#corps d'État
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l'amour ouf - (brouillon d'état nuage)
ce soir là, c'est comme un magma de sentiment qui cédait en moi. c'était comme découvrir que le père Noël n'existait pas, que la petite souris ne passait jamais. ce soir-là, c'était comme si je découvrais la vérité sur l'amour, ou plutôt de celui qui n'est jamais arrivé à moi. peut-être que je l'ai manqué, peut-être que quelqu'un l'a pris en lui depuis toujours, peut-être qu'il est enfermé dans une boîte à double tour, peut-être qu'il faut être plus intelligente que moi pour pouvoir l'ouvrir. c'est une énigme brisante, qui éclabousse les larmes sur les pages blanches, pourquoi je ne suis jamais celle qu'on choisit ? celle qu'on aime avec volonté de tout son cœur. dis la vie, pourquoi je ne suis pas celle dont on tombe amoureux ? peut-être que cet amour est bloqué dans une vie antérieure avec un homme qui n'autorise personne à m'aimer plus que lui. finalement, c'est comme si chaque conte de fée ne m'était pas destiné. mon corps était orné de l'amour sur chacun de mes membres, mais il n'avait jamais croisé mon chemin. j'étais une amoureuse de l'amour, une amoureuse de l'espoir et j'étais destinée à une vie où l'on ne me choisirait pas, où je serais juste bien, mais pas suffisante, où on ne tomberait pas amoureux de moi, j'étais celle qu'on laisserait dans un coin, celle qui s'habituerait a une vie fade et sans saveur. que c'est déchirant, la vie d'adulte, quand toutes les merveilles qu'on me racontait enfant n'existe plus. que c'est épuisant, la vie d'adulte, quand les âmes-sœurs n'existent qu'au temps de mes parents. que c'est déprimant, la vie d'adulte, quand celle-ci devient toute tracé sans palpitation et sans émotion, que c'est triste d'être malheureux et de ne plus croire en quelque chose qui nous maintenait en vie. que c'est bouleversant d'écrire sur l'amour depuis mes quatorze ans, d'y croire chaque jour comme une lueur d'espoir, de le sentir possible autour de moi sans jamais le rencontré. ma vie depuis le début ne vivait qu'autour de l'amour, de l'état amoureux, des âmes-sœurs, des âmes de plusieurs vies, du coup de foudre de mes parents, de tous les films bouleversants, des livres, de textes hurlant ses théories, ses définitions propres à chacun, de ses insomnies, de la boule dans mon ventre. que c'est humiliant, d'avoir été une âme transparente dans ce monde qu'est l'amour. que ce serait tragique, de mourir, sans avoir goûté au fait qu'on ait été amoureux de nous. courir après l'amour ne m'a rien apporté d'autres que de l'espoir et de la perte de temps. l'espoir n'apporte que le néant. être juste bien ce n'est jamais suffisant.
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Carte de visite of a French captain* c. 1865
*capitaine corps d'état major des places, for which I cannot find a consistent English translation
#every aspect of his appearance is just my thing except the uncharmingly whimsical Dr. Suess swirly beard-tail#which adds a certain je ne sais quoi the hell 😔#monsieur you were SO close to being my platonic ideal of a 19th century French military DILF!#on the other hand love to see a clearly corseted older man#please note image has been darkened/sharpened—refer to seller's pics if purchasing#19th century#19th century photography#carte de visite#cdv#19th century fashion#historical fashion#fashion history#men's fashion#military fashion#military history#1800s#1860s
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Le concept d'État n'est possible que chez un être qui, de par sa supériorité interne, cessant d'être une force parmi d'autres de l'humanité, se réalise comme un déterminant de la loi d'unité et construit alors dans la législation libre l'idée de l'État comme pouvoir.
L'unité vers laquelle converge un tel organisme est une vie supérieure qui a une fin en soi, qui ne vit pas pour les besoins de son corps, qui n'est pas créée par le corps, mais l'âme est le principe profond qui soutient également le corps lui-même comme l'enseignait Aristote.
Cela signifie : le Chef ne sera pas le simple représentant des inférieurs (thèse démocratique), mais presque comme un centre de gravité spirituel pour le mouvement ordonné des forces individuelles de loyauté et de responsabilité, un égard pour l'intérêt du tout, maintenu sans aucune pression ni centralisation forcée.
Evola, “Il Popolo d’Italia”, 12 décembre 1957
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La croissance du nombre d'inscrits au pèlerinage de Chartres s'explique par une ouverture libérale au monde et se paiera par une dégradation liturgique et par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l'ascèse d'un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. "Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année! C'est le grand retour de la Chrétienté!" exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et déplaceurs de pions sur carte d'état-major. Non pas. C'est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-Chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l'extérieur par le monde, très affadie de l'intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pélérinage traditionnel? Les JMJ.
Il suffit d'examiner ce que l'on voit. Le concret, la forme, le corps, ne mentent jamais. Par exemple la crétinisation de l'école se mesure beaucoup plus sûrement à l'effondrement vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires. Quand on décore du nom de professeur une dame extravertie en surpoids habillée n'importe comment c'est que tout est fichu et que plus rien ne signifie rien. En matière de pèlerinage de Chartres, la Forme, avec le temps, depuis le temps (40 ans!) devrait se diriger vers davantage de Tradition chaque année, davantage de savoir-faire, davantage d'affermissement sur ses bases... mais elle va vers moins de Tradition, moins d'énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l'on voit. Qu'est-ce que l'on voit? Eh bien, un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières en combishort Coachella qui vont au pélé "chez mémé" occuper leur place numérotée, répandre des ordures que les vieux messieurs ramasseront. Des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, inconscients de l'heure qu'il est. Un peuple inmariable.
La Tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa Culture, au niveau d'un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n'ira plus à l'église.
Chers rêveurs vous vivez selon des usages valables en temps de paix alors que nous sommes en temps d'invasion aggravée, de colonisation, de crise, de persécution, d'extermination. Assez d'analyse dépassionnée "avec du recul", et de cette intelligence de resquilleur "plus intelligent que cela", de ce vocabulaire de statisticien de l'OCDE. En matière de tradition, les standards de la vie pratique sont le vrai "sens du sacré", la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable: le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la musique, l'usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d'une Forme aux soubassements plus profonds, invisibles, et sacrés. Abaissez vos standards culturels: vous profanez votre Religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa Culture fuit dans l'abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les dernières frontières qui le protègent de l'égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
"Chacun fait ce qu'il veut" signifie chacun pour soi signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu'il veut est un slogan de gauche produit par l'oligarchie de l'extrême-droite financière anti-Blanc, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles: "Diviser pour régner" et "L'ordre par le chaos".
Qu'est ce qui a perdu les Arabes? Le sucre. Qu'est-ce qui a perdu les Blancs? Le fun.
Ce pèlerinage qui devait être le cœur battant impénétrable d'une micro-Chrétienté s'étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle "très ouvert et détendu" de tous les dégazages de fonds de cuve du monde, nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
L'Eglise est une Hiératique c'est à dire un Ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l'expérience c'est à dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux, naissance, mariage, mort, et jusqu'aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pourquoi faire? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l'autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler.
"La Paix c'est la tranquillité de l'ordre" et qui méprise cette antique maxime se condamne lui-même au bordel, au dérisoire, au "fun", à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en "Nicolas, 30 ans".
L'Eglise est une armée spirituelle qui dit aux soldats des deux sexes ce qu'ils doivent manger, comment ils doivent s'habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. Cette armée n'enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l'Eglise ne nous poursuit pas de ses oukazes, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu'elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d'autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d'échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Parler peu et bien, porter le voile à l'église, la jupe longue en société, ne pas baffrer, ne pas comérer, ne pas exiger... sont le strict minimum auquel peut souscrire celle qui se dit chrétienne en période d'invasion aggravée et d'apologie de toutes les déviations. La modestie chrétienne du vêtement surtout, est la marque distinctive de la Vraie Foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d'une "mise hors-monde" de la Chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir soi-même et pour propager l'influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leur cul.
La maladie dont nous crevons c'est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d'immigration. Le point nodal de tous les remèdes c'est la génération endogame séparée du monde c'est-à-dire la sainteté, étymologiquement la "séparation", considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l'autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C'est ainsi que vivaient les terroirs français. C'est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères Pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-américains, et tant d'autres Formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l'on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale c'est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti-pris d'existence grégaire, par une Forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un Esprit de cette Forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd'hui un millier de Blancs d'Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l'enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d'invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. "Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père". Il y a assez de place dans l'Eglise pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m'arrête à son seuil tel Moïse devant la Terre Promise), selon des principes très bien décrits par Julien Langella dans "Catholique identitaire", et qui s'appuient sur l'exégèse biblique et l'apologétique. Et pour tout avouer bien nettement, non seulement la Religion est le seul moyen de peuplement bio qu'ont les Blancs hors du fascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l'irréligion. En cas de doute on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l'a fait Patrick Buisson depuis 10 ans, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les vrais Francais était précédée d'apostasies, alors que la prodigalité ne s'est observée que dans les temps et les régions d'enthousiasme et d'assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
Dans un monde binaire "la pute ou la voilée", la Troisième Voie se mérite par une ascèse c'est à dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà le vrai test minimal, le vrai "respect de la Messe", le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d'hèsychaste, l'imagine t-on en pantalon et tee-shirt ? Ou oisif ? Ou obèse ? La Religion est un hiératisme qui ordonne les aspects matériels de notre être social. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L'entraide. Ce sont là les bases de la Chrétienté, et pas du tout les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n'y a pas de "catholicisme traditionnel" possible en sweat capuche ni combishort, nulle part, jamais. Car s'il en va ainsi des tratras, qu'en sera-t-il des modernos ? Et des protestants? Et des athées ? Et des LGBT? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la "transition", par la décontraction graduelle des hommes à chaque génération. Loi de Volkoff: "Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard". L'abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit jusqu'au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. "Eux sont trop extrêmes, mais moi j'ai su rester mesuré, voyez".
Idem des théories sur la Civilisation. La seule Civilisation immédiatement identifiable c'est une rue heureuse, familiale, proprette. Expliquer autre chose c'est signer du charabia d'intellectuel payé au nombre de signes. La vérité la plus crue sur la cléricature à été écrite par Rebatet dans son livre Les Décombres, chapitre "La religion chrétienne". À savoir qu'en dehors de la stricte administration des sacrements et des rappels de doctrine les intellectuels clercs ou laïcs sont en matière politique, physique, sociologique, des "imbéciles pyramidaux" et cela se vérifie toutes les fois qu'on laisse à cette engeance la plus petite responsabilité concrète ne serait-ce qu'à l'échelle d'un village, même d'une assemblée de quatre individus. Eux sont les premiers à s'indigner et à raison, des divorces, de l'anarchie dans les familles, des enfants-rois, des pères éteints et des mères hurleuses, très bien. Mais toutes les fois où éprouvés par le hasard ils ont dû arbitrer un conflit c'est à dire à rendre Justice, ils ont systématiquement donné 1 partout balle au centre pour départager la dame fût-elle la plus exorbitante hystéro-concierge et le bonhomme fût-il le plus discret arrangeant ponctuel bosseur. Leur vrai Surmoi c'est le qu'en dira-t-on du Monde.
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à se délivrer, se dépouiller, se décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l'intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage c'est la vraie pratique religieuse beaucoup plus que la Retraite, que la Messe, c'est le vrai test religieux à qui l'on ne peut mentir. D'abord les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d'entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Exit les bouches inutiles, les dondons, les "dames très gentilles". Les vieux minces eux marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non-alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes l'idée qu'une vie est encore possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long-terme.
À ces jeunes je parlerais ainsi. Tu peux marcher? Tu ne veux pas marcher? Ne parle plus religion. (Tu parles politique ? Tu n'as pas lu 3 fois BPM? Ne parle plus politique). Mais je leur dirais aussi de se méfier des chefs catholiques, des "lanceurs", des officiers, des dames patronesses et des sermons abstraits. Ils ne trouveront pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé "exagérée" la pudeur islamique féminine alors que c'est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l'Eglise, justement exactement le seul. La doctrine non-sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l'amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n'ont plus cours en période d'invasion migratoire aiguillée par la double pompe aspirante de la thune blanche "redistribuée" et de la fesse blanche pornographique. En période d'invasion la "charia blanche" est le plus petit acte de légitime défense d'un peuple colonisé, et le premier article de cette loi est la modestie du vêtement, en somme l'uniforme obligatoire. S'entendre dire comment s'habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale surtout en France pays du quant-à-soi. Mais le quant-à-soi avait une condition: la crainte commune de Dieu, ceci tranquillement, comme l'on craint un père, sans transport mystique. Le mépris de Dieu à donné oppression athée qui a donné invasion qui a donné prédation sur les jeunes filles selon la race et le vêtement. Ceux qui ne comprennent pas cela, ceux qui n'en n'ont pas fait l'amère expérience n'ont aucune légitimité à diriger les Blancs: ils ne les aiment pas assez, ils n'ont pas assez peur pour eux, ne se creusent pas assez là tête pour eux. Ces faux chefs ont 40 années de retard à l'allumage. "Sacrebleu on voudrait nous empêcher en France de laisser nos filles sortir vêtues en miel à mouches? De qui se moque-t-on?". Le lendemain matin Françaises violées, Français tués, Peuple métissé, stérilisé, garçons français privés de leurs alter-égales (c'est la liberté!). Ils ne comprennent pas ces désastreux types la notion de réduction de voilure, qu'ils doivent au contraire ordonner une diète de peau visible pour affamer les sangsues qui ne vivent que dessus, qu'en ces temps d'hypertrophie du désir la satiété, le dodu, le facile, le "super-salope", le loisir, le vantardisme, sont des malencontreux focs oubliés qui font prise au vent dans une tempête, des monnaies qui n'ont plus cours cause de dette que nul ne peut rembourser. Ce sont ces jetons de casino qui ont excité l'appât du gain chez les vils prédateurs qui sont là aujourd'hui, qui ne veulent plus partir, le fameux "on est là, on vous baise" de l'homme du ressentiment qui, privé de capacité productive par ses facultés intellectuelles rudimentaires n'a que sa capacité de nuisance à exercer sur le pays sans défense, lui le sicaire qui s'ignore choyé par la pire bourgeoisie anti-Blanc jamais parue en Civilisation (cf Céline) qui lui a toujours enseigné la haine de la France, la prédation sur les Blancs, le faux roman national ("on est venu reconstruire bla bla bla, tirailleurs chair à canon bla bla bla, occident riche du pillage etc"), roman exactement inverse de la vérité historique des faits. Face à ces 2 fronts quel recours avons-nous ? Nos chefs cathos école De Villiers?
Puisque leurs enfants, jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour Ceux, daté de 2003, "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain". Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l'Etre Collectif gît dans les hurlements de ces aborigènes (notion de sagesse des primitifs qui "rase de plus près la lisière de l'idéal" selon Baudelaire) que dans n'importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique. "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain" est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Blanc envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l'Etre Collectif, le sens de la Génération, le sens de l'honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d'avec d'éventuels actes de prédation, il recèle enfin une prévention et un avertissement aux "consentantes" putes qui entendent se vendre aux prédateurs, et une prévention et un avertissement aux violeurs.
Vous êtes un vrai Français? Vous ne pouvez pas vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez pas parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement d'un seul millimètre, sans quoi c'est la descente entièrement au Primitif ontologique pour n'en plus jamais remonter. En temps d'invasion vous ne pouvez pas "faire la fête", on ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les hilotes devant les Spartiates, consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques, encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d'avoir bouffé, toute l'année, toute la vie, et le salaire de toutes ces gaudrioles stupides c'est la honte, le déclassement, la mort, l'oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l'école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de minifoot qui ont défiguré l'équipe de "France" en cette chose honteuse qu'elle est devenue, l'invasion et tous les déshonneurs ordinaires apportés par un désastreux rapport au féminin, sont des plaies qui cautérisent très vite à condition d'une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de Culture c'est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d'engueuler les plus lâches que soi, d'engueuler tous ces chefs de palabre, montreuses de cul, prélats grotesques, ces infectieuses Karen dames pachydermes. Aucune pitié pour se mettre tous contre eux: plus ils seront évincés vite plus la jeunesse chrétienne sera saine et sainte, la jeunesse blanche immaculée et surtout immaculable.
Les brebis perdues ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n'ont d'horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l'alcool, le porno, le paiement de rançon au colonisateur, le chômage, la philosophie de l'absurde, la Magalax, le "French Dream". Evidemment qu'ils se demandent pourquoi ils sont venus au monde! Messieurs les clercs expédiez votre messe en 1 heure tôt le matin puis consacrez votre temps aux brebis perdues. Vous devez regonfler, convertir tous ces Blancs, c'est cela votre mission, ce sont eux les brebis perdues qui ont priorité sur les autres et certainement pas vos chronophages bigotes et autres quémandeurs plaintifs. Ce sont les mariages futurs et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d'explication ramènent toujours au point de départ: dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en "dîme de la menthe" dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l'Etre Collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s'exercer votre zèle c'est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c'est tout. Le reste est absolument accessoire. Par surjons de micro-Chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s'étende en familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d'entraide, par cliquets sur le monde stérilisé de l'athéisme stupide. Et combien d'entre vous se font encore plus stupides que les athées ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières, ils se repassent des histoires d'anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias "par truchement de", leurs organigrammes sont vérolés d'impotentes en surpoids "fée du logis" qui commandent à des adolescents, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés? Mais s'ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la Tradition qu'ils prêchent et l'énormité très libérale de leurs gaffes alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d'anarchie "libérale"?
Un désastreux sens Esthétique donne d'avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d'ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu: des putains d'épouvantails repoussants. Pour tous ces rabâcheurs d'abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l'esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux! Enfin un idéal féminin désastreux ne l'oublions pas. D'où ces gâchis, ces potentiels sous cloche, ces jeunes filles tournées vieilles filles, ces sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D'où cette méconnaissance entretenue d'une féminité réconciliée, une féminité Troisième Voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine. Mais je ne puis regarder sans honte les filles de chez moi. Le style "aprêté"? Le frêle, l'engoncé de l'assistance des mariages, où la toilette des jeunes femmes acquiert la distinction d'une londonienne de Croydon du samedi soir. Mais telles mères, telles filles...
Le sens Esthétique, le sens de l'ingénierie sociale, le sens de l'honneur, le sens de la virilité, le tact, la Conscience de Soi, tout cela c'est tout un comme l'unicité de Dieu, or vous n'avez aucun d'entre ces prémices. Désastreux déshonorant gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d'une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre que faites vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous effondrez en deux secondes la prise qui repart liquide dans le monde. Le pélérinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade. Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversion massive à partir d'un seul converti, de repeuplement à partir d'un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits: "Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j'ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j'ai tout mon temps pour cela".
Chers camarades vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards... grand bien vous fasse. Ces expansions de l'être donnent prise aux toxiques, elles excitent les prédateurs qui se voient alors vos égaux, allument l'envie pendant que vos instincts détrempés se relâchent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l'avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se resserre: sobriété, gravité, discrétion, redoublement de Charité interne envers ses frères, redoublement de l'euphémistique vertu de Prudence envers les étrangers. D'où le soin à apporter dans le rangement, la netteté, la première impression, le vêtement, dans ces choses nous entourent à tout moment au point que nous les oublions.
Tant de lâches à engueuler, tant de dictature à secouer... Dictature des bourgeois-bordel sur une Eglise armée mexicaine quand il faudrait des ouvriers et techniciens, un prolétariat français blanc chrétien qui maîtrise les métiers d'indépendant productif, sur le modèle école de la Martinerie. Le prolétaire, étymologiquement, c'est l'homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu'est-ce qui a perdu le Liban? La Syrie chrétienne ? C'est la vie bourgeoise, le mesquin principe du "pas trop d'enfants", la radinerie du "pas de premier enfant avant 30 ans". En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l'ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d'un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. "Quoi? Tu n'as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu te marieras jamais". Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par embourgeoisement. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, se sont enrichis, sont allés de mieux en mieux. Chez eux c'est rangé, ils prient, ils chantent, ils lisent, ils s'entraînent, ils s'entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable: la bagatelle, le restaurant, le voyage: en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s'amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d'en prendre un pour deux et de se serrer ensemble dessous.
Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
Voulez-vous éduquer les adolescents ? "L'éducation des jeunes européens en milieu multiculturel violent" de Laurent Ozon, tout est dedans, en quatre pages. À l'opposé, les désolantes dondons éducatives avec leur furie de vengeance inassouvie, avec leur stupéfiante muflerie de poissonnière hurleuse n'ont pas leur pareil pour démolir à vie les jeunes filles et les jeunes garçons de bonne race qui leur sont confiés. Quelques années scolaires de leur régime et vous obtenez ces petits adolescents procéduriers trouillards qui ne savent ni qui ils sont ni ce qu'ils doivent faire dans leur propre pays où ils sont ultra-minoritaires, ces maussades jeunes filles gâtées qui apostasieront à la première contrariété. Ils et elles n'auront connu de l'éducation religieuse qu'une mise en conformité toute scolaire avec une série d'exigences sous la pression de "maîtresses" catastrophiques. L'éducation religieuse, la vraie, dure toute la vie, elle stipule entre autres choses que les dames ne sont pas qualifiées pour l'enseigner et que nul ne doit se faire appeler "maître", l'Evangile le rappelle en toutes lettres, c'est dire combien sont légitimes les configurations actuelles.
Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?"
Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition: la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille?
L'école privée tratra c'est comme le pèlerinage de Chartres : ça s'aligne sur les exigences des nouveaux entrants qui veulent profiter d'une Tradition toute prête pour eux. Ainsi en est-il des paysans envahis par les néo-ruraux, de la France par les squatteurs, des Civilisés par les barbares. Le pèlerinage de Chartres est une mini-société sauvée des années 60 noyées sous le Déluge et qui est en train de recommencer les catastrophes des années 60.
Nous sommes tellement pétris par Mammon que nous en avons oublié comme la Providence prend soin de nous. N'est-ce pas une chose très angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravité, sans religion, chercher la voie la plus propice à leur faire vite "engranger du fric" ? Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Époque Formidable disait déjà tout. L'immense triche de "faire carrière", de "viser les hauts salaires" lorsqu'elle est répétée par toute une classe d'âge va forcément démultiplier l'immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prétendre au titre de "cadre" pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-même le travail porte en germe la colonisation par importation massive de profiteurs qui vont bâcler le travail, écœurer les travailleurs du sol par bas salaire et bas travail. Un peuple? Un troupeau de cadres. Universités remplies "d'étudiants étrangers" aspirants cadres. Tous d'accord pour cette attitude quasi métaphysique : faire faire le travail par d'autres et s'enorgueillir de cela.
Le travailleur à son compte, autonome, ostréiculteur, plombier, carreleur, sont les vrais créateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutée. Et quelle misère leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc...
Le juste châtiment pour avoir prétendu par des études encadrer les autres c'est de devenir soi-même un précaire du tertiaire surdiplomé incapable, n'encadrant personne, et doublé dans la méchante compétition sociale par des ouvriers qualifiés bien payés dès leurs 25 ans.
Après le pèlerinage la marche s'arrête, on rentre chez soi et le culte devient statique. Bien. À peine aurez-vous fait un mouvement dans le sens de l'idéal chrétien que vous prendrez dans la gueule non pas les prédateurs extérieurs connus et déclarés de la Religion (eux se contentent de regarder et de ricaner) mais le phénomène interne très incongru des grosses dames tartuffes de paroisse, les aide-curé qui ont le doigt en l'air, les mères furieuses en surpoids et leurs maris chapons empressés, les cantinières à deux quintaux très fière du rata de midi, les empotées de la rue d'Ulm qui disent "maman" pour parler de leur mère alors que leur mère n'est pas dans la pièce. C'est l'énorme aberrant problème ecclésial de féminisation et la pire de toutes, une féminisation graisseuse, palabreuse, bordéleuse, impotente mais cramponnée à tous les aspects-clés : mise en relation, mondanités religieuses, éducation religieuse, carnets d'adresses, recommandation, validation, placement de table. Dans chacun de ces domaines c'est toujours quelque échappée de cure thermale qui commande, cela dans une jouissance des commérages, des rapports et des "mises au point" d'une bassesse, d'une mesquinerie inimaginables.
Le relâchement des standards produit la mère intrusive, la mère intrusive produit des efféminés passifs et des virils retirés du jeu. Défaillance fatale dans un monde tout tourné vers "celui qui sait s'affirmer", arrêt de mort de la génération. Ce que l'on a pu nous tourmenter par le concept d'homme du ressentiment ! Comme quoi nous serions "dans la haine", que le sous-homme s'agiterait peut-être en nous. Fabuleux cadenas de fermeture de gueule pour esclave à basse estime de soi inhibé par philosophie du soupçon.
Si ces esclaves veulent respirer à nouveau je leur dirais d'être impitoyables envers la dame du ressentiment. Ces corps débilisés assurés de leur place dans un bureau pour leur débilité même et tyrans absolus, ces impotentes en surpoids mais qui rebouffent encore, ces enfoncées dans le mur qui refusent de se réformer, ces difformités exemptées de sport par "dispense très exceptionnelle"... n'ont pas à souiller même une seule seconde la vie de la jeunesse chrétienne.
Nulle religion, nulle tradition n'est possible, n'est imaginable qui ne commence par châtier sans pitié tous ces quinquagénaires gynecées crasseux graisseux grotesques, qui ne commence par chasser loin très loin ces dangereux Majin-Bou à ventouse chercheuse, à bien rosser, à bien fouetter les prétentions de ces limaces métaphysiques rampant sur nos mansuétudes en période de chômage aggravé, à bien rabattre le sale caquet preneur de confiance de ces très coûteuses hurleuses bouches inutiles dévoreuses de fric, rumineuses de seume recraché en discordes inextinguibles sur braves gens qui ne remontent jamais la chronologie des événements. Pour retrouver la vie religieuse joviale et simple quel strigile sera assez précis pour racler les suints huileux exsudés des pores de ces oisives batraciennes sudoripares épuisées d'agiter leur éventail? Quel grattoir, quel papier de verre, quelle paille de fer sera assez rêche pour poncer jusqu'à l'arasement les dépôts moussus de ces personnifications de marécage putréfié en crue? Quelle juste proportion de vinaigre et de soude produira la réaction chimique assez effervescente pour détartrer cet ignoble enduit, pour lisser ce crépi de studio marseillais hérissé sur des fresques de Giotto ? Pour quelle granulométrie de quelle pierre ponce râpeuse, pour quel degré de rugosité abrasive faudra-t-il opter lors du grand décapage qui nettoiera une fois pour toutes l'épandage solidifié des lisiers de porcherie projetés par ces truies hurleuses bonnes qu'à saccager, qu'à baffrer, qu'à digérer des passe-droits exceptionnels, vautrées dans leurs purin de certitudes? Quel rinçage final, quelle purgation, quelle cure de lavement par eau de Vichy multipliée par Sainte-Yorre chasseresse d'impuretés saura déboucher l'occlusion, détacher ces mollusques fossilisés sur parois hospitalières, histoire que l'on chie ces corps étrangers pêle-mêle aux ordures pour de bon, que l'on tire enfin la chasse, que l'on se relève finalement soulagés d'une tonne, leur tonne, et que l'on passe à autre chose?
Quand il cherchent les coupables, les dignitaires de la très compétente hiérarchie catholique remonte toujours à Adam jamais à Eve, ils voient Borgia jamais Syna. Puis quand ils comprennent tout de même que c'est de ce côté là que le mal est entré dans le monde ils se rétractent apeurés: "Tout compte fait ne cherchons point de coupable! Le mal est fait? Tant pis! Désormais il nous faut aller de l'avant!", entendez en avant vers l'Afrique, le gynécée et le wesh Versaillais.
"C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents." (Bernanos)
Le monde claque des dents? S'il y a beaucoup plus de trans***** dans le monde c'est à cause du mélange des garçons et des filles dans les églises chrétiennes. Et des reprotoxiques ! Mais la mixité est un reprotoxique social, un perturbateur, un inhibiteur, un empoisonneur autant redoutable que le plastique alimentaire. Le monde claque des dents? Le monde est irrespirable à proportion des baissages de froc de tous ces sels de la terre affadis.
Quelques remarques supplémentaires...
Il y a un péché de connerie et d'accumulation de menues conneries, un péché d'acceptation non sue d'états de fait vendus pour indépassables et achetés comme tels. Comme on meurt d'asphyxie indolore au monoxide de carbone on peut périr de brol, de graisse, de bavardage, de bibelots, de saccade, de heurts, de concession.
Et toujours se rappeler de se méfier énormément des "importantes". Plus elles vous voient mince et rapide plus vous détestent. Vous êtes sans vous en douter outrecuidant pour ces sacs à ressentiment. Elles ne peuvent avaler le reproche que vous leur faîtes à votre insu, ni le digérer, ni rien digérer d'ailleurs d'où leurs rumination de coups bas, leurs commérages gastro-oeusophagiens par renvois acides, et leurs excédents inévacués qui les contraignent à se porter elle-même deux fois en soufflant comme des vaches méthanières.
Aller à la messe nous est souvent pénible, nous n'aimons pas cela, nous y allons par devoir, pour "rendre nos respects" au Maître de nos vies chaque semaine. Ces statues sont désespérantes, ce carrelage noirâtre est désespérant, ce marron mobilier 19e siècle est désespérant, ce sont là des choses acquises, très bien. Complaisance dans la médiocrité, dictature des gougnafiers sur les esthètes, chants démusclés dans les aiguës, accompagnements bâclés, neurasthénie flottante, tout cela est connu, très bien. Pourtant il faut accepter cet agenda, cet ordo, et il portera des fruits.
Mais en des temps de dénatalité publique la seule grande épreuve en matière religieuse, et tous les débats "République contre islam" l'ont assez montré depuis les années Dantec chez Ardisson, c'est la place de la femme, la tenue de la femme, les droits de la femme. Tous nos divorcés, ruinés, cocufiés, porteurs de matrones, réceptacles à hurlements, encaisseurs d'affronts, épongeurs de dettes... ne savent se cabrer vraiment que sur un point (eux si doués pour transiger), ne savent récriminer contre Ismaël que sur un point, et c'est? C'est la place de la femme, ah ah! Le Tradi est accroché à l'ominipotence de sa cantinière "chrétienne" de 500 kilos en legging pérorant ses exigences, il y tient comme à la Messe, beaucoup plus qu'à la Messe, pour lui la société chrétienne ne peut être qu'un gynecée de bavasseuses dans un décor d'anges en bibelots et de fleurs en plastique, grignotant des biscuits sucrés avec le chauffage à fond et la buée sur les vitres parce que Madame Lebrouneux a froid vous comprenez, il ne conçoit pas de manifestation plus aboutie de la Chrétienté triomphante.
Mais que veulent au juste tous ces pachydermes à prier Marie? Qu'y a-t-il entre elles et elle? Puisqu'elle était mince, et pudique, et taiseuse, pourquoi invoquent-elles Dieu par son intercession ? Si elle est leur modèle que ne modèlent-elles pas leur silhouette, vêtement, langage, sur l'exemple sont elles se réclament?
Pour rappel voici comment le Christ notre modèle à imiter s'adresse aux dames lorsque celles-ci prétendent s'impatroner dans sa vie: "Qu'y a-t-il entre toi et moi?", "Va-t-en et ne pêche plus", "Ne me touche pas".
Vous transigez sur la primauté des hommes en Religion, vous transigerez sur tout par répercussion, par dominos psychologiques. Toutes les réalités visibles sont appuyées les unes sur les autres dans un monde invisible. Tout le monde comprend très bien les avertissements des légendes: Hélène de Sparte, les Sabines. Mais très peu assument d'agir en conséquence d'où certains ennuis hélas connus.
Il est très normal que la question cruciale soit "la femme" en des temps d'apostasie et de stérilité massive puisque la religion est une ingénierie sociale de perpétuation d'un peuple et la femme la garante de la prodigalité du peuple, de l'honneur du peuple, de la stabilité du peuple. Est-ce vraiment trop espérer pour nos jeunes: la jeune fille européenne à marier, chrétienne, bien élevée, bien habillée, et c'est tout.
Dès lors qu'une religion admet que la femme religieuse puisse jacasser tête découverte en public, c'est que tout est fini. Quels que soient les prétendus "chiffres encourageants", ce sera une croissance par la honte. Une telle faute à un tel endroit en une telle époque, après tous les vivants avertissements reçus depuis mille ans, après tous les traités de sagesse connus qui ont tant insisté sur ce point... est une transgression qui engage l'intégrité même des souches raciales du peuple emmené dans le ravin par mauvais bergers.
La femme religieuse de 25 ans qui s'interroge sur sa foi avec des mots de vidéo tiktok pour exprimer sa "connection", comment "se rebooster sa foi"... n'a rien compris, n'a rien à faire dans un pèlerinage religieux traditionnel et ceux qui l'y tolèrent vendent à crédit ce pèlerinage au Monde avant de se faire racheter à bas prix et fiche dehors à leur tour.
Qu'est-ce donc que vos Tradies, si l'on enlève l'écriteau sous le tableau d'art abstrait, que reste-t-il comme résidu à sec après évaporation des mots d'explication? Probablement le pèlerinage 2023. Comment alors "répondre de l'espérance qui est en nous" face aux Mormons, aux Amish, aux témoins de Jéhovah, et même aux religions non-chrétiennes qui en matière de vêtement se tiennent cent fois mieux que nous? Tout ce chemin tradi pour se conformer finalement au degré d'élégance d'une présentatrice quinquagénaire de KTOtv, avec pour doctrine deux paragraphes de féminisme La Croix. Les dondons de paroisse, ces excellents épouvantails placés devant les baptistères pour en interdire l'accès aux convertis sérieux, si elles sont laissées en paix, égareront par leur seule présence les derniers désirs de conversion.
Le combat spirituel consiste à se réformer soi-même chaque jour toute la vie.
Jamais ni l'orthodoxie, ni la synagogue ni la mosquée n'auraient toléré une minute d'un tel relâchement. La honte... la honte. J'ai honte. Quel spectacle à vous faire rentrer sous terre de honte que la sans-gêne dame graisseuse et sa version jeune la "tradi en short" donnée en pâture au monde. Si telle est la tradie que sera la moyenne? C'est déshonnorer la Vraie Foi, c'est se déshonnorer soi-même, c'est déshonnorer les hommes religieux à qui elles imposent leur présence. Zéro conscience de soi, zéro sens du groupe et ça prétend au titre de chrétienne. Cette honte absolue : lorsque les moines tonsurés du Barroux, ces saints hommes, sont forcés de côtoyer 3 jours durant cette pouillerie de gynecée en sueur beuglant des chansons de colo, et personne pour oser formuler une objection.
Personne ne vous oblige à venir dans un pèlerinage religieux traditionnel. Ceux qui vous y admettent sont les vrais salopards de l'affaire il est vrai. S'ils avaient un tout petit peu de courage face au monde ils se restreindraient sur un pèlerinage de 5000 personnes propres plutôt que de faire le trottoir pour un bordéleux cortège de 15000, et d'y trouver un motif de vantardise. C'est toujours le nombre et "l'ouverture" aux bas standards qui perd les causes nobles. Voulez-vous retrouver le fameux sens du sacré ? C'est simple. Parlez comme à l'entrée d'une église orthodoxe. "Pas de voile? Pas de jupe? Tu n'entres pas ici, c'est tout". Elles peuvent aller repeupler les Communauté Saint-Martin, Emmanuel, les diocèses qui en ont grand besoin autant qu'elles le veulent. Leur seule tenue démontre qu'elles n'ont rien à faire dans la Tradition.
Ces "chefs" tout remplis de textes sont les vrais salopards de l'affaire car ils laissent se propager la merde qu'ils promettent combattre alors qu'ils savent très bien comment la merde s'est propagée dans les années 60. Et eux les rescapés du déluge recommencent les années 60 par le menu! Tous admettent la notion théorique de "modestie du vêtement". Très peu sont capables de spécifier les critères concrets du vêtement modeste. Résultat, aucun n'est capable de faire respecter le port de cet habit même pour 60 minutes dans l'enceinte sacrée d'une église lors de l'office le plus saint de la semaine. Et ces gens-là seraient les dirigeants légitimes de milliers de jeunes chrétiens ?
Notre idéal esthétique ? Des corps minces, des visages graves, très au courant du tragique de la vie et de la condition de l'homme français en France, des personnes frugales sur lesquelles une hyène ne trouvera rien à manger, des vies sobres toutes de rusticité avec l'extérieur, toute de douceur avec l'intérieur.
Tout ce trop connu foutoir de bourgeois-bordel "pas fixé sur le matériel" stérile et désastreux doit être démantelé intégralement avec ses pourvoyeurs.
Le voile, au moins à l'église, vous l'avez abandonné à "libre appréciation individuelle". Même séparer les hommes des femmes à l'église, ce tout petit signe vérifiable de respect du sacré qui permet à un adolescent de voir l'autel devant lui quand il prie et non le cul d'une dinde, cela aussi vous l’avez laissé gâcher dans le pêle-mêle foutoir "évolué" de vos goûts invertis.
Invertis et divertis où sont vos convertis ? "Allez d'abord aux brebis perdues de la maison" vous a-t-on dit, mais y êtes-vous allés? Celles-ci sont les Français de souche, athées, retournés, dégoûtés. Ce sont vers eux d'abord que doivent aller nos prières, nos mains tendues, nos efforts, et parmi eux-mêmes priorité aux gens de bonne volonté, aux hommes sains, aux femmes saines : beauté physique, vitalité, horreur de la vulgarité, compétence, ce sont ces fruits du bon sens qui nous peuvent rendre le Bien Commun par mariages, familles, enfants.
Le laisser-aller de la Forme traditionnelle prépare le laisser-entrer de l'informe. Voyez la mousse expansive comme elle opère : c'est cela l'image du laisser-aller, c'est une dilatation, un relâchement de la Forme dans l'espace et le temps. Maintenant imaginez qu'un champignon vienne véroler cette matière levée propice aux infections, qu'il l'investisse dedans, dehors, la rende spongieuse, liquéfiée, la fermente et s'en nourrisse jusqu'à la consommer entièrement. Vous avez le processus complet relâchement-invasion. La nature nous avertit assez en la personne des jeunes filles: ravissantes à dix-huit ans, combien sont méconnaissables dès leurs vingt-cinq ans passés ?
Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité? D'abord l'état d'esprit: zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations...
Si vous transigez sur la Forme peut-être garderez vous dans certains cas la Foi en vous-mêmes mais au-dehors de vous, l'exemple vivant que vous rendez portera témoignage contre votre Foi, abaissée à proportion de l'abaissement de vos standards. "Fi du regard des gens!" direz vous... Pardon ce n'est pas vous qui serez souillé mais l'honneur de la Foi que vous croyez représenter correctement. L'exemple catastrophique des matrones de paroisse et autres déjetés a six décennies d'éloquence derrière lui: ce ne sont pas eux-même qu'ils minent mais l'Etre Collectif et le rayonnement extérieur de l'Etre Collectif. Ils n'ont qu'à paraître pour repousser les indécis, fatiguer les candidats, inhiber les convertis, écœurer les braves gens, confirmer les infidèles, rassurer les athées, et comble de la catastrophe retourner les jeunes qui pourraient faire de belles familles chrétiennes pour les pousser dans la stérilité eux aussi, dans l'inversion, dans l'apologétique adverse etc.
La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme.
Dès lors l'Eglise se dépeuple, la démographie française baisse, l'invasion se répand. L'ascèse et la rusticité, le voile et le clanisme bref l'esprit de clôture sont les seuls rapports au monde fructueux en temps d'invasion. Ceux qui ne comprennent pas cela se condamnent à dispersion, à dilatation de mousse expansive : après l'illusion de l'ivresse vient la dépression du réveil et de la casse à rembourser, des embrouilles à régler.
Sous le joug d'un pouvoir qui a confisqué exprès vos frontières c'est à vous de protéger votre clôture sociale: charité absolue en interne, prudence absolue en externe. Plus de frontières ? Clôture. En période de frontière sûre point besoin de clôture. Or les 20 millions de vrais Français qui restent dans le pays vivent dans leur majorité encore comme s'ils étaient protégés par une frontière, d'où leurs ennuis hélas : filles menacées ou "consentantes" (pire), pères déshonorés, garçons isolés, personnes âgées recluses, enfants maternés etc.
En matière de gestion de ses filles du sol avant mariage un pays envahi dispose de deux options: le couvent ou le bar à putes. La majorité des envahis trouve la seconde option plus conforme à leur sens de l'honneur, nous pas.
Il est tout à fait normal entre Blancs civilisés en France que les garçons et les filles du pays, enfants de la même race, physiquement frères et sœurs, se côtoient en temps de paix habillés selon la décence commune, et en toute sécurité se courtisent, se marient. Il en va tout autrement dès l'intrusion ne serait-ce que de dix éléments étrangers mus par la convoitise qui constatent avec étonnement leur impunité chez 20 millions de Français inoffensifs. C'est ici très précisément que la fameuse "pompe aspirante" entame ses premiers hoquets de succion. Elle va bientôt tourner à plein régime jusqu'à donner la tristement célèbre "invasion massive". Qui dit intrusion une fois dit intrusion mille fois par rameutage des frères, par répercussion en d'autres intrusions jusqu'à l'invasion massive avec prédation sur l'habitant. C'est pourquoi dès l'invasion commencée la technique de l'uniforme obligatoire est le minimal sursaut vitaliste.
Voilà le moment où les formes traditionnelles du mode de vie européen ont l'occasion de se muer en Intelligence Politique. La Forme de la vie quotidienne est un diaphragme qui peut s'ouvrir ou se rétracter. Quand la frontière tombe c'est la peau qui devient la frontière. D'où les meurtres, le métissage et les viols qui sont des formes d'invasion outrepassant la frontière de la peau. Or en cas d'invasion un patriote, un gardien de ses frères, l'esprit grégaire d'entraide, la Charité elle-même, commandent une rétractation, une prudence de la peau comme un factionnaire monte la garde d'une denrée chassée. Le voile n'est pas la tradition européenne (encore que!) mais refiler ses filles en pâture à des fils de pute n'est pas la tradition européenne non plus. Les européens libres devraient réévaluer où se place le sens de l'honneur en période d'invasion, pensée dialectique dont la plupart de nos identitaires n'ont pas la moindre idée or la France est de tous les pays civilisés celui qui subit chaque jour la plus vorace, la plus ravageuse, massive invasion. On ne vit pas envahi comme on vit souverain, cela tient de la plus élémentaire prudence. On ne s'habille pas pareil, on ne se déplace pas pareil.
1660 l'Europe catholique sombre dans le bibelot, l'angelot, le mobilier contre-réforme pendant que l'Amérique, sobre et vêtue de noir commence son essor. Que nous reste-t-il dans l'Eglise? La tonsure des moines du Barroux. Les Beaux chants dans les graves (Credo III, Gloria IX, Lauda Sion, Veni Sancte), la liturgie, l'étiquette, un restant d'ordre. Et pour l'avenir ? Le vêtement hiératique dont le scoutisme de notre jeunesse à fourni les standards intemporels nous aide à concevoir un vêtement laïc régi par les critères d'un uniforme.
Que notre vie soit un foutoir est un fait qui peut se réformer si nous nous appuyons sur une tradition stable, un ordonnancement harmonieux, la Crainte, la pureté génétique d'un peuple saint. Toutes choses dures et divines.
L'ismaëlisme est l'impression en creux des vices blancs: fanatisme contre neurasthénie, honneur par les femmes contre soumission par les femmes, cocufieur contre cocufié, prolifération contre stérilité, tranquillité contre anxiété, famille contre individu etc. L'ismaëlisme est un signe que personne ne veut lire. La réaction d'orgueil athée à l'ismaëlisme accentue les vices des Blancs : Eux pas d'alcool? Eh bah nous, alcoolisme, ah ah! Eux pas de porc? Eh bah nous, charcuterie industrielle nitritée, ah ah! Eux pas d'érotisme? Eh bah nous, filles ouvertes et pornographie, ah ah! Eux familles nombreuses? Eh bah nous stérilité, etc...
Revenons à nos chefs tratras. Ont-ils obtenu sur le plan de la diplomatie cléricale interne une seule victoire en 40 ans sur les modernos? Où sont les miracles promis? Où en est la "lame de fond", la reprise en main promise par les nouveaux contingents de "prêtres pour l'Eglise" des paroisses dépeuplées? Les pires saccageurs archéo-maçons ont tout détruit devant vous jour après jour et vous n'avez rien fait. Pas une seule fois vous n'avez organisé de rendez-vous surprise avec un "évêque" attendu en bas de son local ou seulement sa confrontation physique avec les fidèles écœurés, pour qu'il assume en pleine lumière. Toujours c'étaient ces "textes", ces "documents produits en réponse à", le détroussage par le prestige du baratin et des "procédures prévues" quand la conduite des brebis est une chose physique très concrète dans laquelle les points de droit canon ne servent qu'à occuper l'adversaire courbé sur des paperasses pendant qu'il se fait rafler tout le terrain, là devant lui, autour de lui. Le tratra docteur en droit canon était je m'en souviens tout enorgueilli d'être invité par l'histoire à se prononcer sur la validité de tel sous-synode, sur la teneur, sur la valeur hors-cathèdre de tel clin d'œil... Il était gras, et lent, il allait de plus en plus vers le gras et le lent, champion des bonnes manières à table, aux solennels dîners de très sérieux manieurs de dînette, il étonnait les convives grosses dames par sa vertu de patience, d'obéissance, il devait l'emporter c'était certain, au nom de l'avenir de l'intelligence, lui le très savant, très lent, très tratra prélat.
Ce tratra directeur d'école par exemple "ne voyait pas le problème" d'affubler son établissement d'une équipe pastorale entièrement africaine. En apparence Monsieur le Directeur restaurait hardiment l'enseignement chrétien exigeant, viril. En réalité la jeunesse européenne sous sa responsabilité apprenait donc en toute confiance à s'agenouiller devant des Noirs et à ouvrir la bouche, et monsieur le directeur n'y voyait nulle faute, ceci malgré 50 ans d'invasion, agression, colonisation, après 40 de métissage industriel sous propagande de guerre, après 30 ans de pornographie ciblée, après 30 ans de hagra sur les babtous, ceci en pleine affaire BLM, mais non aucun outrage ne pouvait éveiller de sursaut vitaliste chez ce membre sec de la confrérie des bûches.
Les jeunes filles se précipitent sur le voile à cause du néant catastrophique du "vêtement chretien". N'avez-vous pas compris, ne frequentez-vous donc jamais de filles pour déceler comme leur être est en demande inverse de ce que prescrit la propagande, en demande d'appartenance exclusive, de signes d'appartenance, d'un très simple code du vêtement, code de conduite du "savoir où aller" et que le libéral "fais comme tu veux" les précipite dans d'autres signes, d'autres appartenances? Négligences catastrophiques en période d'invasion, d'une massive invasion elle absolument conservatrice, fanatique, hiératique.
Ces bataillons qui ont gobé par consommation d'écran toutes les couleuvres vont venir affadir ce qui restait de pureté dans ce petit pèlerinage et brailler "chantent les sardines" sur des zones d'étalement urbain, entre les turbines à vent et les antennes. Il y a seulement 15 ans ces lieux étaient encore les "océans de blé qu'a décrit Charles Péguy, une Beauce pour laquelle ces ouvriers de la 25e heure n'ont aucune sensibilité. Ils ne savent pas, ils peuvent pas.
Le respect du culte mais le mépris du sacré. Habillés "venez comme vous êtes".
Le sens du combat c'est la continuité du peuple Français de souche. Il suppose l'honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencé lorsque les FDS ont rejeté ces protections de leur identité par esprit de répulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d'arriération orientale.
La putification tranquille n'est pas européenne mais anti-européenne et mise en place comme telle, c'est du miel attracteur de mouches, excitateur d'agressions, pour le pillage d'un peuple qui ne comprend rien parce qu'il persiste à vivre envahi aussi libéralement que lorsqu'il vivait libre.
Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisés, de la même race que les filles regardées, et sur un territoire libre.
Il y a davantage que l'honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire c'est l'honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l'honneur du Peuple c'est-à-dire la continuité incorrompue des générations du Peuple dans le temps.
"La paix c'est la tranquillité de l'ordre". La première condition de la minceur c'est la diète. La première condition de la paix c'est la juste hiérarchie. Dans la vraie tradition seuls quelques hommes ont la personnalité juridique, en général par mandat impératif sanctionné d'exil en cas de défaillance.
"La guerre spirituelle"! Propice trouvaille de nos comtesses de l'impossible qui ne tiennent pas la faim deux journées de suite. Et ce serait devant d'aussi grossiers mensonges vivants qu'il faudrait s'écraser ? Mais n'importe quelle Didia Clara, fille de patricien, vestale "païenne" vivait avec cent fois plus de vertu, de pudeur, de sens de l'honneur communautaire, de conscience de sa race que toutes les solennelles dondons de paroisse de France et d'Europe réunies.
Les jeunes Français chrétiens idéalistes, privés de leur alter-égale, se jettent dans le séminaire alors qu'il est beaucoup plus noble et sacrificiel par les temps qui courent de devenir père de famille de 12 enfants.
Et nous n'aimons pas la manière cléricale actuelle. Ce n'est pas la religiosité pépère du mythique abbé de Torcy, le réconfortant "ça va aller" du curé de campagne aguerri et taiseux très au courant de la condition humaine et notamment de la masculine. C'est l''estomac inquiet d'Ambricourt qui ne conçoit de pureté que par souffrance "rédemptrice" pendant que l'invasion décontractée se goberge sur ses scrupules, c'est le pathos efféminé, émotionnel des talas cocufiés, contractés, heurtés, remplis de bibelots. Insensibles aux notions de circulation fluide des ondes ils sont des aliénés de la Beauté, des étrangers aux choses de l'intuition. Ils font des sermons quand il faut faire des enfants.
Leurs prises de parole inopportunes tombent mal à propos, gaffes non sues de l'incongru faiblard "chef" qui ne sait pas gérer, qui veut gérer, qui veut être "respecté", l'homme efféminé. Amenuisé il a joué de sa faiblesse comme d'une dispense "à titre très exceptionnel" pour monter dans les grades puis une fois parvenu se conduit en tyran. Cela très analogue avec le modus operandi de certains envahisseurs, qui ne sont aujourd'hui forts que de notre pitié d'hier et se croient arrivés par eux-même. Ainsi du Trocadéro. Ainsi des terrains de foot.
Dernières choses. "Les Américains ceci, les Américains cela" disent-ils... l'Amérique ils n'y sont jamais allé. D'abord une seule paroisse américaine recèle dix fois plus de saints inconnus que tous nos crasseux palabreurs ceinture noire de casuistique. Et puis d'une manière éclatante, irréfutable, les catholiques américains sont les plus conséquents, les mieux éduqués, les mieux habillés, ils engendrent les familles les plus jolies, les plus proprettes, les plus capables de l'Eglise universelle. Cherchez-vous un modèle de société, une théologie du vêtement, une ingénierie sociale catholique qui ait connu quelques succès, une éducation du caractère qui sache former des Chrétiens forts et des Chrétiennes gracieuses ? Cherchez en Amérique, lieu des erreurs à éviter certes, mais aussi des exemples régénérants.
La religion est le véhicule d'un peuple à travers le temps. Un peuple a donc un intérêt à garder sa religion. Les vertus sont invisibles, les formes sont visibles, ensemble elles garantissent la solidité du véhicule à travers le temps. La religion relie la créature à son créateur et propose d'atteindre un idéal céleste par un idéal terrestre.
Les hommes peuvent bien se faire autant qu'ils le veulent des prédicateurs érudits, des exégètes, des docteurs, des "hommes de science", des savants, des frères prêcheurs... Les hommes peuvent s'agiter autant qu'ils le veulent, s'ils sont célibataires le véhicule n'avance pas. Seule l'union avec une femme permet au véhicule de traverser le temps, par la naissance des enfants. C'est cela qui a aiguillé certains théologiens vers une comparaison de la rencontre de l'homme et de Dieu avec la rencontre de la femme et de l'homme: en somme l'Alliance c'est le mariage monogame et monothéiste, la femme lorsqu'elle est la bonne c'est Dieu puisqu'elle vous choisit, vous sauve, qu'elle connaît vos secrets, que vous travaillez pour elle, qu'elle vous juge, et que par la maternité elle vous ressuscite.
Mais trêve d'hypothèses romantiques. En société multiculturelle, la "guerre des berceaux" est le vrai nom de la société, guerre dont l'issue repose sur l'ingénierie sociale que développe telle ou telle religion et l'on sait depuis les années 60 libanaises que la religion chrétienne entretient dans ce domaine une légèreté catastrophique : chasteté des hommes et liberté des femmes, indifférence dévorée par l'athéisme et le sunnisme, manipulée par le talmudisme, massacrée par la loge, la fécondité chrétienne parvenait bientôt à peine au renouvellement des générations. L'accès à la bourgeoisie qui suppose une prééminence de la carrière sur la famille achevait de tout détruire.
Les enfants appartiennent aux seuls pères. Ils sont portés par les mères, confiés aux mères, parfois élevés en partie par elles mais n'appartiennent ni à l'Etat ni à la mère, ni aux tribunaux, ni aux franc-maçons, ils appartiennent aux pères seuls jusqu'à leur majorité.
Nous aimons au suprême la beauté physique, l'excellence de la créature comme indice de l'excellence du créateur, nous savons la reconnaître certes, certes. Mais cette beauté physique est pour nous c'est à dire que monsieur Durand épouse mademoiselle Dupuis, qu'il n'y a pas de "marché ouvert" au tout-venant, pas de rencontre laissée au hasard de prédations externes et de libéral haussement d'épaules alors que c'est le point le plus capital d'une vie dans la chaîne des vies dans le temps. Et pour que monsieur Durand épouse à 18 ans mademoiselle Dupuis et lui fasse 20 enfants nous ne reculons devant aucun moyen mais les prenons tous, surtout ceux qui font sursauter nos "cathos" tranquilles : zéro écran, vêture de mormon pour les filles et régime de spartiate pour les garçons, habitat modèle Orania et enseignement modèle Martinerie multiplié par internat de Sarlat 1920. Garde absolue du langage, cours de dialectique, de langues étrangères, de lutte et de boxe, d'athlétisme, de bricolage et d'esthétique fonctionnelle. Les enfants aiment énormément l'éducation exigeante mais pour cela il faut les débarrasser de leurs catastrophiques mères. Nos plus beaux souvenirs de vacances enfant? Le scoutisme loin de tout sur les routes et par les champs, en France.
PS: Autre immense lacune de la cléricature en temps d'invasion: qu'est-ce que la race? Qu'est-ce que la race blanche surtout, et d'où vient-elle ? Le caractère récessif des gènes clairs est-il une théophanie des dogmes du péché originel et de l'immaculée conception? Quels sont les droits particuliers des Blancs notamment français au sein d'une Église qu'ils ont plus que largement contribué à bâtir ?
#Charles Péguy#Chartres#Pélérinage#Pilgrimage#Pilgrims#Laurent Ozon#Julien Langella#Patrick Buisson#Alain Soral#Zentropa#Infanteriesauvage#scout#scouts#Academia Christiana#France
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La nouvelle armée française qu'à proposé le chef d'état-major particulier du président de la République, depuis le 1er mai 2023, Fabien Mandon
En plein exercices de corps à corps. C'est Attal qui le dit confirmé part EM
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Aujourd'hui, c'est la Journée Internationale de la Visibilité Trans, et il est plus que jamais important de montrer qu'on existe. Parce que à côté, les attaques contres nous et nos droits à vivre dignement, voir à vivre tout court se multiplient. Beaucoup d'état à travers le monde prennent des mesures simplement génocidaires envers nous. Ce mois ci, une proposition de loi a été déposée en France voulant interdire, entre autres, les bloqueurs de puberté pour les personnes trans mineures, c'est à dire les forcer à traverser des modifications de leur corps qu'iel ne veulent pas, dont certaines sont difficilement réversibles plus tard. Cette mesure serait d'une violence extrême, et aurait pour conséquence de maintenir énormément de personnes dans la dépression avec un risque suicidaire lorsque simplement les aider à être iel-même éviterais cela. Ce n'est simplement pas acceptable. Mais aujourd'hui, il s'agit surtout de monter qu'on est là, qu'on existe, qu'être nous-même est une joie, et qu'on ne peut pas nous effacer.
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Ezran et Janai, leurs responsabilités en tant que seigneur mais aussi celui de leurs royaumes (Ezran and Janai, their responsibilities as rulers but also that of their kingdom)
A la base, je comptais écrire cette analyse après la saison 6. Mais au final, je me suis dit autant la faire maintenant. Ezran est un personnage connu pour son pacifisme voulant résoudre les choses autrement par la violence. Dans les premières saisons, son développement a été de comprendre quel était son rôle et ce qu'il devrait faire en tant que roi. Bien que dans la saison 3, la cour semblait le ménager et Kasif qui le voit comme un enfant que justement un roi. Et justement sa situation m'a fait un peu penser à celle d'Amaya. Au tout début, Janai essaie de comprendre ce qui s'est passé pour son beau frère. Jusqu'à ce qu'elle comprenne que c'est Viren qui aurait orchestré le meurtre de son roi (Bien que dans son cauchemar, ça laisse supposer qu'il était témoin au moment où il a découvert le corps malgré le coup d'état mais à voir pour la suite). Amaya essaie justement d'avoir un semblant de contrôle avec Gren, son fidèle partenaire dans l'armée, jusqu'à ce que Viren l'enferme.
Tout comme Amaya, Ezran a essayé de porter sa parole mais au final à part Opeli et quelques uns, ça semble tomber dans l'oreille d'un sourd. Et à la frontière, elle sent que le contrôle de la situation lui échappe. Et quand celle ci affronte Janai en condamnant la frontière, elle se rend, se sacrifiant pour son royaume. Ezran a senti que la situation commençait à lui échapper. Et personne ne semblait l'écouter tout comme Viren n'écoutait pas Amaya. C'est pour ça que justement il rend sa couronne et se sacrifie pour éviter davantage de morts.
D'ailleurs j'aimerai souligner quelque chose c'est qu'Ezran a beau parler de ce que peuvent ressentir les autres et est attentif les concernant. Mais je le trouve peu ouvert émotionnellement parlant. Je veux dire lorsqu'il apprend la mort de son père, il comprend qu'il est le dernier à apprendre la nouvelle. Et du coup, il s'en va pour réfléchir à tout ça et retrouve Claudia pour parler de tout ça. Claudia qui justement parle de sa mère et Ezran qui parle de faire ce qui est juste même si ça fait mal. D'ailleurs quand Ezran retrouve Callum et Rayla à Xadia, il parle même pas de ce qui lui est arrivé gardant tout ça pour lui ! Ou bien par exemple lorsqu'il fait son discours, il parle de son ressenti mais aussi du deuil de son père. Car dans les premières saisons, il n'a jamais pu le faire correctement. Là ce discours lui permet justement d'en parler et de se soulager. Bien que je pense qu'il reste encore un ressenti enfouie que justement Ezran préfère garder pour lui comme on a pu le voir dans l'histoire courte où il écrase la flèche concernant l'assassinat d'Harrow. Il est fort probable qu'Ezran intériorise pas mal de chose tout comme son frère Callum ! Comme par exemple quand il voit l'arc de Runaan et tu sens qu'il va pas bien !
Quand à Janai, c'était une soldate et la soeur de la reine du royaume de Lux Aurea. Et a aussi perdu un membre de sa famille lors de la chute de son royaume, tentant de le reconquérir en vain. Ne leur permettant que de construire un camp de fortune. Dans la saison 4, on sent que Janai se questionne sur la marche à faire sans compter son frère qui s'oppose à lui et qui était un peu son confident quand elle faisait son deuil de sa défunte soeur ainsi que son frère. En revanche, ils avaient des visions différentes pour leur royaume, Janai pensait à l'avenir même si elle serait pas là. Au moins la future génération sera protégé grâce à la graine. Or Karim ne pourra pas le voir et je pense pas que ce soit uniquement par arrogance qu'il tourne le dos à sa soeur. Je pensais qu'il souciait sincèrement du sort de son peuple et on a vu dans l'histoire courte comment la reconquête de Lux Aurea l'a affecté, ayant perdu son ami.
Donc bien que Karim est plus rattaché à l'histoire et aux traditions. Janai se sent tiraillée et ne sait plus quoi faire. Ça devait être plus simple quand elle était juste qu'une soldate mais elle peut plus être que ça désormais. Et c'est justement Amaya qui lui fait comprendre qu'elle peut être les deux malgré tout. D'ailleurs quand il a fallu rendre le verdict concernant Lucia, elle trouve la "punition" nécessaire pour justement éviter la condamnation à mort. S'éloignant justement de l'histoire mais aussi des traditions que Karim accorde autant d'importance ! Et c'est justement dans sa confrontation avec elle, qu'elle affirme sa résolution en tant que reine, ne se sentant plus tiraillée désormais !
Ezran en voyageant, comprend justement qu'il doit être capable de s'adapter car justement son rôle de roi signifie qu'il devrait rencontrer différentes personnes avec différentes personnalités, traits et ainsi de suite. Mais aussi comment les convaincre pour qu'ils puissent être à sa faveur ! Comme on a pu le voir quand il a dialogué avec Rex Igneous, Domina Profundis voir même Zubeia. Et on voit que justement ça lui pèse se confiant à Soren sur ses responsabilités en tant que roi. L'échange entre Finnegrin et Ezran est intéressant car je trouve que Finnegrin ne le voit pas spécialement en tant que roi, ne voyant pas la valeur de sa couronne ! Et justement quand ce dernier lui propose Bait en échange de son bateau pour se rendre à la mer des bannis ! Bien sûr qu'il refuse mais justement quand il voit les trois bébés battrapât, on voit les conséquences de cet acte. Et ça va justement de pair avec le fait que les personnages veulent justement sauver le monde autour d'eux, peu importe qu'il soit humain, elfe ou bien animal.
Il voit que son frère s'est fait passé à tabac sans compter que Finnegrin intimide le groupe. Bien qu'au final, ça marche pas trop car ils sont littéralement un "ride or die" ce groupe ! Il était prêt à sacrifier sa main pour ça que je trouve qu'on oublie un peu trop souvent ! Et même à la fin, il ne dit rien à ce sujet donc y a de fortes qu'encore une fois il intériorise à nouveau. Mais y a des chances qu'il culpabilise encore sur le fait que son entourage a souffert à cause de son acte ! Quand il voit Claudia, elle les manipule en parlant de ce qu'ils auraient pu faire pour Harrow. Et je pense que ça leur a traversé l'esprit, peut être qu'Ezran aurait été tenté ? Mais je pense pas qu'il serait allé jusqu'au bout, je le vois pas forcément comme quelqu'un de moralement douteux. Or si justement, on lui offre la possibilité de revoir son père, je pense qu'il hésiterait un peu.
Car justement son deuil n'a pas pu se faire correctement dans les trois premières saisons. Du coup il est encore en période en de deuil ! Et justement quand ça marche pas, Claudia le saisit pour l'étouffer pour lui faire cracher le morceau. Et c'est triste quand on y pense car Claudia était justement la première personne auquel il s'est ouvert durant la série ! Et justement c'est Ezran qui a souhaité qu'elle et son frère soient libérés. Car il ne voulait pas qu'ils soient responsables des actes de leur père ! Et Ezran bien que je pense, la comprend dans un sens, ne peut pas lui donner ce qu'elle souhaite ! Libérer Aaravos, mettrait en puéril Xadia ainsi que la pentarchie et en tant que roi, il peut pas se le permettre !
Janai quand à elle, parle de son ressenti envers Amaya mais s'ouvre peu je trouve aux autres. Montrant que peut être elle aussi, elle a des choses qu'elle ne dira jamais pas même Amaya. Elle a essayé de garder son peuple en sécurité en donnant la graine à Miyana. Mais qui au final, se fait trahir, sans compter que malgré avoir affronté Kim'Dael, elle se fait capturée ! Jusqu'à ce qu'elle se fasse sauver par Amaya lui permettant quand même d'échanger quelques mots avec son frère avant de retourner dans son camp de fortune. D'ailleurs elle a vu dans son cauchemar que justement Aaravos l'a avalé. Bien que je me demande comment elle a pu avoir ce rêve ? Car elle n'était pas dans la tour à ce moment là ? Est ce que ce serait un tour d'Aaravos ? Ou bien c'est la chute de son royaume qui lui fait croire à des choses auxquels elle n'était pas présente !
Sinon j'aimerai aussi parler de la capacité d'Ezran à comprendre les animaux. Car je vois personne vraiment en parler, mais autant Bait et Zym, je comprends. Bait, il le connaît depuis gamin, Zym, c'est lui qu'il a vu en premier. Mais les autres animaux ?! On m'explique comment il arrive justement à les comprendre ? Je veux dire même Harrow semblait avoir quelque chose de similaire avec Pip. Je sais pas, je veux dire y a que moi qui me pose des questions ?! Est ce que du coup la Reine Orpheline était capable de faire pareil ? J'ai vraiment envie de savoir !
Janai et Ezran sont deux seigneurs qui essaient de protéger leur peuple et bien qu'il y a des choses qu'ils ne diront probablement jamais ! Et bien qu'ils peuvent être tenté par d'autre choix, ils finissent par trouver leur propre chemin. Je trouve que le développement d'Ezran est moins dans ta face contrairement à certains perso et que du coup il y a quand même une nuance et une complexité malgré tout, tout comme Janai !
Originally, I was going to write this analysis after season 6, but in the end, I figured I might as well do it now. Ezran is a character known for his pacifism, wanting to solve things differently through violence. In the early seasons, his development was to understand what his role was and what he should do as king. Although in season 3, the court seemed to go easy on him and Kasif, who sees him as a child rather than a king. And his situation reminded me a little of Amaya's. At the very beginning, Janai tries to understand what has happened to her brother-in-law. Until she realizes that it was Viren who had orchestrated her king's murder (although in his nightmare, this suggests that he was a witness when he discovered the body, despite the coup attempt, but that remains to be determined). Amaya is trying to maintain some semblance of control with Gren, his loyal partner in the army, until Viren locks him up.
Like Amaya, Ezran has tried to get his point across, but in the end, apart from Opeli and a few others, it seems to fall on deaf ears. And on the frontier, she feels that control of the situation is slipping away and when she confronts Janai, condemning the frontier. She surrenders, sacrificing herself for her kingdom. Ezran sensed that the situation was getting out of hand. And nobody seemed to be listening to him, just as Viren wasn't listening to Amaya. That's why he gave up his crown and sacrificed himself to avoid further death.
By the way, I'd like to point out that Ezran is very good at talking about other people's feelings and being attentive to them. But I don't find Ezran very emotionally open. I mean, when he learns of his father's death, he understands that he's the last to hear the news. So he goes off to think about it, and then meets up with Claudia to talk things over. Claudia talks about her mother, and Ezran talks about doing the right thing, even if it hurts. Moreover, when Ezran meets Callum and Rayla in Xadia, he doesn't even talk about what happened to him, keeping it all to himself! Or, for example, when he gives his speech, he talks about his feelings, but also about mourning his father. In the early seasons, he was never able to do this properly. This speech allows him to talk about it, and to ease his pain. Although I think there's still a buried feeling that Ezran prefers to keep to himself, as we saw in the short story where he crushes the arrow concerning Harrow's murder. It's highly likely that Ezran internalizes a lot of things, just like his brother Callum! Like, for example, when he sees Runaan's bow and you can tell he's not well!
As for Janai, she was a soldier and the sister of the queen of the Lux Aurea kingdom. She also lost a member of her family when her kingdom fell, and tried in vain to reclaim it. All they could do was build a camp. In season 4, we sense that Janai is questioning the right course of action, not to mention his opposing brother, who was something of a confidant when she was mourning her late sister, as well as his brother. On the other hand, they had different visions for their kingdom, and Janai was thinking of the future, even if she wouldn't be there. At least the next generation would be protected by the seed. But Karim won't be able to see that, and I don't think he's turning his back on his sister out of arrogance. I thought he was genuinely concerned about the fate of his people and we saw in the short story how the reconquest of Lux Aurea affected him, having lost his friend.
So although Karim is more attached to history and tradition. Janai feels torn and doesn't know what to do. It must have been easier when she was just a soldier, but she can't be just that anymore. And it's Amaya who makes her realize that she can be both in spite of everything. Indeed, when it came to Lucia's verdict, she found the "punishment" necessary to avoid the death sentence. This is a far cry from the history and traditions that Karim values so highly! And it's precisely in her confrontation with her that she asserts her resolve as queen, no longer feeling torn!
As Ezran travels, he realizes that he needs to be able to adapt, because his role as king means that he will have to meet different people with different personalities, traits and so on. But also how to convince them to be on his side! As we saw when he spoke with Rex Igneous, Domina Profundis and even Zubeia. And we can see that it's weighing heavily on him to confide in Soren about his responsibilities as king. The exchange between Finnegrin and Ezran is interesting because I find that Finnegrin doesn't really see him as a king, not seeing the value of his crown! And precisely when the latter offers him Bait in exchange for his boat to the Sea of the Castouts! Of course he refuses, but when he sees the three glow toad babies, we see the consequences of his action. And this goes along with the fact that the characters want to save the world around them, be it human, elf or animal.
He sees that his brother has been beaten up, not to mention that Finnegrin is intimidating the band. Although, in the end, it doesn't really work, as they're literally a "ride or die" group! He was ready to sacrifice his hand for that, which I think we forget a little too often! And even at the end, he doesn't say anything about it, so chances are he's internalizing again. But chances are, he'll still feel guilty about the fact that those around him have suffered because of his act! When he sees Claudia, she manipulates them by talking about what they could have done for Harrow. And I think it crossed their minds, maybe Ezran would have been tempted? But I don't think he'd have gone through with it, I don't necessarily see him as morally dubious. But if he were offered the chance to see his father again, I think he'd be a little hesitant. It's precisely because he wasn't able to grieve properly in the first three seasons.
So he's still in mourning! And when that doesn't work, Claudia grabs him and smothers him to get him to spill the beans. And it's sad when you think about it, because Claudia was precisely the first person he opened up to during the series! And it was Ezran who wanted her and her brother released. Because he didn't want them to be responsible for their father's actions! And Ezran, although I think he understands her in a way, can't give her what she wants! Freeing Aaravos would put Xadia and the pentarchy in a state of chaos, and as king, he can't afford that!
As for Janai, she talks about her feelings towards Amaya, but doesn't open up much to others. Showing that maybe she, too, has things she'll never tell even Amaya. She tried to keep her people safe by giving the seed to Miyana. But in the end, she's betrayed, not to mention captured despite having confronted Kim'Dael! Until Amaya rescued her, allowing her to exchange a few words with her brother before returning to her camp. By the way, she saw in her nightmare that Aaravos had swallowed her. Although I wonder how she could have had that dream? Because she wasn't in the tower at the time? Could it be Aaravos's trick? Or is it the fall of her kingdom making her believe in things she wasn't present for?
I'd also like to talk about Ezran's ability to understand animals. Because I don't see anyone really talking about it, but as for Bait and Zym, I understand. Bait he's known since he was a kid, Zym he was the first one to see. But what about the other animals? Can you explain to me how he manages to understand them? I mean, even Harrow seemed to have something in common with Pip. I don't know, I mean, Am I the only one who's wondering?! Was the Orphan Queen able to do the same? I really want to know!
Janai and Ezran are two lords trying to protect their people, and while there are things they'll probably never say! And although they may be tempted by other choices, they eventually find their own way. I think Ezran's development is less in-your-face than some of the other characters, so there's still a nuance and complexity, just like Janai!
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Aujourd'hui, c'est la Journée Internationale de la Visibilité Trans, et il est plus que jamais important de montrer qu'on existe. Parce que à côté, les attaques contres nous et nos droits à vivre dignement, voir à vivre tout court se multiplient. Beaucoup d'état à travers le monde prennent des mesures simplement génocidaires envers nous. Ce mois ci, une proposition de loi a été déposée en France voulant interdire, entre autres, les bloqueurs de puberté pour les personnes trans mineures, c'est à dire les forcer à traverser des modifications de leur corps qu'iel ne veulent pas, dont certaines sont difficilement réversibles plus tard. Cette mesure serait d'une violence extrême, et aurait pour conséquence de maintenir énormément de personnes dans la dépression avec un risque suicidaire lorsque simplement les aider à être iel-même éviterais cela. Ce n'est simplement pas acceptable. Mais aujourd'hui, il s'agit surtout de monter qu'on est là, qu'on existe, qu'être nous-même est une joie, et qu'on ne peut pas nous effacer.
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Les Enfants des Vagues
Magie - Hydromancie
Bonus : RESPIRATION SOUS L'EAU : Capacité à respirer sous l'eau, mais aussi à ignorer la pression dans une moindre mesure (maximum de plongée : 40 mètres). Malus : SENSIBILITÉ AUX PHASES LUNAIRES : Capacités magiques et état émotionnel étroitement liés aux cycles de la lune. Par pleine lune, la puissance magique est à son zénith et les émotions sont stables et claires. À la nouvelle lune, la magie est plus faible et ils connaissent des fluctuations émotionnelles.
Palier I - Manipulation des émotions : Capacité à influencer les émotions d'autrui, qu'il s'agisse de les exacerber ou de les calmer. Manipulation de l’eau sous forme liquide : Capacité à contrôler l'eau extérieure, sans changement d'état. Il est impossible de créer des jets d'eau, mais possible d'utiliser la sueur, la salive et les larmes. Fontaine de jouvence : Capacité du corps à ralentir son vieillissement. L'hydromancien.ne ne souffrira pas de problèmes liés à la vieillesse (arthrite, problèmes cardiaques, maladies liées au vieillissement des organes), mais n'est pas à l'abri du temps pour autant.
Palier II - Manipulation de l’eau sous forme solide et gazeuse : Capacité à manipuler la glace et la vapeur d'eau. Il est cependant impossible d'en changer l'état. Charme de l'écume : Capacité à séduire naturellement autrui à l'image des sirènes. La voix devient envoûtante, et leur chant leur permet de manipuler le désir de celleux qui l'entendent. Vague apaisante : Capacité à soigner les blessures superficielles et maladies bénignes. Permet aussi d'apaiser la douleur en cas de blessures ou de maladies plus graves.
Palier III - Contrôle moléculaire de l'eau : Capacité à changer l'état de l'eau, et à changer son pH pour la rendre plus basique ou plus acide. Guérison aquatique : Capacité à soigner les blessures et maladies graves en se plongeant dans une grande étendue d'eau. En fonction de la gravité de la situation, cette capacité peut plus ou moins drainer l'énergie de l'hydromancien.ne, et demander une certaine phase de la lune. Si la cible est sur le point de mourir, la remettre sur pied demande obligatoirement une pleine lune. Marée dévastatrice : Capacité à manipuler de grandes étendues d'eau, ce qui permet de créer d'immenses vagues semblables à de petits tsunamis. Cette capacité permet également de manipuler les averses.
https://www.pinterest.fr/cafetemps/crown-of-serpents/enfants-des-vagues-magie-de-leau/
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Mes lectures : Paroles d'honneur
Titre livre/saga : Paroles d'honneur
Autrices : Leïla Slimani et Laetitia Coryn
Numéro : Unique
Édition : Les Arènes BD
Genre : Documentaire, reportage
Illustration : Laetitia Coryn, Sandra Desmazières
Parution : 2017
Note : 3.5/5
CW/TW : Sexualité, homophobie, racisme, misogynie, sexisme, agressions
Résumé : Rabat, été 2015. Suite à la parution de son livre "Dans le jardin de l'ogre", un roman cru et audacieux qui aborde la thématique de l'addiction sexuelle, Leila Slimani part à la rencontre de ses lectrices marocaines. Face à cette écrivaine franco-maghrébine décomplexée qui aborde la sexualité sans tabou, la parole se libère. Au fil des pages, l'auteur recueille des témoignages intimes déchirants qui révèlent le malaise d'une société hypocrite dans laquelle la femme ne peut être que vierge ou épouse, et où tout ce qui est hors mariage est nié : prostitution, concubinage, homosexualité. Le Code pénal punit toute transgression : un mois à un an de prison pour les relations hétérosexuelles hors mariage, six mois à trois ans de prison pour les relations homosexuelles, un à deux ans de prison pour les adultères. Soumises au mensonge institutionnalisé, ces femmes nous racontent les tragédies intimes qui égrènent leurs vies et celles des femmes qui les entourent : IVG clandestines, viols, lynchages, suicides. Toutes sont tiraillées entre le désir de se libérer de cette tyrannie et la crainte que cette libération n'entraîne l'effondrement des structures traditionnelles. À travers cette BD, il s'agit de faire entendre la réalité complexe d'un pays où l'islam est religion d'État. Et où le droit des femmes passera, avant tout, par la défense de leurs droits sexuels.
Avis
Une BD qui permet de mettre en lumière de nombreux aspects sur la manière dont le patriarcat au Maghreb, et plus particulièrement au Maroc, se manifeste et exerce un pouvoir avec violence (symboliquement, physiquement, socialement) sur les femmes. De multiples dialogues sous la forme de témoignages illustrés mettent en scène le vécu de femmes différentes vivant dans une société misogyne, conservatrice, où culturellement sont ancrés des habitudes nourrissant les oppressions subies par les femmes. Tantôt, nous apprendrons ce que peuvent vivre les femmes face à la (non-) découverte de leur sexualité dans un pays où il est interdit de vivre toute forme de vie sexuelle en dehors du mariage, et où le tabou sur la sexualité des femmes, et la pudeur, sont dominants. Tantôt, on apprendra ce qu'elles peuvent endurer à cause du manque d'expérience et de leur silence, en parlant notamment des avortements, souvent clandestins, de la gestion des IST, etc. Tantôt, il s'agira de s'intéresser au poids de la religion dans une société conservatrice cishétéronormée, et comment l'homophobie peut se manifester (en abordant la place du voile en société, plus particulièrement en public, et l'instrumentalisation du Coran pour justifier ces violences et l'existence du pouvoir patriarcal qui pèse sur les femmes en public comme en privé dans leur vie conjugale). Et, tantôt, sera abordé le sujet de la prostitution qui est dissimulé et qui soulève d'autres questions sur le poids de la société sur les corps des TDS. Deux bémols cependant à noter : d'abord, "les africaines" pour désigner les femmes noires au Maroc, et plus généralement au Maghreb, ça semble négrophobe dans la mesure où l'Afrique est un continent, pas une population, sans parler du fait qu'être noire et marocaine c'est possible. Ensuite, parler de schizophrénie pour parler des comportements paradoxaux que l'on doit adopter pour survivre, donc adopter différentes attitudes, c'est un peu usant. Utiliser des troubles pour parler de ces situations que l'on est obligé-e de vivre parce que racisme, c'est psychophobe en plus de contribuer aux clichés sur eux. Des femmes imams féministes sont citées à la fin de la BD si ça vous intéresse, donc n'hésitez pas à aller checker les dernières pages.
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Le cœur aux mille et unes couleurs
Un tourbillon d'émotions, toutes plus contradictoires les unes que les autres. Du bleu, du bleu que tu t'efforces de cacher. Le bleu de tes peurs, le bleu de ses coups contre ton corps. Un bleu de plusieurs nuances, plus ou moins clair en fonction de ta confiance, de ton assurance, de ta volonté de cacher cette couleur qui te fait honte. Le même bleu que tes yeux, Abby. Je le vois, quand tu sursautes. Quand l'un des petits fait un geste brusque près de toi, quand tu crois qu'on va te laisser, qu'on va t'abandonner. Qu'on va te jeter comme une vieille chaussette, lorsqu'on se rendra compte que tu ne nous sers à rien. Tu es beaucoup de choses, Abigail Filch, mais pour cette peur, pour penser de telles conneries, tu es surtout brisée, si tu veux mon avis. Je ne suis pas comme ma mère. Je ne lis pas tes sentiments comme elle, je ne sais pas faire ce genre de trucs. Je ne peux pas comprendre tes réactions d'un claquement de doigts, en fermant les yeux. Je suis putain d'impuissant, et ça me tue, tu ne peux pas savoir à quel point. Quand je te surprends en train de crier, prise d'un horrible cauchemar au milieu de la nuit, et que je ne sais pas quoi faire. Je panique à chaque fois, je sens mon cœur battre à tout rompre. Entrer ? Voir ce qui se passe ? Te prendre dans mes bras ? Et si ça se passait mal ? Que tu te renfermais encore plus, que tu sois gênée que je sois au courant ? Je ne veux pas que tu fugues. Alors... alors, je vais prévenir ma mère. Elle sait quoi faire. Elle entre dans ta chambre, te prend dans ses bras, te berce. Et le bleu laisse place au rouge. Un rouge d'un nombre étourdissant de teintures. Le rouge de la colère, la haine, la volonté de te venger. Tu veux le tuer, le massacrer, le détruire ! Oh oui, moi aussi, je veux le mettre hors d'état de te nuire. Mais ton rouge se mélange au bleu, et le bleu gagne en intensité, en brillance. Tu as peur de nous perdre par sa faute, aveuglée par ta vengeance. Et d'eux naît le mauve, ce mauve qui reflète tous tes secrets, tout ce que tu tiens à nous cacher. Tu en as honte, tout comme tu as honte des bleus qui parsèment ta peau pâle. Abigail Filch, tu es malheureuse, apeurée, haineuse. Tu es putain de brisée, Abby !
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Résumé sur le TDI
Ceci est une recopie complète d'un long message discord sur le thème du tdi / trouble dissociatif de l'identité.
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Le TDI, ou trouble dissociative de l'identité, est un trouble mentale qui fait partie de la catégorie des troubles dissociatifs. Ces troubles affectes la dissociation (le fait de se sentir hors de soi, de se voir à la 3eme personne, en créant une déconnection affective et émotionnelle avec ce qui se passe), que ca sois sur le fréquence, leur trigger, ou leur durée. Dans le cas du TDI, la dissociation entraine un changement d'état émotionnelle avec amnésie et altération de l'identité (on peut aussi appeler ça alter.). Les états émotionnelles sont un peux comme des kits de réactions. On en a tous et on les gères plus ou moins, que ca sois quand on les fabriques ou quand on les utilises. Par exemple, dans les troubles de la personnalités, ces kits sont particulièrement manichéen et toxiques, changeant parfois brusquement de façon impulsives. Cependant, contrairement au TDI, ces kits sont tous liés avec l'identité (les valeurs, les morales de bases et les souvenirs) donc la dissociation est peu marquée et plus "gérable". Le TDI a plusieurs symptômes dont les principaux sont : l'amnésie, l'apparition d'alters (deux ou plus) ayant des états émotionnelles distinct et séparé des autres, des pensées suicidaires ou d'automutilation, une sensation de perte de contrôle, et beaucoup de symptômes comorbides à la dépression et à l'anxiété. Les critères de diagnostiques les plus importantes sont liés au traumatismes infantiles. Le TDI n'apparait que chez les sujets ayant vécu des traumatismes ou un traumatisme en particulier lourd avant l'âge où le cerveau finis de structuré l'unification de l'identité, donc environs vers 8 ans. Ce ou ces traumatisme.s doivent impliqué une forme de dissociation extrême.
Note : Il est important de préciser que la dissociation est une réaction au stresse, donc il est normal de dissocier si on vis une période de stresse et que c'est pas forcément un signe de maladie mentale.
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Maintenant, je vais m'attaquer au connerie qu'on dit sur le TDI, surtout sur tiktok.
Déjà, non, il est impossible d'avoir un système TDI endogénique. Le système (l'ensembles des alters) endogénique, selon les Wikipédia sur le TDI, signifie que le système d'alters n'est pas apparut à cause de traumatismes. On vois le problème : ça vas à l'encontre du PRINCIPALE critère de diagnostique. C'est comme si on disais qu'on peut avoir des personnes atteint de dépression alors que celle si est déprimé depuis quelques heures seulement. Bien qu'il est possibles que certains alters ne soient pas créer depuis un traumatisme, si aucun alters n'est traumagénique, alors ce n'est pas un TDI. Je soutiens l'idée d'avoir un système pour aider à cope avec d'autres troubles ou la vie quotidienne, mais ils ne sont pas à confondre avec le TDI.
Ensuite, est t'il possible d'avoir un alters qui soit inspiré d'un personnage de fiction ? Oui et non. Techniquement, ton alter n'est pas ce personnage spécifiquement (ce n'est pas une sorte de réincarnation), mais cet alter copie l'identité "de surface" d'un personnage de fiction afin de pouvoir parler de lui sans galérer à se définir. Je veux dire, imaginez vous réveiller dans un corps que vous connaissiez pas avec des souvenirs que vous identifiez pas, et dans un environnement inconnu, parfois il faut s'attacher a une identité préfabriquée pour évoluer dans le monde. C'est comme une sorte de kin mais utilisé pour ne pas être qu'une feuille blanche.
Et ces histoires de jeunes utilisateurs de tiktok ayant des alters du dream smp ? C'est une variation d'en haut. Mais la on "copie" l'identité d'une personne encore plus de surface. On copie le personnage de "dream", ce qu'il incarne dans ces streams et vidéos, pas Clayton Huff, l'homme derrière la caméra et le skin minecraft.
Et enfin, est ce qu'il existe des cas où les gens ont moins ou pas d'amnésie entre les alters ? Oui mais ce n'est plus le TDI. Il existe deux troubles en tête qui peut créer des sortes d'alters : le OSDD (other specified dissociative dissorder) de type 1 (aussi connu sous le nom de partial dissociative identity dissorder) qui créer une coupure moins forte entre les états émotionnelles, et les troubles de la personnalités où les états émotionnelles ont tous la même identités mais ayant des états complètement différents les un des autres voir opposée au valeures morales de base.
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En résumé : le TDI est un trouble extrêmes intéressant à étudier car elle donne un aperçu de la complexité qu'est ce qu'on appelle "l'identité" et démontre bien à quel point les traumatismes non traités dans l'enfance peut avoir des problèmes conséquents à l'avenir. Malheureusement, comme c'est un problème qu'on peut résumé très difficilement en moins de une minute, les conneries sont facilement propagés en masse sur internet et on finis avec des diagnostiques qui ont même pas eu lieu d'être. Je suis en faveurs de l'autodiagnostique mais si ca amène au gens à répéter des conneries, faudrait moins se concentrer sur des vidéos fait vite fait mais sur de vraies ressources. En sois, je pense que ce trouble permet aussi de rappeler qu'il est important de sourcer ET de se renseigner face à des sujets compliqués. Si vous aviez des questions, je suis ouvert à l'écoute, bonne soirée les loulous !
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Sources : https://endogenicsystems.carrd.co/#what https://multiplicity.fandom.com/wiki/Endogenic https://en.wikipedia.org/wiki/Dissociative_identity_disorder (le dsm V) https://www.healthyplace.com/blogs/dissociativeliving/2018/02/fictional-introjects-in-dissociative-identity-disorder#:~:text=Fictive%20alters%20in%20DID%20form%20to%20serve%20a%20purpose.,form%20to%20disrupt%20the%20system. https://multiplicity.fandom.com/wiki/Fictive
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Le concept d'État n'est possible que chez un être qui, de par sa supériorité interne, cessant d'être une force parmi d'autres de l'humanité, se réalise comme un déterminant de la loi de l'unité et ensuite dans la législation libre, l'idée de l'État comme pouvoir sera construite.
L'unité vers laquelle un tel organisme converge est une vie supérieure qui a une fin en soi, qui ne vit pas pour les besoins de son corps, qui n'est pas créée par le corps, mais l'âme est le principe profond qui soutient également le corps lui-même comme enseigné par Aristote.
Cela signifie : le Leader ne sera pas le simple représentant des inférieurs (thèse démocratique), mais presque comme un centre spirituel de gravité pour le mouvement ordonné des forces individuelles de loyauté et de responsabilité, un égard pour l'intérêt du tout, maintenu sans aucune pression et sans aucune centralisation forcée.
Evola, Le Peuple d'Italie
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HAMAN EST À LA PORTE
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Lettre d'une chrétienne qui a souhaité rester anonyme à un pasteur français- Un appel à la repentance, à la prière et au jeûne.
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Cher frère,
Suite à votre mail sur les élections et les temps mauvais qui sont devant nous, je me permets de vous partager mes pensées.
Ce matin, alors que j'étais dans la recherche de mon Dieu, une profonde contrition m'a saisie
Tandis que Haman, élevé au plus haut rang s'apprête à monter au pouvoir et à prendre des édits pour s'opposer aux lois du Dieu des cieux, -par la généralisation et la propagation des enseignements auprès des petits des pratiques homosexuelles et autres perversités, de les soustraire à l'éducation de leurs parents, d'accroître la politique des avortements, de l'euthanasie, du suicide assisté, et enfin de l'enseignement de l'islam dans les écoles, en plus de la construction accrue des mosquées financée par les communes, et de la création d'un corps d'imams diplômés d'État et donc financés par les fonds publics, et appelés à enseigner l'islam notamment dans les écoles dans le cadre des cours de religions -, les chrétiens semblent impassibles.
Considérant ces élections comme étant les affaires terrestres, beaucoup s'en désintéressent. Ils pensent être à l'abri dans leurs églises avec la liberté de culte garantie pour toujours. Le jour où les terroristes débarqueront dans les églises évangéliques, ils comprendront que nous sommes, bien que non du monde, encore dans le monde.
Lorsque Mardochée a demandé à Esther de faire sa part, et qu'elle a voulu s'en extraire, il lui a répondu : "Penses- tu échapper parce que tu es au palais?" Pensons- nous être pour toujours en sécurité derrière les murs de nos églises, et que seuls les chrétiens du Moyen-Orient sont exposés à la persécution ?
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Concernant la question de l'immigration, les chrétiens lisent de travers la Bible.
L'Ancien Testament nous enseigne à aimer l'étranger et à le protéger, mais à condition qu'il prenne l'Éternel comme son Dieu, et se soumette à ses lois qui régissent toute la vie sociale et communautaire juive, autrement cet étranger devait en être exclu.
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.Les livres d'Exode, de Deutéronome, d'Esdras, de Néhémie, de Josué, abondent en commandements de Dieu à ne pas se mêler avec des peuples étrangers environnants de peur d'être séduits par leurs dieux, et "qu'ils ne soient une épine entre tes yeux". Mais nous, les chrétiens, nous sommes devenus si charitables, plus que ne l'est Dieu Lui-même, et plus sages que Lui, que nous ne voulons pas voir le danger en face.
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Quand dénoncer les avortements, les débauches sexuelles deviendra un délit ou un crime (c'est déjà le cas aujourd'hui), et que bientôt nos enfants et petits-enfants devront apprendre le Coran en cours d'histoire ou de religions pour avoir de bonnes notes, et de réciter les enseignements islamiques, que la charia s'imposera dans certaines régions de France désertées par les Français, à l'instar de Roubaix ou de Marseille, alors nos yeux s'ouvriront peut-être, mais ce sera déjà trop tard.
Je suis affligée de voir nos églises si insouciantes.
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Pas d'appel à l'humiliation, au jeûne collectif pour notre nation. Mais des appels aux soirées jeunes, avec des animations garanties. Haman est à la porte et nous trouvons encore les moyens de nous livrer aux amusements "chrétiens".
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Nos réunions deviennent des réunions spectacles, concerts et théâtres; nous avons besoin de nous divertir.
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Avec l'interdiction de nommer et de dénoncer les péchés, nous prêchons les divertissements dans les programmes à venir.
De toute façon, prêcher sur la contrition de cœur, sur la repentance, sur le retour à la sainteté de Dieu est assimilé à du légalisme, à du religieux.
De tels messages n'attirent pas du monde à l'église. Il faut de l'animation et des divertissements, avec l'étiquette "chrétiens" pour apaiser les consciences et donner une certaine spiritualité.
Je suis outrée en pensant que certains anciens aient pu avaliser des mouvements "chrétiens", tels que "Mad in France".
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Tandis que Dieu nous appelle à la sanctification -qui veut dire se séparer de, se mettre à part -, nous nous lançons corps et âmes dans des divertissements qui devraient nous faire rougir de honte (rap, rock et autres mondanités chrétiennes pour imiter le monde).
Non, ce n'est pas "Christians in France", mais "Fous, cinglés in France". Et nous sommes fiers de porter ces noms ! Fiers de montrer au monde qu'on est aussi fou et insensé qu'eux, et qu'en venant à Christ ils pourront rester dans leur folie, leur mode de vie. Cela permet d'attirer beaucoup de jeunes dans nos églises, mais nullement à Christ.
Tandis que le Maître prêchait l'entrée dans le Royaume de Dieu par la porte étroite, la repentance de Jean-Baptiste, et le renoncement à soi, on fait des soirées-jeunes d'évangélisation où on "s'éclate". Tout pour étouffer la conscience de l'individu sur son besoin de se repentir, de mettre sa vie en règle avec Dieu, de se détourner de sa manière de vivre mondaine.
On lui prêchera cet Évangile mortel: "Dieu t'aime, viens à Lui tel que tu es." Un peu d'eau de baptême, joins-toi à l'église, aux chorales, aux activités... et tu seras sauvé. Ça ne te coûtera rien, et en plus on y passe du bon temps. Le jeune païen séduit viendra, tel qu'il est, et restera tel qu'il est, dans l'église, avec sa carte de membre, et sera persuadé qu'il est sauvé.
Autrefois, nos pères dans la foi nous transmettaient l'Évangile dans les larmes, la prison, dans les persécutions et par leur sang versé. De nos jours, on transmet l'Évangile à travers les spectacles, les jeux. Cela passe mieux.
L'Évangile est donc devenu si bon marché que nous le méprisons tant.
Avons-nous oublié ce commandement du Seigneur:
"Tu ne prendras pas le nom de l'Éternel en vain" - car l'Éternel ne laissera pas impuni celui qui agit ainsi -, pour que nous mettions Son nom saint dans des musiques "chrétiennes" inspirées du monde, pour nous divertir, nous donner de l'animation?
Où est partie la crainte que l'on doit au Seigneur?
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Nous croyons servir le Seigneur de cette façon, par nos louanges ou nos œuvres d'évangélisation.
Mais nous oublions ce principe:
"L'obéissance vaut mieux que le sacrifice", et si je puis le dire autrement, la crainte de Dieu, le respect de Sa sainteté valent mieux que tous nos services pour Lui.
D'abord connaître Sa nature sainte, et ensuite Le servir, Le louer, comme Il demande à l'être.
C'est être renouvelé dans l'intelligence pour discerner ce qui est bon, agréable et parfait à notre Dieu.
Je suis étonnée de voir que les chrétiens de nos jours ne scrutent pas autant la Parole de Dieu pour connaître Ses voies que les chrétiens de Bérée qui le faisaient pour voir si ce qu'on leur enseignait était conforme aux Écritures.
Semblables aux brebis avançant en masse, ils suivent leurs dirigeants et non Jésus le divin Berger. Ils ne connaissent pas Sa voix.
Et cela me fait penser à l'histoire d'Israël.
Sous Samuel, le peuple demanda un roi qui marche devant eux, comme dans les autres nations, qui mène leurs combats. Et cependant l'Éternel était leur Roi.
Mais ils trouvaient pénible de chercher Ses voies, d'écouter Sa voix.
Il leur était plus aisé d'avoir un chef qui marche devant eux. "Écoute la voix du peuple, Samuel, ce n'est pas toi qu'ils rejettent, c'est moi, afin que je ne règne plus sur eux."
Ainsi en est-il du peuple chrétien d'aujourd'hui, suivant, non le Maître crucifié, mais leurs leaders auxquels ils confient leur discernement, leur destinée.
Allons dire aux chrétiens persécutés du Moyen-Orient dans leur détresse : "Nous prions pour vous", en joignant des photos et des vidéos de nos soirées concerts, théâtres danses et vanités chrétiennes hautement spirituelles, et une petite note : Ici, il fait bon vivre!
Faudra-t-il que Dieu envoie la persécution islamique sur notre pays pour épurer l'Église des choses qui la souillent et la distraient de Ses voies ? Car si l'islam arrive au pouvoir en France comme programmé par les socialistes, leurs ennemis et cibles sont d'abord nous, les chrétiens calfeutrés dans nos églises.
Des frères et sœurs vont jeûner ce dimanche matin pour s'humilier devant la face de Dieu, pour implorer Son pardon et Sa grâce pour le pays. Puissent beaucoup entendre l'appel urgent du Seigneur, et se joindre là où ils habitent, seuls ou en groupes, à cette convocation solennelle sur la base de 2 chroniques 7:14, 2 Chroniques 20:3,13.
Cher frère, le ton de cette lettre est sévère, mais je l'ai écrite dans la douleur de mon âme, car c'est la souffrance de Dieu.
Avec mon affection en Christ.
Lettre terminée à 2h00 du matin.
(source sentinelle nehemie.free.fr)
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Hello, your Excellency, your Honor, Madam, Sir,
Decolonization, sovereignty and self-determination of peoples are our commitment: we are at war. As a people colonized by France, Guadeloupe wishes to have the support of as many States as possible to ask the UN for the departure of our colonizer. And put a non-Western force to allow the departure of France with Russia, China or South Africa in the lead: the BRICS.
Resolution 1514 (XV) of the UN General Assembly recognized the right to self-determination of peoples since 1960.
The resolution of October 17, 2024, CPSD/810,
https://press.un.org/fr/2024/cpsd810.doc.htm/ is simple, any government legitimately declared and reparations are recognized.
Which is the case of our government legally declared to the UN.
The Guadeloupean diplomatic corps:
Guadeloupe;
The Ambassadors;
The Consuls:
Request made since 2023 to the UN
https://x.com/corpsdiplomguad?t=5DdczAC_hlY3czPoQ3c9bQ&s=09
https://www.facebook.com/profile.php?id=61567102899592/.
Respectfully yours,
The presidency of Guadeloupe
And
President of the Free Caribbean Alliance
Mr. Gilbert Mathieu EDINVAL
__________________
Bonjour, votre Excellence, votre Honneur, Madame, Monsieur,
La décolonisation, la souveraineté et l'autodétermination des peuples sont notre engagement : nous sommes en guerre. En tant que peuple colonisé par la France,la Guadeloupe souhaite avoir le soutien du plus grand nombre d'États pour demander à l'Onu le départ de notre colonisateur. Et mettre une force non occidentale pour permettre le départ de la France avec en tête la Russie, la Chine ou l'Afrique du Sud : les BRICS.
La résolution 1514 (XV) de l'Assemblée générale de l'ONU reconnaît le droit à l'autodétermination des peuples, dès 1960.
La résolution du 17 octobre 2024, CPSD/810,
https://press.un.org/fr/2024/cpsd810.doc.htm/ est simple, tout gouvernement légitimement déclaré et des réparations sont reconnues.
Ce qui est le cas de notre gouvernement légalement déclaré à l'ONU.
Le corps diplomatique guadeloupéen :
La Guadeloupe ;
Les Ambassadeurs ;
Les Consuls :
Demande faite depuis 2023 à l'ONU
https://x.com/corpsdiplomguad?t=5DdczAC_hlY3czPoQ3c9bQ&s=09
https://www.facebook.com/profile.php?id=61567102899592/.
Respectueusement vôtre,
La présidence de la Guadeloupe
et
Président de l'Alliance de la Caraïbe Libre
Monsieur Gilbert Mathieu EDINVAL
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