#coffee shop barcelone

[verosissy84]

A Sissy Saturday

I woke up early today, about 7:00 ⏰ so I started the day with doing my laundry and in the meantime I got a shower 🚿, I shaved 🪒 the whole body from the neck down except a tight line of hairs above the pines (under the navel) forming an arrow in direction down ⬇️ I washed 🧽 the whole body and I did all my hygiene and cosmetics. Mmm that was fine.

Then I stuffed a Venus balls 🥎🥎 in my boi pussy and went to a galleria to get morning breakfast 🍳🥐 and coffee ☕ I almost came when going downstairs 😅

When I returned, I spent about 30 in bed, resting and edging myself. That was hot 🔥

Then I removed the balls and did some cleaning job in the apartment, specif. dust cleaning and vacuum the carpets and UV sterilization of bathroom.

I god nice metal butt plug and went to near Chinese store to buy a Chinese food 🥣🥢 that I toke away and ate it sitting on the bench in part side to the galleria.

Then I decided to perform some shopping 🛍️ so, I returned to galleria and searched in several stores (specif. clothing stores) and I also bought some food to supply my kitchen. I also toke a cup of coffee ☕ and drink it outside enjoying the whether coffee ☕ and cigarette 🚬

I returned home 🏠, removed the plug, rechecked if my boi pussy is still nice and clean.

Then I chat with friends and watched one of my favorite film 🎥 Vicky, Cristina, Barcelone 🥰

Then I took about an hour of excercise practicing yoga 🧘‍♀️ home.

Then I stuffed my boi pussy again with another metallic butt plug with a longer stalk with jewelry (something like fake blue 🔵 diamond 💎 on the top) I went for a walk, I just wanted to walk outside. I went to the River and across a bridge 🌉. I saw a sexshop there, I knew it is there, but it was good occasion now.

I stepped in, the store personal imidiatelly addressed me and ask for my wishes. I sent about 30 minutes to look at all goods exhibited. Since I am quite skilled, I knew what is appropriate and what is not (for me). I delected a kind of anal dildo/plug it is somewhere between nice a pretty, it is so soft and flexible about 30 cm long with radius from 4 to 5.5 cm 😍

I chated for a while about the thing I am going to buy with the personal and finally bought it. Then I returned home.

I cooked my dinner and then again repeated in my hygiene and batch. Now I am laying in the batch with all those smells of cosmetics and parfumes around and going to do my nice solo night which will include a number of plugs/dildos including the new one and I think I will finish my party 🥳🎉 with a boytle of poppers staring at sissy hypno/proppers training videos 👀

Have a nice night 😘🌃🌌

[bermansommerbarcelona2017]

BCN e-biking tour and awesome seafood lunch

This morning was tough. Trying to squeeze in two posts in one day is a little brutal as well. When I wrote yesterday’s post this morning, my head was throbbing a bit and I may have had a touch of gout in my left knee. Both of which were cured by 200mg of ibuprofen and a little hair of the dog.

A little hot shower, some coffee and a few gulps of water spiked with pear juice and we were out the door. We met Alexandra in front of Plaça de Antonio Lopez and meandered over to a bike rental spot. We picked up our e-bikes, which was a first experience for me. I am sort of a purist, but I would say that this was the ideal combination device for people who don’t want to deal with a van or car to sightsee but need a little extra speed boost and maneuverability. For the little old streets of BCN, the bikes were overpowered. They are heavy so if you hit a hill, you are wise to click the assist in with your left thumb and then turn it off quickly after you don’t need it anymore. The tight little turns can be treacherous with a little kick of battery assist lurching you into a situation you might not be ready for. Anyhow, we whizzed around many old Roman ruin sites with churches or other construction built over them. Eventually, we cruised down by the beach and then up the mountain to the south. We saw a bunch of the 92 Olympic sites and worked our way back for some pintxos and a beer. I would highly recommend a bike tour over a bus or car tour. I think it’s a better way to experience the city.

Yesterday, Danny had made us a reservation at Mari y Rufo, which he professed would meet our seafood desires. He was not wrong. This would easily be my go to spot for fresh, clean and tasty sea creatures. In my book, it’s a perfect 10 for simple seafood. I can’t really put it at fault. If I could say there is one thing I would do differently, it would be to add more garlic to the grilled squid, but that would be splitting hairs and is a weird personal preference.

We came back home after a stop for churro y xocolata. A little rest now and the evening is sorta young. Lacy took a side trip to the main mall to cure her shopping bug, Barcelonitis.

[revuedepresse30]

Rencontre avec Di-Meh, celui qui tire le rap suisse vers le haut

La première impression à l'écoute de ton nouvel EP, FCS2, c'est qu'il semble grandement taillé pour le live, là où tu as fait ta réputation... C'est la scène qui inspire ton travail studio ?

J'ai fait ça au feeling, mais beaucoup de morceaux ont été créés en live, directement, c'est vrai. Comme Chanel, par exemple. Focus aussi, je l'avais fait sur scène avant de l'enregistrer. Mais le studio peut aussi inspirer la scène, ça marche dans les deux sens.

Actuellement, tu es en tournée avec les deux autres rappeurs suisses du moment, Slimka et Makala. Vous faites tous trois partie du crew Super Wak Clique, que tu as rejoint alors que tu avais déjà une certaine notoriété...

Oui, Makala venait tout juste de débarquer, mais moi, j'avais déjà fait pas mal de featurings avec des Français, des Belges... Caballero, Nepal, j'avais invité pleins de gens sur mes projets comme Sopico, Fixpen Sill,ou Josman. C'est grâce à la 75e Session que j'ai pu faire mes premiers projets officiels. C'est avec toutes ces connexions que je me suis fait un nom à l'époque.

C'était indispensable selon toi que les rappeurs suisses forment un crew, s'entre-aident ?

Déjà, ces gars sont tous mes potes depuis l'enfance. Genève, c'est petit, on se connaît tous. On voulait s'allier pour élever la ville. C'était difficile de trouver des gens motivés d'autant qu'à Genève, les mecs rappent, mais ça reste un hobbie. Nous, on s'est dits qu'on allait faire une clique, et qu'on allait tous être à 100% dedans. Super Wak Clique, ça n'est pas que du rap, c'est un état d'esprit. Se surpasser, vaincre le regard des gens, être sans complexe...

Tu as lancé ta propre ligne de cannabis légal… C’est quoi ce délire ?

En Suisse, on a déjà cette culture de coffee shops, cette culture squat etc. Du coup, il y a une grande tolérance pour tout ce qui tourne autour de la weed. Même les flics sont chill. Ça n’est pas comme en France, où tu peux finir en garde-à-vue pour un joint. A Genève, c’est toléré, mais ça va prendre un peu plus de temps pour être légalisé. Et on a la vente libre de CBD (Le cannabidiol, considéré comme une plante médicinale relaxante mais non psychotrope, ndlr), on peut aussi avoir quelques plans chez soi légalement, pour la consommation personnelle. Quand le CBD est arrivé, on s’est dit qu’on allait marquer le coup, faire bader les Français (rires). Qu’ils se disent : "Putain, c’est qui ce gars, il se prend pour Snoop Dogg ou quoi ?" Ça s’appelle CBD420, on a fait une série Di-Meh Edition avec 0,3 % de THC seulement, et environ 25 % de CBD. En gros, le THC, c’est dans la tête, et le CBD, c’est dans le corps. Tu fumes du CBD, t’es pas fonce-dé. T’as les muscles qui se détendent, t’es bien.

Pourtant, vu de France, on a parfois l’impression que la Suisse est un pays avec un climat social un peu tendu, avec beaucoup de racisme, un peu comme ici, notamment depuis le vote contre la construction de minarets en 2009…

Je trouve que le climat est dix fois plus puant en France. Cent fois plus puant, même. A Genève, il y a deux-cent-soixante origines différentes pour une zone métropolitaine de 450 000 habitants. Faut le faire. J’ai grandi avec des Dominicains, des Kosovars, des Albanais, que des réfugiés politiques. Des Somaliens aussi, des Erythréens… Quand je vois comment les Somaliens sont traités ici, à Gare du Nord, j’hallucine. Vous ne savez même pas qui ils sont, ce qu’ils ont vécu, d’où ils viennent. Moi, je vais leur parler, ils hallucinent. Personne ne le fait. Mon cousin est Marocain-Malaisien, je connais un Mexicain-Algérien, un Colombien-Marocain, des Ouzbeks, des Turques, des Pakistanais… On n’a pas ce délire communautaire. L’autre jour j’étais avec un pote, il reçoit un appel. Il raccroche et me dit : "Mec, toute ma famille en Somalie est morte." On connaît tout ça, on vit dedans. Nos darons, pareil. Cette histoire de vote contre les minarets, c’était juste du buzz politique, ça ne reflète pas du tout notre mentalité. La Suisse est attachée à son image conservatrice, mais n’a jamais négligé l’immigration.

Dans ce nouvel EP, tu parles énormément de ta famille, on a même l’impression que dans les textes, tu te sens redevable. C’est le succès que tu as acquis qui te donnes ce sentiment ?

Je constate que mes parents ont fait beaucoup de sacrifices pour nous ramener en Suisse. Mon père est Algérien, ma mère est Marocaine. Ils sont arrivés sans papier, j’étais donc sans-papier jusqu’à mes deux ans. Mon père a dû payer un mariage au black, j’avais un nom italien jusqu’à mes deux ou trois ans. Puis, il a été renvoyé au bled, je ne l’ai pas vu jusqu’à mes cinq ans. Ma tante appelait l’avocat qui lui a dit : "Ok, traduisez une lettre de votre neveu dans laquelle il dit qu’il veut revoir son père." Elle l’a fait, elle a envoyé la lettre à Berne, aux autorités compétentes, et ils ont donné un Visa à mon père. Cette année, ma tante m’a montré cette fameuse lettre, j’étais assez grand. J’ai donc pris conscience de tout ça, et ça se ressent dans mon projet.

A quoi ressemblait le rap à Genève que tu y a grandi ?

Ca rappait dur. Le premier gros groupe de rap suisse, c'était Sens Unik (formé en 1987). C'était un peu le groupe cliché, l'équivalent de Benny B chez les Belges. Et puis l'underground s'est installé. A Genève, il y avait énormément de squats, et toute la culture qui va avec. Cet esprit marginal de l'époque, de la fin des années 1990, a engendré pas mal de groupes. Les P'tits Boss, qu'on a même retrouvés sur l'une des premières mixtapes de Cut Killer, et Double Pact... C'était la première brèche entre le rap suisse et le rap français, mais ils n'ont pas persisté. Et puis nos grands ont suivi, comme Marékage Streetz. Ils avaient fait un classique, ils étaient connus jusqu'à Paris. Ils ont fait le taff, ils étaient forts, mais ça n'a pas duré.

Il y a une grosse culture du beatmaking en Suisse, non ?

Carrément. Mamadi Samoura, aka M.A.M., a fait des prods pour 50 Cent alors qu'il avait vingt piges. Il était à New York etc. On a une grosse culture allemande, on aime les bails électroniques, les ingé-sons prennent ça au sérieux depuis longtemps. On a aussi Yvan Peacemaker, qui a fait beaucoup d'instrus pour Danny Dan, Kery James, Booba, Rohff... A Zurich, certains ont bossé avec A$AP Rocky, Kendrick Lamar, pleins d'autres.

Tu viens du skate il me semble...

C'est grâce au skate que je fais du rap. Ce sont mes grands du skate qui m'ont fait écouter du bon rap. Il y avait beaucoup de tournois, je me déplaçais beaucoup, et je me suis dit que j'allais faire la même chose dans le rap, que j'allais faire beaucoup d'aller-retours entre Paris et Genève, aller dans des clashs, des tournois d'impro... J'ai fait deuxième de Suisse en impro. J'ai transféré le skate au rap, notamment le côté vagabondage. Ces moments où tu te retrouves dans une ville comme Tours, que tu ne connais pas, où tu dors chez un pote, tu fais des sons avec des gars...

Le rap et le skate semblent être deux cultures qui se sont rapprochées en France ces dernières années… Pas mal de rappeurs comme Roméo Elvis, que tu invites en featuring pour le titre Ride, ou Lomepal, ont cette double culture...

Lomepal, je l’ai connu grâce au rap, mais aussi grâce au skate. J’avais 15 ou 16 ans, et j’avais été invité à son tout premier concert parisien par Alpha Wann, que je connaissais. On s’est rencontrés, et il est venu à Genève. On a fait du skate, on a fait un son qui s’appelle Zombieland. C’était la nouvelle brèche entre Paris et Genève. Il était dans le même état d’esprit que moi : voyager, faire du skate, faire du son…

Il y a pas mal de rappeurs de ta génération qui peuvent sembler assez hermétiques à l’histoire du rap et du hip-hop. Mais ça n’est pas ton cas, au contraire.

J’ai une culture du hip-hop énervée. Vraiment énervée. Dans le rap français, tu me passer Les Chroniques de Mars, les mixtapes Sad Hill, Les Chroniques du 75, Nubi Sale, Joe Lucazz… Je me suis pris toutes les écoles du rap français, et toutes les écoles du rap cainri. Quand j’étais petit, j’ai du beaucoup me démarquer. A 14 ans, j’avais déjà vu le Wu-Tang trois ou quatre fois. J’étais dans cette idée de provoquer le destin. Je rappais au culot, devant des grands noms comme Evidence ou Brother Ali. Je voulais prouver qu’en Suisse, on avait des skills, et que les barrières de la langue pouvaient tomber.

Toi qui est un mélomane érudit, qu’est-ce que tu écoutes en ce moment ?

J’écoute Wizkid, un chanteur nigérian. Je suis tr��s axé sur la musique du monde. Les rappeurs latinos, brésiliens, portugais… Avant le rap français, c’est ça pour moi. J’ai un pote brésilien, Matue, qui a percé dans son pays. Je l’ai rencontré à Berlin, on a fait du skate ensemble, il n'était personne à l’époque. Il est rentré, et bim, 27 millions de vues. Il y a un collectif brésilien à Genève qui fait du baile funk, Ozadya, je les ai connectés ensemble. Ca s’envoie des instrus maintenant. J’écoute aussi un rappeur marocain qui vit à Barcelone, Khaled. Très chaud.

Sortir un projet tous les 10 mai, ça ne peut pas être un handicap parfois ? Une pression ?

Ca a toujours été un handicap. Mais un bon handicap. Les deadlines, ça m’aide. Chaque année, je veux me renouveler, et c’est une date qui me tient à cœur depuis que j’ai sorti mes premiers projets, à 12 ou 13 ans. J’en ai 22 aujourd’hui. Cette année, on m’a dit : "Sors pas ton projet le 10 mai, mec. Il y a la Coupe de Monde, le Ramadan qui arrive… Tu vas être paralysé sur les réseaux." Je m’en fous.

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faire germer graine cannabis dans un verre d'eau

T. H. Seeds se révèle être une banque de graines hollandaises qui a commencé son aventure dans le monde du cannabis avec la Ut. I. A. (Cannabis in Amsterdam). On vend surtout des graines pour la production personnelle dans le cadre de ce laquelle est autorisé par une loi, ou même la simple culture d'une végétal impressionnante par sa vivacité. Mariska a réalisé ses débuts dans le milieu du cannabis par rapport aux Pyas-Bas au début des années 1990, quand elle a travaillé dans un coffeeshop à Amsterdam pendant les études. Le Old Amsterdam Cheese se trouve être l'une des plantes de cannabis les plus connues dans l'histoire de la marijuana. Faites le choix de l'enseigne 'Bar dans Graines pour acquérir sur le territoire Français de nombreuses graines de cannabis de qualitée de la concélèbre banque de graines Philosopher Seeds. Nous l'ai déjà dis chez 3 reprises sur la page, mais penser que les gars vont remuer bosser légalement et donner l'argent facile c'est vivre dans le monde un ensemble de bisounours. Boutique spores cannabis amsterdam - Nôtre autres avantages sont vous croyons fermement dans cette qualit? La consommation des jeunes se développe au sein de les années 70, autant d'un point de vue social que géographique, au grand étonnement de la population qui ne comprend pas cet engouement pour une drogue de l'étranger. Bienvenu à Graines de Cannabis. Si notre staf a des causes de suspecter par rapport aux spores commandées sont destinées chez la culture du cannabis sur une échelle plus grande qu'une culture individuelle, nous réservons le royaltie de ne pas en finir avec cette commande en particulier. Peut moins d'en extraire du lait, de les additionner a fermenter ou d'en faire du tofu, ces graines de cannabis mourront si elle ne se trouvent être pas affublé en substrat adapté. Coffee-shop de poche, situé en rempli centre ville mais au sein de une rue relativement calme, qui an ouvert divers portes en 1973 et fut l'un des premiers dans le genre. acheter des graines de cannabis en france situés à Barcelone, Mataro et Valladolid, et une boutique en ligne, nous partageons notre appréciation dans la culture du cannabis, ainsi que la collaboration au sein de la normalisation de cette plante ancienne. Herbies Seeds propose des graines de cannabis provenant des plus appropriés breeders à niveau international. Au Portugal, enfin, la possession de cannabis (jusqu'à 25 grammes) est dépénalisée et passe l'objet d'une amende. Tel le sait tout cultivateur, le processus de culture du cannabis prend un tour problématique avant aussi que la procédure non se déclenche, lorsque nous détenons ces graines de cheat pour la plantation. Sans quoi les en charge de la gestion politiques n'assument pas à elles responsabilités, et la quantité de cannabis continuera d'augmenter. Continuellement en avance, Barney's se concentre pour que tout ce passe bien avancer la culture, l'industrie et le domaine des graines en continuant la recherche et l'analyse de génétique autochtones. Contrôler le succès du cannabis vendu des coffeeshops. Orange Bud de Dutch Passion est une variété Sativa idéale afin de l'intérieur avec sa floraison courte et sa qualité production qui la rendent unique et incontournable. Coffeeshops néerlandais qui ont essayé d'en ouvrir un au sein du royaume belge. Surtout quand on sait que l'interdiction du chit à l'échelle mondial survient des USA durant le moment de la prohibition ou bien l'objectif premier était de faire interdire l'alcool et ou avec sa suite, cela c'est retourné contre le cannabis. Les spores de chez Spliff Seeds sont cultivées dans des conditions optimales grâce à des chambres climatisées. Depuis filet j'achete mes graines sur le web et nous cherche les informations nécessaire à la culture au sein de des forums du genre c'est beaucoup plus pratique et beaucoup moins chère. L'étrange statut des coffee halle les autorisent à donner ou acheter du cheat, mais interdit aux fournisseurs d'en cultiver ou d'en vendre. Evidemment, des graines de mauvaise qualité ne offriront jamais du cannabis de qualité, même si vous possédez la main verte. Cependant, ceux qui en font partie sont absolument fantastiques, avec des gens formidables, et si vous cherchez un endroit où vous non pouvez pas vous leurrer, n'importe lequel de ces coffee shops satisfera vos envies.

[dusudaunord]

Faites de votre enterrement de vie de garçon une expérience insolite

Vous devez vous marier ? Vous allez avoir un enterrement de vie de garçon ? Vous avez des amis fantastiques, mais vraiment mauvais en organisation… ? Tout n’est pas perdu ! L’organisation d’évènement par des entreprises est en vogue et ça n’est pas un hasard, cela présente bien des avantages. L’agence de voyage Pissup, spécialisée en enterrement de vie de garçon depuis 15 ans en est un bon exemple. À travers plusieurs destinations en Europe, en organisant votre évènement de A à Z, elle fera en sorte que votre dernier moment en tant que célibataire ne vous fasses pas regretter vos amitiés !

Un choix d’activité varié pour votre enterrement de vie de garçon

Pourquoi ne pas cumuler voyage et grande occasion ? Organiser cet évènement à l’étranger, en plus de la découverte de nouveaux lieux et modes d ’amusements, c’est aussi s’offrir le dépaysement, l’aventure, cette sensation de liberté que procure l’inconnu. Quelle chance de découvrir une ville par les endroits où ses habitants s’y amusent le plus ! En bref, une soirée folle en dehors de votre monde…

Le choix de destination EVG et d’activité proposé est vaste (dont certaines ne seraient pas possible en France) : kart, tir à l’arme de poing (en France il vous faudrait une licence…), casino, snowboard indoor avec un instructeur, bubble foot, descente en bobsleigh et autres, et bien sûr les lieux festifs, les jolies filles.

À Amsterdam il n’y a pas que le quartier rouge et les coffee shop, il y a plus fun, n’avez-vous jamais rêvé de boire votre bière avec vos copains tout en étant assis et en voyant défiler le paysage… votre bar mobile rien qu’à vous c’est possible avec le beer bike !

À Barcelone vous pourrez avoir l’occasion de tester votre résistance au froid dans le décor fabuleux d’un bar givré et rassurez-vous, après les -5 degrés du lieu, vous aurez de jolies strip-teaseuses pour réchauffer l’atmosphère…

À Budapest, les groupes d’amis portés sur les jeux de stratégie pourront profiter à fond de leurs capacités dans des « escape games » dont les hongrois sont pionniers. Ou si vous préférez les sports nautiques, à Barcelone ou Berlin vous trouverez un wake park, sorte de parcours d’obstacle, où les plus téméraires seront debout sur une planche, glissant sur l’eau et tiré par un câble. Lequel d’entre vous aura le plus d’équilibre…

Mais au-delà des émotions provoquées par le sport, il y a l’adrénaline pure avec Prague ! Profitez d’une législation différente de la France pour assouvir vos fantasmes guerriers et tirez avec des armes lourdes !

Une organisation cohérente avec vos goûts et envies

Au-delà de toutes ces activités insolites, avec l’agence Pissup Voyages, la seule qualité dont l’organisateur aura besoin est de bien connaître les goûts du futur marié. Vous pourrez ainsi vous éviter les tracas de coût, de planning, de médiation entre amis et de réservation.

Des guides affiliés aux pays concernés seront mis à disposition pour vous chouchouter sur place ! Vous ne serez pas lâché en terre inconnue juste avec un plan de la ville. Vous aurez simplement à bénéficier des prix bas de l’Europe de l’Est tout en ayant la sécurité et la tranquillité. Que vous soyez fêtard ou sportif, très nombreux ou non, tout a été prévu sur votre destination EVG, de votre arrivée au départ, y compris quelques bonnes blagues et surprises pour le futur marié ! Un week-end ou une soirée entre amis, pour vos amis, rien d’autre.

Et une fois ce beau moment passé, le marié pourra garder un souvenir ému de votre équipée tout en en faisant profiter par la suite madame. Ils pourront retourner dans le pays et continuer l’exploration, en partageant les endroits où vous êtes passés pour votre EVG.

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It was just another day at the cannabis club, until someone saw the halloween decorations. They were amazing!

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From the comfortable atmosphere of our lounge to the diverse community that gathers here, every aspect of our club is designed to make your time memorable.

Looking for a chill spot to hang out and enjoy some quality time? Look no further than Weed Club Barcelona. With good vibes, exciting events, and a pleasant fireplace, there's something for everyone at our cannabis-friendly club. And let's not forget about the awesome community that gathers to socialize and participate in proposals and activities. So come on by and join the fun at Weed Club Barcelona – the world's best place to stay relax in style.

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