#collectif d’anvers
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dbp · 5 months ago
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Tamino wearing custom made shoes by Collectif d’Anvers
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conatic · 7 months ago
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Une dizaine de militants mènent une action contre les jets privés à l’aéroport d’Anvers - RTBF Actus
Source : RTBF
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taminoamirfouad · 4 years ago
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Tamino for Collectif d’Anvers (x) Photographed by Jan Mast (x)
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louduvelleroy · 2 years ago
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// La qualité de l'économie de moyens
C’est un théâtre en kit, à monter et à démonter partout, tout le temps et en rien de temps. C’est un genre en soi, ça s’appelle le théâtre de tréteaux. Une grande estrade en bois aggloméré est installée au beau milieu du public. Quelques marches faisant office de sommaires escabeaux sont vissées aux quatre coins de cette scène de fortune. Scène donc encerclée par les spectateurs qui se retrouveront, malgré eux, en contre-plongée de l’action comique. Placement libre, la salle se remplit vite et dans la cohue générale des discussions mêlées aux déplacements de retardataires, quelques personnes ou devrais-je dire comédiens, se démarquent bien qu’ils soient éparpillés dans la foule. Ce sont notamment leurs vêtements qui les trahissent. De minces costumes de récupération dont les coutures sont aussi bancales que la scène elle-même. Faire naître le grandiose avec peu, c’est ce à quoi nous sommes sur le point d’assister. 
Le silence ne s’est pas encore fait dans l’assistance que les acteurs se lèvent et commencent. On aurait pourtant l’habitude du contraire. Par convention les spectateurs se taisent, émettant comme un signal de départ au lever de rideau, pour que le jeu débute. Pour le collectif des Tg Stan il n’en est rien. Même si rien n’est prêt, ils se lancent ensemble sur scène. Pour cette bande de comédiens qui se réunit au théâtre d’Anvers depuis trente-trois ans, le théâtre est un jeu avant tout. Ils donnent le rythme, jonglent avec les dérivations et interruptions (ce qui nous offre par conséquent quarante minutes supplémentaires). L’illusion théâtrale n’existe pas. Le public n’est pas simple observateur passif, il est l'heureux complice de ce jeu. 
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Lorsque les acteurs se lèvent et commencent, c’est par l’Avare. Avec Poquelin II, les sept comédiens et comédiennes belges enchaînent deux pièces de Molière sans entracte, endossent les rôles d’une trentaine de personnages et ce, avec un décor rudimentaire si ce n’est presque absent. On vient à se demander si cela est réellement possible. À les voir réussir avec brio ce pari, la pièce en devient encore plus saisissante. Pour ne rien enlever aux difficultés, ces courageux acteurs flamands, il faut le souligner, doivent travailler avec de la prose française du XVIIe siècle. Au lieu de s’appliquer scrupuleusement à ne pas écorcher la langue de Molière, ils préfèrent envisager le problème sous un autre angle. S’il leur est impossible de cacher leurs faiblesses d’articulation, ils décident alors de les exacerber pour créer un nouvel effet comique surprenant et très efficace. Il en sera ainsi dans toute la pièce, chaque obstacle étant tourné intelligemment à leur avantage, de sorte que le public ne s’en rende même pas compte. 
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Une musique forte et enjouée, un changement de décor de fond, la mise en place de faibles passerelles. Il n’en faut pas plus pour changer totalement d’intrigue et passer d’une pièce à l’autre. Le Bourgeois gentilhomme à la barbe aussi ébouriffée que les cheveux, succède ainsi à Harpagon qui nous accuse à maintes reprises avant de partir, de lui avoir volé son trésor. La fluidité des transitions ne fait que renforcer la force de situation des scènes. Les acteurs se changent devant nous et attrapent des rôles à la volée. Tours de passe-passe brillamment exécutés puisqu’à aucun moment nous ne sommes perdus. Il leur suffit d’un t-shirt blanc, qu’ils se transmettent habilement, pour transporter un personnage sur un autre corps. Il leur suffit de renverser une brouette pleine d’aliments en plastique pour faire éclore, en une fraction de seconde, une scène de banquet. Il leur suffit d’un kimono orange, d’un juste-au-corps blanc et d’une doudoune imprimée à manches courtes pour créer l’accoutrement d’un homme de qualité. Il leur en faut peu parce que les acteurs font tout. En enchaînant des scènes plus drôles les unes que les autres, ils manient avec justesse les comiques de situation et nous rappellent que le théâtre, est avant tout un jeu. 
Lou Duvelleroy. 
Publié le 22 janvier (3967 caractères). 
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demoura · 7 years ago
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"DEMOCRACY IN AMERICA " DE ROMEO CASTELLUCCI ESTREIA NACIONAL ONTEM NO S.LUIS . Grande apreciador do trabalho do complexo encenador italiano lá estivemos ! .Muito público e muita gente do teatro...Necessária alguma meditação para o meu comentário. Por agora eis o texto fornecido pela Folha de Sala : Democracy in America apresenta no título ressonâncias do seminal tratado teórico do diplomata francês Alexis de Tocqueville (1805-1859), o qual faz uma rigorosa anatomia das instituições civis norte-americanas de uma perspectiva europeia. Livremente inspirado na obra e tempo de Tocqueville, Romeo Castellucci transporta-nos para a vida comunitária dos puritanos e índios norte-americanos. Recorrendo a uma estratégia de palavras e imagens, procura esclarecer questões como a linguagem da comunicação, a religião e a noção de comunidade. Os colonizadores do Novo Mundo formaram comunidades sujeitas a um rígido e austero sistema de regras ao jeito do Antigo Testamento, o qual, segundo de Tocqueville, é a base da democracia norte-americana. O igualitarismo e o dogmatismo religioso da Bíblia substituíram então a função democrática da cidade e a experiência da Tragédia, que, para Castellucci, constitui a forma mais elevada de autoconsciência pessoal e identidade política. No sistema de valores puritano, a reflexão e a dúvida são delitos passíveis de punição. Quem apresentar um comportamento aberrante é estigmatizado, tornando-se um marginal. Romeo Castellucci coloca a mulher no centro do espetáculo, enquanto semente de dúvida que vem manchar a imaculada pureza puritana. A heroína, uma mulher branca, um elemento da comunidade, será a primeira a pôr em causa a providência divina e essas palavras de Deus «pede e ser-te-á dado»: a nova terra-mãe é estéril. Porém, os indígenas conhecem os segredos da natureza e da sua terra, como «aquela velha índia» que pôs o rio a correr ao contrário. Democracy in America convida-nos a descobrir a alienação da própria natureza da linguagem e comunicação humanas, da fala humana, e logo das comunidades humanas. Seguindo uma trajetória retrógrada, Romeo Castellucci investiga as sementes do regime democrático moderno, muito antes de este ter crescido e alastrado por todo o mundo ocidental. Eleni Papalexiou Direção, cenografia, luz, figurinos: Romeo Castellucci; Textos: Claudia Castellucci e Romeo Castellucci; Música: Scott Gibbons; Com: Olivia Corsini, Giulia Perelli, Gloria Dorliguzzo, Evelin Facchini, Stefania Tansini, Sophia Danae Vorvila e com dançarinos locais, a saber: Michèle Even, Elise Moreau, Libby Ward, Roberta Ruggiero, Emmanouela Dolianiti, Anna Heuer Hansen, Sarah Bertholon, Ângela Diaz Quintela, Ana Jezebel, Jeanne Colin, Marie Tassin, Ambre Duband; Coreografia livremente inspirada em tradições folclóricas de Albânia, Grécia, Botswana, Inglaterra, Hungria, Sardenha; Intervenções coreográficas: Evelin Facchini, Gloria Dorliguzzo, Stefania Tansini, Sophia Danae Vorvila; Assistente de direção: Maria Vittoria Bellingeri; Maître répétiteur: Evelin Facchini; Esculturas cenográficas e máquinas: Istvan Zimmermann e Giovanna Amoroso; Confeção de figurinos: Grazia Bagnaresi; Calçado: Collectif d’Anvers; Contrarregra: Giuliana Rienzi; Assistentes de palco: Andrei Benchea, Pierantonio Bragagnolo; Técnicos de luz: Giacomo Gorini / Andrea Sanson; Técnico de som: Paolo Cillerai; Técnico de legendagem: Matteo Braglia; Guarda-roupa: Elisabetta Rizzo; Fotografia: Guido Mencari; Direcção técnica: Eugenio Resta; Equipa de produção técnica : Carmen Castellucci, Francesca Di Serio, Gionni Gardini, Daniele Magnani; Decorador: Silvano Santinelli, Director de produção: Benedetta Briglia; Divulgação e distribuição: Gilda Biasini; Assistente de produção: Giulia Colla; Gestão: Michela Medri, Elisa Bruno, Simona Barducci; Consultor económico: Massimiliano Coli; Produção executiva: Societas Uma coprodução com: deSingel International Artcampus; Wiener Festwochen; Festival Printemps des Comédiens à Montpellier; National Taichung Theatre in Taichung, Taiwan; Holland Festival Amsterdam; Schaubühne-Berlin; MC93 - Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis à Bobigny with Festival d’Automne à Paris; Le Manège - Scène nationale de Maubeuge; Teatro Arriaga Antzokia de Bilbao; Peak Performances Montclair State University (NJ-USA); Com a participação de: Théâtre de Vidy-Lausanne e Athens and Epidaurus Festival; A actividade de Societas é apoiada por: Ministero dei Beni e delle Attività Culturali, Regione Emilia Romagna, Comune di Cesena e São Luiz Teatro Municipal, Lisboa
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dbp · 5 months ago
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taminoamirfouad · 4 years ago
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Tamino for Collectif d’Anvers (x) Photographed by Jan Mast (x)
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taminoamirfouad · 4 years ago
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taminoamirfouad · 4 years ago
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taminoamirfouad · 5 years ago
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taminoamirfouad · 5 years ago
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taminoamirfouad · 5 years ago
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