#comment détruire un couple
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M avait une histoire avec un Erasmus depuis 3 mois, ils se parlaient h24, se voyaient tout le temps, ils étaient devenus exclusifs alors qu'elle avait trop du mal à lui faire confiance au début, elle doutait de tout mais à chaque fois il la rassurait. Ils savaient qu'ils allaient d'office devoir se quitter à un moment vu qu'il repartirait en France donc ils vivaient leur meilleure vie comme un couple sur le moment mais en sachant que ça se finirait quoi. Le gars était trop mims il disait des trucs du genre "la bonne personne au mauvais moment" ou "on aurait été un trop beau couple". Il était super investi, proposait pleins de sorties, disait souvent qu'il aurait voulu que ce soit sérieux entre eux.
Et LÀ il lui dit qu'il a couché avec une meuf. Moins de 24h après lui avoir envoyé un énième message dans lequel il disait qu'il était content qu'ils agissent comme un couple. Ptdr j'ai tellement la haine. D'où ça vient?? Pourquoi en fait?? Ma pote aurait tout accepté, elle aurait compris s'il avait besoin de profiter pcq elle est pas naïve elle sait que les Erasmus profitent souvent pendant leur voyage et d'ailleurs elle le stoppait tout le temps au début et lui disait de profiter mais c'est LUI qui insistait et qui faisait son beau parleur. Même moi j'étais envieuse de leur relation pcq ils étaient trop mignons ensemble. Qu'est ce qui s'est passé?? C'est quoi son problème à ce putain de mec de merde?? J'ai trop la haine qu'il ait brisé le cœur de ma pote comme ça et j'arrive pas à comprendre comment c'est possible?? Il a pas fait semblant pendant 3 mois quand-même?? On peut être beau parleur pendant autant de temps et ne rien penser de ce qu'on dit?? Il a juste pensé avec sa bite?? Je comprends pas, vraiment y avait volonté de nuire là pcq le nombre de fois où il a dû la rassurer?? COMMENT tu peux agir en sachant que ça peut détruire la personne? Je suis trop énervée
Et comment on peut encore faire confiance après?????
(14/05/2024)
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Le manque d’amour et de liberté a créé la pornographie et la pornographie a démonté le cerveaux des mecs et un peu des femmes aussi depuis longtemps. Lobotomisé par le mythe de la femme objet, la culture du viol, du sadomasochisme et en gros de toutes les rubriques louches des sites spécialisés Faire l’amour ? non ce serait si simple… Non il faut posséder voir détruire l’autre, c’est l’une des déviances de la qualité des relations humaines, surtout être certain, savoir que l’autre souffre plus que nous et au sein du couple c’est encore plus malsain et dans l’acte sexuel carrément pervers. Le manque d’amour se trouve dans toutes les strates des relations, la critique des voisins les commérages les ragots du petit café le matin et c'est pire à l'apéro... les comparaisons, les jérémiades même au sein des familles et c’est bien le pire, on passe son temps à maudire les autres sans s'en rendre compte, à les plomber, même sans le vouloir à les dénigrer , c'est lourd et ça n'apporte rien de bien. Le monde irait bien mieux si on recommencer à se dire sincèrement bonjour le matin en se regardant dans les yeux, le covid en passant à laisser a accentuer la méfiance l'isolement et on a bien besoin de se regrouper et de s'entraider. Au lieu de se souhaiter du bien, on se tire dessus presque rassurés si l’autre va moins bien que nous. Ah si nous pouvions simplement tous nous tirer vers le haut. Tous ensemble on est tellement plus fort. Tellement plus fort lorsque nous sommes unis. Si nous pouvions juste arrêter d’être avide, nous concentrant seulement sur le bien commun, sur comment faire en sorte que l’autre se sente heureux et y trouver notre bonheur. C’est simpliste. In heaven everything is fine
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30 juillet
en rentrant on s'est assises sur le trottoir de la admiralbrücke toujours aussi surpeuplée. on discutait des relations amoureuses et je lui ai parlé de mes envies de vie de vieux couple. elle a dit but the beginnings are the sweetest part! mais tout ce que je vois c'est qu'un couple installé ça a l'air confortable et rassurant et moi c'est ça que j'aime dans la vie. elle m'a demandé si je préfèrerais être en couple avec un mec ou une fille et j'ai dit je m'en fous, de toute façon je choisis pas, ça arrive et puis c'est tout. elle a dit qu'elle pensait que j'étais plus attirée par les filles et j'ai dit ça c'est parce que je me voilais la face. en vérité je crois que j'atteins l'équilibre parfait entre les deux 50/50 bisexuelle + tout ce qui se trouve entre les deux. elle a dit au moins ça te laisse beaucoup de choix, mais ça me laisse surtout beaucoup d'occasions de souffrir le martyre. pendant qu'on discutait de comment je pourrais rencontrer quelqu'un et que je lui disais que je resterais très probablement seule (et vierge) toute ma vie je faisais du eye contact avec un mec un peu chou assis sur un pilier de l'autre côté et je me disais ce serait pas trop drôle que je sois en train de faire du eye contact avec mon futur là sur ce pont tout en discutant de l'improbabilité que je rencontre quelqu'un ?
à part ça j'ai bien travaillé sur mon livre aujourd'hui, j'ai fait un pain de seigle magnifique et excellent beaucoup plus réussi que tous ceux que j'ai fait à la maison depuis dix ans, et ce matin en préparant mon petit-déjeuner dans la cuisine je discutais de couettes d'hiver/couettes d'été avec d. (quand il fait ni trop chaud ni trop froid il met la couette d'été sur le bas et la couette d'hiver sur le haut du corps, ou le contraire, je sais plus) et je me suis dit que j'avais de la chance d'avoir des colocs avec des sujets de conversation d'aussi bonne qualité.
2 août
il a suffi que je dise à maman que je dormais comme un bébé ici pour que je fasse la plus grosse insomnie de tous les temps battant tous les records de cauchemardesque. quand n. est rentrée avec son ami italien vers trois heures je dormais pas encore. j'ai pris mon kindle pour me distraire d'éventuels bruits de sexe et j'ai commencé the death of nature de carolyn merchant parce que je savais pas quoi lire. j'ai commencé à les entendre pendant que je lisais la timeline historique des découvertes scientifiques de la renaissance aux lumières. je trouvais ça un peu drôle aussi qu'elle finisse de nouveau au lit avec le mec avec qui j'avais le plus parlé de la soirée. mais c'est aussi celui qui parlait le mieux anglais. ou qui parlait anglais tout court. il jouait de la batterie dans un groupe de cumbia et on a parlé de garageband et de synthé et de tenir un journal. ils ont tous les deux continué la soirée dans un bar/club près de la spree et moi je suis rentrée à minuit avec les deux argentins. j'étais toute fière de leur ouvrir la porte avec ma clé et de leur montrer où étaient les serviettes dans la salle de bain. eux aussi ils jouaient dans le groupe de cumbia. ils devaient repartir jouer à copenhague le lendemain. le temps que je me remette de mes émotions les voisins du haut ont entrepris de détruire leur appartement, j'avais l'impression que personne dormait ni dans l'appart ni dans l'immeuble tout entier. j'ai vu le jour se lever, j'ai entendu les amis de n. partir, puis les enfants du haut piquer une crise monumentale qui n'en finissait pas, donc j'ai abandonné et je me suis levée.
ils m'ont changé mon banc de place, j'y crois pas. j'avais besoin du calme du cimetière, j'arrivais pas à avoir les idées claires avec le boucan au dessus de ma chambre. en chemin je pensais à ma nouvelle idée de show de cette nuit, au moins cette insomnie de l'enfer m'aura servi à quelque chose. je vais tout simplement raconter mon déménagement à berlin. ce sera une comédie musicale à une seule personne avec des chansons sur ma peur du sexe et du fun et de la fête, de l'alcool, de la drogue et des gens et de just enjoy your funemployment in berlin. hier au téléphone m. m'a dit que je devais me trouver des activités que j'aime. ça m'a fait du bien de la voir avec maman, même si j'avais envie d'y être. je leur ai demandé de me montrer la rue et la canapé mon bébé et je me suis dit et si j'arrivais jamais à vivre autre part qu'à la maison avec maman? et si cette maison était ma destinée? le seul endroit où j'ai pas envie de rentrer à la maison c'est le grau d'agde. même à new york j'avais envie d'être au grau d'agde. m. m'a dit que ça faisait pas longtemps qu'elle commençait à vraiment se sentir chez elle à bruxelles, alors que ça fait quatre ans qu'elle y est. au début elle regardait religieusement les infos aussi, vivant dans l'angoisse que son vpn atteigne la limite gratuite (je croise les doigts pour le mien qui pour le moment remplit parfaitement son job de médiateur entre moi et la france). je lui disais qu'on avait le cerveau bien lessivé quand même. mais c'est aussi une histoire de béquille. trente ans de vie commune avec maman, ça laisse des traces.
hier je les ai regardés en replay parce que j'étais chez dm pour acheter du coton et un savon en revenant de la piscine. j'avais regardé la natation aux jo la veille et comme à chaque fois que je vois des compet de natation à la télé ça me met le feu aux poudres le lendemain je me suis levée à neuf heures et je suis partie en périple à la piscine olympique des jeux de berlin de 1936 à l'autre bout de la ville (une heure de trajet). y avait deux immenses tours avec les anneaux olympiques devant le stade, c'était très impressionnant, en grande partie à cause de l'histoire nazie. j'ai du montrer ma carte d'identité et marcher trois kilomètres jusqu'à la piscine, les vestiaires le long d'un couloir lugubre et décrépi avaient l'air d'époque limite abandonnés, évidemment y avait pas de cabines individuelles et il fallait apporter son propre cadenas pour fermer son casier mais une fille m'a dit que je pouvais prendre mon sac au bord du bassin. et puis j'ai ouvert mon sac et je me suis rendu compte que j'avais oublié mon maillot qui séchait sur l'étendoir dans la salle de bain. je me suis sentie vraiment, vraiment nulle. je suis quand même allée voir la piscine puisque c'était dehors et ça va j'ai pas trop regretté, c'était farci de monde et d'enfants et ça me donnait pas trop envie. en plus les gradins historiques étaient recouverts d'échafaudages. alors pour rentabiliser mes 5,50 euros je suis allée m'assoir sur la pelouse avec la vue sur le vieux stade olympique et je regardais un corbeau en train de saccager un paquet de chips sur la serviette de gens partis se baigner. au début je le faisais fuir mais j'ai abandonné parce qu'il revenait tout le temps et peut être que je préférais le corbeau que les gens en fait. il m'a regardée droit dans les yeux avec le bec ouvert, comme pour me dire tu me fais pas peur, mais moi j'avais un peu peur de lui. dans le métro un garçon adolescent assis en face de moi avec les jambes écartées m'a regardée droit dans les yeux aussi par dessus ses lunettes de playboy de 2002. c'était un regard d'affront presque, sans gêne, masculiniste en herbe. j'avais envie de le gifler. j'en peux tellement plus de voir des mecs dégueus tous les jours. je crois que c'est ça qui me fait le plus chier ici. les hommes sans gêne.
j'ai fait le tour des lieux pour prendre des photos et j'arrêtais pas de croiser les deux mêmes agents de sécurité. j'avais peur qu'ils pensent que je fomentais un coup, j'ai toujours peur que des personnes d'autorité pensent que je suis en train de fomenter quelque chose d'illégal. un des deux a fini par me demander si j'avais besoin d'aide parce qu'il me voyait errer avec l'air confus depuis tout à l'heure (sie laufen da verwirrt hier rum) et je me suis demandé si c'était ça l'image que je renvoyais aux gens: une personne confuse. une fille confuse qui traverse la ville pour aller à la piscine et qui oublie son maillot. je me demande aussi si n. me situe quelque part sur le spectre de l'autisme. n. et j. et d. et toutes les autres personnes que j'ai rencontrées jusqu'à maintenant. un potentiel symptôme que j'ai remarqué hier matin en déjeunant avec elle dans la cuisine: j'étais tellement concentrée sur moi-même et mon périple à la piscine que je lui ai même pas demandé ce qu'elle avait prévu pour sa journée elle.
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Chassez tous les assaillants spirituels et naturels qui veulent briser votre couple et détruire votre foyer.
Elles m’environnaient comme des abeilles; Elles s’éteignent comme un feux d’épines; Au nom de l’Eternel, je les taille en pièces.
Psaumes 118:12
Comment prier pour ce sujet?
Ne laissez pas, le diable détruire votre couple et mettre le feu à votre foyer.
Utilisez l’autorité spirituelle que Dieu vous a conférée en Jésus-Christ pour défendre et protéger votre mariage et votre famille.
Priez avec ferveur pour que les assauts des ténèbres contre votre équilibre conjugal et familial soit repoussés et anéantis au nom de de Jésus! Ne laissez pas le diable faire de votre vie un trophée à son palmarès de discussion de familles.
Prenez autorité sur les esprits qui s’acharnent à vouloir déstabiliser votre couple et vos enfants en créant la zizanie.
Par la prière levez-vous comme un lion vaillant et vigoureux, qui poursuit sa proie avec détermination et succès.
Prophète Karl Auvray
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comment détruire un couple a distance, magie noire pour séparer 1 couple
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RITUEL POUR BRISER UN COUPLE
RITUEL POUR BRISER UN COUPLE
Faire un rituel pour briser un couple du medium marabout d’afrique.est la plus efficace des solutions pour éloigner toute femme de votre époux. Parfois en amour on se trouve confronter à de pire situation qui demande d’agir en faisant recours aux forces mystiques pour obtenir gain de cause. Ce rituel pour séparer deux personne est une sorte de vengeance que vous pouvez avoir sur un union qui ne…
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Comment briser un couple, comment briser la nouvelle relation de mon ex
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L’hôtel particulier (36)
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Chapitre 36 : Couloirs
La curiosité était plus forte. De même, je m’inquiétais de plus en plus au sujet des disparitions momentanées de ma copine. Elle disparaissait et réapparaissait aussi vite, affirmant qu’elle ne bougeait pas. Cela n’avait aucun sens. Alors, dans un premier temps, j’installais des caméras.
Il y en avait une dans la chambre, une autre dans le couloir face à la porte, une dans chaque couloir avec vue sur l’étage. J’en plaçais une dans les escaliers, dans la cuisine, la grande salle, le salon et même dans le grenier. Je voulais comprendre comment nous faisions pour disparaitre l’un de l’autre.
Au début, Tatiana se montra réticente mais après une longue discussion, je réussis à la convaincre. D’ailleurs, elle persista à dire que je disparaissais et non elle. Je me sentis soulagé parce que j’avais l’impression de violer notre intimité même si nous vivions ensemble. Par ailleurs, elle m’aida à les installer. Nous vérifiâmes que tout marcha correctement puis, nous attendîmes la nuit et nous nous couchâmes à l’heure habituelle.
Lorsque je me réveillais, elle avait disparue. Je partis la chercher un peu partout dans les couloirs. J’entendis les enfants jouer, des voix d’adultes rire et discuter pendant une réception dans la grande salle. Une musique venant du piano vint à mes oreilles. Tout parut normal. Je descendis les escaliers, je vis l’homme à l’accueil parler avec un couple masqué qui déposa leur manteau dans l’armoire prévue puis entrer dans la grande salle d’où un brouhaha de rires et de musique sortit violemment. Tatiana était ni dans la cuisine ni ailleurs au rez-de-chaussée.
Dès lors, je remontai les étages cherchant dans les chambres ou les salles d’eau. Elle n’était nulle part. Je commençai à désespérer lorsque je surpris une femme habillée d’une longue robe blanche transparente venir dans ma direction. Elle ne remarqua pas ma présence et sembla venir de ma propre chambre. Grâce à ses cheveux longs et peignés en chignon à la fois haut et relax ainsi qu’à sa démarche, je reconnus de suite mon amie.
Elle avança à travers les couloirs cherchant apparemment quelque-chose. Je préférai ne pas me montrer, la laisser aller où elle se rend habituellement. Je la vis entrer dans une chambre du second étage mais elle ressortit immédiatement. Alors, je préférai rester discret même si j’eus l’impression d’être facilement vu. Toutefois, elle ne regarda jamais vers moi continuant de déambuler à travers les couloirs.
Elle hésita à entrer dans une seconde chambre. Elle s’arrêta devant la porte mais reprit sa promenade en direction du couloir opposé. Je m’éloignai pour me cacher dans les escaliers. Elle passa presque devant moi. Elle portait dans la main gauche une rose bleue. Son visage, sérieux montrait aussi des traits que je n’avais jamais remarqués auparavant. Il y avait quelque-chose de grave dans le pincement de ses lèvres. Il y avait dans ses yeux des sortes d’étincelles en même temps qu’une certaine crainte. Elle entra dans la première chambre du couloir sur ma gauche, celle qui se trouvait juste au-dessus de notre ancienne chambre.
Cette fois, elle ne sortit pas de suite. Elle resta. Les minutes parurent longues, si longues que je pris l’initiative d’entrer. Avec les esprits, je m’attendais à tout. La fête battait son plein dans la grande salle, un couple monta rapidement les escaliers tout en riant. Ils se dirigèrent vers la chambre de Diane. Puis, les enfants revinrent et un cri, celui d’un bébé me glaça le sang.
Cependant, je pris mon courage à deux mains et ouvris la porte en la faisant claquer. La chambre était totalement vide. Il n’y avait rien ! Même pas les meubles que nous avions installés ! Je restai à réfléchir tout en découvrant le silence de la pièce car il n’y eut plus de bruit. La maison avait retrouvé son calme ! Je me dirigeai vers la porte menant à la salle de bain commune à l’autre chambre du couloir lorsqu’une silhouette frôla la porte en traversant le couloir. Tatiana venait d’apparaitre comme par magie !
Elle marchait d’un pas ferme pour aller jusqu’aux escaliers. La tête penchée vers le haut, elle hésita à accéder au grenier. Puis, elle posa son pied droit sur la première marche, le gauche suivit. Elle grimpa lentement, la démarche presque tremblante. Elle tenait toujours la rose bleue dans la main.
Chose étonnante, la robe de chambre translucide n’avait plus la même forme. Elle était plus brillante, montrant le contour de ses formes généreuses qui se dessinaient comme une ombre sur du papier blanc. Je suivis Tatiana discrètement laissant quelques mètres entre nous. Elle ouvrit la porte du grenier et entra dans un curieux labyrinthe de cloisons. En fait, ce dédale ne devait plus exister car je l’avais fait détruire durant les travaux. A la place, le grenier devait être entièrement vide à l’exception de la chambre verte située au fond. Je cherchai à la suivre mais je me rendis compte qu’il existait plusieurs directions dans ce labyrinthe. Quand je pensais être derrière elle, nous étions à l’opposé. Quand je croyais l’avoir perdu, nous étions à quelques pas seulement. Rien n’avait de sens entre ces murs de bois.
Afin de mieux évaluer la situation, j’arrêtais de marcher et écoutais attentivement pour comprendre ce qu’elle faisait. Cependant, je déduis qu’elle-même était perdue. Aussi, je l’appelais, espérant qu’elle réagisse et me rejoigne. Mais elle ne répondit pas à ma voix, continuant de se promener dans le labyrinthe qui parut soudainement plus grand que le grenier.
L’écho de ses pas n’aida pas, bien au contraire ! Par moment, j’avais l’impression qu’elle quittait l’endroit pour redescendre et parfois, elle semblait marcher plus vite jusqu’à courir. Son souffle résonna, elle soupira de temps en temps… à moins que ce soit moi ! En levant la tête, le plafond, la charpente parut plus basse. J’essayai de grimper par-dessus un mur, seulement le pan s’effondra me laissant à terre comme un con au milieu d’un tas de bois pourri. Je me relevai, recherchai un meilleur chemin pour retrouver la porte d’entrée mais je réalisai tourner en rond. Et puis, je vis l’impensable, là où j’avais cassé le mur, il n’y avait rien. Le pan était réparé laissant juste une fissure en forme de cicatrice à peine visible à l’œil nu.
« Surtout ne panique pas, Arthur ! » me dis-je à haute voix. J’appelai encore Tatiana qui ne répondit pas. Elle continuait de marcher puis une porte grinça. Je compris qu’elle venait d’entrer à destination. Cependant, je ne pus la retrouver. Alors, résigné, je décidai de faire demi-tour, enfin, de retrouver la sortie. Je passai des heures à marcher. Exténué, je retrouvais la porte du grenier. Dès lors, je redescendis jusqu’à mon lit où Tatiana dormait dans le plus simple appareil. Une rose bleue gisait à ses pieds.
A son réveil, la première chose que mon amie dit, fut sur ma pseudo-absence. Bien sûr que je n’étais pas dans la chambre puisque je l’avais suivi toute la nuit. Nous ne prîmes pas de petit-déjeuner, nous allumâmes l’ordinateur qui gérait les caméras et regardâmes chacune comme un film à grand spectacle. Elle montra une certaine excitation, persuadée avoir raison. Elle proposa même un pari qui me fit éclater de rire : un an de ménage en tenue de bonne sexy aussi bien pour elle que pour moi. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas sorti une connerie de ce genre.
Après avoir visionné la caméra de la chambre à vitesse rapide, nous nous dévisageâmes car on ne comprenait rien de ce qu’on venait de voir. Nous n’avions pas quitté le lit allant même jusqu’à faire l’amour entre deux et trois heures du matin. Dès lors, nous observâmes les autres caméras et le résultat fut le même nous stupéfiant. Dans les couloirs, personne ! Dans les salles, personne et non plus ailleurs ! Seul le chat se promenait d’un couloir à l’autre levant la tête quelques fois pour fixer la caméra de ses yeux jaunes qui brillaient à cause de la vision nocturne. J’eus aussi l’impression de découvrir un petit sourire narquois sur sa gueule.
- Ce n’est pas possible, dit-elle. Tu es forcément sur une des caméras.
Je restai muet. Je mordis ma lèvre inférieure tout en réfléchissant sur la nuit passée. Je ne pouvais pas l’avoir rêvée ni avoir rêvé les autres nuits. D’ailleurs, la rose bleu qui restait toujours posée sur le lit en était la preuve.
- Est-ce que tu t’es levée, au moins pour aller aux toilettes ? demandai-je.
- Je crois que oui, murmura-t-elle en réfléchissant.
Elle avait cette fâcheuse habitude de se lever pour aller uriner. Je dis « fâcheuse » car elle me réveillait toujours quand nous dormions ensemble avant son retour. Mais rien ne parut non plus sur la caméra de la chambre. A aucun moment, elle n’avait quitté le lit, mais cela ne sembla pas vraiment l’inquiéter.
Alex@r60 – mars 2021
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top 5 de tes pièces de théâtre favs
Pourquoi tu me proposes un top 5 aussi compliqué Sam??? POURQUOI
(Je me suis mise la règle d'une pièce par dramaturge sinon la moitié de la liste allait être du Shakespeare.)
(Tous les résumés viennent de : theatrecontemporain.net)
5. "La vie de Galilée" Bertolt Brecht
Synopsis :
Galilée, au demeurant grand amateur de bonne vie, reprend à son compte l’invention danoise d’une lunette et, du coup, améliore son maigre salaire de professeur. C’est à la cour de Florence qu’il espère imposer ses nouvelles théories : la lune n’a pas de lumière propre ; elle est, comme la terre, éclairée par le soleil. Cependant, l’Inquisition, qui en a saisi les subversives implications, réduit leur auteur au silence.
4. "ADN" Dennis Kelly
Synopsis :
Cela commence comme un fait-divers : Un groupe d'adolescents a l'habitude de se moquer et d'humilier Adam, un camarade de classe. Un jour, ils dérapent. Entraînés les uns les autres par ce qu'ils croient être un jeu, ils finissent par tuer Adam, sans le vouloir vraiment. Cet acte terrible, qui se produit juste avant le début de la pièce, n'est pourtant qu'un point de départ. Ce qui sera ici en jeu, c'est l'après. Après le crime. Après la catastrophe. Comment continuer à vivre ? Comment préserver une amitié scellée dans le sang ? Si en apparence la vie continue comme avant,...
3. "Tristesse animal noir" Anja Hilling
Synopsis :
Tout débute à la manière d’une sitcom. Trois couples pique-niquent autour d’un feu, dans une forêt où ils vont passer la nuit. Ils s’appellent Miranda, Paul, Martin, Jennifer, Oskar et Flynn. Ils sont amis, ont entre 30 et 45 ans, mènent la vie confortable de citadins “branchés”. Ils boivent et les langues se délient. Derrière les platitudes échangées, se font jour les inimitiés, les blessures mal refermées, les ambiguïtés. Soudain un incendie éclate, dévastateur, et la sitcom vire au film catastrophe. Dans le sauve-qui-peut général, la petite Gloria, endormie dans le minibus, meurt brûlée vive. Plus rien ne sera jamais comme avant...
2. "Henry VI et Richard III" (je ne triche pas vraiment c'est une tétralogie) William Shakespeare
Synopsis :
La Première Partie d'Henri VI met en scène (sur fond de guerre de Cent Ans) les débuts du règne d'Henri VI d'Angleterre, d'abord enfant puis jeune homme doux et pieux, mal préparé à faire face à la brutalité des mœurs politiques de son temps. La deuxième partie de la trilogie décrit l'effervescence politique en Angleterre, les conflits entre grands seigneurs, les émeutes populaires de Jack Cade et le mariage malheureux du roi et de Marguerite d'Anjou. Le bon sens, la noblesse et le dévouement sont vaincus par l'orgueil, la ruse et l'avidité. Le dernier volet d’Henry VI voit les vicissitudes de la guerre civile, avec la déposition d'Henry VI, puis sa restauration, et enfin son assassinat par Richard de Gloucester (futur Richard III) dans la tour de Londres.
La guerre des Roses est terminée, et la Maison d'York sort victorieuse. Richard est le frère du roi Edouard IV et George Duke de Clarence, et il est déterminé à prendre le trône et à détruire tout le monde sur son chemin pour s'assurer qu'il reste sécurisé.
1. "Purifiés" Sarah Kane
Synopsis :
Avec "Cleansed-Purifiés", Sarah Kane radicalise son travail sur ce qu'il est si difficile de dire, et presque impossible à montrer : cet obscur faisceau de désirs et de peurs qui s'inscrit dans notre chair et que, faute de mieux, nous appelons amour. Dans "Cleansed", on se drogue, on se tue, on change de sexe. Electrochocs, torture, séances de peep-show. Couple homosexuel, couple incestueux. On oscille entre tragique et grotesque.
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26 juin.
Jour X
Tu me manques. Les sentiments ne disparaissent pas en dix jours. Les souvenirs ne partent pas en dix jours.
Les beaux souvenirs remontent à la surface quelque fois, ils m'enveloppent dans mon sommeil. Je me rappelle de comment on était heureux au début, de ton sourire, de ton regard, de tes mains sur mon corps quand on faisait l'amour. Les étreintes entre nos deux corps que nous ne connaîtrons plus jamais, les sourires complices que nous ne nous ferons plus jamais, les petits déjeuners que nous ne partagerons plus, les souvenirs que nous ne créerons plus jamais ensemble.
Mais rapidement les derniers souvenirs ressurgissent en un éclair et viennent obscurcir le tableau de notre idylle passé. Ton rictus mauvais quand tu te moquais, tes yeux éteints qui me regardaient, ton regard dans le vague quand je te parlais. Les excuses que tu te trouvais "je suis trop occupé, tu ne comprends pas, nous n'avons pas la même vie". Les remarques désobligeantes, rabaissantes, ta mauvaise foi et moi toujours douce, toujours patiente avec toi, te donnant tout ce que je pouvais, tout ce que j'avais, ne pensant qu'à ton bonheur, ton bien-être sacrifiant le mien me faisant passer au second plan, au dernier plan. M'oubliant complètement.
Et puis un jour le déclic. Tu parles extrêmement mal à une autre femme, une mère de famille. J'ai honte. Honte d'être à tes côtés, honte d'assister à ça, honte d'être avec toi tout simplement. Car cette femme me fait penser à ma mère et jamais de la vie, je ne pourrai laisser quelqu'un parler comme ça à ma mère. Tu devenais de plus en plus mauvais avec tout le monde, des remarques racistes, misogynes. Je ne te reconnais plus. Je ne reconnais plus l'homme doux, respectueux dont j'étais tombée amoureuse. Soudain je te regarde et j'ai l'impression d'être avec un étranger. Je veux te quitter mais je n'y arrive pas car je sais que tu traverses une période difficile et tu essaies de lutter contre tes démons, d'arrêter de fumer autant mais tu compenses ça par la boisson, tu es bourré presque tous les soirs de la semaine. Je reste à tes côtés ne voulant pas t'infliger une épreuve supplémentaire à ta vie qui est déjà bien compliquée pour le moment. Je me dis que tu traverses une période difficile et que je me dois d'être à tes côtés pour te soutenir. On verra plus tard pour nous deux, je pense à toi avant tout.
Mais je suis épuisée moralement psychologiquement par cette relation qui commence à devenir une réelle épreuve pour moi. Tu es toujours dans les problèmes, toujours dans les galères, toujours la tête sous l'eau et malgré tous mes efforts pour t'aider, pour te sortir la tête de sous l'eau tu y restes on dirait que tu prends un malin plaisir dans cet apnée morbide. Tu me dis que tu vas faire des efforts pour nous deux mais je te regarde et je n'y crois plus. Je te vois comme tu es réellement : un homme ravagé par les excès en tout genre qui n'arrivera jamais à sortir de ses addictions, un homme qui ne parviendra jamais à m'aimer car un homme qui se déteste, qui se haît lui-même. Et tu projette cette haine que tu as de toi-même sur les autres, c'est pour ça que tu es si méchant, c'est pour ça que tu es si dur avec les autres car tu es incroyablement cruel avec toi-même.
Un jour tu m'appelles pour me dire qu'hier soir tu étais complètement bourré et que tu m'as trompée. Que tu es désolé, que tu es un salaud, que ce que tu as fais est impardonnable et que tu sais que je ne te pardonnerai jamais. Je reste sous le choc je ne crie pas je te demande de répéter en tremblant puis un long silence entre nous à l'autre bout du fil tu répètes que tu es un "salaud mais pas un menteur". J'éclate de rire, je ris trop fort je ris trop gras d'un ton désinvolte, je fais comme si je m'en foutais puis je raccroche. Je prends un oreiller et je hurle dedans en tombant par terre. Tu me rappelles encore et encore je décroche puis je t'annonce d'un ton neutre, désintéressé que tout est fini entre nous et que je vais faire comme si tu n'avais jamais existé. Tu me dis qu'on peut rester en contact, je te rétorque que je ne préfère pas, je te souhaite une bonne vie et je te bloque de partout. Je te réduis au silence, je fais comme si nous deux ça n'avait jamais existé, comme si tout ça état un songe, comme si tu n'existait plus pour moi.
Alors qu'en vérité je pense à toi tous les jours. Je me demande si tu vas bien, si tu penses à moi, si tu regrettes ce que tu as fais ou si tu es déjà avec cette fille avec qui tu m'as trompée, si tu lui répètes les mêmes mots doux, si tu lui fais les mêmes gestes qu'avec moi, si le sexe entre vous est aussi bon qu'entre nous deux. Je me demande si je te manque.
Mais je suis aussi dans un même temps soulagée. Soulagée que cette relation soit terminée, soulagée de ne plus porter notre couple toute seule, soulagée de pouvoir enfin me retrouver avec moi-même, de me réapproprier mes envies, mon corps. Tu aimes tellement tout contrôler je me sentais parfois prisonnière. J'ai l'impression de vivre une renaissance, de me retrouver et de me rappeler qui j'étais. Je ne comprends pas comment j'ai pu m'oublier comme ça pendant toute notre relation, laisser passer tant de choses, oublier ma propre valeur.
Maintenant j'ai envie de briller à nouveau, je me sens lancer sur un nouveau chemin, une nouvelle aventure qui commence pour moi, je me sens libérée d'une personne qui est toxique aussi bien pour elle-même que pour les autres.
Je te souhaite de guérir de tous tes maux, de guérir de tes addictions et d'apprendre à t'aimer toi-même. Tu es une personne qui mérite d'être aimée, et qui mérite de s'aimer. Arrêter de t’ auto-flaggeler et de détruire tout ce qu'il y a autour de toi car tu es malheureux. Tout ce que tu fais c'est te détruire toi-même.
J'espère un jour pouvoir te pardonner, pouvoir te reparler, pour l'instant je ne peux pas, je n'y arrive pas, je veux juste te savoir le plus loin possible de moi.
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CHAPITRE 1
PARTIE 1
Le Roman De Sakura
œuvre de Masashi Kishimoto et Tomohito Osaki
___________________________
Une jeune médecin ninja discutait avec Sakura.
Elle tenait des documents. Elle devait avoir à peu près deux ans de moins que Sakura.
- Comme vous pouvez le voir sur le rapport que je viens de vous fournir, il y a une nette diminution du nombre d'enfants souffrant de problèmes physique et psychologiques.
- Donc, les résultats progressent depuis l'ouverture du site, il y a un an.
La jeune médecin ninja approuva.
- Oui, les résultats progressent de façon significative. Nous travaillons en coopération avec d'autres département de l'hôpital et nous envisageons une prescription médical, si les problèmes perdurent malgré les consultations. Ses joues étaient légèrement roses, elle paraissait un peu nerveuse.
- ça me semble bien, commenta Ino, qui se tenait à coté de Sakura
Cette Dernière hocha la tète pour signifier qu'elle approuvait également le processus proposé par la jeune médecin. Elle ajouta tout de même une précision.
- Cependant, la coopération avec lez autres départements de l'hôpital doit être effectuée avec beaucoup de précautions. Ce n'est pas parce que ça ne fonctionne pas après quelques consultations qu'il faut prescrire systématiquement des médicaments. Il faut d'abord bien écouter ce que l'enfant a à dire. C'est le but principal du centre de soins psychologiques pour enfants.
Puis, la jeune médecin ninja continua à expliquer les rapport. La réunion se termina après avoir convenu des directives à suivre. Sakura et Ino quittèrent la salle de réunion qui se trouvait dans l'hôpital de Konoha.
- Elle était un peu tendue, remarqua Ino en marchant dans le couloir.
- Tu parles de la fille qui présenté le rapport ? Elle n'est surement pas habituée à ce genre d'exercice, rétorqua Sakura.
- Je crois que c'est surtout parce qu'elle s'est retrouvée devant Sakura, sa supérieure hiérarchique pour qui elle a beaucoup d'admiration.
- Qu'entends-tu par là ?
Ino lui répondit sur un ton espiègle.
- Tu n'es pas au courant ? Tu as beaucoup de succès auprès des jeunes recrues.
Tu es une médecin, tu es forte et pugnace. Tu assures au travail et en plus , tu es belle. C'est normal que tu aies du succès. J'aimerais en avoir autant, dit Ino en riant.
- Arrête, ne te moque pas de moi... lui répondit Sakura d'un sourire embarrassé.
Apres avoir discuté un petit moment sur un mode amical et léger, Ino aborda un sujet plus professionnel.
- J'ai bien l'impression que le Centre de soins psychologiques pour enfants se développe dans le bon sens
- Je trouve aussi, acquiesça Sakura.
Deux ans auparavant, c'est-à-dire six mois après la fin de IV Grande Guerre Ninja, Sakura avait proposé à sa direction de créer un département spécialisé dans les soins psychologiques pour enfants au sein de l'hôpital de Konoha. Pendant cette guerre, les shinobis du monde entier s'étaient unis pour empêcher la résurrection de Kaguya Otsutsuki. Les habitants de la Terre s'étaient retrouvés à plusieurs reprises au bord du désespoir face à ce puissant adversaire. Mais l'union des Shinobis, Naruto en tête, n'avait pas cédé. Tous avaient continué le combat jusqu'à détruire totalement l'ambition de Kaguya.
Une fois hors de danger, chacun avait accueilli avec joie la paix retrouvée. Le monde était sauvé. Mais les dégâts étaient très importants. La reconstruction avait commencé par la réfection des bâtiments et l'aménagement des terres qui avaient subi de graves dégradations lors des affrontements. En tant que médecin ninja, Sakura avait soigné de nombreux Shinobis blessés.
Pour certains, les blessures étaient profondes, pourtant ceux qui venaient se faire soigner avaient une expression apaisée. C'était surement du au fait que la guerre était enfin terminée et qu'ils éprouvaient un grand soulagement.
Lorsque Sakura avait aperçu Kurenai avec un bébé dans les bras, elle s'était demandé ce qui était arrivé aux enfants pendant la guerre. En effet, ils n'avaient pas directement participé aux affrontements. Ils n'avaient peut-être pas subi de dommages physiques, mais qu'en état-il des dommages émotionnels ? A l'époque, la guerre semblait interminable. Cela avait du être un grand traumatisme pour eux. N'avaient-ils pas été touchés au plus profond d'eux-mêmes en voyant leur pays détruit ou en apprenant la mort d'un proche ?
Sakura avait effectué des recherches parmi les patients et avait découvert qu'après la Grand Guerre, de nombreux enfants avaient consulté un médecin de l"hôpital pour des problèmes de santé qui semblaient survenir sans aucune cause apparente. Sakura s'était dit qu'elle devait les aider. Elle s'était alors rappelé les paroles de Hiruzen. Le troisième Hokage aimait répéter :
<< Les enfants sont le trésor du village. >>
Aujourd'hui, tous les Shinobis avaient ces paroles gravées en eux comme valeur commune.
Sakura avait d'abord demandé conseil à son maître, Tsunade.
- Ne pourrait-on pas mettre en place, au sein de l'hôpital , un système pour prendre en compte le traumatisme psychologique des enfants ?
- Cela me parait judicieux. Et c'est à toi de mener le projet, Sakura, lui avait répondu Tsunade.
Encouragée par son maître, Sakura avait commencé à recruter et former des professionnels spécialisés dans l'enfance.
Développer des relations étroites avec les différentes services de l'hôpital, construire les lieux de soins, prévoir un budget prévisionnel... Ces tâches étaient trop nombreuses pour une seule personne.
Sakura était débordée. Sa camarade de promotion, Ino Yamanaka, s'était proposée spontanément pour l'aider :
- Je sais que tu caches bien ton jeu et que tu es une personne très sérieuse. Ce serait dommage que tu travailles trop et que tu tombes d'épuisement.
Grâce à la collaboration d'Ino, le Centre de soins psychologiques pour enfants avait pu voir le jour après six mois seulement de phase préparatoire.
Les résultats avaient été visibles rapidement et n'avaient cessé de progresser. Les chiffres fournis lors de la présentation du rapport de ce jour l'attestaient de nouveau.
- Rien n'aurait été possible sans ton aide, Ino. Merci.
- De rien. Si tu reçois une prime, invite-moi à dîner. Sakura sourit en entendant Ino plaisanter ainsi.
En sortant de l'hôpital, Ino lui proposa d'aller prendre une tasse de thé. Mais Sakura s'excusa de ne pas pouvoir rester et ajouta : Un autre jour, ce serait mieux. Il y a un dossier que j'aimerais boucler aujourd'hui.
- D'accord, dit Ino.
Elle se montrait compréhensive, mais une certaine inquiétude se lisait sur son visage.
Son regard semblait demander à Sakura si elle ne travaillait pas un peu trop. Sakura fit mine de ne rien voir et la salua de la main.
Puis, elle commença à marcher seule dans le quartier commerçant très animé. Ce n'était que la fin de matinée, mais il beaucoup de monde dans les rues. C'était le printemps, la neige avait complètement fondu.
Les passants semblaient légers, libérés de leurs lourds manteaux d'hiver.
- Tiens ! Mais, c'est Sakura !
Soudain, elle entendit une voix familière derrière elle. En se retournant, elle aperçut deux personnes en tenue de ville,
- Naruto ! Hinata ! Alors, vous faites une sortie en amoureux ?
- Oui, on est tous les deux en congé par hasard le même jour, répondit Hinata,
- Et toi, Sakura ?
- Moi, je reviens d'une réunion à l'hôpital avec Ino
- Je suis au courant de tes activités. C'était comment déjà le nom... le « Centre... pour enfants », c'est ça ? dit Naruto.
- Le Centre de soins psychologiques pour enfants, rectifia Sakura.
- Vous faites quoi, maintenant ? Vous allez déjeuner ?
- Oui, à Ichiraku, précisa Hinata.
- Hé... fit Naruto à l'oreille de Sakura. Dans le magazine An-An que j'ai emprunté à Sai, ils disent que c'est à l'homme de régler l'addition. Je l'ignorais, mais c'est super cher un restaurant gastronomique.
Sakura ne put s'empêcher de sourire en voyant Naruto pâlir. Elle lui murmura :
- Ne te sens pas obligé d'en faire trop.
- Vous parlez de quoi ? demanda Hinata en penchant la tête sur le côté pour marquer son étonnement.
- Euh...rien...rien du tout, rigola Naruto, J'ai trop hâte de manger un râmen...
Il se frottait exagérément le ventre en disant cela. Le geste de Naruto devait être assez comique, car Hinata pouffa de rire.
En les voyant aussi gais, Sakura sourit aussi.
Elle était heureuse pour eux. Cela faisait quelques mois qu'ils avaient officialisé leur union auprès des gens du village.
Pendant un moment, Sakura, en tant qu'amie proche, s'était inquiétée à leur sujet. En effet, Hinata ne prenait pas d'initiative avec les garçons et Naruto manquait de subtilité quand il s'agissait d'amour. En fait, Sakura doutait qu'ils ne parviennent jamais à sortir ensemble. Mais maintenant qu'ils formaient un joli couple, tout cela n'était qu'un lointain souvenir.
L'hiver dernier, un événement avait brusquement rapproché Naruto et Hinata. Le dernier descendant des Ôtsutsuki, Toneri Ôtsutsuki, qui habite sur la Lune, avait enlevé Hanabi, la petite soeur de Hinata. Il avait tenté de détruire la Terre en lui volant son byakugan. Naruto avait alors affronté Toneri dans un combat violent et avait été grièvement blessé. Puis, Hinata avait été enlevée à son tour. Naruto, qui avait pu se rétablir, avait finalement réussi à vaincre Toneri.
La destruction de la Terre avait pu être évitée. Au cours de cette mission, Naruto avait pris conscience que Hinata était une personne irremplaçable à ses yeux et il lui avait avoué ses sentiments. Après avoir sauvé le monde, Naruto était revenu au village. Il était accompagné de Hinata, qui était devenue sa petite amie. La nouvelle s'était répandue comme une traînée de poudre.
Pendant un certain temps, les deux jeunes gens s'étaient fait taquiner par des camarades de promotion et des shinobis plus âgés.
Mais aujourd'hui, on les laissait tranquilles. Il y a quelques jours, Sakura avait reçu une invitation : leur mariage était pour bientôt.
- Ça te dit de venir manger un râmen avec nous, Sakura ? proposa Naruto avec un grand sourire.
Sakura soupira comme pour lui dire « Toi, alors... »
- Qu'est-ce que tu veux que je fasse avec vous ? Vous êtes en congé tous les deux. Profitez-en plutôt pour passer un moment en tếte a tête. Sakura passa derrière Naruto et Hinata et les poussa dans le dos. Puis, elle regarda le jeune
couple s'éloigner dans le quartier commerçant. Hinata riait, Naruto lui avait fait une blague. Ils avaient l'air heureux.
- Je les envie... ne put s'empêcher de penser Sakura.
Même si elle les enviait, ça ne changeait rien à sa situation. Elle regrettait de ne pas pouvoir communiquer ses sentiments à celui qu'elle aimait. Dans ces moments-là, elle se mettait automatiquement à penser à son travail : un dossier à boucler, un rapport à lire... Elle s'aperçut qu'elle était passée en mode boulot et sourit amèrement.
- Je comprends pourquoi Ino s'inquiète pour moi...
______________
Kakashi le sixième était assis à son bureau.
En tant que Hokage, il était vêtu et coiffé selon la tradition, cela lui donnait une allure très solennelle.
- Sakura, j'ai reçu une réponse du village caché de Suna concernant ta demande. Ils sont prêts à te recevoir quand tu veux.
- Vraiment ?
Le visage de Sakura s'illumina. Sa réaction fit sourire Kakashi.
- Si tu allais à Suna avec Ino ? lui proposa- t-il. Elle t'a beaucoup aidée pour mettre en place le Centre, non ?
- Oui, c'est une excellente idée ! répondit Sakura avec enthousiasme.
La présentation du rapport d'activités du Centre de soins psychologiques pour enfants de l'hôpital de Konoha avait eu lieu la semaine précédente. Aujourd'hui, Sakura était convoquée dans le bureau du Hokage concernant une demande qu'elle lui avait formulée quelque temps auparavant. En effet, elle souhaitait présenter le Centre à Suna, leur pays allié. Il était probable que les enfants qui y vivaient aient également subi un traumatisme lors de la Grande Guerre. Sakura devait faire profiter les autres villages de son expérience.
- Quand un système fonctionne, on doit le partager avec les autres. Enseigne-leur tout ce qu'il faut, dit Kakashi à Sakura.
- Je vais leur transmettre ce que j'ai appris. Vous m'avez beaucoup soutenue, Maître Kakashi, y compris sur le plan budgétaire. C'était un vrai défi.
- Quand une ancienne disciple travaille aussi dur pour faire aboutir son projet, il est logique que je lui donne un coup de pouce, non ? En plus, je sais d'expérience que les blessures psychologiques sont très difficiles à guérir, dit Kakashi. Je te laisse choisir la date du voyage avec Ino. Soyez prudentes !
- Bien sûr ! répondit Sakura en quittant le bureau du Hokage.
Comme il fallait trois jours pour atteindre le village caché de Suna, Sakura listait dans sa tête les outils ninja et les équipements nécessaires à leur voyage.
Elle devrait aussi préparer puis relire ses dossiers.
Alors qu'elle réfléchissait à tout ce qu'elle devait faire, elle aperçut Sai un peu plus loin sur le chemin. Il était en tenue de ninja et portait un énorme makimono dans le dos. Sakura l'interpella.
- Sai !
- Salut ! dit Saï en s'approchant d'elle.
- Tu vas voir Maître Kakashi ? demanda Sakura.
Sai lui répondit de façon très évasive. Il ne semblait pas vouloir lui en dire davantage. En revanche, il se montra curieux envers elle et semblait et l'interrogea.
Sakura évoqua son futur voyage au village de Suna en compagnie d'Ino.
- Vraiment ? Tu vas à Suna ? Je te conseille de bien hydrater ta peau. Le climat est très sec là-bas.
Sakura acquiesça, elle suivrait son conseil. Toutefois, elle ne put s'empêcher d'ajouter une petite remarque.
- Ne t'en fais pas. Je comptais bien apporter une crème hydratante. Malgré les apparences, j'ai quand même des réflexes féminins.
- Vraiment ? Tu sembles surtout avoir des réflexes physiques hors du commun. Prends plutôt garde à ne pas écraser le tube de crème quand tu le prendras dans ta main, dit Sai d'un air taquin.
- Tu veux que je te cloue le bec avec mes réflexes physiques ? répondit Sakura en souriant et en prenant une position de combat.
- Ouh ! J'ai peur, grimaça Sai sans montrer le moindre signe d'effroi. Puis, il commença à marcher en direction du bureau du Hokage.
- Pfft ! Celui-là, alors... lâcha Sakura à la fois dépitée et amusée.
_________________________
Sai était arrivé dans le bureau du Hokage. Il était posté devant lui.
- Vous vouliez me voir ?
Kakashi lui répondit en refermant le dossier qu'il avait dans les mains :
- Navré de te convoquer à la dernière minute.
- Ce n'est pas grave. Si vous vouliez me voir personnellement, c'est que vous avez une mis- sion à me confier, n'est-ce pas ?
- Oui, on peut dire que c'est une mission. Mais ce n'est pas vraiment officiel.
- C'est-à-dire ? demanda Sai en plissant les yeux.
- J'aimerais que tu mènes une enquête. Tu devras agir seul.
- Sur quoi dois-je enquêter ?
Kakashi hocha la tête et expliqua en quoi consisterait son travail.
- Il y a une semaine, le seigneur du pays du Feu est venu se reposer à la source thermale du village. Il y a eu un accident. En as-tu entendu parler ?
- Oui... J'ai cru comprendre qu'un Kunai était tombé à proximité du seigneur pendant qu'il prenait sont bain.
- C'est exact. Heureusement, il n'y a eu aucune victime à déplorer. Le seigneur n'a pas été blessé. Durant tout le séjour, la section Anbu avait mis en place un périmètre de sécurité important autour du seigneur. Alors, lancer ne serait-ce qu'un seul kunai dans le bain était une attaque difficile à mettre en place. Elle a dû être bien préparée. De plus, quelques jours avant cette affaire, lors de la visite d'un champ de manœuvre, le conseiller Homura et deux shinobis qui l'accompagnaient ont été attaqués par un homme.
- En revanche, je n'étais pas au courant de cette affaire, s'étonna Saï.
- Sire Homura n'a pas souhaité ébruiter l'incident. C'est pourquoi personne n'est au courant, expliqua Kakashi.
- Tout de même, c'est inquiétant. Des personnes importantes de ce pays sont prises pour cible.
- Oui. En plus, elles ont eu lieu l'une à la suite de l'autre.
- Vous voulez donc que j'enquête sur ces deux affaires ? demanda Saï.
- Oui, mais il y en aura peut-être une troisième. Ces deux affaires sont-elles l'œuvre d'une seule et même personne ou sommes-nous face à des faits qui n'ont aucun lien entre eux ? Quoi qu'il en soit, je veux que tu étudies tout ça, affirma Kakashi d'un ton ferme.
Sai l'écoutait avec attention. Pour lui, une interrogation subsistait.
- Et la section Anbu ? Ne l'avez-vous pas missionnée ?
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Je vous aime de l'amour de Jésus-Christ ❤️ ⚘️
Depuis plusieurs temps, les médias et le monde parle beaucoup du mouvement LGBT. En implicant même les dessins animés et films animations , avec des couples contre nature.
Je m'adresse à vous chrétiens , enfants de Dieu qui tolérer des mariages contre nature. Certainement nous sommes tolérant envers le monde , car comme l'a dit Yeshua HaMashiah à la Croix ; " Père pardonne leur parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font ". Cela dit , cela n'autorise pas le chrétien à tolérer ce que Dieu ne tolére pas. Dans la bible il est écrit :
" que dans les derniers temps ce qui est bien sera considéré comme mal et ce qui est mal sera considéré comme bien "
{Romains 1: 24-32}
"C'est pourquoi Dieu les a livrés par les convoitises de leurs cœurs, à l'impureté où ils avilissent eux-mêmes leurs propres corps. Ils ont échangé la vérité de Dieu contre le mensonge, adoré et servi la créature au lieu du Créateur qui est béni éternellement. Amen. C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions avilissantes : leurs femmes ont échangé les rapports naturels pour des rapports contre nature ; les hommes de même, abandonnant les rapports naturels avec la femme, se sont enflammés de désir les uns pour les autres, commettant l'infamie d'hommes à homme et recevant en leur personne le juste salaire de leur égarement. Comme ils n'ont pas voulu reconnaître Dieu, Dieu les a laissés suivre leur intelligence tordue, et ils font ce qu'on ne doit pas faire. Ils sont pleins de toutes sortes d'injustice. Ils font le mal, ils veulent ce qui appartient aux autres, ils sont méchants, ils sont pleins de jalousie. Ils tuent, ils se disputent, ils trompent les autres, ils agissent n'importe comment. Ils racontent des mensonges sur les gens, ils disent du mal d'eux. Ils sont ennemis de Dieu, ils insultent les autres, ils sont orgueilleux, ils se vantent, ils trouvent tous les moyens pour faire le mal. Ils n'obéissent pas à leurs parents. Ils sont stupides, ils ne tiennent pas leurs promesses, ils sont sans cœur et sans pitié. Pourtant, ils connaissent bien le jugement de Dieu. Ceux qui agissent ainsi méritent la mort. Eh bien, non seulement ils font ces choses-là, mais encore ils approuvent ceux qui les font !"
N'approuvez pas ces choses mes frères et sœurs en Christ. Cela attriste Dieu. Je ne suis pas là pour juger ce que ces personnes fond de leurs vies, mais je suis là pour aviser l'Église de Yeshua HaMashiah, de ne pas approuver toutes ces choses mauvaises que le monde considère comme bonne et ne le sont pas.
- mariage homme avec homme, ou femme avec femme.
- Avortement
Etc...
Dieu a créé la famille en plaçant l'homme comme chef , puis la femme, et les enfants. Ce que nous voyons aujourd'hui avec ces choses, va contre les ordonnances de Dieu, cela se sont des lois antichrist.
Alors mes frères et sœurs ne vous conformez pas à ces choses du monde. Et éduquer vos enfants dans la vérité de la Parole de Dieu, même si à l'école ils enseigne ces choses comme normale. Préféré des écoles chrétiennes comme les " écoles Timothée "( il y a des professeurs et enseignants chrétienne qui on eux un appel pour ouvrir des écoles ou l'éducation scolaire s'associe à l'éducation de la Parole de Dieu. ) .
Cela devient urgent de réagir pour nos enfants et petits enfants, car ce monde veux détruire la famille et les ordonnances de Dieu.
En Christ pour toujours ❤️ ⚘️
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Natsu x Lucy, Post-Alvarez
ENSEMBLE POUR TOUJOURS? TOUJOURS.
1225 mots Le doux chant des oiseaux résonnait dans la ville de Magnolia. Le soleil était déjà haut dans le ciel, dans les rues de la ville fleurie étaient entendu les bavardages des passants – qui causaient ce brouhaha quotidien. En réalité, c'était tellement commun que Lucy s'y était habitué, au point de pouvoir se réveiller en milieu de matinée sans être dérangée par les exclamations plus ou moins joyeuses des Magnoliens. Les paupières papillonnantes à cause du rayon de soleil qui fendait sa chambre comme un bonjour matinal, elle tenta de s'étirer. Sans succès. Quelque chose de chaud semblait la retenir. Des bras ? Plissant les yeux, n'étant pas habitués à la lumière du soleil, elle remarqua des mèches roses et au-dessus de celles-ci, une boule de poil bleu. Elle soupira, pour la Nième fois, ses deux meilleurs amis s'étaient invités chez elle sans sa permission. Il fut un temps où elle les auraient réveillés en leurs tirant les oreilles et en beuglant qu'il était grand temps qu'ils apprennent le sens de « vie privée », mais ce n'était aujourd'hui plus le cas. Parce qu'après leur absence, elle ne voudrait plus jamais être séparée d'eux. Elle les observa avec une étrange fascination. En effet, grâce à eux, elle avait pu vivre son rêve : être mage de Fairy Tail et avoir une famille. Ils avaient combattu tant d'adversaires qu'elle n'aurait pas dû retenir aucun de leurs noms. Pourtant, elle se souvenait de chacun d'eux. Bora, le fou qui kidnappait des jeunes filles pour les faire devenir mannequin de force. Et qui lui permit de rencontrer ces deux abrutis qui somnolaient encore dans ses draps avec un sourire niais sur le visage. Ces balkans des neiges obsédés par les femmes humaines et sa première mission avec Natsu et Happy. Le comte d'Everlue, ce gros moustachu qui avait une vision très différente de la beauté... Elle retint un soupire d'exaspération. Quel spécimen étrange. La guilde d'Eisenwald, Deliora, Phantom Lord, Jellal et Laxus – bien que ces deux-là étaient de grands mages de la guilde désormais, Les Oracion Seis, Daphné, le royaume d'Edolas et les pires de tous : Tartaros, Avatar et Alvarez. Ils avaient tous perdu quelqu'un de cher à leur cœur. Gray avait perdu son père qui était en fait le monstre que son maître Ul avait enfermé dans la glace et avait faillit perdre sa bien aimée - non avouée - Juvia. Erza avait fait la connaissance de sa mère de la pire des manières. Lucy, elle-même avait dû faire un choix pour sauver sa guilde, sa famille. Détruire la clé de sa plus vieille amie, Aquarius. Et Natsu... Après avoir retrouvé Igneel, son père adoptif qu'il cherchait depuis des années, il fût sauvagement assassiné par le dragon du chaos devant ses yeux. Nostalgique de leurs aventures avec un brin de tristesse, elle glissa ses doigts sur le haut de la tête de Happy, grattant l'arrière de ses oreilles alors qu'il lâchait un ronronnement appréciateur. Elle laissa échapper un sourire bienheureux, sa main continuant sa route pour finir sur la joue du chasseur de dragon. Un sourire se dessina sur ses lèvres, tandis que son pouce caressait sa joue avec une tendresse non dissimulée. Suite aux caresses de la mage stellaire, le rosé émergea de son sommeil, surprit de ne pas être viré par la peau des fesses hors de chez sa partenaire. Le vert onyx rencontra la douce couleur noisette des yeux de Lucy. « Bonjour... » Murmura la blondinette, sa main caracolant encore les cheveux du jeune homme. « Bonjour Luce. » Sourit le mage de feu la rare démonstration d'affection dont faisait preuve sa partenaire. « Bien dormi ? » « Bien et toi ? Happy et toi.. Vous ne changerez jamais ! » S'écria-t-elle avec un faux agacement. En réponse, il ne fit que rire. Il redevint sérieux l'instant d'après. « Hé, Lucy... À quoi tu pensais ? » Comment ça ? À quoi pensait-elle ? Était-ce si évident qu'elle se s'était perdue dans ses songes ? Elle fixait son ami, la bouche agape sans pouvoir répondre intelligemment comme elle le ferait d'habitude. « Je sens bien qu'il y a un truc qui te dérange, c'est quoi l'problème ? Qui t'as contrarié, que je lui donne une bonne leçon ? » S'exclama son partenaire déjà paré pour se battre. « C'est juste que... » Elle leva ses orbes noisette vers lui, puis se mordit la lèvre, incertaine. « On a vécu tellement de choses ensemble... J'aimerais que cela dure pour l'éternité. » Natsu la fixa interdit. « Luce, pourquoi est-ce que ça ne durerait pas ? Je te l'ai déjà dit, on reste ensemble pour toujours. » Les larmes coulaient d'elles-mêmes, sans qu'elle n'ait pas son mot à dire. Elle tenta de les chasser rageusement d'un coup de poignet, sans succès. Le jeune homme ne sachant pas comment réagir, la regardait impuissant. Il pouvait combattre des monstres, tuer un mage noir redoutable ou un roi dragon, mais... Les pleurs de Lucy lui laissaient toujours un sentiment de faiblesse. Au fond de lui, il aurait voulu être un peu plus comme les hommes charmants des romans de Lucy. Mais il savait qu'il resterait l'enfant d'un dragon. Hésitant, il posa sa main sur l'épaule de sa coéquipière pour la rapprocher. Il effectuait ses mouvements calmement, comme pour amadouer un animal blessé. Et c'était peut-être ce qu'elle était au final. Un lapin sans défense. Un autre jour, il l'aurait trouvé très drôle, mais à cet instant, la sensation d'être la cause de ses larmes lui clouait le bec. Finalement, ses bras entouraient la blonde dans une étreinte douce, tendre et chaude. Lucy agrippa de ses poings l'écharpe de son ami, pleurnichant dans son cou. Après quelques minutes, il relâcha sa prise sur elle, l'éloignant de son étreinte dans le but de voir son visage. Elle le laissa s'éloigner à contrecœur, reniflant encore. « Lucy, je... » Un ange passa. « Je suis pas doué pour ce genre de trucs. » Lâcha-t-il, en détournant le regard, une main sur la nuque – signe de sa nervosité. « Hmm... » Ses yeux noisette, l'observant avec curiosité le fit presque rougir. Presque. Lorsqu'elle l'épiait de la sorte, il se retrouvait toujours sans savoir comment agir. À vrai dire, il était beaucoup plus éloquent lorsque ses actions parlaient pour lui. Alors c'est ce qu'il fit. En un instant, ses lippes étaient pressées contre le haut de son crâne, laissant la jeune fille pantoise. « Lushi... Natsu... Qu'est-ce qu'il y a ? » Onyx et noisette se rencontrèrent une nouvelle fois. Ils étaient tellement concentrés l'un sur l'autre qu'ils n'avaient même pas entendu ou vu leur compagnon bleu ailé. Et l'exceed, aussi innocent qu'il pouvait l'être, compris que ce moment était différent des autres, il était crucial pour les deux mages. Si bien qu'il n'osât même plus adresser une syllabe. « Lucy... Je ne te quitterais plus jamais. Happy, toi et moi, on est une famille. Et on restera ensemble pour toujours. » Subjuguée par le sérieux dont faisait preuve son partenaire, elle resta la bouche agape. Avant qu'elle ne bégaie. « T-toujours ? » Le grand sourire qu'il lui offrit, la rassura aussitôt. « Toujours. » Hypnotisés l'un l'autre, ils ne remarquèrent même pas le chat bleu qui se couvrait les babines pour cacher ses rires. « Ils s'aiiiiiiiiiiiment ! » NOTE DE L'AUTEURE : Salut salut, ça fait des années que je n'ai pas posté sur ce blog. Là où tout à commencé. Alors, je reviens sur un de mes ship préféré : Natsu et Lucy. C'est tellement une galère d'écrire sur eux. Parce que ces deux là ne connaissent absolument pas l'amour. Et tout leurs moments mignons sont en euphémisme. Je les vois tellement pas se dire "je t'aime" comme les autres couples traditionnels. Parce qu'ils ont pas besoin de mots pour faire comprendre ce qu'ils ressentent l'un pour l'autre. Je crois que c'est pour ça que je les aimes autant. Parce que tous ce qu'ils font entre eux est naturel. Enfin bref, je vous laisse. En espérant que cet écrit vous ai plu. Tout droit réservé à Hiro Mashima.
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vrai rituel efficace et sérieux pour récupérer son ex 00229 68-28-84-74
Entreprendre un retour d’affection soulève de nombreuses questions. Nous tenterons ici de vous expliquer comment fonctionne un retour d’affection. Voici les grands principes et les réponses aux questions les plus courantes.
Les avantages du rituel sacré
Agir comme par magie via le monde des rêves.Aussi curieux que cela puisse paraître, la reconquête de l’ex passe par le songe, le rêve. En fait, souvenez-vous. Qu’avez-vous ressenti lors de votre premier sentiment pour votre ex ? Nous l’appellerons ici le « frisson amoureux ». Un sentiment où votre cœur s’emballe. Un état, où en fait, vous ne faisiez que penser à votre nouveau partenaire. Vous y pensiez ! Et à bien y regarder, un synonyme de « penser » est « songer ». Ne dit-on pas « As-tu songé à faire quelque chose » pour évoquer le fait d’y penser ? De même, ne dit-on pas que quelqu’un « est dans ses songes » pour signifier qu’il est profondément dans ses pensées.Le couple n’échappe pas à cette sémantique.
Au début d’une relation, les amoureux se font « rêver ». Quand l’un des partenaires est absent, l’autre songe à lui, autrement dit, pense à lui. Ainsi, pour faire durer un couple, l’une des clés est de maintenir, entretenir cette sensation. Et regardons un instant où vous êtes aujourd’hui. Ne trouvez-vous pas que justement, au fur et à mesure que votre relation s’étiolait, l’un de vous deux a, d’une manière certaine, « oublié » de continuer à faire rêver l’autre ?
Réactiver les souvenirs de votre ex
Car à ce moment, la personne concernée par le protocole se trouve dans un état de moindre résistance. Le médium, de part ses capacités, peut alors, d’une manière imagée, lui « souffler à l’oreille » tout le bien que l’on peut avoir de vous-même. En conséquence, le rituel amène votre ex , dans ses rêves, à développer de nouveaux sentiments positifs à votre égard.De même, le retour d’affection permet la réconciliation en évitant le ressentiment et de fomenter de la vengeance. Car hélas, trop souvent, lors d’une rupture, l’ex partenaire exprime sa déception en cultivant une rancœur. Et hélas, il n’est pas rare que cet état de pensée tourne au désir de se venger ou d’aboutir à ce que l’autre le regrette amèrement.
Le Retour d’Affection est une pratique morale
Est-il éthique de procéder à un retour d’affection ? Il y a bien sûr des personnes qui critiquent la pratique du retour d’affection, disant qu’elle est contestable, qu’il s’agit d’une manipulation.Très clairement, le retour d’affection n’est en aucun cas une manipulation. Il s’agit d’un encouragement, d’une incitation.Personne ne peut faire un procès sur le fait d’inciter un être à aimer. N’est-ce pas plutôt charitable ?
Il est plus profitable d’étudier un sujet que de le critiquer En y regardant bien, les personnes qui tiennent ce discours sont des individus très méfiants, qui paniquent face à quelque chose qui leur échappe. Elles trahissent ainsi la faiblesse de leurs sentiments.Ces personnes traduisent aussi leur propre malaise à l’idée de pouvoir être elles-mêmes sous l’influence de ce type de démarche !On a donc surtout envie de dire à ces détracteurs : au lieu de critiquer, étudiez sincèrement le sujet !Personne n’est victime d’un retour d’affection !De plus le rituel de retour d’affection ne se pratique que si le médium est sûr que les deux personnes soient compatibles. Tout médium sérieux pratique avant d’intervenir une étude de compatibilité.Si vous aussi, vous faites face à ce genre de détracteurs, soyez vigilants.
En effet, parmi ces détracteurs, il y en a que cela arrange bien de considérer le retour d’affection comme une pratique immorale et mensongère.
Ainsi, sans préceptes moraux, cela leur permet d’être des prédateurs. Certains n’ont ni foi ni loi pour l’amour, ni vis à vis des sentiments et abusent de tout, des forts comme des faibles.
On pourrait demander à ces détracteurs : « Qu’est-ce que cela te coûterait de m’aimer ? Tu as l’air de bien te défendre. Que crains tu ? D’être manipulé ? »
Mais regardons bien : au final, ces détracteurs ne sont-ils pas plus manipulés par leurs patrons, par leurs faiblesses, pas internet, par la publicité, par des gens plus forts que eux ? Par des gens qu’ils admirent et qui arrivent à leur faire faire ce qu’ils veulent.
Bien sûr, personne n’a envie de se rendre compte qu’il se fait manipuler.
Il est alors normal de réagir. Néanmoins, réagir ne signifie pas devenir un paranoïaque permanent. Là aussi, une part de maturité s’impose.
Nos multiples témoignages sont aussi le gage du sérieux de notre approche. Consultez les pour vous rassurer !
Le Retour d’Affection favorise votre Charisme Amoureux
Un retour d’affection, c’est aussi vous donnez une deuxième chance de faire une bonne première impression.
Ceci n’est pas une affirmation Gratuite.
Pensez au phénomène suivant : la première et la plus forte impression que nous subissons est celle de la lumière. La plus vive émotion est celle de la vue. Le premier contact entre les hommes et les femmes est celui du regard.
Le Charisme est un ETAT, mais qui vous échappe lorsque vous êtes dans tous vos états quand le chagrin vous gagne.
Le Charisme Amoureux en vérité, c’est se lever en pensant à quelqu’un, se coucher en pensant à ce même quelqu’un et y repenser dans la journée dès qu’une embellie se présente…
On aimerait que ce moment dure vitam aeternam.
Comment fonctionne le charisme ? Charisme trouve son origine dans le grec « Karisma », qui peut se traduire par « Charité », « Don ».
Mais au delà, des mots, force est de reconnaître que le charisme est bien plus que tout ça.
Il existe une intelligence invisible, intouchable, inodore, et pourtant très réelle qui habite et soutient toutes formes, c’est justement le Charisme.
Ainsi, le Charisme dans le couple se manifeste comme Vertu amoureuse envers l’autre, indulgence, bonté pour ses travers et imperfections. Et plus généralement, Bienveillance et amour envers tous.
Immatérielles, ces expressions du charisme voyagent dans l’air, se ressentent. Ne qualifions-nous une personne de « charismatique » sans réellement pouvoir expliquer sa différence. On parle de ce qu’elle « dégage ».
On constate que nul ne remet en cause les expressions du charisme, alors que pourtant personne n’a jamais pu les voir, les saisir à plein mains.
Lorsque l’on tente d’analyser ce phénomène quotidien et apparemment banal, on est sidéré.
Car, sur le plan rationnel, c’est inconcevable.
L’explication que nous en donnons ici est que, pour croire réellement en ce principe et pour le voir se manifester, il faut avoir une perspective du monde physique beaucoup plus globale que nous ne pourrions jamais imaginer.
Nous devons apprendre à nous défaire de notre vision étriquée des choses et savoir :
Apprendre à toucher le corps, le cœur et l’esprit, User du Charisme Personnel pour …, faire passer le courant ! le feeling, Plaire plutôt que séduire ! Voilà comment se défini le charisme. Plaire pour répondre à un besoin. Séduire, c’est remplir Son besoin ! Maîtriser les mécanismes du comportement et la composante comportementale dans toutes vos actions quotidiennes. Dans le cadre de tout travail d’évolution spirituelle, le charisme doit se convenir en une composante de votre être.
Comment devenir plus charismatique ? Au départ et en premier lieu, il faut déjà supprimer le principal obstacle qui est en vous et qui est le Stress et la Fatigue.
En effet, leurs effets sont dévastateurs sur votre charisme.
Vous manquez de confiance en vous et rien n’arrive par cette fatigue. Vous n’osez pas. Et sans réaction, vous risquez d’attendre ainsi toute votre vie cette énergie qui vous manque. Il vous faut néanmoins savoir que toute maladie contient le pouvoir inhérent de la surmonter.
Ensuite, comment résoudre cette difficile équation ?Aller au-delà de la cause et de l’effet purs en vous mettant au diapason de votre dimension humaine invisible.
En effet, la plupart des difficultés personnelles, dont on se plaint, résulte de la méthode qu’on emploie pour les résoudre.Aussi, tout travail spirituel vise à déterminer les causes et une fois cela réalisé, appliquer le remède.Imaginez les avantages que vous obtiendrez d’une santé morale et physique recouvrées !Mais se reprendre en charge soi-même, ce n’est pas seulement essayer un nouveau mode de santé, « pour voir ».Cela exige d’avoir la volonté d’être mieux, de remettre en question et de détruire, en gros et en détail, toutes les pensées qui engendrent en nous le sentiment paralysant d’être malheureux.
La véritable magie du charisme C’est ainsi que certains dégagent cette force incroyable, indéfinissable, impalpable que nous traduisons parfois par Charisme.Reconnaissons-le, ce n’est pas un travail simple. Mais il en vaut la peine.Car, comme toujours, se détourner de l’inconnu contient sa propre récompense.D’un côté, puissante est la peur de l’inconnu et tant que l’on reste dans un domaine familier, on la tient en échec. Mais en même temps, c’est au détriment de son accomplissement personnel.Voyez donc toute la magie du Charisme !Au delà d’une simple impression impalpable, le charisme nous propose d’être le véhicule de notre réussite : par l’abandon du sentiment d’être malheureux, l’analyse des causes de nos maux, il nous procure santé et accomplissement.
Un retour d’affection efficace, administré par Othniel, est l’une des voies pour s’ouvrir à votre potentiel amoureux.
RETOUR AFFECTIF IMMÉDIAT-RECONQUÉRIR SON EX-RETOUR DE L’ÊTRE AIME
Aimer est une chose merveilleuse et on donnerait tout pour aimer et être aimé. Pour garder l’être aimé on serait également prêt à tout. Voilà pourquoi lorsqu’on le perd, nous cherchons tous les moyens pour le reconquérir. L’un des moyens que nous avons en notre possession est la magie de l’amour. Elle nous donne au travers de différentes astuces et rituels la solution pour trouver l’amour et mieux encore : pour le récupérer.
Vous souhaitez récupérer votre ex? Vous souhaitez reconquérir un amour perdu? Vous souhaitez séduire une personne qui vous plaît? Vous souhaitez rencontrer une personne qui vous rendra heureux/se? Vous souhaitez en finir avec la tristesse et la solitude affective? Récupérer son ex définitivement,
Pour arriver à trouver et reconquérir l’amour la magie rouge vous donne la solution pour satisfaire à toutes vos envies. Il vous est donc possible d’effectuer des rituels pour : rituel magie pour récupérer son ex • Récupérer un amour perdu • Protéger votre couple • Faire à ce que la fidélité règne dans votre couple • Pour être plus performant sur le plan sexuel • Etc.
Tout ceci est possible à la puissance et le professionnalisme du grand voyant marabout reconnu.
Il faut noter que les rituels de magie rouge sont sans dangers et que vous pouvez les réaliser vous-même. À l’aide de fiches pratiques vous apprendrez comment faire pour réaliser efficacement ces rituels. Comme rituel magie pour récupérer son ex vous pouvez réaliser celui qui implique des pétales de roses, des bougies blanches et jaunes et un verre de thé à la menthe avec également du miel. Pour ce rituel vous serez amenés à disposer les bougies triangle puis disposer les pétales autour du triangle. Ensuite vous allumerez les bougies. Vous réciterez une incantation demandant à attirer l’amour (en général ou une personne en particulier).Une fois l’incantation fini vous boirez le thé puis éteindrez les bougies en commençant par la blanche.
Il peut, malheureusement, arriver que vous perdiez l’amour de votre vie et que cela vous brise en vous laissant sans espoir. La magie rouge vous permet de le reconquérir où qu’il soit. Pour avoir un résultat qui répond à vos attentes vous devez non seulement bien réaliser le rituel, mais aussi croire en ce que vous faites. La foi que vous avez dans la magie et dans la rituelle magie pour récupérer son ex que vous êtes en train de faire est des éléments qui renforcent un rituel. Il ne faudrait pas également oublier la force des ingrédients que vous utilisez pour la réalisation de vos rituels. Réaliser un rituel de reconquête d’amour est délicat, c’est pourquoi je vous propose mon aide sur la page suivante : Reconquérir un amour. Avec les fiches que je mets à votre disposition, je vous permets de réaliser en toute sécurité et avec un maximum de conseil des rituels efficaces dans ce domaine sensible.
Récupérer son ex: rituel magie pour récupérer son ex
Utilisez les mêmes outils que moi : Reconquérir son amour immédiatement. Faire revenir son ex magie marocaine, faire revenir son ex avec bougie blanche, rituel avec photo pour récupérer son ex, prière pour faire revenir son ex, faire revenir son ex avec photo, faire revenir son ex magie avis, magie blanche pour faire revenir l’être aimé, faire revenir l’être aimé par la pensée.
Merci de contacter votre Médium Voyant ALLOGNON pour plus d’informations Télé: 00 229 68 28 84 74 ( Appel et Whatsapp ) E-mail: [email protected]
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Modèles à suivre... ou pas !
C'est comme un prurit qui saisit nos politiciens et nos journalistes,assez souvent : aller ''piquer'' dans un pays dont ils ne savent pas grand chose, un exemple sorti de son contexte historique, culturel, religieux, humain ou autre, et ériger cette fausse information (dont ils ont oublié où ils l’ont ramassée) en ''exemple à suivre'' par la France et les français. Cette technique a connu son apex sous le quinquennat-à-oublier de Hollande, où des dangers publics (tous les Ayrault, Taubira, Belkacem, Peillon et d'autres) nous saoulaient de... ce dont ils ne savent rien, qui n'a jamais marché nulle part, et dont personne, suédois ou français, n’a vraiment très envie...
Une chose m'a toujours frappé (outre la perversion intrinsèque de ceux qui usent de cet artifice qui raconte en général des bobards ''XXL'' : les pays qui retiennent l'attention des nuls qui les invoquent sont toujours (j'insiste : toujours !) de mauvais exemples, en ce qu'ils ne sont pas transposables. Pourtant doté d’une mémoire plutôt ''pas trop mauvaise'', je ne me souviens pas d'une seule fois où, lisant le nom du pays qui allait servir à brouiller les idées, je me sois dit ''Tiens ! Bonne idée !''. Nos ''maîtres ès-mensonges'' citent l'Italie ou l'Espagne, puisque ces pays font souvent moins bien que nous... Mais comme il est rare, en revanche, qu'ils nous parlent de tous les pays qui caracolent loin devant nos résultats catastrophiques !
Et pourtant... Tant de pays pourraient nous apporter des enseignements fort utiles ! En ''bossant'' pour écrire ''Immigration ou invasion'', hier, j'ai redécouvert la pensée --un peu négligée, à tort-- de Bouallem Sansal. Cet immense penseur francophone et héros courageux qui se dresse contre l'hydre islamiste, raconte sans se lasser le triste destin de l'Algérie, et l'analyse de ce musulman (maroco-algérien de culture arabe, berbère et française, il vit près de Tizi-Ouzou), vaut cent fois les recopiages de nos pseudo-spécialistes de l'Islam... qui parlent l'arabe comme des vaches espagnoles et ne savent pas un mot de ''t'amazight'' (la langue ''berbère''). Or le temps n’est plus aux élucubrations de ces '’faux ''experts'' / vrais nuisibles’’ dont le ''covid'' a révélé la nullité, la prétention et les limites. ''Les menaces, écrivions-nous hier, se rapprochent, à en devenir perturbantes dans notre quotidien”...
Bouallem Sansal tente depuis 20 ans de comprendre et d'expliquer ce qui a mené l'Algérie à l'impasse politique, sociale et économique où elle crève, et à la montée de l'islamisme qui achève de la tuer. Cet écrivain possède un don extraordinaire : celui de la formule juste qui dit en peu de mots ''qui cognent'' ce que tout le monde devrait penser et ce que très peu voient. Jugez-en plutôt : ''L'Université enseigne en arabe classique, ce qui peut se comprendre, mais à des étudiants qui ne pratiquent que l'algérien, qui est un sabir fait de t’Amazight, d'arabe venu d'ailleurs, de turc médiéval, de français du XIXe siècle et d'un soupçon d'anglais new-age mal prononcé'' ! Autre exemple, qui nous concerne de plus près : ''Par sa passivité et sa myopie, le gouvernement français participe au plan de conquête de la planète, en se soumettant, avec ses habitants, à l’islam'' (Le Nouvel Antisémitisme en France).
Or son analyse est impitoyable : ''Oui, l'Europe a peur de l'islamisme, elle est prête à tout lui céder. [...] La réalité revisitée en boucle, devient sans effet sur les gens, comme on l'a vu en Algérie durant les années noires : les gens qui, au début, s'émouvaient pour une victime du terrorisme ont fini après quelques mois de carnage par ne ressentir d'émotion que lorsque le nombre des victimes par jour dépassait la centaine, et encore devaient-elles avoir été tuées d'une manière particulièrement horrible. Terrible résultat : plus les islamistes gagnaient de terrain et redoublaient de cruauté, moins les gens réagissaient. L'info tue l'info, l'habitude est un sédatif puissant et la terreur, un paralysant violent''. La question suivante est, on s'en doute : où en sommes-nous, en France, aujourd’hui ?
''La religion, précise Bouallem Sansal, me paraît très dangereuse par son côté brutal, totalitaire : l'islam est devenu une loi terrifiante qui n'édicte que des interdits et bannit le doute, et ses zélateurs sont de plus en plus violents. Il faudrait qu'il retrouve sa spiritualité, sa force première. Il faut libérer, décoloniser, socialiser l'islam (…) qui fait peut-être aimer Dieu mais rien n'est plus fort qu'elle pour faire détester l'homme et haïr l'humanité''. Et il ajoute, impitoyable : ''Les Algériens sont inquiets, parce qu’ils constatent jour après jour, mois après mois, année après année, que la France ne sait toujours pas se déterminer par rapport à l’islamisme : est-ce du lard ou du mouton, est-ce de la religion ou de l’hérésie ? Nommer ces choses, elle ne sait pas, c’est un souci. Pendant ce temps, le boa constrictor islamiste a largement eu le temps de bien s’entortiller, il va l’étouffer pour de bon''
Dans ''Dis-moi le paradis'', il s'en était pris à ''la bêtise souveraine'' avec des accents dignes des plus grands écrivains de langue française : l'inspiration de Camus est, physiquement, toute proche : ''Vinrent les guerres, toutes les guerres, les mouvements de population, les holocaustes, les famines, les déclarations solennelles, les liesses propices aux mensonges, les longues attentes sur le qui-vive, puis les guerres reprirent, les clivages de fer, les vieilles haines ressuscitées, les exils, les exodes, et encore les mots qui blessent, les mots qui tuent, les mots qui nient. Mais toujours inchangée dans la guerre ou la paix, marchant en tête, discourant à perte de vue, pontifiante et grossière : la bêtise souveraine''.
Le problème, c’est que les démocraties occidentales ne comprennent pas à quel ennemi elles ont affaire. ''Elles perçoivent l’islamisme comme un courant religieux ''un peu excessif'' alors qu'il est, aussi, une organisation politique dont la vraie finalité est d’imposer ses idées et de prendre le pouvoir. Bien plus qu'une religion, l’islam est une civilisation, et la France refuse de le voir. Serions-nous aveugles ? Oui, car nous avons peur : les pays occidentaux ne veulent pas se mettre à dos des pays comme le Qatar et l’Arabie Saoudite. Et oui, aussi, par la faute du “politiquement correct” qui n'est que suicidaire''. Et que de vérité cruelle dans la phrase : ''Alors, lorsque Emmanuel Macron, parle de séparatisme religieux, c’est du baratin ! On n'est pas en train de parler d’un couple qui se sépare puisque en l'absence d'union, il n'y a pas divorce. Les islamistes ne veulent qu'une chose : prendre le pouvoir et pour eux, il n'y a donc que deux options : ou je vous impose mes idées et vous convertis, ou je vous liquide et je vais prendre votre place.
L'islam ce n'est pas l'islamisme, répètent nos beaux esprits Mais où mettent-ils la frontière ? Où s'arrête l'un, et où commence l'autre ? Comment identifier celui qui est ici, celui qui est là... ou qui est en train de migrer de l'un à l'autre ? C'est une seule et même chose, prise ou considérée à deux ''moments'' de son ''être'', dans un continuum linéaire. ''Tous les musulmans ne sont pas islamistes, certes... mais tous les islamistes sont musulmans'', c'est aussi du baratin : où mettre la frontière ?
Pour ce qui concerne le triomphe dévastateur de l’islamisme sanglant, l’exemple est à prendre en Algérie, pays qui était socialiste limite communiste, où tout le monde rigolait de ces frères dits musulmans avec leur idéologie du moyen-âge qui ressassait des vieilles lunes... mais qui creusaient leur sillon en silence, sans jamais perdre le fil de leur stratégie de conquête du pouvoir... Et le jour où les grands esprits gorgés d'idées de gauche ont ouvert les yeux, il était trop tard !
Un émouvant prêtre égypto-libanais de 89 ans (il est né en 1931), le RP Henri Boulad, tourne et retourne sur les réseaux sociaux depuis 2012, ce qui est déjà une prouesse en soi ! Son message est simple, en apparence : ''Regardez ce qui s'est passé dans tous les pays où l'islamisme a pu se créer un espace pour vivre et prospérer : tout petit à l'origine, il a tout contaminé, tout pourri, tout rongé... jusqu'à s'imposer au terme de terribles combats fratricides et à détruire tout ce qui existait, pour le remplacer par le néant qu'il représente... La France est dans la tourmente. Ouvrons les yeux ! Réagissons ! Comportons nous en êtres conscients et dotés d'intelligence... ce qui n'est ni dans l'ADN ni dans les comportements ni dans les capacités de progrès de tous nos dirigeants actuels. Le moment est d'une gravité absolue, et il commence à être un peu tard...''No comment'', ajouteraient les anglo-saxons, après une telle avalanche de ''vision'', de sagesse et de bon sens...
H-Cl.
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