#combe des fous
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m-jrgymrubix-nollchtr0 · 4 months ago
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graphorrhee · 6 months ago
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Stop
Les personnes qui me connaissent savent à quel point je suis têtue, coriace, tenace. Je suis combative et ma colère est un moteur, si ce n'est mon moteur principal. Je ne baisse pas les bras comme ça.
Et pourtant.
J'ai lâché prise. Cela faisait plus de 2 ans que j'étais partie en croisade contre un mec dangereux. J'avais réussi une première fois à rencontrer deux autres victimes et ex. J'avais rompu le contact, de frustration et de colère. J'ai retenté l'expérience récemment et j'ai découvert que les victimes s'accumulaient, encore et encore. J'ai à nouveau fait des call out. Et à nouveau j'ai découvert que, même si j'étais celle qui l'avait le moins connu, j'étais la seule à ouvrir la bouche, à parler et agir concrètement pour le stopper.
La passivité des victimes me met dans une rage folle, plus que le mec lui-même.
Ce n'est JAMAIS de la faute des victimes et TOUJOURS celle de l'agresseur. Mais je trouve ça fou que malgré le nombre de victimes que ce type a pu faire et fait encore, il n'y en ait qu'une seule qui parle.
Nous nous sommes réunies entre "victimes" et j'ai été atterrée. Atterrée par ce qu'il avait pu leur faire, mais surtout atterrée par cette passivité qu'ont les femmes.
Lorsqu'il s'agit de se défendre et de défendre leurs potes, même agresseurs avérés, les hommes font montre d'un soutien, d'une entraide incroyable entre eux. A la moindre petite accusation, la levée de boucliers ne se fait jamais attendre pour défendre ces types abjects et démonter les femmes qui les accusent.
En revanche, les femmes, entre elles, sont incapables de faire preuve s'autant de soutien. A croire qu'on est bonnes qu'à papoter entre nous : "ha oui oui il est dangereux, je suis entièrement d'accord, faut faire quelque chose". Mais les actes ne suivent jamais les paroles. Ne serait-ce que partager un appel à témoin poster par un collectif féministe, c'est déjà trop demander. Cet appel à témoin, c'est moi qui l'ait fait. Et l'une des victimes qui avait bien pris soin de la fermer en était déçue car le descriptif était trop vague. Alors que depuis plus de 2 ans, je suis la seule à ouvrir ma grande gueule et à agir, et elle... rien. Elle n'a même pas partagé le post. Une autre encore qui me reprochait d'avoir fait le call out seulement 2 ans plus tard, alors qu'elle aussi n'avait rien dit.
Nous avons imaginé plein d'actions à mettre en place pour stopper cet individu. Sans jamais que les filles ne les concrétisent.
Je suis frustrée par cette passivité et ces promesses non tenues. "Oui, oui, je vais aussi contacter un avocat/un collectif/faire ci/etc." Et... rien. C'est épuisant d'être le moteur de quelque chose et que ça ne suive pas derrière.
Cette inertie des victimes me mettait plus en colère que le mec lui-même et me rongeait littéralement le moral. Je passais des heures, des jours à ruminer comme une vache affamée, à me demander mais POURQUOI bon sang de bois, POURQUOI j'étais la seule avec autant de combativité et de colère, alors que j'avais subi ce mec "que" une ou deux semaines et elles parfois plusieurs années, avec des faits encore pires que ceux que j'avais vécus.
J'avais parlé, à plusieurs reprises, j'avais agi. Et elles, rien. Passives... inertes... molles. A croire qu'elles attendaient que ce soit moi qui mette en œuvre les autres actions dont on avait parlées, moi qui continue la lutte sans qu'elles n'aient à faire quoique ce soit, même pas partager les appels à témoin (soit un clic).
Ca m'a épuisée. Si seulement elles avaient témoigné plus de soutien et de combativité à mes côtés, je serai toujours impliquée, bien entendu. Mais cette solitude parmi les victimes alors que j'en suis moi-même une est terrible. Elles ont fait gagner ce connard.
J'ai décidé d'abandonner et de passer à autre chose. De retrouver un peu de paix de l'esprit. J'ai fait ce que j'avais à faire et ma conscience est tranquille.
J'ai fait un call out local et un appel à témoin national.
J'ai réuni au moins 6 victimes à ce jour.
J'ai fait bannir le compte Tinder de ce connard.
J'ai pété son site web.
J'ai explosé sa réputation dans son domaine d'activité.
J'ai exposé ses mensonges à toutes et tous.
J'ai contacté des personnalités qu'il disait connaître et elles ont démenti publiquement sur les réseaux sociaux.
J'ai mené un nombre d'actions concrètes incalculable. Pour finalement toujours me retrouver seule ou avoir des reproches de la part de victimes qui n'ont pas bougé le petit doigt.
Stop.
Je leur en veux non seulement de ne pas avoir parlé. Parce que si elles l'avaient fait, ça aurait éventuellement évité d'autres victimes (dont moi). Mais je leur en veux surtout de constater qu'on est sûrement plus de 6 victimes, qu'il est dangereux, et de continuer à ne rien faire. A ce niveau, c'est presque de la complicité.
Même les collectifs féministes contactés se sont montrés d'une telle incompétence lorsque je les ai contactés... 2 mois à 2 mois et demi pour publier un call out, pas de partage des appels à témoin, une attente sans nouvelles... Incroyable.
J'en peux plus. Je suis arrivée au bout.
D'ailleurs, je crois bien que ce post sera le dernier sur ce blog. Il est temps.
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smuttyaf · 9 months ago
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Sweet Symphonies
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𝐨𝐯𝐞𝐫𝐯𝐢𝐞𝐰; 𝐟𝐢𝐠𝐮𝐫𝐞𝐬𝐤𝐚𝐭𝐞𝐫!𝐲/𝐧 𝐱 𝐡𝐨𝐜𝐤𝐞𝐲!𝐡𝐚𝐫𝐫𝐲 (𝐟𝐞𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐚 𝐥𝐨𝐭 𝐨𝐟 𝐬𝐭𝐮𝐭𝐭𝐞𝐫𝐢𝐧𝐠 𝐚𝐧𝐝 𝐬𝐞𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐠𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬)
wc; 7.3k | love story by indila
finally finished this draft that was requested ages ago!! hope you enjoy💗
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“Alright! Run it again!”
The crisp chill of the arena seeps through the spandex fitting tightly against your sweating skin. Frosty clouds of exhaustion trail out of your mouth, sight etching out the cuts tracked across the slab of ice.
Upbeat tempo strums through the sound system, daunting plucks of the violin signaling your cue to raise your arms slowly along with the hum, head rolling up from its position and staring at the beams in the ceiling.
Vision soon dips slowly, body angling your pointed legs and pushing you across the ice, the beautiful sound of the vocalist begins only further increasing your paste, heavy strides carrying you across the surface as your knees bend and arms stretch out to float along with the wind.
L'âme en peine A soul in pain
Il l'attend devant cette photo d'antan He is waiting for her; in front of this picture of yesteryear
Il, il n’est pas fou He, he’s not crazy
Il y croit it c’est tout He believes in it, that’s all
ll la voit partout He sees her everywhere
II I’attend debout He is waiting for her standing
The chimes pick up with the introduction of more instruments adding to the harmony, the sound pushing you to add more exaggerated facial expressions of sorrow before your legs twist you around effortlessly letting you jump; left foot leaving the ice to balance your frame in the cold breeze that sends adrenaline coursing, building your muscles to twist around once more to perform another double salchow.
Once your skates hit the ice perfectly accentuating your form, your balance relaxes as you push on continuing your routine. Feet carry over each other, with heart pounding in your ear as ice cracks beneath your feet moving amongst the slab as if an angel on ice.
With each heartbreaking lyric you find yourself humming along to the sweet symphony, timed positions reflecting the hurt with each vocal. Absorbed in the moment, you consciously admire the feelings layered within the song. It brings you closer to the orchestrated dance as you continue to move.
Your mind is elsewhere with skates carrying you freely, lungs grown accustomed to the bitter cold that leaves you pleasantly numb with your limbs flexing every second, your focus on executing every triple axel or camel spin.
Debout une rose à la main Standing a rose in hand
Non, non plus rein ne le reteint… No, nothing holds him back either…
Dans sa love story In his love story
Dans sa love story In his love story
Dans sa love story In his love story
Sa love story Her love story
Muscles stretch with spine flexing gracefully, strands of hair wisp in your vision as you dip your head up dramatically with arms outstretched.
Every twist and turn cocoons you in the moment of being connected with your heart and body. You're completely wrapped in your own world, sight obvious from your coach to onlookers. They’re entranced by the harmony that flows you executing the rest of the routine so beautifully, the story of pain accurately being expressed as you venture across the ice; loving every minute of the air combing over your skin with easy strides.
By the time the break within the song begins the crowd around the rink has already built up, children and adults watching your every motion as the melodic choir vocals and chimes blend beautifully to combine with your movements. Hands moving elegantly with backwards strokes emphasizing your routine floating around the many faces watching.
Only then do you realize how many people are there, and despite skating for so many years, your ability to draw in a crowd just from being in your own world surprises you with how many are looking completely enveloped with your performance.
Des cris de joie Cries of joy
Quelques larmes, on s’en va A few tears, we go
On vit dans cette love story We live in this love story
Love story
Love story
Love story
Love story
Love story
Love story
As the magnetic waves of the singer trails off to conclude the last notes of the song, you are back in your original position in the middle of the rink.
Balancing yourself as you spin in another circle, arms stretched out with left foot in the air, you find the strength to grip your skate and bring it closer to your head, foot swinging around to twirl you around in a catch spin. Neck elongating with spine curving in on itself as you stretch even more to transition into a needle.
The speed you’re going at doesn’t stop you from breaking your stance, but only has you loving the crisp air brushing around you, enjoying every moment until the chords begin to drum out, signaling your knee to carefully fall from your grip over the blade, leg relaxing itself out as you accentuate your bow with gaze strongly held in front of you.
The astonished appearance of the crowd doesn’t usually bother you, but there’s a brunette man with a tilted helmet that catches your gaze amongst the crowd nestled by the window, however, regardless of his surprised expression it doesn’t shake your concentrated face as the song finally cuts.
“Yes! Yes, yes, yes! That was your best one yet!” Coach Griffin begins to applaud, loud and joyful as he gives a thumbs up from his seat on the bench. Faint claps are heard around the arena as well from onlookers as you smile brightly.
Deep breath escapes from your nose, one hand going to your hip while the other reciprocates his exaggerated thumb beginning to push off the ice. After that performance it sucked all the energy out of you with your chest rising heavily as you stepped through the gate to meet with him.
It’s when passing do you realize that the tilted helmet man eyes are still watching you, especially when you go to grab your water bottle.
He’s tall, and the fact that he’s in skates doesn’t help either. Shiny hair pressed tightly against his forehead, black compression shirt defining his chest and thick shoulder pads. You don’t stare too long as your sight breaks away, beginning to unscrew your water bottle, fingers unbelievably numb that you can’t feel the metal cap as you tug it open, feet pushing you off the white door and passing him.
“U —Uh Hi, Hey!” He begins, hand immediately going to his helmet and peeling it off, a bright nervous smile stretching.
The fluorescent lights have you catch sight on how green his eyes are, it’s why you stop suddenly with brows together as you look over him. Dip curving into his cheeks, wrinkles by his eyes and body rocking with urgency, you squint at him while further stepping aside from his frame.
“Hi?” You respond, examining the smooth expanse of his neck in contrast to his white teeth shining.
“Your, uh, performance was really—”
“—Come on, we don’t have all day.”
Coach Griffin interrupts, breaking your view as you continue your departure down the hall, brushing past him with your mentor to the right of you. The rush of bodies trails around you in a blur trying to find an empty place to catch your breath.
“We don’t need any distractions, remember how Michal turned out.”
The mention of his name has your teeth clench down on each other, gaze tearing away from the metal drinking fountains and to your gray hair coach.
“Wasn't even interested.” You huff, hand raising the water bottle to your lips and sipping back the cold liquid.
“Good! Now drink some more and let’s get you to cool down.” Nodding your head tiredly, your vision passes back over the scratched up boards and pedestrians to look back at the brunette, except he’s nowhere to be found amidst the people roaming by.
You should’ve thanked him for the attempt at the compliment at least, Griffin cutting him off is an ignorant attempt trying to keep you focused even though you’re sure the gesture was completely harmless.
Heart begins to slow, sight traveling back to look at your coach completely occupied with his phone, probably going over your schedule until the upcoming performance. Two weeks couldn’t come by any faster. Waking up everyday on the tip of your toes ready to be back on stage to display your many years of passion for the sport.
Training since you were five, you transitioned between ballet and figure skating, growing accustomed to the hardship of the sports you pushed yourself to become a three time world-winning gold champion, all due to your long hours of training and dedication. Now you’re twenty-three and it’s only up from here, obvious that you’re in your prime, despite the last couple of years not being your most memorable moments.
After dating Slovakian hockey player Michal Mrazik for two years, it ended in a devastating breakup. One that left a storm of heart ache and suffering, a combination of problems ranging between distance and lack of trust between both parties. The grief so brutal you ended up crying during your performance at the previous championship, it was plastered everywhere with crystal clear tears streaming down your face and ruining your makeup.
And although it was a passionate performance and winning your third gold medal, the pain of the breakup was evident and on display for the world to see. Griffin was disappointed that you let your feelings take a hold of you at such a serious moment, but happy it was beautifully displayed through your movements that it made you win.
Now, a year and half later you’ve hounded in your mind to stay away from men. Focus on yourself and yourself only. You’re on such a perfect path that you don’t need the tabloids in your problems again. It’s why you push off the wall and tug yourself over to the locker room.
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“I’m still good to pick you up tomorrow after practice?” Chelsea asks on the other line. Your phone is pressed between your knee and ear, looking at the subtle pink nail polish gracing your toe.
“Yeah, I’ll pack everything so I’m ready,” Reassuring your friend while adding another stripe, deep sigh releasing at the effortless pass.
“I don’t know how you do it girl, I would be exhausted after everything.” Exaggerating tone not being able to comprehend how you can stretch and twist your body for hours and still manage to go to the club afterwards.
“I mean I haven’t seen you in awhile, and I think it’ll be fun too,” You reveal, fingers dipping the brush back into the bottle and continuing your routine of painting your nails.
“And…” She sings before her giggle travels through the static. “Time to meet some cute boys, you know… get your mind off… he who shall not be named.”
Rolling your eyes, the sound of your teeth kissing travels through the receiver, memories of your ex flashing back as your tongue runs over your lips and curl over each other.
“I kinda’ just want to have fun tomorrow, no thoughts, just vibes, right?” Nose scrunching in irritation as the brush runs over your cuticle smearing the polish over your skin.
“Yes, of course, but you better actually drink! I’m not wasting my money on you only being tipsy?!” Chelsea continues. The ends of your lips tugging up from your best friend recalling your habit.
“Oh my god, no!” You proclaim, hand grabbing the cotton swab drenched in nail polish remover and letting it clean the mess.
“Come on Y/N, you said it yourself, you haven’t seen me in forever so do it for me! Pretty please!” Eyes rolling again as you pick the cap back up and grace it over your nails.
“Ugh! Okay, okay… sure, why not?”
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The locker door rattles loudly as it shuts close, people past you in a rush to head to their respective rooms for the game about to take place. Zambonis traveling across the ice smoothing the surface from all the marks you previously made, uniquely built orange vehicles twisting and turning till you direct your attention ahead of you.
A men’s team stand in their white and blue attire, some with their helmets off displaying their mullets or porn mustaches, you bite back a laugh at the appearance of one guy who has the full package.
Hand reaching into your pocket, your phone screen lights up to see a message from Chelsea saying she’s twenty minutes away, meaning having to wait around in the lobby until she arrives.
You breeze past the lively crowd of the arena this Saturday evening, soccer and hockey teams roaming across the spacious entrance of the building. You're thankful you find a small seat in the corner by the vending machines. Bag slapping against the plastic chair before your body sits next to it.
You’re leaned forward resting your head on your hand as you mindlessly scroll through Instagram catching up with whatever you missed during your practice. The area is surrounded by families and people all on their own destination to their practice or game. Ignoring everyone around you to the point you’re wrapped up in your own bubble, attention stuck on finding out another one of your past classmates is having a child, that you don’t realize someone is standing in front of you.
“Hello…” Rocking on the pads of his sneakers desperately trying not to wave his hand in front of your face or raise his voice an octave higher.
“Hey! Uh, Hi!” Confusion evident in his tone as your brows push together, fingers going through the highlight of her fiancé, so surprised by her announcement that you’re completely taken back. “Are you blatantly ignoring me?”
“Or, is it selective hearing?” His knees bend, hand raising to his curls that itch his temple in thought. And from your peripheral vision, his body catches your sight making you draw your phone down and smile shyly.
“Oh my god, sorry, I just… found out something,” You confess, laughing slightly to ease your once concentrated focus.
“It’s alright, don’t worry!” He breathlessly laughs, knees flexing him back up to tower over your seated position.
His face is familiar, the tilted helmet guy, except now his protection is slung around his bag with his hockey stick in one hand while the other waves at you politely.
“You performed that song yesterday before my practice… uh, the French love story song?” He goes to take the seat next to your bag. The movement sends the smell of pine through your nose, it’s what catches your attention about him once again. His scent matches his forest eyes and chestnut ringlets. It makes you notice how his appearance isn’t the typical hockey look that all the boys are currently rocking, you like it.
“Yes,” Your sight surveying every dip and bump that roams amongst his skin. Slight stubble grazing the surface as his lips stretch, head nodding along to your answer as he leans in closer.
“Yeah, what I tried to say yesterday was that, uh, it was really good… just breathtaking,” His choice of words has your curious face breaking into a smile. A small laugh trailing out as you lock your phone with attention focusing on him.
“Thank you.” Genuinely appreciating the comment, the one that has the brunette smile back nervously, his sight moving towards your bag but then back to your eyes.
“It’s no problem… I saw you a couple weeks before that, so, i —it’s cool seeing it come together and you… just the way you skate, you make it look so easy,” His thick brows push together as if just letting his thoughts run straight out of his mouth, completely unfazed by his unfiltered reveal.
“I don’t know, it’s like you don’t skate; you just float.” The words leave your ears to tingle, lengthy digits curling around the case of your phone looking at him with mouth dry.
Okay… you’re used to interviewers expressing their appreciation for your dances and judges giving you all tens across the board, but whenever it came from family or peers it felt more personal in a way, especially from someone who's seen your routine fall into place. Even that thought itches your brain, you’ve been practicing this dance for seven months straight, so how far along has he seen the progression.
“Thank you.” You whisper, lips curling in on each other as you blink at him. His green eyes looking over your hesitant appearance before another toothy smile is spreading.
“I’m sorry, I’m Harry, by the way,” His hand reaching out and offering it to yourself, it has you releasing your fingers around your device and shaking his. Huge palm enveloping your smaller one that both of your eyes widen at the same moment recognizing the difference.
“Uh, Y/N,” You shine, hand quickly going towards the back of your neck to scratch the skin there, Harry coughs into his palm lightly, teeth biting into his fleshy lip before twisting his sight.
“I play hockey with my friends here, we have our own team,” He confides, hand gesturing towards the familiar rink. The information has you nodding your head, heart stupidly clenching at the mention of hockey as your gaze tears away and towards the players floating on the ice practicing before their game.
“Are you like a professional? Is that cheesy to say?” He laughs, sight going towards you who continues to stare ahead; your head bows in thought as you flex your head from side to side before turning towards him.
“Yeah, I’m—”
“—Holy shit, Styles! We start in five!”
Voice being shouted throughout the lobby cutting off your words and making his eyes trail towards his friend completely geared up with eyes bulging out from his helmet.
The groan next to you diverts your gaze back towards Harry who immediately stands, curse falling from his lips as he nods his head at his friend.
“I’ll catch up with you later,” Happy grin sent your way as he heads towards the hockey rink.
Despite the small interaction you found his nervous expression quite attractive compared to his tall burly appearance, you would assume he’ll be cocky and confident, not one to be so oblivious yet intriguing at the same time.
You watch Harry pass through the sliding door, his friend's large glove clapping him on the back as he continues walking. It’s at that same time does Chelsea’s familiar ringtone rattles your phone making you answer it, ready for your night of dirty martinis and dancing.
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Orange rays with hues of yellow strike every surface of the room, chirping birds signaling the start of a new day, they’re singing on the other side of the window has you moaning awake.
Your arms flex, pillows ruffling and thighs spreading amongst the bedspread, your fingers cover your eyes as you adjust to the bright light. The penetrating beams has a groan following, your head is thumping from your alcohol consumption from yesterday night.
“Ugh… Chels,” Irritated whine slipping past your lips as you bury your head into the soft sheets. It’s then do you hear the sound of a keyboard clicking away do you blindly feel over next to you, hand landing on her shoulder as you begin to playfully shake her.
“Why do I let you convince me to do these things?” Muffled voice trying to not let another tired groan escape.
“Because you love me.” She sings in her usual voice, giggling as she rumbles next to you. The action has you tear away from the pillow and narrow your eyes at her.
“I’m starting to rethink that.” You sigh, eyes closely slowly as her laughter is heard in the space, it makes you smile at the noise.
“Yeah, whatever… I think The Morning After is open by now, want to go for bunch?” Chelsea suggests, brows wiggling as you scrunch your nose up.
“Brunch? What time is it?”
“11:25.”
Another displeased moan trails out as you rise up, hand reaching out to her night table and grabbing your phone. View looking over your many notifications of being tagged from the night before with your friend, to regular app updates.
Sorting through the many, your eyes clear every uninteresting activity including the news about inflation to shopping app promotions. Once moving to Instagram, your eyes search the many people who went live since last going on the app, usernames of people you don’t know; liking and commenting on your pictures to soon then follow you, unfamiliar names not catching your attention like the distinct one that stands out.
harrystyles22 is now following you.
“What the fuck?” You mutter, thumb immediately tapping the alert as it brings you onto the app and to his page.
“What?” Chelsea questions but doesn’t tear her sight away from her own phone.
Thumb immediately taps on a picture of him, clearly a polaroid film with the way his green eyes are bright with colourful Rolling Stone shirt on display, curls tossed across his head as he smiles at the camera. The sight alone has you chewing down on your dry lip, finger carrying you to another picture of him.
This time he’s in a brown fedora, hair framing his face gracefully while the friend to the right of him mouth is wide and expression bright as if they just went out and partied. The sight of Harry pulling a stupid face has you smirk subconsciously.
“Oh, he’s cute! Like really, really cute!” Chelsea's voice announces next to you, the surprise of it has your phone flipping around and slamming into the blanket, annoyed groan ringing through the space.
“Did you meet him yesterday?” Her questions begin, her frame ruffling against the sheets as she practically crawls on top of you to grab your phone.
“Ah! Hey!” You whine, twisting around and attempting to fight her arm slinging around your neck reaching for your phone. “No! now would you stop!”
Which she does not, her body applying all her weight on your back to clench your phone tightly in your grip. Her evil laugh slips out as you both fight over the device.
“Did he just DM you then?” She continues, your palm grows with sweat as the heat from the blankets and her moving body piercing your spine.
“No, now Chelsea get off,” Hand curling under your head to cut her grip off, it has her retreating her hold and cross her arms over her chest.
“If I get off, will you tell me?”
“Yes!”
Your back relaxes after she rolls off, more laughter leaving her as her arm goes to prop her head up, dazzling smile shining as her eyes brighten with amusement. Despite being friends since diapers, Chelsea and you are practically sisters, knowing everything about each other to the point you know how to push the others buttons.
“Now… tell me,” Head cocking to the side to exaggerate her curiosity over the boy you were looking at.
Deep sigh releases, eyes closing momentarily still adjusting to the pounding in your head with the sun shining through the room.
“I met him yesterday, he just liked my performance s’all,” You confess, hand leaving your head and unlocking your phone, passing the device to Chelsea she smiles happily before fixing her body to allow you to see her scrolling.
“Why didn’t you tell me?” She questions with fake hurt, her mouth dropping as she shows you a picture of him topless, tattoos on display with credit towards his artist for the incredible artwork.
You try not to blush as you close your eyes and shake your head, hand combing over your face before dropping into the pillow.
“Because it’s really nothing, he was just being nice…” You trail off, brain relaxing at the black emptiness your shut eyes provide.
“Oh no babe, your what the fuck moment wasn’t because he was just being nice,” Chelsea points out, threaded brows sticking up and everything as she passes a blurry picture of him playing guitar.
“Well… he kinda…” Her head immediately snaps towards you, eyes twinkling and cheeks swelling, it’s crazy scary how she gets more excited about your love life than you do. “He introduced himself to me yesterday, I only told him my name and—”
“—And now he’s following you?!”
You tear your head away from the pillow to rise up and nod your head at her, the squeal that leaves her is adorable as she gets up on her feet and begins to jump around in her bed, it for sure has her downstairs neighbors annoyed by her presence.
“Do you know what that means?” She asks with enthusiasm, her bouncing body halting as she falls to her knees, dropping your phone and shaking you erratically. Your tender brain rattles against your skull as you hiss in pain.
“It means he took your name and ran to the internet! He specifically looked for you, this has to be set in stone, I mean how many men do that today?” She’s rambling, her eyes frantic and grip tight, she was so thrilled you can’t help but laugh at her expression.
“Sorry to rain on your parade but, don’t creepy weird men do that?” You reply, lips curling into a smirk as she looks at you clearly annoyed before her hand is picking your phone back up.
Her lilac fingernail points to the grinning hockey player showing off an array of sloppy decorative cupcakes with different colours piped over the surface.
“What creepy weirdo do you know that bakes just to “try something new,”” Her eyes squinting to read over his caption before shoving it in your face.
Another groan leaves your throat as you drop into the pillow, cheeks smushing against the material as you shake your head tiredly at her.
“Okay, so what if he’s not a weirdo it doesn’t change the fact that I’m not interested.”
“Liar!”
Annoyed draw of air escapes you, body twisting around under the sheets as you adjust to look at her better. “I’m not lying.”
“Yes, you are! The first thing you did when I called you out was hide your phone!” She taunts, only making your ears ring and throat tighten at the moment.
“B —Because—”
“B —B—Because,” Chelsea mocks you before snickering. Your hands go to cover your face to groan again at your teasing friend. “Just admit he’s cute at least.”
Deep breath fills your lungs as you nod shortly in your palms, the lines along your fingers disappearing as you tear them away and look at your friend with annoyance.
“Yes, he’s quite attractive but no, I’m not interested.” You say, shifting your sight over her shoe rack to Chelsea who rolls her eyes at your stubborn attitude.
“You know you don’t have to lie to me…” Lips expand tightly to show displeasure as she falls back into the bed. Her hands placing the phone back into yours while now smiling at you genuinely.
“It’s almost been like two years Y/N, at least talk to someone new, it’ll do you some good.” Those words having you shaking your head, seriousness consuming your body as you think about your last relationship.
“I’m not ready for that. I think I’m better off alone right now.”
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Even though you went out two days prior, exhaustion still overcomes your body. Your calves sore, toes pinched together and dark undereye bags, it’s written all over your face you’re still hung over. The Redbull that falls from the machine and clunks around at the bottom has your knees bend to retrieve it.
You don’t even wait to go back to the bench as you crack it open, delicious energetic liquid flowing down your tongue curated to taste like blueberries; it welcomes itself with its delicious after taste letting a relieving sigh escape at the refreshing drink that boosts your mood.
“Y/N!”
Your head immediately turns to see Harry, beaming smile and messy curls walking over to you.
Fading band t-shirt covering his chest with black basketball shorts resting along his hips, his usual hockey equipment in hand.
“Oh! Hey, Harry,” You smile faintly at him, fingers curling around your phone once he overshadows you.
“How’s it been? Sorry I had to cut the night before I was running behind,” He explains, nervously laughing as he still manages to tower over you even in sneakers.
“Oh, it’s alright! I figured.” You reassure, sight looking between his eyes and the dimple that tugs at your heart strings. You’ve always been a fool for dimples.
“I wanted to, uh, catch up with you so I followed you on Instagram,” Your eyes slightly widen that he’s even revealing this to you. He’s so honest and you barely even know him, barely even had a whole conversation with him, yet he’s already confessed having watched your practices and now wants to catch up?
“I didn’t know how famous you were, I guess you missed it?” His hand going to his neck and scratching the skin there, still laughing lightly. The comment has your lips tugging up slowly, eyes darting between his and the blue can in your hold.
“Yeah, I’m sorry, I’ll check right now,” You apologize, your heart begins to pick up in your chest as you lock eyes back with him. Your choice of words has his head shaking, hand twitching by his side as he goes to crack his knuckles.
“No! I —I don’t want you to think nothing of it, I just noticed, I’m sure you’re busy and everything! Don’t worry you won’t lose a fan” He grins brightly, thick finger raising to his chest to give you a thumbs up.
The gesture has you giggle lightly, head swaying from each side as you rock on your skates. Now he’s a fan of yours? And even with those words he says it so confidently, are you in the Twilight Zone?
“I’ll do it right now,” Phone in hand entering your passcode, going onto the multicoloured app and clicking on the magnifying glass.
“No… uh, you really don’t have too,” Harry hesitates, his teeth biting into the skin of his lip as his hand holding his hockey stick fumbles with it.
“It’s fine don’t worry,” Your hand turns your phone around to reveal to him the search bar, waiting on him to type his name in even though you already know it by heart.
His large hand carries your device out of your smaller one, his fingers circling around the keyboard as if forgetting how to type. The motions leave you to prop your eyebrow up and look at him confused.
A heavy breath blows from him, eyes switching between you and the phone screen till he’s sighing deeply, nose scrunching up before his movements halting.
“Can I uh, put in something else?”
“What?”
“My number?”
Your mouth parts slightly, lashes blinking up at him surprised as you feel your cheeks begin to heat up. Completely blindsided and astonished that he even asked you that. You don’t even know what to say as you both stare at each other caught up in the moment.
“O —Or maybe I’m being too pushy, it’s okay.” He rushes, sight tearing away from you as he quickly begins punching in his username, your lips immediately close before you’re clearing your throat.
“No, it’s fine, I just wasn’t expecting,”
“No, it’s okay… here, that’s me.”
Your phone is back into your hand, and despite your unsure appearance Harry is smiling, cheery and happy as if not fazed by your confusion.
“No seriously, put your number in,” Fingers immediately opening your contacts to add him, hand attempting to pass the phone back.
“Y/N let’s go, you got ten more minutes until we’re done!” Coach Griffin is calling from the transparent doors that reveal him stepping through. His eyes catch on Harry who immediately lets go of your phone and grins an enchanting smile.
You curl it into your chest while nodding at your coach seriously, lips stretching tightly before you're walking in front of him and heading towards the gray-haired man.
“Come on, no distractions, you know this!” He comments, unibrow raising pointedly at you as he begins to walk along your side.
“Not a distraction, he was just being nice.” You say, leaving Griffin to grunt disapprovingly to your response.
But, you ignore him, head twisting around for a moment to see Harry, eyes locked on your retreating body, and when your sight connects he immediately turns to look distracted with lips squeezing into his cheeks.
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The sore pain that aches within your muscles appears evident as you limbly slide amongst the ice. You wanted to take this practice easy, especially with your tournament in three days, but Griffin on the other hand wants everything perfect.
Your thighs burn and biceps tingle tiredly as your body succumbs to your routine that you’ve been performing for two hours straight, he was nit-picking everything about your performance as if your face wasn’t layered with exhaustion overcoming you.
The compelling chorus rings through the arena, your arms flexing outwards as you take two large strides, body twisting around to spin, perfectly landing your lutz before switching direction and continuing your motions to your next move.
And with each lyric does it race your mind of the curly brunette who has you in a frenzy. Going through his social media, rewatching his stories or seeing what he’s tagged in; for someone who wants to focus on oneself, you sure know how to watch someone.
But, hell, you’re confused. Harry with his dimple grin and tall frame, all the small moments that have happen tug at your heart strings, feelings as if maybe this is someone you can get to know? Or should you just swallow your pride and ignore it all, stick to what you know.
Caught up in your annoying thoughts and your heart a battlefield of the uncertainty between you and another hockey boy, one who should be the least of your worries, you find yourself regaining focus on your performance.
Easily you twist backwards into lengthy glides, figure eight cutting into the floor as you pick up momentum, left leg escaping to lift you up, your double axel clean until your right foot lands sideways, your left leg swinging you into the air to fall on your ass, arms spread out and catching your back before you slam against the ice.
“Y/N! Dammit!” Coach Griffin yells from the bench only leaving you to roll your eyes as you ball your fists together, slapping them into the cut up ice. “Run that part again!”
Your hands brush over your face, tears springing to your eyes from the exhaustion overtaking you. The tension flexing through every bone adds to the water that pierces your eyes, as you tug them away from the surface your sight immediately catches on Harry who looks concerned.
That’s your cue to stand, shaved ice running over your thick stockings and skirt while your thermal heated long sleeve doesn’t help the cold you ingest making your way back to your previous stance to retry your spin.
The music cuts a few seconds before your jump, you’re back to twisting and turning until this time sticking the landing of your previous miss. And as the dance continues you couldn’t help but let tears of frustration trail out, you're immensely tired and want nothing more than to ice your sore limbs rather than over extend it, but to even suggest that to your coach would just result in him saying.
“Pain is beauty.”
It’s why you suck through the rest of your performance, pulling through and striding painfully across the ice and stretching your limps over head to conclude your practice.
You’re thankful this time around there isn’t quite a large crowd to see you perform, but the fact Harry watched you take a fall today was embarrassing in itself. His presence in your life beginning to make itself known.
You found him cute with his stuttering yet confident self, the fact he can be nervous around you but tell you his thoughts as if nothing. It was refreshing to find that within someone, especially him. It showcases the difference between someone who tries while someone who simply doesn’t care.
But, who’s to say Harry is trying? Who’s to say Harry is even interested in you as much as you think about, and even if that was the case there’s only one thing that should be important to you right now, that gold medal, not some man who you barely even know.
Your heart and mind are pulling at each other and suggesting so many ‘what if’s’ moments you think you might explode. If there is one thing you’re good at, it’s overthinking; and right now it’s one of those times. Your darting eyes catch between Harry who looks indecisive to speak while Griffin looks displeased.
“You need to be sharper! Your timing should never waiver, you need to hit every mark; now go on and stretch,” His navy blue tracksuit stalks down the hallway filled with hockey players getting ready to take over the rink.
Your sight trails off of his shuffling body and to Harry who stands left to the entrance, timid smile stretching at the same time you turn away to grab your water bottle, immediately walking after your coach who just berated you.
“Hey! Hey! Y/N!” Harry is there next to you, thick shoulder and leg pads cushioning his walk. His hockey stick rattles against the chip painted floor, the call of your name has you bite back the tears that swirl around your eyes.
“I’m sorry but not right now,” You faintly smile turning to him, hand reaching out and pulling the loose strands of hair behind your ear, feet picking up pace as you see your locker room come into view.
But the heavy padding of him next to you doesn’t stop, and with the feeling of his palm catching your shoulder in his hold, your head whips around as if looks could kill.
“I just wanted to check on you, make sure you’re good? That was one landing,” Harry says, expression soft as his brow is perched with worry. It has your frazzled expression relaxing a bit. You shake your head, body stepping away from his touch as you look down at your skates.
“M’Fine,” You sigh in defeat, attempting to act as if you didn’t fall flat on your ass or get yelled at.
Though you shouldn’t act like it didn’t happen because he’s staring at you completely worried as if you sprained your ankle or worse. His towering appearance and bulky frame shields the space around you as people float past.
“Honestly, I hope you don’t take what he says to heart, you looked stunning out there, absolutely—”
“Oh, please spare me the theatrics,”
Your eyes roll at hearing the words people say to try and cheer you up. You know your performance was shit, it was obvious from your form to the lazy expressions today, but you’re tired, and your mind is a battlefield of forgetting someone old and welcoming someone new.
“I wasn’t good today, I know I wasn’t… I don’t need you to try and butter me up to make me feel better.” Hands squeezing against your hips as you look at him, the outburst of words immediately has you pinching your mouth together and stepping back. Head shaking tightly as you look between him and the ground.
“I —I’m sorry, I’m not trying to be rude, I’m just”
“Tired.”
Harry finishes your sentence, a sheepish smile extending across his lips before he’s stepping towards you, evening the space out as he looks over your irritated face.
“I can tell, and I don’t care if I’m buttering you up with compliments, even if you are tired you still own that stage.” His words lift your gaze up; furrowed brows relaxing with lips twisting into your cheeks.
“I know how it feels to be exhausted, running on E, I can relate and… just hope you take it easy once you get home,” Harry’s hand that once touched your shoulder lightly hooks onto your palm, you find yourself allowing him to cradle your fingers gently swaying your hands.
“Nice warm epsom salt bath, Tiger Balm and clean sheets?”
“Are you using muscle relaxing remedies to flirt with me?”
You both laugh, sight sparkling as your once pierced eyes relax. Chest softening and stare pleasantly admiring the tall brunette before you while his own view appreciates the beauty in front of him, your fingertips blindly tapping against each other.
“I hope it worked?” Harry counters, stepping closer to you. The comment makes your ears tingle slightly, your body welcoming his towering appearance as he practically covers you with all his equipment on.
“I’m definitely feeling better.” You find yourself admitting. Cheesy smiles being exchanged. It’s the delicate touches and innocent connection that make you feel an invisible string tying.
The fact that he relates to your frustration and even calmed you down from being railed up despite you saying hurtful things, it comforts the sewn fragments of your heart that experienced neglect when frustrated with your own feelings. As if feeling like having no one to confide in or talk to, moments you were tired and would be ignored.
Harry instead recognizes your hurt and comforts you, he’s polite and genuine, caring eyes looking at you happy that you're relaxed compared to your previous appearance.
“I, uh, was actually thinking are you—”
Buzzer loudly sounding from the scoreboard notifying the opposing sides to take the ice, meaning that it’s Harry’s cue to follow his team. The eye roll and giggle that leaves the space is cute between the bodies of you both. Your sight looking up at him as your skates rock back and forth.
“Why is it that every time I try to—”
“Aye! Yo! Styles! Let’s go!”
Another trail of laughter escaping as Harry huffs, head nodding annoyingly to his friend who calls for him.
“I’ll text you!” He grins, stick clicking by his side as he walks backwards grinning towards you.
It’s in that moment do you realize what transpired. Harry and you being so close, fingers dancing amongst each other like when you both cross over the ice, and the way he easily drew you in, all sweet and kind. You’re not familiar with such peace, especially with a man you barely know.
You’re still standing by the locker room, sight stuck on the 22 in bold white letters on his back, helmet and stick slinging in his hand as his curls flex against the wind, head leaning back to allow water to flow directly into his mouth. The sight is one you can’t help but admire because of how handsome he looks, tall and beefy striding along the ice, jawing tensing as he swallows the water, his body walking him through the opposite door of his team section to set his bottle down.
It’s when he turns around to look towards the rink does his eyes catch onto yours, your cheeks immediately heating up as you tear your eyes away and retreat into the locker room.
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toutmontbeliard-com · 9 months ago
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Tournoi d’échecs à Voujeaucourt
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Le club d’échecs la Diag du Fou organise l’après-midi du samedi 30 mars 2024 un tournoi d’échecs aux Mésanges, espace associatif , rue des Combes à Voujeaucourt. Inscriptions obligatoires avant le 28 mars 2024. Read the full article
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parle-parle-jase-jase · 3 years ago
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Séance #8 – Quoi écouter et où
Récompense pour plusieurs, motivation pour d’autres. Je vous parle ici de nos précieuses séries télévisées. Le terme sériephile sera analysé dans ce billet. 
 Ces sériephiles vont prioritairement être des gens solitaires quand vient le temps de visionner leur série. En effet, lorsqu’on souhaite visionner un épisode de notre série il est bien plus facile de l’écouter soi-même, car on ne se questionne pas sur les préférences d’une paire, Clément Combes est du même avis https://bit.ly/3vkPtUs. C’est évident, nous sommes tous déjà passés dans le long processus de sélection d’une série ou même d’un film avec une autre personne. Le sériephile est déconstruit en six catégories distinctes soit le suiveur, le sourciste, le méthodique, l’opportuniste, l’addict et le technophile selon le même Clément Combes https://bit.ly/3vlIV7Y. Je serai clair ici, en 2021, la plupart d’entre nous peuvent se proclamer sériephiles. 
 Le suiveur, son nom l’indique, ne prendra pas énormément de décision et voudra de son côté uniquement suivre le plan et l’horaire offert par le programme télévisé. Je crois personnellement qu’ils se font plutôt rares.
Le sourciste priorisera la version originale d’une série en particulier. C’est plutôt comprenable si la langue est bien entendue par l’individu, sinon je n’y vois pas l’intérêt. Cela soustrait plusieurs séries pour sa sélection. 
Le méthodique de son côté porte une attention sur la forme d’une série. Il va donc comparer des styles et s’y rattacher. Soyons honnêtes, il faut énormément de temps pour en venir à maitriser autant la forme de plusieurs séries. De loin je n’y suis pas. 
Pour l’opportuniste, c’est complètement différent et je m’y rattache énormément. Celui-ci sera davantage dans le plaisir de l’instant. En d’autres mots, il est plutôt labile dans ses choix de séries. Personnellement, je peux sauter d’un style à un autre. 
L’addict se rapproche de l’opportuniste, mais comme son nom l’indique il deviendra fou de la série qu’il consomme. 
Le technophile pour finir en est un qui a une maitrise très élevée de la technologie et comme l’addict il raffole des séries. Il va user de ses deux passions pour ainsi dénicher des séries qui ne sont pas encore disponibles. Pas certain que ce soit légal, mais bon qui suis-je pour juger.   
 Pour conclure, il est évident pour moi que davantage de personnes se regroupent dans des catégories de consommation de masse sans horaire fixe. Cela favorise grandement le format numérique sur demande.
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claudehenrion · 4 years ago
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Et à part tout ce qui ne va pas, comment ça va ?
  Cela fait tout de même quelques décennies que la chère France, dans tous les classements de tout ce qu'on peut classer, perd autant de places qu'elle ne le veut pas : il n'y a pas qu'au Tour de France (cette hantise incompréhensible qu’ont les pastèques rétrogrades de EELV), que pas un seul français ne brille, depuis Bernard Hinault... en 1985 ! La crise du covid a mis en lumière quelques unes de nos défaillances industrielles, stratégiques et médicales (il faudrait aussi ajouter ''et intellectuelles, et politiques, et morales...''), mais, comme toujours, une fois passés le discours qui se croit viril, les coups de menton mussoliniens et les postures dictées par les ''communicants''... il ne se passe rien, sinon encore d'autres discours expliquant pourquoi ceci a raté ou pourquoi cela a simplement ‘’foiré’’...
  Le diagnostic, dans le fond, est facile à établir, mais il n'est pas facile à exprimer et à faire partager, car il met en cause un bon siècle de laisser aller, de laisser pisser, de laisser faire, et de laisser tomber tout ce qui est important... au profit de tout ce qui devrait ne même pas avoir été pensé, dit ou écouté ! Sacré job, pour celui qui se jetterait dans l'arène ! Faut-il en déduire que tout est foutu ? Peut-être pas, car la sagesse populaire répète que lorsqu'on touche le fond, une énergie de source inconnue fait donner le coup de pied du désespoir, celui qui peut tout et nous sauver. Aujourd'hui, nous en sommes réduits à mettre tous nos espoirs dans cette forme laïque de miracle... à moins (nous en parlions il y a peu) que la foi ne nous sauve, puisqu'un autre proverbe prétend qu'elle est la seule à pouvoir le faire. Mais il faut se rendre compte que nous ne sommes pas loin du ''bout'', grâce ‘‘au’’ covid.
  La chose la plus difficile, pour le chercheur ès situations désespérées, c'est de trouver à quel moment on a raté le bon virage, et où nous avons emprunté la direction qu'il ne fallait pas suivre. La tentation est forte de tout mettre dans le même sac, et de dire : c'est en 1917 que le mal s'est faufilé partout : lorsqu'un pays aussi immense que la Russie quitte l'univers du réel pour basculer dans un cauchemar permanent, les conséquences ne peuvent être que terrifiantes. Elles l'ont été, et plus que ce qu'on aurait pu imaginer, puisqu'elles empoisonnent encore le référentiel intellectuel collectif. Mais en réalité, une telle manière de décrire les choses est trop simpliste : dans le fond, la chute des Romanov était un événement russo-russe, et les idées foireuses qui avaient rendu possible ce moment effroyable de l'Histoire pouvaient en rester là. C'est dans la suite des événements qu'il faut donc que nous allions rechercher les causes réelles de notre malheur actuel... 
  La suite l'a amplement démontré : c'est chez nous, par nous, mais aussi en nous, que s'est décidée la suite, et la responsabilité de nos pères est engagée : le début de la fin, en France, avait pointé son nez affreux dès le commencement du XX ème siècle, avec les ''lois scélérates, dites de 1905'' qui ont voulu ''foutre'' Dieu à la porte, dans notre pays, comme si l'humanité était capable d'affronter le grand point d'interrogation qu'est son devenir sans demander d'aide à qui ou à quoi que ce soit ! Le moment où le pré-hominien, déjà moins ''singe'' que ses ancêtres, est devenu ''Homme'' (càd. la naissance d'Adam ou celle du premier ''Homo-quelque chose'', c'est la même chose, en vérité) ne se date que par l'existence de signes magiques et par la sépulture des morts, première preuve d'un besoin d'éternité...Plus près de nous, on sait depuis le 15 ème siècle que lorsqu'une population perd confiance en son ou ses dieux, son destin est plus ou moins ''ficelé'', comme l'a été celui des amérindiens devant une poignée de Conquistadores, à 100 contre des millions... qui avaient vu Hernàn Cortes ''pisser'' (c'est un fait avéré) sur les statues de leurs dieux jusqu'alors tout puissants. A qui se fier, qui croire... Tout était foutu !
  Comme dans un mauvais ''remake'' de cette séquence pas très raffinée, les lois déicides du ''petit père Combes'' ont fait basculer la France dans ce que personne alors n'avait perçu comme le début de sa fin. La force de ce qu'elle avait été s'est d'un coup transformée en faiblesse, devant une situation inconnue qui n'ouvrait la porte que sur un néant sans espoir : en l'absence de racines profondes, des idées farfelues se sont déversées sans limite. Nous en avons supporté plus que nous n'en avions envie, au cours des dernières décennies : toutes les bêtises qui pouvaient être érigées en système ont été passées en revue, codifiées, testées, imposées... pour être finalement abandonnées comme ''intrinsèquement perverses'' (comme le résumait si bien le Pape Pie XI dans l'Encyclique ''Divini redemptoris'', en 1937). Les séquelles sont donc restées : la mauvaise monnaie chasse toujours la bonne, et il n'y a pas d'exemple où de mauvaises idées, même vaincues, ne laissent pas de traces, les folies de 1968 nous le rappellent quotidiennement .
  Aujourd'hui, les mentalités françaises sont dangereusement ''impactées'' par tout un système complexe de fausses évidences contre nature et de vraies contre-vérités  (le vrai mot est : ''mensonges'') qui sont si profondément ancrées dans l'inconscient collectif français que la majorité de nos concitoyens croient qu'il s'agit de vérités premières, de morale publique, de saines attitudes, de réflexions de bon sens et de pensées à connotation ''intelligente''. Il n'en est rien, et c'est même exactement le contraire qu'il faudrait croire, vénérer, appliquer et opposer à toute autre idée réputée ''à la mode'' (donc, en gros et en règle générale, mauvaise et rien d'autre). Sans crainte de se tromper souvent, on pourrait énoncer le théorème suivant : ''Pour que quelque chose soit un mensonge, il faut et il suffit qu'il ait été érigé en ‘’vérité’’ par la pensée correcte du moment''.
  Car comment voulez-vous que reste dans la compétition mondiale un peuple à qui on a fait croire, depuis plus de 2 siècles, que les plus mal lotis deviendront riches simplement en ponctionnant aux plus aisés la moitié de ce qu'ils possèdent... que ce qu'une personne reçoit sans travailler serait autre chose que ce qu'une une autre personne n'a pas reçu, en paiement de son labeur... qu'on peut donner quelque chose à quelqu'un sans en avoir préalablement privé quelqu'un d'autre... que le salut ne peut venir qu'en accueillant des armées de ''migrants'' venus pour profiter, pas pour contribuer... ou qu'il serait possible de multiplier la richesse ou le travail en les divisant ? Une bonne moitié du peuple français a fini par être persuadée qu'il n'y a plus besoin de travailler, puisque l’autre moitié va (on dit, à LREM : ''doit'') payer à sa place, et cette dernière moitié commence à comprendre que ça ne vaut effectivement plus la peine de travailler, car c'est l’autre moitié qui va récolter le fruit de ses efforts... à ceci près que l'Etat, obèse et insatiable, va, dans tous les cas de figure, confisquer au passage plus de la moitié de tout ce qui peut avoir quelque valeur... ou en inventer des virtuelles, pour taxer le reste...
  Quand on est tombé à un tel niveau de désarmement intellectuel et moral et de naïveté (j'allais écrire ''de bêtise'', et puis je me suis ressaisi : on n’est pas forcément bête lorsque des hordes de menteurs malveillants vous forcent à avaler un breuvage mortifère : on est une victime), on ne voit pas bien où peuvent être les chemins vers la sortie du piège infernal que tend un virus fou qui s'amuse à souffler le chaud et le froid et qui n'a même plus besoin d'exister encore pour semer une terreur irrationnelle. On avait peut-être renvoyé Dieu, en 1905, mais qu'est-ce qu'on le regrette, depuis qu'on connaît le dernier en date de ses usurpateurs ! Parce que, en dernier ressort, à part lui, on ne voit pas bien d'où pourrait venir la ''sortie de crise'' dont rien, absolument rien, ne laisse espérer qu'elle pourrait venir un jour... Mais peu importe, quand on va au fond des choses : tout ce que nous vivons ressemble de plus en plus à un ''début de la fin'', pour l'Europe, pour la France, pour nous tous, et pour tout ce que nous avons tant aimé. Comme nous avions raison !
H-Cl.
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rituhell · 6 years ago
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Medran, le fondateur du peuple Rog. Vous en pensez quoi ? Pour ceux qui aiment la lecture : Attention pavé explicatif pour présenter le personnage ! <3 Medran est un humain originaire des Terres Libres. Cette contrée sauvage n'est constituée que de villages humains ayant une croyance assez unique : ils ne tuent pas d'animaux à proprement parler. Les Hommes Libres est un peuple ayant une haine profonde envers les Etris, les hommes animaux. La race Etris ( *race dans le même sens que Elfe, Nain, etc ) ayant la particularité de ressembler à leur animal totem... et de pouvoir en prendre la forme physique. Mais pour les Etris, prendre la forme de leur totem est un processus long et douloureux. Et une fois devenu animal, faire machine arrière est quasiment impossible... car les instincts animaux prennent le dessus sur la raison humaine. Les Hommes Libres considèrent les Etris ni comme des humains, ni comme des animaux ( qu'ils vénèrent comme incarnation de la nature ). Ils ne sont que des bêtes, des contrefaçons, rien de plus. Et c'est pour cette raison, cette haine, que la tradition de les chasser naquit. Une haine entre deux peuples, qui perdurera des siècles. Une haine devenue plus traditionnelle que raisonnée. Les Hommes Libres est un peuple qui n'utilise donc aucune matière provenant de "réels" animaux. Le cuir, la viande, etc.... Tout vient des Etris, qu'ils chassent et tuent. Ils les forcent à prendre la forme de leur totem, et quand la raison à perdue leurs proies, ils les exécutent sans honte. Medran était l'un des plus puissants et sauvages chasseurs de son peuple. D'une haine féroce, il s'attaquait particulièrement aux cornus, qu'il voyait comme des démons à abattre. Ainsi, avec les années, il devint une légende, et une terreur pour les cornus. Ces derniers craignaient son nom. Ils priaient les dieux pour que le carnage s'arrête. Et un jour, l'un d'entre eux décida de se battre. Ou plutôt... elle décida de se battre. Rog était une jeune Etris ayant perdu ses parents, tués par Medran. Pleine de rancœur, elle ne vivait que pour se venger des Humains. Un jour, elle se faufila dans le village de Medran. Elle avait la "chance" de ne pas avoir de cornes, et se fit passer pour une humaine. Le village l’accueillit en son sein, et elle put voir les siens enchainés, parqués comme des bêtes, prêts à mourir. Couverts de sangs, ils n'étaient plus rien. Plus aucun esprit n'habitait leurs corps. Leur âme était morte avec la violence de leurs bourreaux. Cette vision d'horreur resta gravée dans sa mémoire, et ne fit qu'accentuer sa détermination. Elle resta quelques temps dans le village, à l'observer. Elle y découvrit que Medran y vivait bien, et qu'il était marié. Sa femme et ses enfants, vivaient dans une hutte non loin. Rog décida alors de maudire cette famille. Elle avait travaillé des semaines durant sur une malédiction, qui ferait pousser des cornes à ses victimes. Une nuit, elle se faufila, et lança son sort. Les cris de douleur, provoqués par la poussée soudaine des cornes, réveilla tout le village. Mais Rog avait déjà fuit quand les premiers humains arrivèrent. Ils trouvèrent des formes recroquevillées, cornues, baignant dans leur sang, qui gémissaient de douleur. Medran et tout sa famille avaient été maudits. Le village prit peur. Et si cette chose était contagieuse ? Et si la malédiction s'abattait sur d'autres villageois ? Le chef du village, terrorisé, décida de bruler vif toute la famille. Il voulait détruire la malédiction avant qu'elle ne s'étende. Medran vit ses enfants, puis sa femme bruler le bucher. Quand vint son tour, il n'était plus qu'une boule de haine, de terreur. Par la force, il s'échappa, et s'enfuit dans la forêt. Les Hommes Libres ne parvinrent pas à le retrouver. Il erra, des jours, des semaines, sans but. Ses cornes lui rappelaient douloureusement la mort de sa famille. Mais il n'arrivait pas à mettre fin à ses jours. La peur dans son ventre l'empêchait de passer à l'action. Il tenta de détruire ses cornes, mais la malédiction était plus puissante que tout ses efforts. Pour ne plus voir son reflet dans l'eau, ce reflet perverti par ces immondices, il s'arracha les yeux. Et il commença à mourir, à petit feu. Jusqu'au jour où Rog le trouva. Cette dernière le reconnu immédiatement. Elle voulu le tuer, mais la compassion et la bienveillance dans son cœur la rendaient incapable de cet acte. Elle n'était pas capable de donner la mort. Elle songea à l'abandonner là, pour qu'il disparaisse. Mais ça n'aurait jamais mis fin aux tourments de son peuple. Elle n'avait pas assez de puissance pour maudire tout les Hommes Libres, ni même assez de force pour protéger les Etris... Mais Medran lui, avait cette force. Elle le soigna, une année durant elle s'occupa de lui, et une amitié aussi incroyable que soudaine se forma. Medran n'avait aucune idée de l'identité de la personne qui l'avait sauvé. Il ne savait pas qu'elle était à l'origine de ses tourments. Il savait juste une seule et unique chose : Cette femme, à la voix douce et à la bienveillance sans égale, lui avait redonné gout à la vie. Medran, qui était aveugle, découvrir une autre facette du monde. Il rencontra des Etris, et sans sa vue, il se rendit compte qu'il ne pouvait faire la différence avec les humains. Petit à petit, son avis changeait. Il comprenait que ces hommes et ces femmes, qu'il considérait comme des bêtes, qu'il avait chassé durant des années, avait tout autant de sentiments et d'humanité que son peuple. La compréhension remplaça la haine. Et l'amour qu'il avait pour son ancien peuple fut remplacé par de la rancœur. Ces derniers avaient tués sa famille sans même chercher à les aider. Il avait été abandonné des siens sans avoir la moindre chance de s'en sortir. Alors qu'il avait dédié tout sa vie à apporter prospérité à son village. Cette rancœur s'ancra de plus en plus profondément dans son coeur, et quand Rog lui demanda de l'aider à sauver les cornus, il accepta. Rog avait atteint son but. Manipuler petit à petit Medran pour lui faire comprendre l'abomination de ses actes. Ensemble, ils partirent à la recherche d'un lieu où ils pourraient s'établir. Les Etris étaient dispersés, nomades, apeurés. Il fallait leur trouver un havre de paix. Après de nombreuses recherches, Medran se souvint d'une légende de son peuple. Une combe, considérée comme maudite, de laquelle aucun humain n'osait s'approcher. La légende disait qu'un monstre vivait en ces lieux, cachant des objets démoniaques. Et que chaque personne qui osait s'en approcher serait maudite jusque la fin de ces jours. Medran s'y rendit, aux côtés de Rog. Mais ils ne trouvèrent aucun monstre. Seulement un labyrinthe... avec au bout d'immenses miroirs noirs. Des miroirs magiques, des reliques de l'ancien temps, aux propriétés incroyables. Si ces reliques entraient dans de mauvaises mains... Ils n'osaient y songer. Ils décidèrent de s'établir ici. Peu de temps après, Rog fut tuée par des humains alors qu'elle s'aventurait loin de la combe pour cueillir des baies. Les humains, qui tentaient de la capturer, ne s'attendaient pas à la voir se débattre aussi farouchement, et violemment. Elle éborgna l'un d'entre eux, et ils furent forcés de la tuer pour se protéger. Comme elle n'était pas morte sous la forme de son totem, elle n'avait aucune utilité à leurs yeux. Ils abandonnèrent sa dépouille sur le sol. Medran la trouva. Et son coeur se déchira une nouvelle fois. Il songea à se venger... Mais abandonna cette idée. Il était tombé amoureux d'elle... La perte du seul éclat de lumière dans l'obscurité qui l'entourait le rendit fou de chagrin. Il voulait faire perdurer son souvenir, ses rêves. Il allait réaliser leur projet. Un village où leur peuple pourrait vivre en paix. Medran partit à la recherche des Etris dispersés dans la contrée. La combe devant le labyrinthe devint rapidement un camp, puis un village. La peur des hommes pour ces lieux les en tenaient éloignés, et le temps qu'ils se rendent compte qu'un camp se fondait ici, le village était devenu capable de se défendre. Personne dans le village ne connaissait les origines de Medran. Il changea de nom, pour se faire appeler Rog. Et ainsi, naquit le peuple Rog. Devenu chef du village, et connaissant parfaitement les coutumes des humains, il atteignit son but. La combe prospérait. Il se remaria, et de ce mariage naquirent deux fils. L'un devint le chef à sa suite, et le second devint le premier Shaman du village, gardien des miroirs sacrés. Rôles qui se transmettraient de générations en générations. Rog fut enterrée au fond du labyrinthe, et personne ne se souvint d'elle. Mais son nom perdura comme symbole d'un peuple courageux, fier de ses origines. De nos jours, bien des centaines d'années plus tard, les Rogs sont encore en guerre contre les Hommes Libres. La haine ancestrale perdure, mais jamais Medran ni ses descendants ne tentèrent de l'atténuer. *** Je suis perdu dans mon esprit, dans une tranche de ma vie. Dans une transe d'absolution et une chance de rédemption. Perdu au milieu des miroirs... Qui reflètent mon âme noire. Abandon, je ne puis pas continuer de vivre comme ça ; je me dois de respecter les préceptes de mes aînés. Mes aïeux, ô, mes ancêtres, qui m'enseignent, qui sont mes maîtres. Douce brise du changement, qui me tire en avant ; Explique-moi comment changer, comment offrir ma liberté au nom d'un peuple opprimé que j'ai jadis persécuté.
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ieatmovies · 6 years ago
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CREED II (2018) Catégorie poids lourds oblige, le soi-disant “spin-off” CREED (2015) était parvenu à étendre la franchise ROCKY (1976-2006), ultime représentant du film de boxe sur grand écran pendant trente ans: car oui, le long-métrage de Ryan Coogler donnait une suite chronologique aux événements passés, en introduisant Adonis Creed, légitime “successeur” de Stallone à l’écran incarné par un Michael B. Jordan époustouflant -oui, peut-être même plus que dans le fantastique FAHRENHEIT 451 (2018)-. CREED II, c’est l’étape de la double difficulté, à savoir pour commencer par le départ du réalisateur Ryan Coogler sur d’autres projets -le très mou et inintéressant BLACK PANTHER (2018)- pour céder sa place à Steven Caple Junior (31 ans seulement!) : rien à craindre, l’homme étant un proche ami de Coogler, en plus de scénariser ses films. CREED II conserve donc cette continuité de montage, et son identité visuelle, moderne et sobre, intelligemment violente autant qu’émotionnelle: si CREED narrait les origines et l’ascension du fils d’Apollo Creed, sa suite en prolonge l’histoire tel un bon roman, avec ce script quasi-obligatoire de faire venir sur le devant de la scène la progéniture d’Ivan Drago, Viktor, pour affronter un Adonis en pleine crise existentielle. Et si ce fan-service de vétéran peut faire grogner, on est comme pour le premier volet, happés, aspirés dans ce conte moderne qui s’approprie les fondations d’un genre qui brille à nouveau: les figures de légende, famille, anciens amis et ennemis (Ivan Drago et Rocky Balboa, dont les échanges tendus ne cèdent pas, la mère et la compagne de Creed, indispensables- sont constamment traités en arrière-plan avec subtilité, pour qu’à chaque montée sur le ring, l’adrénaline nous gagne aussi. En effet, n’oublions pas l’essentiel du long-métrage, le COMBAT: si ROCKY BALBOA (2006) -le cinquième opus- montrait le savoir-faire d’un baroud d’honneur transcendant, CREED II nous met au tapis dès le premier round. Viktor Drago est une machine de guerre, une masse de muscles destructrice et aveugle: mais derrière la menace, le scénario approfondit le background de cet ultime ennemi, le rendant finalement touchant, grâce au personnage paternel de Dolph Lundgren et de ce déshonneur qu’il cherche à effacer depuis trop longtemps. Cette thématique de la paternité sera d’ailleurs un des fils conducteurs du script, avec plusieurs passifs et autant de points de vue qui racontent ces drames familiaux, chez les Drago, les Creed, ou les Balboa... heureusement que ces séquences viennent alléger le dynamisme hallucinant des combats de boxe, où l’on à à nouveau la sensation d’arpenter, entre un uppercut et un vilain coup sous la ceinture. CREED II est sans nul doute LA référence contemporaine de du genre, développant ses personnages et faisant de la boxe le noble art qu’il est: en résultent de fortes scènes, où Michael B. Jordan prouve son implication comme jamais: que dire de cette session d’entraînement surréaliste mais ô combien symbolique d’un champion dans le doute, enfin prêt à devenir l’homme et le père au travers d’un retour aux sources -ici un désert et des combattants virils- qui lui permettra d’effectuer sa rédemption, et qui sait, de conserver la ceinture? Ben ouais, rien à dire malgré le changement de réal’, la saga CREED étant plus grande elle-même que ses créateurs: en terme d’intégrité, CREED II est du pain béni pour les fans, loin des débats inévitables de l’affiliation de J.J. Abrams à STAR WARS (1977-20??), par exemple. On ne va pas vous gâcher la surprise, ni spoiler de trop: sachez seulement que si CREED premier du nom vous a conquis, CREED II vous rassasiera, malgré ce feeling de “nouveauté” légèrement moins intense qu’aux débuts de la franchise. Impressionnant de technicité combative et d’empathie, Michael B. Jordan nous laisse bouche bée: Creed a réussi à nous faire accepter la retraite de Rocky pour arpenter son propre chemin, tout aussi épique et humain. Vibrant. Bestial, aussi. Les SFX sont fous, et on croit réellement aux visages déformés par les coups, à ces corps qui transpirent, dans ce combat qui est aussi la quête personnelle de chacun: non, décidément, excepté une courte scène un peu niaise au cimetière, CREED II revient nous faire sauter la mâchoire, pour notre plus grand bonheur. A se demander si Ryan Coogler et Steven Caple Jr. ne possèdent pas POUR DE VRAI la recette inratable de la suite, du reboot/remake qui ne se plante pas? CREED n’est plus “l’héritage de Rocky Balboa”, il forge à présent lui-même sa destinée. Relève-toi et bats-toi. Prenez-en de la graine -de champions-! ENCORE TRÈS BIEN /20
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myvictories · 7 years ago
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Le handicap par Marina : “il y a des moments difficiles et il y en aura encore bien d'autres, mais beaucoup de choses sont possibles”
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Marina est une personnalité “forte, avec quelques fragilités”. A la fois combative et pleine de sensibilité, elle nous livre son parcours depuis sa tendre enfance avec la maladie, une arthrite juvénile ayant évolué en spondylarthrite. Pour se réapproprier un corps touché par le handicap, elle l’a fait tatouer : “Les tatouages m'ont permis de trouver beau et d'accepter un corps qui m'échappe, partiellement.“
Aujourd’hui entre sa participation à la finale de la 2ème édition de Miss Tattoo France et son évolution professionnelle, elle souhaite diffuser un message d'espoir et de tolérance : “TOUT est possible” !
Bonjour Marina, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? 
Bonjour. Je m'appelle Marina, j'ai 30 ans. Je suis aide médico psychologique et je rédige actuellement ma VAE d'éduc' spé. Je suis également modèle depuis presque 9 ans.
Vous avez été diagnostiquée d'une arthrite juvénile à 18 mois qui a évolué en polyarthrite puis en spondylarthrite. Pouvez-vous nous raconter votre parcours avec votre maladie ? Comment l'avez-vous vécu ? 
Je garde des souvenirs douloureux - d'un point de vue articulaire - mais j'ai eu une enfance très agréable. J'ai rencontré de véritables problèmes lorsque je suis entrée au collège, ça a été les 4 années les plus difficiles. Les enfants ne sont pas forcément gentils. Etre "différent" c'est se heurter aux moqueries & autres. C'est la période pendant laquelle j'ai le plus mal vécue ma pathologie. Je m'étais "accommodée" du fait de ne pas pouvoir faire de sport, du fait de ne pas pouvoir porter de talons, de porter une semelle de chaussure ( sur une seule ) intérieure & une extérieure, de collectionner les infiltrations... mais j'ai eu beaucoup de mal à vivre les remarques, tant je n'en comprenais pas le fond et la démarche. Cela dit, ça m'aura permis de me forger un caractère en acier trempé pour les années à venir ! 
En entrant au lycée, j'ai vite compris que les mentalités étaient différentes : ça ne choquait personne que je puisse avoir des soucis de santé et surtout ça n'attirait pas les moqueries. J'ai eu quelques occasions de mal la vivre, aux alentours de 21/22 ans, puisque j'ai du me faire poser deux prothèses totales de hanche. Ce sont des opérations auxquelles on ne se prépare pas vraiment, à cet âge la.
Comment vivez-vous aujourd'hui avec ? 
Je vis avec depuis un peu plus de 28 ans, c'est comme une colocataire ... pas forcément désirée. Mais je la vis plutôt bien. C'est une pathologie évolutive, il y'a des hauts et des bas. Il y'a des poussées et des périodes beaucoup plus calmes. J'adapte ma façon de vivre, mes activités : je prends un peu plus de temps pour moi quand il le faut. Mais j'avoue aimer pousser mon corps, lui faire comprendre que la pathologie ne décide en rien de ce que je fais ou ferai : je fais du sport, je travaille, je dors peu parfois, je cours les séances photos. Je vis à 1000 à l'heure et j'aime ça. Parfois ça me rattrape, alors je prends un peu de repos... et je repars de plus belle.
Vous participez le 5 juin prochain en tant que finaliste à la 2ème édition de Miss Tattoo France, pouvez-vous nous en dire plus ? 
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J'avais envoyé ma candidature lors de la première édition et je n'avais pas passé la première étape. Cette année, comme j'ai eu fini la pièce de mon bras gauche (pièce dont je suis la plus fière ce jour), j'ai décidé de me lancer à nouveau... et ça a payé ! J'ai été extrêmement surprise d'être retenue. C'est un concours de beauté et de tatouages... je ne suis ni la plus tatouée ni la plus jolie. Mais j'ai décidé de vivre cette aventure à fond. Je m'estime déjà gagnante en faisant partie des 12 finalistes, c'était réellement inespéré.
Vous déclarez que "les tatouages sont une façon de réapproprier votre corps", pouvez-vous nous en dire plus sur ce que les tatouages représentent pour vous ? Quel a été votre premier tatouage et que représentait-il pour vous ? 
Les tatouages m'ont permis de trouver beau et d'accepter un corps qui m'échappe, partiellement. Le symbole le plus criant est mon tatouage biomécanique/steampunk sur le bras gauche. C'est un bras qui a été paralysé par la spondylarthrite : le coude ne déplie plus totalement, l'épaule est bloquée à 90%. Je ne supportais pas ce bras : il ne servait à rien, je ne lui trouvais aucune utilité, c'était un poids mort et un réel complexe. En le faisait tatouer, de cette manière la, j'ai voulu me le réapproprier, le trouver enfin beau à regarder. 
Et puis le biomécanique est une manière de tourner en dérision ce handicap : c'est un petit hommage aux prothèses que j'ai déjà et que j'aurai du avoir sur ce bras. J'aime assez sourire de ma pathologie.
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Mon premier tatouage se sont les initiales de ma grand mère paternelle, à l'intérieur de mon poignet gauche. Je les ai faite à 21 ans, ma grand mère venait de décéder et elle était une figure importante de ma vie.
Quels sont vos éventuels prochains projets ou défis ? 
Mes projets sont avant tout professionnels : je me suis lancée dans ma VAE d'éduc spé' cette année et ça me prend un temps fou, mais c'est une belle expérience que de pouvoir se plonger et analyser sa pratique professionnelle. Je suis soutenue par d'excellents collègues. C'est ambitieux, j'ai peu d'expérience, mais je compte bien défendre mes projets et montrer que j'ai toutes les capacités requises pour être diplômée. Et si ça fonctionne pas totalement cette année, alors je reviendrai, je suis quelqu'un de persévérant.
J'ai plein d'autres projets de tatouages : je veux me couvrir à 80%. J'aimerai terminer mon bras droit et commencer mon dos l'année prochaine. Tout en ajoutant quelques pièces sur les mollets.
Quelle(s) a/ont été pour vous une ou des victoire(s) ?
Ma plus grande victoire c'est d'être qui je suis aujourd'hui : une personne tolérante, fière de qui elle est, de ses réussites. Une personne forte, avec quelques fragilités.
Pour finir avez-vous un message à faire passer ?
Un message d'espoir et de tolérance, oui. TOUT est possible. Absolument tout. J'ai 30 ans, une pathologie évolutive, deux prothèses de hanche, un bras qui ne sert plus à grand chose... et pourtant je suis modèle, je travaille dans un secteur que j'aime plus que tout... et je me retrouve en finale d'un concours de Miss. 
Alors évidemment que ce n'est pas un message "Bisounours" que je veux véhiculer : il y a des moments difficiles et il y en aura encore bien d'autres, mais beaucoup de choses sont possibles. Croyez en vous, croyez en vos rêves et ne laissez pas quiconque décider pour vous.
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burlybanner · 7 years ago
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Full Circle
**
Author Notes - this can be read as a conclusion to Infundo Chronicles but I’ll probably still write more in this universe from time to time. When I set out to write this particular story I didn’t expect it to be the last, but it seemed fitting. Stories and universes can sometimes close on their own and as a writer I can respect that, but I do love this version of Bruce, Tony, and Steve together. So it’s a peaceful place to stop.
I’ll still answer questions about them (and maybe do a little RPing if people want) but for now, I wish them well.
***
Full Circle, an Infundo Fic (Stark Spangled Chubby!Banner)
Rating: PG-13
Word Count: 2480
Warnings: None
***
Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
C'est payé, balayé, oublié
Je me fous du passé !
--Michel Vaucaire (sung by Edith Piaf)
They respected his right to keep his past tightly-guarded. They also knew he never discussed his adolescence, apart from what they’d already read in public files. And yes, to be fair all three of them had “issues,” but their conversations would end in a Fort Knox lockdown if they nagged him for answers about his past. And somewhere dark in him, Bruce figured Hulk’s creation could’ve stemmed from crushing daddy issues (Brian Banner’s uxoricide and atrocities guaranteed a life of depression and suicidal ideation, too).
The public treated him like a circus sideshow before the Hulk emerged, even since he was a little kid, so yeah Tony and Steve guessed he still had a few unvoiced problems. Yet they never pressed him to talk unless his depression took a sudden dive.
He loved them for that.
“Did you know?” Bruce whispered softly. His low voice trembled in Tony’s ear, causing Tony to grunt and tighten a grip on “his” portion of Bruce’s prodigious paunch. Trailers from the last movie streamed mutely to the sleepy thirds, recommending movies Bruce put on his “to view later” list.
On his left Steve’s snores teased a giggle from Bruce’s throat. He’d gotten much too fat to comfortably view Steve from his side unless he moved his entire body (which he wouldn’t, for fear of waking him), but Bruce could feel the ebb and flow of Steve’s chest with each breath. The noises calmed Bruce and kept him comfortably grounded.
But apart from the grunt, Tony had barely moved. Bruce’s excess body heat had turned their ridiculously wide couch into pockets of therapeutic warmth, perfect for the chilly morn, and Tony refused to shift off of Bruce’s lap. The sectional was nearly as comfortable as their bed but on nights when they ate junk and stayed up late watching quadruple features, everyone elected to sleep on the couch.  
“Shh, Brucie,” Tony slurred. He sighed as Bruce finger combed his hair. “Sleep now, dear. Muse later.”
“Mhm.” Bruce chuckled when Tony snuggled deeper into his stomach, squeezing and fluffing the fat like his own personal pillow. In response Bruce swirled his sausage-thick fingers through Tony’s hair, lulling the engineer back to sleep.
“I saw that very movie in college,” Bruce mumbled once Tony snuffled in his sleep. “Back when I finally won enough scholarship money for my books,  tuition, housing, and a seven-day meal plan.” His fingers methodically and unconsciously tapped Tony’s scalp. “Betty and I argued a lot back then but our arguments waned after we saw that movie. ‘Of course I still love you,’ she’d said, ���but you’ve got to do something. You look way too much like him.’“
Bruce frowned and gentled his hands in Tony’s hair. If he got too rough Tony’d wake and he didn’t want that. “That’s when I made some tough decisions,” he murmured. “Looking back, I honestly don’t think I wanted to. But I changed anyway. For her.”
Confessing--well half-confessing, since he hoped his words were vague enough so no one would understand him--helped loosen the gut-knot he’d ignored for years.
Go figure.
Bruce ran a hand beneath his glasses, sighing. He really should turn in. The clock on the TV read four-something-am and yeah, it was technically Saturday, but still--
“Wait, what?”
Nuts. Bruce swallowed. “Um...you’re dreaming. Go back to sleep, Tony.”
“Nuh, uh, no. We’re not playing that card.” Tony yawned and rolled up like a cat, propping his elbow behind the couch so he could stare Bruce eye to bloodshot eye. Bruce smiled a little and pulled back one of Tony’s stray hairs to de-emphasize his lover’s bedhead.
“There’s no card. We need get some decent sleep because we stay up too late on weekends as it is. So next time, I say we stick to double features when teaching Steve twentieth century culture. And we start earlier in the day.”
“The eighties rule, and those movies’re Lays potato chips - try to watch just one, I dare you.” Bruce smirked, conceding Tony’s point. “But that’s neither here nor there, big guy. And you’re forgetting that One, I’m a light sleeper. And Two, a genius.”
“A genius at staying up way too late.”
“And a genius at peering through other geniuses smokescreens.”
“Touche.”
“Hey, hey,” Steve grumbled. Bruce shut his eyes, internally groaning. He could verbally spar with Tony to get him off the scent, but not him and Steve.
Steve sniffed and hid a yawn in a curved fist. “What time is it?”
“Between astronomical and civil dawn.”
Steve blinked. “What--?”
“4:30 a.m-ish,” Tony translated. He gave Bruce a hard stare. “And our boy Brucie is playing dumb while attempting to evade my questions.”
Steve looked adorably rumpled and rather childlike the seconds before fully wakening, but his clueless innocence didn’t last long. Bruce sank lower into the couch as concern and anger clouded Steve’s expression.
“Why?”
“I’m thinkin’ it had something to do with the last movie, but he’s not budging.”
“The movie with that really cute guy, with the cute name?”
Tony grinned. “Yeah.”
“C’mon, that had to be a stage name.”
“What, John Candy? Nope. Real name.”
“Son of a gun.”
Bruce hoped they’d continue, or at least leave him alone enough so they’d ignore him. “I’m just tired,” he deflected, yawning for emphasis. “We should table this for another time - really, it’s nothing.”
“No we’re gonna have it out now, because you’re too good at diverting us from the truth.” Bruce rolled his eyes. “Stop it. I know your game, Banner. You might as well ‘fess up.”
Worse, Steve kneaded Bruce’s side like a giant soothing cat, breaking concentration and resolve. “C’mon, muffin,” Steve sang, softly kissing Bruce’s jawline. “No judgments here.”
Bruce exchanged gazes with both of the men. “All right, all right. Fine...but don’t make a giant deal out of this, okay?”
“Promise,” Tony said, and Bruce glared daggers. “I said I wouldn’t! Sheesh.”
Bruce ignored his retort. “Steve...?”
“I’ll try,” Steve mumbled.
Bruce thinned his lips and ran his hands through his hair, hardening his expression. “This is tough for me, okay? So don’t...blow this out of proportion.”
“We won’t, we won’t,” Tony growled. He made the universal, “hurry up” gesture with his hand. “Just spit it out.”
Bruce glowered at his partners once before staring at his hands. “O...kay. Okay. For a year or two in college,” he breathed, mentally preparing himself, “I was...pretty tubby.” His gaze shot up as Steve squeaked, but when he saw delight marching across his lover’s faces he held up a hand. “Ah, no! I told you, don’t make a big deal out of this!”
“Like...how tubby?” Tony asked, and his nefarious grin nearly split his skull. Steve nervously chewed his lips, not daring to make another sound. “Big as you are now? Or--”
Bruce shut his eyes. “I don’t even know why I bother,” he mumbled. Then, “Almost, maybe. Since one of my scholarships provided unlimited cafeteria meals as long as I maintained my honors GPA, I made up for my strict childhood by gobbling up every fried, sugary, and fatty treat I could get my hands on. I took full advantage of the all-you-can-eat buffets on campus including the ones open after midnight, and I was determined to get my money’s worth.”
He quietly fiddled with the hem on his shirt cuff, thankful that his partners kept quiet after his rebuff. “Maybe in one sense I was afraid. Afraid that someone had made a clerical error, and I’d lose my literal meal ticket. I justified the gorging, telling myself the free food was temporary. When you’re poor,” he said, suddenly solemn, “you don’t question ‘free’ or ‘extra.’ You take what you can, when you can.”
The room stilled, and Bruce suddenly heard the quiet background noises of their home; Lily lapping from her water dish, Jarvis’ temperature modulations, the exhales of surprise from his companions.
Time to change the atmosphere.
“In short,” Bruce said lightly, attempting to brighten the mood, “I gained the freshman two fifteen instead of the freshman fifteen.”
“And Betty wasn’t happy about it.”
Bruce shook his head. “I didn’t want to lose her, so I slimmed down until she was happy with me again. And anyway,” he muttered, shifting awkwardly on the couch, “thrift stores didn’t really carry my size and I couldn’t afford anything new. So that ended that.”
“But you liked it,” Steve murmured, his voice caught somewhere between awe and reverence. Bruce wasn’t sure if the awe came from him being 215+ pounds overweight in college or something else. “That’s what it was, wasn’t it? You liked being fat.”
Bruce shifted again. “I...um. Well, honestly? ‘Like’ isn’t a strong enough word. I...ah. I loved it.” He stared at his thick hands, feeling the embarrassment flood him, even now. “It felt great to be that chubby. I felt powerful. I felt in charge of my destiny and in control of my life. I...enjoyed how my mass shifted and jiggled with each footfall. How my steps caused furniture to quake and rattle. How people couldn’t ignore me.” He heard a small squeak, and immediately narrowed his eyes. “Steve. Don’t turn this into something weird.”
“I’m not, I--It’s just, it’s--um...it’s--”
“Nah, you broke him, Pooh Bear.” Tony grinned like a shark and tweaked Bruce’s double chin before sobering. “I could make some quip about the Hulk, but I won’t. And while I’m sorry Betty made you lose your weight class and you went back to fighting featherweight--”
“Lightweight.”
“--whatever weight, it was still wrong of her to force it on you. I like that you liked bein’ a hunky chunky and that you’re finally getting to enjoy it, twenty-plus years later.” He rubbed the back of his neck and got quiet. “Makes me feel less like a creeper, anyway.”
Both Steve and Bruce frowned but only Bruce responded. “A...what? Why?”
Tony paused as an uncharacteristic blush tinted his cheeks. “Hm. Well...I ran my own little tests on you, Banner. My mind loved watching your weight shoot up so I casually recommended some meal ideas to our cooks. I told them to tweak the recipes to keep you large, and in charge.”
Bruce gently reached for Tony’s hand and gave him a gentle peck on the lips. “Thanks for telling me but if I’d minded I would’ve said something.” Tony snorted, looking bashfully at a corner of the room. “Trust me, my taste buds are so heightened that I can tell if there’s extra cream or another additive. It makes my meals extra delicious so I enjoy overeating to savor every bite.”
“Ohhh...” An unconscious moan dropped from Steve’s lips. Tony rolled his eyes even as Bruce grabbed Steve’s hand.
“You’re both ridiculous,” Bruce huffed. “But I love you anyway.” Bruce brought both their hands to his lips, kissing them. “I was destined to blow up. I just had to have the right company and the right motivation.”
“So...you’re not mad?”
Bruce looked pensive. “No, not really. Maybe disappointed you weren’t initially up front with me, but it’s okay. But let me know from here on out.
“In fact,” he sighed again, shifting his belly. He briefly pawed it, smirking at the bounce in his lap. “I think I’m nearing the point where I want to level out.”
“Aw, honest?”
“Steve, don’t be too upset.” A small smile pinked Bruce’s lips. “It was inevitable; you know I can’t keep gaining forever.” He gently rubbed Steve’s hand. “My human body is hitting some hard limits and it’s becoming difficult to move comfortably. I can’t walk too far - and running’s definitely out - but I’d like to be able to at walk around the house without a variety of ambulatory aids, y’know?”
“Yeah, I get it.” Steve pouted, causing Bruce to laugh. “I’ll miss measurement nights, though.”
Bruce winked at him. “I might not want to actively gain but I’m not planning on losing anything. So feel free to keep me in this range, plus or minus ten pounds.”
Steve’s expression brightened. “That I could do.”
“It’s a compromise, I’m sure. But I consider myself fluffy enough for your whims.”
“Stop,” Tony interrupted, laughing at their schmaltz. “No more, I’m done. I’m going to bed.”
“I think we should all turn in. It’s pretty late.”
“Early, you mean.” Steve offered his hand. Bruce took the help, rocking back and forth so the momentum could launch him from the couch’s deep divots. Steve smiled softly. His expression lingered on Bruce’s massive torso and on the button-down shirt with strained seams. “You need some new work shirts, Muffin.”
“Yeah. Maybe later today or tomorrow.”
“Shopping?” Tony yawned grandly and wrapped his arms around Bruce’s sides, though his fingers were more than a foot from connecting. Bruce chuckled as Tony slammed his head into his back, snuggling close. “Shopping’s my second favorite hobby.”
“And your first?”
“You blind, Banner? It’s you. And Steve, in a pinch.”
“In a pinch, huh? Thanks.”
“You two,” Bruce murmured. He motioned Steve over and stilled as both men wrapped around him in a cocoon of arm warmth. “My guys.”
“Always and forever,” Steve mumbled, and Bruce felt Tony nod against his back.
“Sleep now,” Tony said. “It’s chilly, and I need my Bruce-powered bed warmer.”
“You got it.”
They changed into comfortable clothes and tumbled into bed with Bruce between them. Bruce exhaled a loud, contented sigh as both Tony and Steve scooted into his body, cuddling snugly into his fat. He briefly reminiscent about his life, about the beginning of their time as a trio until now, and realized he was happier than he had any right to be. “Love you,” he whispered to them. He smiled after feeling a gentle whump while Lily found her sleep spot, completing their family. 
Bruce mouthed you too to their pup, then settled into his own peaceful slumber.
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cedricfaitsontourdupilat · 3 years ago
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VALENCE-VERCORS
A Valence, le 27 juin 2021
   Direction Valence pour ce dimanche où en réfléchissant bien je n’ai jamais mis les pieds dans le centre-ville en passant pourtant d’innombrables nombre de fois sur l’A7 ! C’est une toute nouvelle cyclosportive qui voit le jour et qui permettra de découvrir, ou redécouvrir, la plaine de Valence ainsi que les magnifiques routes du Vercors, terrain de jeux idéal pour les pratiquants. 3 parcours chronos sont proposés ainsi qu’une rando et j’opte pour le grand parcours nommé « La Résistante » proposant 182km et près de 3500m D+.
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         Après un retrait de dossard hyper rapide je suis bien dans les temps pour prendre place sur la ligne où j’aperçois déjà quelques camarades de routes (Julien Sauvigné, Guillaume Cloitre ou Rodolphe Lourd entre autres). Tous les parcours s’élancent ensemble à 8h30 et je tente de vite me mettre dans les premières positions pour éviter toutes mésaventures durant la traversée de la ville. Il ne faut pas bien longtemps pour secouer le cocotier et je reste vigilent à l’avant au moment où Nicolas Reynaud s’en va seul. L’allure est rapide dans ce début de course et les premiers reliefs font mal ; l’homme de tête sera repris pour le premier col du jour : le col Jérôme Cavalli (10km @ 5%).
Rodolphe met le tempo que je relaie plus loin ; le rythme n’est pas fou et permet la discussion avec Renaud Blanc tout en faisant un petit écrémage. Peu avant le sommet du col, on bifurque à gauche sur une route gravillonnée ! Heureusement c’est plat ou légèrement montant avant d’affronter « Côte Blanche » ; une succession de murs plus ou moins raide où tout explose. A fonds je suis dans les cordes mais garde le contact avec la tête alors qu’il y en a de partout ! C’est un peu plus roulant au col des Limouches où ça semble vouloir souffler. La descente me fait le plus grand bien ; route parfaite, un peu de fraicheur j’en profite au max pour récupérer tandis que certains font leur retour en bouchant près d’une minute pour les plus attardés. A Léoncel, certains nous quittent pour le petit parcours puis à la fin de cette longue descente c’est ceux du moyen qui partent en direction du col du Pionnier. Arrivé à St-Jean-en-Royans, nous ne sommes plus qu’une dizaine pour affronter le col de la Machine : 12km à 6.2%.
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      Là je suis en terrain connu (challenge Vercors 2016 et fait sur home trainer sur ce début d’année). C’est raide au pied où j’imprime le tempo avant de faire l’état des forces en présence : le team Vercors est bien là avec Rodolphe, Cyril Gaillard et Julien Gaillard. On a aussi Julien Bérard, Nico Reynaud, Vincent Arnaud, David Polveroni, Paul-Emile Lorthioir. Alors que je commence à ne pas me sentir au mieux je laisse faire et traine en fin de groupe ; c’est dur pour Nico qui paie ses efforts et je m’inquiète de la gestion des bidons avec déjà un de vide. J’y vais un peu au culot en demandant à une voiture qui semble nous suivre et fait passer des bidons ; ils acceptent gentiment ; MERCI ! La fin du col est plus cool avec la traversée majestueusement vertigineuse de Combe Laval ! Au sommet, on monte encore en direction du Col de Carri où le vent commence à se faire sentir. Toujours assez passif je suis le rythme dans la rapide descente avant de voir Rodolphe prendre quelques longueurs d’avance en direction du col de Proncel ; j’y fais, je n’y vais pas ? J’hésite et me ravise car à peine à mi-course et avec un vent parfois très fort. Rodolphe creuse avec environ 1’ d’avance au moment d’attaquer le col de Chaud Clapier (5.9km) @ 6.1%.
Nico Reynaud qui avait recollé, est le 1er à céder très vite imité par Julien Gaillard ; les 3km @ 7% du début font très mal d’autant que Julien Bérard à sèchement attaqué ; Cyril et Vincent suivent, c’est plus dur pour David et Paul-Emile ; perso je n’ai pu répondre à l’accélération mais je donne tout pour revenir sur un énorme tempo ; pile à la jonction, Julien en mets une autre et rebelote ; même schéma, je reviens avec Paul-Emile et décide immédiatement de prendre la tête ; mon tempo condamne l’attaque de Rodolphe (mais je pense que si loin de l’arrivée, il ne m’en voudra pas !) tout en annihilant une éventuelle nouvelle offensive. Une fois le sommet (plus roulant) atteint, nous voilà 6 à ouvrir la route et les relais vont gentiment s’organiser ; tout le monde passe même si on sent un peu de retenu. Une partie tout en forêt, vallonnée à souhait et bien usante avec le Pas de Logue s’offre à nous pour aborder les 2 dernières difficultés.
Le Col de la Bataille avec 2.9km @ 6% ne devrait être qu’une formalité, sauf que ça accélère franchement ; je suis le seul à craquer, mais pas complétement ; en lissant mon effort je parviens à revenir dans les roues avant que Rodolphe ne place une belle attaque ; n’ayant pas l’audace de tenter après mon mauvais passage je laisse faire et Cyril contre pour aller former un duo. J’assure un peu à ma surprise le tempo jusqu’à 200m du sommet où Julien attaque. Tout le monde embraye moi compris mais je cède peu avant le tunnel. Malgré le faible écart je ne rentre pas sur le début de la descente et préfère récupérer un peu d’autant que le Col de Tourniol s’enchaine immédiatement. 3,2km à 6,7% qui de toutes façons m’auraient été fatals. Les écarts sont faibles avec à peine 1’ sur la tête et je vois Paul-Emile qui a craqué à son tour ; je fais ce qu’il faut pour vite rentrer et on va unir nos forces car l’arrivée est encore bien loin. On fait un arrêt express auprès d’une voiture pour de l’eau (MERCI) et passons au sommet avec 2 grosses minutes de retard.
Déjà en souffrance depuis longtemps avec des crampes que j’ai pu masquer, la descente est terrible avec vraiment de grosses douleurs ; je fais quand même l’essentiel en 1ere position semblant être un peu mieux que mon camarade au bout d’une douzaine de km on arrive enfin en bas ; il reste plus de 30km de « plaine » avec un vent soutenu et très souvent défavorable ; grâce à quelques talus et passages en danseuse j’arrive à me débarrasser des plus grosses douleurs et je peux envoyer à peu près normalement ; alors que nous sommes à 3’ des 4 premiers qui se sont regroupés, nous avons même un peu plus d’avance sur nos poursuivants (mais on ne connait pas les écarts). L’entente avec Paul-Emile est parfaite, il passe ses relais sans rechigner et j’en fait autant en écrasant les pédales avec tout ce qui reste. Cette fin de course est malheureusement sans grand intérêt et pourtant diablement usante avec ce fichu vent. A Malissard ça sent l’écurie et je fonce droit devant, rappelé à l’ordre par mon camarade car il faut tourner à droite pour une petite boucle ; pas très bien indiqué et beaucoup, dont nos poursuivants, ont tiré tout droit grattant 1’30 à 2’ au passage (heureusement qu’on avait une bonne avance !). Au bout du bout Paul-Emile me dit me laisser la 5eme place pour le travail accomplit, et je ne vais même pas m’apercevoir qu’il n’est plus dans ma roue. Je fini donc seul les 2-3 derniers kms interminables 4’ après Vincent Arnaud qui s’impose au sprint devant Julien Bérard et Cyril Gaillard, Rodolphe Lourd terminant 4eme.
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     Un bien beau résultat toutefois avec un top 5 scratch et vainqueur des 40-49ans devant Nicolas Reynaud ! Dommage d’avoir beaucoup souffert dans le Vercors ; il ne manquait finalement pas grand-chose pour accompagner le quatuor avec encore des forces pour faire un gros retour sur Valence où on n’a dû concéder qu’une minute sur les 1ers ! Bien mal aux jambes, au dos aux mains… de partout, mais vivement la prochaine !
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           Résultats
Sur le site de l’épreuve https://www.lavalencevercors.fr/ ou en cliquant ici
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hanazade · 7 years ago
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Les femmes qui font les excitées révolutionnaires, à la Mimi Mathy...« On me met la main aux fesses, je mets la main aux couilles. » Genre elles ne sont pas des victimes, elles font même pareil que les hommes... Calme, calme.
Perso moi je ne veux pas toucher les couilles d’un pervers. Gardez vos idées bizarres. Je n’imite pas un fêlé. Juste on ne me touche pas! Je ne touche pas non plus. Intégrité physique, point barre à la ligne. Une femme a le droit de rester une femme, de garder ses attributs pour elle et de ne pas tomber dans les jeux pervers masculins. Celles qui croient qu’elles sont plus douées, combatives et qu’elles ne se laissent pas faire n’ont jamais dû être agressées! Quand un mec te mets la main au cul t’as du mal à réaliser. Tu ne vois parfois pas qui a fait quoi, parce que ce sont des lâches. Tu te tournes déconcertée, tu peux juste te barrer. C’est un sentiment nul, injuste et révoltant... on se sent comme de la chair à pâté. Les femmes sont devenues de la chair à pâté dans les transports. C’est grave, très grave!
L’éducation des hommes est à revoir, les fous doivent être enfermés. Stop la culture du viol. Merci !
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toutmontbeliard-com · 2 years ago
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Tournoi d'échecs à Voujeaucourt
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Le club d'échecs la Diag du Fou organise l'après-midi du samedi 4 mars 2023 un tournoi d'échecs aux Mésanges, espace associatif , rue des Combes à Voujeaucourt. Inscriptions obligatoires avant le 28 février 2023. (source communiqué) Read the full article
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disneybeautyandthebeast · 8 years ago
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Before production began, Emma Watson worked closely with Bill Condon and Dan Stevens to polish the script, adding what she calls "detail and depth and fullness and wholeness to the scenes." She also focused on fine-tuning Belle's character, expanding beyond what little was established in the 1991 film. Says Watson: "There was never very much information or detail at the beginning of the story as to why Belle didn't fit in, other than she liked books." Lots and lots of books, like the ones she's holding here as she takes direction from Condon in the library. Later in the movie we also learn where Belle and her father lived before moving to the "little town full of little people." It's a city that holds special meaning for Watson. "l sing a song called 'Paris of My Childhood,' which was odd for me to sing because I was born in Paris and my childhood was in Paris," she says. "It's a sweet melody, a really lovely song."
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For the "poor provincial town" that Belle longs to escape, the crew built a real French village on the Shepperton back lot, providing a dramatic contrast between this cozy setting and the imposing castle nearby. Greenwood says her team combed French towns looking for a place to shoot, and though they found candidates in Conques and near Paris, when it came time to discuss bringing cast and crew to these actual villages, they realized it would be easier to create one from scratch. "As much as I thought it should be real, how could you say, 'No, I don't want to build a French village on the back lot'? So we built it," Greenwood explains. "That was great because we could then hybrid all the things we'd seen and put all the best elements into our village." Including a wandering French rooster. Cocorico!
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Kevin Kline's wayward Maurice, Belle's father, finds himself lost in the woods near the Beast's castle on his way to sell his music boxes at the market. If he looks safe here, he won't be for long. "I spent so much time getting pushed around," Kline says with a laugh. "I noticed it after a couple of weeks, and I said to Bill, 'I'm on the floor again.' [Maurice] is sort of the fall guy, so I get roughed up a lot!" As fans of the fairy tale will remember, Belle's papa eventually reaches the Beast's castle, a majestic but creepy estate Kline describes as "disquieting" to see in person. "It wouldn't be my first choice if I weren't stuck in a snowstorm and being pursued by these ravenous wolves," he quips. Production designer Sarah Greenwood says she and her team emphasized the castle's magic and grandeur in the grounds and exteriors nearby: "The whole landscape became part of the enchantment."
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It's easy to become blasé when you're an actor used to working on lavish productions. But the Beauty and the Beast cast never tired of their surroundings. "I remember the first time Emma Thompson and I saw the ballroom set and our jaws dropped because it's just so gorgeous," says Gugu Mbatha-Raw, who plays Plumette. The majestic ballroom was the perfect setting for the final number, when the Beast and all the household objects return to their human form. "Just breathing it in, from the costumes to the flowers to the music, and everybody dancing and swirling around in unison, there was a real magic to it." The room also evolves with the story. "In the prologue, before he gets transformed into the Beast, it's almost as opulent as Versailles," set decorator Katie Spencer says. "Then it's an echo of what happens to him, and then it comes back for the big celebration at the end."
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Filming Beauty and the Beast can be, well, a beast — at least for Luke Evans and Josh Gad, whose extra-macho Gaston and less-than-macho Le Fou shared bombastic scenes that sometimes led to mildly painful accidents. "We slapped hands so hard, [Josh] burst a blood vessel in his thumb," Evans (right, with Gad and producer David Hoberman) recalls, laughing. "We had to stop rehearsals, get the medic in. He thought his finger was going to drop off, but I think he'll survive. We just slapped hands hard, but obviously we just caught our thumbs at some point, and he's a delicate flower." But if they're sounding too similar to their characters here, don't worry: At least Gad can confirm that his hair in the film is completely fake. "If I had hair this good, I would not be doing Beauty and the Beast right now," he deadpans. "I would be modeling."
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In this scene, Audra McDonald's Madame de Garderobe sings for the prince just before he's transformed into a hairy horned creature. De Garderobe craves attention, but McDonald herself responded a bit more modestly when she learned she'd won the role. "I was just shocked I was asked to be involved, to the point that when I was flying over there, I was like, 'Do they really want me to play her?'" she says. "I was pretty much in disbelief until they put the costume on me and shoved me out on-set." Which then just made her even more speechless, of course. "When I walked on-set, it felt like I was walking into a dream." Stanley Tucci, who plays de Garderobe's maestro and husband, Cadenza, was also humbled by the splendor. "The scope of the set was enormous. They had these candelabras, these chandeliers coming from the ceiling with real candles. It was just stunning," he says.
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Sir Ian McKellen couldn't wait to slip on that wig and mustache, especially since it meant working with a director he knows well. "I've done two films now with Bill Condon, and we're always looking for a third," the actor says. "It was absolutely typical of Bill that he wanted to have a few friends with him, so I was very, very thrilled to suddenly be in my first Disney movie." Though most of McKellen's work involved voicing his character Cogsworth, the actor says his favorite moment was finally meeting the cast in person for the final celebration. "There was one absolutely glorious day when went out and joined all the actors in doing the final scene, when all the characters in the castle come back to life and become real people," he says. "So I did feel I was in the thick of it for at least a day, and singing and dancing was an absolute joy."
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Sheila et Ringo en deuil : leur fils Ludovic Chancel s'est suicidé...
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Sa mort a été annoncée via un communiqué de presse transmis par le manager Stéphane Letellier-Rampon de Sheila , ce 8 juillet. On vient d'apprendre la disparition de Ludovic Chancel par ces quelques mots si tristes : "Sheila a la douleur d'annoncer le décès de son fils, Ludovic, survenu dans la nuit du 7 au 8 juillet, à l'âge de 42 ans". Et d'ajouter : "L'inhumation aura lieu dans l'intimité familiale. Afin de respecter une mère en deuil, il n'y aura aucune réponse par Sheila ou son entourage aux éventuelles sollicitations médiatiques"."Fils de"Ludovic Chancel avait été vu en public pour la dernière fois le 3 juillet dernier, lorsqu'il assistait à la présen­ta­tion de la collec­tion capsule Petit Bateau x Marie-Agnès Gillot avec sa femme, Sylvie Ortega Munos. Il gardait des rapports compliqués avec sa célèbre maman chanteuse. Fruit des amours de l'interprète de "L'école est finie" et de Ringo (alias Guy Bayle), il avait notamment reproché à Sheila son absence en 2005, dans son livre "Fils de". "Je t'aime. Ta pilule"Plus tard, à l'occasion des 70 ans de la star, il avait fini par lui écrire sur Facebook : "Il est évident que pour moi le 16 août à été une date spéciale, malgré un conflit qui nous sépare elle reste pour moi ma Maman avant tout. Je lui souhaite la santé, l'amour, la paix et le meilleur pour l'avenir. Je suis très heureux pour elle de l'affec­tion que toute la France lui touche pour ses 70 prin­temps et je termi­ne­rai juste par quelques mots : Je t'aime. Ta pilu... Retrouvez cet article sur Public
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claudehenrion · 5 years ago
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Retour sur 6 mois de folie - ( II ) : la France pourra-t-elle s’en remettre ?
  Il y a deux ans, les cuistres diplômés (qui dirigent si mal le pays depuis), ont été grisés par leur succès inattendu et improbable aux élections. Mais comme, à la différence de Philippe le Hardi, ils n'ont aucun système de référence pour ''se garder à droite et se garder à gauche'' (là où est pourtant leur besoin le plus criant, et surtout le nôtre !), ils se sont vite retrouvés entre surchauffe et overdose et ont basculé, corps et âmes (pour ceux qui en ont une) dans une auto-satisfaction imméritée : puisqu'on leur a raconté que Dieu est mort, une place serait à prendre (si c’était vrai !)... Ils se sont propulsés, malgré leur peu de dons pour ''faire le job''.
  Et le grand bêtisier se déroule, page après page. Tout ce qui ne va pas dans le sens du progressisme le plus mortifère est aussitôt qualifié de ''peste brune'' par quelque ministre en manque de culture historique ou en recherche de faux sensationnel, au point que le sénateur indépendant de l'Allier Claude Malhuret avoue ''qu'il a entendu plus d'âneries en quelques mois qu'en trente ans de vie publique'', et qu'une présidente de région confirme qu''elle ne reconnaît plus la France'', deux opinions qui sont très largement partagées dans le pays profond !
  Mais si on prend le temps d'aller au fond des choses, on découvre un contiunuum dans la pensée de gauche : tout faire, jusque dans le plus petit détail, pour que la famille disparaisse peu à peu (NDLR- Comprendre ici : la vraie famille, pas les ersatz qu'on voudrait nous faire croire viables, les mono-ceci, les trans-cela, ou les ''a --'', privatifs de tout ce qu'on veut...). Le but est simple : fabriquer une nouvelle race d'humanoïdes entièrement dépendants de l'Etat (comme le seront sans doute nombre des enfants nés de ces bricolages ni bio ni éthiques) -ce qui fera exploser les besoins de financement, donc les impôts, donc la main mise de l'Ogre sur tout.
  Depuis que la Gauche s'est octroyé le magistère de la pensée politique (dies irae, dies illa !), pas un gouvernement, pas un ministre n'a eu d'autre ligne de conduite que celle-là. Historiquement, les Lumières (et John Locke) puis leurs élèves, les ''septembriseurs'' ont ouvert la voie des folies conceptuelles. Plus tard, Ferdinand Buisson, le fou-furieux de la laïcité haineuse, Edgar Quinet, Pierre Leroux, et ces adversaires de l'unité française que furent les ayatollahs de la Loi de 1905, Aristide Briand, Emile Combes (le ''petit père Combes''... à la manière dont Staline était un petit père des peuples !) et Clémenceau jusqu'en 1906. Plus près encore, l'affreux Jospin (qui confond ''être austère'' et ''penser comme... un postère'' --que Dieu me pardonne, mais c'est dans tous les dictionnaires !), le funambule Chirac puis la terrifiante Taubira, Ayrault, l'imbécile heureux, Valls l'imbécile malheureux, et Peillon (la haine personnifiée) ou Najjat (jolie, perverse, mauvaise, dangereuse : c’est une incarnation du démon, pour ceux qui y croient –dont moi, dans le cas présent...).
  Il faut toujours revenir aux ''fondamentaux'' : aucune société n'a jamais pu vivre sans tous les mots et les concepts clairs et familiers dont chacun avait un sens pour l'humanité, et qui ont disparu ces dernières années : le mariage dit ''pour tous'' –en vérité, ''n'importe quoi pour n'importe qui'', car je ne peux même pas épouser mon grand-père !--, le nom de famille, jospinisé jusqu'à perdre tout sens héréditaire, patrimonial, civil, génétique ou autre, fût-ce ''familial'', ces familles décomposées qui sont abusivement dites ''recomposées'' (c'est la magie des mots creux !) ou, pire encore, l'homme et la femme qui ne seraient plus que des ''états'' épisodiques, variables et interchangeables ''à la carte''... selon l'humeur de celui / celle qui se recommande de l'un et / ou / puis de l'autre... ou d'aucun des deux ! Autre crime contre l'intelligence : un député LREM –''who else ?''-- propose qu’une loi interdise de se prononcer sur le sexe d'un nouveau-né.... ''jusqu'à ce qu'il soit en âge de décider par lui-même de ce qu'il veut être, homme ou femme''. La bêtise criminelle des ''marcheurs'' nous fait entrer dans la phase finale de ce qui fut ''l'humanité''...
  Au moment où tout le monde se lance dans les recherches généalogiques pour retrouver sa propre histoire et ses ancêtres, et au moment où la génétique permet de donner enfin avec certitude la priorité à la loi scientifique sur les folles lois des hommes (de plus en plus soumis à des faux dogmes idéologiques, à des vrais fantasmes et à des pulsions schizophrènes), nos nuls s'imaginent qu'il suffit de voter une loi sans queue ni tête pour que des trucs impossibles soient de droit, et même deviennent ''le Droit'' !). Le progressisme rétrograde dont se targuent nos dirigeants est paniquant, à force de multiplier les pas en arrière !
  Car ce coup-ci, c'est à  la procréation qu'ils se sont attaqués ! Cette belle pratique, indissociable de toute vie sur terre (et qui n'est pas dénuée d'agréments, en plus !) devient un ''projet'' iso-industriel, asexué, en vue de gestations dites assistées, pour autrui ou autruie, parfois entre un homme qui se croit femme et une femme qui se rêve homme (fut-ce temporairement), le tout en utilisant un utérus artificiel (comme tout le reste)… et le tout, aussi, évidemment remboursé par la SecSoc, et bientôt, n'en doutons pas, mis en œuvre dans des fermes de reproduction, éclairées 24 / 24 et 7 / 7 pour augmenter le rendement. J'exagère à peine : tout est devenu possible, ces temps derniers, à la seule condition que cela ressemble à n'importe quoi.
  Mais j'y pense, en écrivant ces lignes : si l'acte de reproduction assisté par un tiers parti est remboursé... pourquoi ne pas envisager le remboursement de l'acte de reproduction ''normal'' --qui est également assisté par un tiers parti, resté (c’est un ''parti'', ''pas parti'', lui !) qu'est une fécondation sexuée effectuée par un couple ''homme-femme'' (une anomalie d’ici peu, au rythme où va le monde !) : cela faciliterait le repeuplement de notre pauvre Europe (si bafouée par les tenants de ces thèses mortifères) par des vrais gens issus de vraies situations dans de vraies conditions dans la vraie vie... C'est une idée à creuser et un très joli rêve ! Du coup, l'incorrigible optimiste qui survit en moi dans la folie ambiante se remet à espérer. 
H-Cl.
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