#corps de Lumière
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Lien entre le corps de lumière et le corps physique
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . La porte de l’au-delà du temps et de l’espace est la pleine présence au corps, la pleine présence de l’amour qui éternellement s’emplit de sa nature au sein de la structure corporelle qui est sa nature. Ainsi par la pleine présence naturelle, l’espace est transcendé. Ce que certains nomment les autres plans se trouvent…
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Ta lumière
L’amour, quand il ne trouve pas sa source dans une seule personne ou dans l’expression d’un corps, devient comme une énergie lumineuse. L’amour peut alors s’élever et devenir un état d’être qui ne crée pas d’ombre dans la vie des autres. Telle une source de lumière dont la nature propre est sans blocage en raison de l’absence d’un corps solide, l’amour profond laisse la clarté des autres…
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#amour#état d&039;être#clarté#corps#expansion#ombre#source de lumière#source lumineuse#voie de passage
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
youtube
(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
#Youtube#anniversaire#deuil#au delà#charly#mon Charly#charly mon amour#bichon#bichon maltais#maltese#chien#dog#my dog#amour d’un chien#amour infini#amour inconditionnel#envol#ange#michel pépé#le cœur des anges#relaxing music#tristesse#détresse#je t'aime#à jamais pour toujours#for ever#forever#te retrouver#sadness
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J'observe ton corps qui se laisse deviner sous ton tee-shirt largement échancré. Il n'y a rien de plus beau qu'une intention cachée. Tes hanches se dessinent comme une douce aquarelle dans cette lumière ouatée. Tes seins je les devine sans les voir vraiment. La naissance d'une courbe suffit à l'évoquer. Ce tee-shirt ne pourrait rien évoquer de plus. Il est juste parfait. J'aime deviner sans voir. Découverte en promesse dans cette douce échancrure.
Paul… X
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J'ai couché avec une femme l'autre fois. Et dans ma chambre, il y a une lampe sur pied que je voulais allumer. Et elle,non. Elle voulait qu'on reste dans le noir. J'aurais voulu lui dire que je m'en fichait, de sa cellulite, de ses rondeurs, de ses 4 poils mal épilés, qu'elle était parfaite. Qu'elle n'avait pas à s'excuser,comme elle s'est excusée de son corps.
Parfois je me demande ce que la société fait aux femmes, ce que les font aux femmes, ce que les hommes font aux femmes , ce que l'on se fait à nous-mêmes, pour qu'on ai si peur d'allumer la lumière ? J'aurais voulu qu'on laisse la lumière. Parce que toutes les femmes sont belles.
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Séance de yoga flow avec Kayla Nielsen...
Elle est professeur de yoga et humanitaire qui se consacre à répandre la lumière dans le monde entier à travers le service et le yoga.
Trouver le juste équilibre entre le corps et l'esprit procure à l'âme une belle sérénité et une très grande plénitude.
Chérif Kebbas
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Tous les frissons étranges Tu me les as donnés
De velours et de soie Comme ta chair parfumée De lumière et de velours Comme tes yeux
De rose et de lumière Comme le goût de ta bouche De sang et de rose fraîche Comme tes joues
De feu, d'or et de sang Comme un baiser que tu me donnes D'argent de feu et d'or Comme ton corps qui s'abandonne
Boris Vian
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Hey ! I have a little question : how do you start to draw ? I want to start but idk how-
And, for the digital art, what app to used for it ?
(I'm sorry for my bad english, it's not my first language, in fr :
Hey ! J'ai une petite question : comment on commence a dessiner ? J'aimerai commencer mais jsp comment-
Et, pour l'art digital/digital art, quel application utiliser ?)
Bonjour Anon ^^
Bonnes questions! 💗
On va y aller en français parce que, comme disait le Roi de France, "Car tel est notre plaisir" et puis parce que je l’ai déjà expliqué en anglais quelque part dans mon tag #arttechnique donc, pour une fois, la communication se fera en Langage de Grenouille. 🇫🇷
Pour commencer sache que tu as ouvert la boite de Pandore, la réponse va donc être longue. Alors, « comment on commence à dessiner ? ».
1 - Papier/Crayon. C’est loin d’être une plaisanterie, on commence avec un papier et un crayon. Pas besoin d'avoir du matériel sophistiqué et onéreux, j'ai commencé avec le crayon et le carnet à la con de chez Carrefour. De plus, quand tu vois ce que fait Alan Lee avec juste le dit crayon, tu n'as pas besoin de plus. C'est vraiment très bien pour s'exercer/démarrer. Après, si tu veux commencer directement en digital, tu peux le faire bien évidemment soit avec un iPad soit avec un ordinateur et une palette graphique mais très honnêtement, le papier/crayon offre une bonne base
2 - S'y mettre. Ça peut paraitre con comme conseil mais c'est comme à la piscine il va bien falloir rentrer dans l'eau, ne serait-ce que dans le petit bain. C'est bien beau d'avoir du matériel et de se répéter qu'on "va s'y mettre un jour" mais si on repousse l'échéance, ça ne va pas marcher. Il faut se convaincre que Rome ne s'est pas fait en un jour et qu'au début, ça va être tordu et que tu vas dessiner n’importe quoi. La procrastination au nom du perfectionnisme est un mal réel mais arriver à l'occulter est un belle victoire.
Pour ce faire, on commence doucement par gribouiller des choses qu'on aime. Conseil qui sonne sans doute comme une lapalissade absolue mais au début, je dis bien au début, on peut rester dans sa petite zone de confort pour booster la motivation. Tu aimes les chats ? Dessine un chat. Tu aimes les fleurs ? Dessine une pivoine. Tu aimes le ballet ET Emmanuel Macron ? Bref, tu sais ce qu'il te reste à faire (on ne kink shame pas, je suis sure qu’il y a des amateurs quelques part). Cependant, petit à petit, il va falloir prendre plus de risques et se forcer un peu à dessiner des choses qu'on n'aime moins pour progresser mais au commencement, il n'y a pas de mal à gribouiller Les Chevaliers du Zodiac, n'importe comment.
Le Chevalier du Poisson après s’être pris un mur. J'avais 8 ans ok ?
Bon, je mets un « cut » parce que ça ne va pas être gérable.
3 - Suivre des tutos et ne pas avoir peur de l'aspect technique surtout quand on commence à aborder l'anatomie et la perspective. Et c'est là, qu'il va falloir sortir un peu de sa zone de confort pour faire des exercices pour pratiquer les ombres et lumières, la perspective, comprendre les points de fuites, les poses dynamiques. Il y a plein de tutoriels sur YouTube, tu as aussi des bouquins mais je pense qu'une vidéo est plus parlante. C'est vraiment TRÈS utile. Tu as des vidéos comme "apprendre à dessiner" ou "perspective pour débutant", "la théorie des couleurs pour les nuls", etc...C'est là que tu vas voir que pour dessiner un chat, un visage, un bateau il y a des règles pour simplifier une forme, un visage, un corps. Alors oui, c'est chiant de dessiner 12 fois la même main ou la même sphère éclairée différemment mais ça sert. Bref, commencer à dessiner, ça va être commencer à comprendre comment transposer la réalité en « 3D » vers un support « 2D », la feuille ou le canevas Photoshop, peindre ce que l’on voit et non pas ce que l’on croit voir, décomposer les formes, comprendre les couleurs. Une fois encore, ça va prendre du temps, mais ça viendra.
Pareil pour les applis de dessin que tu vas utiliser si tu commences en digital. Si tu ne sais pas faire quelque chose, va suivre des tutos sur Youtube. Il y a aussi des reels sur Instagram qui ne sont pas mal du tout car ils montrent des "trucs" comme des raccourcis clavier ou des façons de modifier les pinceaux (brushes) de Photoshop ou Clip Studio Paint.
4 - S'exercer par gribouiller tout et n'importe quoi, faire des croquis de...cafetière, bouquin, chaussures, prise électrique, la petite cousine, le gros voisin, la dame du pressing. 1) c'est marrant et 2) les défis techniques ne sont pas toujours là où on le croit 3) ces exercices permettent de comprendre ce dont je te parlais plus haut s’agissant de la décomposition des formes ainsi que de la façon dont la lumière frappe les objets.
5 - Utiliser des références. Je ne le dirais jamais assez, utiliser des références n’est pas tricher ! Des illustrateurs confirmés comme Alex Ross ont un studio où ils prennent des photos de leurs assistants, leurs amis, eux-mêmes, pour avoir une base de travail. Si tu veux dessiner un bateaux pirate, va chercher une photo de bateau pirate sur Internet. On n’est pas « un vrai artiste » parce qu’on dessine de tête ou sans gommer. 🙃
6 - Travailler régulièrement pour progresser. Je sais c'est dur de trouver du temps avec le lycée, la fac, le boulot, les transports, la vie de famille, etc...mais le mieux est d'arriver à dessiner un peu régulièrement, ça sera plus efficace que deux heures toutes les deux semaines. Les cours de géo sur les bassins sédimentaires sont faits pour ça. J'AI RIEN DIT.
7 - Ne pas se décourager. Je me répète mais les artistes étant leurs pires critiques, le chemin vers la satisfaction va être long. Tu vas commencer par copier tes artistes préférés et ta tête va exploser car un jour tes dessins vont ressembler à Mucha et le lendemain ça sera à One Piece et le jour suivant Moebius ou un web-comic coréen. C'est encore plus dur pour les artistes débutants aujourd'hui car ils sont confrontés, Tiktok après Tiktok, tableau Pinterest après tableau Pinterest, à un déluge constant d'influences, à une stimulation artistique telle qu'elle en devient inaudible pour un cerveau toujours plus sollicité. Savoir ce qu'on veut, se concentrer, construire son style sans se perdre est, je pense, un des grands défis des artistes débutants en 2024.
C'était joliment dit. Merci d'avoir suivi Ce soir ou jamais, on se retrouve demain soir.
Il va surtout falloir que tu prennes en compte en tant que débutant que quand tu vas commencer, tes progrès vont être proche de ça :
Ils ne seront pas linéaires mais, tu progresseras. Un petit "art block" de temps en temps, du découragement, mais surtout beaucoup de joie et de satisfaction quand tu auras dessiné quelque chose qui te tiens à cœur pour la première fois, même si tu détesteras ce même dessin deux mois plus tard, c'est ça être un artiste, félicitations!
8 - Ne pas se comparer à des illustrateurs de folie. Paix à son âme mais si tu vois une vidéo du regretté Kim Jung Gi qui dessinait des fresques entières sans traits de construction, à main levée, tu vas te dire "Mais punaise, pourquoi j'essaie ?". N'y penses pas, fais ta vie, à ton rythme. Pareil avec les gens de ton âge. Ne te compare pas à un mec de 13 ans à Singapour qui dessine déjà comme un artiste confirmé. On s'en fout. C'est une exception, grand bien lui fasse, on l'embrasse, cœur sur lui, mais ce n’est pas toi. Bref, l'inspiration OUI, la comparaison NON.
9 - Prendre des cours de dessins. Être autodidacte et s’entrainer tout seul, c’est bien, mais prendre des cours si on est perdu n’est absolument pas honteux. Il y a des cours municipaux, des ateliers parfois à la mairie, à la médiathèque de ta ville, etc...Alors oui, tu vas dessiner un pot de fleurs et une pomme avec Mamie Geneviève, retraité de la Mairie de Brie-Comte-Robert mais tu vas avoir un prof qui va t'expliquer les bases si tu sens que tu ne vas pas y arriver seul.
Et, pour l'art digital/digital art, quel application utiliser ?
Moi, j'utilise Photoshop mais c'est payant (et assez cher)
Pour commencer, je te recommande d'autres applications bien moins chères comme Krita (gratuite) ou, si tu as un iPad, Procreate. C'est environ 8€ (ça a peut-être augmenté depuis le temps où je l'ai acheté) mais pour tout ce que cette appli peut faire, c'est donné. Moins connue mais également gratuite, Fire Alpaca, très honorable aussi!
Clip Studio Paint est également très bien. Tu peux l'avoir soit avec un système d'achat unique, soit un system de souscription comme tu peux le voir ici.
Voilà ! Bref, il faut s’y mettre, se lancer, dessiner n’importe quoi pour se faire la main, suivre des tutos, parce que la technique c’est important, utiliser des références et ne pas se décourager.
J’espère avoir répondu à ta question et comme disait Marie-Pierre Casey :
"Je ne ferai pas ça tous les jours!" (même si personne ne m’a demandé de faire aussi long).
Si vous n’avez pas la réf, demandez à vos parents.
Passe un bon dimanche et courage ! On reste motivé !! 💗
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Je suis à toi, par chaque soupir de mon corps et chaque suée de mes fièvres. Comme dans ma nuit, caniculaire, où je suis nue – donc absolue – où mes mots suent, où la chaleur nous exaspère. Et je respire, quand tu espères à haute voix sentir en moi trembler les plaisirs et les rêves. Troubler ce soir où nos lèvres encore et en corps se rencontrèrent. Troubler l’esprit et la mémoire, abolis, dans le noir. Penser tout bas, tout bas, à ce qu’il y a, entre toi et moi. Et tu restes, dans mon corps, ce qui palpite le plus fort. Je suis à toi, par chaque soupir…
Tu es la chaleur qui assaille, qui ravit, l’accablement dans mon lit. Tu viens avec les brûlures du ciel, les étés, tentaculaires, tu épaissis mes mystères et tu fais la nuit plus noire où ne luisent que tes regards. Et moi je prends tes mains, je plie ton corps au mien, j’adoucis mes morsures… – car, non, je ne hurle plus, comme une louve à la lune sur mon ventre enfin descendue. Et les étoiles aussi ont jonché sur mon plancher. Et sur ta peau, luisante, adorée, sous ma langue allumée. Tu es la chaleur qui assaille…
Être nue, inconnue, dans la touffeur des soirs – être vue, visitée par tes envies avouées, tes sulfureux égards – faire l’amour noir, enténébré, jubilatoire. C’est l’heure du loup, il est trop tard, et tout est feu. Et tout est fou, oh tout est fait, je suis à bout, mais je veux tout, oui tout brûler, me consumer et t’enflammer et consommer – tous nos plaisirs, tous nos désirs, tous nos sourires… Nulle lumière et nulle horreur, plus de mort lente et plus d’attente, plus que nos incendies bruyants, plus que nos pores suants ; ô bonheur ! ô bonheur ! Être nue, inconnue…
A tâtons, reconnue. Tu fais la nuit plus noire et les rêves plus vrais. Tu fais l’amour plus chaud, plus chaud, tu fais l’amour plus beau.
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LE CORPS DE SOUFFRANCE VS LE CORPS DE LUMIÈRE
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS Corps de souffrance versus corps de lumière de l’amour absolu Tout vient au moment approprié pour le vivre dans l’instant présent. On pourra toujours vous dire de faire ceci ou cela, personne ne décide de ce qui doit être, tout est l’œuvre de l’intelligence absolue de la Présence Éternelle. Ce qui veut dire, avant même…
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do you have any recommendations for favorite french-language poetry? esp written by women?
Yes, sure! We might not have the same tastes (I like nature poetry mostly, and good old lavish alexandrine verse—I find the predictability of it very soothing) but here are excerpts of poems by 13 French-language poétesses :)
(I wanted to add a few men at the end but I spent too much time on the women, and the French male poets I enjoy are very well-known ones anyway, e.g. Hugo, Mallarmé, Prévert, Aragon... also André Breton's surrealist poetry)
• Sabine Amable Voïart, known as Amable Tastu (1798-1885)
D’où vient que l’âme humaine est ainsi disposée, Que jamais ses regards troublés et mécontens N’ont pu s’accoutumer à la marche du temps? Sur l’éternel chemin, chaque borne posée Nous attriste. D’où vient? je ne sais; mais toujours Le vertige nous prend à voir couler nos jours:
Si vous reparcourez l’enclos où votre enfance Avez-vous souvenir, à l’âge où tout enchante, D’une voix qui vous plut, voix timide et touchante, […] Que, plus tard, cette voix résonne à votre oreille, De vos rêves déçus vous raillez la merveille, Vous prenant en pitié d’avoir si mal jugé… Elle est la même encor; mais vous avez changé!
• Louise-Victorine Ackermann (1813-1890)
(A la comète de 1861) […] Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre L'homme aura disparu. Du fond de ce séjour Si son œil ne doit pas contempler ton retour, Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain.
• Marie Dauguet (1860-1942)
Mon coeur est né sauvage et seul comme un merle, Que berça la chanson du vent, subtil orchestre, Ivre des noirs myrtils dont la forêt s'emperle, Grisé d'odeur de source et d'haleine sylvestre. […]
Et d'abord très souvent j'étouffe dans moi-même, Tout m'y semble étriqué, trop étroit et mesquin, Et je fuis l'infini pour l'infini que j'aime, Parmi le ciel, les eaux, les circuits des chemins.
• Alice de Chambrier (1861-1882) (she is Swiss)
J’ai vu comme l’on voit quelquefois dans un rêve, Une immense Cité près d’une immense grève, Avec des dômes d’or et des palais géants, Des temples incrustés de mille diamants […]
Plus tard j’ai repassé devant cette cité, Et voulant la revoir, je m’y suis arrêtée; Mais à peine mes pas ont foulé sa poussière Que devant mes regards elle s’est tout entière Écroulée—et n’est plus qu’une ruine immense Dont le cri des Vautours trouble seul le silence.
• Lucie Delarue-Mardrus (1868-1949)
1. Humanité sans force, endurante moitié Du monde, ô camarade éternelle, ô moi-même ! Femme, femme, qui donc te dira que je t’aime D’un cœur si gros d’amour et si lourd de pitié ?
2. J’aime, en quelque lieu que ce soit, L’heure où l’existence, pour moi, Redevient nocturne et muette.
L’heure sans lois et sans humains, Sans hiers et sans lendemains, Où je ne suis plus que poète.
La seule heure d’esprit total, Celle où, jusqu’oublier mon mal Je sens se fermer toute plaie,
Car je ne fus moi-même, vraie, Car je ne fus ce que suis, — Passionnément — que les nuits.
• Anna de Noailles (1876-1933)
Nature au cœur profond sur qui les cieux reposent, Nul n’aura comme moi si chaudement aimé La lumière des jours et la douceur des choses, L’eau luisante et la terre où la vie a germé.
La forêt, les étangs et les plaines fécondes Ont plus touché mes yeux que les regards humains, Je me suis appuyée à la beauté du monde Et j’ai tenu l’odeur des saisons dans mes mains.
• Renée Vivien (1877-1911) (English, mainly wrote in French)
Dans l’azur de l’avril et dans l’air de l’automne, Les arbres ont un charme inquiet et mouvant. Le peuplier se ploie et se tord sous le vent, Pareil aux corps de femme où le désir frissonne.
[…] Vêtu de clair de lune et de reflets d’argent, Le bouleau virginal à l’ivoire changeant Projette avec pudeur ses blancheurs incertaines. Les tilleuls ont l’odeur des âpres cheveux bruns, Et des acacias aux verdures lointaines Tombe divinement la neige des parfums.
• Valentine Penrose (1898-1978)
Notre Père qui êtes aux cieux des doux matins bercés aux fleurs des laitues bleues, […] que votre nom soit sanctifié ! O Brume d’or dans les vergers, que votre volonté soit faite ! Sur la Terre comme au Ciel ; sur la terre élançant ses arbres au soleil, sur les labours luisants chevauchés de noyers, sur le sol des jardins de chaleur tout vrillés […]. Donnez-nous aujourd’hui notre Pain quotidien. Dans la fraîche cuisine où bourdonne une guêpe, où les fourmis montent leur noir petit chemin […] Et pardonnez-nous nos offenses… […]
• Louise de Vilmorin (1902-1969)
Pois de senteur en ma demeure Et sur mon cœur poids de cent heures
Je t’enlacerai, tu t’en lasseras
Étonnamment monotone et lasse, Est ton âme en mon automne, hélas !
• Andrée Chedid (1920-2011)
Échappant à l'enclume du temps L'Univers sème ses formes Véhicule ses songes S'invente des tumultes
[…] Enserrée dans son globe Empoignant son noyau La Terre emporte l'histoire Vers son immense dérive.
• Anne Perrier (1922-2017) (also Swiss)
1. Ô rompre les amarres Partir partir Je ne suis pas de ceux qui restent La maison le jardin tant aimés Ne sont jamais derrière mais devant Dans la splendide brume Inconnue
2. Lorsque la mort viendra Je voudrais que ce soit comme aujourd'hui Un grand soir droit laiteux et immobile Et surtout je voudrais Que tout se tienne bien tranquille Pour que j'entende Une dernière fois respirer cette terre Pendant que doucement s'écarteront de moi Les mains aimées Qui m'attachent au monde
• Marie-Claire Bancquart (1932-2019)
1. Un tremble c'est le nom du peuplier blanc : luisance furtive.
Éclair des feuilles leur vie scintille
instant après instant elles chuchotent que nous avons aussi des moments miroitants minuscules, étincelantes traces de nous sur le monde. 2. Je suis l’encolure d’un pays vêtu de toile et d’eau, longtemps ténébreux, maintenant étalé sur la nuit, croisé une fois pour toutes par le crépuscule, et qui entend les soleils célébrer leur courbe.
Je suis son oreille, et, dans son oreille, ce qui, bruissant, permet le bruit.
[…] Mais suis-je enclave, ou bien ce pays serait le creux nécessaire au violon, l’autour-de-moi facilitant mémoire?
• Hélène Dorion (1958 - ) (she's from Québec)
Autour de moi les notes lumineuses d'une feuille venue jusqu'à la branche pour remuer avec le souffle danse et boit l'eau qui la sauve au matin quand recommence son chemin vers le soir
et je marche aussi d'un pas qui repose dans l'infini j'écoute le monde qui bruit à travers les arbres seuls comme des êtres occupés à devenir leur forme singulière
#tumblr's garbage new post editor keeps randomly un-italicising my italics :l#anyway i really like anna de noailles and renée vivien in particular#also marie-claire bancquart whom i discovered more recently!
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He lives in my flesh!!!!
not to be painfully french but if you don't get jacques brel you will never get me
#je creuserai la terre jusqu'après ma mort pour couvrir ton corps d'or et de lumière !!!!#jacques brel#quotes
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les choses qui me faisaient peur petite:
- les hommes préhistoriques
- les toilettes publics
- le château cassé de talmont saint hilaire
- pleurer devant des gens
- ma mamie et ma tante
- le rer b
- lever la main à l’école
- le fromage
- qu’on soit énervé contre moi
- me perdre
- la petite lumière que faisait une suspension devant mon volet qui me faisait penser à un œil qui me regardait la nuit
- la colère froide de mon père
- les autres enfants
- que ma mère découvre que je lisais ou que je jouais à la ds après l’heure officielle de l’extinction des feux
- les chevaux
- les compétitions d’athlétisme et tomber dans la boue pendant un cross
les choses qui me font peur maintenant:
- aller chez le fleuriste
- dire ce que je pense quand je le pense
- ma mamie et ma tante
- le fromage
- qu’on soit énervé contre moi
- les hommes
- ne jamais savoir quoi foutre de ma vie
- les écoles de commerce
- n’être qu’un corps (en plus il est cassé)
- demander de l’aide
- les endroits inconnus
- qu’on se lasse de moi
- l’arrivée de l’été
- être folle mais vraiment
- que les chats ne m’aiment pas
- rayer un vinyle en le mettant sur la platine
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Suite de notre soirée dans l’anse de Paulliles...
Avec Bob, nous avons prestement rejoint les filles déjà installées comme chez elles sur la mini piste de danse du club voisin, et visiblement déjà attirant tous les regards et attentions.
Je ne dansais pas souvent, préférant regarder (un parfum de Candaulisme dans mon attitude(?) et aimait réellement voir Ana surtout lorsqu’elle pouvait trouver un beau et bon danseur avec qui la magie du rythme pouvait opérer...J’aimais les admirer. Je n’étais vraiment pas bon danseur et ne voulait pas priver Ana de ses plaisirs, de son plaisir...Elle aimait danser jusqu’au bout de la nuit dès qu’elle le pouvait...Moi, j’étais heureux, un verre à la main, à les regarder et admirer...Aucune jalousie...Que du bonheur...Oui, il m’apparaissait alors un indéniable parallélisme de forme entre le Candaulisme et la danse...
Laisser sa partenaire choisir son cavalier... ;
La laisser être dirigée... ;
La laisser s’endiabler, aller au bout de son souffle, faire corps avec son partenaire, être enlacée, serrée par lui, être touchée, ...Bref oui beaucoup de similitudes me semblait-il en cet instant même.
Ana virevoltait et captait déjà tous les regards, assurément les envies ...
Pour l’instant elle dansait tout à tour quelques salsa et autre Mango endiablés de manière lascive avec tour à tour Clara et Laura, puis la soirée avançant et l’espace autour d’elles se resserrant, à trois...
Bob m’accompagna au début en partageant un verre au bar mais je me retrouvais seul rapidement car une de ses connaissances féminines de la plage et du jour l’avait invité à faire quelques pas sur un rythme et une musique tube de l’été...
Moi je me régalais réellement de voir Ana et nos nouvelles amies chalouper et onduler de leurs corps sublimes...
Je n’étais pas le seul d’ailleurs...
De nombreux aficionados s’aventuraient au plus près d’elles...
J’apercevais parfois, ce qui me faisait rire et même m’enchantait, quelques mains baladeuses taquinant les trois belles qui s’étaient maintenant tellement rapprochées qu’on aurait pu croire qu’elles ne faisaient qu’une...
Néanmoins à un moment, un des garçons présents près des filles, réussit à agripper Ana et à l’extraire du cocon des bras de Clara et de Laura qui continuèrent à danser tout en s’enlaçant tendrement et sensuellement...
Elles osèrent même un baiser intense qui loin de calmer les ardeurs des garçons dansant près d’elles, les virent littéralement être phagocytées par cinq ou six danseurs qui les encerclaient...
Elles furent ainsi acculées contre un mur et un peu isolées par le noir du bord de piste contrastant avec l’intensité des lumières festives éclairant le centre...
Ana dansait maintenant un peu à l’écart et sur la piste avec son cavalier, élégant et visiblement doué pour la danse...
Ils étaient réellement beaux...
Je souriais dès que je pouvais à Ana et elle me rendait ce sourire...
Manifestement elle prenait plaisir à danser avec ce jeune homme et à m’offrir, elle savait que j’appréciais, le spectacle de leurs corps enlacés et énivrés de musique.
A un moment, elle vint près de moi pour se rafraîchir et me présenter à son danseur du soir : « Daniel..., mon compagnon, mon chéri. Laurent, mon...mon partenaire de danse...Il danse super, tu as vu...Allez, on y retourne Laurent...Viens c’est un slow...Daniel nous rejoindra s’il veut... ».
Elle me donna un baiser appuyé dont je reconnaissais la saveur et surtout et aussi ce qu’il pouvait exprimer... : Laurent lui plaisait et elle ne comptait pas en rester à la danse...
On avait déjà vécu ce genre de trio sur un slow dans une boite libertine de notre région ...Je ne vous dis pas comment tout cela s’était terminé...
Bob ne revenant pas, au bout de quelques instants, je n’hésitais pas à les rejoindre sur la piste.
Ana avait manifestement déjà pris les choses en main comme elle savait si bien le faire et se frottait contre le sexe sûrement déjà tendu du jeune homme...
Pour être sûre de sa prise, elle tenait même fermement de ses deux mains ses fesses rebondies...
Ana savait toujours quand il fallait « ferrer » sa proie et prendre ce qu’elle devait prendre...
A mon approche, quasi à la toucher par derrière, je la vis se pencher à l’oreille du garçon malgré tout tendu (et pas que de son sexe...) pour, j’en étais certain, le rassurer et lui dire que je n’étais aucunement jaloux, bien au contraire...
Le garçon devait être incrédule, aussi Ana lui roula-t-elle une pelle majestueuse et impossible à en comprendre le sens profond pour celui qui en était l'objet...Tout avait et prenait sens avec Ana...
Pour ma part, voir Ana aussi lancée et échauffée, fort de ce que l’on s’était dit sur nos vacances et maintenant de notre philosophie de vie et carrément de la liberté de notre vie sexuelle, je levais discrètement sa robe et vint insérer mon mât tendu à l’extrême par la situation dans son sillon fessier et me laissé guider au rythme suave et entrainante de la musique et des mouvements de son cul diabolique...
Ayant remarqué en m’approchant d’Ana que les copines de Bob avaient elles aussi été prises en main par quatre ou cinq jeunes et entreprenants partenaires, je poussais délibérément Ana et Laurent, son danseur du soir, par des coups saccadés de mon sexe impatient de conquête, vers les corps déjà entremêlés de nos voisins et voisines...
Les filles se retrouvèrent comme par enchantement au centre de nous les hommes et le rideau humain que l’on pouvait constituer faisait parfaitement obstacle à la vue des autres danseurs présents dans la boite qui de toute façon étaient manifestement eux aussi affairés et pris dans des tourments et autres ballets érotico-sexuels...
J’appris et ait eu confirmation par Bob le lendemain qu’en fait cette petite boite de nuit était devenue au fil des soirées de cet été là, un des lieux libertins, si ce n’est le lieu libertin le plus côtés de la Côte Vermeille...
Pas franchement étonnant au vu de comment évoluait la soirée, même si totalement insolite devant l’absence d’endroits habituels et dédiés à certaines pratiques des clubs libertins, ou même à quelconque information, allusion par des néons, des enseignes, des recommandations, des vestiaires, du personnel, des préservatifs, des douches ...
Oui, un club sauvage, totalement débridé, libre et libéré...
Un peu étrange et peut-être même risqué pour qui aurait pu s’y aventurer par mégarde mais sa petitesse en avait fait un de ses atouts et seuls les connaisseurs et habitués y venaient, limitant ainsi du coup les problèmes qu’il y aurait pu avoir...
Au centre de toutes les attentions, les filles flattées, caressées et pelotées de toutes parts avec leur acquiescement et consentement, manifestant surtout leurs envies, se mirent à genoux en tripode et commencèrent de leurs mains habiles à sortir les sexes impatients et brûlants de tous ceux qui les entouraient...
Je vis qu’Ana s’était même retrouvée totalement nue tandis que Clara et Laura n’avaient plus de haut...
C’est ainsi sept belles et magnifiques queues bandantes et entreprenantes que nos trois belle eurent à honorer, nous faisant tourner tout autour d’elles, de leurs bouches avides et de leurs mains expertes...
Une nouvelle fois Ana fut la première à se redresser et à se positionner contre le mur lors de ma visite dans sa bouche : « A toi l’honneur mon Amour d’ouvrir le feu.. Je t’aime... ! »
Elle m’indiquait ainsi, de même qu’aux autres que c’était maintenant en levrette qu’elle voulait qu’on la prenne...
Ses amies l’imitèrent partageant entre elles trois, des baisers aussi savants et puissants que passionnés, pendant que chacun des mâles les saillissait tour à tour ou leur faisait minette à volonté ...
Le jeu dura un certain temps et même Bob et sa dernière amie vinrent se joindre à la ronde...
Toutes et tous exténués, nous nous réfugièrent à l’aube naissante dans la cahute de la SNSM que Bob nous avait ouverte.
Nous nous sommes ainsi littéralement entassés pêlemêle, là où raisonnablement il n’y avait réellement de la place que pour deux, et jusqu’au petit matin les corps avachis se sont abandonnés dans une anarchique et irréelle orgie des sens et des corps...
Je m’étais pour ma part inséré au plus près et au plus profond du cul d’Ana qu’elle savait encore et si adroitement faire vibrer qu’elle m’en autorisait ainsi à bander dur jusqu'au bout de la nuit...
La nouvelle amie du jour de Bob aux courbes épanouies, généreuses et sensuelles, s'était invitée parmi nous et n'était pas en reste.
Un tempérament de feu dans une enceinte constituée de braises...
Je me souviens qu'elle me saisit la tête pour l'engloutir entre ses seins démesurés et m'inciter à en durcir les pointes contrastant tant avec les chairs moelleuse et opulentes de ses courbes...
Chacune de ses aréoles ressemblait à un clitoris brûlant et impatient de l'assaut de mes lèvres...
Je me souviens également que Clara et Laura vinrent nous offrir leurs sexes emplit de liqueurs spermatiques des jouissances qu’elles avaient connues tout au long de la nuit.
Nous avions réellement, stupidement et bêtement joué avec nos vies cette nuit-là dans l’insouciance de notre jeunesse et d’une épidémie de Sida qui pointait déjà le glaive de ses ardeurs mortifères et dévastatrices.
Inconscience et peut-être même et sûrement, honte à nous !
Heureusement il ne fut rien de dommageable pour notre santé et bien des années plus tard, tout à la fois bien conscient du bonheur que l’on ait eut de pouvoir vivre cette liberté sexuelle totale et débridée, nous sommes si heureux d’avoir été épargnés par tous ces fléaux qui malheureusement minent et restreignent parfois les audaces aventurières et libertines que nous permettait l’époque...
Non pas qu’il y ait moins de désirs ou de plaisirs de nos jours, on en parle assez fréquemment avec Ana dans nos échanges de mails et au travers des récits de ses aventures de Hot-Wife, mais bien que le registre des possibilités se soit vu avec bon sens et légitimité hors couple réduit.
Ainsi goûter au délire assez fou j’en conviens du partage de toutes les ardeurs et saveurs tout autant féminines que masculines d’une telle soirée orgiaque n’est plus aujourd’hui envisageable et surtout pas souhaitable...
Ce n’était d’ailleurs pas forcément bon, ni même un kiff personnel pour tout dire, mais d’une telle intensité érotique, un tel partage, une telle offrande que cela en constituait une expérience insolite et même vertigineuse.
Je me souviens encore aujourd’hui des lèvres épanouies, ouvertes, chaudes et maculées de saveurs de nos complices, ...
J’ai aussi partagé cette nuit là quelques fellations torrides pourtant si loin de mes pratiques avec Ana et d’autres, filles ou garçons, dans des délires érotiques sans fin qui nous avaient emportées au confins des possibles en matière de sexualité...
C’est aussi cette nuit-là que j’ai pu ressentir ce que pouvais être le dépucelage et ensuite la jouissance je dois l’avouer de mon propre cul...
Hétéro, bi, homo,... plus rien n’était ou ne pouvait être interdit à personne et nous n’étions tous que frénésie et envie sexuelles...
Plus tard, je recommencerais certaines de ces pratiques, il fallait peut- être que je les reçoive et vive de cette manière pour ensuite pouvoir les apprécier, particulièrement avec Ana...
Ainsi, oui, je dois l’avouer, cette soirée m’a totalement désinhibé pour le reste de mes jours et Ana ensuite a toujours su me mettre dans le contexte où je ne pouvais pas, comme souvent ou toujours, lui refuser ce qu’elle souhaitait de moi ou moi-même, être en pleine conscience et capacité d’accepter, de réaliser ou de vivre certaines pratiques que j’aurais de prime abord et par dogmatisme ou peur, refusé.
Plus tard avec Ana j’ai pu ainsi beaucoup apprécier de temps à autres de partager et de sucer une belle bite ;
de me faire prendre par un doigt, un godemichet ou même un gode-ceinture ( je voulais réellement savoir et discuter avec elle et son amie qui me prenaient tout à tour, ce qu’elles ressentaient et ce que cela transformait, transportait comme sentiments, émotions, ressentis physiques et autres ressorts psychologiques chez elles...J’en appris beaucoup sur les femmes et leurs désirs de masculinité assez souvent subconscient mais aussi souvent bien présent...) ;
et même de tenter un jour l’aventure cent pour cent homosexuelle avec deux jeunes amis gays très drôles et ouverts à tout qui m’avaient invité à découvrir l’incroyable ambiance et l'atmosphère de la gay-pride et d’une croisière organisée en mer des Caraïbes...
Oui, tout cela était « né » de cette incroyable soirée passée dans la cahute de Bob et de la SNSM...
Bob en début de matinée, alors qu’il devait ouvrir et tenir son poste, nous réveilla...
Les autres étaient discrètement partis au fur et à mesure de leurs réveils respectifs.
Bob nous salua et nous pria de repasser quand on voulait...
« Tu suce bien pour un mec ! » m'avoua-t-il dans un rire sonore et son bisou à pleines lèvres et à la Russe lors de notre départ me font dire et écrire que ce fut bien la soirée la plus déjantée et incroyable de toute ma vie que je venais de passer en cet endroit si charmeur et idyllique...
Je repensais au fait que Bob était bisexuel et qu'effectivement il ait pu me proposer sans ambages son sexe...
Pour moi, je n' avais aucun souvenir factuel, même si je savais que j'avais accompagné Ana avec plaisir et gourmandises dans quelques fellations dont elle avait le secret et l'expertise tout en devant admettre l'idée que ce fût Bob ou un autre...
Qu'elle importance dans cette soirée hors-norme?
Bob resterai à jamais mon ami.
Je retournerai à Paulilles un jour...
Je reverrai Bob avec plaisir.
Maintenant, cap sur l’Espagne...Nous n’étions pas, Ana et moi, au bout de nos aventures...
Pas même au bout de nos congés et moi surtout pas au bout d'une sexualité torride riche et sans beaucoup de limite que je le savais et le sais encore plus aujourd'hui me dirigeait inexorablement vers le Candaulisme de part son amour du sexe, du jeu, de l'intellect, de l'audace, de la philosophie de la vie, de l'Amour, de la tolérance, de tous ses attraits et de toutes ses beautés à découvrir et partager...
Bref que des belles et magnifiques perspectives et bonheurs de ma future vie...!
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J'observe ton corps qui se laisse deviner sous ton tee-shirt largement échancré. Il n'y a rien de plus beau qu'une intention cachée. Tes hanches se dessinent comme une douce aquarelle dans cette lumière ouatée. Tes seins je les devine sans les voir vraiment. La naissance d'une courbe suffit à l'évoquer. Ce tee-shirt ne pourrait rien évoquer de plus. Il est juste parfait. J'aime deviner sans voir. Découverte en promesse dans cette douce échancrure.
Paul… X
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Ma nuit est comme un grand cœur qui bat.
Il est trois heures trente du matin.
Ma nuit est sans lune.
Ma nuit a de grands yeux qui regardent fixement une lumière grise filtrer par les fenêtres.
Ma nuit pleure et l’oreiller devient humide et froid.
Ma nuit est longue et longue et longue et semble toujours s’étirer vers une fin incertaine.
Ma nuit me précipite dans ton absence.
Je te cherche, je cherche ton corps immense à côté de moi, ton souffle, ton odeur.
Ma nuit me répond : vide ; ma nuit me donne froid et solitude.
Je cherche un point de contact : ta peau. Où es-tu ? Où es-tu ?
Je me tourne dans tous les sens, l’oreiller humide, ma joue s’y colle, mes cheveux mouillés contre mes tempes.
Ce n’est pas possible que tu ne sois pas là.
Ma tête erre, mes pensées vont, viennent et s’écrasent, mon corps ne peut pas comprendre.
Mon corps te voudrait.
Mon corps, cet aléa mutilé, voudrait un moment s’oublier dans ta chaleur, mon corps appelle quelques heures de sérénité.
Ma nuit est un cœur en serpillière.
Ma nuit sait que j’aimerais te regarder, chaque courbe de ton corps, reconnaître ton visage et le caresser.
Ma nuit m’étouffe du manque de toi.
Ma nuit palpite d’amour, celui que j’essaie d’endiguer mais qui palpite dans la pénombre, dans chacune de mes fibres.
Ma nuit voudrait bien t’appeler mais elle n’a pas de voix.
Elle voudrait t’appeler pourtant et te trouver et se serrer contre toi un moment et oublier ce temps qui massacre.
Mon corps ne peut pas comprendre.
Il a autant besoin de toi que moi, peut-être qu’après tout lui et moi ne formons qu’un.
Mon corps a besoin de toi, souvent tu m’as presque guérie.
Ma nuit se creuse jusqu’à ne plus sentir la chair et le sentiment devient plus fort, plus aigu, dénué de la substance matérielle.
Ma nuit me brûle d’amour.
Il est quatre heures du matin.
Ma nuit m’épuise.
Elle sait bien que tu me manques et toute son obscurité ne suffit pas pour cacher cette évidence.
Cette évidence brille comme une lame dans le noir.
Ma nuit voudrait avoir des ailes qui voleraient jusqu’à toi, t’envelopperaient dans ton sommeil et te ramèneraient à moi.
Dans ton sommeil, tu me sentirais près de toi et tes bras m’enlaceraient sans que tu te réveilles.
Ma nuit ne porte pas conseil.
Ma nuit pense à toi, rêve éveillé.
Ma nuit s’attriste et s’égare.
Ma nuit accentue ma solitude, toutes mes solitudes.
Son silence n’entend que mes voix intérieures.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Ma nuit aurait peur que le jour n’apparaisse jamais plus mais à la fois ma nuit craint son apparition, parce que le jour est un jour artificiel où chaque heure compte double et sans toi n’est plus vraiment vécue.
Ma nuit se demande si mon jour ne ressemble pas à ma nuit. Ce qui expliquerait pourquoi je redoute le jour aussi.
Ma nuit a envie de m’habiller et de me pousser dehors pour aller cherche mon homme.
Mais ma nuit sait que ce que l’on nomme folie, de tout ordre, sème-désordre, est interdit.
Ma nuit se demande ce qui n’est pas interdit.
Il n’est pas interdit de faire corps avec elle, ça, elle le sait. Mais elle s’offusque de voir une chair faire corps avec elle au fil de la désespérance. Une chair n’est pas faite pour épouser le néant.
Ma nuit t’aime de toute sa profondeur, et de ma profondeur elle résonne aussi.
Ma nuit se nourrit d’échos imaginaires. Elle, elle le peut. Moi. j’échoue.
Ma nuit m’observe. Son regard est lisse et se coule dans chaque chose.
Ma nuit voudrait que tu sois là pour se couler en toi aussi avec tendresse.
Ma nuit t’espère. Mon corps t’attend.
Ma nuit voudrait que tu reposes au creux de mon épaule et que je me repose au creux de la tienne.
Ma nuit voudrait être voyeur de ta jouissance et de la mienne, te voir et me voir trembler de plaisir.
Ma nuit voudrait voir nos regards et avoir nos regards chargés de désir.
Ma nuit voudrait tenir entre ses mains chaque spasme.
Ma nuit se ferait douce.
Ma nuit gémit en silence sa solitude au souvenir de toi.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Elle perd la tête mais ne peut éloigner ton image de moi, ne peut engloutir mon désir.
Elle se meurt de ne pas te savoir là et me tue.
Ma nuit te cherche sans cesse.
Mon corps ne parvient pas à concevoir que quelques rues ou une quelconque géographie nous séparent.
Mon corps devient flou de douleur de ne pouvoir reconnaître au milieu de ma nuit ta silhouette ou ton ombre.
Mon corps voudrait t’embrasser dans ton sommeil.
Mon corps voudrait en pleine nuit dormir et dans ces ténèbres être réveillé parce que tu l’embrasserais.
Ma nuit ne connaît pas de rêve plus beau que celui-là.
Ma nuit hurle et déchire ses voiles, ma nuit se cogne à son propre silence, mais ton corps reste introuvable. Tu me manques tant. Et tes mots. Et ta couleur.
Le jour va bientôt se lever.
- Frida Kahlo, Lettre à Diego Rivera (12 septembre 1939)
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