#cotelé
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mathiasroi · 3 months ago
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courgettes du samedi 24 août 2024
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nuisanceclown · 5 years ago
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La pelaron en el veterinario y ahora tiene patitas de cotelé 💞🐈
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amenatextiles · 3 years ago
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Estas cositas lindas las hago para @amimevistemimami , mi tienda infantil, pero te las quería mostrar para que vieras que el cotelé milrayas, delgadito, es muy versátil 🍁✨ Www.Amenatelas.Cl #chilesustentable #hechoenchile #🇨🇱 #modalentachile #slowfashionchile #diseñochileno #decochile #handmadechile #modalentachile #cotele #cotelé (en Providencia, Chile) https://www.instagram.com/p/Cdqh1u_rZvY/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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chic-a-gigot · 2 years ago
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La Mode illustrée, no. 29, 21 juillet 1867, Paris. Leçon de crochet. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
No. 1. Chainette. No. 2. Double-chainette. No. 3. Chainette à picots. No. 4. Mailles-chainettes. No. 4. Mailles simples. No. 6. Variété de mailles simples. No. 7. Crochet cotelé. No. 8. Crochet en biais. No. 9. Demi-brides. No. 10. Brides. No. 11. Double-brides. No. 12. Triples-brides. No. 13. Brides croisées. No. 14. Brides croisées. No. 15. Brides croisées. No. 16. Pois en relief. No. 17. Pois creux. No. 18. Groupes de brides. no. 19. Brides en relief. No. 20. Picots. No. 21. Picots dirigés en haut. No 22. Picots dirigés en bas.
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soflying369 · 3 years ago
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estoy modo:
dale si yo puedo me he estudiado esto mil veces y también modo ayúdame diosito y también modo no tengo pera el tiempo de dios es perfecto y también modo noo te pongas nerviosa ahora puta dale cotelé y también modo gracias vida por estas oportunidades y también modo todo está bien vas bien y también modo tú te lo buscaste y también modo mira lo que estay haciendo weona erí kul vai re bomba y también modo weyy yo sabía que a veces esto era duro quiero iorar y también modo ya bitch paséatelo too mira como tabai antes mira donde tay ahora y también modo pero esto recién empieza y también modo bonjour mon cheri qu'est-ce que vous vais faire ça aujourd'ui aprés le cours? continuar claro pq rendirse no es una opción
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good-c-vibes · 3 years ago
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Sentía la lluvia, ella llegaba con su falda de cotelé y sus medias oscuras. Se veia hermosa de lejos, con sus aros que reflejaba cada luz destellantes de los vehículo rasantes. Al verme sonríe, al momento de acercarse, en menos de medio segundo, ya poseia sus labios tibios y humedos sobre los míos. Era feliz de tener su atención, sentada frente a mi, separados por una cafe y un chocolate amargo pero caliente. Me explicaba los nuevos compañeros de clase, sus ventas de su pequeño proyecto. Yo asentía pero realmente mi atención era a su boca, a sus pestañas, a su cuello, cada detalle de su piel, no era amor pero para ese camino iba. Porque realmente me sentia feliz de ser con ella y no de poseerla,
Ver lo libre que era como mujer, me hacía feliz, verla feliz, me hacia mi propia felicidad. Yo ser una parte se su felicidad. Aunque fuese 1 minuto contado a reloj, de verla. Ya me daria por pagado. Solo quiero que no termine ese cafe, que sea como esas carpas de harry, donde pequeña se veia de afuera, en su interior era tremendas. Lo mismo deseaba en su taza que nunca
Terminará
Frg rdp
Ola, queri pololear conmigo?🥺🤝
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juliettemanciniart · 4 years ago
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Amnesia
Ange a la chevelure blonde cendrée et s'habille de noir, il se plante devant le miroir des toilettes du lycée. Il a le nez retroussé, des narines dessinées de manière ambiguës. Des bas joues un peu tombantes lui donnent un air boudeur de petite fille. Ses cheveux ressemblent à de la paille qui pourrait prendre feu au moindre coup de vent un peu abrupt et ses lèvres pleines et exsangues ont la couleur du sang. En ce moment il n'était pas en cours, il était las de cacher ses scarifications aux yeux de tous, ce corps qu'il ne supportait plus, ce stresse qui l'étouffait. Il plongeait dans son reflet aux yeux vide quand une porte claqua et des bottes à plateformes retombèrent banalement sur le parquet tel Kuzco ouvrant la porte de son palais. Un autre homme un peu contrit s'en alla des toilettes et le regardant avec un air assassin. Lisandre, car c'était ainsi qu'il s'appelait, était pâle comme la lune, des yeux globuleux et translucides, étaient bleus gris comme ceux d'Ange, mais là où ceux d'Ange avaient tendance à faire peur, ceux de Lisandre étaient comme circonspect par tout ce qu'il voyait, et semblaient émerveiller d'un rien. Il porte un blazer noir noué par une broche, et un par dessus en velours cotelé. Le mystérieux jeune homme frôla l'épaule d'Ange et se lava les mains devant la glace.
«Qu'est-ce que c'est que ça ? »
Il parlait du sang qui coulait dans l'eau, Ange répondit en grommelant ce qui secoua Lisandre d'un ricanement étrange, qu'importe, Ange n'en avait rien à foutre de ce que les autres pensaient.
« Je fais les devoirs des gens de ce lycée pour les aider, je suis un peu un sauveur qui n'a pas assez de travail à la maison. On parlait de sa prochaine dissertation.
Vous n'aviez pas l'air de disserter. Tu fais ce que tu veux moi je m'en fous. 
Ca ne t’intéresse pas ? »
Ange comprit l'allusion voilait et décida de checker son telephone machinalement, Lisandre lui vola des mains et fit un tour sur lui même pour l'empecher de le récupérer, Ange comprenant qu'il se faisait bolosser gémit un peu, mais le brun le rassura en lui rendant le téléphone avec un nouveau contact ajouté au répertoire « Lisandre <3 ». C'était un peu nostalgique ce cœur écrit en sms, ça lui faisait penser à l'époque où il avait encore des amis. L'entrevue s'arreta là et laissa un goût d'inquiétante étrangeté à Ange.
Lisandre est en train d'écrire..
Un rdv. A quoi s'attendre ? Ange n'en avait pas la moindre idée, c'était peut etre une prostituée des bas fonds pour venir faire soit disant des rédactions dans les toilettes. Au dehors un groupe de filles parlaient fort et des talons claquaient au sol. Ange était là, dans sa chambre, et même si il sentait la nausée, ses sens étaient en éveil tandis que la nuit miaulait, et elle aimait cette ambiance de merde. Il ou elle va dans la salle de bain se brosser les dents chose qu'il n'avait pas fait depuis des jours à déprimer dans son lit. En s'essuyant la bouche dans le coton de la serviette, il voulait que tout s'évanouisse dans ce moment, c'était une caricature, un cadavre qui appelle sa mère sourdement.  Que tout s'évanouisse. Qu'il s'endorme enfin, pour toujours. Un appel le sort de sa torpeur, il est temps de descendre les escaliers en vitesse, les voitures klaxonnent dans les artères des ruelles et la chaleur polluante pénètre ses vêtements et réchauffent sa peau sur les os.
Il lui demande si il boit, des bouteilles claquaient à leurs pieds cirés, les manteaux de velours et de cuirs les endimanchés leurs bras mutins. Non, Ange ne boit pas, il doit avoir l'air malade mais a laissé tombé l'idée de passer pour un ado comme les autres. Il profite de son attention, du fait que le brun devienne presque gentil, baissant ses barrières en faisant rentrer le liquide douloureux dans sa gorge, pour poser sa tête blonde sur son épaule.
Soudain la ceinture brillante gémit dans le taxis, doucement. Il fait sombre, les lumières des phares éclairent, comme la fée clochette, comme une douche théâtrale, les visages rougis d'émotion et un chaste baiser se pose sur sa joue. Il ferma les yeux. Léthargique. C'était le bon moment pour s'endormir. Enfin.
« On est arrivé » Banalement, tristement.
Ils sont dans une gare, il n'y a personne en ces temps de pandémie qui fait perdre goût et odorat. C'est la beauté laide que ce paysage douloureux.
Ils prennent un train, à un moment Ange perd Lisandre de vue, et ils passent sous un pont, puis le train change du tout au tout. Le train semblait fonctionnait par lui même, il passait sur des railles invisibles à l'oeil humain et était peuplé de monstres tous plus étranges les uns que les autres. Un lombric à taille humaine traversés par des flammes le long du corps, venant lécher sa bouche entrouverte. Des personnages aux visages suturés et courbés tel des lutteurs d'un tableau de Bacon, grommelant sur le peu de place que leur laissait l'espace. L'exterieur était tout aussi fantastique que l'intérieur, tantôt l'on passait dans des paysages féeriques aux couleurs vertes et brunes, ponctuées de cascades rosées par une lumière mystique. Des dragons semblaient s'y baignait, on ne savait si ils étaient bien ou mal veillant, sauvages sans nul doute n'appartenant à rien de ce que Ange avait connu. Des femmes se baignaient dedans comme si c'était une piscine édulcorée et étaient vêtues de perles nacrées comme l'eau pure. L'une lui tira la langue en l'appercevant collé à la buée de la vitre et une pierre precieuse était nichée dans sa bouche, Ange ne sut comment interpreté ce geste mais était fasciné. L'exterieur semblait un havre de paix comparé à l'ambiance étouffante de la foule du train, semblant etre une masse monstrueuse de laids visages fondus les uns aux autres. Si on avait dû faire une esquisse de ce moment, sans nulle doute aurions nous dépeint les deux protagonistes entourés de traits difformes, presque absents, et leurs deux visages adulescents seraient les seuls nuages de beauté dans ce café d'un noir lugubre. Puis le décors changeait dans la nuit la plus ténébreuse, des accents métalliques brillaient dans le noir, de l'argent se réfletant sur la veste en peau de serpent noir de Lisandre qui regardait d'un air habitué et mystérieux devant lui sans prêtait nul attention à ce paysage d'arrière monde intérieur, qui n'était que lui. Lisandre étant amnesique, il avait choisit lui même son nom, il aurait voulu qu'il comporte deux L comme Lilith, mais il remplaca le deuxieme par un S, une boucle se repliant sur elle même à la fin, comme une promesse mal tenue, une éternité jamais retrouvée puisque la vie n'est que lorsqu'elle comporte la mort. Dehors des barbelés formaient les maisons, les montagnes, les collines, les habitants répugnants étaient dotés de pustules et avaient subis de lourdes opérations chirurgicales, ils étaient aussi anorexiques que les arbres en fils de fers et hurlaient en leurs direction des mots dans une langue inconnue. C'est ici que s'acheva leur periple. Lisandre amena Ange dans le seul endroit de verdure qui jallonait ce paysage maccabre. Et tout au fond de ce jardin était un nombre incroyable de fleurs.
« Les chatons de saules sont très mignons, mais délibérants, caresse les pour voir. »
Ange toucha du bout du doigté délicatement la fleur duveteuse, un frémissement lui répondit suivit d'un ronronnement. Il continua son geste et soudain les branches s'agrippérent à sa manche de blazer et le griffèrent, les fleurs feûlaient.
« Un jour je vivrais avec quelqu'un sur un par terre de myosotis et c'est ici que je fonderais ma famille. Il y a de la beauté dans la simplicité. 
-Et ça qu'est ce que c'est ?
-Il faut toucher pour comprendre, le toucher est le plus important de tous les sens. »
Il lui montra en plaçant son doigt dans la bouche ultra veineuse de la plante, elle se referma comme un vampire sur l'ongle manucuré. Et ce fut la nuit.
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notnobodynone · 5 years ago
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Escapista
Mientras prendo un copal me acuerdo del rubio crespo que envolvió mi corazón de buena literatura. Este olor me recuerda a cuando empezó todo lo nuestro, “nuestro es el momento (...) nuestra es la calidez”. Pero no quiero hablar de él. Ya no quiero regalarle más energías y probablemente si habrá un definitivamente adiós. Quizás hoy. Ultimamente mi vida se ha visto rodeada de numerosos adioses y seguirán. Este fin de semana comenté que me habían roto el corazón junto a una botella de Volcanes, sorbos recordando y olvidando. Antes de que llegaran pensé en dos posibilidades. 1.Daba vuelta la página rotundamente con Sapi o 2.Con todo si no pa que(?) Pues, entre el alcohol, la arena y el frio de la brisa marina, fui a mojarme los pies al mar, me mojé la falda de cotelé nueva que adquirí hace poco. Reí con La Luz de la luna y me devolví a convencer a los demás, solo me acompañó quien no quería. Me pidió un beso después de alguna metáfora de la vida que dije sobre la naturaleza y sus elementos. Le pregunté por qué y al parecer es que como alguna vez le gusté, quería no quedarse con las ganas. Se lo di y no sentí nada. Nada. Lamentablemente, porque besaba bien pero no me gusta. A veces me cae mal pero es mi amigo y lo quiero mucho. Pero no sentí nada. Nada. Hace mucho tiempo no me pasaba eso. Porque no suelo besar sin sentimientos o alguna atracción más abstracta. En mi cabeza pensaba: Nisiquiera por estar borracha siento algo? WOW. Asi que paré y continue la juerga.  Era extraño, siempre me gustó su amigo, quien varias veces desistí de buscarlo. Pero me di cuenta que aun me sentía atraída porque me daba vergüenza mirarlo a los ojos mucho rato, inclusive ebria. HACE TANTO NO ME PASABA! Ay... la noche siguiente me acompañó Sapi y lo pasamos bien, tomamos vino blanco y tinto. Escuchamos música, nos reímos, vimos videos en youtube demasiado chistosos, bailamos, nos pusimos pepino en la cara -porque me insolé en la playa y el tenía mucho calor entonces me copiaba-, leímos uno de los libros que trajo y me prestó. Hablamos de muchas cosas y de nuevo habían tantas en común como en un principio.  Ahora que me gusta el anime y me estoy adentrando a las series coreanas habrá notado otro interés en mí? Llegaron mis progenitores y seguimos hasta que notamos que ya eran más de las 4 am. No sabía como pero quería besarlo. No suelo ser la que busca la iniciativa entonces me veía muy atrapada asi que bueno, filo, será. Mejor así. La pasamos muy bien.  Lo veo observándome gracias a La Luz de la luna. Jugueteamos y terminamos besándonos, lo sentí, LO SENTÍ! muy dentro de mí, algo de mi estomago sabia por todo mi abdomen y retorcía mi cuerpo, nos apegamos y no paramos.  Pensé que nunca pasaría, le dije después de harto rato mientras intentábamos dormir -cosa que nunca lográbamos- así que lo conversamos. Que cuatico que después de tanto tiempo se concretó. Hablábamos desde el 2016/2017 y ambes pensábamos que quizás podría pasar algo. Algo pasó por lo que no continuamos y pucha. El amigo que nos presentó era una gran barrera, lo fue la noche anterior y ahora sentimos algo de culpa. Ya al siguiente día, mi timidez seguía en pie. No quiero ser catete, siempre lo fui. Pero ahora era distinto. De hecho nos comparó a los primeros personajes de Racimo. Que él era como García que nunca se callaba y yo como Torres Leiva, silencioso. En la tarde, sin él. Mientras leía mi libro bajo la sombra en un quitasol sentada en la playa lo recordaba y me estremecía. Anoté en las páginas una pregunta que me he estado haciendo últimamente: “Por qué soy tan enamoradiza?”  Me voy a la capital con mucho sueño acumulado porque dormimos muy poco. Miro los paisajes y recuerdo haber escrito alguna vez sobre el sexo. El sexo banal o reciclable. No. Yo no soy así y lo confirmé besando a mi amigo en la orilla del mar. Ya lo venía pensando hace tiempo. No puedo involucrarme con alguien sin sentir nada. Debe haber alguna conexión de alguna u otra forma. Me relaciono a través del amor, no sobre lo material o el mero placer. Si fuese por eso quizás el ego no me hubiera dolido tanto cuando ese pololo cosificaba a las mujeres en la calle o mi ex se metiera con cualquiera porque pudiera. Yo no. Y por eso también le dolió a ella. Porque yo si me relaciono con las personas. Ella quería ser la única con lo que lo tuviera.  Ahora no lo dejo de pensar. Porque me gusta recordar y que se me sigan apretando los órganos de nervios. No me atrevo a escribirle porque para qué. Pero antes de dormirme anoche, tomé el libro que me prestó para leer y entre páginas apareció su olor. Me fui a la cresta y noté que ahora la luna si estaba llena, iluminaba mi pieza por la ventana. Apagué La Luz de mi cómoda para confirmar tal potencia y sí. Me apoyé sobre el libro mirando las manchas oscuras de la luna, respirando el olor de Sapi, recordando que ambes leímos unos capítulos y lo lindo que era que me abrazara tiernamente. 
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carlocurva · 5 years ago
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quién pensaría al revés, quién lo viera todo después cuando fue su tiempo El acaudalado baphomet local se desangra en la puerta de cualquiera de los fuegos de verano erosiones cutáneas y herbología por la mañana Hincapié en el zumbido de un hombre coleóptero Por la tarde ganas de nadar en azufre Por la noche y vuelve al irregular comienzo despeñado de vacíos e intuiciones de luz y de forma formas forman formal Pantalón de cotelé y ganas de andar en bici por el océano rojo Es azul debido al cielo me dijo El cielo es azul porque hay un techo y azulino es el papel mural Se rió no de mí sino de su condición a carcajadas ahogadas por el wc en que hundo su cabeza deforme La paternidad se extinguió hace tiempo como el volcán ahogado que te presté cuando éramos chicos recuerdas al gato? El que no supo caer de pie? El que se comió el pene porque ya no lo sentía? No
El flaco inri no se presta ni pa vo ni pa nadie iesus nazarenus rex iudaerum punga culiao sin retórica te manda a decir mi mamá Ábrete de golpe el grifo de la poesía que te contuviste por tanto y dime si no es linda la sensación de querer darle significado a la pérdida Cuando extrasviaste su compañía porque a mi no me engañai nunca le escribiste nada cuando estuvo pusilánime criatura No me importa de donde seas envíame una carta y te devolveré una con mis cabellos y fluidos y será la más personal de todas Larga vida a la distancia que ya es buen momento que sin esfuerzo otra se coma el fruto de nuestro amor
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cortaviento · 3 years ago
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Los extraños
Uno. Inicio. Cine.
La pesadilla comenzó cuando todos entraron a la sala de un cine antiguo. Hicieron pasar a la pequeña familia que seguiremos junto a otras personas que no conocían. Padre, madre, hijo y extraños. A todos les sorprendía estar en ese lugar, lo veías en sus rostros.
El lugar estaba mal cuidado. Parecía haber un tragaluz que iluminaba las últimas butacas, pero la gente que miró el punto por donde ingresaba la luz se encontró con un agujero enorme. Las paredes estaban cubiertas de cotelé de color marrón desvaído, se apreciaban vetas blancas verticales de la madera que había tras el género. Las butacas de un armazón de fierro también tenían esa tela y tono, y también manchas que el hijo de la familia pensó que eran cagadas de palomas. Lo dijo con un mohín en su cara. Esa familia se sentó cerca de la pantalla que arriba del escenario estaba cubierta con telas negras, muy negras, como si fuera el propio vacío que estaba en ellas.  El padre se quedó pegado observándola. 
Sin darse cuenta del resto de gente que entraba y que ocupaba los otros asientos. Sin ver la llegada de la otra gente que se quedó de pie en la escalera y que con un carraspeo y un ¡Ejem! llamó la atención de todos. Estas personas vestían túnicas verdes, con cordones amarillos. El ritual estaba por empezar
—Nos deben acompañar —dijo uno de ellos. 
Era una orden que sonaba a sugerencia, una de las que no te puedes negar. Trató de hacerlo uno de los asistentes que estaba atrás de la familia, un tipo grueso que protegía (¿de las palomas?) su paquete de cabritas se paró y gritó:
—¡Nadie me saca de acá! —abrazaba el paquete de cabritas y con la otra mano la cubría.
Dos personas de túnicas se le acercaron, lo tomaron de los hombros y los brazos provocando que soltara el paquete y las cabritas se desparramaron por todos lados. Aplicaban presión en sus hombros como queriendo meterlo en la butaca. El hombre mostraba una cara de dolor. La madre le apretó el brazo del padre y con el otro brazo acercó a su hijo más a ellos. El hijo bordeaba los 18 años y cualquier arrebato impulsivo por la edad estaba ausente en ese momento, tenía miedo. Los tres tenían miedo.
Entró un nuevo tipo, usando la capucha de la túnica, impidiendo ver su rostro. Extendió su brazo y apuntando un dedo de su mano enguantada hizo que se calmara el hombre y que dejaran de apretarlo en la silla los otros. La familia estaba junto a ellos (y esa es una de las razones por las que los seguimos, la otra razón no la veremos aún) fueron los primeros en ver que ese tipo encapuchado al levantar la mano la túnica se levantó y pudieron ver qué los pies no eran pies… Más parecían patas animalescas, largas, muy rojas, con uñas gruesas, negras. La familia gritó al unísono un alarido deforme y volvieron a callar cuando sintieron el peso de las miradas sobre ellos de todas las personas con túnicas.
—Nos deben acompañar —dijo por segunda vez el tipo en túnica que habló la primera vez.  Esta vez todos hicieron fila en la escalinata, todos estaban asustados y sus ojos estaban muy abiertos.  Dando pasos temblorosos se hicieron guiar hacia el escenario. 
Los hicieron pasar por una puerta abierta tras la pantalla, tras el umbral se veía la misma negrura carente de todo, pero no había vacío, había algo peor.
-Fin parte Uno-
...Relato en progreso...
-- Continuará...
[VR]
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hammersonthewall · 3 years ago
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Los pies colgaban sobre el río, con zapatos, pero helados.
No había mucho que decir del cotelé que cubría sus piernas, ni de las multiples capas que cubrían su torso y sus mangas. Pero solo un guante había en sus manos. Y no puesto.
El pasto se movía, erizandose como la piel de quien sabe que va a morir, casi como una exhalación presa del frío, casi como una extensión de los gusanos que nadaban como peces de tierra bajo el verde, y el café. El pasto era solo un sintoma de lo que pasaba unos metros mas allá, y por dentro también.
Los pies colgaban sobre el río, y parecían moverse como por inercia en el viento.
Las piernas se acercaron, con sus botas y las suelas que quedaban, y volaron un par de bandurrias desconfiadas volaron. Bandurrias humanas, un poquito más allá, desaparecieron preocupadas del contenido de su bolso, bolsillos, pulmones, y carteras. Mezclados en la noche y el humo, supieron que no estaban
Los pies colgaban sobre el río, con zapatos, pero helados. Y empezaron a elevarse cada vez más.
Había fallecido hace unas 5 horas atrás, la sangre ya depositada en la espalda de quien había sido cuidadosamente tendido en el pasto. Arrastrado por agentes policiales, parecía casi ver sus pies elevandose al cielo de la camilla y el carro mortuorio.
El guante, blanquecino, puro, casi no tocado por la malicia de la muerte, voló en el viento y se depositó en el río.
Todo vuelve a donde pertenece, aunque demore.
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amenatextiles · 3 years ago
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¿Ves la diferencia entre el cotelé normal beige y los cotelé milrayas con flores? El primero es mucho más grueso y pesado. Sirve para chaquetas, pantalones, jardineras, etc. El milrayas es finito y suave y lo puedes usar para blusas, camisas jardineras más finas y con forro, vestidos, faldas, etc. Ambos son 100% algodón. ¿Te gustan? 🤩🤍 Www.Amenatelas.Cl #chilesustentable #hechoenchile #🇨🇱 #modalentachile #slowfashionchile #diseñochileno #decochile #handmadechile #modalentachile #cotelé #cotele (en Providencia, Chile) https://www.instagram.com/p/CbIaOjgLtUT/?utm_medium=tumblr
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Shopping de Christine
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Encargo 4: Pantalón a medida para cliente.
- Imágenes referenciales, donde se escogió el primer pantalón amarillo en cotelé.
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blondie1742vinted · 3 years ago
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A vendre sur Vinted ❤️
Robe pull femme taille 38/40
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juliettemanciniart · 3 years ago
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L’androgyne ne dit pas de contre-vérité,
Car iel ne parle pas, reste dans ses songes
De ses yeux comme des billes de glace nul mensonges
De ses joues creuses, souffle l’aspérité
L’aspérule odorante repose dans la laine de verre
Qui cristallise et décompose la matière.
L’hermaphrodite dans son jardin, de femme devient petite fille
Un rien l’habille, et autrui des faramboles
Toujours le déshabille.
Son pardessus est en velours cotelé
L’on désire de ses seins antiques boire le lait
Il tombe sur le sol tandis que sa tête flotte dans les airs
Et on entrevoit à peine le cintre claviculaire
Les mains des alvéoles plantaires
S’agitent à sa vue et tendent leurs doigts illuminés
Par une allergie à cette espèce qui a pourtant du nez
Le tailleur trois pièces se décompose comme cette clarté
Et d’un pied ciré sur l’herbe est écarté.
Nu.e, iel refait corps encore avec tout ce chlore.
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