rejetées.
Les filles, dans cet ouvrage, apparaissent infiniment plus dangereuse que ne le considérait l’état français jusqu’à l’attentat raté de la fin de l’été dernier.
Très intéressant donc de comprendre un peu mieux qui sont ces gens. Intéressant et bien sûr terriblement flippant quand on découvre, toujours au travers de la parole des premiers concernés, à quel point nos prisons sont devenues des incubateurs à jihadistes et surtout, à quel point les juges sont démunis face au phénomène. Pour exemple, sera cité le cas d’un prisonnier tellement maboule dans sa tête avec la religion (le mec, il veut pas que son co-détenu regarde la météo car y’a que dieu qui peut prédire le futur ! ) que les autres taulards l’appellent le fou, mais il sera relâché quand même et ira directement égorger un prêtre dans une église de Saint-Etienne du Rouvray. En gros, toute la prison savait que le mec était cramé dans sa tête mais on l’a quand même laissé sortir.
C’est dire à quel point la menace jihadiste est encore mal perçue et mal comprise par ceux censés garantir la sécurité des citoyens de ce pays.
Donc on va pas se mentir, c’est pas un bouquin qui fait du bien, qui rassure et qui apaise. Mais le lire me parait essentiel pour mieux comprendre qui sont ces gens et de fait, avoir de meilleures armes pour les combattre. Bien sûr, se pose la question de savoir quoi faire de ceux qui sont radicalisés sans le moindre espoir de retour. David Thompson fait parler les jihadistes et tous sont d’accord pour dire que la « déradicalisation », c’est du bullshit, ça n’a aucune prise sur eux. Donc on fait quoi de ces gens dont le seul et unique but dans la vie est de mourir en commettant des meurtres sur des civils français, sur des enfants, au nom d’Allah ?
Mais au-delà de cette question, il faut se demander comment empêcher d’autres esprits de tomber dans ce piège religieux. Et pour ça, la société française doit changer du tout au tout. Il n’est plus possible de donner la sensation à des citoyens d’être de seconde zone, d’être des cibles, d’être des victimes ou des boucs-émissaires. L’égalité et la fraternité sont plus que jamais nécessaires pour que chacun, dans ce putain de pays, se sente enfin à sa place. Les jihadistes français sont les plus déterminés à mourir de tous les pays qui se retrouvent à l’EI. Ils sont ceux qui détestent le plus leur pays d’origine. Putain, si ça, ça fait pas réfléchir !
Ne laissons plus la religion voler les âmes de ces gens. Prenons en main notre destin, sauvons nos miches, et votons tout sauf la haine, le rejet, l’exclusion, le communautarisme, la xénophobie et le racisme. Par pitié !
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uniquebirdprince · 5 years
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Découvrons le livre de Angélique Comte:
QUAND JEUNESSE RIME AVEC HÉROÏNE 
  Auteur: Angélique Comte
Publication: 5/02/2019
Nombre de pages: 101
Lien d’achat: ici
Genre: Roman
Prix numérique: 3,49€
Prix broché: 12,15€
Éditeur: autoédition
Page facebook: ici
Profil facebook: ici
Lu en version broché 
Résumé:
Cathy est une adolescente de dix-sept ans issue d’un milieu favorisé. Son premier amour, Fabio, est un jeune homme de dix-neuf ans, au passé douloureux. La jeune fille va se retrouver enceinte de son copain, après leur premier acte d’amour. Le couple juvénile va devoir prendre leurs responsabilités en habitant ensemble dans un appartement, s’ensuivra la descente aux enfers pour la jeune fille ; violence conjugale, perte de ses droits parentaux, dépendance à l’héroïne et prostitution sans consentement. La jeune femme au commencement victime va se relever telle une combattante. Après la pluie reviendra enfin le beau temps pour redonner le sourire au lecteur.
Mon avis:
Je connais la plume de l’auteure, ayant lu  Coup foudre à Saint Palais. Deuxième livre que je lis.
Cathy 17 ans, amoureuse de Fabio depuis 6 mois, il a eu un lourd passé. Cathy  a une relation sexuelle  avec lui et tombe enceinte. Pour elle, ces des papillons dans le ventre, contente de ces bonnes nouvelles mais ces parents sont contres à son âge, elle va se priver de sa jeunesse. Cathy annonce la nouvelle qui réagit très bien fait style d’être heureux mais au fond de lui c’est une autre personne qui se cache.
A ses 18 ans, Cathy va emménager avec son premier amour. Elle devrait être heureuse malheureusement ce n’est pas ce qui se passe, il se comporte en macho et le pire il consomme de l’héroïne !!! (Ce qui en périple, la jeune femme).
Quel est avenir de cet enfant dans son ventre ??? 
L’auteure sait nous plonger dans cette violence, un excellent témoignage contre les danger de la drogue ! Un livre poignant sur un sujet tabou, ce livre doit être lu !
A bientôt pour de nouvelles chroniques !
Chronique#48 QUAND JEUNESSE RIME AVEC HÉROÏNE Découvrons le livre de Angélique Comte: QUAND JEUNESSE RIME AVEC HÉROÏNE  Auteur: Angélique Comte Publication: 5/02/2019…
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jlstanislas · 7 years
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By David Chassagne,
  Autrefois terre d’asile, l’hôpital est aujourd’hui le reflet de notre société confronté à une violence quotidienne. Les violences sont nombreuses, diversifiées et récurrentes .les insultes, menaces, coups… mettent sous haute tension les services participant aux soins, à l’accueil administratif,  en créant un climat et des conditions de travail difficilement gérables.
L’hôpital se retrouve donc face à un paradoxe. D’un côté, il doit continuer d’assurer sa mission accueillir des patients et des familles  dans un esprit d’ouverture conformément à sa tradition et de l’autre côté, il doit se  refermer sur lui-même pour protéger son personnel et les autres usagers.
L’Observatoire National des Violences en milieu de Santé : quels chiffres ? 
L’Observatoire National des Violences en milieu de Santé (ONVS) dans son dernier rapport paru en 2015 et portant sur les données de 2014 classe les agressions en 4 niveaux allant de  la simple invective à l’agression physique.
Niveau 1 :  Injures, insultes et provocations sans menaces, consommation ou trafic de substances illicites ou prohibées
Niveau 2 : Menaces d’atteinte à l’intégrité physique ou aux biens de la personne, menaces de mort, port d’armes
Niveau 3 :  Violences volontaires, menaces avec arme, agression sexuelle
Niveau 4 :  Violences avec arme, viols et faits qualifiés de crime.
Ces agressions s’exercent aussi bien à l’encontre du personnel médical, des soignants que celui des personnels d’accueil, il faut retenir que nul n’est épargné.
Le rapport de l’ONVS souligne  qu’il n’y a pas plus de violences à l’hôpital, mais leur origine ou leur forme a  changé Ce qui accroît le sentiment d’insécurité ressentie par les professionnels de santé ou le personnel  administratif en lien avec l’accueil du public.
Le rapport cible les principaux motifs de violence. Si les reproches relatifs à la prise en charge constituent le premier facteur (plus de 58%) des cas observés, suivent l’alcoolisation (12%) et le temps d’attente jugé excessif par les patients (11.6%).
Dans la répartition, les injures, insultes et provocations apparaissent en première ligne avec 36.7% des cas. L’ONVS note sobrement qu’aux urgences, « les agressions verbales sont quotidiennes et les agressions physiques nombreuses »…Une sorte de normalisation des comportements.
La réalité actuelle est que cette violence est donc définitivement rentrée à l’hôpital de manière endogène ou exogène.. Le milieu est dramatiquement affecté, les personnels en grande difficulté face à cette problématique.
Les secteurs les plus exposés étant la psychiatrie (25%) dû aux comportements en lien avec la maladie, les secteurs d’urgences (15%) la médecine générale et la gérontologie (12%).
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les régions qui déclarent le plus de faits de violence ne sont pas nécessairement celles qui subissent une criminalité générale la plus importante. Pour preuve, derrière l’ile de France, arrivent la Picardie  et la Basse Normandie
Les atteintes aux personnes représentent la part la plus importante des actes de violences déclarés, avec 87% contre seulement 13% concernant l’atteinte aux biens.
Plus de la moitié de ces 87% sont des coups, des insultes, des injures et, bien que les moins nombreux 1% des faits qualifiés de crimes. Particulièrement grave il s’agit d’agressions par armes blanches, de viol…
Un exemple significatif
Ce mardi 13 septembre, il est 22h49, aux urgences de l’hôpital Delafontaine à Saint Denis, au nord de Paris. Un homme est admis pour un traumatisme crânien. A ses côtés, son frère s’agite, s’inquiète, s’emporte .C’est le Docteur Armand N qui fait les frais des foudres fraternelles. Lhomme l’agresse violemment. Il lui brise les deux mains au point que le médecin doit immédiatement être pris en charge au bloc pour une intervention. Il écopera de 50 jours d’incapacité de travail
Comment accompagner les professionnels, avec quelle démarche ?
Au regard des problématiques évoquées dans cet article, j’ai voulu proposer une démarche de formation pour le personnel travaillant dans ces milieu à risques en prenant en compte des axes de travail différents de ceux qui sont disponibles aujourd’hui sur le marché.
3 axes d’interventions pertinents peuvent être envisagés dans l’approche de la gestion de la violence en milieu de soins.
Axe 1 : « La gestion de « l’avant agression » :
Quelles attitudes adopter, quelles paroles, ou quel silence, la négociation…?
Qui de mieux placé qu’un membre des forces de l’ordre ancien Négociateur du RAID et du Gipn, confronté dans son quotidien professionnel à des situations de tension et de stress extrême, que peuvent ressentir les professionnels.
80% des situations de violence peuvent être pris en charge de cette façon en évitant un passage à l’acte violent avec une atteinte aux personnes, il existe des techniques de communication, des attitudes et de nombreux outils que cette formation apporte aux stagiaires.
Témoignage de Didier Gueguen
Ancien négociateur au GIPN puis au RAID 33
“J’ai pu acquérir après 14 années passées dans ces unités (et 26 ans de police) un savoir-faire dans le domaine de la gestion des situations de crises.
Il faut bien souvent, en négociation de crise être capable de négocier en situation de stress et/ou dans la précipitation.
 Malgré tout, dans 80% des cas , ces situations difficiles sont résolues par les mots .
L’analyse de la situation, Les silences, la parole, les gestes et attitudes ou encore l’écoute active sont autant de techniques qui entrent dans le processus de la négociation de crise et qui permettent bien souvent d’éviter le pire.”
Le second axe de travail et tout aussi important est :
Axe 2 : “La gestion de l’agression physique”
Qui de plus qualifiés que deux experts en self défense qui plus est Directeur des Soins d’un Centre Hospitalier et Directeur adjoint de clinique responsable des affaires médicales et Doctorant en droit.
Ils ont développé des compétences en gestion de l’agression physique par la pratique à haut niveau dans des grades élevé d’art martial, mais ont aussi une « casquette » de soignant ou d’anciens soignants, tout à fait en adéquation avec la réalité de terrain vécue quotidiennement par les équipes.
Témoignage de  Nathalie  Requier
Directrice des Soins issue de la filière de soins Infirmiers, spécialisée en Anesthésie
“J’ai été confrontée à la violence et l’agressivité des secteurs de soins dans lesquels j’ai pu exercer, en tant que soignante mais aussi en tant que manager.
Hélas, l’insécurité se retrouve partout, et pas seulement dans le très médiatique secteur des urgences.
Dans une situation de violence, d’une part ma posture de manager m’oblige à mettre en œuvre les moyens pour protéger les professionnels dont j’ai la responsabilité, pour que le « prendre soin » puisse continuer en toute confiance. D’autre part, ma posture individuelle, me renvoie à ma propre protection grâce à l’approche martiale féminine, enfin, ma posture de formateur, grâce à la méthodologie de la pédagogie active permet aux formés d’avoir les clés
L’approche innovante proposée permet un axe multimodal basé sur le théorico-pratique  qui permet non seulement  de décrypter l’ensemble du processus de l’agression : de la genèse jusqu’aux répercussions psychiques, mais aussi de donner à chacun les moyens d’y faire face.”
Témoignage d’ Olivier DECOSTER
Directeur d’établissement Médecine-Chirurgie-Obstétrique , ancien Directeur des Soins et
cadre de santé en charge des urgences
“J’ai souvent assisté à la détresse des soignants confrontés à la VIOLENCE sous toutes ses formes.
C’est pourquoi, j’ai cherché à construire une approche sécuritaire innovante permettant aux personnels des urgences ou de tous les services accueillant un public difficile, une ou des interventions contrôlées permettant de mieux appréhender ces moments intenses en termes de stress.
Cette approche sécuritaire se veut simple, efficace, rapide, pragmatique mais aussi ludique et proactive.
Le principe de cette approche consiste à acquérir des automatismes posturaux, ainsi que des éléments de langage propre à éviter une montée en symétrie tout en maîtrisant l’environnement hostile dans lequel le personnel peut dans certaine circonstance évoluer professionnellement.
C’est dans ce contexte que je propose depuis de nombreuses années ce concept, et que je suis aujourd’hui prêt à continuer à  faire évoluer au contact d’une équipe de spécialistes permettant de gagner en plus-value pour tous les personnels de nos structures de soins sur tout le territoire.”
Enfin le 3ème axe développé dans cette formation, est celui de
Axe 3 : “La gestion de la post agression”
Comment vivre après avoir subi une agression physique ou verbale ? Notre intervenante spécialisée est Directeur d’hôpital en disponibilité, psychanalyste psychothérapeute, Docteur en Anthropologie et Commissaire des armées.
Témoignage de  Marie Bonnet
Directrice d’Hôpital et Psychothérapeute
“Je propose aux hospitaliers des outils de défense psychique.
En effet, la vie hospitalière confronte parfois à des phénomènes de violence multifactorielle qui peut être toxique si l’on ne met pas en place les défenses adaptées.
L’apprentissage proposé aide à  prévenir les atteintes psychiques.
Un soignant des urgences a été pris dans une rixe angoissante et rentre chez lui après avoir été entendu par la police ?
Que faire pour que l’événement ne devienne pas un intrus psychique ?
Pourquoi les intrus psychiques peuvent-ils être des entraves de long terme ?
Être attentif aux atteintes de la vie psychique est un réflexe de bonne santé, et aide à trouver un équilibre durable dans la vie professionnelle.
Ayant durant ma vie hospitalière observé que souvent les collaborateurs étaient désarmés psychiquement, j’ai acquis la conviction que le coût psychique de la violence était bien trop élevé et avait des conséquences de long terme inacceptables.
Bien sûr, l’intrusion psychique est un concept bien difficile à concevoir, et qui rime avec “invisible”, avec “inconscient“.
Nous parlons donc de menaces invisibles et de blessures invisibles : effets du stress de haute intensité, risques des pics d’adrénaline, conséquences du stress dépassé.
Comment prévenir ?
Ces techniques simples diminuent le prix psychique payé par les hospitaliers, c’est un principe d’écologie de l’esprit auquel je suis particulièrement sensible et qui prend tout son sens dans un espace de soin.
Restaurer les défenses psychiques, c’est aussi limiter les vulnérabilités des services de soin qui ont une place importante et stratégique dans notre société.”
Par cette approche en 3 axes avec des regards différents d’experts reconnus, l’équipe de formation  « Dordogne Formation Conseil » souhaite répondre de manière adaptée à la problématique rencontrée au quotidien dans les hôpitaux et centres de soins.
Nous souhaitons proposer des techniques, des outils mais aussi des témoignages et un soutien permettant aux différents stagiaires de pouvoir gérer les différentes phases de la violence.
Nous sommes en relations aussi avec les directeurs de structure afin d’apporter une expertise sur la gestion environnementale des différents secteurs à risques ainsi que des procédures offrant des perspectives d’amélioration des conditions de travail.
David Chassagne, 
Cadre de santé en secteur médico-social  U.S.L.D./U.H.R./S.R.R. ADDICTOLOGIE
Directeur, Dordogne Formation Conseil
Quelques références réglementaires aller plus loin :
CIRCULAIRE DHOS/P1/2000/609 du 15 décembre 2000 relative à la prévention et à l’accompagnement des situations de violence définissait les grands axes d’une politique de prévention des situations de violence. CIRCULAIRE DHOS/P1/2005/327 du 11 juillet 2005 instaure une remontée systématique des informations relatives aux faits de violence des établissements vers les agences régionales de l’hospitalisation et de ces dernières vers la direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins CIRCULAIRE N°DGOS/PF2/R1/2010/464 du 27 décembre 2010 relative au financement par le fonds pour la modernisation des établissements de santé publics et privés (FMESPP) du développement des outils de gestion informatisée pour les risques associés aux soins dans les établissements de santé CIRCULAIRE du 2 mars 2011 relative à la mise en œuvre de la loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public CIRCULAIRE du 15 mars 2017 relative au respect du principe de laïcité et de l’obligation de neutralité par les agents publics INSTRUCTION N° DGOS/DSR/MISSION DES USAGERS/2011/139 du 13 avril 2011 relative à la conduite à tenir en cas de détention illégale de stupéfiants par un patient accueilli dans un établissement de santé GUIDE DE LA LAÏCITÉ ET DE LA GESTION DU FAIT RELIGIEUX (2016) dans les établissements publics de santé (rappel du principe de laïcité et de son application, exemples cités) GUIDE DE PRÉVENTION ET DE TRAITEMENT DES SITUATIONS DE VIOLENCE (2017) dans la fonction publique – DGAFP PROTOCOLE NATIONAL (12 août 2005) ministères de la santé et de l’intérieur Améliorer la sécurité des établissements hospitaliers publics et privés PROTOCOLE NATIONAL (10 juin 2010) ministères de la santé, de l’intérieur et de la justice Protocole amélioré auquel s’est associé le ministère de la justice PROTOCOLE NATIONAL (20 avril 2011) ministères de la santé, de l’intérieur et de la justice Protocole étendu aux 7 ordres des professionnels de santé Chirurgiens-dentistes, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, médecins, pédicures-podologues, pharmaciens, sages-femmes et à 21 organisations professionnelles
Autres sources utiles :
Dossier violence à l’hôpital de Patricia Bianchi 01/02/2013
Rapport de l’ONVS 2015
http://www.faceaurisque.com
David CHASSAGNE, Cadre de Santé EHPAD, Directeur Formation Conseil Dordogne
http://www.managersante.com
Dordogne Formation Conseil
Comment gérer les agressions dans les établissements de santé ? Témoignages d’experts et modes d’interventions By David Chassagne, Autrefois terre d’asile, l’hôpital est aujourd’hui le reflet de notre société confronté à une violence quotidienne.
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mikochat · 7 years
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Le tchatche pour nouer des liens amicaux ou amoureux
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L’objectif est de faire en sorte que l’autre personne ait toujours envie de discuter avec vous. Le chat avec cam a en effet l’avantage de pouvoir laisser des messages même si vous n’êtes pas connectés. Grâce au tchatche votre interlocuteur peut rapidement devenir votre confident. Cette relation peut alors se muer en amitié et pourquoi pas en histoire d’amour au fil du temps. Le tchatche a prouvé que l’amour sur internet est réel et beaucoup de couples mariés sont heureux. Dans leur témoignage, ils disent que sans le chat tchat, ils seront toujours célibataires.
Suite au tchatche gratuit, la rencontre a pourtant créé le coup de foudre tant espéré. Vous avez l’impression de connaître quelqu’un et vous lui donnez enfin son visage. Le voir en vrai après plusieurs jours, voire des mois de tchat gratuit, est tout simplement un instant magique. Le lien entre vous devient encore plus fort, malgré les premières minutes de trac. Il est en effet intimidant de faire la connaissance de celle ou celui avec qui vous vous sentez déjà très proches. Des sujets de conversation sur le tchatche vous reviennent en mémoire et vous en rougissez un peu. C’est une réaction tout à fait normale, mais qui donne du charme à votre couple. Ce genre de souvenir ne s’efface jamais, puisqu’il s’agit de la première rencontre après le tchat. Tous les détails de cet instant restent en mémoire comme si c’était hier.
En conclusion, grâce au tchatche vous pouvez trouver la personne qui est réellement faite pour vous sans avoir l’impression d’avoir perdu votre temps.
via http://www.mikochat.com/tchatche
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