#chirurgie plastique et reconstructrice
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Bénin: Des pathologies chirurgicales courantes seront prises en charge du 22 au 30 mai
Le Ministère de la Santé est heureux d’annoncer la tenue de la Cinquième Mission Nationale Chirurgicale (Première Phase) dans le cadre de la Couverture Sanitaire Universelle (CSU). Cette mission vise à améliorer l’accès de la population béninoise à des soins chirurgicaux de qualité. Placée sous le Haut patronage du Ministre de la Santé, Prof. Benjamin HOUNKPATIN, cette initiative s’inscrit dans…
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#Autres affections chirurgicales courantes#Bénin#Benjamin HOUNKPATIN#Chirurgie#Chirurgie Cardiaque#chirurgie cervico-faciale#chirurgie maxillo-faciale#chirurgie plastique et reconstructrice#CouvertureSantéUniverselle#Journal Santé Environnement#Ministère de la Santé du Bénin#Mission Chirurgicale Italienne#Wasexo
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Le Docteur Stéphane Smarrito est un chirurgien esthétique reconnu pour son expertise dans le domaine de la chirurgie plastique et reconstructrice, notamment en Suisse. Avec une carrière riche et diversifiée, il s'est distingué par son approche minutieuse et personnalisée des interventions esthétiques, offrant à ses patients des résultats naturels et harmonieux. Son savoir-faire, sa formation solide, et son souci du détail font de lui un expert incontournable dans le domaine.
Formation et Expertise
Le Docteur Smarrito a suivi une formation approfondie en chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique dans des institutions médicales prestigieuses. Il a également participé à des congrès et des formations internationales, lui permettant de se tenir constamment informé des dernières avancées techniques et technologies en chirurgie esthétique.
Son expertise s’étend à plusieurs domaines de la chirurgie esthétique, y compris :
L’augmentation mammaire : Le Dr Smarrito excelle dans les interventions d’augmentation mammaire avec implants, en garantissant des résultats adaptés à la morphologie et aux attentes de ses patientes. Il est réputé pour son travail minutieux qui assure une harmonie entre la forme et le volume, tout en minimisant les cicatrices visibles.
Liposuccion : Il est également reconnu pour sa maîtrise des techniques de liposuccion, permettant d’affiner et de sculpter les contours du corps avec précision. Il s'assure que chaque intervention est soigneusement planifiée en fonction des zones à traiter, afin d'obtenir une silhouette harmonieuse.
Blépharoplastie : Spécialiste de la chirurgie des paupières, le Dr Smarrito est expert dans l'amélioration de l'apparence du regard. Il maîtrise à la fois la blépharoplastie supérieure et inférieure, aidant à corriger les paupières tombantes et les poches sous les yeux.
Chirurgie du visage : Avec une expertise en lifting du visage et d’autres interventions faciales, il est capable de restaurer un aspect plus jeune et reposé, tout en préservant une apparence naturelle.
Approche Personnalisée
Ce qui distingue le Dr Smarrito est son approche profondément personnalisée. Il prend le temps de comprendre les objectifs spécifiques de chaque patient et de proposer des solutions sur mesure. Son but est de créer des résultats qui améliorent l’apparence tout en conservant l’harmonie naturelle du corps et du visage. Chaque intervention est réalisée avec une attention particulière aux détails, en utilisant les dernières techniques chirurgicales pour garantir des résultats sûrs et esthétiquement plaisants.
Innovation et Techniques Modernes
Toujours à la pointe de l’innovation, le Dr Smarrito intègre les technologies les plus récentes dans ses pratiques. Que ce soit en matière d'implants mammaires ou de techniques moins invasives, il privilégie des méthodes qui minimisent les cicatrices et optimisent le temps de récupération. Il est également reconnu pour ses compétences dans l’utilisation des techniques non chirurgicales, telles que l'injection d'acide hyaluronique pour le rajeunissement du visage.
Reconnaissance et Réputation
Le Dr Stéphane Smarrito jouit d’une excellente réputation dans le milieu médical en Suisse et à l’international. Son professionnalisme, combiné à des résultats durables et naturels, lui a valu la confiance de nombreux patients. Il est régulièrement sollicité pour partager son expertise lors de conférences et congrès de chirurgie esthétique, soulignant son statut de leader dans ce domaine.
En conclusion, le Docteur Smarrito est un expert reconnu en chirurgie esthétique qui offre des solutions personnalisées et de haute qualité, grâce à une combinaison d'expérience, d'innovation et de techniques modernes.
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L'Histoire de la Médecine et Son Évolution Vers la Chirurgie Esthétique : Une Introduction pour les Débutants
L’histoire de la médecine est l’une des plus anciennes et fascinantes de l’humanité. Depuis les premiers soins apportés aux malades jusqu'aux avancées technologiques de la chirurgie esthétique moderne, elle reflète la quête continue des hommes et des femmes pour comprendre le corps humain, soulager la souffrance et améliorer la qualité de vie. Ce texte présente un aperçu de cette évolution et explique comment la médecine a progressivement intégré la chirurgie esthétique, qui est devenue un domaine en pleine expansion dans le monde d'aujourd'hui.
Les origines de la médecine : des soins primitifs aux premiers médecins
La médecine existe depuis que les êtres humains ont cherché des moyens de soulager la douleur, de guérir les blessures et de traiter les maladies. Dans les sociétés primitives, la guérison était souvent liée à des pratiques magiques ou spirituelles. Les chamans ou guérisseurs utilisaient des plantes, des rituels et des incantations pour traiter les malades.
Au fil du temps, des civilisations comme l’Égypte ancienne, la Grèce et la Chine ont développé des connaissances médicales plus élaborées. Les Égyptiens, par exemple, ont créé des traités médicaux écrits et utilisé des techniques de soins avancées, comme les bandages et les traitements à base de plantes. Dans la Grèce antique, des médecins comme Hippocrate (considéré comme le père de la médecine) ont proposé que les maladies ne soient pas des punitions divines, mais plutôt des déséquilibres naturels à corriger par des soins rationnels.
Le Moyen Âge et la Renaissance : progrès médicaux et premières interventions chirurgicales
Pendant le Moyen Âge, les connaissances médicales ont progressé lentement, souvent entravées par des croyances religieuses et des superstitions. Toutefois, certaines régions comme le monde arabe ont fait des avancées notables. Le médecin arabe Avicenne (Ibn Sina) a compilé des traités médicaux influents, dont Le Canon de la Médecine, qui a été utilisé en Europe pendant des siècles.
La Renaissance (14e au 17e siècle) a marqué un renouveau scientifique, avec une redécouverte des textes grecs et romains et un intérêt croissant pour l’anatomie humaine. Des figures comme André Vésale, qui a réalisé les premières dissections anatomiques systématiques, ont jeté les bases de la médecine moderne. C'est également au cours de cette période que les premières interventions chirurgicales ont vu le jour, souvent dans des conditions rudimentaires et risquées, mais ouvrant la voie à des innovations futures.
Le 19e siècle : la naissance de la chirurgie moderne
Le 19e siècle est une période cruciale dans l’histoire de la médecine, marquée par des avancées majeures. Les découvertes sur les germes par des scientifiques comme Louis Pasteur ont permis de mieux comprendre les infections, menant à des techniques d'asepsie et de désinfection qui ont révolutionné la chirurgie.
C’est également à cette époque que l’anesthésie a été introduite, rendant possible la réalisation d’interventions chirurgicales plus longues et complexes sans que le patient ne souffre. Des chirurgiens comme Joseph Lister ont également développé des techniques pour réduire les infections post-opératoires, posant les fondations de la chirurgie moderne.
La fin du 19e et le début du 20e siècle : l'émergence de la chirurgie esthétique
L'idée de la chirurgie esthétique est née à la fin du 19e siècle, en partie en réponse aux besoins des victimes de blessures de guerre. Les premiers chirurgiens esthétiques ont travaillé à reconstruire les visages et les corps des soldats blessés lors des guerres mondiales. À cette époque, des médecins comme Harold Gillies, un pionnier de la chirurgie reconstructrice, ont posé les bases de la chirurgie plastique moderne.
Le terme "chirurgie esthétique" fait référence à des interventions visant non seulement à reconstruire des parties du corps endommagées, mais aussi à améliorer l'apparence physique des patients en bonne santé. À la fin du 20e siècle, ces techniques se sont popularisées auprès du grand public, qui a commencé à y recourir non seulement pour des raisons médicales, mais aussi pour des raisons esthétiques.
Le 20e siècle : la révolution de la chirurgie esthétique et des soins esthétiques
Le 20e siècle a vu une explosion de la chirurgie esthétique et des soins non invasifs, propulsée par de nouvelles technologies et un changement de mentalité sociale. L'après-guerre a vu une augmentation de la demande pour les procédures cosmétiques, et les progrès en matière d'anesthésie, d'antibiotiques et de techniques chirurgicales ont rendu ces opérations plus sûres et plus accessibles.
Au fil des décennies, des interventions comme la rhinoplastie (correction du nez), la liposuccion (retrait de la graisse), et l’augmentation mammaire sont devenues courantes. À cela se sont ajoutées des techniques non chirurgicales, comme les injections de toxine botulique (Botox) et d’acide hyaluronique, qui offrent des solutions moins invasives pour lutter contre les signes du vieillissement.
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Chirurgien esthétique à votre service à Bordeaux The Bardolatry
https://is.gd/iNl0lF
Chirurgien esthétique à votre service à Bordeaux
Franck Falkenrodt est spécialiste en chirurgie esthétique, plastique et reconstructrice. Il vous ouvre les portes de son cabinet à Bordeaux pour corriger les défauts physiques qui vous complexent.
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Se lancer dans l’augmentation mammaire
Où voulez-vous le faire ?
Quel que soit le choix final que l'on pense donner aux femmes qui veulent se faire opérer d'une mastoplastie, il faut en parler à plusieurs chirurgiens plastiques, avec lesquels il faut établir une relation de confiance et qui doivent inspirer confiance. Il est fondamental de ne parler qu'à des chirurgiens spécialisés en chirurgie plastique et reconstructrice, qui opèrent dans des cliniques respectant toutes les normes d'hygiène et de sécurité. La mastoplastie est-elle douloureuse ?
La perception de la douleur est totalement subjective, mais dans la plupart des cas, la douleur est modeste et tolérable, elle est ressentie dans les premières 24-48 heures et peut normalement être maîtrisée en prenant les analgésiques et les anti-inflammatoires prescrits.
Quand voyez-vous les résultats définitifs de l'augmentation mammaire ?
Après avoir retiré les points de suture, la poitrine apparaît encore assez gonflée et œdémateuse et est tout à fait normale. Au fil du temps, en portant le soutien-gorge avec précaution, le gonflement diminuera et les tissus se normaliseront. Cependant, il faut environ un mois avant de voir un premier résultat et, pour certaines personnes, jusqu'à trois mois. La patience est le mot d'ordre. Devrai-je remplacer les prothèses ?
Il y a quelques années encore, les prothèses duraient une dizaine d'années et après cette période, il fallait penser à les remplacer. Aujourd'hui, les prothèses en silicone modernes n'ont pas de date d'expiration, on peut donc raisonnablement s'attendre à ce qu'elles durent toute la vie. Toutefois, il est important de se soumettre à des contrôles réguliers pour vérifier leur étanchéité et leur stabilité. Les implants mammaires additifs, après combien de temps se ramollissent-ils ?
Il est tout à fait normal de ressentir des seins serrés, durs et gonflés après l'opération et ces sensations resteront pendant quelques jours. En général, le gonflement disparaîtra complètement au bout d'un mois environ, mais il faudra peut-être encore plus longtemps avant que vous vous sentiez souple et que la prothèse soit rigide pendant quelques mois. Il faut en général 6 à 12 mois pour sentir la prothèse vraiment douce.lipofilling breast Quels sont les coûts de la mastoplastie additive ?
C'est l'une des questions les plus fréquemment posées sur la chirurgie d'augmentation mammaire : une opération d'augmentation mammaire avec prothèse coûte, en moyenne, entre 5 000 et 8 000 euros. Tout dépend du type de prothèse, de la technique choisie et coûte également la clinique, l'équipe chirurgicale et l'anesthésiste, les matériaux, les visites post-opératoires, les pansements etc...
Toute personne qui propose une mastoplastie à un prix inférieur ne peut faire des économies qu'en lésinant sur l'expérience, la compétence et le professionnalisme, les matériaux, la qualité de la prothèse, les normes de sécurité du lieu où l'opération est pratiquée. À quoi ressemblera la mastoplastie postopératoire ?
Après l'opération, un pansement compressif est appliqué sur les plâtres. Le soutien-gorge de compression doit être porté pendant au moins un mois. Malgré ce que vous pensez ne pas ressentir beaucoup de douleur, un simple analgésique suffit généralement à l'éliminer. Vous ressentez plus fréquemment une gêne, des démangeaisons, un inconfort dû au bandage et un gonflement - tout cela dure quelques jours. Le temps de récupération total est d'environ 4 semaines. Quelle est la cause de l'ondulation des seins et comment l'éviter ?
L'ondulation est un terme qui indique l'apparition de rides disgracieuses après une mastoplastie. C'est certainement une préoccupation pour les femmes qui subissent cette opération et dans la plupart des cas, les rides apparaissent après quelques mois, alors qu'on pensait qu'elles avaient traversé toute la phase postopératoire et les complications qui y sont liées indemnes. En réalité, il est possible d'éviter les ondulations en choisissant tout d'abord la bonne prothèse, qui présente un degré élevé de cohésion (c'est-à-dire une densité de silicone) garantissant une tenue maximale de la prothèse. En outre, un bon chirurgien pourra choisir l'endroit où placer la prothèse en fonction de la constitution du patient et de la qualité de la peau pour éviter la formation de rides. Que ne puis-je pas faire après une mastoplastie ?
Vous ne pouvez pas dormir sur le ventre, prendre des poids supérieurs à une bouteille d'eau d'un litre, exercer une pression sur le fascia du muscle pectoral et les aisselles, ou prendre un bain de soleil dans la zone touchée pendant au moins 40 jours. Après combien de temps pouvez-vous avoir des relations sexuelles ?
Il est recommandé de se reposer pendant les premières semaines, la prothèse doit se stabiliser et les tissus doivent se rétablir. Il faut faire très attention à ne pas faire de mouvements brusques et à ne pas exercer de pression sur les prothèses. Il est conseillé de ne pas reprendre les relations sexuelles avant quatre semaines. Après combien de temps pourrai-je faire du sport ?
Nous vous recommandons de marcher et de marcher dès que vous vous sentez mieux, car cela favorisera la vascularisation des tissus et la récupération générale. Pour une véritable activité sportive, vous devez attendre au moins 4 à 6 semaines pour les activités légères et au moins trois mois pour les activités plus intensives. Cependant, il n'est pas recommandé, pendant les premiers mois, de faire des exercices qui touchent directement les muscles pectoraux ou de faire des poids.
Quel est le meilleur moment pour faire une augmentation mammaire ?
Le meilleur moment de l'année pour programmer une opération d'augmentation mammaire se situe entre l'automne et le printemps. En été, vous pourriez profiter des vacances pour vous reposer et vous convalescérer, mais une chaleur excessive pourrait entraîner une gêne pour les bandages et les pansements de compression. En outre, il faut éviter de s'y exposer au cours des premiers mois suivant l'opération.
Sites internet à voir :
https://www.riccardomarsili.fr/differentes-techniques-daugmentation-mammaire/
https://www.chuv.ch/fr/cpr/cpr-home/patients-et-familles/chirurgie-plastique-et-esthetique/augmentation-mammaire/
https://drderhy.com/traitements/chirurgie-seins/augmentation-mammaire/
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https://e3o.org/e3o/livres-loedeme-et-le-drainage-lymphatique-manuel/
Livres : L'oedème et le drainage lymphatique manuel
Drainage lymphatique manuel et traumatisme du poignet et de la main L'oedème et le drainage lymphatique manuel Sauramps Médical. 2019 La technique décrite dans cet ouvrage repose sur une pratique de plus de 25 ans, selon la technique de VODDER à laquelle s’est ajouté le traitement très profond. Technique douce, … Lire plus…Livres : L’oedème et le drainage lymphatique manuel Drainage lymphatique manuel et traumatisme du poignet et de la main L'oedème et le drainage lymphatique manuel Sauramps Médical. 2019 La technique décrite dans cet ouvrage repose sur une pratique de plus de 25 ans, selon la technique de VODDER à laquelle s'est ajouté le traitement très profond. Technique douce, elle permet le respect de l'anatomophysiologie lymphatique, la régénération de l'automatisme angionnaire, et de ce fait l'amélioration de la circulation de retour, la diminution des œdèmes. Les résultats seront maintenus si nécessaire par les techniques adjuvantes et les contentions. Le drainage lymphatique manuel Ellebore. 1994 Le drainage lymphatique (DEPRECIATED). 2019 Le système lymphatique contribue au drainage de l'organisme. En cas de dysfonctionnement et formation d'œdème, le drainage lymphatique manuel fait partie des techniques utilisées pour favoriser la circulation dite " de retour ". Cet ouvrage rappelle ce qu'est le système lymphatique : sa structure, sa physiologie, son anatomie, la localisation des ganglions et des collecteurs, sa physiopathologie, c'est-à-dire la formation de l'œdème. Puis est détaillée la pratique du drainage lymphatique manuel : les modalités d'exécution des manœuvres du drainage, soit de captage, soit d'évacuation ; les manœuvres spécifiques ; les applications aux différentes parties du corps, illustrées de photographies annotées précisant le sens du drainage. Des méthodes physiques (pressothérapie, bandages multi-couches, contention élastique) complètent cette troisième édition qui intéressera les étudiants en kinésithérapie, les kinésithérapeutes et les médecins spécialistes de réadaptation et rééducation fonctionnelle. Thérapie manuelle des oedèmes Le drainage lymphatique manuel classique Le Guide pratique de la beauté Odile Jacob. 2004 « Nous avons réuni dans ce guide les données les plus récentes de tout ce qui peut contribuer à la beauté de toutes les femmes, à tous les âges de la vie. Pour ce faire, nous avons demandé les contributions des meilleurs praticiens de la beauté pour chaque partie du corps et dans chacun des domaines : cosmétologie, médecine et chirurgie. Les bonnes questions et les meilleures réponses enfin réunies à la portée de toutes les femmes, pour toutes les femmes. »Le Dr Jean-Claude Hagège est spécialiste en chirurgie plastique reconstructrice et esthétique, expert près la cour d’appel de Paris. Le Pr Patrice Morel est professeur des universités, chef de service de dermatologie de l’hôpital Saint-Louis (Paris), expert près la cour d’appel de Paris. Massages qui soulagent Hachette Pratique. 2016 Le massage est un moyen simple de se remettre en forme, d’entretenir sa vitalité et d’agir en prévention des déséquilibres qui pourraient survenir. À ce titre, il constitue un outil thérapeutique à part entière des médecines traditionnelles chinoise et indienne. En Inde particulièrement, et dans d’autres pays d’Asie, le massage représente bien plus qu’une simple thérapie manuelle. Intégré à la vie quotidienne il permet de parvenir à un état d’harmonie entre le corps et l’esprit. L’auteur vous initie aux massages de bien-être issus des traditions asiatiques : apprenez les bons gestes et les points à connaître pour soulager de nombreux maux du quotidien. Classés par ordre alphabétique, 40 maux sont identifiés avec leurs massages correspondants et des exercices de qi gong et de yoga complémentaires, expliqués à l’aide de nombreuses illustrations, pour soulager et/ou prévenir anxiété, arthrose cervicale, ballonnements, crampes, difficultés de concentration, fatigue oculaire, insomnie, jambes lourdes, migraine, stress...
#DrainageLymphatique, #DrainageLymphatiqueManuel
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La chirurgie esthétique, qui est aujourd'hui une industrie florissante, trouve ses racines dans l'Antiquité et a évolué au fil des siècles grâce aux progrès médicaux, technologiques, et sociétaux. Cette discipline, qui consiste à améliorer l'apparence physique d'un individu, est née de besoins à la fois médicaux et esthétiques, et elle s’est développée sous l’impulsion de diverses influences culturelles, historiques et médicales.
1. Les premières traces de chirurgie reconstructrice dans l’Antiquité
Les premières formes de chirurgie esthétique remontent à l’Antiquité, principalement en Inde et en Égypte. La chirurgie à cette époque n’était pas purement esthétique ; elle servait avant tout à corriger les déformations ou les blessures résultant de maladies ou d'accidents.
Inde ancienne (3000 avant J.-C.) : Les textes de l'Inde ancienne, notamment le Sushruta Samhita, un traité médical rédigé par le chirurgien Sushruta, décrivent les premières interventions chirurgicales reconstructrices. Le Sushruta Samhita mentionne des techniques pour réparer les nez mutilés, notamment par la méthode de lambeau (ou greffe de peau), préfigurant les premières formes de rhinoplastie. Ces interventions étaient souvent nécessaires à cause des punitions infligées aux criminels, dont le nez était coupé.
Égypte ancienne : Les Égyptiens sont connus pour leurs techniques médicales avancées. Des papyrus médicaux tels que le Papyrus Edwin Smith (datant de 1600 avant J.-C.) évoquent des descriptions de procédures visant à corriger des blessures faciales, des fractures et des malformations.
2. Moyen Âge : Une stagnation médicale
Pendant le Moyen Âge, la chirurgie en général, et la chirurgie esthétique en particulier, a stagné en Occident. Les progrès médicaux étaient freinés par des restrictions religieuses et culturelles. Cependant, les chirurgiens du monde arabe, tels qu'Avicenne et Albucasis, ont continué de perfectionner les techniques chirurgicales, y compris des méthodes de reconstruction faciale.
3. La Renaissance : La résurgence de la chirurgie esthétique
Avec la Renaissance (14e - 17e siècles) et le renouveau de l'intérêt pour l'anatomie et la médecine, la chirurgie esthétique a commencé à réapparaître en Occident. Les artistes et anatomistes de cette époque, tels que Léonard de Vinci, ont contribué à une meilleure compréhension du corps humain, ouvrant ainsi la voie à des avancées chirurgicales.
L'un des pionniers de la chirurgie reconstructrice en Europe fut Gaspare Tagliacozzi (1545-1599), un chirurgien italien. Il est souvent appelé "le père de la chirurgie plastique moderne". Tagliacozzi a développé des techniques pour reconstruire des parties du visage, notamment le nez et les oreilles, en utilisant des greffes de peau prélevées sur les bras des patients. Son ouvrage "De Curtorum Chirurgia per Insitionem" publié en 1597 a marqué un tournant dans la pratique de la chirurgie réparatrice.
4. 19e siècle : Les avancées médicales et la naissance de la chirurgie esthétique moderne
Le 19e siècle a marqué le début des véritables avancées en chirurgie plastique et esthétique grâce à la découverte de l'anesthésie et aux progrès en matière de stérilisation et d'asepsie. La guerre, en particulier la guerre civile américaine (1861-1865), a joué un rôle crucial dans l'essor de la chirurgie reconstructrice, car de nombreux soldats blessés nécessitaient des interventions chirurgicales complexes pour réparer leurs visages ou membres endommagés.
Anesthésie (1846) : L’utilisation de l'éther en tant qu’anesthésique a révolutionné la chirurgie, permettant aux chirurgiens d'effectuer des interventions plus longues et complexes sans que les patients ne ressentent la douleur.
Joseph Lister et l'asepsie (1867) : Les travaux de Joseph Lister sur l’asepsie ont également été essentiels. En recommandant l’utilisation d’acide phénique pour désinfecter les plaies et les instruments, Lister a permis une réduction drastique des infections post-opératoires, augmentant ainsi le taux de succès des chirurgies esthétiques.
5. La Première Guerre mondiale : Un tournant décisif
La Première Guerre mondiale (1914-1918) a profondément transformé la chirurgie esthétique. Avec l'usage massif des armes destructrices comme les éclats d'obus, de nombreux soldats ont été défigurés. Ces blessures de guerre ont créé une demande urgente pour des techniques chirurgicales avancées, capables de réparer les visages mutilés.
Harold Gillies : Un nom qui se distingue particulièrement est celui du chirurgien néo-zélandais Harold Gillies. Pendant la Première Guerre mondiale, Gillies a développé des techniques de reconstruction faciale pour les soldats défigurés, posant ainsi les bases de la chirurgie plastique moderne. Il est reconnu pour avoir réalisé des greffes de peau et des procédures complexes pour restaurer les traits du visage des blessés. Son travail a conduit à la fondation du premier centre dédié à la chirurgie reconstructrice.
6. Le développement de la chirurgie esthétique après la Seconde Guerre mondiale
La Seconde Guerre mondiale (1939-1945) a également généré une forte demande pour des techniques de reconstruction, notamment en chirurgie esthétique. De nombreux soldats blessés revenaient avec des brûlures graves ou des déformations nécessitant des interventions chirurgicales.
À partir des années 1950, la chirurgie esthétique a commencé à se démocratiser. Des chirurgiens tels que Sir Archibald McIndoe, un élève de Gillies, ont poursuivi son travail en introduisant des techniques de reconstruction encore plus avancées, notamment pour traiter les brûlures. C'est également à cette époque que les premières cliniques privées de chirurgie esth��tique ont vu le jour, avec des interventions visant à améliorer l’apparence, plutôt que simplement réparer des blessures.
7. Les années 1960-1990 : L’avènement de la chirurgie esthétique moderne
À partir des années 1960, la chirurgie esthétique a connu une véritable révolution avec l’introduction de nouveaux matériaux et techniques :
L’implant mammaire (1962) : Les premiers implants mammaires en silicone ont été développés et posés par les chirurgiens américains Frank Gerow et Thomas Cronin, marquant le début de la chirurgie esthétique augmentative.
Liposuccion (1970s-1980s) : Dans les années 1970, des chirurgiens français tels qu'Yves-Gerard Illouz ont perfectionné la technique de la liposuccion, permettant de remodeler le corps en éliminant les graisses indésirables.
Durant les décennies suivantes, la demande pour la chirurgie esthétique a considérablement augmenté, notamment aux États-Unis et en Europe. Les techniques se sont perfectionnées, avec des résultats plus naturels et des risques réduits.
8. La chirurgie esthétique aujourd'hui
Aujourd'hui, la chirurgie esthétique est une discipline hautement spécialisée, accessible à un large public. Avec les progrès constants en matière de technologie médicale (laser, endoscopie, techniques mini-invasives), les interventions sont devenues plus sûres, moins invasives et avec des temps de récupération plus courts.
Les motivations ont également évolué : si au départ, la chirurgie plastique avait pour objectif de corriger les déformations physiques dues à des accidents ou des maladies, elle est aujourd'hui principalement motivée par le désir d'amélioration esthétique et de rajeunissement.
La chirurgie esthétique, née des besoins de reconstruction, est devenue une discipline médicale à part entière, au service du bien-être physique et psychologique des individus. De ses racines anciennes en Inde et en Égypte à ses avancées pendant les guerres mondiales, cette pratique a évolué avec les découvertes scientifiques, et continue d'innover pour répondre aux attentes esthétiques d’une société en quête de perfection et d’apparence améliorée.
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#Hôpital Henri-Mondor, AP-HP : une équipe publie pour la première fois une classification des dispositifs de réalité augmentée en #chirurgie maxillofaciale
Depuis plusieurs années, les chirurgiens ont recours à la réalité augmentée en chirurgie maxillofaciale et cranofaciale avec notamment le port de lunettes intelligentes. L’équipe du service de chirurgie plastique, reconstructrice, esthétique et maxillofaciale de l’hôpital Henri-Mondor, AP-HP a analysé la littérature et vient de catégoriser les différentes techniques utilisées dans ce domaine. Cette étude est publiée dans la revue International Journal of Oral & Maxillofacial Surgery le 11 octobre 2018. En plus de libérer le champ visuel et les mains du chirurgien, la réalité augmentée constitue dans ce domaine une avancée majeure. L’équipe l’utilise également pour le repérage précis des tumeurs mammaires.
Romain Bosc Dr Romain Bosc Service de chirurgie plastique, reconstructrice
La réalité augmentée sur lunettes intelligentes permet au chirurgien de visualiser des objets virtuels en trois dimensions pendant l’intervention chirurgicale, superposés en temps réel à l’anatomie du patient. Elle est utilisée en radiologie, en radiologie interventionnelle, en neurochirurgie, en ORL, parfois en chirurgie coelioscopique digestive ou urologique. L’objectif de cette nouvelle étude, menée par le Dr Romain Bosc du service de chirurgie plastique, reconstructrice, esthétique et maxillofaciale dirigé par le Pr Jean Paul Meningaud, dans la continuité des études précédemment publiées par la même équipe[1], est de délimiter le champ d’application actuel de cette technologie.
La réalité augmentée est apparue dans cette discipline avec l’arrivée de la numérisation de l’imagerie dans les années 1990 et 2000. Toutefois, il a fallu attendre la miniaturisation des dispositifs de visualisation : lunettes et caméras ainsi que l’augmentation de la puissance de calcul des processeurs utilisés en imagerie médicale pour pouvoir concevoir un système de réalité augmentée « embarquée ».
Les médecins proposent, pour la première fois, une classification basée sur la facilité d’utilisation et d’applicabilité de la réalité augmentée au bloc opératoire : plus le dispositif est léger, responsif et puissant en termes d’imagerie numérique, plus il a de chance d’avoir une application en situation réelle auprès du patient et de son chirurgien. Ainsi, quatre groupes ont été définis dans l’étude : les dispositifs portés par le chirurgien tels que les lunettes intelligentes avec ou sans système de guidage, les dispositifs de projections de données via des miroirs, la projection directe d’images sur le patient, les dispositifs basés sur le transfert de données sur écran. La plupart des études analysées a recours à la première catégorie. Avec les lunettes intelligentes, le chirurgien dispose des informations planifiées de guidage opératoire sans qu’il soit nécessaire d’utiliser un guide physique tout en
Pr Jean Paul MENINGAUD Chef du service de Chirurgie Plastique Reconstructive
conservant les deux mains libres. Si on libère le champ visuel et les mains du chirurgien tout en lui fournissant des données d’imagerie infra-cliniques, on « augmente » réellement les capacités humaines de vision du chirurgien au bloc opératoire : le chirurgien est alors en mesure d’opérer « l’invisible » sans lever les yeux du champ opératoire.
Depuis quatre ans, le service de chirurgie plastique et maxillofaciale (Pr Meningaud), en partenariat avec le département de radiologie, utilise cette technique de guidage en temps réel dans diverses indications de chirurgie. La collaboration avec le « centre sein » de l’hôpital Henri-Mondor (Pr Belkacemi) a permis de pratiquer et d’étendre l’indication de cette technique innovante sur des patientes présentant une tumeur cancéreuse du sein.
Pr Yazid BELKACEMI Chef du service de Radiothérapie
Un dispositif de guidage permet aux lunettes de reconnaître la position du patient ainsi que les zones de projection des images de la tumeur du sein issue d’une IRM mammaire réalisée avant l’intervention – ceci avec une grande précision et une correction, en temps réel, des mouvements au millimètre. La réalité augmentée constitue ainsi une avancée majeure en chirurgie des cancers du sein, de la reconstruction mammaire, et de la chirurgie infraclinique, car elle permet de s’affranchir des techniques lourdes de repérage habituellement utilisées par harpon ou par colorant. Le bénéfice attendu pour le patient est une meilleure précision et une plus grande rapidité des actes chirurgicaux avec moins de cicatrices et une diminution du temps passé à l’hôpital. Elle permet également d’envisager une meilleure formation aux gestes chirurgicaux les plus complexes en toute sécurité avec un contrôle permanent de la vision et du positionnement des mains de l’opérateur élève par son formateur.
À l’hôpital Henri-Mondor, AP-HP, la réalité augmentée est par exemple utilisée : – Pour le repérage au bloc opératoire des tumeurs du sein (cancer du sein) inférieures à 1 cm, non palpables par le chirurgien. – Pour le repérage préopératoire des vaisseaux perforants inférieurs à 3 mm utilisés pour la reconstruction du sein après cancer. – Pour le placement de guides de coupes virtuels sur les os de la jambe et de la mandibule dans le cadre des reconstructions après cancers de la tête et du cou.
L’équipe du service de chirurgie plastique, reconstructrice, esthétique et maxillofaciale travaille sur la reconstruction 3D par imagerie en parallèle avec la reconstruction 3D chirurgicale et la reconstruction par impression 3D depuis 2013. La pratique de l’impression 3D pour la planification chirurgicale avec deux imprimantes 3D au sein du bloc opératoire a naturellement conduit l’équipe à utiliser la réalité augmentée. Aujourd’hui, l’ensemble de ses travaux valident la démarche de recherche clinique mise en oeuvre.
[1] Repérage des vaisseaux perforants par réalité augmentée: application au lambeau perforant d’artère épigastrique inférieure profonde, Annales de chirurgie plastique esthétique, 2017
source : chu-mondor
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QUELLES SONT LES METHODES DE LIPOASPIRATION ET COMMENT CHOISIR ? | Sydney Ohana Avis
Qu’est ce que la lipoaspiration ? :
La liposuccion, encore appelée lipoaspiration, est l’intervention de chirurgie plastique permettant de supprimer radicalement et de façon homogène les surcharges graisseuses localisées.
Histoire de la lipoaspiration :
Sydney Ohana Avis: C’est dans les années 70 que la liposuccion a vu le jour grâce au Dr. Giorgio Fischer, dermatologue italien, qui avait élaboré les premières techniques d’aspiration.
La liposuccion est devenue populaire en 1982 lorsqu’un chirurgien français, Yves-Gérard ILLOUZ, innove en présentant la « Méthode d’ILLOUZ » : L’utilisation de canules pour aspirer les excès de graisses.
Aujourd’hui, la technique s’est peaufinée grâce à une meilleure connaissance des tissus cutanés et la mise au point de canules ultrafines en titane, dont les embouts mousse préservent nerfs et vaisseaux.
Le bon chirurgien :
Le chirurgien choisi doit être qualifié en Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique (à vérifier sur l’annuaire du Conseil de l’Ordre des Médecins).
Plusieurs avis sont parfois nécessaires.
La bonne structure médicale:
Une lipoaspiration est une intervention chirurgicale qui se pratique sous anesthésie locale ou générale, au bloc opératoire, dans le Service de Chirurgie Esthétique d’un Hôpital ou d’une Clinique Certifiée par la HAS.
La bonne indication :
Sydney Ohana: L’intervention de la liposuccion est une intervention absolument magique puisqu’elle permet, sans retirer de peau, d’aspirer une surcharge de graisse localisée qui a résisté aux régimes alimentaires et au sport, dans le but de remodeler, de re-sculpter la silhouette (d’où l’autre appellation de « liposculpture »).
L’intérêt de cette intervention est qu’une fois la graisse retirée, il y a un phénomène de cicatrisation sous la peau qui s’opère et qui permet à la peau de se rétracter et de ne pas avoir la peau qui pend après avoir retiré la graisse excédentaire.
3 conditions requises pour un résultat optimal :
· La surcharge graisseuse doit être localisée et non diffuse ;
· La peau doit être suffisamment tonique et élastique (risque de « vagues ») ;
· Le patient doit être le plus proche de son poids idéal.
La liposuccion traite toutes les zones pouvant être concernées par la cellulite et l’excès de graisse : Le ventre ; les hanches ; les cuisses ; les fesses ; les genoux ; les bras ; les mollets ; le cou.
Étant aujourd’hui l’opération la plus effectuée dans le monde (deux millions/an environ), la liposuccion répond parfaitement à cet objectif d’harmonisation.
La bonne information :
Sydney Ohana Avis: Lors de la première consultation, le chirurgien plasticien pose les questions d’usage (antécédents médicaux et chirurgicaux afin d’écarter toute contre-indication, comme les troubles de la coagulation ou cardiaques) et examine ensuite la silhouette et la qualité de la peau.
Le chirurgien décrit ensuit la technique opératoire, et insiste sur les risques et complications possibles, des plus légères aux plus exceptionnelles.
Pour finir, il vous remet un devis incluant les frais de bloc opératoire, d’anesthésie ainsi que ses honoraires, accompagné du consentement éclairé.
Ce premier rendez-vous doit apporter les éléments nécessaires pour prendre sa décision en toute connaissance de cause.
Un délai légal, incompressible et obligatoire de réflexion de quinze jours est alors imposé au praticien et au patient entre la date du 1er RDV et la date de l’intervention.
Les suites :
En post-opératoire, le patient porte des bas de contention et un vêtement de compression pendant deux ou quatre semaines.
La zone aspirée est gonflée pendant la même durée et les ecchymoses mettent près d’un mois à disparaître.
Les fils de sutures sont retirés vers le dixième jour, sauf s’ils sont résorbables.
Comme les incisions sont minimes, les cicatrices sont généralement très courtes.
Le résultat :
Les résultats sont visibles après un mois et demi à deux mois.
La silhouette est remodelée, en harmonie avec le reste du corps.
Si le poids reste stable, le résultat de la lipoaspiration sera définitif.
La prise de poids va donner lieu à une surcharge en graisse qui va se localiser ailleurs, comme le dos ou les bras par exemple. Ce poids reperdu, la silhouette retrouvera son résultat obtenu par la lipoaspiration.
Les alternatives à la lipoaspiration :
2 techniques ont été officiellement interdites en 2011 par la Haute Autorité de Santé qui a considéré qu’elles présentaient « un danger grave ou une suspicion de danger grave pour la santé des personnes qui y auraient recours » :
· La mésothéraphie (injections de mélanges de solutions vitaminées, minérales et de caféine)
· La lipolyse (destruction des cellules graisseuses par laser, ultrasons, infrarouges, radiofréquence, injections)
Une nouvelle technologie anticellulite a obtenu l’agrément de la FDA Américaine en 2010 : La cryolipolyse
Il s’agit d’une technologie non invasive de sculpture de la silhouette basée sur la destruction de la graisse par le froid.
Elle s’effectue grâce à un appareil appelé CoolSculpting, qui expose la zone concernée à un refroidissement extrême durant une heure grâce à une ventouse.
Dans un premier temps, la peau est aspirée, puis refroidie. Après le traitement, la réaction inflammatoire dure environ 3 mois, période durant laquelle la zone traitée peut être plus ou moins gonflée et sensible
Au bout de 3 mois, on observe une diminution de 30% à 45% de la zone traitée.
Le résultat peut être complété par une nouvelle séance après 3 mois.
Seuls les médecins sont habilités à la pratiquer : Soit un chirurgien, soit un dermatologue, soit un médecin esthétique.
La technique reste toutefois chère (env. 700 € la séance) et inconfortable.
CONCLUSION :
« Avoir recours à la lipoaspiration reste la seule solution possible, car il n’existe actuelle aucune autre alternative sérieuse à la suppression des cellules graisseuses de manière efficace et durable.
Originally Posted: https://medium.com/sydney-ohana-avis-chirurgie-esth%C3%A9tique/quelles-sont-les-methodes-de-lipoaspiration-et-comment-choisir-1337976a0fdb
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Chirurgien esthétique à Genève
Depuis 30 ans à l’écoute de ses patients, le Docteur Jean Rahme vous reçoit dans son cabinet de Genève et réalise des interventions en chirurgie esthétique plastique et réparatrice dans une clinique genevoise.
C’est avec une attention particulière apportée à l’écoute de ses patients que le Dr Rahmé est à même de conseiller au mieux en apportant des solutions novatrices avec pour mission d’obtenir un rendu au plus proche du naturel afin de sublimer votre beauté.
Le docteur Rahme est ancien assistant des hôpitaux, diplomé d’un doctorat en médecine, diplômé de carcinologie cervico-faciale, diplômé du collège de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique.
Membre du collège de chirurgie plastique de France, de la société française de la chirurgie plastique, de l’international society of aesthetic plastic surgery (ISAPS), ainsi que de la société libanaise de chirurgie plastique et esthétique (LSPRAS). L’ordre national des médecins lui a attribué une qualification en Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique et en chirurgie maxillo-faciale.
En dehors de son cabinet, le docteur Rahmé fait part de son expérience en intervenant au cours de nombreux congrès, il est également présent à l’international, sur des sessions de formation où il pratique des techniques novatrices de chirurgie esthétique et initie des confrères chirurgiens à des solutions de pointe dans l’évolution médicale. Il est notamment pionnier dans l’utilisation de la technologie Elasticum développée par le Docteur Sergio Capurro qui révolutionne la pose de fils tenseurs lors d’interventions en chirurgie du visage. Cette Technique s’opère par le moyen d’un fil suspenseur élastique en silicone et polyester venant agir dans la durée comme un ligament naturel, elle constitue une solution alternative à mi-chemin entre les chirurgies lourdes et les méthodes médicales. Les interventions pratiquées concernent la chirurgie des seins, de la silhouette et du visage.
Les opérations de chirurgie des seins. Elle interviens pour remodeler, reconstruire, augmenter ou réduire la poitrine.
La Chirurgie de la Silhouette Que ce soit pour retendre le ventre, pratiquer la liposuccion, le lifting des bras, ou encore le lifting des cuisses, vous bénéficiez d’un conseil de spécialiste pour vous accompagner.
La Chirurgie du visage Elle permet de donner un coup d’éclat et de sublimer l’harmonie des traits, toujours dans le respect des proportions. Les soins proposés couvrent la chirurgie des oreilles décollées lothoplastie, la chirurgie esthétique des paupières, la liposculpture du visage, la chirurgie du profil facial la chirurgie correctrice du nez, le comblement du visage ou filler, le lifting facial, ainsi que la pose de fils tenseurs.
Le Docteur Rahme pratique également la chirurgie intime avec la plastie de réduction des petites lèvres, la nymphoplastie. Les consultations sont réalisées dans la ville de Genève en Suisse, au 10 route de Florissant 1206 - Genève. Prenez contact avec le cabinet genevois pour une consultation.
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"Oberschenkel |Cellulite massiert"
“Oberschenkel |Cellulite massiert”
Source traitement cellulite : Meilleur extrait du livre « La chirurgie esthétique, les solutions et les conseils de mon chirurgien » © Éditions Ambre | L’auteur : Dr. Sylvie POIGNONEC – Chirurgien Plasticien et Esthétique, situé en plein cœur de Paris, spécialisé en chirurgie plastique, esthétique & reconstructrice
Cellulite diets: Special “cellulite diets” have been proposed that claim to be…
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Le tourisme médical et ses risques
Si vous faites vos valises et partez à l’étranger avec l’espoir de vacances et d’une cure de jouvence, sachez que la (SOFCPRE) Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique vous dira que ce n’est pas une entreprise sûre. Le tourisme médical, comme l’appelle la SOFCPRE est une tendance croissante, et les consommateurs qui envisagent cet … Tags : ASPS, Chirurgie, Corps, Isaps, Procédure, Sécurité, Société Française de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique, SOFCPRE, Soins de la peau, Tourisme médical, Voyage Cliquez ici pour lire l'article complet : https://www.ebeautyplanet.fr/le-tourisme-medical-et-ses-risques/
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L'entreprise bretonne Hemarina a développé des transporteurs d'oxygène issus de l'hémoglobine d'un ver marin, nommé arénicole. Sa molécule Hemo2life, qui possède une capacité oxygénante 40 fois supérieure à celle de l'hémoglobine de vertébrés, pourrait donc contribuer à sauver les malades victimes du syndrome de détresse respiratoire aiguë, caractéristique des cas graves du coronavirus.
Franck Zal, le PDG d 'Hemarina , multiplie depuis plus de dix ans les études et les dépôts de brevets internationaux pour développer ses transporteurs d'oxygène issus de l'hémoglobine du ver marin, nommé arénicole. Il a même créé un élevage sur l'île de Noirmoutier en Vendée, afin de sécuriser ses approvisionnements. Sa molécule Hemo2life est notamment utilisée pour l'oxygénation de greffons rénaux avant une transplantation, ce qui permet de les préserver beaucoup plus longtemps.
« Dans le cadre de l'épidémie du Covid-19, cette même molécule doit pouvoir aider les malades victimes du syndrome de détresse respiratoire aiguë - SDRA - sachant qu'elle a une capacité oxygénante 40 fois supérieure à celle de l'hémoglobine des vertébrés », estime Franck Zal. En fait, Hemarina a démontré qu'elle est capable de délivrer de l'oxygène « à tous les niveaux du vivant ».
Autre atout de cette molécule issue de la plateforme technologique M101 d'Hemarina : « Sa taille est 250 fois plus petite qu'un globule rouge, elle peut passer dans des endroits où la circulation est réduite ». Dans les cas les plus graves du Covid-19, cela pourrait éviter que les patients ne s'asphyxient par manque d'oxygène dans le sang.
Soutenu par le professeur Lantieri
« Des chirurgiens de l'hôpital Georges Pompidou m'ont sollicité. Nous avons présenté notre molécule au Comité scientifique Covid-19 réuni autour du Président de la République et nous attendons désormais l'avis des Autorités de Santé. Nous sommes prêts à fournir des milliers de doses », insiste Franck Zal. En effet, la société dispose dans ses congélateurs d'un stock de 5.000 doses qu'elle pourrait rapidement porter à 15.000, voire 20.000. Chacune est présentée sous forme d'une poudre conditionnée dans un flacon de 30 mg, ensuite diluée dans une solution de perfusion.
L'expertise de Hemarina a déjà été précieuse au monde médical dans le cadre de la greffe totale du visage réalisée par le professeur Laurent Lantieri, chef du service de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique à l'Hôpital européen Georges Pompidou. Il vient d'ailleurs de demander officiellement au ministre de la Santé de tester la molécule d'Hemarina pour lutter contre le Covid-19, estimant que « cela pourra sauver des vies dans cette crise ».
L'initiative
Hemarina
Date de création : 2007
Président : Franck Zal
Effectif : 30 personnes
Secteur : biotechnologies
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Chirurgien esthétique à votre service à Bordeaux The Bardolatry
https://is.gd/iNl0lF
Chirurgien esthétique à votre service à Bordeaux
Franck Falkenrodt est spécialiste en chirurgie esthétique, plastique et reconstructrice. Il vous ouvre les portes de son cabinet à Bordeaux pour corriger les défauts physiques qui vous complexent.
webmaster02
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L'ANSM interdit les implants mammaires macrotexturés et ceux en polyuréthane
L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) interdit l'utilisation et demande le retrait des implants mammaires macrotexturés et de ceux en polyuréthane, en raison d'un risque accru de lymphomes anaplasiques à grandes cellules.
L'ANSM doit annoncer cette décision lors d'une conférence de presse jeudi matin dans ses locaux à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
La décision de police sanitaire, qui date de mardi et entre en vigueur vendredi, a été dévoilée mercredi par Radio France et Le Monde, deux médias membres du consortium à l'origine de l'enquête internationale sur les dispositifs médicaux baptisée Implant files (cf dépêche du 26/11/2018 à 10:39 et dépêche du 27/11/2018 à 10:24).
Ce document, qu'APMnews a pu consulter, concerne 13 produits: 11 implants texturés à enveloppe de silicone des fabricants Allergan, Arion, Sebbin, Nagor, Eurosilicone et Polytech, et deux implants recouverts de polyuréthane de Polytech.
Dans la décision, l'ANSM justifie l'interdiction de mise sur le marché, de distribution, de publicité et d'utilisation, ainsi que le retrait de ces produits, par "l'augmentation significative depuis 2011 des cas de lymphomes anaplasiques à grandes cellules associés au port d'implants mammaires" (LAGC-AIM), une "pathologie cancéreuse rare mais susceptible de conduire au décès des patientes".
L'agence rappelle que cette pathologie diagnostiquée uniquement chez des femmes porteuses d'implant mammaire a été détectée chez 56 femmes, dont 70,5% portaient un implant texturé et 1,1% un implant polyuréthane. "S'agissant des 28,4% restant, la texturation de l'enveloppe de l'implant mammaire est inconnue", mais "rien ne permet d'exclure à ce stade que des implants mammaires macrotexturés y soient également représentés".
Trois décès consécutifs à la survenue d'un LAGC-AIM ont été signalés, pointe l'agence.
Elle souligne que selon le comité scientifique spécialisé temporaire (CSST) qu'elle a réuni en février (cf dépêche du 11/02/2019 à 10:24), les implants texturés "déclenchent des réactions tissulaires plus importantes que les implants lisses" et les experts ont confirmé "à l'unanimité" que ces réactions inflammatoires chroniques constituent "un facteur de risque de survenue d'un LAGC-AIM".
En décembre 2018, l'ANSM avait déjà procédé au rappel des prothèses Biocell* d'Allergan, suite au retrait de leur marquage CE, rappelle-t-on (cf dépêche du 19/12/2018 à 10:36). Ce type de prothèse est présent dans 58% des LAGC-AIM, précise l'ANSM dans sa décision.
L'agence cite aussi en appui de sa décision une recommandation de la Société française de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique (SoFCPRE) citant les implants macrotexturés mais aussi ceux en polyuréthane (cf dépêche du 21/11/2018 à 18:01), et plusieurs publications associant les implants macrotexturés et les LAGC-AIM dans différents pays.
Il y a deux semaines, des craintes d'une telle décision d'interdiction avaient suscité une réaction des sociétés savantes représentant les chirurgiens plastiques, qui s'inquiétaient d'"un retour en arrière de 30 ans", le résultat esthétique des prothèses lisses étant moins bon, et estimaient que le risque de LAGC-AIM était gérable avec une bonne surveillance des patientes (cf dépêche du 25/03/2019 à 08:01).
Actuellement, 83% des implants mammaires utilisés sont texturés, rappelle-t-on.
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