#comme un ciel en nous
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a-room-of-my-own · 2 years ago
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Le terroriste d'Annecy est aussi chrétien que je suis raélienne 🤦
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 month ago
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EN CE JOUR DE NOËL
Aujourd'hui, je veux adresser un mot à tous.
A ceux dont la pièce est remplie de rire, à ceux qui cheminent seuls, accompagnés d'une douleur qui ne se dit pas. A vous, dont le silence de l'absence pèse lourd comme un manteau d'hiver.
Pour les cœurs en deuils, que la douceur d'un souvenir vienne doucement vous effleurer, comme une étoile discrète au ciel de vos pensées. Que l'absence laisse place l'espace d'un instant à une tendresse pour nos regrettés absents.
Pour les âmes esseulées, que ce jour de Noël vous murmure combien vous êtes importants, qu'il y a quelque part une lumière qui brille pour vous et se rapproche à chaque instant.
A vous qui luttez contre la maladie, je vous souhaite de trouver la force de croire en des jours meilleurs, et le réconfort dans les petits instants de paix.
A ces parents, qui en ces fêtes n'ont pas leurs enfants à leurs côtés. Que votre amour voyage, invisible mais puissant comme un fil d'étoiles tendu entre vos âmes. Que chaque pensée que vous leur envoyez les atteigne peu importe où ils se trouvent.
Pour ceux qui cherchent encore un sens à cette fête, sachez que Noël n'est pas seulement une célébration bruyante. C'est aussi une promesse, celle d'une lumière qui revient même dans les nuits les plus noires.
A vous tous, je vous souhaite un joyeux Noël dans toutes ses nuances. Je lève mon verre à ceux qui nous manquent, que notre amour voyage à travers l'espace.
Jennifer.K
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moncoeurestatoimonamour · 4 days ago
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Le ciel, comme un peintre inspiré, nous offre chaque jour un spectacle unique. Parfois, il se pare de teintes roses et dorées à l’aube, d’autres fois, il se transforme en une mer de bleu profond, parsemée de nuages qui semblent danser lentement. Le soir, c’est un feu d’artifice de couleurs, du orange au pourpre, que la lumière du soleil laisse derrière elle, tandis que la nuit prend peu à peu le relais, avec ses étoiles scintillantes. Chaque nuance, chaque mouvement est une promesse d’émerveillement, un rappel que la beauté peut se trouver dans les moments les plus simples. Si l’on prend un instant pour lever les yeux, on découvre que le ciel, dans toute sa grandeur, est un spectacle à couper le souffle, offert gratuitement à tous ceux qui prennent le temps de le regarder.
Dent de Crolles , Chartreuse / France 🇫🇷
PhoTo by ©️LM
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coovieilledentelle · 2 months ago
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Décembre est la fin qui ressemble à un début. Décembre remplit nos cœurs de miséricorde et d'humilité.
Décembre est le temps des miracles, le temps des contes de fées, le temps de la magie et des cadeaux. Un cadeau que nous avons attendu toute l'année. Parfois le plus cher à notre coeur. Une série de moments magiques pour les familles. Les gestes du cœur, l'affection, la chaleur du mois de décembre sont disposés de manière tentante dans le collier le plus exquis. Un collier qui illumine l'arrière-plan enneigé et réfracte nos rayons de soleil préférés dans un arc-en-ciel coloré d'espoirs pour un début coloré. Décembre brille de toutes les couleurs sur le fond blanc… Comme une feuille sur laquelle on écrit les moments passés et les projets d'avenir… entre les lignes du bilan. L'évaluation pour savoir si nous avons été bons, si nous avons été plus heureux au cours de l'année écoulée, ce que nous serons au cours de la nouvelle année… Nous colorons de nouveaux rêves, et ce que nous voulons oublier reste sous la ligne. Nous effaçons les attentes erronées pour faire de la place dans nos yeux pour de nouveaux couchers de soleil magnifiques , mais seulement pour les retrouver après des levers de soleil encore plus beaux. Décembre est la flamme dans la cheminée, qui est allumée par les étincelles de nos sourires, par l'affection dans nos yeux, par les mains tendues avec gratitude. Décembre a la couleur de l'amour et du vin rouge. Il nous enivre au fil des jours du calendrier. Et il nous rend réels. Il nous fait revivre nos souvenirs d'enfance. Il nous donne de l'humanité, de la foi, de l'espoir et du partage ! Décembre est notre prière… Ne pas être seul ! Soyons meilleurs ! Que nos enfants soient plus heureux ! Que nos proches soient en bonne santé ! Que nos cœurs soient pleins ! Que la route soit lumineuse ! Les gens - bénis… Qu'il en soit ainsi !
Charlotte
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cheminer-poesie-cressant · 2 months ago
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Nuée d'oiseaux en formation permanente
comme un ballon qui se gonfle de ciel
puis soudain se rétrécit,
comme un ballon qui respire,
par moment poisson sans aile
qui se divise pour disparaître, lointain.
peut-être pour trouver l'énergie d'avancer,
peut-être pour nous rappeler que le ciel est vivant !
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(Dans la portée des ombres, extrait)
© Pierre Cressant
(lundi 10 octobre 2005)
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 368
Vacances de la Toussaint (en France)
Depuis que je suis arrivé aux USA, je reste en contact par skype avec la France et mes amours bien sûr mais aussi mes " petits frères " Enguerrand, Max et Nathan.
Je ne sais pas si je leur manque mais eux m'appellent deux fois par semaine pour me raconter leurs misères tout en insistant bien sur leurs excellents bulletins de notes.
Du coup je ne peux refuser qu'ils me rejoignent tous les trois aux vacances de la Toussaint (je leur offre même les billets en première).
Ils arrivent accompagnés de PH et Ludovic. Je loue un shuttle entier et avec Tyler, les cueille à l'aéroport. En vol direct ils ne sont pas trop fatigués. Sur la route qui nous conduit chez le père de Tyler, Ludovic me dit qu'Enguerrand s'est fait un des Stewards dans l'avion. S'ensuit une bagarre verbale entre les deux frères, le plus jeune traitant son ainé de balance. Max et Nathan sont morts de rire car en fait ils avaient fait le pari à qui serait le premier à baiser en vol.
Tyler est éberlué de la façon qu'ont les benjamins de parler de sexe. Ces derniers poussent de grands cris dès qu'on entre dans San Francisco. Collés aux vitres ils n'arrêtent pas d'échanger leurs impressions. Nathan s'attendait à plus de gratte-ciels. Ils adorent dès qu'on passe Market street. Ça monte et ça descend comme dans les films.
Le standing de la maison de Matthew fait siffler le plus impudent.
Présentation au père de Tyler qui explique aux plus jeunes qu'ils sont chez eux. Je m'empresse d'ajouter en français que c'est réellement comme chez eux, c'est-à-dire qu'ils ne mettent pas tout à feu et à sang, pas plus qu'ils ne ramènent du monde.
Promesse de mes trois excités.
En attendant ils amusent bien Tyler et son père. Dane venu nous rejoindre pour diner intrigue le trio jusqu'à ce qu'il monte se coucher avec nous trois (PH, Ludovic et moi). J'entends tout bas un " faites ce que je dis, pas ce que je fais " alors que la porte de notre chambre se referme.
 Nous entamons la nuit par un bon moment de sexe. Dane est content de retrouver mes deux amours et, après avoir rapproché les deux lits KingSize, nous passons de corps en corps, de bouches en bouches à bouches en bites et/ou en anus. J'ai grand plaisir à retrouver les corps parfaits de mes partenaires privilégiés. De leurs côtés j'ai l'impression qu'ils sont contents aussi. PH fait attention à ce que Dane ne soit pas exclu de nos retrouvailles. Je me gave de leurs langues, je retrouve le goût de leurs bites et de leurs précums. Miammm je les dévore !
Comme on va passer au sérieux (j'entends par là, les sodos), nous voyons la porte s'ouvrir et mes trois loustics sauter sur le lit. Evidemment ils sont déjà à poil et tout bandants !
Dane est le plus surpris. Moi, je pensais qu'ils auraient quand même attendu une invitation et peut être même un jour ou deux.
On repart pour quelques préliminaires mais les nouveaux venus nous font comprendre que ça, ils l'avaient déjà fait.
Max s'attaque à Dane que je dois décomplexer pour qu'il accepte de baiser avec. Enguerrand fait son " Caliméro " et brule la politesse à son frère pour que je l'encule. Ludovic le fait pivoter sur le dos (ma queue servant d'axe) et le chevauche. Non pas pour qu'Enguerrand le sodomise mais pour m'offrir le choix.
Royal !! Je passe d'un cul à l'autre trouvant le même plaisir dans chacun de leur corps. Sans ressentiments ils se roulent une pelle alors que je lime leurs rondelles en alternance.
PH s'occupe de Nathan en attendant que je pense à lui. Mais je pense à lui, même quand je lime un autre cul que le sien ! C'est mon amour !!
Je laisse les deux frères et le décolle de Nathan que j'envoie s'intercaler dans la fratrie.
Là c'est le gros câlin d'amour qui nous place dans une bulle.
Pelles, pipes, sodo, re pipes, re pelles, bouffages de rondelles et autres suçages de tétons, la totalité de nos corps participe à notre plaisir mutuel.
Quand nous explosons enfin, moi dans son cul et lui dans ma main, que nous léchons à deux. On s'aperçoit que la chambre est silencieuse et que nous sommes entourés de 5 voyeurs.
Dane me dit que c'était superbe : " gorgeous " pour lui. Il ajoute qu'il est pressé de trouver un mec avec qui se sera pareil.
Les " petits " s'éclipsent sans demander leurs restes et nous dormons entremêlés.
Réveil des Français dès 7h, décalage horaire ! Nous nous entassons dans le 4x4 de Dane pour faire connaitre au trio les délices du petit déjeuner chez Dottie's.
Comme j'y passe dès que je peux, je commence à y être connu. Il n'empêche que nous faisons la queue comme tout le monde. Le serveur nous place à la grande table (la seule) qui jouxte l'entrée. Je lui explique qui sont mes invités. Il les gratifie d'un  bienvenu à San Francisco, draguant plus qu'à moitié Enguerrand. Le café arrive aussitôt accompagné d'un grand verre d'eau. Ça nous laisse le temps de choisir et à lui le temps de placer quelques clients de plus.
Quand nous passons commande, il est quand même un peu surpris par la quantité. Il n'empêche que les muffins comme les pancake et les oeufs brouillés/bacon/patate disparaissent tous de la table.
Nous déposons Tyler chez lui et faisons un détour par chez Dane pour récupérer son petit frère.
Il nous explique qu'il lui a demandé de s'occuper des jeunes pendant les 10 jours qu'ils vont passer ici. Comme il a son permis (c'est plus tôt qu'en France), ils seront indépendants les jours à venir. Ludovic le remercie et lui dit qu'il ne fait pas forcément un cadeau à son frère vu la " turbulence " du trio.
Quand nous rencontrons Duke, nous sommes rassurés. Il est aussi balèze que nous et semble pas timide. Sa poignée de main est ferme et il prend tout de suite le trio en charge. Ils grimpent dans son Pickup et nous propose de les suivre.
Alors qu'on file vers les quais, je demande à Dane s'il sait où son frère nous emmène. Réponse " aucune idée ". On est vite fixé en apercevant le quai d'embarquement pour Alcatraz.
Petite traversée calme. Je note que le trio a intégré Duke et réciproquement. Ils ne s'occupent plus de nous ! Visite intéressante, retour calme aussi, le quatuor parcourant le petit ferry de long en large.
Comme on reprend les voitures, Duke nous dit qu'ils vont aller faire du surf et qu'ils nous retrouveront dans la soirée. Si ce n'est pas un congé, c'est bien imité ! J'attrape Enguerrand et lui glisse un paquet de dollars, précisant qu'il ne devait pas laisser payer Duke pour eux. Il pousse les billets dans son short et me fait un bisou en me disant qu'il sait vivre.
On les retrouvera fourbus mais excité de s'être essayé au surf avec Duke.
Pendant le diner, il est à ma gauche. J'en profite pour lui demander si ça le gave pas trop d'avoir à se trainer 3 petits français. Quand il me dit qu'heureusement que nous autres (PH, Ludovic, Dane et moi) seront repartis ou en cours, comme ça ils pourront s'essayer à d'autres sports. Je capte le sous-entendu. En moi je me dis que si le petit frère est du même moule que le grand, ils vont bien s'amuser. Je donne ma bénédiction d'un " d'accord mais tu fais attention à eux, j'y tiens beaucoup " ce qu'il me dit savoir déjà et accepte.
 C'est vers la fin du diner, le vin aidant que l'on apprend qu'il s'est déjà fait Nathan et qu'il est pressé de faire l'amour avec les deux autres avec lesquelles il n'a pu qu'échanger quelques pipes dans le pickup. Questions des plus âgés pour savoir quand ils avaient réussi à le faire (Nathan et lui), réponse dans les toilettes d'Alcatraz alors qu'on attendait la navette.
De Dane à qui je reproche de ne pas nous avoir prévenus que son petit frère était comme nous, me parvient la réponse que si j'avais été au courant, j'aurai cherché à lui enfiler ma bite en premier. De Duke m'arrive un " mais t'inquiète j'ai bien envie de le faire avec toi ".
Merci pour mon égo !
 Le lendemain après le départ de mes deux amours pour la France, Duke me demande s'il pouvait inviter la triplette chez lui, que ce serait beaucoup plus simple que de venir les chercher tous les jours chez Matthew. Dane m'assure que ses parents ne verront même pas la différence habitués à ce que de leurs amis passent souvent quelques jours chez eux. Tyler me dit qu'effectivement les parents de Dane et Duke sont cool et qu'il lui est arrivé d'y squatter 1 semaine quand son père était absent.
Je cède !! Et je reçois ma récompense, un french kiss de Duke ponctué à l'attention de Dane d'un " tu ne pensais quand même pas te le garder pour toi tout seul ?! ".
Retour à la Fac. Tous les soirs les garçons m'appellent pour me raconter leur journée. Visite complète de San-Francisco, de la Napa Vallée, échanges sportifs avec leur hôte très intéressé par le savant mélange des différentes techniques de combat que nous avons développé.
Quand ils apprennent que j'ai eu droit à des cours particulier avec un véritable Navy Seal, ils sont excités (bien que ce soit leur état naturel). C'est Enguerrand qui me dit que coté cul je vais apprécier le WE à venir. Il ne sait pas pour Dane mais Duke est un sacré bon coup au lit. Venant de lui qui en connait un bout sur le sujet, je bave d'impatience.
Quand j'en discute avec Dane, ce dernier me dit qu'il n'en sait rien, ils n'ont pas d'amis commun (enfin, de lit). Quand je lui demande s'ils n'ont rien fait ensemble depuis qu'il sait que son frérot est gay comme lui, il me le certifie à moitié choqué.
Dès le vendredi soir nous rejoignons les benjamins chez Dane. En plus de son frère et du trio français, il y a déjà 4 autres jeunes mecs.
Présentation, ce sont les meilleurs potes de Duke et d'après les comportements, ils connaissent déjà mes " petits frères " et bibliquement même !
Les parents partis prendre le soleil à San Diégo, nous avons la maison pour nous.
Ça devait arriver, à peine une demi-heure après notre arrivée, Duke réussit ce qu'il avait en tête depuis notre première rencontre, c'est-à-dire baiser avec moi !
Un peu plus petit que Dane, mais pas de la bite qui, aussi longue me parait juste un peu moins épaisse, il est terriblement baisable !!
Grosse pelle, pompage mutuel avec plus de la part de Duke. Il apprécie mes gorges profondes et me dit qu'il comprend d'où vient l'entrainement du trio. Lui-même n'est pas en reste et la capacité de sa gorge dépasse son encombrement par mon 20x5. Quand je le félicite, il me dit de ne pas en parler à Dane, il veut pas qu'il le croit trop " salope ".
C'est lui qui, d'impatience, me présente sa rondelle et se plante sur ma bite (préalablement recouverte de synthétique).
Quel cul ! Encore plus " nerveux " que celui de Dane, il m'enserre la bite, la pressant à me faire croire que j'encule un puceau. Il n'empêche que quand je pousse pour lui mettre mon dernier cm, le plus épais, j'ai le plaisir de l'entendre couiner.
Il tourne la tête et nous nous roulons un patin. Je le pousse à 4 pattes et après avoir attrapé ses hanches je l'encule virilement. Il apprécie et gémis sans retenue. Après un retournement afin qu'on se voit prendre notre pied, il m'enserre les hanches de ses jambes alors que je me colle à lui et lui donne ma langue à téter. Mes hanches continuent de pousser ma bite dans sa rondelle. Simultanément je sens son jus s'infiltrer entre nos abdos et sa rondelle bloquer les mouvements de ma bite à chaque éjaculation. Il me fait jouir et je m'écroule sur lui.
Alors que nous prenons un instant de repos avant de rejoindre les autres, il me demande comment je le note par rapport à son frère.
Je ris et lui dis qu'il va falloir qu'on recommence plusieurs fois pour que je puisse juger en toute connaissance de cause. Là, on s'est fait 2 positions ce qui est un peu court pour la comparaison.
Jardinier
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desviesennoiretblanc · 2 months ago
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Quelques phrases lues en 2024
En 2019, six Martine ont été engendrées par six familles courageusement rebelles aux appellations du jour.
Je ne vais faire que ça désormais : chercher partout des yeux qui me cherchaient partout.
À l'époque où je ne la connaissais pas, j'attendais déjà Anne Lebedele.
J'aime les lieux délabrés, j'en habite un.
[...] on disait chochotte quand j'étais petite pour les enfants délicats qui faisaient toujours des manières ou des histoires, et ça n'était pas un compliment, surtout pour les garçons.
Elle en était convaincue : si les hommes étaient capables d'échanger avec la même profondeur que les arbres, ils cesseraient de s'entre-tuer.
Chaque appartement qui se respecte, selon vous, devrait avoir, en vis-à-vis, un hôtel confortable.
Chaque soir nous jouions à ne pas mourir.
Les langues de vieux ne parlent que le patois et n'ont embrassé qu'une seule bouche.
Il y a cent mille espèces d'amour, inventées séparément, toujours plus ingénieuses, et chacune d'entre elles engendre des choses nouvelles.
À ceux qui l'écoutaient, il parlait des nuages et des larmes, de ces mondes lointains, de toutes ces choses de la terre et du ciel que ne savent que les enfants et les fous.
Il neigeait un tout petit peu, dehors, tellement peu que si je l'avais voulu, simplement pour m'amuser, je crois que j'aurais pu éviter les rares flocons qui tombaient et, le nez en l'air, en zigzaguant sur le trottoir, parvenir ainsi jusqu'au bout de la rue, sans qu'aucun m'ait atteint.
À quand remontait la dernière fois que les habitants de cette impasse avaient vu passer sous leurs fenêtres une Renault immatriculée dans les Bouches-du-Rhône ?
Face à face, chacune clouée sur son mur, une publicité pour Pepsi et l'autre pour Coca qui se regardent en chiens de faïence.
Il y a toutes sortes de gens dans le monde.
Les mensonges, c'est comme les os de poulet. Ils se coincent dans mon gosier et je les recrache.
J'aimais les insultes qui fusaient au bord des terrains de foot.
Parfois chez moi, quand il n'y a que les murs, je touche les murs qui me touchent en retour, est-ce que c'est faire le mur ?
Je refusais de cauchemarder de nouveau à cause d'une image.
Mélanie Martin était célèbre dans le pays pour avoir vu, en chair et en os, à l'occasion d'un baptême, Léon Zitrone.
Combien de fois dans ma vie ai-je prononcé la phrase suivante : « J'étais au collège à Sancerre » ? Et pour cause : j'étais au collège à Sancerre.
Il éclusa son whisky et, au lieu d'en commander un autre, opta pour une vodka comme s'il était facile de passer des États-Unis à la Russie.
Un clair de lune est-il rien d'autre, au fond, que quelque chose de quotidien, offert au mendiant comme au prince ?
C'est bien compliqué, la vie d'écrivain mais moins que la vie de non-écrivain.
Une année de lecture passée notamment en compagnie de Jean-Pierre Martin, Cédric Sapin-Dufour, Christian Oster, Olivier Rolin, Marie-Hélène Lafon, Marie Charel, Eric Faye, Camille Laurens, Marion Fayolle, Richard Powers, Étienne Kern, Joël Egloff, Sylvain Prudhomme, Régis Jauffret, Philippe Jaenada, Paul Auster, Antoine Wauters, Julie Marx, Yannick Haenel, Paul Fournel, Tanguy Viel, Enrique Vila-Matas, Robert Walser et Mathieu Lindon.
Bonne fêtes de fin d'année à toutes et à tous 🎅
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ptns-orageuses-rpg · 25 days ago
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OUVERTURE OFFICIELLE
Ça y est, c'est l'heure. Ce 11 janvier signe l'ouverture du forum. Plus qu'à assembler vos conneries pour nous montrer vos belles crapules. Plutôt que de faire un message solennel, on voudrait remercier les membres présents depuis le début en mettant en avant leur PL posté pendant la pré-ouverture ! Puis si ça peut vous donner deux - trois idées :
PL DES MEMBRES
(m) • ≈45 ans — le triton dansant La deuxième partie de ce trio amoureux. Ils se sont rencontré·es, il y a un moment maintenant ; reste à savoir ce qu'ils feront des souvenirs. Max, c'est un pacifiste, privilégie l'amour à la violence. Même les écailles de poisson sur ses jambes irradie l'amour de l'arc-en-ciel. 'Paraît que sous érythryle, il deviendrait le plus beau des tritons des catacombes.
(f) • ≈45 ans — la harpie sans ciel La troisième partie de ce trio amoureux. Silencieuse, observatrice ; perchée là-haut comme une vieille chouette à observer les rides de la ville. C'était une Misérable, à l'époque. Elle ne versait pas dans la violence, cependant : son truc à elle, c'était l'entraide communautaire. Lorsqu'ils se sont séparés, elle a volé de ses propres ailes : faut voir comme ils se sont aimés forts ces trois-là.
(m/nb) • 37 ans — adelphe caché·e Il en met plein les mirettes, l'artiste : membre d'un beau cirque altéré plein de promesses et de magies. Justicier, comme son frère, son militantisme passe par l'art et le spectacle. Douze années et un océan vous séparaient. Maintenant, vous vous retrouvez : reste à savoir ce que vous allez faire de tout ce temps à rattraper.
(f/m/nb) • 30 - 45 ans — toi C'est beau l'amour, parfois ça frappe comme ça, parfois c'est plus que médité. Il y a la liberté du scénario, l'envie de jouer une romance à construire avec son rpgiste. Plus qu'à associer vos histoires pour en construire une encore plus grande.
4/5 libres — la mutinerie Un effet papillon ; et la fumée des clopes est devenu la paillette des shows drags. La Mutinerie, c'est un bar queer dans les catacombes. Il est tenu par un vieux mec derrière son bar, mais il respire grâce aux belles âmes à l'intérieur. La bâtisse paraît ne jamais fatiguée, toujours fraiche, toujours slay. On pousse les tables, les meubles, pour faire du bar une estrade pour les étoiles d'une nuit.
Un grand merci de nous suivre jusqu'ici et à tous les membres déjà présents depuis le début de nos bêtises en décembre. On a juste trop trop hâte de lire vos personnages et vos fiches sur le forum. Putainement votre, Maxeine & Ekkymose
>>>LIEN VERS LE FORUM<<<
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orageusealizarine · 3 months ago
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You are my absolute desire.
Comme un cri s'arrache de ma gorge - la nuit entre mes mains - flots sombres que ne taisent plus rien. Et tes ramures qui m'effleurent et s'étalent tout autour de mes hanches - corolles de mes rêves où je m'enracine à ta peau.
Les bois nous étreignent et nous bercent - perdus l'un à l'autre dans une immensité sauvage - impossible fuite où je t'adore pourtant à hurler le cristal - qui s'écoule entre mes tremblements, entre mes doigts les perles, et ton regard définitif... Lueurs émaillées - passage changeant. Tes visions. A jour sur ma peau - regards nus - lumières, obscurités, des feux qui bougent - impossibles extases de tes élans... Viens ! - dans mes bras sombrer. Jusqu'au plus haut matin - où les branches écartées n'arrêteront pas nos caresses. Impossibilités... féroces... où tes dents s'enfonceraient encore si...
Le sang jaillissait.
De mes voluptés ivres. A t'entrouvrir au cœur des forêts - mes mains rapides s'efforcent - et demeurent anonymes... à tes côtes, je sens battre un ciel frénétique - que mes lèvres viendraient boire si...
Le soir tombait. Tout s'était refermé comme un astre.
Sérénité brutale. Je retournais la terre de mes doigts - qui s'enfonçaient - qui s'enfonçaient... à creuser tes désirs et rencontrer la foudre - qui m'habite. Surgissement... je me fige - intolérable... exaltation - je m'élance. Ton cœur à mes lèvres.
Et ma bouche en sang.
Luxures possibles où s'excèdent - des mondes. L'arbre éventré - l'éclair qui m'unit - un éclat. Ta main vrille - je m'abandonne ; et nos égarements... sans cesse - ramènent au cœur. De l'être. Là - je nous sais essentiels. Unis par soif - dévoration - absoluité. Où les bois nous étreignent. Et nous empoisonnent - nous rendant à nous-mêmes. A la jouissance de l'être - et aux désirs des astres...
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lisaalmeida · 3 months ago
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"Ma belle âme.
C’est parce qu’il y a cette distance entre nous que j’ose te dire les mots les plus amoureux, avouer mes élans, comme si un invisible gardien des secrets m’empêchait d’en parler quand tu es auprès de moi.
Je t’aime du bout du monde comme un navigateur désespéré qui saurait qu’il n’y a plus de côte, plus de terre où accoster, mais qui cherche encore et encore l’étoile du Nord…
Tu es cette étoile, une étoile tombée du ciel pour me séduire et rendre brillant tout ce qui se voile d’ombre et d’opacité. Je t’aime de cette manière désordonnée car je sais que le monde est fait de morales de circonstance, alors, autant les oublier et redéfinir pour soi et pour l’autre les codes du bien et du mal, laisser monter en nous la force d’aimer et la force de mal aimer, comme si elles étaient des lois écrites pour nous seuls, innocents et purs, choisis par un dieu n’aimant pas les relations publiques, pour que nous n’ayons pas à répandre la nouvelle de cela…
J’ai tellement espéré une femme qui ait la force d’une femme et la naïveté d’une jeune fille, que… c’est cela que je voulais te dire : cette espérance à trouver un visage et une âme, et ils te ressemblent.
De si loin, mon cœur bat pour vous."
Yves Simon
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mrsines · 3 months ago
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Jalousie
À la demande de @harknessshi en espérant que ça va te plaire.
29"Pouvez-vous s'il vous plaît arrêter d'être si jaloux pendant une seconde"
Agatha x Lecteur
Reader, membre du Coven d'Agatha, se tenait là, entourée par ses anciennes amies et nouvelles compagnes d'aventure. Leurs regards se croisaient dans une ambiance chargée d'électricité, alors qu'elles se préparaient à affronter la nouvelle épreuve, celle d'Alice. L'air était saturé d'excitation et d'anticipation, chaque sorcière arborant un style rock qui tranchait avec le passé traditionnel de leur magie. Reader, avec son jean similicuir noir qui brillait légèrement sous les lumières, dégageait une aura de confiance. Son t-shirt en col en V noir, ajusté à sa silhouette, ajoutait une touche de mystère, tandis que sa veste rouge flamboyante, presque comme une armure, attirait tous les regards.
Agatha, bien qu'elle se tenait parmi elles en tant que leader, ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d'œil vers Reader. Les souvenirs de leur amitié à Salem, teintés de rires et de secrets partagés, s'entrelaçaient avec le ressentiment causé par la quête insatiable de pouvoir d'Agatha. La tension entre elles était palpable, un mélange de nostalgie et de rivalité, comme une danse délicate entre le passé et le présent. Reader, consciente de ce regard insistant, ressentait un frisson parcourir son corps , à la fois intriguée et méfiante.
Autour d'elles, Jen, Alice et Lilia, et l'adolescent pleine de fougue, semblaient prêtes à plonger dans l'inconnu. Les éclats de rire et les murmures enthousiastes résonnaient, mais pour Reader, tout cela était assourdi par le poids de son histoire avec Agatha.
Dans l'atmosphère électrique de la salle, Jen ne pouvait s'empêcher de contempler Reader, son regard captivé par sa beauté saisissante. La façon dont Reader ajustait sa veste rouge, les mouvements fluides de ses bras, la manière dont ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules, tout cela faisait battre son cœur un peu plus vite. Jen, déterminée à ne pas laisser passer sa chance, prit une profonde inspiration et s'approcha de Reader.
« Hé, tu sais que cette veste te va à merveille ? » lança Jen avec un sourire charmeur, sa voix douce mais pleine de confiance.
Reader tourna la tête, surprise, mais un sourire se dessina sur ses lèvres. « Merci, Jen. »
« Tu es absolument incroyable, » répondit Jen, s'approchant un peu plus, ses yeux pétillants d'admiration. « Je veux dire, qui d'autre pourrait porter du similicuir et du rouge avec autant de classe ? »
Agatha, observant la scène de loin, plissa les yeux, un regard noir et méfiant s'installant sur son visage. Elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une vague de jalousie en voyant Jen flirter avec Reader sous son nez.
« Jen, tu devrais peut-être te concentrer sur l'épreuve plutôt que sur… disons, des distractions, » intervint-elle d'une voix glaciale, le ton chargé de menace.
Reader, consciente de la tension qui montait, essaya de garder son calme. « Je pense que nous avons tous besoin d'un peu de distraction avant de plonger dans ce qui nous attend, tu ne pense pas Agatha ? » dit-elle, lançant un regard complice à Agatha
« Exactement ! » s'exclama Jen, ignorant délibérément le ton d'Agatha. « Et puis, je suis sûre que nous allons toutes briller. Mais je dois admettre, Reader, que c'est toi qui voles la vedette. »
Le regard d'Agatha se durcit encore plus, mais elle ne pouvait pas s'opposer à l'énergie qui émanait de Jen et Reader. La tension était palpable, une bataille silencieuse entre l'amitié, la rivalité et l'attirance.
~oOo~
Agatha était assise dans la cabine de son, le regard perdu dans le vide, la tension palpable dans l'air. Chaque fois qu'elle voyait Jen s'approcher de Reader, une vague d'irritation l'envahissait. Elle levait les yeux au ciel, sa frustration se manifestant par un léger soupir.
Reader, qui avait remarqué l'humeur d'Agatha, décida de la suivre. Elle entra dans la cabine et ferma doucement la porte derrière elle.
"Peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ?" demanda Reader, son ton léger mais direct.
Agatha éclata de rire, un son qui trahissait une nervosité sous-jacente. "Je ne suis pas du tout jalouse," répondit-elle, feignant l'indifférence.
Reader croisa les bras, un sourire amusé sur le visage. "Ah, donc je peux passer tout mon temps avec Jen, ça ne te dérange pas ?"
Agatha leva à nouveau les yeux au ciel, silencieuse, son expression trahissant son malaise. Reader s'approcha d'elle, s'asseyant sur le bord de la chaise.
"J'aime bien te voir jalouse, mais ce n'est pas ce qui te va le mieux," ajouta-t-elle, son regard perçant cherchant à capter l'attention d'Agatha.
Agatha détourna le regard, mais un léger sourire se dessina sur ses lèvres. "Tu sais que je préfère quand tu es avec moi," murmura-t-elle finalement, la jalousie se mêlant à une affection indéniable.
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 month ago
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Chacun de nous a un point spécial sur la peau. Sur le cou. Très près de la gorge. Un abri protégé du reste du monde où des miracles se produisent.
Nous le gardons à l'abri des regards indiscrets, caché, fermé, inaccessible à la plupart. Seules quelques personnes ont l'honneur de rentrer en contact avec cette partie sacrée de notre être.
Les enfants s'y réfugient pour trouver un refuge, du soulagement, de l'amour.
Et les amoureux, pour s'y parler silencieusement en se touchant l'âme.
Nous ne choisissons d'ouvrir cette porte magique qu'en levant les yeux vers le ciel.
Nous nous immergeons dans le cou de ceux que nous aimons pour imprégner nos cœurs du parfum de leur peau. Et là, nous sommes bercés par leur chaleur corporelle et la merveilleuse mélodie de leurs battements de coeur qui, comme un tambour, scande notre rencontre d'âmes.
Il n'y a pas de contact plus tendre, plus doux et plus profond que de nous abandonner dans le cou des autres.Tout peut arriver dans ce lieu mystérieux.
Les bébés le savent bien eux qui se blottissent dans ce trou d'amour pour regarder le monde. Et l'on s'y sent tellement bien qu'on ne veut plus le quitter.
Se nicher dans le cou de quelqu'un, c'est comme entrer en son âme, respirer son essence, carresser sa douceur. Le temps passé entre nos cous est le plus beau. À accueillir et à recevoir l'amour. Le Vrai !
Elena Bernabé
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ethereal-skies-forum · 6 days ago
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【 01. PROLOGUE 】• Immergez-vous dans l’univers (pour la seconde fois parce qu’on est shadowban sur notre compte principal 🤩).
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Trempées par l'écume que régurgite l'océan, les voiles du vaisseau ballotté par la houle claquent au vent. Leurs gémissements peinent toutefois à recouvrir le fracas des déferlantes qui explosent contre les écueils disséminés dans l'eau, leurs têtes acérées levées vers le trois-mâts qui se faufile entre eux en prenant garde de ne pas les frôler. Un murmure secoue les lèvres de la guetteuse perchée sur un espar lorsqu'un navire de taille plus modeste apparaît dans son champ de vision. Son pavillon parme, frappé de l'emblème du NORTHUNYRE, flotte dans le lointain comme une nuée menaçante dans un ciel d'orage. La poitrine du marin s'immobilise. Une embuscade ? Mais la petite embarcation esseulée s'éloigne déjà, portée par un courant qui la conduira sans doute bien plus au nord, sûrement jusqu'au port de Hranridburh où elleux-mêmes ne peuvent plus se rendre. « Foutus indépendantistes ». L'insulte se noie dans les eaux sombres qui enlacent la coque. Elle n'a guère le temps de médire davantage du jeune État rené d'une rébellion : les côtes familières d'HEVENBYRE s'effacent progressivement pour laisser place à celles de KYANÓS, leur destination. Contenu entre les quais bondés de Kallipolis, l'océan tempétueux a retrouvé l'allure maussade d'une bête domestiquée.
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« Ceanlast soit béni pour avoir protégé cette traversée ». Les verres des matelot.es s'entrechoquent pour chanter victoire. Sa précieuse cargaison déchargée, l'équipage étranger s'est empressé de gagner la taverne dans laquelle il a ses habitudes dans la grande cité kyanósienne. D'autres baroudeur.euses se joignent bientôt à la tablée, pressé.es d'être les premier.ères à leur confier les dernières nouvelles qui s'échangent dans tout S t a r a c e s t e. « Un accord entre BRASÉA et GARYANITH ? Tu parles. L'armée braséenne vient d'ouvrir un nouveau front à la frontière de la région de Qjarnamn... Paraît que Garyanith a tenté une percée sur leurs terres ». Une voix acquiesce et maugrée : « C'est mauvais pour les affaires, le prix de l'ith a complètement explosé ». Une autre réplique : « Et celui de l'or braséen, alors ? C'est à s’demander s'ils se souviennent qu'on est alliés. » Tenue en haleine par le torrent de paroles qui se déverse tout à coup, l'assemblée attentive tourne la tête tantôt à gauche tantôt à droite pour ne pas laisser un mot s'échapper. « Et vous, vous comptez faire halte en Hevenbyre avant de reprendre le chemin du Continent ? ». Une membre de l'équipage réfute : « Non, interdiction formelle de commercer avec Wuldorgen. Le gouvernement souhaite le retour des Sceogast au pouvoir et nous ferait pendre si on traitait avec les séditieux ». Grognements d'approbation. Sur l'île aussi, rares sont celleux à voir d'un bon oeil la victoire des putschistes. « Mais comment il va faire, le roi, pour récupérer le trône ? L'armée hevenienne est infestée de traîtres. » Un vieux gabier enroule ses doigts abîmés par le métier autour de l'épaule de son interlocuteur et le tire vers lui afin de lui glisser : « C'est à s’demander si vous avez oublié que vous êtes alliés... ». Un rire rauque lui échappe mais il en ramasse vite les éclats pour reprendre avec gravité : « Les vaisseaux de guerre hranrides attendent l'ordre de quitter le port où ils sont stationnés. Ils viendront renforcer les rangs de la flotte de Kyanós. » Tous les regards se tournent vers eux. « Mais les Révérendes Mères n'accepteront jamais de mener cette attaque, elles veulent la paix... » Le marin resserre sa prise sur son épaule. « Et elles savent qu'on l'obtient pas sans faire la guerre. Prie Nasilor pour que celle-ci soit courte, mon frère. »
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La taverne se vide à mesure que les heures défilent. L'équipage hranride lèvera l'ancre le lendemain, au petit jour, pour regagner le Continent. Il laissera derrière lui la silhouette figée de l'île de Staraceste, piégée au milieu de ces eaux remuantes qui, à la lueur de l’aube flamboyante, auront retrouvé une teinte rouge sang.
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adropintheocean-rpg · 9 months ago
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༄ A DROP IN THE OCEAN ⁠
forum city, époque actuelle ༄ Il y a dans l'air une odeur spéciale, un parfum fleuri de vacances paradisiaques en plein cœur de la côte est. L'exotisme des palmiers s'entremêle à la grandeur des buildings, le bruit de la ville se mélange aux vagues qui s'entrechoquent contre les rochers. Les teintes colorées des planches de surf se perdent dans l'eau bleutée. Les rayons omniprésents du soleil se reflètent sur les façades des gratte-ciels. Le temps ne s'arrête jamais, pas même dès que la lune apparaît. Dans la nuit, les lumières et la pénombre se mélangent pour former la beauté de cette ville où les espérances peuvent devenir réalité ou être emportées par la marée. Parfois, le bleu de l'océan se transforme, comme une menace lointaine que l'orage peut approcher, que tout peut changer. Dans la ville magique, les âmes aussi ont des couleurs différentes. Les esquisses de sourires sur les visages n'ont jamais la même saveur, les accélérations du cœur dans la cage thoracique, les lueurs dans le regard ont toutes une raison spéciale. Une raison unique. Car tout est unique ici. Tout est unique à Miami.
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Nous avons le plaisir de vous présenter le contexte d'un projet qui nous tient à cœur et qui, nous espérons, vous plaira. ♡
༄ Ce qu'il faut retenir : forum ancré dans la ville de Miami, en Floride; un rp par mois vous sera demandé; aucun minimum de lignes; city simple avec la possibilité de jouer tous types de personnages.
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Le forum est déjà bien avancé, il nous reste seulement quelques petits détails à fignoler, mais l'ouverture est prévue très prochainement.
༄ Vous pouvez dès à présent réserver un fc, la liste de ceux déjà réservés se trouve par ici. Vous pouvez également demandé à être prévenu.es.
A bientôt ! ☼
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iranondeaira · 18 days ago
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"L'homme est bien un roseau pensant, mais ses plus grandes oeuvres se font quand il ne pense ni ne calcule. Il nous faut redevenir comme des enfants, par de longues années d'entraînement à l'art de l'oubli de soi. Quand cela est réalité, l'homme pense et pourtant il ne pense pas; il pense comme les ondées qui tombent du ciel; il pense comme les vagues qui déferlent sur l'océan; il pense comme les étoiles qui illuminent le ciel nocturne; il pense comme le vert feuillage qui bourgeonne dans la paix de la brise vernale. En vérité, il est les ondées, l'océan, les étoiles, le feuillage."
Daisetz T Suzuki
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 359
Espagne 2015-1
Le départ en vacances.
On récupère les jeunes la veille de notre départ. Nathan arrive avec une valise énorme. Il nous dit que sa mère l'a obligé à prendre des vêtements pour toutes les circonstances même la pluie. Il est désolé ! Je l'accompagne à la chambre qu'il va partager avec Max et Enguerrand. Ils sont avec nous. On ouvre le " coffre " et je sors tout pour trier et ne garder que le nécessaire.
On trouve 4 jeans + 2 pantalons de toile beige, 4 shorts Adidas et Nike neufs, 4 maillots de bain sans marque mais pas trop moches, des t-shirt, slips et polos en pagaille et 2 pulls en cotons. On y trouve même des socquettes, une cravate, des chaussures de ville et d'autres de sport.
J'isole 1 jeans et 1 pantalon de toile, 2 shorts (1 de chaque marque) après essayage, j'envoie Max chercher 4 maillots dans ceux qu'il utilise habituellement pour les ajouter au tas. Une demi-douzaine de t-shirt est suffisante puisque là-bas, il y a quand même machine à laver et sèche-linge ! Comme nous passons notre temps sans ou en maillot de bain, je sélectionne 3 slips en sus. Un seul pull devrait suffire et on laisse les chaussures de ville. J'ajoute sa trousse de toilette et j'ai réduit des 3/4 la masse à emporter. Enguerrand trouve une valise avion moyenne et tout rentre dedans.
Il s'inquiète un peu que ça fait quand même pas beaucoup pour 3 semaines. Il n'a jamais eu ce type de vacances ! Je lui dis qu'au pire il pillera les affaires de Max ou d'Enguerrand puisqu'ils sont quasiment du même format. Je vois un sourire apparaitre sur son visage perplexe. Je l'attrape par le cou, baisse sa tête au niveau de mes pecs et lui frotte la tête avec mon poing. Puis je le relâche et lui roule une pelle. Il ressort de mon intervention en titubant et est retenu de tomber par ses deux acolytes.
Au pire on achètera sur place ce qui nous manque.
Nous sommes 8 à partir. Marc et Hervé arriveront directement à Barcelone de leur déplacement en Asie.
La veille du départ et malgré le réveil prévu à 8h le lendemain, nous nous faisons une minitouze sur la terrasse. Nos analyses étant récentes et bien sûr négative, les kpotes restent dans leurs blisters et nous pouvons profiter des contacts directs entre nous.
João et Romain s'intègrent bien à ma petite " famille " et ils utilisent autant les rondelles des trois jeunes que nous et ne rechignent pas à leur laisser l'accès aux leurs. Après un petit temps d'adaptations aux dimensions supérieures de nos deux invités, la triplette profite sans retenue de leurs sexes. Même après une première éjaculation, nous restons tous chauds et remettons le couvert immédiatement. La seconde jouissance est plus longue à venir. Nous profitons de ce délais pour nous caresser, tenter des combinaisons multiples. On a même le temps de se faire un " petit train " Enguerrand est en début d'enculage, sodomisé par son Max, lui-même défoncé par Nathan, labouré par Ludovic qui se prend PH dans la rondelle. Romain s'enfonce dans l'intimité de mon mec et je me " venge " en lui enfonçant mes 20x5 au plus profond de son trou. Je me suis gardé João pour mon plaisir personnel et accueille ses 23x6 avec un plaisir non dissimulé. Commencé en levrettes, nous basculons vite sur le côté pour gagner en stabilité. Cette enfilade nous excite bien et nous entraine dans notre seconde prise de plaisir.
 Je m'aperçois que c'était ce dont les jeunes avaient besoin. Ils sont stressés par les trois semaines à venir. Si Max est déjà parti à l'étranger c'était avec ses parents et bien sûr, ce n'est pas le cas d'Enguerrand et encore moins de Nathan. João n'avait plus voyagé aussi loin depuis son arrivée en France et Romain est comme Nathan.
Avec PH et Ludovic, nous faisons en sorte que nos 5 jeunes se détendent et se sentent vraiment en vacances. C'est fait 2 heures 30 plus tard alors que nous sommes tous étalés sur le dos à regarder le ciel étoilé, les couilles vides et certains le cul plein, que je les sens tous détendus !     
Pour ne pas retarder Samir et Ammed en partance pour la campagne où ils vont retrouver Jimmy, j'ai commandé deux taxis pour nous emmener à l'aéroport.
Arrivés très en avance, nous avons le temps de prendre un verre dans un des bars. Les serveurs sont mignons et différents des habituels. Des étudiants probablement ! Comme il fait beau et qu'à Barcelone il fait encore plus chaud, nous sommes déjà en tenues estivales (pas en maillots quand même !). Nos physiques sont bien visibles et ils attirent les regards. Les jeunes sont tout excités par les mecs qui se retournent sur nous.
Notre vol passe à l'enregistrement. Les valises sont pesées étiquetées et partent en soute. Nous passons dans le salon d'attente des premières classes. Ce n'est pas parce que le vol est court qu'il faut se serrer.
Les " petits " essayent d'avoir l'air dégagé mais ils n'y arrivent qu'à moitié et nous voyons leurs yeux s'arrondir devant le luxe qui nous entoure.
Quand nous entrons dans l'avion, nous sommes cernés d'hommes d'affaire. Seule une jeune femme avec deux jeunes enfants tranche dans cette partie de l'appareil, avec nous bien sûr !
Les stewards et hôtesses sont à nos petits soins. Ils ont bien vu que pour certain c'était une première et s'attachent à rendre l'expérience inoubliable. Un des stewards nous drague un peu, même beaucoup tout en faisant attention aux autres passagers. Mais le vol est rapide et nous sommes bientôt en approche de Barcelone.
Espagne-1
On récupère nos valises et rejoignons Ernesto. Embrassades sans attendre, roulages de pelle entre lui et chacun de nous. Il est content que nous ayons emmené tout le monde. Il est en short de surf, marcel large et tongs.
On le suit jusqu'à un Renault boxer 9 places. Le temps de sortir de l'aéroport et nous sommes déjà en direction de la villa. Ernesto nous annonce que Marc et Hervé sont déjà en train de bronzer autour de la piscine et que Paco a pris ses fonctions.
Je dois expliquer que ce dernier est notre cuisinier et qu'il est monté comme un âne (23.5 x 7). Et là, on entend de l'arrière " et on a droit d'y toucher ? ". Je n'ai pas le temps de mettre un bémol qu'Ernesto répond " bien sûr, j'ai déjà testé et il est trop fort en plus ". Bon ! Hé bien c'est dit !
Du coup à l'arrière ils sont impatients d'arriver. Javier s'est surpassé cette année. La villa est encore mieux qu'en photo. Toute de plain-pied, elle fait dans les 400m² toutes les chambres donnent par des portes vitrées sur la terrasse qui fait le tour de la maison. Comme j'avais demandé, une salle de muscu est bien équipée et la piscine est superbe.
Le temps de décharger les valises et nous sommes rejoints par Marc et Hervé à poil tous les deux. Ils sont plus blancs que nous mais enduit de protection, il s'attaquent à nous rattraper. Bisous ou pelle selon le récipiendaire puis Paco arrive. En maillot moulant, il sidère les nouveaux. Et pourtant il ne bande pas encore ! Ses 85Kg de muscles participent aussi à l'effet " Paco ". Il roule des pelles aux anciens et me félicite du choix de mes nouveaux amis. Sans se gêner, il passe ses grandes mains sur les fessiers de la triplette avant de se coller à João de le maintenir collé contre lui et de lui rouler un patin qui laisse mon brésilien sur le cul !
J'observe Romain. Pas de jalousie mal placée, un vrai mec selon mon coeur.
Paco nous dit de nous installer, que le déjeuner ne sera pas servi avant 14h. Je pousse la triplette dans une chambre et les deux autres dans celle d'à côté. Marc nous indique celle qu'il nous avait réservée. C'est la plus grande et il a fait installer 2 grand lit de plus afin qu'on puisse coucher tous ensembles (lui, PH, Ludovic, Hervé, Ernesto et moi). On vide rapidement les valises et enfilons un maillot. Sauf les trois petits qui ont décidé de vivre à poil. Enfin, Nathan s'est fait un peu forcé la main !
Plongeons dans la piscine. L'eau est à bonne température et nous glissons dedans avec plaisir. Marc et Hervé nous rejoignent. On joue plus qu'on ne fait des longueurs bien sûr. Les plus jeunes font du bruit, se poursuivent, chahutent en fait. Ça fait plaisir à voir. Pas de regrets de les avoir emmenés avec nous tellement ils ont l'air d'apprécier.
Nous restons dans l'eau jusqu'à ce que Paco nous annonce le repas. Les jeunes sortent de l'eau et Marc les prévient que pour les repas, il faut un slip ou un maillot de bain au minimum.
Paco s'est surpassé pour notre arrivée. Ernesto nous dit que Paco était à la villa depuis la veille pour réceptionner les provisions. Il nous dit que cette année il était encore célibataire. Il n'avait pas eu le temps de se trouver un petit mec à planter sur sa grosse bite.
Max qui entend ça, annonce tout fort que pour les 3 semaines à venir, avec Enguerrand et Nathan, ils se dévoueront pour que notre cuisinier n'ait pas les couilles engorgées. Ludovic remarque qu'il fallait pas attendre autre chose de trois obsédés sexuels.
Paco arrive juste à ce moment-là. Il a entendu les jeunes et alors qu'il sert une salade de fruit avec de la glace il les remercie et leur promet de se partager quand il aura trouvé son prochain petit copain.
Nathan est déchainé. C'est lui qui demande à Paco son type de petit mec et lui propose qu'avec ses deux amours, ils lui en cherchent un sur la plage.
Paco s'amuse de sa proposition et les met au défi de lui en trouver un qui soit acceptable.
Un bon café et nous partons faire une petite et vraie sieste. Malgré la chaleur, nous nous collons et sombrons dans le sommeil. Réveil une heure plus tard. Je me lève et passe la tête par à la porte des gamins. Ils sont tout nus, collés tous les trois et encore endormis. Quand je fais pareil à celle du petit couple, je les trouve en train de se câliner soft. Je profite en m'intercalant entre eux. Là c'est moi qui bénéficie des papouilles et des bisous. Eux aussi sont contents d'être avec nous. Je ressors tout bandant de leurs bras avant que ça tourne " bien ". Je me coule dans la piscine et suis rejoint par mes trois amours Ernesto, PH et Ludovic.
On discute des trois semaines à venir. Ernesto me dit qu'il a déjà fait du repérage pour nos touzes. Les touristes commencent à arriver et on ne devrait pas avoir de mal à trouver ce qu'on cherche. Il me demande ce qu'il en est de Baz et Gaz les deux jeunes que nous avions levés l'année passée. Je lui dis qu'ils sont là mais pendant deux semaines encore avec leurs parents. Donc ils pourront passer mais ne seront pas aussi dispo.
Les jeunes arrivent un peu rouge sous leurs bronzages. Marc leurs dit qu'ils ne sont pas obligés de rester isolés quand ils baisent. C'est romain que la remarque gène le plus alors qu'il est un de mes Escorts. Quelles salopes mes " petits frères ", ils ne se sentent pas concernés !
Pour plus de pratique dans mes récits, Max + Enguerrand + Nathan = la " triplette ", les " gamins " ou les " petits frères ". João et Romain = le " jeune couple " ou les " Escorts "
Ils sautent dans l'eau pour nous rejoindre. Ils nous demandent quand ils vont descendre en ville et aller draguer sur les plages Pd.
On décide qu'on verra ça demain. Là, on prend nos marques, possession de la maison. Max ajoute " et de ses occupants ".
Hervé m'étonne. Il appelle Max et quand ce dernier est au bord du bassin, il le sort de l'eau, le soulève de terre et le serre dans ses bras. Instinctivement, Max entoure la taille d'Hervé avec ses jambes et pose ses fesses sur sa bite bandée.
Pour le côté pratique et plaisir, on s'est tous refaits analyser afin de pouvoir baiser entre nous sans kpote. Ces dernières ne sortiront qu'avec les mecs hors de notre cellule de base.
Il s'est vraiment libéré notre Hervé. Lui qui s'était longtemps suffit/contenté/repus d'Ernesto exclusivement, ne se gêne plus et se sert lui-même. Ernesto est le premier à applaudir avant d'attraper Nathan qu'il ne " connait " pas encore. Il cri à son mec qu'il peut y aller et nous voyons alors les 21x5,5 de sa bite disparaitre comme avalée par la rondelle de Max. Vu comme c'est rentré facile, il avait dû être parmi les passifs de leur petite sauterie privée.
Ça excite nous autres et nous sortons aussi de l'eau pour jouer avec nos sexes.
Je commence avec Marc. Ça fait 15 jours qu'ils étaient partis et malgré tous les autres, il me manque et pas que sa bite ! Je retrouve ses bras et la sécurité qu'ils me procurent. Quand il me pénètre, je sais à nouveau pourquoi -lui-. En levrette, je me cambre un maximum, tourne la tête et tends mes lèvres à son baiser. Nous faisons l'amour. Quand il le veut, je me retourne et mes jambes autour de lui, je l'attire vers moi. Là, nous pouvons nous rouler une vraie pelle bien profonde pendant que sa bite continue de m'échauffer la rondelle.
Dans le lointain, j'entends Nathan apostropher ses deux amours pour leur dire de me regarder faire " l'Amour ". C'est vrai que c'est différent de baiser à 5 ou 6 et de le faire avec son mec. Marc aussi l'entend. Il se redresse et lui dit qu'il avait trouvé le mot juste nous concernant. Nous nous aimons et même si on adore faire l'amour avec d'autres mecs, ça ne change pas.
On se termine tous les deux ensembles. Quand je rejoins le monde, je m'aperçois qu'il manque Enguerrand. J'enfile un maillot et déambule dans la maison. Mais j'ai ma petite idée. Je le trouve dans la cuisine empalé sur le mat de Paco assis sur une chaise. Je crois voir dans ses yeux une certaine gêne d'être surpris dans cette position. Je m'approche d'eux. Comme il me fait face, je le regarde dans les yeux et lui dis " y a pas de malaise ", je lui roule un patin avant d'ajouter " pas de jugements, que du plaisir pour tous et chacun ". Je en peux m'empêcher d'ajouter " je t'aime toi ". Il me fait un grand sourire avant de me sortir un " moi aussi, toujours ".
Je retourne vers la piscine et croise Max et Nathan qui cherche le dernier membre du trio. Je les envoie à la cuisine. Je les suis de loin curieux de leurs réactions.
Elles font honneur à la maison. Nathan lui roule un patin alors que Max s'intercale entre le dos d'Enguerrand et le torse de Paco pour rouler une pelle à ce dernier.
Je retourne sur la terrasse et annonce au reste de la " famille " que la triplette est en train d'essorer les couilles de Paco. Rire généralisé.    
Jardinier
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