#chiara gizzi
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palatinewolfsblog · 25 days ago
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Be awake!
(A short story about common sense and civil courage.)
Young law students are gathered in a lecture room of their university.
Ready to learn their first lesson - and it's gonna be a true life lesson.
The professor enters and takes a look around.
"You there, second desk. Blue jacket. What is your name?" he asks a student.
"My name is Alexis."
"Please leave my lecture room. I don't want to see you at one of my lectures ever again."
Everyone is quiet.
The student is irritated.
"I don't understand."
"I am not going to ask a second time. Thank you."
The student packs her things, gets up silently and leaves the hall.
The other students are speechless too.
Quite shaken not to say shocked.
They stare at the professor who looks at them attentively.
"Why are there laws?" he asks the group.
Still, nobody dares to speak.
Everyone looks at the others.
"What are laws for?" the professor asks again.
"Social order." someone says hesitantly.
"To protect a person's personal rights." Another student says.
A third replies.
"So that you can rely on the state."
The professor is not satisfied.
"Justice!" calls out a student.
The professor gives her a warm, encouraging smile.
"Thank you very much. Did I behave unfairly towards your classmate earlier?"
Everyone nods.
"Indeed I did. Why didn't anyone protest?
Why didn't any of you try to stop me?
Why didn't you want to prevent this injustice?" he asks.
Silence.
"What you just learned you wouldn't have understood in 1,000 hours of lectures if you hadn't lived it.
You didn't say anything just because you weren't affected yourself.
This attitude speaks against you and against life. You think as long as it doesn't concern you, it's none of your business.
I'm telling you, if you don't say anything today and don't bring about justice, then one day you too will experience injustice and no one will stand before you.
Justice lives through us all.
We have to fight for it. In life and at work, we often live next to each other instead of with each other.
We console ourselves that the problems of others are none of our business.
We go home and are glad that we were spared. But it's also about standing up for others.
Every day an injustice happens in business, in sports or on the tram.
Relying on someone to sort it out is not enough. It is our duty to be there for others.
Speaking for others when they cannot.
I am here to teach you the power of your voice.
I want you to learn criticial thinking
to empower you to stand up for what is right even if it means going against what everyone else is doing.
Let's begin."
Based upon a post by Joerg Storm and a short film by Chiara Gizzi.
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dispatchdcu · 1 year ago
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Traveling To Mars #8 Review
Traveling To Mars #8 Review #travelingtomars #markrussell #ablaze #ablazecomics #comics #comicbooks #news #mcu #art #info #NCBD #comicbooknews #previews #reviews
Writer: Mark Russell Artist: Roberto Meli Colorist: Chiara Di Francia Letterer: Mattia Gentili Cover Artists: Roberto Meli; Mili Montlló; & Emanuele Gizzi; Brent McKee Publisher: Ablaze Price: $3.99 Release Date: September 20, 2023 Twenty years hence, dwindling resources drive people into the streets. As states invoke martial law to quell riots and corporations battle to control Earth’s remaining…
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grahamstoney · 9 years ago
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How to Deal with Anger: Comedy Therapy with Chiara Gizzi
New Post has been published on https://grahamstoney.com/emotions/how-to-deal-with-anger-comedy-therapy-chiara-gizzi
How to Deal with Anger: Comedy Therapy with Chiara Gizzi
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Understanding and dealing with Anger is difficult!
Watch this unscripted intimate unfolding between me and Authenticity and Conscious Relationship Expert Chiara Gizzi, and their experiences and insights with this difficult emotion:
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bi-marvel · 6 years ago
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- chiara gizzi
tony, wanda, stucky
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ecoledeschartes · 2 years ago
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Quand la montagne accouche de trésors : séjour d’un chartiste à la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne
Clément Grit effectue son stage de 4e année au service des Manuscrits de la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne.
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L’Unithèque, sa prairie (et le gardien des moutons)
Mardi 20 septembre. Arrivé la veille sur les bords azurés du Léman, je m’apprête à entamer mon premier jour de stage au sein de la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, ou BCUL. Celle-ci, à la manière de la BnF, possède en réalité plusieurs sites. Deux sortent du lot. Le premier, Riponne, correspond aux emprises historiques de l’institution, en centre-ville, logées dans le palais de Rumine, un magnifique édifice italianisant de la fin du XIXe abritant par ailleurs quantité de charmants musées (archéologie, histoire, zoologie et, mon préféré, géologie). L’autre grand site n’est pas en centre-ville mais situé dans la banlieue ouest de Lausanne, où se dresse un gigantesque complexe universitaire, alliant notamment l’École polytechnique fédérale de Lausanne, ou EPFL, et l’Université de Lausanne à proprement parler, l’UNIL.
Son Unithèque, où je vais passer les trois prochains mois, est un bâtiment en arc de cercle (que les étudiants surnomment donc « la banane ») perché sur une verdoyante colline, avec une vue magnifique sur le lac (et, par beau temps, sur les Alpes françaises, Mont-Blanc inclus). Une grande plaine herbeuse sert d’écrin au complexe. Ce qui m’a valu d’être qualifié, par un ami de lycée retrouvé sur place, de « gentil Tatar. » Foin de cavaliers des steppes cependant puisque les principaux occupants et véritables maîtres des lieux sont de dociles ovins à la laine généreuse. Notons enfin que le bâtiment connait, sur son flanc arrière, d’importants travaux d’extension, devant lui permettre, à l’horizon 2024, de doubler sa capacité d’accueil et l’espace de ses magasins.
Mais revenons justement à nos moutons. Pénétrant de bon matin dans le hall de la bibliothèque, je suis immédiatement et chaleureusement accueilli par mes deux tutrices, Ramona Fritschi et Chiara Gizzi, les deux archivistes du service des manuscrits. À petites foulées, nous passons discrètement par la grande salle de lecture, en libre-accès. Puis mes deux guides débutent la visite des locaux, en commençant par l’espace de consultation du service. Nous passons saluer les voisins de la réserve des livres précieux, avant de visiter le reste des locaux administratifs, de part et d’autre de la « banane ». Enfin, il est temps de descendre dans les entrailles de la terre pour y découvrir les magasins du service, tous barricadés derrière d’épaisses portes blindées de béton armé et de plomb (l’on m’expliquera plus tard qu’il s’agit de véritables abris antiatomiques, incongruités architecturales fréquentes en Suisse jusque dans les années 1990, pardon, nonantes, et y compris chez les particuliers !). De retour à la surface, on m’installe à mon poste de travail et je fais connaissance, notamment avec Nathalie Perret-Gentil, l’adjointe des conservatrices, ainsi qu’avec les deux magasinières en charge du service public, Aude Cornu et Cristina Pique. Je rejoins donc cette petite, sympathique et très dynamique équipe (mes deux tutrices ne cessent jamais de courir, et ce n’est pas une hyperbole), en estimant la chance qui m’est donnée d’en découvrir les rouages pour ces prochaines semaines.
Au cours de la première d’entre elles, au gré des visites et des présentations, sans parler des longues demi-journées passées à fouiller le catalogue, un constat s’impose tout de suite : le service des manuscrits est comme un îlot à part entière au sein de la BCUL. Cerné par les services proprement de bibliothèque, il s’agit en vérité d’un département d’archives en déguisement. Créé en 1932 à l’occasion d’une vaste refonte de la structure de l’université lausannoise, le service des manuscrits a pour mission principale de conserver et de mettre en valeur des fonds ou documents isolés en lien avec les personnalités les plus notables du canton de Vaud, tout spécialement dans le domaine culturel. Artistes, auteur.es, musicien.nes, photographes, journalistes, critiques, universitaires, associations, tout y passe. Détail d’importance : du fait de son système fédéral décentralisé, la confédération helvétique et les cantons sont beaucoup plus souples quant à la destination institutionnelle des archives, notamment privées. C’est pourquoi le service des manuscrits revêt finalement des missions assez proches d’autres grandes institutions patrimoniales comme les Archives littéraires suisses, ou encore les archives cantonales vaudoises. Cette diversité – à mon grand étonnement je dois avouer – se fait toujours en très bonne intelligence et rares sont les cas, comme en France, de concurrence entre deux institutions pour la réception d’un même fonds ou document. Parmi ses grands fonds d’archives les plus célèbres, le service des manuscrits possède notamment un immense ensemble consacré à Benjamin Constant, à sa famille et à son œuvre (il ne fut pas possible de résister à la tentation de lire les manuscrits autographes de l’auteur romantique, par ailleurs d’une admirable tenue paléographique), ainsi qu’une appréciable part des archives de Charles-Ferdinand Ramuz, le plus célèbre des auteurs et poètes vaudois.
Mais il y a plus car le service est aussi le dépositaire des archives de la pluriséculaire académie de Lausanne, dont la création remonte au milieu du XVIe siècle, lorsque les nouvelles autorités bernoises, protestantes, voulurent affermir leur pouvoir sur la Suisse Romande. C’est dans ces fonds « historiques » que se situent les pièces les plus anciennes et précieuses, comme de nombreux manuscrits médiévaux, dont l’un des deux seuls exemplaires connus de l’Histoire des Goths de Jordanès, composé vers 830 au scriptorium de Fulda. On y trouve aussi beaucoup d’imprimés du début de l’époque moderne, des cartes et des globes du géographe français Guillaume Delisle, élève du célèbre Cassini, ou encore, plus près des documents du for privé, d’amusants livres de recettes populaires pour guérir des maladies ou, au contraire, pour les provoquer. Enfin, quantité de fiches, de photographies, de gravures, d’objets aussi, comme le petit cartable de Constant ou les énormes malles de voyage de Sir Arthur Conan Doyle…
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Le Ms 398 de la BCUL, De origine actibusque Getarum de Jordanès
Dans l’intervalle, j’apprends quelles vont être mes deux missions principales, « l’une académique, l’autre beaucoup plus pratique » me confie Mme Fritschi. La première correspond à une réflexion approfondie sur la « valeur patrimoniale » des fonds. Il s’agit de participer à la révision d’une partie de leur politique de récolement, afin notamment de mieux identifier ce qui est « précieux » et ce qui l’est moins. Ce non seulement pour être capable de mieux rendre compte de l’activité du service auprès de l’État, mais aussi, de façon beaucoup plus terre-à-terre, de savoir quoi évacuer en priorité en cas de sinistre. C’est un travail en réalité assez complexe, touchant à l’identité même d’un pareil service d’archives. Les casse-têtes ne manquent pas. Comment conjuguer différents critères patrimoniaux ? Jusqu’où aller dans la description patrimoniale d’un fonds ? Jusqu’au dossier, au sous-dossier, à la pièce même ? Et que faire des archives « en dépôt » dont la BCUL n’est pas – encore – propriétaire ? Surtout, impossible de s’aider d’exemples antérieurs car, que ce soit dans le monde des archives ou dans celui des bibliothèques, personne ne fait jamais la promotion de son propre plan d’évacuation interne, de peur de le voir critiqué. Car au fond, et c’est là la principale leçon que j’ai apprise au cours de ce travail, encore inachevé, tous les métiers de la conservation ont une part plus ou moins grande de subjectivité (ne serait-ce que celle du conservateur lui-même). Le tout est de réaliser des arbitrages, plus ou moins complexes, en tâchant chaque fois de les justifier, de les documenter, « et de les assumer avec aplomb » ajouterait Mme. Gizzi.
Ma seconde mission est bien davantage manuelle. En préparation du déménagement des collections dans leurs futurs, tout beaux et tout neufs magasins, il faut d’urgence donner un conditionnement aux quelques vilains petits canards qui, parmi les fonds et pour diverses raisons, n’en avaient jamais reçu. Inutile de dire que, faute de boîte ou de cartable pour les protéger, ces documents sont parfois dans un état très baroque, du genre à ne pas exposer devant une personne asthmatique. Un précédent stagiaire avait été heureusement chargé de commander des boîtes sur-mesure pour ces charmants nids à poussière. Il ne nous restait plus qu’à tout nettoyer, armés de lingettes et de gommes-éponges en latex. Ce travail, très formateur quant aux pratiques de restauration, permet aussi de continuer à explorer les fonds du service, en naviguant entre les brochures trotskistes vaudoises des années 1970, les plans du palais de Rumine ou encore de magnifiques gravures du XIXe siècle.
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Les gommes-éponges, avant et après usage
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Les plans du palais de Rumine
C’est aussi l’occasion rêvée de réaliser un récolement de ces pièces, en relevant tout particulièrement leur état matériel, en vue de futurs chantiers de restauration. Certains supports méritent en effet une attention particulière, à l’instar des photos, des cassettes et bobines de film, des cadres en verre, des grands rouleaux, très délicats à manipuler, etc. Mais le papier aussi peut souffrir, notamment face à son plus terrible ennemi : les moisissures. J’eus droit à leur sujet à une entière demi-journée de formation, passée à les observer au microscope, à les combattre, à les nourrir même (sur des documents tests prévus pour, pas d’inquiétude) et, bien sûr, à apprendre énormément sur leur compte auprès de la restauratrice en chef. Fort heureusement, pas de trace, pour le moment, de ces petites  trouble-fêtes dans les documents à reconditionner…pour le moment.
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Atelier moisissures
En somme, cette expérience à la BCUL est passionnante à plus d’un titre. D’abord parce que j’y découvre un monde des archives qui m’était jusqu’alors assez inconnu, mais tout en conservant un ancrage bibliothèque. Une hybridation très riche, et pertinente, dont témoignent, entre autres, les logiciels de catalogage employés par ce service d’archives, mais qui ont tous une architecture de catalogue de bibliothèque. Pour un jeune chartiste se destinant plutôt aux métiers desdites bibliothèques, cette complémentarité, voire même cette sororité des deux univers, a de quoi enthousiasmer. Il y a aussi la grande diversité des collections et comment apprendre à réfléchir au niveau des fonds sans pour autant perdre de vue les pièces, les documents individuels, et leur mille et une facettes. Le tout en menant des projets collectifs où l’avis de chacun est pris en compte. Enfin, il y aurait beaucoup à dire des avantages de fonctionnement du modèle culturel helvétique, beaucoup plus décentralisé qu’en France, et vice versa. Peut-être que le plus grand intérêt d’une expérience professionnelle à l’étranger est justement là : prendre un recul bienvenu sur nos propres institutions de conservation françaises et sur nos pratiques, afin de mieux en cerner les défauts comme les qualités.
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Elle est pas bêêêhhlle la vie ?
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missnessiemarie · 3 years ago
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I am the master of my own destiny, so I choose greatness and nothing less.
– Chiara Gizzi
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Let go of the past, but keep the lessons it taught you. - Chiara Gizzi #mentalhealthawareness #mentalhealthmatters #mentalhealthrecovery #mentalhealth https://www.instagram.com/p/CR7_NlFlWep/?utm_medium=tumblr
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jayjayjayno-blog · 4 years ago
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Let go of the past, but keep the lessons it taught you.
- Chiara Gizzi
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Appreciating giant structures who witnessed the tale of time.
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erikamanifest · 6 years ago
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I am the master of my own destiny, so I choose greatness and nothing less. – Chiara Gizzi 👍👍
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